- Vacqueyras (Vaucluse)
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Pour le vin, voir vacqueyras (AOC).
Vacqueyras
Église de Vacqueyras
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Vaucluse Arrondissement Carpentras Canton Beaumes-de-Venise Code commune 84136 Code postal 84190 Maire
Mandat en coursJean-Marie Gravier
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin Site web http://www.vacqueyras.tm.fr Démographie Population 1 056 hab. (2008) Densité 118 hab./km² Gentilé Vacqueyrassiens, Vacqueyrassiennes Géographie Coordonnées Altitudes mini. 68 m — maxi. 254 m Superficie 8,97 km2 Vacqueyras est une commune française, située dans le département de Vaucluse et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Vacqueyras est aussi le nom d'une appellation locale des côtes du rhône.
Sommaire
Géographie
Accès
Route départementale 8 arrive au nord de la commune, puis la route départementale 7 traverse la commune sur un axe nord-sud et bifurque au sud-est vers Beaumes-de-Venise. La route départementale 52 elle continue vers le sud.
La route départementale 233 part à l'est vers le bois communal de la Peyre.
Communes limitrophes
Relief
Alternance de plusieurs petits vallons de faible amplitude et de plaine + collines à l'est (261 m, à la Muse), extrémité des Dentelles de Montmirail.
Géologie
Les Dentelles de Montmirail sont la partie la plus à l'ouest du massif des Baronnies et constitue la première avancée des Alpes dans la vallée du Rhône.
Dalles rocheuses du jurassique (tithonique), sols calcaires.
Hydrographie
La limade[1] passe au nord et se jette dans l'Ouvèze[2] qui passe à l'ouest.
Le canal de Carpentras traverse la commune, inauguré en 1856, irrigue la commune grâce à un réseau de « fillioles ».
Flore
Végétation méditerranéenne sur les Dentelles de Montmirail comparable à celle des Alpilles sur plusieurs points. On y retrouve plantes aromatiques (thym, romarin, fenouil, lavandin), bois de chênes verts et pins d'Alep, etc.
La vigne est fortement présente sur les coteaux mais aussi dans la plaine caillouteuse des hautes terrasses.
Climat
Le climat est de type méditerranéen avec plus de 100 jours de mistral par an et se caractérise par un rythme à quatre temps : deux saisons sèches (une brève en hiver, une très longue et accentuée en été), deux saisons pluvieuses, en automne (pluies abondantes et brutales) et au printemps[3].
Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année Températures maximales moyennes (°C) 9 11 14 18 22 26 30 29 25 20 13 10 18,9 Températures minimales moyennes (°C) 1 3 4 7 11 14 17 16 14 10 5 2 8,7 Températures moyennes (°C) 5 7 9 13 16 20 23 23 19 15 9 6 13,8 Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 44.4 57.5 61.1 58.9 72.4 43.6 27.8 56.3 67.6 97.4 57.7 48.9 693.4 Source : Archives climatologiques mensuelles - Orange (1961-1990) Tableau comparatif des précipitations relevées en nord Vaucluse lors de l'année 2006[4].
Pluie. Oct. Nov. Dec. Jan. Fev. Mars. Avril. Mai Juin Juil. Août Sept. % de précipitations
comparé à la normale[5]90% 100% 48% 103% 61% 84% 16% 42% 5% 174% 60% 175% Fort orage
(grêle)0 0 0 0 0 0 0 0 0 7 2 2 Températures relevées en nord Vaucluse lors de l'année 2006[4].
