- Chronologie des alternatives (XIXème siècle)
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Chronologie des alternatives (XIXème siècle)
On trouvera ci-après, classées par ordre chronologique, les alternatives des matadors du XIXe siècle ayant laissé quelque trace dans l’histoire de la corrida, avec, dans la mesure du possible, les noms du parrain et du témoin de la cérémonie ainsi que celui de la ganadería (élevage)[1].
1802
- 18 octobre : José Ulloa « Tragabuches ». Ronda (province de Málaga). Parrain, José Romero. Il semble ne s’être jamais présenté à Madrid.[2]
- Date inconnue :
1803
- Manuel Alonso « El Castellano ». Madrid. Pas de « cession des trastos ».
- José Romero. Madrid. Pas de « cession des trastos ».
- Juan de Alcázar « Juan López ». Madrid. Pas de « cession des trastos ».
- « Agustín ». Madrid aux côtés de José Romero. Pas de « cession des trastos ».
- Juan Núñez « Sentimientos ». Séville. Pas de « cession des trastos ». (Ancienneté à Madrid en 1805.)
- José García « El Platero ». Cadix. Parrain, Jerónimo José Candido. Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative gaditane, mais de celle qu’il prendra à Madrid le 14 avril 1817.
1805
- Juan Núñez « Sentimientos ». Madrid. Pas de « cession des trastos ». (Ancienneté à Séville en 1803.)
1814
- Date inconnue : Alfonso Alarcón « El Pocho ». Madrid. Pas de « cession des trastos ».
1815
- 22 mai : Francisco González Díaz « Panchón ». Cordoue. Parrain, José María Inclán. Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative cordouane, mais de sa présentation à Madrid le 29 mai 1820, sans « cession des trastos ».
- 9 octobre : José María Inclán. Madrid. Pas de « cession des trastos ». Il était pourtant déjà considéré comme « matador de toros », puisqu’il avait, le 22 mai précédent, conféré l’alternative à « Panchón ».
1816
- 6 mai : Antonio Ruíz Serrano « El Sombrerero ». Madrid. Parrain, Jerónimo José Candido ; témoin, Curro Guillén.
1817
- 14 avril : José García « El Platero ». Madrid. Parrain, Jerónimo José Candido. Il avait auparavant pris une alternative à Cadix en 1803 ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative gaditane, mais de celle madrilène.
1818
- 7 septembre : Antonio María Montero « El Zurdo ». Cadix. Parrain, « El Platero ». Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative gaditane, mais de sa présentation à Madrid le 1er octobre suivant.
- 1er octobre : Antonio María Montero « El Zurdo ». Madrid, aux côtés de Jerónimo José Candido et de Curro Guillén. Pas de « cession des trastos ». Il avait auparavant pris une alternative à Cadix le 7 septembre précédent ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative gaditane, mais de sa présentation à Madrid.
1819
- José Antonio Badén. Madrid. Pas de « cession des trastos ».
- Juan Jiménez « El Morenillo ». Madrid. Pas de « cession des trastos ».
1820
- 29 mai : Francisco González Díaz « Panchón ». Madrid, aux côtés de « El Sombrerero » et « El Morenillo ». Pas de « cession des trastos ». Il avait auparavant pris une alternative le 22 mai 1815 à Cordoue ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative cordouane, mais de sa présentation à Madrid.
1821
- 27 mai : Manuel Lucas. Madrid, aux côtés de « El Bolero » et « Leoncillo ». Pas de « cession des trastos ».
1823
- 20 octobre : Roque Miranda Conde « Rigores ». Madrid. Parrain « El Sombrerero » ; témoin Luis Parra ; taureaux de la ganadería de Manuel Gaviria.
1828
- 16 juin : Manuel Parra. Madrid, aux côtés de « El Sombrerero » et « Panchón » ; taureaux de la ganadería de Zapata y López Torrubio. Pas de « cession des trastos ».
1829
- 25 août : Francisco Ezpeleta. El Puerto de Santa María (province de Cadix). Parrain, Manuel Lucas. Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative puertolaña, mais de sa présentation à Madrid le 22 juin 1833.
- 17 décembre : Manuel Romero. Madrid. Pas de cession des trastos.
1831
- 18 avril : Francisco Montes Reina « Paquiro ». Madrid. Parrain « El Morenillo » ; témoin Manuel Romero ; taureaux de la ganadería de Gaviria.
