- Saint-Rambert-en-Bugey
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Pour les articles homonymes, voir Saint-Rambert.
Saint-Rambert-en-Bugey
Vu du centre de Saint-Rambert-en-Bugey
DétailAdministration Pays France Région Rhône-Alpes Département Ain Arrondissement Belley Canton Saint-Rambert-en-Bugey (chef-lieu) Code commune 01384 Code postal 01230 Maire
Mandat en coursGilbert Bouchon
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Albarine Site web www.saint-rambert-en-bugey.fr Démographie Population 2 167 hab. (2008) Densité 76 hab./km² Gentilé Rambertois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 271 m — maxi. 819 m Superficie 28,55 km2 Saint-Rambert-en-Bugey est une commune française, située dans la région Rhône-Alpes. Elle est le chef-lieu du canton de Saint-Rambert-en-Bugey, dans le département de l'Ain.
Ses habitants sont appelés les Rambertois.[1]
Sommaire
Géographie
Localisation
Saint-Rambert-en-Bugey est situé dans le Jura méridional, dans les montagnes du Bugey, au débouché de la vallée de l'Albarine, à l'altitude de 310 m.
Climat
Saint-Rambert-en-Bugey possède un climat de type semi-continental.
La vallée est située dans une zone climatique de transition : en automne, alors que la plaine de l'Ain, située à quelques kilomètres, se trouve en pleine zone de brouillard, la vallée de l'Albarine reste ensoleillée jusqu'à Torcieu ; la brise de montagne, canalisée par la cluse des Hôpitaux, chasse la brume[2].
Relief et géologie
La partie de la cluse sinueuse où est bâtie la ville est dirigée du Nord-Est au Sud-Ouest.
Hydrologie
La ville est traversée dans sa longueur par une belle rivière, l'Albarine.
Trois affluents rejoignent l' Albarine à Saint-Rambert-en-Bugey :
- la Mandorne, au niveau du lieu-dit « le Moulin à Papier » ;
- le Brevon, au niveau de l'église ;
- la Câline, à Serrières.
Urbanisme
Coincé au fond d'une vallée, entre une route nationale et une rivière impétueuse, Saint-Rambert a vu sa richesse architecturale se perdre au fur et à mesure de son histoire.
Dès 1602, son château est détruit. Les portes de la ville et les remparts sont détruits pour faciliter la circulation.
La révolution industrielle a marqué profondément la physionomie de la cité. On remarque les restes d'un très rare ensemble de cités ouvrières, de villas de contremaitres, de châteaux de directeurs et d'usines textiles datant du XIXe siècle (Schappe).
Autrefois surnommé[réf. souhaitée] la « Venise du Bugey » à cause de son canal qui traversait le bourg et de ses fontaines monumentales, Saint-Rambert a vu son canal couvert et ses fontaines détruites lors des opérations de bétonnage des années 1960.
Voies de communication et transports
Voie ferrée
La gare de Saint-Rambert-en-Bugey est située sur la Ligne de Lyon-Perrache à Genève (frontière). Elle est desservie[3] par des trains TER Rhône-Alpes qui effectuent des missions entre la gare de Lyon-Perrache et celles de :
Saint-Gervais ; Évian ; Chambéry-Challes-les-Eaux ; Genève.
La station de Saint-Rambert a été mise en service en 1857 par la Compagnie du chemin de fer de Lyon à Genève.
Route nationale
La ville est traversée par la route départementale D1504, ancienne « route nationale 504 ».
