- Pyrénées Orientales
-
Pyrénées-Orientales
Pyrénées-Orientales Administration Région Languedoc-Roussillon Préfecture Perpignan Préfet de département Hugues Bousiges Président du
conseil généralChristian Bourquin Sous-préfecture(s) Céret
PradesStatistiques Population totale 440 885 hab. (2006) Densité 107 hab./km2 Superficie 4 116 km2 Subdivisions Arrondissements 3 Cantons 31 Intercommunalités 16 Communes 226 Le département des Pyrénées-Orientales est un département français, situé au sud de la France, au nord de la Catalogne, à la frontière avec l'Espagne. Ce département regroupe l'ancienne province du Roussillon (c'est-à-dire le Roussillon, la haute Cerdagne, le Conflent, le Vallespir et le Capcir originellement catalanophones ainsi que le territoire des Fenouillèdes, seul territoire du département de culture languedocienne et de langue occitane.) L'Insee et la Poste lui attribuent le code 66.
Désignation
Le département des Pyrénées-Orientales est souvent appelé Roussillon, ou Catalogne française ou Catalogne Nord[réf. nécessaire]. Ce dernier terme a été inventé dans les années trente par les catalanistes du groupe Nostra Terra qui souhaitaient rappeler les liens historiques, culturels et linguistiques de cette région au reste de la Catalogne. L'emploi de nos jours des termes Catalogne Nord, Roussillon ou Pyrénées-Orientales traduit plus ou moins l'attachement à une identité catalane.
Le terme Catalogne Nord a obtenu une première forme de reconnaissance officielle lors de la session du conseil général des Pyrénées-Orientales du 10 décembre 2007, où a été approuvée une Charte en faveur du catalan. Celle-ci déclare en préambule que "La langue catalane, née il y a plus de mille ans, constitue un des piliers de notre identité, du patrimoine et de la richesse du département des Pyrénées-Orientales (Catalunya Nord)"[1]. Le terme Catalogne Nord, écrit toutefois en catalan et non en français, apparaît ainsi pour la première fois sur un document officiel.
Son usage tend donc aujourd'hui, à être plus courant, en particulier dans son usage par les touristes espagnols, de plus en plus présent dans les Pyrénées-Orientales.
Histoire
Article détaillé : Histoire des Pyrénées-Orientales.Le département est créé à la Révolution française, le 4 mars 1790, en application de la loi du 22 décembre 1789, à partir de la province du Roussillon et d'une petite partie du Languedoc appelée Fenouillèdes.
Deux dates permettent de mieux comprendre l'histoire de ce département :
- 1258 : le traité de Corbeil fixe la frontière entre les royaumes de France et d'Aragon, aux Corbières, les Fenouillèdes sortent de la zone d'influence du roi d'Aragon alors que le Roussillon s'y maintient comme toute la Catalogne. Les habitants de l'actuel département appartiennent à deux pays différents et parlent deux langues proches, le catalan en Roussillon, Conflent, Vallespir et Cerdagne et l'occitan aux Fenouillèdes.
- 1659 : la province du Roussillon et une partie de la Cerdagne sont cédées par l’Espagne à la couronne de France au traité des Pyrénées, à l’exception de l'enclave de Llívia. La frontière politique de 1258 devient alors une limite entre deux provinces du royaume de France.
Malgré la création du département en 1790, les différences se sont maintenues entre les deux entités. Les Catalans utilisent le terme péjoratif de gavatxos pour désigner les habitants des Fenouillèdes et de l'Aude. En fait, ce terme est toujours très répandu en Espagne sous les formes gavatx (en catalan) et gabacho (en castillan). "Gavatx" pourrait être assimilé au mot Boche en français. Mais il désigne les Français. Il est encore vivace car la dernière invasion de l'Espagne date des guerres napoléoniennes. En Catalogne Nord, ce terme a perdu sa connotation agressive et est devenu moqueur, il est plus assimilable au "franchouillard" usité par les Français, ou au mot Teuton que ceux-ci emploient pour désigner les Allemands.
La couronne espagnole, désireuse de retrouver son ancienne possession, envahit avec ses troupes le département en avril 1793, mais la France le récupéra treize mois plus tard, avec la guerre du Roussillon.
