Tramways de l'Ain

Tramways de l'Ain
La gare de Ravier-Ambronnay sur la ligne Ambérieu - Cerdon

Les Tramways de l'Ain est le nom générique donné à un ancien réseau ferroviaire du département de l'Ain, principalement constitué de chemins de fer économiques de type tramway à voie métrique, commencé des 1879, et développant 485 km de voies à son apogée.

Les lignes, concédées à plusieurs compagnies, forment un réseau sans cohérence, repris par la « Régie Départementale des Tramways de l'Ain » (RDTA) à partir de 1919. Les lignes sont fermées de 1932 à 1954[1].

Sommaire

Le premier réseau départemental

Le Pont de Frans sur la Saône, reliant les réseaux des chemins de fer du Beaujolais et Tramways de l'Ain

Le Conseil général décide de faire étudier en avril 1890 la création de quatre lignes de « tramway à vapeur sur route » :

  • Ligne de Trévoux à Saint-Trivier-de-Courtes ;
  • Ligne de Bourg au pont de Frans, s'embranchant en ce dernier point sur la ligne précédente et se prolongeant par elle jusqu'à Trévoux ;
  • Ligne d'Ambérieu à Cerdon, par Arnbronay ;
  • Ligne de Ruffieu à Artemare ou à Virieu-le-Grand[2].

Après études, ce premier réseau départemental est constitué des lignes suivantes, à voie métrique et traction à vapeur :

  1. Ligne de Trévoux à Saint-Trivier-de-Courtes ( 80,623 km) ;
  2. Ligne de Bourg-en-Bresse à Frans (46,776 km) ;
  3. Ambérieu-en-Bugey à Cerdon (22,953 km) ;
  4. Pont-d'Ain à Jujurieux (7,727 km) ;
  5. Virieu-le-Grand à Ruffieu (22,821 km) ;
  6. Jassans - Villefranche-sur-Saône (longueur dans l'Ain : 0,808 km)

soit une longueur totale de 181,708 km[3].

Compagnie des chemins de fer économiques du Sud Est (ESE)

Horaires de la compagnie ESE en mai 1914

La Société anonyme des Chemins de fer économiques du Sud-Est (ESE), est fondée le 18 novembre 1897 par Monsieur Joseph Jeancard[4],[3].

Les 5 premières lignes de ce premier réseau ont été concédées au département par décret du 25 juillet 1894 et rétrocédées à M. Jeancard, suivant une convention de 26 février de la même année.

La sixième ligne a été concédée au département le 23 décembre 1901, pour être rétrocédée à la même Société ESE[3].

Dans ce cadre, l'ESE ouvre, de 1897 à 1903, 191 km de voies étroites de « type tramway », tracées le plus économiquement possible, en accotement des routes. La compagnie les exploite jusqu'à leur reprise par la régie des Tramways de l'Ain à partir de 1920[1].

Lignes

La compagnie ESE ouvre les lignes suivantes :

Matériel roulant

Locomotives

Cette machine, exposée à l'exposition universelle de 1900 à Paris, donne lieu à une description dans le rapport du Jury, qui souligne la qualité de la fabrication de la locomotive exposée et construite par les établissements Vve Corpet et L. Louvet de Paris. L'article contient une présentation générale et un plan[7], ainsi qu'un tableau présentant les caractéristiques détaillées[8].

Voitures et wagons
  • Voitures AB 1re-2e Classe: AB 1 à 11
  • Voitures B 2e Classe: B 51 à 71
  • Voitures BD 2e Classe fourgon: BD 176 à 182
  • Voitures BDP 2e Classe fourgon et compartiment postal: BDP 151-154
  • Wagons de marchandises
  • 26 couverts
  • 58 tombereaux
  • 40 wagons plats[9].

Compagnie des tramways de l'Ain (TA)

Les compagnies de chemins de fer secondaires étaient des entreprises privées, devant générer des revenus pour leurs investisseurs. Ce n'est qu'après la Première Guerre mondiale que, les conditions économiques étant radicalement différentes et les transports individuels en pleine croissance, ces compagnies se retrouvèrent en grande difficultés financières que les concédants durent reprendre l'exploitation de leurs réseaux
On voit ici une action de la Cie des Tramways de l'Ain, de 1909
La gare de Montrevel

La compagnie des tramways de l'Ain est créé le 26 juin 1906, par monsieur Vial. Cette compagnie, dont le siège est à Lyon, ouvre plusieurs lignes, développant 174 km de voies métriques[1], au tracé situé le plus souvent possible le long des routes.