Température. Oct. Nov. Dec. Jan. Fev. Mars. Avril. Mai Juin Juil. Août Sept. t° la plus chaude
(date)25,2°
(le 09)21,7°
(le 03)14,2°
(le 04)13,3°
(le 19)15,5°
(le 13)23,9°
(le 31)26,7°
(le 26)30,9°
(le 17)35,2°
(le 28)38,9°
(le 21)34,1°
(le 01)34,2°
(le 04)Nombre de jours
t° > à 30°0 0 0 0 0 0 0 2 16 31 2 8 t° la plus froide
(date)6,6°
(le 05)-5,8°
(le 28)-6,9°
(le 30)-6,8°
(le 15)-4,7°
(le 03)-3,2°
(le 02)-2,8°
(le 08)4,9°
(le 01)9,4°
(le 02)17°
(le 07)11,1°
(le 15)10,3°
(le 01)Nombre de jours
t° < à -6° (forte gelée)0 1 2 5 0 0 0 0 0 0 0 0 Bien que la commune soit située à proximité de l'axe nord-sud qu'est la vallée du Rhône, le relief des Dentelles de Montmirail permet une certaine protection face au mistral. Le tableau suivant correspond aux différentes vitesse du vent enregistrées et à sa fréquence au cours de l'année 2006.
"=" : idem à la normale ; "+" : supérieur à la normale ; "-" : inférieur à la normale.
Mistral. Oct. Nov. Dec. Jan. Fev. Mars. Avril. Mai Juin Juil. Août Sept. Vitesse maximale relevée sur le mois 87 km/h 91 km/h 118 km/h 96 km/h 97 km/h 112 km/h 97 km/h 94 km/h 100 km/h 90 km/h 90 km/h 90 km/h Tendance : jours
avec une vitesse > 16 m/s--- = ++ -- +++ --- ++++ ++++ = = ++++ + Histoire
Préhistoire et antiquité
Si la préhistoire n'a fourni que quelques haches polies[6], prouvant le passage mais non l'habitat de chasseurs-cueilleurs, l'antiquité est plus riche. En effet, un autel dédié au dieu Mars par T. Cornelius a été mis au jour au quartier des Roques et des fragments de lampes à huile et d'amphores au quartier de Mornas[7].
Moyen Âge
En 1210, un traité de paix mit un terme à la guerre des frontières qui opposait le comte Raymond de Toulouse, marquis de Provence, à Guillaume des Baux, prince d'Orange[8]. Dans les clauses de cet accord, il était dit qu'en échange d'Uchaux, le comte recevait Vacqueyras et son château. Désormais la cité eut son destin lié à celui du Comtat Venaissin.
Après la Peste Noire de 1348, un nouveau châtelain prend possession de Vacqueyras et de son château, c'est un Vassadel. Cette famille va garder cette seigneurie jusqu'à la fin du XVIIe siècle.
Période moderne
En 1688, Alexandre Vassadel marie sa fille unique Marie-Charlotte à Joseph-Mathias de Lauris-Castellane, marquis d'Ampuis. Cette famille va conserver sa nouvelle seigneurie jusqu'à la Révolution. Mais juste avant, elle faillit s'allier au « Divin Marquis ».
Au début des années 1760, le jeune marquis de Sade s'est amouraché de la délurée Laure de Lauris-Castellane. Mais son père, syndic de la noblesse du Comtat Venaissin et seigneur de Vacqueyras, s’oppose à ce mariage. Les deux familles se connaissaient portant bien, puisque dès 1701, Joseph-Mathias de Lauris-Castellane avait déjà été syndic de la noblesse, suivi, en 1704, de Gaspard-François de Sade.
Obligé de rompre Donatien, furieux, écrit à Laure «Il n’y aura pas d’horreurs où je me portasse ». Il tint parole.
Toponymie
Relevant l'une des plus anciennes graphies de la commune Vaqueiracio (1137), Charles Rostaing[9] présume une origine du toponyme liée à vaquiere (vacca-aria) avec l'ajout d'un suffixe -acium. On note ensuite Vacairas et Vachairas en 1143, puis Vacairatio en 1253 et Vaquerrassio en 1360.
Plus qu'un hypothétique lien avec Vachières, lieu où viennent paître et ruminer les vaches, il faut privilégier un Val Queyras, une vallée des pierres, étymologie plus conforme au terroir vacqueyrassien où les vertes prairies ont toujours brillé par leur absence.
D'ailleurs le blason parlant du XIXe siècle sur lequel figurait une vache a été abandonné pour adopter l'actuel.