La royauté avait arraché le Roussillon et la Cerdagne du reste de la Catalogne et les avait isolés dans un statut de pays dit étranger. Au XIXe siècle, les Pyrénées-Orientales furent l'un des départements les plus républicains de France. François Arago, homme politique et savant né à Estagel, en est le symbole.
Géographie
Article détaillé : Roussillon (géographie).Le département des Pyrénées-Orientales fait partie de la région Languedoc-Roussillon. Ses frontières sont constituées de la mer Méditerranée à l'est, l'Espagne (province de Gérone) au sud, du département de l'Aude au nord, de l'Andorre et du département de l'Ariège à l'ouest.
Il fait partie des rares départements français (avec les Alpes-Maritimes, les Pyrénées-Atlantiques et la Corse) qui permettent à leurs habitants et aux touristes de profiter à la fois des joies de la montagne et de celles de la mer.
Il est traversé d'ouest en est par trois fleuves parallèles, le Tech, la Têt et l'Agly. C'est également dans les Pyrénées-Orientales que l'Aude prend sa source. Son point culminant est le Pic Carlit (2921 m), mais sa montagne la plus connue reste le mont Canigou.
Climat
Article détaillé : Climat des Pyrénées-Orientales.Le climat, de type méditerranéen, permet d'avoir des hivers relativement doux, les chutes de neige étant très rares en plaine. Les étés sont chauds. Les vents jouent un grand rôle, en particulier la Tramontane, vent du nord-ouest, qui atteint fréquemment des vitesses supérieures à 100 km/h. Le vent marin (la Marinade) apporte pour sa part grisaille et pluie.
- ensoleillement : en moyenne 300 jours par an
- pluviosité : 60 jours
Économie
Article détaillé : Économie des Pyrénées-Orientales.L'économie du département repose traditionnellement sur l'agriculture, dominée par l'arboriculture (nombreux vergers de pêchers, d'abricotiers et de cerisiers), le maraîchage (salades, artichauts notamment) et la viticulture. Dans ce domaine, les Pyrénées-Orientales se distinguent par une importante production de VDN (vins doux naturels), avec quatre appellations prestigieuses : Banyuls, Maury, Rivesaltes, Muscat de Rivesaltes, sans compter le Byrrh, élaboré dans les caves de Thuir, ou encore le Terrasous, élaboré dans les caves de Terrats. On produit aussi de nombreux vins secs AOC, rouges surtout, dont l'appellation Collioure est sans doute la plus connue.
L'élevage, en recul pendant plusieurs décennies, semble trouver une nouvelle vitalité, en particulier au niveau des bovins (production de viande de veau Rosée des Pyrénées).
Il faut cependant préciser qu'à peine plus de 8 000 personnes, si on excepte les saisonniers, vivent de l'agriculture. Les entreprises industrielles sont peu nombreuses, et ne peuvent constituer une ressource suffisante pour le département, qui connaît un important taux de chômage (plus de 15 % de la population active). La majorité de la population travaille dans le secteur tertiaire (administration, services, distribution, tourisme**). Le recensement de 1999 donnait les chiffres suivants dans la répartition des actifs :
- agriculture : 8 227,
- industrie : 10 389,
- construction : 8 460,
- tertiaire : 97 673.
Transports publics
- Le réseau de bus à 1 € du Conseil Général[2]
- Le réseau des TER (Transport express régional) de la région Languedoc-Roussillon, exploité par la SNCF[3]
Article détaillé : TER Languedoc-Roussillon.- Le réseau ferroviaire du Réseau ferré de France, exploité par la SNCF, avec le TGV, les Trains Corail Téoz et Corail Lunéa.
Articles détaillés : LGV Perpignan - Figueres et ligne Languedoc-Roussillon.- Le réseau des trains Talgo vers l'Espagne au départ de Montpellier via Perpignan et Cerbère (Pyrénées-Orientales) pour Figueres, Gérone, Barcelone et le reste du réseau espagnol.
