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Gourdon (Lot)
Pour les articles homonymes, voir Gourdon.Gourdon Administration Pays France Région Midi-Pyrénées Département Lot
(sous-préfecture)Arrondissement Arrondissement de Gourdon
(chef-lieu)Canton Gourdon Code Insee abr. 46127 Code postal 46300 Maire
Mandat en coursMarie-Odile Delcamp
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes Quercy-Bouriane Site internet site officiel Démographie Population 4 669 hab. (2006) Densité 103 hab./km² Gentilé Gourdonnais, Gourdonnaises Géographie Coordonnées Altitudes mini. 130 m — maxi. 323 m Superficie 45,52 km² Gourdon en Quercy (en occitan : Gordon [ɡuɾ'du]) est une commune française, située dans le Nord-Ouest du département du Lot et la région Midi-Pyrénées.
L'actuelle bourgade de Gourdon est construite sur une remarquable colline acropole qui domine le pays environnant, la Bouriane, à plus de vingt kilomètres à la ronde. Elle a porté le donjon ou dominium d'une des plus puissantes familles féodales du Haut-Quercy, les Fortaniers de Gourdon.
Géographie
Entre le causse de Gramat et le Périgord, dans une région sablonneuse qui s'appelle la Bouriane, Gourdon est à 45 km de Cahors, 25 km de Sarlat et 75 km de Brive-la-Gaillarde. Traversée par le Céou, c'est ici que naît la Marcillande. La commune est aussi limitée au Sud-Est par le Bléou.
Elle est également accessible par l'autoroute A20 et par la SNCF Gare de Gourdon.
La ville est située sur une butte de 286 m dominant les alentours.
Héraldique
Le blasonnement en est : « De gueules, à cinq gourdes d'or posées en sautoir. »[1]
Histoire
Archives
Grâce à la permanence de l'administration civile dans le même bâtiment de la place Saint-Pierre depuis le XIIIe siècle, les administrateurs de Gourdon ont pu conserver dans l'Hôtel de Ville un fonds exceptionnel d'archives municipales (en occitan, latin et ancien français) qui racontent l'histoire de leur cité depuis 1249.
Préhistoire
La région de Gourdon était déjà occupée par les hommes lors des temps froids du paléolithique supérieur (25 000 ans avant le présent). Des dessins d'animaux sont visibles aux grottes de Cougnac.
Article détaillé : Grottes de Cougnac.Moyen-Âge
Le site de Gourdon devint au Moyen Âge un castrum, bâti sur un éperon, avec château fort et remparts circulaires.
Les seigneurs de Gourdon sont mentionnés pour la première fois au IXe siècle dans une chartre de 839. Un certain Odolric, d’origine wisigothe, en aurait été le seigneur et serait à l'origine de la puissante famille de Gourdon[1].
Géraud III de Gourdon fut seigneur de Gourdon vers le Xe siècle. Un membres de cette famille, Bertrand de Gourdon, aurait tué Richard Cœur de Lion lors du siège de Châlus.
Article détaillé : Mort de Richard Cœur de Lion à Châlus.En 1243[réf. nécessaire], ses habitants s'émancipent en partie de la tutelle seigneuriale par l'octroi d'une charte de coutume. En 1244 la ville reçut une charte de coutumes et fut gouvernée par quatre consuls, confirmée par l'évêque de Cahors et le sénéchal du Quercy. [1].
En 1316, Jean d'Armagnac, comte de Rodez, devint le seigneur de la ville.[réf. nécessaire]
Gourdon s'est illustrée durant la guerre de Cent Ans en étant un important centre de résistance aux Anglais. La ville fut occupée par les anglais. Elle avait alors un château protégé d'épaisses murailles. Sous le règne de Charles VII, ce château fut démoli par les anglais au moment de leur départ[1].