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes de Vaucluse.Les armes peuvent se blasonner ainsi :
Fascé d'argent et de gueules, au chef du même, chargé de deux clés, l'une d'or, l'autre d'argent, passées en sautoir[10]
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 mars 2008 Jean-Marie Gravier mars 2008 en cours Jean-Marie Gravier Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Évolution démographique 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 845 866 816 883 943 1 061 1 048 1 056[11] Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes Économie
Le vignoble et les vins
Grâce à un terroir remarquable, qui descend du piémont des Dentelles de Montmirail vers de hautes garrigues de galets roulés, ce vignoble produit des vins rouges, rosés et blancs. Leur vinification est assurée par un groupement de producteurs et par les caves indépendantes (au nombre de 35).
Le tourisme
L'attrait des vins de cette commune à créé un œnotourisme. De nombreux caveaux offrent leurs gammes de vin à la dégustation.
À l'intérieur du village part une route qui se transforme ensuite en chemin carrossable et permet d'accéder à d'anciennes mines de gypse rouge, à la « Chambre du Turc » et au pied des « Dentelles ».
Il existe un Syndicat d'Initiative, plusieurs hôtels, chambres d'hôtes, gites et un camping.
Équipements ou services
Transports urbains
Le village est desservi matin et soir par une ligne de cars reliant Vaison-la-Romaine à Carpentras.
Éducation
Il existe une école primaire.
Sports
Équipe et stade de foot, tennis club.
Plusieurs circuits/sentiers de promenades pédestres, cyclotouristiques et VTT.
Site d'escalade sur les dentelles.
Santé
Présence d'une pharmacie au centre du village et de deux médecins.
Vie locale
Culte
Église catholique
Animations, fêtes et concours
Depuis 1987, au début juin, le concours des vins accueille des dégustateurs non professionnels venus du monde entier et décerne des récompenses appréciées sous la forme de « Raimbaud d'or » ou « Raimbaud d'argent ».
À la fin juin, se déroule les « Jambes de Bacchus », un circuit pédestre à travers les vignes du terroir.
Au cours du mois de juillet, le village accueille le « Festival de la Comédie de Boulevard » dont la qualité des pièces jouées attire un très nombreux public.
La fête des vins est une importante manifestation qui a lieu tous les 13 et 14 juillet et à laquelle participent les producteurs de vins les plus prestigieux de la vallée du Rhône.
La fête votive a lieu à la mi-août et un « Marché de Noël » à la mi-décembre.
Marché aux fleurs
Environnement
Bois communal de la Peyre
Écologie et recyclage
Collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et protection et mise en valeur de l'environnement dans le cadre de la Communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin.
Lieux et monuments
Église Saint-Barthélemy
Située sur le haut du village à l'intérieur des remparts, elle est d'origine romane. Elle a été agrandie une première fois au XVIIe siècle, une seconde fois au XIXe siècle. Cette transformation de 1853 l'a profondément modifiée et désorientée[12].
Les chapelles Notre-Dame
L'édification de la chapelle Notre-Dame de Pitié fut décidée au cours de l'épidémie de peste de 1628-1629. La décision du Conseil de Ville fut prise le 8 février 1630 avec vœu de faire réliser un reliquaire en argent pour le bras de saint Placide en l'église paroissiale[13].
Pouvoir fut donné aux Consuls lors de la séance du 21 septembre 1632 pour faire commencer les travaux sur l'éperon rocheux de la Coste de Coa. Il fut confirmé une seconde fois, le 6 mai 1633 avec mandat de « faire continuer les travaux jusqu'à due perfection ».
La chapelle fut achevée en 1655. Le 25 mai, le Parlement du village décida de « supplier Monseigneur Illustrissime et Révérendissime Évêque d'Orange[14] ou Monsieur son Grand Vicaire d'accorder la faculté à Monsieur le Vicaire de ce lieu de bénir la chapelle de Coste de Coa nouvellement édifiée et un quartier de terre joignant icelle destiné pour cimetière ».
