- Cormeilles-en-Parisis
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Cormeilles-en-Parisis
Vue de Cormeilles depuis le parc
DétailAdministration Pays France Région Île-de-France Département Val-d'Oise Arrondissement Argenteuil Canton Cormeilles-en-Parisis (Chef-lieu) Code commune 95176 Code postal 95240 Maire
Mandat en coursYannick Boedec
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération du Parisis Site web http://www.ville-cormeilles95.fr Démographie Population 22 403 hab. (2008) Densité 2 689 hab./km² Gentilé Cormeillais, Cormeillaises Géographie Coordonnées Altitudes mini. 22 m — maxi. 170 m Superficie 8,33 km2
Cormeilles-en-Parisis est une commune française, située dans le département du Val-d'Oise et la région Île-de-France.Ses habitants sont appelés les Cormeillais(es)[1].
Cormeilles est chef-lieu du canton de Cormeilles-en-Parisis et dépend de l'arrondissement d'Argenteuil.
Sommaire
Géographie
Cormeilles est, malgré sa proximité de Paris, une commune plutôt verte, située sur la butte de Cormeilles tout comme Montigny-lès-Cormeilles, Herblay, Franconville, Sannois et Argenteuil.
- Espaces boisés et espaces verts : 112 ha
- À une vingtaine de minutes en train de la gare Paris Saint-Lazare
- Commune limitrophes : Argenteuil, La Frette-sur-Seine, Franconville, Herblay, Montigny-lès-Cormeilles, Sannois, Sartrouville et un petit morceau de Maisons-Laffitte, situé de l'autre côté de la Seine.
- Ville jumelée à Ware (Grande-Bretagne)
- Intercommunalité :
- Communauté de communes du Parisis
- Syndicat intercommunal des buttes du Parisis
- Syndicat intercommunal Azur
- Syndicat intercommunal d'assainissement de la région de Cormeilles-en-Parisis (Siarc)
Histoire
Toponymie
Le nom « Cormeilles » qui l'on trouve également écrit Cormeil tire vraisemblablement sa racine de l'arbre nommé cormier, une espèce de poirier.
Le nom « Parisis » vient, lui, de la tribu gauloise des Parisii.Préhistoire et Antiquité
Les premières traces d'habitation remontent à 4000 av. J.-C. Des vestiges de villa romaine ont été découverts à Cormeilles-en-Parisis (IIIe siècle), ainsi que des cercueils en plâtre (VIIIe siècle).
Moyen Âge
La ville de Cormeilles est mentionnée pour la première fois en 697, dans une charte du roi Mérovingien Childebert IV qui offre aux religieuses du monastère d'Argenteuil la forêt royale de Cornioletus (on peut lire aussi Cormioletus) sur la rivière Seine, au pays Parisis.
En l'an 832, le nom de Cormeilles apparaît dans une charte de l'abbaye de Saint-Denis. Jusqu'à la Révolution (1789), Cormeilles sera un chef-lieu de châtellenie avec pour seigneur l'abbaye de Saint-Denis. Certains historiens de l'architecture considèrent que l'église de Cormeilles, ou plutôt sa crypte, construite par Suger au XIIe siècle, est un laboratoire de l'architecture gothique, antérieur à l'édification de la basilique de Saint-Denis.
L'église a une haute tour, probablement élevée sur les ruines d'une plus ancienne, car, en 1359, pendant la captivité du roi Jean, Charles, régent, ordonna d'abattre la tour de l'église paroissiale, afin que l'ennemi ne s'y logeât pas.
Cormeilles est à l'époque un village agricole où l'on produit du vin (les armes de la ville sont la vigne et le blé). On sait que le vignoble médiéval cormeillais était de qualité honorable puisque c'est celui que les rois envoyaient comme présent.
Fin du XVIIIe siècle
Pendant les états généraux, les viticulteurs de la ville réclament que leur production ne soit plus taxée à son entrée dans Paris… eu égard à sa médiocrité. À cette époque, le vignoble de Cormeilles/La Frette couvre 538 ha.
En 1791, Daguerre (enfant) quitte Cormeilles pour Orléans où son père a trouvé un nouvel emploi. Cauchoix encore adolescent le quitte également.
Pour faire face aux disettes qui sévissent à Paris, le vignoble est pour bonne part remplacé par des cultures céréalières ou maraîchères.
