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Belley
Place des Terreaux, à Belley
Détail
DétailAdministration Pays France Région Rhône-Alpes Département Ain (sous-préfecture) Arrondissement Belley
(chef-lieu)Canton Belley
(chef-lieu)Code commune 01034 Code postal 01300 Maire
Mandat en coursJean-Marc Fognini
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes Belley Bas Bugey Site web http://www.belley.fr Démographie Population 8 750 hab. (2008[1]) Densité 390 hab./km² Gentilé Belleysans / Belleysanes Géographie Coordonnées Altitudes mini. 220 m — maxi. 392 m Superficie 22,42 km2 Belley est une commune française, située dans le département de l’Ain et la région Rhône-Alpes.
Les habitants de Belley s’appellent les Belleysans et les Belleysanes[2].
Capitale historique de la province du Bugey (Pagus Belliceusis), Belley change à plusieurs reprises de royaume au cours des premiers siècles du Moyen Âge. À la fin du Xe siècle, la ville fait partie des territoires du Saint-Empire romain germanique. À partir du XIe siècle, elle est surtout sous la dépendance des comtes de Savoie. Les évêques jouent aussi un rôle politique en tant que seigneurs de Belley…
Sommaire
Géographie
Situation
Localisation
La commune de Belley se situe dans le Bugey, exactement dans le Bas-Bugey, en France, dans le département de l’Ain en région Rhône-Alpes. La commune se situe au sein d’une vallée, la vallée du Rhône, bordée, entre autres, par le Grand Colombier.
Climat
Voies de communication et transports
Voies routières
La commune de Belley est traversée par la route départementale (RD) 1504, anciennement RN504a puis RN504 d’Ambérieu-en-Bugey à Chambéry, ainsi que par la départementale 992, anciennement RN92 de Valence à Genève.
Tous les ménages belleysans ne possèdent pas une voiture. On sait que 19,8 % en sont dépourvus alors que 55 % en possèdent une et 25,2 % des ménages ont en leur possession deux voitures ou plus[3].
Pistes cyclables
La commune de Belley est traversée par une piste appelée la Véloroute du Léman à la mer. Il s’agit d’une piste cyclable dont le trajet permet de relier le lac Léman à la mer Méditerranée. Plus concrètement, la piste longe la plupart du temps le cours du Rhône. Un tel parcours permet également de bénéficier d’une faible déclivité, rendant ainsi la piste plus abordable encore pour le grand public[4].
Transport ferroviaire
Belley est traversée par la ligne SNCF de Pressins à Virieu-le-Grand, aujourd’hui exploitée en trafic fret uniquement sous le régime de la VUTR de Virieu aux silos de Peyrieu. Le trafic voyageurs a été suspendu entre Belley et Saint-André-le-Gaz via Pressins en 1938, et entre Belley et Virieu-le-Grand en 1940, avec une reprise temporaire du trafic durant la guerre.
Aujourd’hui Belley est officiellement desservie par la gare de Virieu-le-Grand-Belley à laquelle elle est reliée par un service régulier d’autobus, ainsi que par la gare de Culoz.
Transports aériens
La commune de Belley partage avec la commune de Peyrieu un aérodrome. Celui-ci fut baptisé Aérodrome de Belley-Peyrieu. Le code OACI de cet aérodrome est LFKY. Cette structure se situe à environ 224 mètres d’altitude et possède une seule piste à usage restreint.
Urbanisme
Morphologie urbaine
Article détaillé : Aire urbaine de Belley.D’une manière globale, il existe l’aire urbaine de Belley. Elle est une aire urbaine française. D’après la définition qu’en donne l’INSEE, l’aire urbaine de Belley est composée de 24 communes, autour de Belley, dans l’Ain. Ses 15 163 habitants font d’elle la 307e aire urbaine de France. Elle ne contient que des pôles urbains : Belley et Brens. L’aire urbaine de Belley est rattachée à l’espace urbain de Rhône et Alpes.
Au niveau de la commune elle-même, Belley est composé d’un bourg principal et de plusieurs hameaux.