- 29 mai : Rafael Pérez de Guzmán. Aranjuez (province de Madrid). Parrain, « Paquiro » ; témoin, « Rigores » ; taureaux de la ganadería de Manuel de la Dehesa y Ángulo.
- 17 octobre : José de los Santos. Madrid, au cours d’une corrida au cours de laquelle « Paquiro » avait combattu quatre taureaux en « place complète » et « Noteveas » et José de los Santos en avaient combattu quatre autres en división de plaza[4]. Pas de « cession des trastos ».
1832
- 17 décembre : Pedro Sánchez « Noteveas ». Madrid. Parrain, « Paquiro ».
1833
- 22 juin : Francisco Ezpeleta et Juan Hidalgo. Madrid. Pas de « cession des trastos ». Francisco Ezpeleta avait pris une alternative le 25 août 1829 au El Puerto de Santa María (province de Cadix) ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative puertolaña, mais de sa présentation à Madrid.
1836
- 12 août : Manuel Macias « Cherrime ». Montevideo (Uruguay). Parrain, « Desperdicios ». Alternative non valide en Espagne.
- 26 septembre : Manuel Domínguez Campos « Desperdicios ». Zafra (province de Badajoz). Parrain, « Leoncillo ». Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative, mais de celle qu’il prendra à Madrid le 10 octobre 1853.
1837
- Bernardo Gaviño. Montevideo (Uruguay). Parrain, « Desperdicios ». Alternative non valide en Espagne.
1839
- 1er septembre : Gaspar Díaz Cantoral « Lavi ». Séville. Parrain, « Cúchares ». Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative sévillane, mais de sa présentation à Madrid le 17 septembre 1843.
1840
- 27 avril : Francisco Arjona Herrera « Cúchares ». Madrid, aux côtés de « El Barbero ». Pas de « cession des trastos ». Il prendra par la suite une alternative avec « cession des trastos » le 27 avril 1842, toujours à Madrid. Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date de cette seconde alternative.
- 27 septembre : Juan Martín « La Santera ». Séville. Parrain, « El Barbero ». Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative sévillane, mais de celle prise à Madrid le 10 septembre 1843.
1841
1842
- 3 avril : Juan Yust. Madrid, aux côtés de « Rigores », face à trois taureaux de la ganadería de Gaviria, un de celle de José Pinto et deux de celle de Francisco Paredes. Pas de « cession des trastos ».
- 27 avril : Francisco Arjona Herrera « Cúchares ». Madrid, aux côtés de « El Barbero », face à des taureaux des ganaderías du duc de Veragua et de Manuela de la Dehesa. Pas de « cession des trastos ».
- 26 août : José Redondo « El Chiclanero ». Bilbao (province de Biscaye). Parrain, « Paquiro » ; taureaux de la ganadería du marquis de Casa Gaviria
1843
- 27 mars : Manuel Díaz Cantoral « El Lavi ». Cadix. Parrain, « Paquiro ». Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative gaditane, mais de sa présentation à Madrid le 17 avril suivant.
- 17 avril : Manuel Díaz Cantoral « El Lavi ». Madrid, aux côtés de « El Barbero » et de Francisco Ezpeleta, face à des taureaux des ganaderías de Gaviria et de Juan Sandoval. Pas de « cession des trastos ». Il avait auparavant pris une alternative le 27 mars précédent à Cadix ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de son alternative gaditane, mais de sa présentation à Madrid.
- 5 juin : Isidro Santiago Llano « Barragán ». Madrid, aux côtés de « Noteveas » et Francisco de los Santos. Pas de « cession des trastos ».
- 10 septembre : Juan Martín « La Santera ». Madrid. Parrain, « El Barbero ». Il avait auparavant pris une alternative à Séville le 27 septembre 1840 ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative sévillane, mais de son alternative madrilène.
- 17 septembre : Gaspar Díaz Cantoral « Lavi ». Madrid, aux côtés de « Cúchares », son frère Manuel Díaz Cantoral « El Lavi » et « La Santera », face à des taureaux des ganaderías de Gaviria, Díaz Hidalgo, Castrillón et Antonio Palacio. Pas de « cession des trastos ». Il avait auparavant pris une alternative le 1er septembre 1839 à Séville ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de son alternative sévillane, mais de sa présentation à Madrid.
- Date inconnue : Antonio del Río. Madrid. Pas de « cession des trastos ».