La chapelle fut effectivement totalement terminée le 10 juin et consacrée le 16 août, jour de la festivité de saint Roch.
Elle devint un lieu de pèlerinage lors de la « Grande Peste » de 1720. Un tableau en forme d'ex-voto, au-dessus du maître-autel, rappelait la procession du 11 avril 1767 qui s'y déroula pour implorer la Vierge après que le frois ait fait périr gens et vignes. Il a été depuis le fin du XXe siècle enlevé et mis en lieu sûr.
La chapelle Notre-Dame de la Brune n'a pas la même histoire. Plus récente, elle a commencé à être édifiée en 1870.
La chapelle Sain-Pape
Saint Pape était la patron des Agacins[15]. Une chapelle fut édifiée à partir de 1655 en lieu et place d'un antique calvaire et lui fut dédiée le 16 mars 1662, jour de sa fête.
Dès lors, ce « saint qui servait à quelque chose » eut son sanctuaire qui ne désemplit point. Chaque dimanche, après l'Ite missa est, pendant que le desservant récitait le dernier évangile, les handicapés trempaient leurs pieds dans de l'eau bénite puis allaient frotter leurs cors et durillons contre une marche rugueuse de l'escalier menant au maître-autel.
De nombreux soulagements et guérisons furent enregistrés. Malheureusement la chapelle a été détruite et la mémoire collective a même perdu le lieu de son emplacement. Mais il existe toujours un quartier Saint-Pape et le Grand Vallat de Saint-Pape[16].
Durant tout le XVIIe siècle, ce prénom inusité fut attribué dix fois comme en font foi les registres de baptême. Puis, la Révolution étant passée, il subit un désintérêt total.
Le château
Ce n'est pas celui qui avait été mis sous la garde du père de Raimbaut de Vaqueiras. Celui-ci avait certainement ses assises toutes proches puisque reste toujours visible sur le côté droit de la « Place du Château », au début d'une ruelle descendant vers le bas du village, une structure en gros appareil censée être les vestiges du château médiéval.
L'actuel fut édifié au cours du XVIe siècle puis restauré au XVIIe siècle. Il reste du bâtiment originel les murs de soutènement, une tour percée de bouches à feu et une salle basse voûtée en arc brisée. Tout le reste de l'édifice a été réaménagé au cours des siècles par la famille Vassadel qui fut propriétaire du lieu de 1349 à 1688.
Le bâtiment actuel, propriété du diocèse, date du XIXe siècle.
Les anciens remparts
Au cours des XIVe et XVe siècles, le village fut ceint de fortifications épaulées de tours carrées et bordées d'un fossé. Si celui-ci fut comblé en 1830, il reste toutefois une partie des remparts ouverts par une porte[17] qui mène sur la place où se situent l'église et le château.
Le Cours Stassart et son porche
Le cours Stassart doit son nom à un préfet du Vaucluse, nommé par Napoléon III, qui eut l'heureuse idée de faire planter les platanes qui ombragent toujours ce cours. Le porche, qui de là, permet d'accéder au haut du village fut l'unique porte de l'enceinte médiévale du village jusqu'en 1760.
Les fontaines, qui furent aussi d'anciens lavoirs, se trouvent toujours sur la partie méridionale du cours.
Fontaine Raimbaut
La Fontaine Raimbaut, construite en 1866, avec un buste de Raimbaut inauguré en 1899 en présence de Frédéric Mistral. Son buste volé en même temps que celui du baron Leroy de Boiseaumarié à Sainte-Cécile-les-Vignes a été refait à l'identique et remis en place.
Ancien établissement thermal de Montmirail
Il exploitait la source de Montmirail, qui a été en service du 26 mai 1859 à 1939. Celle-ci, pourtant située sur la commune de Gigondas, était uniquement accessible par la route partant de Vacqueyras.
Le Hameau de Fontbonne
Il constitua une enclave vacqueyrassienne dans la commune de Sarrians dès le Moyen Âge. C'est ici que l'abbé Henri Michel-Reyne, curé de Vacqueyras, fut l'inventeur de la « Pierre de Fontbonne » portant à la fois des cupules de l'âge de bronze, l'écusson pontifical et les armes de Julien de la Rovère, le futur Jules II.