Logement
Le nombre total de logements dans la commune est de 3 715[5]. Parmi ces logements, 86,3 % sont des résidences principales, 4,7 % sont des résidences secondaires et 9 % sont des logements vacants. Ces logements sont pour une part de 41,3 % des maisons individuelles, 56,5 % sont des appartements et enfin seulement 2,2 % sont des logements d’un autre type. Le nombre d’habitants propriétaires de leur logement est de 39,5 %[5]. Ce qui est inférieur à la moyenne nationale qui se monte à près de 55,3 %. En conséquence, le nombre de locataires est de 53,2 % sur l'ensemble des logements sont qui inversement est supérieur à la moyenne nationale qui est de 39,8 %[5]. On peut noter également que 7,3 % des habitants de la commune sont des personnes logées gratuitement alors qu'au niveau de l'ensemble de la France le pourcentage n'est que de 4,9 %. Toujours sur l'ensemble des logements de la commune, 4,3 % sont des studios, 13,6 % sont des logements de deux pièces, 23,6 % en ont trois, 29,6 % des logements disposent de quatre pièces, et 28,9 % des logements ont cinq pièces ou plus[5].
Projets d'aménagements
Histoire
Héraldique
Article connexe : Armorial des communes de l'Ain.Blasonnement D'argent à la louve ravissante de sinople[6].Commentaires : On sait très peu de chose sur les armes de la commune. L'écu a pour couronnement une muraille à trois tours et pour soutien des rameaux de Chêne liés en sautoir à la pointe de l'écu[7].Depuis 1985, la ville utilise aussi un logo, notamment présent sur les publicités de ses partenaires économiques, l'Office du tourisme… Ce logo représente deux coups de pinceaux verts et bleus qui sont un rappel évocateur de la nature environnante[8].
Toponymie
Faits historiques
Capitale historique de la province du Bugey (Pagus Belliceusis), Belley change à plusieurs reprises de royaume au cours des premiers siècle du Moyen Âge.
À la fin du Xe siècle, la ville fait partie des territoires du Saint-Empire Romain Germanique.
En fait, à partir du XIe siècle, elle est surtout sous la dépendance des comtes de Savoie. Les évêques jouent aussi un rôle politique en tant que seigneurs de Belley. Anthelme de Chignin, évêque de Belley entre 1163 et 1178, choisi après sa mort comme saint patron de la ville, reconnu prince du Saint Empire Romain par Frédéric Barberousse, s'oppose au comte Humbert III de Savoie.
En 1385, presque toute la ville est détruite par un incendie. Rebâtie peu après, elle est ceinte de murailles de pierre recouvertes de lauzes.
Annexée une première fois entre 1536 et 1559, Belley est définitivement rattachée à la France sous le règne du roi Henri IV, par le traité de Lyon signé le 17 janvier 1601. Désormais, elle dépend de l'Intendance de Bourgogne et devient le siège d'un bailliage royal.
Au XVIIe siècle, lors de la Contre-Réforme catholique, quatre couvents s'installent à Belley. Cette dernière s'étend de plus en plus hors de ses murs. Au XVIIIe siècle, un collège et un nouvel hôpital sont construits.
La Révolution française bouleverse la ville : les biens de l'Église sont confisqués, les clochers de la cathédrale sont démolis. Le tribunal civil remplace la bailliage. Sous Napoléon 1er, Belley devient d'abord chef-lieu de district en 1790 puis sous-préfecture en 1800, et en 1823, elle redevient siège épiscopal.
En 1874, la ville prend un nouveau visage avec l'installation d'une garnison, le 133e régiment d'infanterie de ligne. La fonction militaire reste importante jusqu'en 1948, année après laquelle subsiste quand même un escadron de gendarmerie mobile.
L'industrie, quant à elle, ne devient vraiment marquante qu'au cours de la seconde moitié du XXe siècle. « Le Tanneur » (travail du cuir), « Pingon » (constructions de grues) et « Cefilac », employaient des centaines de personnes pendant les années 1960. Après la crise des années 1970, qui connût la fermeture ou la diminution considérable des emplois dans ces entreprises, un tissu industriel plus diversifié s'est peu à peu mis en place. Par ailleurs, durant le dernier demi-siècle, la ville a beaucoup développé ses infrastructures scolaires et hospitalières dans lesquelles travaillent de nombreux Belleysans.
Politique et administration
Belley est chef-lieu de l'arrondissement de Belley, qui regroupe 9 cantons, 107 communes et 79 656 habitants.
Le Budget Primitif 2007 de la Ville de Belley prévoit un investissement de 6 523 200 € et pour le fonctionnement 10 091 200 €. S'agissant du budget annexe, portant notamment sur la gestion des eaux et de l'assainissement, l'investissement est estimé à environ 2 235 700 € et le fonctionnement à 1 140 100 €. Le budget Annexe, portant en partie sur l'espace Animation, l'investissement sera de 291 000 € et le fonctionnement de 1 113 000 €[9].