Lignes

La compagnie des TA ouvre les lignes suivantes:

Certaines gares sont communes à la compagnie ESE :

  • Ars, la gare est ici contigue à la station de la compagnie ESE
  • Pont-de-Préau, la gare est construite à la place d'une halte de la compagnie ESE

Matériel roulant

Locomotives
Voitures et wagons
  • Voitures pour voyageurs :
voitures à bogies 1re et 2e classe : B1 à B7
voitures à bogies de 2e classe : C1 à C7
  • Wagons de marchandises :
25 wagons couverts
10 wagons tombereaux
60 wagons plats
24 wagons plats à traverses pivotantes pour le transport du bois.

La régie départementale des tramways de l'Ain (RDTA)

La création de la régie départementale

Créée en avril 1918 par le Département de l'Ain, la RDTA se substitue à l'administration du séquestre de la Compagnie des Tramways de l’Ain, dont le réseau vient d’être racheté par le département[10]. Elle reprend ensuite l'ensemble des lignes, à voie métrique, suivantes :

  • Le chemin de fer Marlieux-Chatillon
  • la compagnie des chemins de fer économiques du Sud Est (ESE)
  • La compagnie des tramways de l'Ain
  • Le tramway de Pont de Vaux-Fleurville
  • Le tramway de Gex à Ferney Voltaire

et une ligne à voie normale, le chemin de fer du Haut-Rhône.

La régie construit en outre 39 km de sections supplémentaires[1] :

Elle modernise le réseau en lançant un programme d'électrification des lignes de montagne :

Elle acquiert du matériel roulant supplémentaire:

  • automotrices pour les lignes électriques
  • autorails pour la ligne de Saint-Trivier-de-Courtes à Cuiseaux
  • locotracteurs diésel
  • wagons de marchandises pour le réseau

et modernise plusieurs voitures voyageurs

Les acquisitions de la régie des tramways de l'Ain

Compagnie du chemin de fer de Marlieux à Châtillon (MC)

Cette compagnie ouvre le 15 août 1879, à l'initiative de messieurs Clément-Desormes et de Raclet, une ligne entre Marlieux (sur la ligne Lyon - Bourg-en-Bresse) et Châtillon-sur-Chalaronne, longue de 11,375 km en voie métrique, ce qui est une première dans le département de l'Ain, mais aussi en France pour cette écartement[1].

Concédée le concédée le 29 septembre 1875[3], coutât 55.000 francs par kilomètre[11] et fut subventionnée à hauteur de 363 357,75 francs, payés par l'État, le Département, la Compagnie des Dombes et des chemins de fer du Sud-Est, les localités et particuliers intéressés[12].

La compagnie est absorbée en 1891 par la Compagnie nationale des chemins de fer à voie étroite[12]

En 1909, la ligne est parcourue par 4 trains réguliers aller-retour par jour en hiver et 5 en été[3].

La ligne est reprise en 1919 par la Régie départementale des tramways de l'Ain (RDTA), puis fermée définitivement en 1934[1].

Tramway de Pont-de-Vaux à Fleurville
La place de Pont-de-Vaux était fort animée, lors du croisement de deux tramways...
Les deux rames sont sur la ligne de l'ESE reliant Saint-Trivier-de-Courtes à Trévoux, la voie de la ligne de Fleurville est visible au premier plan de la carte postale

La ligne de tramway à vapeur de Pont-de-Vaux à Fleurville, commune située dans le département de la Saône-et-Loire, a été concédée par l'État à la ville de Pont-de-Vaux par décret du 17 juin 1897 pour être rétrocédée à M. Cornillon en vertu d'une convention du 20 avril 1897[13].

L'exploitant, la Compagnie Anonyme du Tramway de Pont-de-Vaux à Fleurville (TPF)[14], ouvre la ligne le 11 décembre 1900, longue de 5 km (dont un en Saône-et-Loire) et construite à voie métrique, afin de raccorder la ville de Pont-de-Vaux à sa gare, située à Fleurville, sur la ligne Paris-Lyon.

La ligne s'écarte de la gare de Fleurville, franchit la Saône sur un pont reconstruit à cette occasion, puis longe le canal de Pont-de-Vaux, et le franchit à deux reprises, au-dessus de l'écluse et à l'entrée du port de Pont-de-Vaux. Entre les deux, la ligne était établie sur la petite levée du canal, parallèlement à celui-ci et à la route sur l'autre rive[15].