Au sortir des temps féodaux, les seigneurs de Gourdon, même s'ils contrôlent les passages du Lot en amont de Cahors, sont tenus en respect par les évêques de Cahors qui contrôlent la navigation fluviale sur le Lot. Les seigneurs de Turenne dominent la vallée de la Dordogne et les maisons de Saint-Sulpice et de Cardaillac s'accaparent l'Ouest du Quercy.
Fortanier de Gourdon fonde également un relais à mi-distance entre leur domaine de Gourdon et les châteaux de Cénevières et Montbrun : la bastide fortanière ou bastida fortanieta de Gordonio qui devient aussitôt un abri pour les pélèrins de Rocamadour.
Lors des Guerres de religion, en 1562, la ville est prise par les calvinistes[1].
La seigneurie de Gourdon échoit au XIVe siècle aux Cardaillac, puis à Jean d'Armagnac. La ville bourgeoise de Gourdon, prospère et bien administrée par ses consuls, ressent une antipathie croissante contre les seigneurs appauvris de Gourdon, qui s'attachent à quelques privilèges humiliant ou parfois d'exorbitantes brimades. Lou consoulat est fidèle à la lignée des rois de France, en particulier Louis XI et Charles VII, qui les protègent face à de plus en plus improbables retours en force seigneuriaux.
En mai 1619, Pons de Lauzières-Thémines, maréchal de France et seigneur de Gourdon, prend parti pour Marie de Médicis contre jeune roi Louis XIII. Aussitôt, montrant une fidélité, à la fois exemplaire et intéressée au roi, sous la direction du duc de Mayenne, les habitants assiègent le château, le rasent et instaurent l'hégémonie définitive des consuls de la ville.
Elle connut son apogée au XVIe siècle grâce à la prospérité des tisserands et des drapiers. Sa population atteignait déjà les 5000 habitants.
Le constant déclin du Haut-Quercy depuis les Temps modernes ne permet d'apercevoir facilement le rayonnement et la vigueur de l'économie gourdonnaise médiévale ou de la Renaissance.
Époque contemporaine
En juin 1944, la commune est victime de la répression du régiment SS « Der Führer » de la division Das Reich, en route vers la Normandie[2].
En 1948 la ville de Gourdon reçut la Croix de Guerre qui honora son héroïsme et son martyre durant la Résistance.
Administration
Liste des administrateurs successifs Période Identité Parti Qualité 1989 1995 François Rey 1995 2008 Arlette Feixa UMP Médecin-anesthésiste 2008 Marie-Odile Delcamp PS Conseillère régionale Elle est l'une des deux sous-préfectures du Lot et accueille un tribunal d'instance ainsi qu'un centre hospitalier.
Démographie
Au début du XXe siècle, Gourdon comptait 4260 habitants[3].
Économie
L'agriculture et agroalimentaire (foie gras) sont les principaux acteurs de l'économie de la commune avec le tourisme
Lieux et monuments
Église Saint-Pierre
L'église Saint-Pierre[6] a été construite de 1304 à 1510 sur la base d'une ancienne église romane ruinée à la fin du XIIIe siècle, elle domine la butte et la ville de Gourdon. Ses caractères dépouillés la rattachent à l'école gothique languedocienne. Sa nef et sa tour sud furent achevées par l'architecte médiéval Jean Deschamps. Longueur de la nef : 41 m, largeur : 11,60 m, hauteur de la voûte : 21 m, hauteur des tours : 35 m.
Gravement dégradée le 4 septembre 1562 lors de l'invasion des troupes protestantes du capitaine Duras, l'église Saint-Pierre fut restaurée à partir de 1608. En 1987 l'église Saint-Pierre a retrouvé ses orgues aménagées en 1887 par les frères Stolz dans un beau buffet baroque en chêne [7]
Elle présente de nos jours une décoration intérieure florissante laissée par l'époque baroque puis par la Restauration :
- Grands panneaux de bois doré polychrome réalisés par les Sculpteurs Tournié (1669), consacrés à la vie de Jésus-Christ et de la Vierge Marie.