Autres routes
- Route d'Angrieres
- Route de Conand
- Route de Grattoux
- Route de l'Abbaye
- Route de Morgelas
Rues de Saint-Rambert-en-Bugey
Ci-dessous, la liste des noms autres voies de Saint-Rambert-en-Bugey[4] :
- Quai Charles-Béraudier
- Quai Lamartine
- Quai Lucien-Franc
- Avenue de l'Europe
- Avenue de la Gadinière
- Avenue de Savoie
- Rue Brillat-Savarin
- Rue Claude-Mermet
- Rue de l'Abbé-Joseph-Tournier
- Rue de l'Horloge
- Rue de la Grenette
- Rue de la Schappe
- Rue des Blanchères
- Rue des Maisons Neuves
- Rue des Otages
- Rue du Capitaine-Juvanon
- Rue du Cuchon
- Rue du Docteur Temporal
- Rue du Moulin
- Rue Eugenie-Lardin
- Rue Hippolyte-Leymarie
- Rue Louis-Fallavier
- Rue Montferme
- Rue Rose Bichon
- Ruelle de la Fontaine
- Ruelle du Bastion
- Allée du Four
Les hameaux de la commune
- Grattoux, à 1 km au nord-nord-est de Saint-Rambert
- Buges, à 1 km au nord, dans la vallée du Brevon
- Vorages, à 1,5 km au nord-nord-est de Saint-Rambert
- Blanaz, à 2,5 km au sud de Saint-Rambert (alt. : 467 m)
- Lupieu, à 3 km au sud de Saint-Rambert, dans la vallée d'un affluent du Brevon, le Chazet
- Javornoz, à 1 km au sud de Saint-Rambert
- Morgelaz, au pied du Mont Luisandre
- Angrières, à 2,5 km à l'ouest-nord-ouest de Saint-Rambert (alt. : 641 m)
- Serrières, dans le prolongement de Saint-Rambert-en-Bugey, en aval
Histoire
Origines et légende
- Saint Domitien[5]
Selon la légende, les origines de la ville de Saint-Rambert remontent à Saint Domitien, au Ve siècle.
Domitien aurait fondé un monastère et un hospice sur les bords du Brevon, vers 440.
Ce « désert », où se cachait précédemment des « faux-monnayeurs », se nommait Bébronne.Au VIIe siècle, Ragnebert, un noble et pieux chevalier franc est victime d'obscures intrigues de pouvoirs sous le règne du « roi fainéant » Thierry III. Exilé dans le Bugey par Ebroïn, le maire du palais, il est assassiné sur ses ordres, le 13 juin 680 sur le chemin de l'Abbaye (une croix de pierre, placée à quelques pas du pont du Brevon, indique l'endroit où il aurait été mis à mort par deux « sicaires »).
D'après la légende, les prodiges se multiplièrent sur le tombeau de Ragnebert et le lieu devint rapidement un important lieu de pèlerinage. En peu de temps, il se forma sous la protection de l'Abbaye un bourg qui prit le nom du martyr (les reliques de Saint Rambert sont toujours conservées dans l'église paroissiale).Moyen Âge
L’Abbaye de Saint-Rambert se trouve au XIIe siècle à l'apogée de sa puissance. Indépendante de toute suprématie temporelle, elle ne relève que du pape pour la question canonique. Elle possède des domaines jusqu'en Savoie, et se trouve un des petits états les plus riches du Bugey[6]. En 1191, une bulle du pape Célestin III, où l'on énumère les bénéfices de l'Abbaye[7], montre que son étendue était plus considérable que celle du canton actuel.
La construction du château de Cornillon, sur un éperon rocheux au-dessus de la ville, permet à l'Abbaye d'assurer seule son indépendance et sa sécurité.
En 1196, l'abbé Régnier cède à Thomas, comte de Savoie, le château de Cornillon en échange de sa protection.
la guerre contre le Dauphiné
Vers 1282, le conflit entre entre les maisons de Savoie et celle du Dauphiné gagne le Bugey. C'est une guerre d'escarmouches, de sièges et d'expéditions punitives. Situé à la "frontière", Saint-Rambert à reçu du comte de Savoie Ame V, en 1288, des franchises et privilèges semblables à ceux de la ville de Bourg. Le château de Cornillon est une place savoyarde importante de part sa situation et de nombreuses chevauchées partent de Saint-Rambert pour aller ravager la plaine de l'Ain[8]. Le 5 janvier 1355, le traité de Paris met fin au conflit.
Saint-Rambert en Savoye
Le bourg obtient rapidement franchises et privilèges. Il devient notamment la résidence obligée des juges du Bugey et se développe considérablement.
Saint-Rambert restera savoyard jusqu'en 1601.