À la gare de Fleurville se trouvait également le terminus d'une autre ligne de chemin de fer secondaire, le Tacot de Fleurville, reliant, en 35 km, cette ville à Mâcon. Les deux lignes n'étaient pas physiquement reliées, mais les voyageurs pouvaient passer d'un réseau à l'autre[16],[17]. Des études pour raccorder les deux lignes secondaires furent menées[18], mais n'aboutirent pas pour des raisons économiques, interdisant de fait au tramway d'assurer un trafic marchandises[19]. À Pont-de-Vaux, la ligne était connectée à la ligne de l'ESE reliant Saint-Trivier-de-Courtes à Trévoux.

La ligne est intégrée le 1er avril 1920 à la Régie départementale des tramways de l'Ain , puis fermée définitivement le 15 avril 1936[1],[20].

Exploitation
Horaires de la ligne en mai 1914

En mai 1914, la ligne était parcourue par 11 trains dans chaque sens (dont un uniquement les jours de foires et marchés) en 18 minutes. Ils marquaient trois arrêts intermédiaires, l'un à Reyssouze et les deux autres de part et d'autre de la Saône, au pont de Fleurville.

La compagnie ne disposait pas de bâtiments pour les gares. Son terminus de Fleurville était sur la route située devant la gare du PLM et, sur la place de Pont-de-Vaux, où elle partageait un kiosque de vente avec l'ESE dans les halles de du marché[21]

Le Préfet notait en 1909 que « l'exploitation de cette ligne donne lieu à de nombreuses réclamations notamment en ce qui concerne les retards et les correspondances des trains. Cette situation est due à l'insuffisance du nombre des machines qui ne permet pas toujours d'effectuer en temps utile les réparations nécessaires »[22]. La situation s'aggrave, et le Préfet indique au Conseil général que, « en raison du mauvais état de la voie et des machines, l'exploitation de cette ligne s'est effectuée en 1909 dans des conditions déplorables et a dû être interrompue le 25 juillet 1909 à la suite d'un déraillement survenu sur le pont métalliquede la Saône à Fleurville. Des trois machines que possédait la Compagnie, "l'une était au levage et n'avait plus d'essieux utilisables, la seconde à la suite d'un accident avait un essieu faussé et se trouvait en réparation ; quant a la troisième, elle fut mise hors d'usage après le déraillement précité sur le pont de Fleurville" »[23].

L'équilibre économique de l'exploitation est délicat, et en 1905, 1906 et 1908,1909, 1910, les dépenses excèdent les recettes[22]. L'État et la commune évoquent dès 2010 une déchéance du concessionnaire[24],[25] , à la suite du déraillement du 25 juillet 1909. La compagnie est effectivement mise sous séquestre par arrêté du 5 octobre 1909, qui nommait le chef des services de l'exploitation de l'ESE administrateur du séquestre[23]. La commune de Pont-de-Vaux rachète la concession en 1913, et en confie l'exploitation à titre définitif à l'ESE[26].

Matériel roulant

La compagnie avait acquis :

  • deux locomotives type 030T fournies par Buffaud & Robatel, numérotées 1 et 2, d'un poids à vide de 10 tonnes, et 12,5 tonnes en charge, et une chaudière timbrée à 15 atmosphères[27]
  • une locomotive type 030T fabriquée par les Ateliers Sornin, à la Clayette (Saône et Loire)
  • 2 voitures mixtes,
  • 2 voitures à 2 essieux
  • 10 fourgons ou wagons[28]. Leur gabarit en largeur était fixé à 2,10 m[19]
Compagnie du tramway de Gex à Ferney-Voltaire (GF)

Cette ligne, établie en accotement sur la route nationale 5, avait une longueur de 9,859 km

Elle a été concédée au département de l'Ain pour être rétrocédée à MM. Richard, Regad et Dupont, qui se sont substitués la Société anonyme du tramway de Gex à Ferney (Décret du 15 juin 1901)

Cette compagnie ouvre la ligne le 21 juillet 1900, une ligne de tramway entre Gex et Ferney-Voltaire, dont la concession prévoit 4 trains réguliers par jour l'hiver et 6 trains en été, auxquels se rajoutent des trains supplémentaires, les samedis et dimanche d'été[3].

La ligne est reprise en 1920 par la Régie départementale des tramways de l'Ain ( RDTA), puis fermée définitivement en 1932[1].

