Peinture chinoise

Peinture chinoise

La peinture chinoise, désigne toute forme de peinture originaire de Chine ou pratiquée en Chine ou par des artistes chinois hors de Chine. La peinture murale a été un genre de peinture réputé en Chine à côté de la peinture sur rouleaux, verticaux ou horizontaux. Actuellement l'art contemporain chinois se permet d'employer une multitude de supports pour la peinture et de l'intégrer dans des ensembles multimédia. Ses fonctions sont, traditionnellement, multiples : rituelle et religieuse ou ornementale dès l'origine, elle eu aussi des fonctions mémorielles, de divertissement, éducatives, poétiques ou philosophiques et leurs combinaisons, quel qu'en soit le genre (de paysage, "fleurs et oiseaux» ou "de gens"). Pour prendre un exemple, c'est sa dimension philosophique qui caractérise essentiellement la peinture classique chinoise de paysage, pratiquée par certains lettrés, en amateurs, à la différence des autres genres qui ont été pratiqués, de tous temps, par des artistes, voire des familles d'artistes professionnels. La complexité des questions esthétiques débattues et la sophistication de la littérature conservée caractérisent la peinture chinoise à travers les siècles depuis au moins la dynastie Han.

Sommaire

La peinture chinoise "classique"

La peinture chinoise classique est dénommée en chinois 中国画 zhōngguó huà, peinture chinoise, ou 国画 guó huà, peinture du pays, en opposition à la peinture chinoise d'inspiration occidentale apparue au XIXe siècle. On peut la considérer comme une branche autonome de la calligraphie chinoise, dont elle partage le médium, fondé sur les quatre trésors du lettré : pinceau chinois, bâton d'encre, pierre à encre (pour moudre le bâton d'encre et le diluer dans l'eau) et papier (papiers de fibres textiles et bambou, avec de faibles apports d'autres matières, dont parfois le riz). Mais avant le support papier, la soie a été le support "noble" par excellence.

La peinture chinoise classique est constituée d'un ensemble de styles typiques de l'Extrême-Orient, et qui sont à l'origine des techniques de peintures que l'on trouve aussi en Corée et Japon.

Les genres en peinture chinoise. Galeries de peintures.

En fonction du contenu

Paysages

  • peintures de paysages Shanshui (山水画 shān shuǐ huà)
    Article détaillé : shanshui.

Fleurs et oiseaux

  • peintures de "fleurs et oiseaux" (花鸟画 huā niǎo huà), "herbes et insectes", "rochers et bambous"

Personnages et animaux

  • peintures de "personnages" (人物画 rén wù huà) : portraits individuels ou groupes, et "peinture de genre".

Peinture religieuse

Il existe aussi une importante peinture religieuse dévotionnelle [1] ou rituelle dans les temples et autres lieux de culte, funéraire essentiellement. D'autre part, ces catégories doivent être entendues au sens large, c'est pourquoi la peinture de "personnages"(人物画 rén wù huà) comprend un grand nombre de formes qui intègrent la figure humaine. Ainsi une peinture "fleurs et oiseaux" ne comporte pas nécessairement des oiseaux comme c'est le cas pour la peinture de Li Di. Cependant les peintures de "fleurs et oiseaux" en général réalisés par des peintres professionnels ne peuvent être confondues avec les peintures ayant pour sujet unique ou partiel des bambous, en général réalisés par des lettrés.

En fonction de la technique

La peinture chinoise classique comporte quelques importants styles de référence[2].

  • Gōngbǐ huà (工笔画, travail au crayon/pinceau), traits fins et attention minutieuse aux détails
  • Xiěyì huà (写意画, dessin d'intention), travail de dessin libre où l'on trace ses impressions.
    • Xiǎo xiěyì huà (小写意画 petit dessin d'intention)
    • Dà xiěyì huà (大写意画 grand dessin d'intention)
  • Zhóngcǎi huà (重彩画, peinture aux couleurs denses)
  • lavis (水墨画, shuǐmò huà, peinture à l'encre et à l'eau)
  • Báimiáo huà (白描画, littéralement dessin blanc), technique ou l'on dessine les contours.
  • Dūnhuáng bì huà (敦煌壁画, littéralement, mur de Dunhuang), en références aux fresques de Dunhuang, lieu important sur la Route de la soie.
  • Mògû huà (没骨画, littéralement, peinture sans os)