Ancien Régime
- En 1607, le Duc de Nemours obtient du roi Henry IV la réunion des justices s’exerçant sur ses marquisats de Saint-Sorlin et Saint-Rambert et ses baronnies de Chazey, Poncin et Cerdon: la centralisation se fait à Saint-Rambert. Saint-Rambert est sauvé de la désertification et de la ruine qui la menaçait[9].
Saint-Rambert décline: la ville doit faire face à la concurrence de la route Lyon-Bellegarde passant par Nantua, plus courte que la route Lyon-Bellegarde passant par Saint-Rambert et Belley (de Bellegarde, on rejoint Genève).
- L'industrie textile est la plus importante des industries de la ville, reconnue pour l'excellente qualité de sa production de toile de chanvre (nappe, serviette, etc...). Un bureau de visite et de marquage des toiles doit pourtant être instauré pour lutter contre les nombreuses malfaçons et imitations.
- Des tanneurs travaillent en ville. Ces commerces locaux empuantissent les alentours. Les habitants sont pauvres et la ville insalubre. Des épidémies déciment de temps à autre la population.
- Le don gratuit, la mauvaise gestion des syndics et un mauvais procès contre les Chartreux de Portes (qui réclament que la Justice de leur seigneurie de Saint-Sorlin soit rendue à Lagnieu), achève de ruiner la Ville, qui doit piocher dans les économies de l'Hôpital pour faire face aux frais du procès.
- Le siège de la justice à Saint-Rambert est disloqué.
- En 1601, le traité de Lyon rattache Saint-Rambert à la France.
- En 1601, le Duc de Nemours achète le marquisat de Saint-Rambert à Amé de Savoie.
- En 1602, le château de Cornillon est détruit par le Maréchal Biron.
- En 1607, le Duc de Nemours centralise sa justice à Saint-Rambert.
- En 1607, un collège est fondé par Claude Guichard.
- En 1697, la muraille "au devant de l'église" est emportée par une crue.
- En 1738, un bureau de visite et de marquage des toiles est instauré.
- En 1748, la "porte d'en haut" est détruite pour agrandir le chemin royal de Lyon à Chambéry.
- En 1771, le parlement de Dijon ordonne que la justice du marquisat de Saint-Sorlin soit exercée à Lagnieu.
- En 1773, les magistrat de Saint-Rambert sont débouté de leurs recours et la communauté condamnée à payer les frais du procès.
- En 1784, la ville possède un hôpital : 3 lits pour les malades et une sœur pour les servir.
Révolution française
XIXe et XXe siècles
Alphonse de Lamartine nous a laissé cette description de Saint-Rambert au début du XIXe :
- « Peu à peu le défilé s'élargit,le ruisseau grossit, les maisons aussi pittoresques,mais plus nombreuses, se rapprochent sur les deux rives et forment le faubourg d'une petite ville appelée Saint-Rambert. Il n'y a point de rue; la rue, c'est l'Albarine couverte d'une multitude de ponts. Une petite auberge, dont les filets tapissent le mur, puise les écrevisses et les truites sous ses fenêtres et sous son escalier. On soupe et on couche là au bruit et à la fraîcheur du petit fleuve. Quelques usines y joignent le bruit du marteau, quelques moulins le tic-tac des roues. C'est un des lieux les plus pittoresques du monde. »
Toponymie
- Bebronne au Ve siècle
Hydronyme d'origine gauloise, reposant soit sur une forme gauloise °BEBRŌNNO, soit sur une forme gallo-romane °BEBRŌNE. Le radical BEBR- est celui du gaulois °BEBROS ou °BEBRUS « castor », adapté en bas-latin sous la forme BEBER. Le second élément de l'hydronyme est soit le gaulois ONNO « cours d’eau » (cas le plus probable), soit un suffixe de présence gallo-roman -ŌNE, d'où le sens global de « rivière aux castors », ou éventuellement « endroit où il y a des castors ».
- Bebronna et Bebronnensis locellus au VIIe siècle[10]
avec le latin locellus, diminutif de locus, « lieu »
- Bebronna au VIIIe siècle[10]
- Monasterium Sancti Ragneberti vers 807[10]
de Ragnebert qui y fut assassiné en 680.