Compagnie des chemins de fer du Haut Rhône (HR)

Cette compagnie ouvre une ligne entre Brégnier-Cordon et Sault-Brénaz en 1911-1912. Cette ligne est longue de 35 km et construite à voie normale pour se connecter avec la ligne 16 de l'OTL (Ligne de Lyon à La Balme).

Cette ligne est définitivement fermée en 1939[1].

La fin du service ferroviaire

Le Conseil général décide, dès 1932, les premières suppressions du service ferroviaire du réseau de la RDTA :

Le préfet note, en 1938, que la suppression du trafic ferroviaire et son remplacement par une desserte en autocars de la ligne de Cuiseaux à St-Trivier-de-Courtes a permis à la RDTA de faire des économies importantes, en ramenant le déficit de cette ligne prévu pour l'année de 215 800 francs à 144 100  francs[30].

En 1939, le réseau ferroviaire des tramways de l'Ain se limite au lignes électrifiées soit

  • Ambérieu-Cerdon
  • Ambérieu-Saint Martin du Fresne-Nantua
  • Saint Martin du Fresne -Hauteville

Ces lignes disparaitront entre 1951 et 1954.

Aujourd'hui : la régie départementale des transports de l'Ain

Aujourd'hui la RDTA existe toujours, sous la forme d'un établissement public à caractère industriel et commercial du Département. Elle exploite 150 autobus et autocars sur les lignes routières du département, effectuant les transports scolaires, des services réguliers de cars, des services touristiques[10]

Autres lignes du département de l'Ain

Le viaduc de Bellegarde monumental sur la Valserine construit pour le Tram de Bellegarde à Chézery

Il existait également trois autres sections de lignes appartenant à d'autres compagnies[1] :

Article détaillé : Tram de Bellegarde à Chézery.