Caractéristiques spécifiques à la peinture chinoise

Histoire de la peinture chinoise

Article connexe : art chinois.
"Pécheur en rivière de montagne", Xu Daoning, section d'un rouleau portatif, encre et couleur sur soie, dynastie Song, v. 1050, 48,9 x209,6 cm, Nelson-Atkins Museum of Art, (Acquisition : Nelson Trust)

La peinture chinoise classique n'a émergé qu'après l'essor de la calligraphie chinoise sur papier de riz, dont elle est pour ainsi dire intégralement issue. La peinture "à l'encre éclaboussée" des moines-peintres chan est ainsi associée, le plus souvent en raison d'une communauté d'esprit, au style "herbes folles" de la calligraphie poétique chinoise. Peinture et calligraphie se retrouvant éventuellement sur le même support, mais par des mains différentes, un poète et un peintre, accompagnées parfois par un commentaire ultérieur dans l'espace de la peinture ou sur un support accolé ensuite, intégré dans le rouleau, et dans un style de calligraphie différent, la tonalité du propos étant différente.

La subtilité et la valeur de la peinture chinoise reposent largement sur l'emploi de moyens très réduits avec l'encre noire, l'eau, le pinceau et le geste comme seules variables[N 1].

La peinture de paysages constitue le genre le plus « noble » de la peinture chinoise classique, où se croisent les conceptions chinoises de l'univers, du microcosme et du macrocosme. La peinture de paysage donne forme à ces conceptions dans le rapport de la montagne (et de tout ce qui résiste en se transformant) et de l'eau (et de tout ce qui se transforme en se reproduisant). Ce n'est pas un art figuratif d'après modèle, mais plutôt le précipité de l'état d'esprit du peintre, qui se met au travail, non sans avoir préalablement visité la montagne dépeinte, sauf exceptions.

Dans le cas de la peinture de paysage - "montagne et eau" (voir l'article shanshui) en chinois) - l'harmonie des éléments yin et yang, le jeu des consistances atmosphériques, des strates géologiques, des textures rendues en noir et blanc, ont pour fondement une appropriation expressionniste de la nature très éloignée de la mimésis, ou imitation plus ou moins illusionniste des apparences, propre à l'esthétique occidentale[3] .

La conception confucéenne du monde transparaît également dans la peinture de paysages, ou les figures ou constructions humaines apparaissent en taille très réduite, située dans un cadre cosmologique complet. Le thème des lettrés en méditation ou en réunion (par exemple, les "Sept sages de la forêt de bambou"), ou encore du saint, sont des thèmes privilégiers de ces peintures.

Les peintures réalisées par des peintres professionnels, quel que soit le sujet, donc éventuellement des végétaux, des animaux ou des scènes anecdotiques à nombreux personnages introduisent ouvertement la couleur dans la peinture. Mais cette question est complexe. D'une part la couleur est souvent employée, mais avec une modération, par des peintres lettrés. D'autre part, certains peintres lettrés ont un motif privilégié qui peut sembler anecdotique, ou "décoratif" pour un occidental, comme un vol de grue au dessus d’un pavillon, ou deux animaux disposés dans l’espace, se surveillant mutuellement. Certains peintres, professionnels ou lettrés, sont ainsi plus ou moins spécialisés dans un thème en particulier : la peinture de chevaux (Xu Beihong ou Jupeon en français), la peinture de bambous, de fleurs et oiseaux, de poissons, voire de crevettes !

Ce furent les lettrés de la dynastie Song qui inaugurèrent la pratique d’insérer un poème dans leur œuvre picturale[4]. Des commentaires ont pu être ajoutés, ultérieurement, par les différents propriétaires, dans l’espace de l’image, mais plus souvent en dehors. Les œuvres les plus célèbres se caractérisent également par le nombre de sceaux à l'encre rouge désignant la liste des empereurs les ayant possédés au sein de la collection impériale, dont le destin a conduit la plus grande partie au Musée National du Palais de Taipei (National Palace Museum)[1], Taïwan, suite à l'exil de l'armée du Kuomintang. Mais le Palais Impérial n'ayant pas été bombardé et au contraire ayant été préservé pendant les moments les plus agités de la République Populaire de Chine, la cité interdite contient toujours dans ses nombreux bâtiments le Musée du Palais (Palace Museum)[2] dont les collections, riches mais aussi variées, permettent de se faire une bonne idée de la peinture des peintres professionnels, des peintres de la cour, à côté de celle des peintres lettrés.

