Vierge Marie

Vierge Marie

Marie (mère de Jésus)

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Giotto, Vierge à l'enfant (v. 1320)

Marie, en grec Μαριαμ, Mariam, de l’hébreu Myriam מרים, fille juive de Judée est la mère de Jésus de Nazareth. Les Églises catholique et orthodoxe accordent une place spéciale à Marie, qu'elles appellent Vierge Marie et qui est l'objet d'un culte particulier.

De nombreuses interprétations sur l'étymologie de ce nom ont été données, mais à ce jour aucune ne s'est imposée. La racine égyptienne m.r.y (= aimer) semble pourtant crédible.

Une autre très courante également est : « noble, élevée ». En revanche, il convient de tenir pour purement poétique l'explication par l'hébreu mar yam (« goutte de la mer »), latinisé en stilla maris, lui-même devenu Stella maris (« Étoile de la mer »). Il apparaît quelquefois l'explication par la racine hébraïque marah, « amère », « rebelle » ou « chagrine ». On a aussi vu un lien avec le mot ra'ah, « voir », d'où « prophétesse » ou 'wr, « éveiller » ou encore avec mara, « maîtresse ».

Sommaire

Marie dans le Nouveau Testament

Les Évangiles de Matthieu et Luc rapportent l’Annonciation, c’est-à-dire l’annonce par l’ange Gabriel à Marie puis à Joseph à qui elle était fiancée, de la conception virginale de Jésus, le récit de Luc donnant plus de place à Marie, alors que c’est l’inverse dans celui de Matthieu[1].

Les textes évoquent ensuite la Présentation au Temple pour accomplir le rite de rachat du premier-né. Syméon prophétise qu'elle connaîtra la douleur (Lc 2, 21-35). Plus tard se produira l’épisode de la disparition de Jésus à l’âge de douze ans (Lc 2, 41-51), lors de la montée annuelle au Temple de Jérusalem : alors que ses parents repartaient pour Nazareth, l'enfant était resté dans le Temple pour discuter avec les docteurs de la loi.

Marie apparaîtra à nouveau quand Jésus assistera aux Noces de Cana (Jn 2, 1-11), puis une fois où elle était à sa recherche alors qu’il enseignait (Mc 3, 31-35), enfin au moment de la crucifixion. Son fils la confiera avant de mourir à son disciple préféré Jean.

« Jésus, voyant sa mère, et auprès d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : Femme, voilà ton fils. Puis il dit au disciple : Voilà ta mère. Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui. »

— Jn 19, 25-26

Elle se trouvera parmi les disciples lors de la Pentecôte (Ac 1, 14).

Les traditions postérieures au Nouveau Testament concernent la suite de sa vie ainsi que sa mort à Éphèse.

La question de la virginité perpétuelle de Marie

Fra Angelico, L'Annonciation (1433-1434)

La Conception virginale (le fait que Jésus Christ ait été conçu et soit né alors que Marie était vierge) est acceptée par tous les chrétiens puisqu'elle est rapportée par les Évangiles ; il n'en est pas de même de la Virginité perpétuelle de Marie (le fait que Marie soit restée vierge toute sa vie) qui est acceptée par les théologies catholique et orthodoxe mais refusée par les théologies protestantes. Cette croyance est ancienne, comme l’atteste le Protévangile de Jacques, un texte non canonique du IIe siècle où il est indiqué que Marie, fille d'Anne et de Joachim, aurait été « consacrée au Seigneur » (c'est-à-dire resterait vierge) par un vœu de sa mère, puis aurait été confiée à Joseph avant la conception de Jésus [2]

Les protestants refusent cette croyance en la virginité perpétuelle de Marie en se fondant sur les passages du Nouveau Testament mentionnant des frères et des sœurs de Jésus. Quatre sont mentionnés en Mt 13, 55 et Mc 6, 3 :

« N'est-ce pas le fils du charpentier ? n'est-ce pas Marie qui est sa mère ? Jacques, Joseph, Simon et Jude, ne sont-ils pas ses frères ? » (Mt 13, 55). « N'est-ce pas le charpentier, le fils de Marie, le frère de Jacques, de Joses, de Jude et de Simon ? et ses soeurs ne sont-elles pas ici parmi nous ? Et il était pour eux une occasion de chute. » (Mc 6,3)

