- Magny en Vexin
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Magny-en-Vexin
Pour les articles homonymes, voir Magny.Magny-en-Vexin Pays France Région Île-de-France Département Val-d'Oise Arrondissement Pontoise Canton Magny-en-Vexin (Chef-lieu) Code Insee 95355 Code postal 95420 Maire
Mandat en coursJean-Pierre Muller
2008-2014Intercommunalité Sans Coordonnées
géographiquesAltitudes moyenne : 78 m
minimale : 63 m
maximale : 149 mSuperficie 14,02 km² (1 402 ha) Population sans
doubles comptes5 657 hab.
(1999)Densité 403 hab./km² Magny-en-Vexin est une commune française, située dans le département du Val-d'Oise et la région Île-de-France. Elle inclut les villages d'Arthieul, de Blamécourt, de Velannes-la-Ville et de Velannes-le-Bois.
Ses habitants sont appelés les Magnytois et les Magnytoises.
Sommaire
Géographie
Magny-en-Vexin est située à l'ouest du département du Val-d'Oise, au sein de l'ancienne province du Vexin français. Sa situation en fait un carrefour privilégié, au croisement de deux routes, celle de Paris à Rouen (ancienne Route nationale 14, appelée D 14 depuis 2006) et celle de Mantes à Beauvais. Elle se trouve à 60 km au nord-ouest de Paris, à 27 km de Cergy, à 65 km de Rouen, à 45 km de Beauvais, à 22 km de Mantes-la-Jolie et à 27 km de Vernon.
Magny-en-Vexin est traversée par l'Aubette de Magny.
Histoire
Anciennement Magniacum nom de domaine gallo-romain en -acum, composé avec le nom d'homme latin (porté par un gaulois) Manius, commun dans l'Empire et signifiant "né le matin". On peut aussi faire appel avec autant de probabilité au surnom Magnus "le grand"[1].
Magny-en-Vexin est situé sur l'ancienne voie romaine de Paris à Rouen dite Chaussée Jules-César. À cette époque, existe probablement une petite bourgade gallo-romaine vivant de l'agriculture et de l'élevage. Possession au VIIe siècle de l'abbaye de Saussay, le village a été dominé par les Normands qui prennent le village en 885, et ce jusqu'au traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911. Durant les XIe et XIIe siècles, Magny est comme tout le Vexin marqué par de nombreux combats. Néanmoins le village devient le chef-lieu d'un doyenné rural d'une soixantaine de paroisses[2].
Magny-en-Vexin est continuellement éprouvée pendant la guerre de Cent Ans qui entraîne de nombreuses destructions dans la région. L'église est incendiée par les Anglais en 1436. Le roi Louis XII autorise la création de deux foires, l'une à la saint Philippe (1er mai) et l'autre à la saint Michel (29 septembre). Le village fait partie successivement de la seigneurie des Villeroy depuis le XIVe siècle jusqu'en 1733, puis de la seigneurie de Catherine de Médicis en 1550 et du duc d'Alençon en 1570.
Magny n'est qu'un gros bourg jusqu'au XVIe siècle, quand le statut de ville lui est concédé par François Ier. Magny devient alors une des principales étapes sur la route de Paris et Rouen, qui demande alors quatre jours de diligence, et devient un important relais de poste. Le bourg est alors entouré de remparts garnis de six tourelles et percé de quatre portes fortifiées en direction de Paris, Vernon, Rouen et Beauvais. Magny devient la seigneurie des Chaumont au XVIIe siècle ; à cette époque, de nombreuses communautés religieuses s'établissent dans la cité : les Cordeliers occupent l'ancienne maladrerie, les Ursulines, les Annonciades, les Bénédictines, etc. En 1765, le tracé du projet de grande route de Paris à Rouen évite la cité par le nord, ce qui provoque de vives protestations ; Madame de Buhy soutenue par les Magnytois obtient finalement gain de cause et la grande route royale traverse le bourg. Le relais de coche est fixé à l'auberge du Cygne[3].
Au XIXe siècle, la ville devient un gros centre agricole avec un important marché au grain. Le village d'Arthieul, qui avait été érigé en commune à la Révolution, est redevenu un village de la commune de Magny-en-Vexin. La commune voisine de Blamécourt a également été annexée.