Tendances politiques
Depuis 1977, avec la victoire de Charles Millon aux municipales, sous étiquette de l'UDF, la commune fut jusqu'en 2001 considérée comme une ville centriste politiquement. Cependant, le maire ayant marqué, à de multiples reprises, son attachement pour la droite plus que pour la gauche, on peut estimer que Belley fut une commune tournée d'avantage vers une tendance de droite modérée catholique. En mars 2001, Belley connaîtra un nouveau maire, Jean-Claude Travers. Celui-ci est élu en tant que candidat membre de l'UMP. La commune devient clairement un territoire politiquement à droite. En 2008, Belley vote pour aux élections municipales pour Jean-Marc Fonigni, dont l'étiquette politique est Divers gauche, mais dont la liste concurrente de celle endossée par le parti socialiste associe de nombreux membres de syndicats de gauche et d'extrême gauche.
Administration municipale
Le conseil municipal de la commune est composé de 29 conseillers municipaux. L'exécutif est constitué du maire, Jean-Marc Fognini, et de huit adjoints ayant chacun une charge définie[10]. Le 1er Adjoint est chargé de l'administration générale, sécurité, gestion du personnel municipal. On trouve ensuite un adjoint chargé du développement durable, finances, programmation, un autre de la vie économique, commerce, artisanat, industrie, services, tourisme. Il y a un adjoint chargé de l'urbanisme, travaux, transports, un chargée du social, handicap, logement, vie des quartiers, également adjoint chargé des affaires scolaires, jeunesse. Il y a aussi un chargé des sports, loisirs, et enfin un adjoint chargé de la culture, animation et patrimoine[11]. La municipalité a également mis en place le Conseil Municipal Jeunes. Celui-ci est composé de sept lycéens issus de plusieurs lycées que sont le Lycée Lamartine et le Lycée du Bugey[12].
Liste des maires
Liste des maires successifs[13] Période Identité Étiquette Qualité octobre 1944 octobre 1947 Jean Albertini SFIO Avocat, conseiller général octobre 1947 mars 1971 Paul Chastel mars 1971 mars 1977 Charles Vulliod Divers gauche mars 1977 mars 2001 Charles Millon UDF Avocat, député puis ministre de la Défense mars 2001 mars 2008 Jean-Claude Travers RPR puis UMP médecin mars 2008 en cours Jean-Marc Fognini[14] DVG Directeur de l'office de tourisme d'Aix-les-Bains Toutes les données ne sont pas encore connues. Instances judiciaires et administratives
Belley est une sous-préfecture de la préfecture de l'Ain. La commune dispose d'une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de l'Ain. Elle bénéficie également de la présence d'un escadron de gendarmerie mobile, le EGM 15/5, qui fait partie du Groupement I/5 de Gendarmerie mobile. La commune possède un bureau de poste.
Politique environnementale
Jumelage
La ville de Belley n'a pour l'instant pas de projet de jumelage.
Population et société
Démographie
Voici ci-dessous, un tableau démographique du XXe siècle sur la ville de Belley classé par date de recensement.Évolution de la pyramide des âges de la ville de Belley, comparaison entre l'année 1999 et 1982[18] :
Enseignement
Belley possède de nombreux établissements éducatifs que sont :
- L'Ensemble Scolaire Lamartine
- Le Lycée du Bugey
- Le Lycée professionnel du Bugey
Manifestations culturelles et festivités
- Entretiens de Belley : Journée organisée en hommage à Anthelme Brillat-Savarin et qui met à l'honneur les produits du terroir, le goût et la gastronomie avec chaque année un thème différent. Organisés chaque 2e vendredi d'octobre, ces entretiens connaissent un vif succès
Santé
Au sein du bourg principal de la commune, les habitants peuvent bénéficier de soins au Centre Hospitalier Docteur Récamier. Ce centre dispose d'une unité centrale d'accueil des urgences et d'un S.M.U.R… La capacité d'accueil de l'établissement est de 414 lits et places. L'activité médicale est composée en six grands pôles de soins que sont[19] :
- Le pôle chirurgie–anesthésie–bloc opératoire
- Le pôle médecine
- Le pôle urgences / SMUR / Unité de surveillance continue
- Le pôle mère-enfant
- Le pôle SSR/ EHPAD/ Hôpital de Jour Gériatrique
- Le pôle médico technique
Sports
La commune fut l'une des villes étapes de la 3e étape du Tour de l'Ain 2007, le 14 août. Il s'agit d'une épreuve cycliste parcourant le département de l'Ain. L'année suivante, lors du Tour de l'Ain 2008, Belley eut l'honneur d'être la ville d'arrivée.
Médias
En matière de radiophonie, les habitants de Belley peuvent, entre autres, écouter comme radios locales Radio Isa sur la bande 96.4 FM ainsi que Hot Radio sur 98.1 FM ou RCF Pays de l'Ain sur 92.8 FM ou encore ODS RADIO sur 88.2.
