- La Motte-d'Aigues
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La Motte-d'Aigues
Temple
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Vaucluse Arrondissement Apt Canton Pertuis Code commune 84084 Code postal 84240 Maire
Mandat en coursGuy Genty
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes Luberon-Durance Démographie Population 1 328 hab. (2008) Densité 91 hab./km² Gentilé Mottassins, Mottassines Géographie Coordonnées Altitudes mini. 295 m — maxi. 1057 m Superficie 14,63 km2 La Motte-d'Aigues (en provençal La Mouto) est une commune française, située dans le département de Vaucluse et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Les habitants de la commune de la Motte-d'Aigues sont les Mottaiguois et les Mottaiguoises.
Sommaire
Géographie
Le village est posé sur le contrefort sud du massif du grand Luberon, au pied de son sommet, le Mourre Nègre.
Accès et transport
La route départementale 120, qui dessert le nord de la commune, et la route départementale 27, qui dessert le sud de celle-ci, passent dans le village.
Sismicité
Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[1].
Hydrographie
Le territoire de la commune est traversé par quatre rivières au régime torrentiel :
- le Torrent le Riou, 11,3 km, qui passe par les communes de La Motte-d'Aigues, Peypin-d'Aigues, Saint-Martin-de-la-Brasque et La Tour-d'Aigues[2].
- le Vallat des Cayoux, 2 km, qui se retrouve sur la commune de la Tour-d'Aigues[3].
- le Ruisseau l'Ourgouse, 13,2 km, qui traverse les communes de Cabrières-d'Aigues, la Motte-d'Aigues, Saint-Martin-de-la-Brasque et la Tour-d'Aigues[4].
Il a lui-même un affluent : le Torrent de Pissay, 3,1 km, qui prend sa source dans la commune de La Motte-d'Aigues[5].
Situé en bordure de la commune, l'étang de la Bonde, le plus grand plan d'eau du département, est alimenté principalement par la source du Mirail, il se déverse dans de nombreux petits cours d'eau affluents directs en rive droite de la Durance comme l'Èze. Il y a aussi d'autres sources de plus faible importance sur la commune :
- Le Rocher de l'Aigle
- Cante Bonne
Climat
La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare. Protégée par le Massif du Luberon, la commune est partiellement abritée du mistral.
Relevé météorologique de la région de Pertuis mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 3,2 4,1 6,5 9,1 13 16,6 19,1 19 15,8 13,5 7,4 4,3 11 Température moyenne (°C) 7,1 8,3 11,1 13,7 17,9 21,6 24,3 24,1 18 17 11,2 8,1 15,2 Température maximale moyenne (°C) 11 12,7 15,7 18,3 22,8 26,8 29,7 29,5 25 20,5 15 11,9 18,2 Précipitations (mm) 35,3 21,3 21,9 40,6 27,6 14,6 8,2 18,3 57 52,3 39,1 25,6 287,6 dont pluie (mm) 33 18 21 40,6 27,6 27,6 8,2 18,3 57 52,3 37 23 280 dont neige (cm) 2 3 0,5 0 0 0 0 0 0 0 1,5 2 9 Source : Relevé météo de Pertuis[6]Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 35.3113.221.312.74.121.915.76.540.618.39.127.622.81314.626.816.68.229.719.118.329.519572515.852.320.513.539.1157.425.611.94.3Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Lieux-dits, Hameaux et écarts
- Le village
- Le Plan
- La Bonde
- Le Moulas
- La Petite Bonde
- Le Desen
- Félicianne
- Les Garrigues
- Sainte-Jeanne
- Saint-Jean
- La Vallée d'Or
- La Colétine
- Le Moulin Neuf
- Cante-Bonne
- Les Gouirands
- Vaucèdes
- Ferréol
- Les Gaudin
- Les Barret
- La Calade
- le Claux
Urbanisme
Morphologie urbaine
Répartition des sols
La répartition des sols de la commune est la suivante[7] (donnée pour un total de) :
Type d'occupation Pourcentage Superficie (en hectares) Zones urbaines 4,13 % 60,52 Zones agricoles 45,81 % 671,59 Zones naturelles 50,05 % 733,72 Total 100 % 1 465 97 Les zones naturelles (la moitié du territoire) sont principalement formées par les forêts méditerranéennes couvrant le petit Luberon. Les zones agricoles sont formées de vergers de fruitiers (oliviers, amandiers, etc), des champs de lavandin et des vignes (AOC Côtes du Luberon).
Logement
Toponymie
Le celtique Mota et le bas-latin Motta désigne une petite élévation, naturelle ou artificielle, la motte sur laquelle s'éléve le château seigneurial. On retrouve ces termes : Oppido Muta en 1096, La Mota en 1168, La Motta au XVIe siècle[8].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Près de la ferme Saint-Jean a été découverte et fouillée une nécropole gallo-romaine. Six corps ont été retrouvés ainsi qu'un bloc sculpté, des débris de verres, un vase en céramique intact et des morceaux de tuiles. Cet ensemble a été daté du Ier siècle[9].