La création du département du Val-d'Oise a renforcé l'attractivité de Pontoise et a réorienté vers la ville nouvelle de Cergy-Pontoise l'attraction économique traditionnellement orientée vers la vallée de la Seine. Située au cœur d'une région qui reste très majoritairement agricole, Magny-en-Vexin demeure un centre de commerce actif. Les nombreux commerces du XIXe siècle ont en partie laissé la place à deux zones d'activités économiques et à une zone commerciale à l'ouest de la ville, le long de l'ex route nationale 14 (devenue route départementale). Le marché traditionnel de la place de la Halle reste néanmoins un grand rendez-vous local le samedi matin.
Héraldique
Les armes de Magny-en-Vexin se blasonnent ainsi :
Parti : au premier d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au second aussi d'azur au chevron d'or accompagné de trois croisettes ancrées du même ; sur le tout aussi d'or à la salamandre enflammée de gueules
Démographie
Administration
Magny-en-Vexin est le chef-lieu d'un canton de vingt-six communes. La commune fait partie de la juridiction d’instance, de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[4]'[5].
Le Conseil municipal est composé du maire, de huit adjoints, d'un conseiller délégué et de dix-huit conseillers municipaux[6]'[7]. Le conseil compte trois groupes politiques : Magny notre ville (gauche), Agir pour Magny (cinq conseillers) et Futur Magny (deux conseillers).
Budget et fiscalité
Sécurité
La commune possède une police Municipale (Place de la Halle)[8].
Tendances politiques
À l’élection présidentielle de 2002, le premier tour a vu arriver en tête Jean-Marie Le Pen avec 21,0 %, suivi de Jacques Chirac avec 20,8 %, Lionel Jospin avec 15,9 %, puis François Bayrou avec 6,0 %, Jean-Pierre Chevènement avec 5,9 % et Arlette Laguiller avec 5,6 %, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 5 %.
Au second tour, les électeurs ont voté à 80,4 % pour Jacques Chirac contre 19,6 % pour Jean-Marie Le Pen avec un taux d’abstention de 17,4 %, valeurs assez proches des tendances nationales (respectivement 82,21 % et 17,79 % ; abstention 20,29%) avec cependant presque deux points supplémentaires pour Jean-Marie Le Pen[9].
Au référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du 29 mai 2005, les Magnytois ont largement rejeté la Constitution Européenne, avec 56,82 % de Non contre 43,18 % de Oui avec un taux d’abstention de 29,34 % (France entière : Non à 54,67 % ; Oui à 45,33 %). Ces chiffres sont supérieurs à la tendance départementale du Val-d'Oise (Non à 53,47 % ; Oui à 46,53 %) mais inverses aux résultats franciliens (Oui 53,99 % ; Non 46,01 %)[10].
À l’élection présidentielle de 2007, le premier tour a vu se démarquer en tête Nicolas Sarkozy avec 34,32 %, suivi par Ségolène Royal avec 22,07 %, François Bayrou avec 18,43 %, Jean-Marie Le Pen avec 11,62 %, enfin Olivier Besancenot avec 4,71 % et Arlette Laguiller avec 2,07 %, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 2 %. Le second tour a vu arriver largement en tête Nicolas Sarkozy avec 56,48 % (résultat national : 53,06 %) contre 43,52 % pour Ségolène Royal (national : 46,94 %)[11].
Lors de l'élection municipale de 2008, le maire sortant Jean-Pierre Muller est réélu au premier tour avec 63,5% de voix face au candidat de l'UMP Michel Ronzeau.