- La réseau d'autobus de la Compagnie de Transport Perpignan Méditerranée[4]
- Le réseau de déplacement des Personnes à mobilité réduite du Conseil général
- Le réseau de navettes vers l'Aéroport de Gérone-Costa Brava, (GRO) et les stations de ski par la compagnie Frogbus[5]
Article détaillé : Transports dans les Pyrénées-Orientales.Démographie
Article détaillé : Démographie des Pyrénées-Orientales.Le département compte plus de 440 885 habitants[6]. La ville de Perpignan en regroupe plus d'un quart à elle seule, et plus d'un tiers avec sa banlieue. C'est la seule ville importante, et seules les villes de Canet-en-Roussillon, Saint-Estève, Saint-Cyprien et Argelès-sur-Mer dépassent les 10 000 habitants. Les autres villes importantes sont Rivesaltes, Saint-Laurent-de-la-Salanque, Bompas, Cabestany, Thuir, Céret, Elne et Prades, comptant chacune entre 7 000 et 10 000 habitants. L'arrondissement de Perpignan, avec 287 272 habitants, est celui qui compte le plus d'habitants dans le département. En effet, les deux autres, les arrondissements de Céret et de Prades, comptent respectivement 66 624 habitants et 38 907 habitants.
La répartition par tranches d'âge montre un nombre relativement élevé de personnes âgées de 60 ans et plus (29 % de la population contre 21,3 % pour l'ensemble de la France).
Cette vieillesse de la population a pour conséquence un taux de mortalité supérieur à celui des naissances. Pourtant la population est en augmentation constante depuis plusieurs décennies grâce à un solde migratoire nettement positif. Le département attire en particulier des retraités grâce à son climat agréable, ce qui contribue à la fois à l'augmentation de la population et à son vieillissement[7].
L'évolution de la population du département:- 1954 : 230 285 habitants
- 1975 : 299 506 habitants
- 1982 : 334 557 habitants
- 1990 : 363 796 habitants
- 1999 : 392 803 habitants
- 2005 : 426 000 habitants
- 2006 : 440 885 habitants
Les 15 principales villes :- Perpignan : 117.500 habitants (2006)
- Canet-en-Roussillon : 11.876 habitants (2006)
- Saint-Estève : 11.175 habitants (2006)
- Saint-Cyprien : 10.274 habitants (2006)
- Argelès-sur-Mer : 10.095 habitants (2006)
- Rivesaltes : 8.771 habitants (2006)
- Saint-Laurent-de-la-Salanque : 8.569 habitants (2006)
- Cabestany : 8.536 habitants (2006)
- Céret : 7.785 habitants (2006)
- Thuir : 7.519 habitants (2006)
- Elne : 7.425 habitants (2006)
- Bompas : 7.246 habitants (2006)
- Pia : 7.041 habitants (2006)
- Le Soler : 6.625 habitants (2006)
- Prades : 6.620 habitants (2006)
- Bages : 4.000 habitants (2008)
Langues et culture
Article détaillé : Culture dans les Pyrénées-Orientales.
La plus grande partie du département est culturellement catalane, sauf dans le Fenouillèdes, au Nord, de culture occitane. Le Francais est la langue communément parlée dans le département, on estime cependant qu'un quart de la population peut parler le catalan[8].L'État a historiquement imposé le français comme seule langue d'usage et de scolarisation [réf. nécessaire]. Au cours du XXe siècle, beaucoup de catalans ont encouragé leurs enfants à parler uniquement français. Ils ne leur ont pas toujours transmis la langue catalane de peur qu'elle ne nuise à la maîtrise de la langue nationale. [réf. nécessaire]
Néanmoins, la langue catalane reste vivace en comparaison à de nombreuses autres langues régionales. De nombreux rassemblements populaires (aplecs) ont lieu dans le département, et les danses traditionnelles y sont très appréciées, en particulier la sardane. Tous les ans se tient à Prades, l'Universitat Catalana d'Estiu (Université Catalane d'Été). La langue catalane est également enseignée (jusqu'à aujourd'hui sans grand support de la part des autorités) dans les écoles primaires, lycées et collèges, à l'université, ainsi que dans des écoles où l'enseignement se fait en langues catalane et française (écoles primaires la Bressola et Arrels, collèges col·legi Comte Guifré).
Durant le XXe siècle, le déclin du catalan a été continu (comme pour toutes les autres langues dites régionales). Certains facteurs récent comme la bonne santé économique de la Catalogne du Sud et l'arrivée du TGV Barcelone-Perpignan, pourrait peut-être inverser cette tendance[réf. nécessaire]. Le Conseil Général des Pyrénées-Orientales, en sa session du 10 décembre 2007, a approuvé la Charte en Faveur du Catalan[9]. C'est la première fois qu'une collectivité territoriale prend ce genre de position.