XIXe siècle
Le filon de gypse de la butte de Cormeilles ainsi que le moyen de transformer le gypse en plâtre étaient connus depuis l'époque gallo-romaine, de petites carrières ouvertes servaient à extraire le minéral dont l'exploitation n'a jamais cessé. Au début des années 1830, Pierre-Étienne Lambert crée à Cormeilles une carrière dont la production ne sera réellement industrialisée qu'à partir de 1882 par son petit-fils Jules-Hilaire Lambert. Le « plâtre de Paris » acquiert une grande renommée et en 1908 « Lambert Frères et Compagnie » devient une société industrielle de premier plan dont le nom restera longtemps associé à Cormeilles.
Pendant la guerre de 1870, le vin est temporairement interdit à Paris par les Allemands, victorieux, au profit de la bière. Chaque dimanche, les Parisiens se ruent sur la banlieue, notamment à l'ouest : Chatou, Argenteuil… Et Cormeilles qui, du coup, produira plus de vin que jamais. La qualité est si basse (le vin est mélangé à des figues et autres colorants !) que dans une nouvelle de Maupassant[Laquelle ?] on peut lire : « Il se comparaît lui-même à un homme qui goûterait coup sur coup, les échantillons de tous les vins et ne distinguerait bientôt plus le Château Margaux de l'Argenteuil » (le vin « d’Argenteuil » étant autant celui de Cormeilles).
Le réseau ferré français se construit, permettant le transports de vins venus du sud : le vin d'Île de France perd peu à peu de son importance (alors qu'il fut de loin le premier vignoble du territoire) et ne survit pas à l'arrivée, à cette époque, du Phylloxéra. C'est la fin de l'histoire du vin sur la butte de Cormeilles.
Entre 1874 et 1877 est construit le fort de Cormeilles, un des plus grands forts militaires de Paris. Il servira de décor à plusieurs films dont La Nuit des généraux (1967) d'Anatol Litvak, avec Peter O'Toole et Omar Sharif.
Le chemin de fer atteint Cormeilles en 1892, impliquant un relatif décalage du centre de la ville et la construction de villas bourgeoises, de « folies » comme on disait alors.
À la fin du XIXe et au début du XXe siècle, grâce à l’arrivée du chemin de fer, la ville se développe fortement. De nombreuses familles bourgeoises s’installent dans cette campagne devenue si près de Paris. Ils commandent à des architectes locaux de belles villas imprégnées du gout de l’époque pour l’éclectisme et l’Art nouveau.
Architecte Henri Lecoeur ( 1867 - 1951 ) :
- 9 rue Aristide-Briand. Il évite la platitude en jouant sur deux travées. Celle de droite en léger retrait est mise en valeur par la porte surmontée d’une grande marquise. Celle de gauche par une grande fenêtre en toiture surmontée d’un fronton particulièrement élégant.
- 25 rue Boieldieu. Début XXe siècle, elle est de style normand. Sur l’arrière les belles rambardes sont de style Art nouveau.
- 15 rue du Martray. De nombreux cormeillais sont nés dans cette maison. Mme Frot, sage femme y avait son cabinet.
Architecte Henri Valette :
- Le Clos Fleuri au 50 rue Carnot.
Architecte Jacques Defresne ( 1848 - 1936 ) :
- Les Ravenelles rue de Saint-Germain. Construite en 1902 par l'entreprise de maçonnerie cormeillaise Renaud pour M. Levaire.
XXe siècle
Fabriquant du plâtre mais aussi des briques, de la chaux, du ciment, etc. la carrière Lambert fut l'une des plus grandes carrières à ciel ouvert d'Europe, avec un front de taille de 100 m de hauteur et 1 kilomètre de longueur. Au cours des années 1930 et ensuite, une importante main d'œuvre exogène est importée : Bretons, Chinois, Polonais, Serbes, Tchèques, Portugais, Maghrébins. Cette immigration précoce et diverse fait encore aujourd'hui partie de la personnalité de la ville. Au début des années 1980, l'exploitation de la carrière est appelée à cesser et le site manque, de justesse, de devenir une décharge de produits industriels et dangereux. Une courageuse mobilisation des citoyens, habitants et associations permettra aux pouvoirs publics (élus locaux et ministères) de prendre conscience du danger et fera échouer ce projet. Depuis 1987, la carrière s'est agrandie vers le nord, et les parties ouest et est de 100 hectares sont peu à peu remblayées et reboisées à l'état naturel. L'ensemble est destiné à devenir un espace vert naturel de 130 ha au cœur de la Région parisienne, qui sera définitivement aménagé à l'horizon 2030.