Liste des maires
Liste des derniers maires Période Identité Parti Qualité 2001 2014 Jean-Pierre Muller [12] PS Principal de collège, Conseiller général du 95 1995 2001 Jean Boisnault DVD Médecin Louis Alexandre Lalannde Liste des maires précédents (à renseigner)' Période Identité Parti Qualité 1995 Gilbert Picard Toutes les données ne sont pas encore connues. Liste des maires de l'ancienne commune d'Arthieul (renseignée partiellement, jusqu'en 1899)Source : Instituteur, 22 septembre 1899 Période Identité Parti Qualité ............ ............ ............ 17 mai 1896 Abélard Valentin Meslin 5 juin 1892 Julien Théodor. Deschamps 20 mai 1888 Paul Émilien Havard 3 septembre 1870 Louis Edmond Cochin 20 février 1862 Louis Nicolas Lemarchand 8 juillet 1855 Louis J. Bte Havard 11 décembre 1854 Edmond Pagnure 11 décembre 1854 28 septembre 1848 Louis J. Bte Havard Novembre 1846 Charles Droussent Juin 1832 Ambroise Philippe Paul Gerbe 10 février 1820 Louis Letort Juillet 1808 François Tisson 8 prairial an VIII Louis Barthélémy Bertault 11 frimaire an III Jean Louis Tillon Toutes les données ne sont pas encore connues. Liste des maires de l'ancienne commune de Blamécourt (renseignée partiellement, jusqu'en 1899)Source : Instituteur, 23 septembre 1899 Période Identité Parti Qualité ............ ............ ............ ............ 1884 Maurice André Amédée Guesnier 1854 Nicaise Amédée Guesnier 1850 Louis Jacques Jules Philippon 1848 André Alexandre Guesnier 1837 François Prosper Rouillon 1797 Louis Alexandre Saintard Toutes les données ne sont pas encore connues. Jumelages
- Reichenbach-Steegen (Rhénanie-Palatinat) depuis 1968, petite commune de 1 464 habitants (en 2006)[13].
- Chipping Norton (Angleterre) depuis 1975[14].
Économie
Magny a eu sous l'Ancien Régime un rôle économique de premier ordre, lié à sa position à mi-parcours sur la route Paris-Rouen et un rôle administratif de chef-lieu de bailliage. Cette position privilégiée explique la vocation administrative et commerciale de la cité et la prolifération des aubergistes et des auxiliaires de justice. Néanmoins, la ville reste le centre urbain d'une région très rurale : les animaux circulent alors quotidiennement dans les rues. Les artisans du cuir ont également été importants dans la vie économique. Durant le XIXe siècle, la ville connaît un certain déclin, et est investie par les rentiers, alors que l'artisanat évolue vers une fabrication de chaises réputées[15].
Au XXe siècle, Magny n'est reliée au chemin de fer que par une antenne de la ligne Paris-Dieppe par Pontoise, tandis que décline la grande route de Paris à Rouen, d'abord par la création de la ligne ferroviaire Paris-Rouen-Le Havre qui provoque une profonde mutation économique et l'effondrement du trafic routier de transit, puis par la création de l'autoroute de Normandie sur la rive gauche de la Seine, qui déclasse à un rang très secondaire l'ancienne route traversant le Vexin via Pontoise et Fleury-sur-Andelle.
Au XXIe siècle, Magny conserve sa position de carrefour économique et commercial local avec deux petites zones économiques (la Demi-Lune et les Aulnaies), même si la commune est dépourvue de gare ferroviaire. La mise à deux fois deux voies de l'ex-route nationale 14 (actuelle D 14) finalisée en 2007 contribue à désenclaver la région et à développer sa position de petite capitale touristique du parc naturel régional du Vexin français grâce à son important patrimoine architectural.
La ville compte aujourd'hui plus de cent cinquante entreprises différentes employant près de 1 900 salariés, avec des activités industrielles, mais aussi plusieurs entreprises importantes de transport routier, plusieurs supermarchés rayonnant sur l'ensemble du Vexin ou un tissu d'entreprises du bâtiment.
Monuments et lieux de visite
Magny-en-Vexin possède sept monuments historiques classés ou inscrits[16]'[17] :
- L'église Notre-Dame remonte au XIIIe siècle mais a été incendiée par les Anglais en 1436. Elle a été de ce fait presque entièrement reconstruite durant le XVIe siècle, seuls les piliers du clocher sont antérieurs. Un nouveau chœur est édifié par Guillaume Le Mestre, architecte de Gisors. Un confrère, Jean Grappin, réédifie le transept puis la partie sud de la nef jusqu'en 1609. Les deux cloches sont fondues en 1859 et 1864 par Hildebrant, fondeur de Napoléon III. L'édifice a été classé monument historique en 1908.
- Devant l'église, un calvaire érigé en 1510 porte les armes de Pierre Le Gendre, seigneur de Magny de 1493 à 1523. Autrefois situé sur la place du marché face au pilori, il a été déplacé à l'emplacement actuel au début du XIXe siècle. Il a été classé monument historique en 1908.
- Les deux piliers, rue de Crosne, ont été érigés en 1778 à l'emplacement de l'ancienne porte de Paris. Ils ont été aménagés sur ordre de Louis Thiroux de Crosne, intendant de la généralité de Rouen dans le cadre du percement de la route royale de Paris à Rouen. L'un des piliers contient un réservoir d'une capacité de 40 m³, alimenté par la fontaine des Blés et financé par l'administration de l'époque. Ils sont bâtis en pierre locale, la pierre dure provenant des carrières d'Arthieul, d'Avernes et de Nucourt, et la pierre tendre de celle de Saint-Gervais.