La Peinture
Plusieurs grands peintres sont venus vivre en Roussillon au début du XXe siècle, soit à Céret, soit à Collioure. C'est en grande partie à Collioure, où ont séjourné Henri Matisse et André Derain, qu'est né le fauvisme. Le cubisme s'est quant à lui développé à Céret, fréquenté par Pablo Picasso et Georges Braque à partir de 1911. Aristide Maillol est né dans ce pays et y est resté, sculptant sur le thème de la femme. Céret abrite aujourd'hui un important musée d'art moderne de Céret, fondé en 1950 par Pierre Brune. De nombreuses manifestations culturelles ont lieu chaque année, notamment le festival photographique Visa pour l'image à Perpignan et le Festival Pablo Casals (musique classique) à l'abbaye Saint-Michel de Cuxa, près de Prades.
Le Cinéma
Article détaillé : Cinéma dans les Pyrénées-Orientales.Les Pyrénées-Orientales sont un lieu privilégié pour les tournages de films, en particulier depuis les années 2000 grâce à la Commission du film Languedoc-Roussillon Cinéma à Montpellier[10]. Depuis les années 20, une culture cinéphile dense, avec une longue histoire de ciné-clubs et de nombreuses salles de projections à Perpignan. L'Institut Jean Vigo, est un lieu unique en France, pour la conservation, la formation et l'animation de cette culture cinématographique[11].
Tourisme
Article détaillé : Tourisme dans les Pyrénées-Orientales.Article détaillé : Randonnée dans les Pyrénées-Orientales.Dans les années soixante, le Languedoc-Roussillon a été aménagé pour permettre le tourisme de masse. La Côte Vermeille s'est couverte d'immeubles. Le Tourisme s'est beaucoup développé dans le département, notamment avec des stations balnéaires comme Canet-en-Roussillon, Argelès-sur-Mer, Saint-Cyprien, Le Barcarès, qui accueillent de nombreux campings, et de nombreux hôtels, attirés par les longues plages de sable fin. Qui dit tourisme dit attractions touristiques, et pour cela le département est bien équipé ; en effet, il accueille de nombreuses attractions de grimpe aux arbres dans la montagne, de canyoning (naturel et artificiel), ainsi que le plus grand circuit de karting du monde: le Circuit du Roussillon[12].
Patrimoine des Pyrénées-Orientales
Perpignan
- Le Palais des rois de Majorque à Perpignan[13], palais-forteresse et jardins en promontoire dominant la plaine du Roussillon, édifiés par Jacques II d'Aragon en 1309, capitale du royaume de Majorque.
- Le Stade Aimé-Giral, de l'USAP, club de Rugby à XV: et le Stade Gilbert Brutus, des Dragons catalans club de Rugby à XIII de la Super League.
Le Vallespir
Les Albères
- Le Château Royal de Collioure à Collioure[14]
- Le Château de Valmy, sur les hauteurs d' Argelès-sur-Mer[15].
- Le Château d'Aubiry, œuvre de l'architecte danois Viggo Dorph-Petersen, à l'entrée de Céret[16].
- L'aire protégée de Paulilles[17]
- Le Musée d'art moderne de Céret, qui retrace l'importance de Céret dans l'histoire de l'Art moderne du XXe siecle[18].
- La Réserve Naturelle Marine de Cerbère-Banyuls[19]
Les Aspres
- Serralongue : Les tours de Cabrenç (Xe - XIVe siècle)
- Le Prieuré de Serrabone[20]
Le Capcir
La Cerdagne
- La Centrale solaire de THEMIS à Targasonne
- Le Four solaire de Mont-Louis
- Le Four solaire d'Odeillo
- Le petit train jaune reliant Villefranche-de-Conflent à Latour-de-Carol : voyage dans la haute vallée de la Têt et de la Cerdagne
- Mont-Louis : fortifications de Vauban
Le Conflent
- Le Parc naturel régional des Pyrénées catalanes[21]
- L'Abbaye Saint-Michel de Cuxa
- L'Abbaye Saint-Martin du Canigou
- Villefranche-de-Conflent : fortifications de Vauban
Les Fenouillèdes
- Site préhistorique du Caune de l'Arago, sur la commune de Tautavel où a été découvert l'Homme de Tautavel[22].