Encore plus qu'ailleurs les prix de l'immobilier à Cormeilles s'envolent[2], faisant perdre peu à peu ses quartiers populaires à la ville (notamment le quartier des ouvriers de la carrière, démoli en 1994 et remplacé par des lotissements pavillonnaires) et, paradoxalement, une partie de son cachet.
L'avenir
L'État, propriétaire des terrains, impose à la ville de construire dans sa zone Sud, dite les Bois Rochefort. La municipalité a négocié pour préserver le caractère essentiellement pavillonnaire de Cormeilles et obtenir une coulée verte qui séparera une zone dédiée à l'activité industrielle et artisanale. Des équipements municipaux et infrastructures collectives sont prévus dont une école, une crèche, un supermarché "CASINO"… L'urbanisation prévoit 1350 logements sur 60 ha, soit 100 logements par an (au lieu de 300/an depuis plus de 25 ans). Des projets sont lancés aussi pour rénover et dynamiser le haut de la ville (quartier de l'église) déserté par la vie commerçante malgré une densification de l'habitat : des espaces sont achetés par la ville pour créer des places de stationnement. Le cadre de l'OPAH permet aux propriétaires d'être soutenus dans leurs projets de rénovation. Un bâtiment est en cours de réhabilitation par la ville pour permettre l'installation d'un musée. Un projet de galerie d'art articulé avec un local destiné à l'étude des arts plastiques est en voie de réalisation. Cormeilles, malgré ses 20 000 habitants (à terme 25 000), conserve le charme d'une petite ville-village aux portes de Paris. Le nouveau SDRIF - Schéma directeur d'Île-de-France - de février 2007 vise aujourd'hui 40 ha restés en zone agricole.
Héraldique
Cormeilles-en-Parisis - Parti : au 1er d'azur à la gerbe d'or, au 2e d'or au pampre tigé, feuillé et fruité au naturel
Démographie
Administration
La commune fait partie de la juridiction d’instance de Sannois, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[4],[5].
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1995 2008 Lucienne Malovry UMP Sénateur-Maire Toutes les données ne sont pas encore connues. 2008 ... Yannick Boëdec DVD Maire Toutes les données ne sont pas encore connues. Député
Cormeilles dépend de la 3e circonscription du Val-d'Oise. L'actuel député est Jean Bardet.
Municipalité
- Composition du conseil municipal : 35 élus selon la répartition suivante, 1 maire, 9 adjoints au maire, 3 Délégues, 22 conseillers municipaux.
Maires successifs
Chronologie des maires de Cormeilles-en-Parisis 1789 1793 1795 1795 1800 1813 1827 1830 1843 1847 1848 Jean-Martin Viez
-M. Darbon
-M. Leclerc
-M. Antheaume
-M. Rolland
-M. Laruaz
-M. Avit
-M. Foulon
-M. Courtin
-M. Delavallée
-1848 1852 1857 1858 1860 1865 1866 1891 1892 1899 M. Le Foyer
-M. Delaplace
-M. Violette
-M. Happey
-M. Seguin
-M. Martin
-M. Montalant
-M. Charpentier
-Louis Gonse
-1899 1900 1919 1929 1934 1945 1947 1953 1965 1995 2008 Emile Delorme
-Louis Gonse
-Charles Dufour
-Paul Bloch
-Charles Bruot
-René Duclaud
-Paul Carrat
-Gérard Vérité
-Jean Ferrier
DVDLucienne Malovry
RPR puis UMPYannick Boëdec
DVDSécurité
Le taux de criminalité de la circonscription de police d'Argenteuil (incluant Sannois et Cormeilles-en-Parisis[6]) est de 186,43 actes pour 1000 habitants (crimes et délits, chiffres 2008) ce qui en fait le plus élevé du Val d'Oise, très largement au-dessus moyennes nationale (83/1000) et départementale (88,15/1000). Le taux de résolution des affaires par les services de police n'est que de 24,07%, l'un des plus faible du département assez nettement sous la moyenne du département de 28,83%[7]. On peut cependant noter que la situation à Cormeilles-en-Parisis contraste avec ce constat avec un taux de délinquance à 60 actes pour 1000 habitants (préfecture du val d'oise - lutte contre la délinquance bilan pour 2008). La police municipale de Cormeilles-en-Parisis s'est vue renforcée en 2008 par une brigade équestre et fin 2009 par la mise en place d'un système de vidéo-surveillance.
