Louis renault (industriel)

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Louis Renault (industriel)

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Louis Renault
Louis renault 1926.jpg

Naissance 15 février 1877
Paris
Décès 24 octobre 1944 (à 67 ans)
Paris
Profession(s) Industriel fondateur de Renault

Louis Renault (15 février 1877 à Paris - 24 octobre 1944 à Paris) est un inventeur français, pilote de course et chef d'entreprise pionnier fondateur emblématique de l'industrie automobile française avec l'empire industriel Renault.

Sommaire

Biographie

Enfance de Louis Renault

Les trois frères Renault : Marcel, Louis et Fernand.

Il naît le 15 février 1877 à Paris dans une famille bourgeoise parisienne dont il est le quatrième enfant sur cinq (deux sœurs et deux frères). Son père, Alfred Renault a construit une solide fortune dans le commerce de tissus et des boutons et sa mère Louise est fille de commerçants aisés.

1891: âgé de 14 ans, passionné de mécanique et d'électricité, timide et solitaire, peu bavard, il installe un atelier au fond du jardin de la résidence secondaire familiale à Boulogne-Billancourt près de Paris. Il modifie un vieux moteur Panhard, multiplie les inventions, dessine inlassablement des plans, dépose ses premiers brevets et s’enferme dans sa solitude créative. Sa passion le pousse à négliger ses études. Il passe une grande partie de son temps dans l’atelier où Léon Serpollet fabrique des moteurs de voiture à vapeur.

Il étudie au lycée Condorcet dans le 9e arrondissement de Paris, abandonne les études qui ne sont pas son fort après le baccalauréat et compte sur son imagination prolifique, son intuition et son pragmatisme.

Première automobile

Louis Renault et sa première voiturette en 1903

Avant cette date, Renault a tout de même essayé de créer sa première entreprise, mais ce n'est qu'en 1898, âgé de 21 ans, qu'il construit sa première voiturette en modifiant un tricycle De Dion-Bouton pour y ajouter une quatrième roue, une transmission par cardan, une boîte à 3 vitesses avec la troisième en « prise directe » de son invention, et une marche arrière le tout capable d'une vitesse de 50 km/h.

Le 24 décembre 1898, lors du réveillon de Noël avec ses frères et des amis, il empoche ses 12 premières commandes fermes assorties d'un acompte de soixante louis d’or et décide de devenir constructeur d’automobiles. Quelques mois plus tard, il dépose le brevet de la boite de vitesse à « prise directe » - elle sera à l'origine de sa fortune et sera adoptée par tous les constructeurs automobiles de l'époque.

Fondation de Renault Frères

L'usine Renault Frères au début du XXe siècle

En 1899, ses deux frères Marcel et Fernand qui gèrent la firme de textile paternelle « Renault Fils, tissus en gros » fondent la société Renault Frères au 10 avenue du Cours à Boulogne-Billancourt en apportant chacun la moitié d'un capital de 60 000 francs or et 60 employés sans croire véritablement ni à l'automobile ni au génie de leur frère. Louis n'est pas associé, simple salarié mis à l'épreuve et bénéficiaire de son brevet. Marcel se charge de l'administratif et Louis se consacre complètement à la conception et la construction des voitures. À la fin de la première année, 76 voiturettes sont produites et vendues.

Pilote de course automobile

En août 1899 il s'aligne avec son frère Marcel, au départ de la course Paris-Trouville et obtient sa première victoire d'une longue série de courses de ville à ville de l'époque. Dans leur catégorie, les Renault n’ont pas de rivaux. Ils gagnent dans la foulée Paris-Ostende, Paris-Rambouillet et Toulouse-Paris. La même année, il achève la construction de sa première voiture à conduite intérieure. (Il a pour beau-frère le dessinateur Jacques Boullaire). Ses grands succès en compétition automobile font sa célébrité et le succès de ses commandes vendues 3 000 francs or (dix ans d'un salaire moyen de l'époque).

Louis participe avec Marcel aux Jeux Olympiques d'été de 1900.

En 1902 les usines Renault s'étendent sur 7 500 m² à Boulogne-Billancourt avec plusieurs modèles au catalogue. Louis présente son premier moteur Renault, 24 CV, 4 cylindres et invente et dépose le brevet du turbo.

Disparition accidentelle de Marcel Renault

En 1903 Louis perd son frère Marcel Renault âgé de 31 ans victime d’une sortie de route près de Couhé-Vérac en Poitou-Charentes lors de la course automobile Paris-Madrid. Traumatisé par cette mort, il abandonne la compétition et recrute des pilotes expérimentés pour piloter ses voitures partout dans le monde. Il rachète les parts de société de son frère disparu et Fernand développe le réseau commercial de Renault Frères en France, en Europe et aux États-Unis.