Personnalités liées à la commune
Articles détaillés : Liste des évêques de Belley-Ars et Liste des évêques de Belley.- saint Anthelme de Belley (°1107 - †1178), saint catholique patron de la ville.
- Jean Luc Anthelme Mollet (° 1752 - † 1834) - Homme politique.
- Claude d'Allemagne alias Dallemagne (° 1754 - † 1813) - Général de division, baron de l'Empire, il fut également vice-président du Corps Législatif, commandeur de l’ordre impérial de la Légion d’Honneur, commandeur de l’ordre de la Couronne de Fer, chevalier de Saint Louis.
- Jean Anthelme Brillat-Savarin (° 1755 - † 1826) - Homme politique et grand gastronome français.
- Joseph Bouvier des Éclaz (° 1757 - † 1830) - Général de brigade, baron de l'empire, commandeur de l’ordre impérial de la Légion d’Honneur, chevalier de l’ordre de la Couronne de Fer, chevalier de Saint Louis.
- Anthelme Ferrand (° 1758 - † 1834) - Il fut député de l'Ain à la Convention nationale et au Conseil des Cinq-Cents.
- Benoît Prosper Sibuet (° 1773 - † 1813) - Il fut général de brigade du 1er Empire, tué à Loewenberg dans le torrent de la Bober par des balles russes. Son nom apparaît sur la 30e colonne de l'Arc de triomphe de l'Étoile à Paris.
- Joseph Récamier (° 1774 - † 1852) - Médecin français renommé.
- Anthelme Richerand (° 1779 - † 1840) - Plus connu sous le titre de baron Richerand, il fut un chirurgien français.
- Charles Millon (° 1945) - Homme politique français, il fut le maire de Belley, de 1977 à 2001, puis député de l'Ain ainsi que ministre représentant de la France aux Nations Unies.
- Cédric Burdet (° 1974) - Joueur de handball, fréquemment sélectionné en équipe de France.
- Sandrine Bailly (° 1979) - Biathlète française.
- Didier Ollé-Nicolle (° 1961) - Entraîneur de football français.
- Alexis Jenni (° 1963) - , Prix Goncourt de Littérature 2011, a passé son enfance à Belley[20].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2004, les revenus moyens par ménages belleysans est d'environ 15 107 €/an contre 15 027 €/an au niveau de la moyenne nationale[21].
Emploi
La population active totale de Belley s'élève à 3 509 personnes[22]. Le taux d'activité entre 20 et 59 ans est de 84 %, ce qui place la commune dans la moyenne nationale qui est de 82,2 %. On dénombre 412 chômeurs, ce qui en 1999 donna un taux de chômage de 11,7 %. Cependant en 2005, ce même taux diminue, de façon notoire, pour atteindre les 7,8 %. En tout et pour tout, la population comprend 43,9 % d'actifs, 20,7 % de retraités, 22,9 % de jeunes scolarisées et 12,5 % de personnes sans activités[22].
Répartition des emplois par domaine d'activité
Agriculteurs Artisans, commerçants, chefs d'entreprise Cadres, professions intellectuelles Professions intermédiaires Employés Ouvriers Belley 0,8 % 6,3 % 8,8 % 18,9 % 31 % 34,1 % Moyenne Nationale 2,4 % 6,4 % 12,1 % 22,1 % 29,9 % 27,1 % Sources des données : INSEE[22] Entreprises de l’agglomération
En 2004, le nombre totale de création d’entreprise à Belley fut de 52.
- Cette ville est célèbre pour son fromage : la tome de Belley, appelée également Chevret.
- La première entreprise privée de la commune en termes d’emplois est « Volvo Compact Equipment », développement d'engins de chantier (Tracto-pelle et mini-pelles) et une unité de production de mini-pelles du groupe suédois Volvo.
- La distillerie « Kario » organise des visites commentées de ses caves avec leurs vieux foudres en bois de chêne dans lesquelles vieillissent liqueurs et marcs, et de la salle des alambics.
Commerce
Le centre-ville de la commune comprend de nombreux petits commerces de proximités.
Culture et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Monuments laïques
- Le petit séminaire est classé monument historique depuis 1840[23].