Dans l'Évangile de Matthieu, le chapitre douze, mentionne que la mère de Jésus et ses frères se trouvent dehors. Ils désirent voir Jésus qui se trouve à l'intérieur d'une maison. "Quelqu'un lui dit: Voici, ta mère et tes frères sont dehors, et ils cherchent à te parler." (Mat 12:47)

Il s’agirait, selon la tradition orthodoxe, suivant en cela le Protévangile de Jacques, de demi-frères, fils d'un premier mariage de Joseph qui étant veuf aurait épousé Marie en tant que vierge consacrée au Seigneur ou, selon la tradition catholique, de cousins, le mot « frères » étant pris dans ce cas au sens large, « Les langues sémitiques ne possèdent pas de terme pour rendre le mot « cousin » ; dans les sociétés anciennes, où tous vivaient ensemble, les cousins étaient assimilés à des frères. »[1] et les rédacteurs du Nouveau Testament se seraient conformés à la manière de parler orientale. Deux d'entre eux sont, en effet, signalés comme fils d'une « Marie, mère de Jacques le mineur et de Joses » en Mc 15, 40, identifiée à Marie, femme de Clopas d'après Jn 19, 25, le troisième Jude se dit frère de Jacques et non de Jésus (Ju 1), et le quatrième Simon est clairement désigné comme un cousin germain, fils de Clopas le frère de Joseph, dans l' Histoire ecclésiastique d'Eusèbe de Césarée.

Sur cette question des frères de Jésus, voir l’article détaillé Proches de Jésus

Perspectives religieuses

Catholicisme et orthodoxie

Jean Meister von Moulins, Nativité (v. 1490)
Article détaillé : Mariologie.

Les Églises catholique et orthodoxe accordent une place spéciale à la Vierge Marie, qui est l'objet d'un culte particulier, le culte d'hyperdulie qui est le culte rendu à la Vierge Marie, supérieur au simple culte rendu aux saints et aux anges (dulie). Ce terme est à distinguer de celui d'adoration (ou latrie) qui ne convient que pour Dieu.

Une grande partie de la spiritualité mariale (l'adjectif n'est utilisé que par les catholiques) a été développée postérieurement à l'époque de la rédaction des Évangiles, mais elle se fonde sur le texte de Luc 1, 26 et suivants qui rapporte l'Annonciation, la Visitation et le Magnificat.

« Car voici, désormais toutes les générations me diront bienheureuse, parce que le Tout Puissant a fait pour moi de grandes choses » (Lc 1, 48).

Le concile d'Éphèse (431) et les suivants reconnaissent Marie comme Théotokos, celle qui a mis Dieu au monde, la « Mère de Dieu ».

La virginité perpétuelle de Marie fait partie du dogme catholique et orthodoxe.

L'immaculée conception de Marie est un dogme de l'Église catholique, décrété le 8 décembre 1854 par Pie IX dans sa bulle Ineffabilis Deus. Ce dogme signifie que Marie, mère de Jésus-Christ, fut conçue exempte du péché originel ; dogme rejeté par l'Eglise Orthodoxe, du fait qu'elle se présente aux "voyants" (terme uniquement utilisé par les catholiques) en disant: "Je suis l'Immaculée conception". Les orthodoxes ne nient pas qu'il y ait eu une apparition, ni que ces parôles se soient échangées. Néanmoins, ils doutent de la véritable identité de "l'apparition". Selon les orthodoxe, la vierge aurait dû dire qu'elle est conçue et non conception. Les orthodoxes pensent généralement que c'est une fausse apparition (ou manifestation démoniaque= surnaturel). Ils se justifient ainsi: 1 JEAN 4:1: "Ne vous fiez pas à tout esprit mais éprouvez les esprits" et "satan lui-même se transforme en ange de lumière" (2 Cor. 11:14).

L'Assomption est un dogme catholique selon lequel, au terme de sa vie terrestre, Marie a été « enlevée corps et âme » au ciel. Le 1er novembre 1950, ce point de foi est défini sous forme de dogme par la constitution apostolique Munificentissimus Deus du pape Pie XII. Les catholiques fêtent l'Assomption le 15 août. Les orthodoxes eux, emploient le terme de Dormition, parce qu'ils pensent que le terme d'Assomption peut faire penser qu'elle a été emmené au ciel de son vivant comme ce fut le cas pour le prophète Elie.