Culture
- Les musées du Plâtre[8] et du Vieux-Cormeilles [9]
- Théâtre du Cormier (inauguration : janvier 2006)
- École de Musique de Cormeilles[10]
Équipements
- Équipements sportifs : Le Beffroi, Salle René Berthieu, Salle des Pierres Vives, Salle polyvalente, Salle de boxe, local de cyclotourisme, local d'escrime, salle de la Savoie, Gymnase Alsace Lorraine, piscine municipale, skate park, Cyber-Espace Municipal, Gymnase salle des fêtes, Cosec, Stade Gaston Frémont, Complexe sportif Léo Tavarez, terrains de tennis extérieurs et intérieurs, terrain de foot synthétique.
- Equipement culturel: Théâtre du Cormier (300 places assises, gradins rétractables)
- Garde d'enfants : quatre crèches, deux haltes-garderie et un relais d'assistance maternelle (ce qui en fait une des villes les mieux dotées du Val d'Oise)
- Écoles maternelles (6) : Alsace-Lorraine, Thibault Chabrand, Val-d’Or, Champs Guillaume, Jules Ferry, Noyer de l’Image
- Écoles primaires (6) : Alsace-Lorraine, Maurice Berteaux 1, Maurice Berteaux 2, Champs Guillaume, Jules Ferry, Noyer de l’Image
- Collèges (2) : Jacques Daguerre, Louis Hayet
- Lycée (1) : LEP le Corbusier
- Établissement privé : École Saint-Charles (maternelle, primaire, collège)
- Gare desservie par les trains du réseau Transilien Paris Saint-Lazare.
Natifs ou résidents célèbres de Cormeilles
Scientifiques
- Louis Jacques Mandé Daguerre (1787-1851), co-inventeur avec Nicéphore Niépce de la photographie.
- Robert-Aglaé Cauchoix (1776-1845), opticien.
- Paul Guadet (1873-1931), architecte, habite la Villa Suzanne en 1912.
Personnalités du monde de l’art et de la littérature
- Louis Daguerre, né le 18 novembre 1787 à Cormeilles-en-Parisis et est décédé le 10 juillet 1851 à l'âge de 63 ans. Nicéphore Niepce inventa le daguerréotype, Daguerre rendit sa procédure plus pratique et il permit de la rendre publique. Son nom a été donné au premier collège public de la ville, ouvert en 1972.
- l'abbé Claude-Louis Fourmont, (1703-1780), orientaliste, y est né.
- Henri Cazalis, (1840-1909), médecin et poète parnassien sous le nom de Jean Lahor, y est né.
- Louis Gonse, (1846-1921), rédacteur en chef de la Gazette des Beaux-Arts y a habité et y est enterré.
- Louis Hayet (1864-1940), peintre néo-impressionniste, décédé à Cormeilles. Le nouveau collège de la ville, construit en 2003, porte d'ailleurs son nom.
- Pierre Monteux, (1875-1964), chef d'orchestre, y a habité.
- Marina Scriabine, (1911-1998), musicologue, musicienne et fille d'Alexandre Scriabine y a habité et y est décédée.
- Eddie Constantine, (1917-1993), acteur et chanteur, y a habité.
- Jean Raymond, né en 1919, humoriste et chansonnier, y a habité.
- György Cziffra, 1921-1994), pianiste virtuose, y a habité.
- Jürg Kreienbühl (1932-2007), peintre, y a habité et y est décédé.
- Michel Delpech, né en 1946, chanteur et compositeur, a passé son adolescence à Cormeilles.
- Irina Tarassov, écrivain et femme de Jacques Villeret, y est née[réf. nécessaire].
- Maxime Chattam, écrivain, y est né.
Sportifs
- Léo Tavarez (1938-1991), champion de boxe.
- Boris Diaw, joueur de basket-ball de la NBA.
- Kevin Denis, champion de France 2006 de moto 125m² Promosport
- Stéphane Diagana (1968-), champion du monde du 400 m haies, a vécu à Cormeilles où il a commencé l'athlétisme.
- Jean Calvé, footballeur
Autres
- Philippe Kieffer (1899-1962), compagnon de la Libération
- Robert Hue (1946), homme politique français
- Jean-François Abgrall (1959), gendarme ayant permis l'arrestation de Francis Heaulme
- Bernard Tapie a résidé quelques années à Cormeilles.
- Lucienne Malovry (1931), femme politique française, Sénateur et ancien Maire.
- Jules Hilaire Lambert (1846-1928)), industriel, créateur de la première usine à plâtre de Cormeilles en 1882.
- Les frères Lambert : Charles Lambert (1876-1964), Léon Lambert (1877-1952), Fernand Lambert (1879-1972), industriels, fondateurs de la société Lambert Frères & Compagnie en 1908 qui deviendra plus tard Plâtres Lambert.