La représentation de l'espace chinois, rejetant la perspective avec point de fuite, a toutefois adopté dans les derniers siècles des représentations de l'espace trigonométrique, notamment pour la représentation de villes.

Modernisation et occidentalisation de la peinture chinoise

Article détaillé : art contemporain chinois.

Durant le premier quart du siècle, plus précisément depuis l'instauration de la république en Chine en 1911 certains jeunes peintres ont étudié l'art de la peinture occidentale à l'étranger, afin de revitaliser leur culture à la recherche de nouvelles idées. De retour en Chine, ils ont su combiner leur nouveau bagage de connaissances avec les matériaux et les techniques traditionnels chinois. De là commence la modernisation de la peinture chinoise.

Ce nouvel essor de la peinture chinoise est donc dû au contexte historique du pays. Durant la première moitié du siècle, la Chine a continué à être le théâtre de querelles politiques internes et la cible d'invasions étrangères. En 1949, la République populaire de Chine a été créée. Les artistes ont alors produit des œuvres glorifiant l'entrée dans une ère nouvelle, le renouveau du pays et l'avenir du peuple. Nombre d'artistes, formés à l'école de la tradition, ont entrepris de voyager pour enrichir leur art tout en peignant des scènes de la vie courante. Zao Wou-Ki, très jeune, vers l’âge de vingt ans, alors qu’il terminait ses études à l’École des Beaux-Arts d’Hangzou, fut attiré et influencé par la peinture occidentale moderne et rejoignit la France.

T’ang Haywen s’installe en France la même année ; il adopta une attitude plus fidèle à l’esprit de la tradition si ce n’est à sa forme puisqu’il devait, après une période d’assimilation des techniques occidentales, revenir à la pratique exclusive de l’encre pour lui insuffler une nouvelle forme, abstraite et radicalement moderne.

Découvert par les jeunes générations, via de grandes rétrospectives en Chine Populaire ces dernières années, Zao Wou-Ki est l’artiste qui introduit de l’extérieur la modernité abstraite occidentale dans l’art chinois de cette seconde moitié du XXe siècle. Mais si Zao Wou-Ki a toujours dénié à la tradition une quelconque influence formelle sur son art, il reconnaît volontiers, évoquant ses encres, qu’il ne saurait être fondamentalement en opposition avec celle-ci : « Il ne s’agit pas de renouer avec la tradition de la peinture chinoise actuelle ou même de celle d’après les Song. Mais je crois en elle. Elle m’a beaucoup aidé à retrouver un certain moi-même que j’avais oublié, qui était enfoui sous des choses. Je me suis dégagé d’elle. Il me semble qu’elle fait maintenant partie de mon univers (...). Le jet immédiat de l’encre sur le papier produit un vide construit chargé de poésie. L’encre et le papier me donnent beaucoup de lucidité pour atteindre le silence. Grâce à eux, il se forme un espace que l’on ne peut avoir en peinture ».

Matériaux et Techniques

Pinceaux semblables à ceux utilisés par les peintres et calligraphes chinois

Le pinceau

Le pinceau chinois est d'une importance capitale dans la peinture chinoise ; c'est un outil beaucoup plus raffiné que le pinceau occidental. Il y a toute une couronne de poils courts et plus doux qui agissent comme réservoir qui prolonge le noyau formé de poils longs, résistants et aux fines pointes. Avec un seul et même pinceau, on peut tracer aussi bien des lignes extrêmement fines que des lignes très épaisses. Il est utilisé autant pour la peinture que pour la calligraphie. Ces deux arts sont d'ailleurs étroitement liés. Non seulement de nombreuses peintures chinoises portent des inscriptions calligraphiques, mais les tracés dans la peinture, généralement les contours, ont une apparence nettement calligraphique.