Moyen Âge
Le village fut fondé vers le XIe siècle. Il est désigné en tant de Mota Aiguerii et comme une dépendance de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon dans les bulles des papes Gélase II et Alexandre III. En 1168, le castrum de la Motte ainsi que ceux de Saint-Martin-de-la-Brasque et de Cadenet sont cédés par Bertrand II à Alix, épouse de Giranud Amic, de la branche cadette de la maison de Sabran[10].
Ce fief, sous la première et seconde maison d'Anjou, qui régnaient sur le royaume de Naples et le Comté de Provence, dépendait de la viguerie d'Apt[10]. Au début du XVe siècle, ce fief était revenu par héritage à Elzéar de Sabran, le petit-neveu du comte d'Ariano. Il dut l'hypothéquer en favaur d'Antoine Brodoqui qui en rendit hommage à Louis II d'Anjou, Comte de Provence, en 1417. Puis ayant apuré ses dettes, la seigneurie lui revint en 1428[9].
Renaissance
Complètement déserté pendant la seconde moitié du XVe siècle[11], ce fief fut donné par le roi René, Comte de Provence, aux Agoult[10]. Fouquet d'Agoult, baron de Sault et chambellan du roi, décida de créer une réserve d'eau pour le château de La Tour d'Aigues et fit construire un aqueduc au XVe siècle. L'Étang ainsi constitué permit l'irrigation de toute la vallée d'Aigues.
Le Roi René confirma le 13 février 1459 le rattachement de Cabrières-d'Aigues, La Motte-d'Aigues et Villelaure à Pertuis[12].
Mais la Motte étant restée inhabitée, en 1505, Louise d'Agoult, tutrice de son neveu François de bolliers, seigneur de la Motte, la Toursd'Aigues et Cabrières, signa un acte d'habitation pour repeupler ces terres. Elles fit appel pour cela à des Piémontais, adeptes du valdéisme. Ce furent les premiers Vaudois du Luberon[9].
En 1545, condamné par l´édit de Mérindol en tant que village vaudois, la Motte, tout comme 23 autres villages vaudois du Luberon, fut attaqué. Avec comme chefs militaires Paulin de La Garde et Joseph d'Agoult, sous la direction du premier président du Parlement d’Aix, Jean Maynier, baron d’Oppède, les villages vaudois furent pillés, les hommes massacrés ou envoyés aux galères, les femmes violées avant d’être tuées. Certains furent même vendus en esclavage. Il y eut près de 3 000 personnes exterminés en cinq jours et 670 hommes rescapés envoyés aux galères du Capitaine Paulin. Enfin, les terres furent confisquées et les biens pillés bradés au dixième de leur prix pour payer les soldats.
Le 12 février 1560, Paulon de Mauvans rallia les soixante églises protestantes de Provence à la conjuration d'Amboise, et ce fut deux mille hommes qui rejoignirent le parti huguenot[13]. Ralliés au protestantisme après le synode de Chanforan de 1532, les Vaudois du Luberon fournirent près du quart des effectifs des huguenots d'Afrique du Sud lors de la révocation de l'édit de Nantes, qui provoque au total l'exil de plus de 200.000 huguenots.
En 1585, La Motte ainsi que la Tour d'Aigues et Ansouis furent pris par le baron de Vins, chef de la Ligue en Provence[10].
Période moderne
Le 12 août 1793 fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.
Article détaillé : Histoire de Vaucluse.Période contemporaine
Lors de la Seconde Guerre mondiale, le Luberon fut un centre actif des maquis de la Résistance. Le territoire de la Motte était inclus dans le triangle formé par Grambois, Cabrières-d'Aigues et Mirabeau[14]. En août 1944, ces maquisards reçurent l'ordre de bloquer le Pont de Mirabeau afin de couper toute retraite par la vallée de la Durance aux armées allemandes. Ils firent sauter une partie du tablier du pont dans la nuit du 17[15].
Administration
Tendances politiques
Administration municipale
Listes des maires
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 mars 2008 Guy Genty mars 2008 en cours Guy Genty Toutes les données ne sont pas encore connues. Instances administratives et juridiques
La Motte-d'Aigues est une des quatorze communes du canton de Pertuis qui totalise 32 492 habitants en 2006. Le canton fait partie de l'arrondissement d'Apt depuis 1801 (sauf de 1926 à 1933 où ce fut Cavaillon) et de la Deuxième circonscription de Vaucluse. Mirabeau fait partie du canton de Pertuis depuis 1801 après avoir fait partie du canton de Cucuron de 1793 à 1801[16].