Dans son livre Wines of the Rhône Valley, a guide to origins, Robert W. Mayberry[18] a publié la photo d'une cuve vinaire creusée et maçonnée dans le sous-sol d'une des maisons du hameau et datée de 1739.
Il existait ici la "chapelle des Granges de l'Ouvèze" qui fut consacrée le 2 juin 1658 sous le vocable de saint Denis (Sancti Dionysos). Ce fut sans doute une chapelle privée appartenant à la famille Gaudibert. Par trois fois, avec la permission spéciale de l'évêque d'Orange, y furent célébrées les noces des filles de cette maison. Tout d'abord Madeleine, le 8 février 1684 puis sa sœur Marie, le 4 septembre 1684 et enfin une autre Marie, fille du viguier Joseph Gaudibert, le 17 février 1767.
Personnalités liées à la commune
- Raimbaud de Vacqueyras, un des plus grands troubadours du Moyen Âge, qui partagea sa carrière entre la Provence et le Montferrat et mourut au cours d'une croisade à Thessalonique.
- Imbert-Delonnes (1745-1820), chirurgien en chef des armées de la Révolution et de Napoléon.
- Jocelyn Chudzikiewicz, vigneron, ingénieur agronome et œnologue, trop tôt disparu en 1997, premier président de « Vins en Fêtes de la vallée du Rhône » et du « Comité Interprofessionnel des vins de Vacqueyras ».
- Henri Michel-Reyne, curé du village, né en 1910 à Jonquières, fondateur de la Messe aux truffes, en 1952, quand il fut curé de Richerenches[19].
Notes et références
- la limade sur le site du Sandre
- l'Ouvèze sur le site du Sandre
- La climatologie du Vaucluse
- Données météorologiques concernant le millésimes 2006 Source : Services techniques d'Inter Rhône (Station de Vacqueyras)
- La normale correspond à la moyenne des 53 dernières années pour les relevés météorologiques d'Orange et à celle des 42 dernières pour Carpentras (Sources : Services techniques d'Inter Rhône).
- Cf. Saurel, Gagnières et Germand, Préhistoire et protohistoire. Essais historiques sur le département de Vaucluse, Éd. Rey, Lyon, 1933.
- J. Saurel, Carte archéologique de la Gaule romaine. Le Vaucluse, Éd. Leroux, Paris, 1939.
- Cf. L. Barthélemy, Inventaire chronologique et analytique des chartes de la Maison des Baux, Marseille, 1882.
- Cf. Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, Paris, 1977.
- Armorial des communes du Vaucluse et Armorial du Comtat Venaissin
- (fr) Populations légales 2008 de la commune de Vacqueyras, INSEE
- R. Bailly, op. cité, note que la première travée d'entrée représente une partie de l'édifice roman devenu perpendiculaire à la nef actuelle avec abside semi-circulaire parfaitement orientée.
- Cette décision nécessita un emprunt de 300 écus soit l'équivalent de 270 hectolitre de vin. Cf. Suzanne Trompette, op. cité.
- L'évêque d'Orange était alors Jean de Tulle.
- Les agacins désignent en provençal les cors aux pieds. Cf. Xavier de Fourvières, Lou Pichot Tresor, Dictionnaire Provençal-Français / Français / Provençal, Éd. Aubéron, 2000.
- Un vallat est une vallée encaissée où coule par intermittence un torrent.
- Cette porte ne fut ouverte qu'en 1761.
- Cf. Robert W. Mayberry, Wines of the Rhône Valley, a guide to origins, Rowman & Littlefield Publishers, Totawa, New Jersey, U.S.A. , 1987, page 25.
- La Messe aux truffes sur le Site La Provence.com
Bibliographie
- Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876.
- Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986.
- Suzanne Trompette, Un siècle de vie à Vacqueyras (1625-1725), Imp. Mistral, Cavaillon, 1990.
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
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