En 1905, la société reçoit sa première grosse commande : 250 taxis. Louis transforme ses installations artisanales en industrie de production de série et devient le premier constructeur d'automobile français. Deux ans plus tard un taxi sur deux en France et en Angleterre sont des Renault qui s'exportent avec succès jusqu'à New York et Buenos Aires en Amérique.

En 1906, Louis se lance avec succès dans sa seconde passion avec la fabrication de moteur d'avion performants qui bat record sur record dans les airs.

En 1908, Fernand Renault vend ses parts de société à Louis, se retire puis meurt des suites d'une longue maladie en 1909. Louis Renault devient alors à 32 ans seul héritier de la fortune familiale et seul maître de sa société qu'il renomme en « Société des Automobiles Louis Renault ». Il est très inventif et ses voitures sont de plus en plus performantes.

En 1910, il effectue un voyage aux États-Unis pour étudier les méthodes industrielles (fordisme) de son concurrent Henry Ford avec son modèle unique et pas cher de Ford T. Sa tentative d'appliquer le travail à la chaîne pour augmenter la productivité (taylorisme) en France se heurte à de sérieux problèmes sociaux et il essuie ses premières grèves en 1913 dans son usine de plus de 136 000 m2. Incapable d’attirer la sympathie, devenu un industriel tout puissant en quelques années seulement, il se comporte en véritable seigneur féodal dans ses usines. Hautain, autoritaire, cassant et coléreux, il ne supporte pas le moindre faux pas et ne tolère aucune contradiction. Il n'est bien que dans son bureau d'étude où il est un acharné au travail surdoué, prolifique, inventif plein de génie.[réf. nécessaire]

Les fabrications de guerre

Les usines de Billancourt sont en partie fermées d'août à fin septembre 1914, puis elles se consacrent essentiellement aux fabrications de guerre. Les voitures et moteurs d'avions sont construits à Lyon où les usines Renault ont été réinstallées pour toute la durée de la guerre. Du 6 au 8 septembre 1914, les taxis 2 cylindres parisiens avaient été réquisitionnés par les autoriétés militaires. Les taxis de Paris étaient devenus les "Taxis de la Marne". Pendant quatre ans, Louis Renault participe intensivement à l'effort de la guerre. En plus des voitures, camions, tracteurs, obus et fusées, il construit des éléments de fusils et canons, des moteurs d'avion et même des appareils de reconnaissance; en 1917, il achève la mise au point du fameux char léger FT qui s'inscriva comme "Le Char de la Victoire". Du torpédo 11 CV type "guerre" à la 6 cylindres du Maréchal Joffre, Renault livre à l'armée un à peu près tous les types de voitures de sa gamme 1914. La production des automobiles est évidemment supplantée par celle des engins de guerre, mais néanmoins, une gamme assez complète demeure au catalogue; en 1916, Renault propose encore châssis et cinq modèles carrossés; de 5000 voitures annuelles à la veille de la guerre, les cadences tombent à 615 voitures et voiturettes en 1915. Les nouveautés sont rares au cours de ces quatre années et l'on se limite à des projets qui seront repris après la guerre. Début août 1914, les usines Renault on été mises en sommeil. Le personne se trouve sous les drapeaux dans sa quasi-totalité, et le patron Renault est lui-même aux armées. A Billancourt, comme partout ailleurs, on n'avait pas cru à l'éventualité d'une guerre et rien est prévu pour une mobilisation industrielle. Le soldat Louis Renault n'est pas tout à fait un soldat comme les autres; sa réputation de grand industriel l'a suivi et dès août 1914, il est convoqué par l'état-major, puis envoyé à Bordeaux pour y rencontrer le ministre Millerand, replié avec le gouvernement Poincaré depuis le 2 septembre. Ordre lui est donné de se rendre à Bourges, et de rencontrer les responsables des arsenaux et des usines qui, jusque-là, avaient le monopole absolu des fabrications d'obus . Millerand met fin à ce monopole et Renault se voit confier la fabrication d'obus en grande série. André Citroën - lui aussi mobilisé - ne s'intéressera à la production de ces projectiles qu'en décembre 1914 et son usine de Javel ne commencera à produire des obus qu'au printemps 1915 mais à une cadence énorme.