- Antependium (école des Sculpteurs Tournié, fin XVIIe siècle) représentant le sacerdoce de Melchisédek.
- Chemin de Croix en ronde-bosse de style classique.
- Autel du Saint-Sacrement décoré par le peintre Barbieri (1833) et restauré en 2005-2006.
- Chaire à prêcher d'époque Restauration.
Chapelle Notre-Dame du Majou
Située à l'emplacement supposé d'un oratoire ruiné en 1562, elle avait été édifiée dans la seconde moitié du 17e s. après le démantèlement des défenses de la porte. Clocheton néo-gothique du 19e s. Le mobilier est attribué à l'atelier des Tournié: devant l'autel en bois doré, représentant la Naissance de la Vierge; panneaux sculptés aux effigies de sainte Anne et saint Luc.
Porte et Rue du Majou
Ancienne "carriera" principale, jadis animée par les étals des drapiers, qui exportaient jusqu'en Angleterre les draps de chanvre et de lin. C'est bien souvent dans leur corporation que recrutaient les consuls. Les maisons, bien que souvent dénaturées, conservent leur structure caractéristique: rez de chaussé commercial, largement ouvert sur l'extérieur par de grandes arcades en arc brisé, étage réservé aux pièces d'habitation.
N°6: maison 19e siècle, de tradition classique, couronnée d'un étage de "mirandes" (comble ajouré de petites fenêtres, fréquent dans les villes du Midi.).
Église Notre-Dame des Cordeliers
L'église conventuelle Notre-Dame des Cordeliers (Monument historique[8]) fut édifiée entre 1251 et 1287 par les Franciscains, avec l'appui des jeunes seigneurs de Gourdon Gisbert de Thémines et Hélène de Salviac.
Elle présente un exemple admirable de l'harmonie monastique inspirée par l'esprit gothique. La première travée de la nef s'orne d'un important baptistère monolithique en grès, du XVe siècle, classé Monument historique, provenant d'une autre église, figurant le Christ en majesté entouré des douze Apôtres. desaffectee elle sert de salle d exposition et de concert
Chapelle Notre-Dame des Neiges
La Chapelle Notre-Dame des Neiges (Monument historique[9]) : construite dès le XIIe siècle, la chapelle Notre-Dame des Neiges est un lieu de pèlerinage si important en Bouriane qu'elle est reconstruite et agrandie en 1646 par le chapitre du Vigan[10].Elle s'orne d'un admirable retable baroque réalisé en 1690 par les Sculpteurs Tournié de Gourdon.
Église Saint-Siméon-le-Stylite
L'église Saint-Siméon-le-Stylite, ou Saint-Siméon-de-la-Capelle : ancien oratoire de l'hôpital du faubourg de la Capelle est un édifice entièrement reconstruit au début du XXe siècle (vaisseau néo-roman, façade classique) mais elle conserve un beau campanile du XVIIe siècle.
Depuis la Terreur, l'église Saint-Siméon abrite l'admirable chaire à prêcher de l'église Notre-Dame des Cordeliers : cette chaire en noyer du XVIIe siècle classée Monument historique est l'œuvre des sculpteurs gourdonnais Tournié. Posée sur l'épaule d'Hercule agenouillé, elle figure les principaux mystères de la vie de saint François d'Assise.
Maison Cavaignac
Dans cette maison[11] est né Jean-Baptiste de Cavaignac. Sa porte de style Renaissance ainsi que sa curieuse charpente courbe sont classées.
Hôtel de Ville
Bâtiment : Ancienne maison consulaire. Le bâtiment médiéval a quasiment disparu sous le remaniement de 1627 : adjonction de la tour (prison) et des couverts (piliers modifiés début XXe siècle). Porte à armoiries martelées à la Révolution. Salle médiévale (12-13e s.) récemment remise à jour dans la maison jouxtante.
Place: Ancienne place St Pierre, ou se tenaient 4 grandes foires annuelles qui étaient "criées" jusqu'à Sarlat, Limoges et Montauban. Aujourd'hui, siège d'un authentique marché fermier, le samedi matin en saison.