Autres techniques et matériaux

Avant le XXe siècle, les peintres chinois n'avaient jamais utilisé la peinture à l'huile. Seules l'encre chinoise et les couleurs à l'eau étaient appliquées sur du papier ou de la soie. Le papier chinois est très absorbant. Une fois qu'un trait a été tiré, il est impossible de le corriger. Pour les peintures très élaborées, le papier est traité avec de l'alun, qui le rend moins absorbant. La soie fait généralement l'objet du même traitement. Sur la plupart des peintures chinoises, on peut voir une estampe à l'encre rouge ou un sceau indiquant le nom de l'artiste. La plupart des œuvres chinoises sont peintes sur rouleau. Elles sont composées de deux bâtons de bois, épais en bas et mince en haut. Quand on ne les expose pas, on les roule autour du plus gros bâton pour pouvoir les ranger.

Maîtres de la peinture chinoise (中国画家大师 zhōngguó huàjiā dashi)

Temps anciens (古代 gǔdài)

Contemporains (近代 jìndài)

Cote

  • Le Rouleau de la Falaise Rouge de Qiu Ying, vendu 71 millions de yuan (6,5 millions d'euros), le 6 novembre 2007 [16].
  • Un rouleau de l'empereur Huizong (Le croquis des oiseaux précieux), vendu à Beijing pour 25,3 millions de yuan (2,31 millions d'euros) en 2002 et revendu 55,1 millions de yuan le 20 février 2010 [17].

Notes et références

Notes

  1. Notice détaillée sur la pratique picturale d'une peinture, fin Song-début Yuan XIIIe siècle attribuée traditionnellement à Muqi Fachang : rouleau vertical, encre de chine sur papier, rouleau suspendu avec revêtement. H 96,5 x L 41,3 cm. Musée National de Kyushu

Références


Bibliographie

Histoire de l'art. Peinture chinoise

  1. Zheng Xinmiao (dir) et : Zhang Hongxing , Guo Guang , Christian Vair(Traducteur), Peinture chinoise, France, Citadelles et Mazenod, 2011, 400 p. (ISBN 978-2-85088-129-9) , (rel. sous emboitage).
  2. Yang Xin,Richard M. Barnhart,Nie Chonghzeng,James Cahill,Lang Shaojun,Wu Hung, Trois mille ans de peinture chinoise, Arles, Philippe Piquier, 2003, 402 p. (ISBN 2877306674) .
  3. Emmanuelle Lesbre,Liu Jianlong, La peinture chinoise., Paris, Hazan, 2004, 480 p. (ISBN 2850259225) .
  4. François Cheng, Chu Ta - Le génie du trait., Paris, Phébus (Editions), 1986, 154 p. (ISBN 2859400702) . Dernière édition 1999.
  5. François Cheng, D'où jaillit le chant. La voie des fleurs et des oiseaux dans la tradition des Song., Paris, Phébus (Editions), 2000, 156 p. (ISBN 2859406832) .
  6. François Cheng, Shitao 1642-1707. La saveur du monde., Paris, Phébus (Editions), 1998, 156 p. (ISBN 285940547X) . Dernière édition 2000.
  7. François Cheng, D'où jaillit le chant. La voie des fleurs et des oiseaux dans la tradition des Song., Paris, Phébus (Editions), 2000, 156 p. (ISBN 2859406832) .
  8. François Cheng, Toute beauté est singulière - Peintres chinois à la Voie excentrique., Paris, Phébus (Editions), 2004, 234 p. (ISBN 2752900295) .
  9. Danielle Elisseeff, Art et archéologie : la Chine du néolithique à la fin des Cinq Dynasties (960 de notre ère), Paris, École du Louvre, Éditions de la Réunion des Musées Nationaux (Manuels de l'Ecole du Louvre), 2008, 381 p. (ISBN 9782904187235 (Ecole du Louvre)))  Ouvrage de référence, bibliographie et Sites Internet.
  10. Danielle Elisseeff, Histoire de l'art : De la Chine des Song (960) à la fin de l'Empire (1912), Paris, Ecole du Louvre, Éditions de la Réunion des Musées Nationaux (Manuels de l'Ecole du Louvre), 2010, 381 p. (ISBN 9782711855209 (Éditions de la Réunion des Musées Nationaux ))  Ouvrage de référence, bibliographie et Sites Internet.
  11. Chang Lin-Sheng, Jean-Paul Desrosches, Hui Chung Tsao, Hélène Chollet, Pierre Baptiste, François Cheng, Simon Leys, Jacques Giès, Trésors du Musée national du Palais, Taipei. Mémoire d'Empire Galeries Nationales du Grand Palais, Paris, Éditions de la Réunion des Musées Nationaux, 1998-1999 (ISBN 2711836517) 
  12. Chen Kelun, Helen Loveday, Wang Fei, Marie Wyss, Ambroise Fontanet, Georges Goomaghtigh, A l'ombre des pins. Chefs d'oeuvre chinois du Musée national de Shanghaï. Galeries Nationales du Grand Palais, Paris/Genève, Somogy édition d'art, Musée d'Art et d'histoire, 2004 (ISBN 2830602226(Musée d'Art et d'histoire)) 
  13. Jean François Jarrige, Jacques Giès, Pénélope Riboud, Yu Hui, Michael Loewe, Marie-Catherine Rey, Valérie Lavoix, Stéphane Feuillas, Jean-Pierre Diény, Montagnes célestes. Trésors des musées de Chine. Galeries Nationales du Grand Palais, Paris, Éditions de la Réunion des Musées Nationaux, 2004 (ISBN 2711847705) 