- Sanctus Ranegbertus en 1137[10]
- Sancto Raniberto en 1206[10]
- Sanctum Rainebertum en 1213[10]
- Sanctus Rainegbertus Jurensis et Sanctus Rambertus en 1275[10]
- Sanctus Renebertus en 1280[10]>>
- Sanclus Regribertus Jurenfis en 1538[11]
- Sainct Rambert et Sainct Raingbert en 1563[10]
- Saint Rambert-de-joux au XVIIIe siècle
de part la proximité du Montjura ou Mont Joux.
- Montferme sous la Révolution
- Saint-Rambert-en-Bugey
Les habitants emploient couramment l'abréviation "Saint-Ran".
La commune a aussi été surnommée:
- « la vallée sans brouillard », pour son micro-climat
- « la Vallée de la Misère », pour sa réalité sociale
- « la Venise du Bugey », au temps de son canal et de ses fontaines monumentales
de manière péjorative: "Saint-Ramboum".
Politique et administration
Tendances politiques
Administration municipale
Liste des maires
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 02.1791 06.1791 Philippe GRUMEZ 06.1791 11.1791 Pierre AUGERD 11.1791 12.1792 Anthelme Joseph REVERDY 12.1792 12.1793 Victor AUGERD 01.1794 11.1794 Guillaume TROCU-MALIX 1800 1804 Jean François BRUN 1804 1815 Adrien FALAVIER 1815 1816 Jean Marie JUVANON 1816 18301 André DUPUY 1830 1845 Louis FALAVIER 1845 1846 Aimé MARTIN 1846 1848 Adolphe DUPUY 1848 1852 Paul BRUN 1852 1860 Adolphe DUPUY 1860 1865 Aimé DEBENEY 1865 1869 Charles RAT 1869 1878 Benoît MARTELIN 1879 1880 Jules CHAPPUY 1881 1884 Frédéric Auguste JUVANON 1884 1891 Jules DUFOUR 01.1892 05.1892 Jean Marie MATHIEU 1892 1928 Lucien FRANC 1928 1935 Henri FRANC 1935 1944 Michel Temporal 1944 1947 Lucien BROYER 1947 1953 Luc BEATRIX 1953 1977 Marcel BUIS 1977 1983 Charles PAIN 1983 1995 Jean Claude MARQUIS juin 1995 mars 2001 Jean-Claude Canard mars 2001 réélu mars 2008 Gilbert Bouchon[12] DVG Conseiller général Politique environnementale
Jumelage
Population et société
Démographie
Enseignement
On y trouve une école primaire et un collège public.
Manifestations culturelles et festivités
Santé
Sports
- L'Étoile du Bugey, le club de rugby historique, crée en 1921.
- L'Albarine Basket Club compte 103 licenciés, dont 51 mini-basketteurs (- de 10 ans), 18 joueurs de moins de 16 ans, 19 joueurs Séniors et 10 loisirs[14].
Médias
Cultes
Économie
Culture et patrimoine
Héraldique
La commune de Saint-Rambert-en-Bugey porte :
- D'or à la corneille de sable, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys du champ.[15].
Article connexe : Armorial des communes de l'Ain.Personnalités liées à la commune
- Personnalités liées à la commune
Voir la catégorie : Personnalité de Saint-Rambert-en-Bugey.- Charles Béraudier (1920 - 1988), homme politique, député du Rhône et président de la région Rhône-Alpes. Orphelin, il est élevé par ses grands-parents à Saint-Rambert-en-Bugey (Ain). Ami d'enfance de Francisque Collomb.
- l' Abbé Joseph Tournier , historien, inventeur de la Grotte des Hoteaux
- Hippolyte Leymarie (1809 - 1844), peintre et graveur.
- Michel Temporal (1886 - 1944), médecin, capitaine de l'Armée Française, maire et médecin de Saint-Rambert-en-Bugey en 1944, pris en otage et fusillé par les nazis à Saint-Rambert-en-Bugey.
- Roger Vailland (1907 - 1965, s'est inspiré de la vie des ouvriers de Saint-Rambert, pour son roman Beau masque
- Natifs de Saint-Rambert-en-Bugey
Voir la catégorie : Naissance à Saint-Rambert-en-Bugey.- Bernard Chardère (1930 - ), critique de cinéma.