Le Ribéral
- Le sité géologique des Orgues d'Ille-sur-Têt[23].
- Le sommet de Força Réal, (507 mètres), ancien château fort et tour à signaux qui domine toute la plaine du roussillon.
La Salanque
- La Forteresse de Salses : importante forteresse espagnole du XVIe siècle sur l'ancienne frontière nord de la Catalogne[24].
- Le musée mémorial du camp de Rivesaltes
La plaine du Roussillon
Communes ayant plus de 10% de résidences secondaires
Selon le recensement général de la population du 8 mars 1999, 30.9 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.
Ce tableau indique les principales communes des Pyrénées-Orientales dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10% des logements totaux.
Communes ayant plus de 10% de résidences secondairesAnnée Ville Population SDC Nombre de logements Résidences secondaires % résidences secondaires 2004 Bolquère 779 2 953 2 616 88,59% 2006 Le Barcarès 4 033 16 738 14 727 87,99% 1999 Les Angles 590 3 037 2 663 87,69% 2004 Puyvalador 93 396 339 85,61% 2004 Eyne 161 518 441 85,14% 2005 Porté-Puymorens 128 353 287 81,30% 1999 Sainte-Léocadie 140 317 256 80,76% 2005 Saint-Pierre-dels-Forcats 231 546 432 79,12% 2005 Font-Romeu-Odeillo-Via 2 007 4 693 3 632 77,39% 2006 Matemale 290 604 464 76,82% 2007 Fontrabiouse 109 213 163 76,53% 2007 Formiguères 435 849 626 73,73% 2004 Argelès-sur-Mer 9 869 19 985 14 402 72,06% 1999 Saint-Cyprien 8 573 14 502 10 320 71,16% 2005 Estavar 498 701 482 68,76% 2005 Molitg-les-Bains 213 371 254 68,46% 2004 La Llagonne 285 390 258 66,15% 2007 Collioure 2 944 3 972 2 552 64,25% 2005/1999 Canet-en-Roussillon 10 182 13 486 8 465 62,77% 2007 Dorres 179 236 148 62,71% 2004 Targassonne 194 225 137 60,89% 2004 Sainte-Marie 3 842 4 357 2 575 59,10% 2005 Saillagouse 971 967 541 55,95% 2006 Err 613 661 369 55,82% 2005 Amélie-les-Bains-Palalda 3 644 4 976 2 742 55,10% 2004 Palau-de-Cerdagne 496 419 223 53,22% 2007 Enveitg 623 673 355 52,75% 2006 Cerbère 1 551 1 486 781 52,56% 2006 Latour-de-Carol 386 426 214 50,23% 2007 Banyuls-sur-Mer 4 644 4 411 2 144 48,61% 2006 Prats-de-Mollo-la-Preste 1 141 1 192 558 46,81% 1999 Ur 308 244 113 46,31% 2004 Vernet-les-Bains 1 483 1 666 770 46,22% 2004 Corneilla-de-Conflent 451 386 177 45,85% 2004 La Cabanasse 756 551 244 44,28% 2004 Égat 475 365 157 43,01% 2004 Bourg-Madame 1 198 905 335 37,02% 2006 Laroque-des-Albères 1 941 1 494 549 36,75% 2004 Saint-Laurent-de-Cerdans 1 267 944 344 36,44% 2005 Torreilles 2 956 2 450 881 35,96% 1999 Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes 549 386 126 32,64% 1999 Osséja 1 282 969 311 32,09% 2004 Port-Vendres 4 579 3 250 1 019 31,35% 2006 Sorède 2 926 2 033 588 28,92% 2004 Villelongue-dels-Monts 1 230 712 172 24,16% 2004 Montesquieu-des-Albères 1 045 627 143 22,81% 2006 Maureillas-las-Illas 2 546 1 510 330 21,85% 2004 Reynès 1 258 727 147 20,22% 1999 Vinça 1 666 1 042 190 18,23% 2005 Saint-André 2 674 1 602 269 16,79% 2004 Le Boulou 4 858 2 846 471 16,55% 2007 Saint-Génis-des-Fontaines 2 783 1 637 242 14,78% 1999 Alénya 2 318 1 049 129 12,30% 2007 Arles-sur-Tech 2 719 1 605 186 11,59% 2006 Céret 7 568 4 402 468 10,63% 2004 Saint-Laurent-de-la-Salanque 8 224 4 089 417 10,20% Sources :
- Site du recensement de l’INSEE, chiffres au 08/03/1999.