Visiteurs illustres
- François-Adrien Boïeldieu (1775-1834), compositeur, qui aurait écrit La Dame blanche à Cormeilles.
- Eddie Constantine, acteur, y a demeuré vers 1952 (Villa Chante Bise, route Stratégique, dans une maison située en face de la rue Paul Bloch. Cette maison a été détruite en 1999)
- Stéphane Diagana, champion olympique du 400m haies, a fait une partie de sa carrière (1979 à 1986) à Cormeilles.
- Pierre Samuel Dupont de Nemours (1739-1817) s'est caché à Cormeilles pendant la terreur
- Ignace de Loyola (1491-1556) qui a connu une transe extatique à Cormeilles.
- Guy Patin (1601-1672), célèbre médecin
Évènements
- Festival du dessin animé
- Salon des Beaux-Arts (vacances de printemps)
- Brocante de Printemps (dernier dimanche de mars)
- Son et lumière La montagne aux sept sources (mi-septembre)
- Brocante d'Automne La montagne aux sept sources (premier dimanche d'octobre)
- Salon de la Carte Postale (fin octobre)
- Salon d'Art et d'Artisanat (début novembre)
- Bourse Photo-Ciné (3e dimanche du mois de novembre). On y trouve du matériel photo et cinéma d'occasion et de collection, des affiches, des photos, des livres et des documents. L'entrée est gratuite
- Concert de la Sainte-Cécile (3e samedi du mois de novembre). L'entrée est gratuite.
Pour approfondir
- Farion (Vincent), Si la Carrière m'était contée. La plâtrière et les usines Lambert à Cormeilles-en-Parisis (1832-2008), édition Musée du Plâtre, 2008
- Hantraye (Jacques), L'Ascension de la famille Lambert de Cormeilles-en-Parisis. Volume 1 : Aux origines de la pluriactivité (vers 1650-1836). Volume 2 : Les mutations de l'exploitation agricole et l'essor de l'activité plâtrière (1836-1882), édition Musée du Plâtre, 2007 & 2008
- Des Cormeillais dans les Guerres - de 1914 à nos jours - Récits et Témoignages, édition In Libro Veritas, 2009
- Vivre en Val-d'Oise n° 12 Février-Mars 1992. Y aura-t-il un écomusée à Cormeilles. Article de Françoise Tribondeau avec la collaboration de Jacques Lemaire.
- Vivre en Val-d'Oise n° 39 Sept-Oct 1996. La crypte gothique de Saint-Martin de Cormeilles. Article d'Odile et Nicolas Herbert.
- Vivre en Val-d'Oise n° 48 Février-Mars 1998. Daguerre. Article de Jacques Roquencourt.
- Vivre en Val-d'Oise n° 49 Avril-Mai 1998. Une église à restaurer, Saint-Martin de Cormeilles. Article d'Odile Herbert.
- Vivre en Val-d'Oise n° 59 Décembre 1999-Janvier 2000. Antiquaires et restaurateurs de père en fils à Cormeilles. Article d'Evelyne Demory-Dupré.
- Vivre en Val-d'Oise n° 64 Novembre 2000. La mémoire du plâtre à Cormeilles et promenade à Cormeilles. Articles de Vincent Farion.
- Vivre en Val-d'Oise n° 118 Nov-Déc 2009. Henri Lecoeur, architecte du Parisis des années 1900. Article de Jean Pierre Denis.
- 'Portrait de cormeillais à travers l'Histoire " ouvrage collectif édition In Libro Veritas 2011
Articles connexes
Liens externes
- www.ville-cormeilles95.fr : site officiel de la ville de Cormeilles-en-Parisis
- www.tourisme-cormeilles95.fr : site officiel du Syndicat d'Initiative de Cormeilles-en-Parisis
Notes, sources et références
- http://www.capeutservir.com/postaux/
- Dans son classement annuel, le journal professionnel l'Immobilier des notaires, numéro 120 (décembre 2007) annonce que Cormeilles-en-Parisis est la ville la plus chère du Val-d'Oise avec une moyenne de 3 827 euros au mètre carré
- La cimenterie Lafarge en cours de démolition, Le Parisien 3 novembre 2004
- Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
- Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
- Préfecture et services de l'État dans le Val-d'Oise
- Le Figaro - Délinquance : Palmarès 2008 du Val-d'Oise
- Musée du Plâtre
- Musées de Cormeilles
- École de Musique
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