- L’'hôtel de Brière.
- L’hôtel de Crosne.
- La maison des Bôves.
- La maison dite de Henri II (Rue de l'Hôtel-de-Ville), maison érigée en 1555 sur une cave du XIIIe siècle. Sa frise extérieure et sa décoration intérieure sont caractéristiques de la seconde Renaissance.
D'autres bâtiments remarquables sont à noter :
- La maison de l'écu de France, plus ancienne maison à colombage de la ville, a été édifiée à partir du XVIe siècle sur la rue autrefois animée de Paris à Rouen. Elle est surnommée Hôtel de l'écu de France, mais ce nom appartenait alors à un autre établissement. Un blason sur une poutre représente les armes d'Anne de Bretagne, épouse de Charles VIII puis de Louis XII. Un second blason, bûché durant la Révolution, est devenu illisible.
- L'ancien auditoire royal (17-27, rue de l'Hôtel-de-Ville), un des derniers édifice subsistant du XVIe siècle.
- L'hôtel du marquis de Guiry, unique exemple de maison d'architecture Louis XIII à Magny, il est édifiée en 1608 pour le marquis, grand bailli d'épée de Magny et de Chaumont-en-Vexin.
- Le couvent des Cordeliers (6, rue de Beauvais) a été édifié de 1634 à 1682, il n'en subsiste qu'une maison qui en reprend les principaux éléments, mais la chapelle et la sacristie ont disparu.
- La tour des Cordeliers (18, boulevard des Cordeliers) date du XVIIe siècle et constitue le dernier vestige des anciennes fortifications de la ville, dont les murailles ont été détruites en 1768 et les fossés comblés en 1825. Les remparts comportaient alors six tours dont celle-ci était la plus récente, et quatre portes, ouvertes en direction de Paris, Rouen, Beauvais et Vernon.
- L'ancienne poste aux chevaux (53, rue de Paris) Cet établissement très actif a été édifié au XVIIe siècle sur la route de Paris à Rouen. Le bâtiment est reconstruit en 1840 par Charles Duval, architecte parisien, et rebaptisé Hôtel de la Poste. La concurrence du chemin de fer entraîne la ruine de l'établissement et sa fermeture en 1872.
- La maison de Jean-Baptiste Santerre (33, place d'Armes), édifiée au XVIIe siècle, maison natale du peintre (1651-1717), célèbre pour ses études de nus.
- L'hôtel-Dieu (Place de la Butte) date de 1666 et inauguré en 1671 a été fondé par le curé de Magny, Jean-Baptiste Paul, sur ses propres deniers et grâce aux donations qu'il avait sollicitées. Il remplace une ancienne maladrerie (ou léproserie) du Moyen Âge, de fondation royale. La chapelle a été détruite durant la Révolution.
- Le lavoir de la digue (Boulevard des Chevaliers), en pierre et bois, a été construit en 1771 grâce à une souscription lancée par le curé Du Buisson. Il était essentiellement utilisé pour le rinçage du linge.
Personnalités liées à la commune
Renom national
- Jean-Baptiste Santerre (1651-1717), peintre, est né à Magny-en-Vexin.
- la famille des Neufville de Villeroy.
Renom régional ou local
- Robert Baron, ancien maire,
- Louis Thiroux de Crosne (1736-1794), ancien intendant de la généralité de Rouen, qui fit abattre l'ancienne porte de Paris et fit élever à sa place en 1778 les deux piliers caractéristiques de la ville,
- Michel-François Dailly, qui fut député du Tiers état aux États généraux de 1789,
- M. Feuilloley,
- Docteur Fourniols, médecin,
- Alfred Potiquet,
- Alphonse Subtil,
- Octave Toussaint, ancien maire.
- Gabriel Condaminet, célèbre épicier.
Culture
Magny possède une bibliothèque municipale, baptisée George-Sand (10, rue du four à Chaux)[18].