Notes et références

  1. a, b, c, d, e, f, g, h, i et j Fédération des amis des chemins de fer secondaires, « Les Chemins de Fer Secondaires de France : Département de l'Ain » sur http://www.trains-fr.org/. Consulté le 14 avril 2010
  2. Gaston Joliet, Rapport du Préfet à la session d'Aout 1880 du Conseil général de l'Ain : Tramways départementaux - Avant projet - Rapport de l'ingénieur en chef, 1880 [lire en ligne], p. 3-39 
  3. a, b, c, d, e, f et g Claude Just, Rapport du Préfet à la session d'avril 1909 du Conseil général de l'Ain : Contrôle des chemins de fer d'intérêt local et tramways, 1909 [lire en ligne], p. 256-289 
  4. Monsieur Joseph Jeancard est également concessionnaire des chemins de fer économiques des Charentes, il applique les mêmes méthodes de construction pour les Chemins de fer économiques des Charentes et dans l'Ain.
  5. http://cnum.cnam.fr/CGI/fpage.cgi?8XAE570.2/401/100/452/441/442
  6. L'inventaire dressé en 1909 par le service du contrôle mentionnait la présence de 18 locomotives de 19 tonnes et 4 locomotives de 23 tonnes (il s'agit d'un poids en charge qui correspond à 14 et 17 tonnes à vide.
  7. Site cnum.cnam, « Locomotive-Tender, 3/3, à simple expansion, N° 54, des chemins de fer économiques du Sud-Est  », Matériel et chemins de fer, Exposition universelle internationale de 1900 à Paris. Rapports du jury international, Groupe VI, Deuxième partie, Classes 32 (Tome I), p. 420 lire (consulté le 06/10/2009).
  8. Site cnum.cnam, ibid, p. 426.
  9. L'inventaire dressé par le service du contrôle mentionnait la présence de 70 voitures â voyageurs, 28 fourgons et 138 wagons à marchandises. Le Conseil général a autorisé en avril 1909 l'acquisition de 26 nouveaux wagons à marchandises et 4 voitures â voyageurs.
  10. a et b RDTA : l'entreprise sur http://www.rdtain.fr. Consulté le 18 avril 2010
  11. E. Gellion-Danglar, Rapport du Préfet à la session d'Août 1880 du Conseil général de l'Ain : Chemin de fer de Marlieux à Châtillon-s-Chalaronne - Prolongement de cette voie jusqu'à Thoissey., 1880 [lire en ligne], p. 94 
  12. a et b A. Debax, Rapport du Préfet à la session d'Août 1891 du Conseil général de l'Ain : Chemin de fer de Marlieux à Châtillon - Substitution de Compagnie, 1891 [lire en ligne], p. 65-67 
  13. MM. Bonnerot et Autrand, Rapport du Préfet pour la session d'août 1898 du Conseil général de l'Ain, 1898 [lire en ligne], p. 114 
  14. Ligne de Pont de Vaux à Fleurville. Consulté le 14 avril 2010
  15. Le Canal de Pont-de-Vaux sur le site Histoire & Patrimoine des Rivières & Canaux. Consulté le 14 avril 2010
  16. Gilbert Gillet, « Tacot de Fleurville » sur http://gilbert.gillet.free.fr, 2008. Consulté le 18 avril 2010
  17. Gaby Bachet, « Plan des installations de la gare de Fleurville. En marron, celles du tramway de Pont-de-Vaux, en bleu le PLM, en rouge le Tacot de Fleurville ». Consulté le 18 avril 2010
  18. Claude Just, Rapport du Préfet pour la session d'avril 1908 du Conseil général de l'Ain : Tramways départementaux : Raccordement à Fleurville des tramways de l'Ain avec les chemins de fer d'intérêt local de Saône-et-Loire, 1908 [lire en ligne], p. 139-145 
  19. a et b Rapport du Préfet pour la session d'avril 1913 du Conseil général de l'Ain : Tramway de Pont-de-Vaux à Fleurville : Incorporation au 1er réseau de tramway de l'Ain [lire en ligne], p. 180-192 
  20. Historique des trams de l'Ain sur http://www.tramdelain.fr. Consulté le 14 avril 2010
  21. Thierry Pere, « Ligne de Pont de Vaux à Fleurville : Pont de Vaux » sur le site des Vestiges de chemins de fer en Saône et Loire, 2005. Consulté le 18 avril 2010
  22. a et b Claude Just, Rapport du Préfet pour la session d'avril 1909 du Conseil général de l'Ain : Tramway à vapeur de Pont-de-Vaux à Fleurville, 1909 [lire en ligne], p. 262-263 
  23. a et b Gabriel Brin, Rapport du Préfet pour la session d'avril 1910 du Conseil général de l'Ain : Tramway de Font-de-Vaux à Fleurville (Concession communale) : Déchéance de la Compagnie, 1910 [lire en ligne], p. 197-198 
  24. Gabriel Brin, Rapport du Préfet pour la session d'avril 1910 du Conseil général de l'Ain : Tramway de Font-de-Vaux à Fleurville (Concession communale) : Déchéance de la Compagnie, 1910 [lire en ligne], p. 94 
  25. Gabriel Brin, Rapport du Préfet pour la session d'août 1911 du Conseil général de l'Ain : Contrôle des chemins de fer d'intérêt local et des tramways, 1911 [lire en ligne], p. 168-169 
  26. Rapport du Préfet pour la session d'août 1913 du Conseil général de l'Ain : Contrôle des chemins de fer d'intérêt local et des tramways [lire en ligne], p. 558-560 
  27. [doc]Sébastien Jarne, « Inventaire des livraisons de locomotives et automotrices Buffaud & Robatel » sur http://demophile1.free.fr, 30 juin 2003. Consulté le 14 avril 2010
  28. Les tramways de l'Ain sur le site Rue du Petit train. Consulté le 14 avril 2010
  29. G. Bernard, Rapport du Préfet pour la première session ordinaire de 1938 du Conseil général de l'Ain : Voies ferrées d'intérêt local. — Déclassement de diverses lignes [lire en ligne], p. 84-86 
  30. G. Bernard, Rapport du Préfet pour la seconde session ordinaire de 1938 du Conseil général de l'Ain, 1938 [lire en ligne], p. 125-130 
  31. Gaston Joliet, Rapport du Préfet à la session d'août 1890 du Conseil général : Chemins de fer d'intérêt local et tramways - Tramway de Ferney à la frontière suisse, 1890 [lire en ligne], p. 110 

Bibliographie

  • Henri Domengie, Les petits trains Jadis - Sud-Est de la France, volume 6, Cabri, 1985, 271 p. (ISBN 2903310483).
  • Henri Domengie, Les tramways de l'Ain : 1879-1954, ed. du Cabri (réimpr. 2000) (1re éd. 1988), 220 p. (ISBN 2-903310-71-8 et 9782903310714) 

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Sites généraux sur les tramways de l'Ain :

Sites de lignes :

RDTA :



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