La Motte-d'Aigues fait partie de la juridiction d’instance d’Apt, mais du greffe détaché Pertuis, et de grande instance, de prud'hommale, de commerce et d' affaires de Sécurité sociale d’Avignon[17].
Politique environnementale
Collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et protection et mise en valeur de l'environnement dans le cadre de la Communauté de communes Luberon-Durance.
La commune fait partie du Syndicat intercommunal à vocations multiples (SIVOM) Durance-Luberon qui est un Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui regroupe 21 communes des 23 communes (Lourmarin et Vaugines n'en font pas partie) des deux cantons de Pertuis et de Cadenet a pour compétence la distribution de l'eau et l'assainissement. Il a été crée en en 1989 par transformation du syndicat intercommunal crée en 1946 mais qui n'avait comme compétence que la distribution de l'eau. Il comprend 42 membres (deux par commune). Son président est Maurice Lovisolo (vie-président du Conseil général de Vaucluse)[18]. Le prix de l'assainissement est variable dans chaque commune ( à cause de la surtaxe communale) alors que celui de l'eau est identique[19].
Fiscalité
L'imposition des ménages et des entreprises à La Motte-d'Aigues en 2009[20] Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 11,50 % 0,19 % 7,55 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 15,00 % 0,25 % 10,20 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 21,72 % 0,25 % 28,96 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 20,36 % 13,00 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[21]).
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Le recensement de 1826, qui ne serait qu'une réactualisation de celui de 1821, n'a pas été retenu.
Le recensement de 1871 a été, pour cause de guerre, repoussé à l'année 1872.
Le recensement de 1941, réalisé selon des instructions différentes, ne peut être qualifié de recensement général, et n'a donné lieu à aucune publication officielle.
Les résultats provisoires du recensement par sondage annuel réalisé en 2004, 2005 et 2006 selon les communes sont tous, par convention, affichés à 2006.Éducation
La commune de la Motte-d'Aigues a une école primaire[26],[27]., ensuite les élèves sont affectés au Collège Albert Camus à La Tour d'Aigues[28],[29], puis le Lycée Val de Durance[30] à Pertuis (enseignement général) ou Lycée Alexandre Dumas[31] à Cavaillon soit Lycée Alphonse Benoit[32] à L'Isle-sur-la-Sorgue (enseignements techniques).
Sport
La commune permet la pratique de la randonnée.
Grâce à l'étang de la Bonde, la pratique de la baignade, ainsi que la pèche et la planche à voile sont possibles. Le plan d'eau de la Bonde est ainsi ouvert à la baignade toute l'année et est surveillée à partir du 1er juillet jusqu'au 31 août sur la plage principale côté ouest (commune voisine) de l'étang face au camping. L'entrée du parking de cette plage est payant durant la période estivale mais on peut se garer librement vers la digue sud sur le parking du restaurant du lac. Quatre courts de tennis sont à disposition toute l'année.
Santé
L'hôpital le plus proche est à Pertuis.
Culte
L'église catholique, sous le vocable de Saint-Jean, date du XVIIe siècle, en effet, sur le linteau d'une de ses portes a été gravée la date de 1618. Elle fut agrandie et restaurée dans le goût du XIXe siècle[9].
Le temple de la commune a eu une histoire plus mouvementée. Après la Révolution on assista au retour de quelques familles exilées à la suite du massacre des Vaudois. Le village de la Motte vit son temple reconstruit en 1817. Celui-ci menaçant de tomber en ruines dès la fin du XIXe siècle, il fut décidé de le reconstruire. Ce fut fait au cours de l'année 1904 et il put être inauguré le 30 juillet 1905. Cette paroisse est de nos jours fusionnée avec celles de Lourmarin et de Cabrières-d'Aigues[33].
Il existe aussi une chapelle privative au château de la Bonde (XIX° siècle).
Économie
Agriculture
L'irrigation a permis de développer des cultures de primeurs. Mais la commune s'est résolument tournée vers l'exploitation des vergers (cerise), des oliviers et de la vigne[11]. Le vignoble de la commune est classé dans l'Appellation d'Origine Contrôlée (AOC) côtes du Luberon. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément le label Vin de pays d'Aigues[34]. La quasi totalité de ces vins sont vinifiés et élevés à la « cave de la Motte-d'Aigues »[35] ou par « La Bastide du Claux »[36].
Les agriculteurs disposent en ligne d'un service météo qui couvre leur commune[37].
Tourisme
Comme l'ensemble des communes du Luberon, le tourisme joue un rôle, directement ou indirectement, dans l'économie locale.
On peut considérer trois principales sortes de tourisme en Luberon. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche des villages perchés ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le Luberon et ses environs[38].
En plus, fait unique, elle offre une base nautique sur l'étang de la Bonde[11].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Il y aurait sur la commune deux lavoirs et quatre fontaines alimentées par des mines d’eau[39].