Première Guerre mondiale

En 1914 l'usine compte plus de 5 000 employés pour fabriquer plus de 4 200 véhicules par an. La plupart d'entre eux sont mobilisés pour la Première Guerre mondiale et remplacés par leur femmes pour participer à l'effort de guerre en fabriquant camions, ambulances, brancards, plus de 8 millions d'obus pour l'armée française et 14 500 moteurs d'avions pour les alliés (premier producteur français de moteurs d'avion). Les taxis Renault sont réquisitionnés sous le nom de Taxis de la Marne pour envoyer 4 000 hommes de troupes sur le front et remporter une première victoire historique ultra médiatisée.

En 1917 Louis dessine et construit le premier char mitrailleur léger Renault FT 17 aux qualités remarquables qui aident à la victoire finale de 1918. Sa contribution exceptionnelle à la victoire des Alliés font de lui un héros international et décuple l'image de Renault dans le monde. Il est décoré de la Grand-croix de la Légion d'honneur.


Entre-deux-guerres

En 1919 les américains épargnés par la guerre, ont pris une considérable avance économique, industrielle et technologique sur l'Europe et sont entrés dans l'ère de la consommation avant l'Europe grâce surtout à Ford qui produit en série des véhicules bon marché démocratisés, moteur de l'économie nationale américaine. L'âge d'or des voitures françaises est terminé. Louis est un des trois cofondateurs de la Compagnie des messageries aériennes.

L'empire Renault se développe et en 1928 Louis Renault est le patron autoritaire et emblématique de 20 000 employés, une place qu'il occupe presque 20 ans.

En 1921 Louis développe avec succès la Société Anonyme des Usines Renault (SAUR) en empire industriel et fait entrer une banque dans son capital pour tenir tête à la concurrence mondiale. A l'image de Ford, Renault acquiert l'ensemble des éléments utiles à son développement : fonderies, forges, carrières de sable, domaine forestier, scierie, aciers, carton, caoutchouc, huiles, lubrifiants, matériel électrique, etc.

Île Seguin à Boulogne-Billancourt, symbole des luttes sociales ouvrières

En 1922 Louis lance sa première chaîne de montage moderne et en 1929 il démarre sa grande usine historique de fabrication moderne sur l'île Seguin à Boulogne-Billancourt, symbole et emblème de progrès industriel et symbole de luttes sociales. Il entre également en compétition effrénée dans tous les domaines industriels et techniques avec son grand rival André Citroën aux dépens des petits constructeurs qui disparaissent.

En 1928 Jean Mermoz franchit la cordillère des Andes à bord d'un Latécoère 25 à moteur Renault.

En 1929, la marque est présente dans 49 pays partout dans le monde mais les américains assurent 85% de la production automobile mondiale. Louis Renault rachète la société des avions Caudron, entre dans le capital d'Air France et participe à la création d'Air Bleu pour le transport postal aérien en France.

En 1934 Citroën lance avec succès la révolutionnaire Citroën Traction Avant mais André Citroën doit déposer le bilan suite à une gestion hasardeuse et meurt l'année suivante en 1935. Malgré les sollicitations du gouvernement, Louis refuse de reprendre son concurrent par peur des difficultés de fusion au profit de l'industriel Michelin.

En 1936 suite de la victoire du Front populaire aux élections législatives d'avril, les ouvriers de Renault Boulogne-Billancourt deviennent les leaders emblématiques de l'amélioration des conditions de travail et de vie et de la lutte ouvrière syndicale en France. La production atteint en même temps le chiffre record de 61 146 véhicules.

Seconde Guerre mondiale

En 1939 les usines de Billancourt sont parmi les premiers fournisseurs de matériel de guerre pour l'armée française. En mai 1940, Louis Renault s'envole pour les États-Unis afin d'y accélérer la production de chars de combat et résister à l'avancée allemande. Mais il est trop tard. En son absence, ses usines sont réquisitionnées par la Wehrmacht et, une fois qu'il est de retour à Paris, deux ateliers, détachés de l'usine, sont contraints de réparer des chars de combat. Les usines Renault sont en effet passées sous administration allemande et sous tutelle de Daimler-Benz. L'usine fonctionne au ralenti. La production des usines Renault pendant l'occupation représentera la moitié de la production de la seule année 1939 pour l'armée française, et 29 % de celle du mois de mai 1939.

En mars 1942 les Usines Renault de l'Ile Seguin à Boulogne-Billancourt sont les premières cibles prioritaires des bombardiers britanniques et alliés de la Royal Air Force qui anéantissent totalement l'œuvre de sa vie. Les très sérieux problèmes de santé dont il souffre officiellement depuis 1934 (insuffisance rénale majeure) s'aggravent, Louis Renault devient aphasique, ne parvient plus à tenir de conversation ni à écrire.