Histoire des idées. Peinture chinoise

  1. François Cheng, Vide et plein. Le langage pictural chinois., Paris, Seuil, 1979, 155 p. (ISBN 2020052725) .
  2. François Cheng, Souffle-Esprit. Textes théoriques sur l'art pictural chinois., Paris, Seuil, Ponts, Essais, 2006, 155 p. (ISBN 2020868644) .
  3. Yolaine Escande, Montagnes et eaux. La culture du Shanshui, Paris, Hermann, 2005, 293 p. (ISBN 2705665218) .
  4. Yolaine Escande (traduit et commenté par), Traités chinois de peinture et de calligraphie. Tome 1 : les textes fondateurs (des Han aux Sui), Paris, Klincksieck. L'esprit des formes, 2003, 436 p. (ISBN 2252034505) .
  5. Yolaine Escande (traduit et commenté par), Traités chinois de peinture et de calligraphie. Tome 2 : les textes fondateurs (Les Tang et les Cinq Dynasties ), Paris, Klincksieck. L'esprit des formes, 2010, 1240 p. (ISBN 9782252035740) .
  6. Guo Ruoxu, trad. du chinois et présenté par Yolaine Escande; avant-propos de François Cheng, Notes sur ce que j'ai vu et entendu en peinture., Bruxelles, la Lettre volée, 1994, 204 p. (ISBN 2873170182) .
  7. Shitao(1630-1707),Ryckmans Pierre(1935-...),Editeur scientifique,Traducteur, Les propos sur la peinture du moine Citrouille-Amère., Paris, Plon, 2007, 249 p. (ISBN 9782259205238) .
  8. Chang-Ming Peng, En regard - Approche comparée de la peinture chinoise et occidentale., Paris, You-Feng (Librairie), 2005, 280 p. (ISBN 2842792238) .
  9. Chang-Ming Peng, Proche-Lointain - Approche comparée de l'art chinois et occidental., Paris, You-Feng (Librairie), 2008, 284 p. (ISBN 9782842793685) .
  10. Gilles Béguin, L'art bouddhique, Paris, CNRS (éditions), 2009, 415 p. (ISBN 978-2-271-06812-5) . pp : 279-331.

Arts moderne et contemporain (peinture incluse)

  1. Éric Janicot, L'Art Moderne Chinois. Nouvelles approches, Paris, Éditions You Feng, 2007, 255 p. (ISBN 9782842793425) .
  2. Christophe Comentale, Cent ans d'art chinois, Paris, La Différence, 2010, 398 p. (ISBN 978-2-7291-1846-4) .
  3. Michel Nuridsany, L'Art Contemporain Chinois, Paris, Flammarion, 2004, 265 p. (ISBN 2-08-011301-1) .

Voir aussi

Liens externes

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