- Étang de la Bonde, le plus grand plan d'eau du département.
- Le Château, grande bâtisse jouxtant l'étang.
- Un monument aux morts.
Vie locale
- Marché artisanal nocturne le jeudi, en été.
- Fête communale le 2e dimanche de juillet.
- Fête de la Vigne et du vin le samedi de l'Ascension.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Joubert, un vaudois de La Motte-d'Aigues, exilé en Afrique du Sud où il fonda les villages de Provence, de Lamotte et de La Roque.
- Gustave Fagniez (1842-1927), écrivain et académicien, était propriétaire du château de la Bonde au bord de l'étang du même nom.
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes de Vaucluse.Les armes peuvent se blasonner ainsi :
D'argent au château de gueules, ajouré et maçonné de sable, ouvert du champ, posé sur une terrasse aussi de sable.[40]
Pour approfondir
Bibliographie
: source utilisée pour la rédaction de cet article
- L. F. Frossard & L. Frossard, Les Vaudois de Provence, 1848
- Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876.
- Gabriel Audisio, Les vaudois du Luberon Une minorité en Provence (1460-1560), Association d'Etudes Vaudoises et Historiques du Luberon (ISBN 2-9500679-0-5)
- Robert Bailly, Dictionnaire des communes de Vaucluse, Éd. a. Barthélemy, Avignon, 1985, (ISBN 2903044279)
- Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980 (ISBN 978-2-7242-0785-9)
- Patrick Ollivier-Elliott, Luberon, Carnets d'un voyageur attentif, Edisud (ISBN 2-85744-523-7)
- Jacques Marseille (sous la direction de), Dictionnaire de la Provence et de la Côte d'Azur, Éd. Larousse, Paris, 2002. (ISBN 2035751055)
- Jean-Pierre Muret, La Motte d'Aigues, Editions Pour le Luberon (ISBN 2-912097-30-4)
- Alfred Maille, Pertuis et ses environs, Paris, Res Universis, 1989, 158 p.
Liens externes
Notes et références
- Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
- (fr) SANDRE, « Fiche torrent le riou (X3110560) ». Consulté le 6 septembre 2008
- (fr) SANDRE, « Fiche vallat des cayoux (X3110580) ». Consulté le 6 septembre 2008
- (fr) SANDRE, « Fiche ruisseau l'ourgouse (X3110600) ». Consulté le 6 septembre 2008
- (fr) SANDRE, « Fiche torrent de pissay (X3111060) ». Consulté le 6 septembre 2008
- (fr) Relevé météo de Pertuis, MSN Météo
- (fr) La Motte-d'Aigues, Parc du Luberon
- Michel Fraysset, Pertuis Capitale du Pays d'Aigues, Maison de la Culture Pertuis, 1995 (ISBN 2-908810-01-8)
- Robert Bailly, op. cit., p. 295.
- Jules Courtet, op. cit., p. 179.
- Dictionnaire Provence, op. cit., p. 527.
- Alfred Maille, op. cit., p. 55.
- Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980 (ISBN 978-2-7242-0785-9), p 211-212
- Aimé Autrand, Le département de Vaucluse, de la défaite à la Libération (mai 1940-25 août 1944), p. 89-90.
- Robert Bailly, op. cit., p. 273.
- (fr) Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales), Cassini
- (fr) Les Juridictions judiciaires de Vaucluse, Ministère de la Justice et des Libertés
- (fr) Historique du SIVOM, SIVOM Durance-Luberon
- (fr) Prix de l'eau et de l'assainissement au sein du SIVOM, SIVOM Durance-Luberon
- (fr) Impots locaux à La Motte-d'Aigues, taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- (fr) Recensement de 2006 des communes du Vaucluse, INSEE[PDF]
- (fr) Recensement 2008, INSEE
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007), Insee
- Recensement de la population au 1er janvier 2006
- (fr) l'école
- (fr) Enseignement publique primaire en Vaucluse
- (fr) Carte scolaire du Vaucluse
- (fr) Site du collège Albert Camus, Académique Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site du lycée Val de Durance, Académique Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site du lycée Alexandre Dumas, Académique Aix-Marseille, 2010
- (fr) Site du lycée Alphonse Benoit, Académique Aix-Marseille, 2010
- Jules Courtet, op. cit., p. 296.
- Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse : Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles.
- (en) Cave de la Motte-d'Aigues
- (en) Ludmila et Sylvain Morey, Dommaine de la Bastide du Claux à La Motte-d'Aigues
- (fr) Météo la Motte-d'Aigues
- Massif du Luberon Voir
- (fr) La Motte d'Aigues GS-CP - le jeu de l'oie... Le patrimoine au fil de l'eau
- Armorial des communes du Vaucluse.
Catégorie :- Commune de Vaucluse
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