Maison du Sénéchal
Maison du Sénéchal est un remarquable bâtiment élevé à la Renaissance sur un rez-de-chaussée du XIIIe siècle, et attribué dès le XVIe siècle au sénéchal de Gourdon qui y avait son logis et son office. Ancienne maison de chanoine, la Maison du Sénéchal abrite un oratoire décoré de fresques religieuses (début XVIe siècle) : Naissance d'Ève, Annonciation, Visitation. Son grand salon possède une cheminée sculptée (1668) ainsi qu'un plafond entièrement peint de paysages et d'animaux fabuleux à la mode italienne (XVIe siècle).
Hôtel de la sous-préfecture et Tribunal d'instance
Ce bâtiment néo-classique à fronton triangulaire a été édifié en 1905 sur le tour de ville (Boulevard Aristide-Briand). Il remplace l'ancien tribunal installé sous l'Empire au même endroit, dans l'ancienne maison des Ursulines qui brûla accidentellement au début du XXe siècle.
Hôpital Jean-Coulon
L'hôpital Jean-Coulon : édifié en 1937 grâce au financement de Jean Coulon, à l'époque maire de Gourdon, l'hôpital ouvre ses services dans le quartier historique des hospitaliers du Moyen Âge, en sortie sud de la ville. Le sobre bâtiment originel a pu être agrandi par l'arrière, tout en conservant son imposante façade à avant-corps et sa cour d'honneur.
Grottes de Cougnac
Tout près de la ville mais sur le territoire de la commune de Payrignac, au bord de la route de Sarlat, les grottes de Cougnac, riches en concrétions, sont ouvertes au public. L'une est ornée de peintures préhistoriques d'époque magdalénienne.
Personnalités liées à la commune
- Bertrand Ier de Gourdon-Saint-Cirq dit Bertrand de Gourdon (XIIe siècle-XIIIe siècle), seigneur de Gourdon, poète occitan, troubadour et champion de tenson (joute poétique).
- Géraud III de Gourdon
- Famille Cavaignac
- Pierre Auriol (1280-1322)
- Guillaume Farinier (? - 1361), ministre général des franciscains.
- Pons de Lauzières-Thémines (1553-1627), dernier seigneur de Gourdon, maréchal de France, vice-roi du Canada.
- Sculpteurs Tournié (XVIIe - XVIIIe siècles), artisans et artistes gourdonnais représentants de la sculpture baroque occitane.
- Jean-Baptiste Cavaignac (1762-1829), constitutionnel.
- Gustave Larroumet (1852-1903), professeur de littérature à la Sorbonne, secrétaire perpétuel de l'Académie des Beaux-Arts.
- Augustin Cabanès (1862-1928), médecin et historien, membre de l'Académie de Médecine.
- Olympe Dupas (1876-1932), musicien et pédagogue, directeur des sociétés musicales de Gourdon (1900 - 1927), fondateur du kiosque à musique de Gourdon.
- Georges-Émile Lebacq (1876-1950), peintre belge impressionniste et post-impressionniste vécut à Gourdon puis à Cougnac avant et pendant la seconde guerre mondiale.
- Léo Ferré y vécut à proximité, à Saint-Clair, au château de Pechrigal ; le lycée de Gourdon porte son nom.
- Jean-Pierre Dannaud, (mort en 1995), membre du Conseil d'État, maire de Gourdon de 1971 à 1977.
- Jean-Paul Planchou homme politique
- Famille Ricard de Genouillac
- Jean Milhau
- Maurice David-Darnac
- Jules Lafforgue
Vie locale
Service public
Gourdon possède une sous-préfecture, un tribunal d'instance, un Centre hospitalier un service départemental d'incendie et de secours, une gendarmerie, une cité scolaire (collège et lycée) Léo-Ferré, une école élémentaire Daniel-Roques, une école primaire de l'Hivernerie, deux écoles maternelles, une crèche parentale, une poste, un centre des impôts, une maison de retraite, un office de tourisme intercommunal, une bibliothèque intercommunale, une école de musique municipale, une Maison des jeunes et de la culture.