Marie est priée par les chrétiens catholiques et orthodoxes, qui invoquent son intercession et qui la célèbrent en particulier le 1er janvier (Sainte Marie Mère de Dieu - seulement les catholiques), le 15 août (Dormition et Assomption), le 25 mars (Annonciation), le 8 septembre (Nativité de la Vierge Marie) et le 8 décembre (Immaculée Conception de la Vierge Marie - seulement les catholiques).

Iconographie

Représentation du couronnement de Marie

La Vierge à l'Enfant est un des thèmes les plus fréquemment représentés dans la peinture chrétienne, aussi bien dans les icônes orientales que dans les œuvres occidentales. Il est relativement rare que Marie soit représentée seule, jusqu'à une époque récente. Sur les icônes, les trois étoiles figurant sur le front et les épaules de Marie indiquent sa virginité perpétuelle (avant, pendant et après l'enfantement).

L'Annonciation est également un sujet prisé des artistes. On y voit Marie, surprise dans sa prière, par la visite de l'archange Gabriel plein de déférence. Au-dessus se trouve la colombe du Saint-Esprit.

La pietà est la représentation de Marie portant Jésus détaché de la Croix et le pleurant. La plus célèbre des pietà est celle de Michel-Ange, vénérée dans la basilique Saint-Pierre de Rome.

L'Assomption de Marie et le Couronnement céleste de Marie par le Christ sont fréquemment représentés dans les églises. Une autre image fréquente est celle de la Femme de l'Apocalypse, couronnée de douze étoiles, debout sur la lune écrasant le serpent. Le symbole marial des douze étoiles sur fond bleu, couleur du ciel, serait à l'origine du Drapeau européen (suggéré par Mr Paul M.G. Lévy et dessiné par le catholique Arsène Heitz et adopté le 8 décembre 1955, jour de la fête de l'Immaculée Conception), mais il n'y a sur ce point aucune formulation explicite[3], il livre lui-même un témoignage sur sa décision[4].

Protestantisme

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Voir aussi
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Luther a insisté sur l'humilité de Marie et son accueil de la grâce. Calvin a affirmé qu'elle a besoin du pardon, et refuse de fêter les fêtes mariales. Il reste prudent sur le terme « Mère de Dieu », qui pour lui est d'importance uniquement pour rappeler à la fois l'humanité et la divinité du Christ.

Le protestantisme est resté longtemps muet à propos de Marie. C'est à partir du dogme de l'Immaculée Conception en 1854 puis de celui de l'Assomption en 1950 que se creuse à nouveau l'écart avec le catholicisme. Il dénonce le culte rendu aux saints, et en particulier le culte marial catholique.

Pour la plupart des protestants, Marie était vierge avant la naissance de Jésus, mais a eu d'autres enfants, les frères et sœur de Jésus cités dans les Évangiles en Mc 6, 3.

Islam

Mariam, « Marie », de l'arabe : مريم, est citée dans le Coran et la sourate 19 porte traditionnellement son nom. Elle est la mère de Îssâ, « Jésus », عِيسى .

Le Coran parle des femmes (et Hawa/Eve, Bilkis/reine de Saba, Aïsha, Hagar, etc...)., mais Mariam, la mère de Jésus, est la seule à y être expressément nommée. Il met en avant son élection en dessus de toutes les femmes du monde et lui attribue la pureté virginale, en la défendant notamment contre la calomnie dont s'est rendu coupable la communauté juive. Elle est désignée comme la sœur d'Aaron par ses contemporains, allusion à Myriam, sœur de Aaron et de Moïse. Il semblerait que sa mère, la femme d'Imran, l'aurait nommé « Myriam » en référence à la soeur de Moïse.

Dans la sourate 3, La famille d'Imran, il est très certainement fait mention à elle. Elle est la fille d'Imran, dont la garde est confiée à Zacharie. Le Coran indique que la grossesse de Marie s'est faite de manière miraculeuse, sans intervention d'un géniteur. L'islam mentionne plus d'une fois l'épisode de l'Annonciation.

Pour l'islam, Marie est simplement une sainte, bénie par Dieu et particulièrement pieuse. Les sourates 3.35 à 3.47 relatent la naissance de Marie puis celle de Jésus. Aucun culte ne lui est rendu à particulièrement parce que Jésus est perçu en islam comme un prophète et un messager, à la différence du christianisme.