- Estimations du recensement intermédiaire de l’INSEE, chiffres au 01/07/2005.
Politique des Pyrénées-Orientales
Actuellement, le département est dirigé par le président du Conseil Général des Pyrénées-Orientales Christian Bourquin (PS), est à la tête du Conseil général depuis 1998 (réélu en 2001).
- Liste des députés des Pyrénées-Orientales
- Liste des sénateurs des Pyrénées-Orientales
- Liste des conseillers généraux des Pyrénées-Orientales
Administration
Article détaillé : Administration des Pyrénées-Orientales.- Liste des préfets des Pyrénées-Orientales
- Communes des Pyrénées-Orientales
- Anciennes communes des Pyrénées-Orientales
Pays dans les Pyrénées-Orientales
Les Pyrénées-Orientales sont organisés en 4 Pays:
- Pays Terres romanes en Pays catalan
- Pays Pyrénées-Méditerranée
- Pays de la Vallée de l'Agly
- Pays plaine du Roussillon
Références
- ↑ http://www.cg66.fr/culture/patrimoine_catalanite/catalanite/charte.html Page sur le site web du Conseil Général
- ↑ http://www.cg66.fr/routes_transports/transports/actualite.html
- ↑ http://www.ter-sncf.com/languedoc/index.asp
- ↑ http://ctpm.perpignan.free.fr/news/news.php
- ↑ http://www.frogbus.com/fr
- ↑ http://www.insee.fr/fr/ppp/bases-de-donnees/recensement/populations-legales/departement.asp?dep=66 INSEE - recensement population dept 66
- ↑ http://www.insee.fr/fr/ppp/bases-de-donnees/recensement/populations-legales/departement.asp?dep=66
- ↑ CRUSCAT - El coneixement del català
- ↑ http://www.cg66.fr/culture/patrimoine_catalanite/catalanite/charte_catalan.pdf Charte pour le catalan en document .pdf
- ↑ http://www.languedoc-roussillon-cinema.fr/fr/commission/index.php
- ↑ http://www.inst-jeanvigo.eu/
- ↑ http://www.cdt-66.com/static/fr/master/index
- ↑ http://www.cg66.fr/culture/patrimoine_catalanite/monuments/palais_majorque/index.html
- ↑ http://www.cg66.fr/culture/patrimoine_catalanite/monuments/chateau_royal/index.html
- ↑ http://histoireduroussillon.free.fr/Thematiques/Batiments/Histoire/ChateauDeValmy.php
- ↑ http://www.languedoc-roussillon.culture.gouv.fr/fr/0index/01actu/protection_historique/fiches66/ceret_chateau_aubriry.htm
- ↑ http://www.cg66.fr/environnement/espaces_naturels/paulilles/index.html
- ↑ http://www.musee-ceret.com/
- ↑ http://www.cg66.fr/environnement/espaces_naturels/reserve_marine/index.html
- ↑ http://www.cg66.fr/culture/patrimoine_catalanite/monuments/serrabone/index.html
- ↑ http://www.parc-pyrenees-catalanes.fr/
- ↑ http://www.tautavel.culture.gouv.fr/
- ↑ http://www.ille-sur-tet.com/le_tourisme/orgues.htm
- ↑ http://salses.monuments-nationaux.fr/fr/
Liens internes
- Portail des Pyrénées-Orientales
Liens externes
- Conseil Général des Pyrénées-Orientales
- Comité Départemental du Tourisme des Pyrénées Orientales
- Patrimoine des Pyrénées-Orientales classé aux Monuments Historiques
- Portail de la France
- Portail des Pyrénées-Orientales
- Portail des Pyrénées
- Portail de l’Occitanie
- Portail des Pays catalans
Catégorie : Pyrénées-Orientales
Wikimedia Foundation. 2010.