Gourdon est le siège de la Communauté de Communes Quercy-Bouriane.
Enseignement
Gourdon possède plusieurs établissements scolaires, recouvrant la totalité du système éducatif français:
- Quatre établissements de l'enseignement primaire,
- deux écoles maternelles: École Frescaty (petite, moyenne et grande sections) et École Hivernerie (petite, moyenne et grande sections).
- deux écoles élémentaires: École Hivernerie (CP et CE1) et École Daniel Roques (CE2, CM1 et CM2).
- Un établissement (lycée/collège mixte) de l'enseignement secondaire,
- Collège Léo Ferré (Sixième, Cinquième, Quatrième et Troisième + Classes SEGPA).
- Lycée Général et Professionnel Léo Ferré (Seconde Générale, Première (ES, L, S) et Terminale (ES, L, S), Section des Métiers de la Mode (MDM), Section Artisanat et Métiers d'Art (AMA), Section Comptabilité et Secrétariat, Section Bac Pro Commerce).
Sports
Le Gourdon XV club de rugby à XV qui évolue dans le Championnat de France de 2e division fédérale.
Gourdon possède plusieurs infrastructures sportives, notamment un bassin. Le stade Louis Delpech accueille toutes les rencontres du club de rugby, tandis que le stade du Marché Vieux hérite du football. Récemment, un complexe sportif a été construit et comprend: un stade de rugby et un stade polyvalent avec terrain de football, piste d'athlétisme, un centre équestre.
Culture
- Le Cinéma municipal L'Atalante possède deux salles. En collaboration avec les établissements scolaires de Gourdon, le cinéma permet aux jeunes Gourdonnais de s'initier au grand écran: une option lycéenne spécialisée a d'ailleurs été créée.
- Bibliothèque intercommunale.
- Ecole de musique municipale.
- Maison des jeunes et de la culture.
- Cyber-base sur l'avenue Gambetta.
Jumelage
Ibbenbüren (Allemagne) depuis 2001[12]
Références
- ↑ a , b , c , d et e Victor Adolphe Malte-Brun et Auguste-Henri Dufour, La France illustrée : Lot : Géographie - Histoire - Statistique - Administration, G. Barba, puis Les éditions du Bastion, 1882 (réimpr. 1885, 1980), 58 p., p. 36-37
- ↑ Stéphane Simonnet, Atlas de la Libération de la France, éd. Autrement, Paris, 1994, réimp. 2004 (ISBN 2-7467-0495-1), p 43
- ↑ Le Lot chapitre Chemins de fer p.191 - Armand Viré - Réédition de l'ouvrage de 1907 - ISBN 274550049X
- ↑ http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- ↑ Patrimoine-de-france.org, église Saint-Pierre à Gourdon — Classement monument historique le 24 février 1906
- ↑ Site Les Orgues de l'église Saint-Pierre de Gourdon en Quercy
- ↑ Église Notre-Dame des Cordeliers : classement monument historique 1929/10/03 [1]
- ↑ Notre-Dame des Neige, classement 1973/10/04 : Portail principal avec ses vantaux [2]
- ↑ Site Le pélerinage de Notre-Dame des Neiges en Quercy
- ↑ Maison Cavaignac : classement monument historique : Façade par arrêté du 16 mai 1929 ; Porte par décret du 4 mars 1932 [3]
- ↑ Jumelage : Site de la ville de ibbenbueren
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
- Site interactif gratuit de la région de Bouriane, Gourdon
- Site officiel
- Gourdon sur le site de l'Institut géographique national
- Gourdon sur le site du Quid
- Localisation de Gourdon sur une carte de France et communes limitrophes
- Plan de Gourdon sur Mapquest
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