- Francisque Collomb (1920-2009), homme politique, maire de Lyon et sénateur du Rhône.
- Claude Guichard (vers 1545 -1607 ), Historiographe de la Maison de Savoie.
- Claude Mermet (vers 1550 -1620 ), Poète, Notaire.
- Antoine Marie Garin (1810 -1889 ), Missionnaire, pédagogue, un des pères du système éducatif néozélandais.
- Remy Himmer (1849 - 1914), industriel français, fusillé par les troupes allemandes le 23 août 1914 à Leffe (Dinant).
Monuments laïques
- Ruines du château féodal de Cornillon.
Monuments religieux
- Crypte romane Saint-Domitien et église Saint-Antoine, qui daterait des IXe siècle et Xe siècle[16] restes de l'abbaye, classées au titre des monuments historiques.
Patrimoine naturel
La ville est traversée par une belle rivière : l'Albarine.
Gastronomie
- Une spécialité très locale, le ramequin, est un fromage de vache sec qui se déguste fondu. C'est un symbole des traditions d'hospitalité bugiste.
- Les bugnes sont une sorte de beignet associés à la période du Mardi-Gras.
- Les bugistes sont souvent des champignonneurs avertis. Les trompettes de mort, chanterelles et autres bolets font parties intégrante de la gastronomie privée.
- Les truites de l'Albarine.
- Les tartes au sucre ou à la crème.
Patrimoine culturel
- Le musée des traditions bugistes présente la vie des habitants de la vallée de l'Albarine entre 1840 et 1940.
Références
- Nom des habitants des communes françaises, Saint-Rambert-en-Bugey sur le site habitants.fr de la SARL Patagos. Consulté le 13 novembre 2011.
- Climat de Saint-Rambert-en-BugeyTrautsolt Isabelle. Recherches sur les climats du Jura français. In: Annales de Géographie. 1969, t. 78, n°428. pp. 405-434.(Consulté le 07 novembre 2011)
- lire (consulté le 12 août 2011). Site SNCF TER Rhône-Alpes, Informations pratiques sur les gares et arrêts : Halte ferroviaire de St-Rambert-en-Bugey
- Rue de Saint-Rambert-en-Bugey sur www.annuaire-mairie.fr. Consulté le 13 novembre 2011.
- Google livres, Jean-Irénée Depérys: Histoire hagiologique de Belley ou recueil des vies des saints et des bienheureux nés dans ce diocèse, édition Bottier, 1834, p. 11 à 20. )
- Google livres, Hippolyte Leymarie: "Notice historique et descriptive sur la ville et l'abbaye de Saint-Rambert-de-Joux"
- Google livres,Samuel Guichenon: "Histoire de Bresse et de Bugey", 1650
- Google livresAlain Kersuzan. "Défendre la Bresse et le Bugey:les châteaux savoyards dans la guerre contre le Dauphiné, 1282-1355", Presses Universitaires de Lyon, 2005
- Google livres, Marc Perrot: "St-Rambert-en-Bugey et la vallée de l'Albarine sous l'ancien régime: XVIIe siècle-XVIIIe siècle", 1988.
- Noms de lieux de Suisse Romande,Savoie et environs, Henry Suter: "Noms de Lieux de Suisse Romande, Savoie et environs".
- Supplément À L’Encyclopédie Ou Dictionnaire Raisonné Des Sciences, Des Arts Et Des Métiers, Denis Diderot: "Supplément à L'Encyclopédie Ou Dictionnaire Raisonné Des Sciences, des Arts et des Métiers".
- Liste des maires de l'Ain au 16 avril 2008 sur le site internet de la préfecture de l'Ain [PDF]
- Saint-Rambert-en-Bugey sur le site de Cassini
- Albarine Basket Club - Saint-Rambert-en-Bugey - Site officiel de la commune,Albarine Basket Club.
- Armes de Saint-Rambert-en-Bugey, sur newgaso.fr.
- La crypte Saint-Domitien à Saint-Rambert sur le site Le Progrès
Voir aussi
Voir la catégorie : Saint-Rambert-en-Bugey.Articles connexes
Liens externes
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