La municipalité organise quelques manifestations culturelles annuelles comme le Salon du Livre ou le Carnaval des écoles en mars, la Nuit de la Guitare (début mai)[19] ou Lez'Arts de la Rue (mi-mai), ensemble d'animations gratuites dans les rues de la ville[20], les feux de la Saint-Jean en juin, un feu d’artifice le 14 juillet, la foire à tout et la fête des fruits et légumes en septembre, Salon d’Arts en octobre et les animations de Noël[21].
La salle des Fêtes (Place de l’Europe) organise en outre des projections cinématographiques deux fois par mois[22].Équipements
Enseignement
La commune compte cinq groupes scolaires : trois groupes scolaires, un collège[23], et un établissement privé, de la maternelle au collège, qui accueillent au total 2 000 élèves[24]. Les lycéens sont sectorisés à Cergy, distante de 25 km environ[25], mais un lycée sera édifié à Magny et devrait ouvrir ses portes en 2010 ; il y accueillera 1 200 élèves dont 300 internes[26].
La commune relève de l'académie de Versailles. Les écoles du village sont gérées par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Education nationale de Cergy (Immeuble le Président - Chaussée Jules-César, 95525 Cergy-Pontoise Cedex). La moitié occidentale de la circonscription du Vexin fait partie du bassin d'éducation et de formation de Cergy[27].
Sport
Le gymnase Armando-Braglia (Rue Molière) est constitué d’une salle multisports, d’une salle d’agrès, d’une salle de danse et d’une salle de combat. Un court de tennis couvert est situé à proximité.
Le complexe sportif Jesse-Owens, Stade Paul Chéron (Rue Philippe-Chevalier) se compose de deux terrains de football, d’une piste d’athlétisme, d’un terrain de boules, de trois courts de tennis, d’un mini-tennis et d’un plateau multisports[28].
Santé
Magny-en-Vexin accueille une partie du centre hospitalier du Vexin, petit hôpital de proximité (38, rue Carnot), une autre partie se situant à Aincourt.
La commune possède également une résidence pour personnes âgées (5, rue du Four à Chaux), constituée de 46 studios de 30m² avec une petite cuisine équipée, réservée aux retraités de 60 ans et plus[29].
Voir aussi
Bibliographie
- Roland Vasseur, Françoise Waro, Magny-en-Vexin des origines à 1914, Éd. du Valhermeil, 1995, 424 p. (ISBN 2-905684-72-0)
- Eugène Bougeatre et Marcel Lachiver, La vie rurale dans le Mantois et le Vexin au XIXè siècle, Éd. du Valhermeil, 1996, 280 p. (ISBN 2-905384-38-0)
Liens externes
Notes, sources et références
- ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris 1978.
- ↑ Jean Aubert, La grande histoire du Val-d'Oise, p 104.
- ↑ Jean Aubert, op. cit., p 105.
- ↑ Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
- ↑ Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
- ↑ Site municipal - Le maire et ses adjoints
- ↑ Site municipal - Les Conseillers municipaux
- ↑ Site municipal - Police Municipale
- ↑ Scrutin présidentiel de 2002 - Magny-en-Vexin
- ↑ Scrutin du 29 mai 2005 sur la constitution Européenne - Magny-en-Vexin
- ↑ Scrutin présidentiel de 2007 - Magny-en-Vexin
- ↑ Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires (doc pdf)
- ↑ (de) Partnerschaft – Jumelage Die Entwicklung der Partnerschaft zwischen Reichenbach-Steegen und Magny-en-Vexin
- ↑ Site municipal - Jumelages
- ↑ Roland Vasseur, Françoise Waro, Magny-en-Vexin des origines à 1914.
- ↑ IAURIF - Sites et monuments historiques protégés
- ↑ Ministère de la culture - Base Mérimée
- ↑ Site municipal - Bibliothèque municipale George-Sand
- ↑ Site municipal - La Nuit de la Guitare
- ↑ Site municipal - Lez'Arts de la Rue 2007
- ↑ Site municipal - Évènements annuels
- ↑ Site municipal - Cinéma
- ↑ Inspection académique du Val-d'Oise - Sectorisation des collèges
- ↑ Site municipal - Écoles maternelles et élémentaires
- ↑ Inspection académique du Val-d'Oise - Sectorisation des lycées
- ↑ Site municipal - Le Préfet du Val-d’Oise a déclaré d’utilité publique l’acquisition des terrains du Lycée de Magny en Vexin.
- ↑ Inspection académique du Val-d'Oise
- ↑ Site municipal - Stade et équipements sportifs
- ↑ Site municipal - Résidence pour Personnes Agées
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