Disparition

Après la libération de Paris, il est accusé de collaboration et la presse écrite se déchaîne contre lui. Le 23 septembre 1944, rongé par la maladie, il se rend librement à la convocation d'un juge qui l'inculpe et le fait aussitôt incarcérer à la prison de Fresnes où il est mis au secret pour « commerce avec l'ennemi ». Sa santé se dégrade rapidement, il est laissé sans soin et se plaint d’être battu pendant la nuit. Sa femme, Christiane Renault réussit à le faire examiner début octobre par un médecin qui constate une vertèbre cervicale cassée et une crise d'urémie aiguë. Il est alors transféré dans un hôpital psychiatrique, puis le 9 octobre à la clinique Saint-Jean-de-Dieu à Paris où il sort un instant du coma pour murmurer à son épouse « et l’usine ? ». Il décède le 24 octobre 1944 à l'age de 67 ans, un mois après son incarcération.

Aucune enquête officielle n'a permis de connaître les conditions de sa détention et les responsables des mauvais traitements qu'il a subis à la prison de Fresnes. Dans le contexte de l'Épuration, la mort plus ou moins violente de Louis Renault ne causa que peu de remous.

Ce n'est que beaucoup plus tard que quelques bribes surgirent. Il est possible qu'un gardien l'ait frappé à coup de casque lourd mais l'action de militants syndicaux introduits clandestinement dans la prison ne peut être exclue. Mais pendant plusieurs décennies la question fut de celles qu'on ne pose pas.

Louis Renault est inhumé à Herqueville dans l'Eure.

Nationalisation

Le 1er janvier 1945, quatre mois après la mort de Louis Renault, une ordonnance du Gouvernement provisoire de la République française présidé par le général de Gaulle prononce la dissolution de la société Renault et sa nationalisation sous le nom de « Régie nationale des usines Renault ». Dans l'exposition des motifs, Louis Renault était accusé de manière particulièrement vague, car en réalité, le dossier d'accusation demeurait vide. C'est en fait la première fois, dans un Etat de droit, qu'un homme était condamné sans avoir été jugé. Les auteurs de l'ordonnance en avaient conscience puisqu'ils avaient estimé, lors de la préparation du texte, qu'un tel acte serait "exorbitant du droit commun". Avant même la publication de l'ordonnance, le directeur, René de Peyrecave, qui avait eu la responsabilité effective de l'usine pendant l'occupation, et qui la revendiquait, était mis en liberté provisoire. Enfin, dès 1949, il obtenait un non lieu, la justice admettant ainsi que les usines Renault n'avaient pas collaboré. En 1982, un résistant de l'OCM, et cadre de l'entreprise, Robert de Longcamps, réclamera en vain la réhabilitation de Louis Renault "injustement accusé de collaboration avec l'ennemi", mais sa lettre au Garde des Sceaux, Robert Badinter, restera sans réponse. Le centralien Pierre Lefaucheux, ingénieur membre de la résistance, fut nommé Directeur Général de la nouvelle régie nationale.

  • « C’est en connaissance de ces faits (prestations pour l’armée allemande) et en pleine connaissance des préjudices qu’ils ont causés au pays, que le gouvernement a décidé de procéder à la nationalisation de ces usines ... »

Le 29 juillet 1967 une loi a reconnu le droit à l'indemnisation très partielle de Jean-Louis Renault, unique héritier direct de Louis Renault vis à vis de biens personnels non industriels.

Distinctions

Louis Renault est titulaire de la Grand-croix de la Légion d'honneur pour sa contribution exceptionnelle à la victoire de la Première Guerre mondiale en 1918. Il a été radié par le gouvernement de Vichy.

Sources

  • Laurent Dingli, Louis Renault, Paris, Flammarion, 2000.
  • Emmanuel Chadeau, Louis Renault, Paris, Plon, 1998.
  • Gilbert Hatry, Louis Renault, patron absolu, Paris, Lafourcade, 1982, 1990.
  • Patrick Fridenson, Histoire des usines Renault, Paris, Seuil, 1972, 1998.
  • Jean-Noël Mouret, Louis Renault, Paris, Gallimard, 2009.
  • Anthony Rhodes, Louis Renault. A biography, Londres, Cassel, 1969.
  • Saint-Loup, Renault de Billancourt, Paris, Le Livre Contemporain, 1961.

Bibliographie

  • Jean-Noël Mouret, Louis Renault, Gallimard/Folio, 2009 (ISBN 978-2070338221)

Liens internes

Liens externes

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