Bibliographie

  • Raymond Leopold Bruckberger, o.p., Marie, mère de Jésus-Christ, Albin Michel, 1991
  • Daniel-Ange, o.s.b., Touche pas à ma Mère !, éditions Le Sarment, 2005, ISBN 978-2866794088
  • Michel Dousse, Marie la Musulmane, Albin Michel, 2005
  • Réginald Garrigou-Lagrange, o.p., La Mère du Sauveur et notre vie intérieure, éditions de L'Abeille, Lyon, 1941
  • Jean Guitton, La Vierge Marie, Aubier, 1949
  • Jean-Paul II, Le Rosaire de la Vierge Marie, éditions Salvator, 2002
  • Bertrand de Margerie, s.j., Le Cœur de Marie, cœur de l'Église : Essai de synthèse théologique, Téqui, 2000
  • Cardinal Carlo Maria Martini, s.j., Marie souffre encore, éditions Saint-Paul, 1998
  • Simon Claude Mimouni, Dormition et assomption de Marie : Histoire des traditions anciennes, Beauchesne, 1997
  • Hendro Munsterman, Marie corédemptrice?, éditions du Cerf, 2006
  • Karl Rahner, Marie Mère du Seigneur, Éditions de l’Orante, 1964.
  • Edward Schillebeeckx, o.p., Marie, mère de la Rédemption, Cerf, 1963
  • Max Thurian, Marie, mère du Seigneur, figure de l'Église, Presses de Taizé, 1970
  • Marie-Joseph Le Guillou , Marie, Paroles et Silence.
Chartres Grande Verrière

Notes et références

  1. « Au sixième mois, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth auprès d'une vierge fiancée à un homme de la maison de David, nommé Joseph. Le nom de la vierge était Marie. L'ange entra chez elle, et dit : « Je te salue, toi à qui une grâce a été faite ; le Seigneur est avec toi. » Troublée par cette parole, Marie se demandait ce que pouvait signifier une telle salutation. L'ange lui dit : Ne crains point, Marie ; car tu as trouvé grâce devant Dieu. Et voici, tu deviendras enceinte, et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus… Marie dit à l'ange: Comment cela se fera-t-il, puisque je ne connais point d'homme ? L'ange lui répondit : Le Saint Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très Haut te couvrira de son ombre. C'est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu. »

    — Lc 1, 21- 35

    « Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte, par la vertu du Saint-Esprit, avant qu’ils eussent habité ensemble.

    Joseph, son époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de rompre secrètement avec elle. Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit : Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l’enfant qu’elle a conçu vient du Saint-Esprit ; elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus ; c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. Tout cela arriva afin que s’accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète : "Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d’Emmanuel,

    ce qui signifie Dieu avec nous". »

    — Mt 1, 18- 23 Le prophète dont il est question est Ésaïe :

    « C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe,

    voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils,

    et elle lui donnera le nom d’Emmanuel. »

    — És 7, 14 Dans la suite du récit, Marie rend visite à sa cousine Élisabeth (c'est la Visitation) et exprime sa joie dans le Magnificat (Lc 1, 39-55). Elle donne naissance à Jésus à Bethléem (Mt 2, 1-6 ; Lc 2, 4-7) où son Fils reçoit la visite des bergers et des mages (Mt 2, 7-12 ; Lc 2, 15-21 ).

  2. « Anne répondit : « Aussi vrai que vit le Seigneur Dieu, je ferai don de mon enfant, garçon ou fille, au Seigneur mon Dieu et il le servira tous les jours de sa vie. » » (Protév. Jc 4,1). « Alors le prêtre : « Joseph, Joseph, dit-il, tu es l'élu : c'est toi qui prendras en garde la vierge du Seigneur. ». Mais Joseph protesta : « J'ai des fils, je suis un vieillard et elle est une toute jeune fille. Ne vais-je pas devenir la risée des fils d'Israël ? » » (Protév. Jc 9,1-2).
  3. Qui se cache derrière le drapeau européen ?
  4. Témoignage de Paul M.G. Lévy sur la création du drapeau européen

Voir aussi

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L'Adoration des Mages (v. 1380), Le Maître des parements de Narbonne

Dogmes et Foi Chrétienne

Cultes

Théologie

Prières mariales

Liens externes

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