Plusieurs monuments de la commune sont inscrits au titre des monuments historiques :
- L’hôtel des ducs de Savoie depuis le 21 octobre 1926[24]
- L’hôtel Brillat-Savarin depuis le 15 novembre 1926[25]
- L’hôtel de province du Bugey depuis le 13 avril 1944[26]
- L’hôtel de ville depuis 13 avril 1944[27]
- La maison May depuis le 22 octobre 1971[28]
- La maison du Vachat ou maison du gouverneur depuis le 8 août 1973[29]
- Le lycée Lamartine depuis le 22 décembre 1981[30]
Monuments religieux
La cathédrale Saint-Jean Baptiste (depuis le 30 octobre 1906[31]), le palais épiscopal, attribué à Soufflot (depuis le 16 février 1932[32]) et la place devant la cathédrale (depuis le 18 décembre 1944[33]) font tous trois l’objet d’un classement au titre des monuments historiques.
Patrimoine naturel
Belley est une ville fleurie avec une fleur attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[34].
La forêt de Rothonne est un espace boisé comprenant un arboretum et trois sentiers de randonnée.
Gastronomie
Voir la catégorie : gastronomie du Bugey.La commune abrite principalement deux restaurants. La cuisine locale des Belleysans est fortement rattachée aux produits locaux. Belley, et plus généralement le Bugey, compte de nombreuses exploitations viticoles. Enfin, Belley est la cité de Jean Anthelme Brillat-Savarin, homme politique et grand gastronome français.
Patrimoine culturel
- Bibliothèque
- Le cinéma l’Arlequin
Notes et références
- Populations légales 2008 de la commune : Belley sur le site de l'Insee
- Gentilé, sur habitants.fr
- Automobile à belley Site de Linternaute -
- Véloroute du Léman à la mer Site officiel de la Communauté de communes Belley Bas-Bugey -
- Logement à Belley Données INSEE compulsées par Linternaute -
- Armes de Belley, sur newgaso.fr
- Informations héraldiques Site officiel de la commune de Belley -
- Logo de la commune Site officiel de la commune de belley -
- Budget Primitif 2007 de la Ville de Belley
- Listes des conseillers Site officiel de la mairie de Belley -
- Exécutif du Conseil municipal Site officiel de la mairie de Belley -
- Conseil Municipal Jeunes Site officiel de la commune de Belley -
- Dictionnaire des hommes et des femmes politiques de l'Ain 1789-2011, Dominique Saint-Pierre, Musnier-Gilbert Éditions, 2011.
- Liste des maires de l'Ain au 16 avril 2008 sur le site internet de la préfecture de l'Ain [PDF]
- Belley sur le site de l'Insee
- Population municipale 2008 sur le site de l'Insee.
- Belley sur le site de Cassini
- Population totale par sexe et âge Recensement de l'INSEE en 1999 -
- Centre Hospitalier Docteur Récamier Communiqué de la mairie de Belley -
- Littérature : Alexis Jenni, Belleysan, et peut-être lauréat du prochain Prix Goncourt sur www.leprogres.fr, Le Progrès, 31 octobre 2011. Consulté le 9 novembre 2011.
- Chiffres clés Données INSEE compulsées par Linternaute -
- linternaute Données démographiques d'après l'INSEE compulsées par
- Le petit séminaire, sur la base Mérimée, ministère de la Culture.
- Hôtel des Ducs de Savoie, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Hôtel Brillat-Savarin, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Hôtel de la province du Bugey, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Hôtel de Ville, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- La maison May, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- La maison du Vachat, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Le lycée Lamartine, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- La cathédrale Saint-Jean Baptiste, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Le palais épiscopal, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- La place devant la cathédrale, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- concours des villes et des villages fleuris et le Conseil National des Villes et Villages Fleuris Le
Voir aussi
Voir la catégorie : Belley.Bibliographie
- Collectif, Richesses touristiques et archéologiques de la ville de Belley, éd. Département de l’Ain, 2007, (ISBN 2-90765-638-4)
- Collectif, Histoire des diocèses de France : Belley, éd. Beauchesne, Coll. Histoire des diocèses France, 1997, (ISBN 2-70100-173-0)
- Collectif, Aménagement de la chute de Belley, éd. Compagnie nationale du Rhône, 1980, (ASIN B000XIKK3G)
- Sigal Jacques, Contribution à l’étude du faisceau occidental du Jura bugeysan feuille de belley au 50. 000e, éd. Librairie polytechnique Ch.Béranger, Paris, 1962, (ASIN B0000DPYLY)
- Abbé Ch.Dementhon, La cathédrale de Belley, Ain, éd. P. et Beauchesne et Lardanchet, 1916, (ASIN B0000DQOEV)
Articles connexes
Liens externes
Catégories :- Belley
- Commune de l'Ain
- Sous-préfecture française
- Ancien chef-lieu de district
- Villes et villages fleuris de l'Ain
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