1845
- 28 décembre : Pedro Parraga. Madrid, aux côtés de « Noteveas » et de « El Salamanquino » ; taureaux des ganaderías de Pedro Nautet et de Martínez Enrile. Pas de « cession des trastos ».
1846
- 5 juillet : Julián Casas del Guijo « El Salamanquino ». Madrid aux côtés de « Noteveas ». Pas de « cession des trastos ».
- 27 septembre : Manuel Jiménez Meléndez « El Cano ». Séville. Parrain, « Paquiro ». Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative sévillane, mais de celle prise à Madrid le 31 juillet 1848.
1847
- 20 septembre : Manuel Trigo. Madrid, aux côtés de « El Salamanquino ». Pas de « cession des trastos ».
1848
- 24 avril : Antonio Luque « Cámara ». Madrid. Parrain, « Cúchares ».
- 31 juillet : Manuel Jiménez Meléndez « El Cano ». Madrid. Parrain, « Cámara » ; témoin, « El Salamanquino ». Il avait auparavant pris une alternative le 27 septembre 1846 à Séville ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative sévillane, mais de celle madrilène.
- 12 novembre : Cayetano Sanz. Madrid, aux côtés de « El Salamanquino ». Pas de « cession des trastos ».
1849
- 17 septembre : Manuel Arjona Herrera. Madrid. Pas de « cession des trastos ».
1850
- 12 août : José Dámaso Rodríguez y Rodríguez « Pepete ». Séville. Parrain Juan Lucas. Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative sévillane, mais de celle qu’il prendra à Madrid le 27 juin 1853.
1851
- 7 juillet : Juan de Dios Domínguez « El Isleño ». Madrid. Parrain, Cayetano Sanz ; taureaux de la ganadería de Díaz Hidalgo.
1852
- Gonzalo Mora. Ronda (province de Málaga). Parrain, Francisco Espetela ; témoin, « El Lavi ». Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative rondeña, mais de celle qu’il prendra à Madrid le 31 mars 1856.
1853
- 27 juin : José Dámaso Rodríguez y Rodríguez « Pepete ». Madrid. Parrain, Cayetano Sanz. Il avait auparavant pris une alternative le 12 août 1850 à Séville ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative sévillane, mais de celle madrilène.
- 10 octobre : Manuel Domínguez Campos « Desperdicios ». Madrid. Parrain, « El Salamanquino » ; témoins, Cayetano Sanz et « El Lavi » ; taureaux de la ganadería de Vicente Martínez. Il avait auparavant pris une alternative le 26 septembre 1836 à Zafra (province de Badajoz) ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette première alternative, mais de celle madrilène.
- 30 octobre : Antonio Sánchez « El Tato ». Madrid. Parrain, « Cúchares » ; témoins, Cayetano Sanz, Manuel Arjona Guillén et « Regatero »; taureaux de la ganadería de Gaspar Muñoz.
1854
- 21 août : José Muñoz Benavente « Pucheta » (Espagnol). Madrid. Parrain, « El Morenillo » ; taureaux de la ganadería du marquis de la Conquista.
1856
- 31 mars : Gonzalo Mora. Madrid. Parrain, « El Tato ». Il avait auparavant pris une alternative en 1852 à Ronda (province de Málaga) ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative rondeña, mais de celle madrilène.
- 22 juin : Juan Domínguez Díaz de Mendívil y Belacortu « Domingo Mendívil ». Madrid. Parrain, « Desperdicios » ; témoin, « El Lavi » ; taureaux de la ganadería de Justo Hernández..
- 3 août : José María Ponce et José Carmona Luque « El Panadero ». Madrid. Quatre taureaux de Justo Hernández avaient été combattus par « El Salamanquino » et José María Ponce ; quatre autres de Gaspar Muñoz avaient été combattus par « Desperdicios » et « El Panadero ». Pas de « cession des trastos » dans les deux cas. Le 2 octobre 1859, José María Ponce prendra une seconde alternative à Séville.
1857
1858
- 4 avril : Manuel Carmona Luque « El Panadero ». Séville. Parrain, Juan Lucas ; témoins, « Desperdicios » et « El Nili » ; taureaux de la ganadería du marquis de Saltillo. (La « cession des trastos » fut en réalité faite par « Desperdicios », Juan Lucas ayant été blessé par le premier taureau.)
- 11 juillet : Ángel López « Regatero ». Madrid. Parrain, Cayetano Sanz ; taureaux de la ganadería du duc de Veragua.
1859
- 7 août : Ángel Custodio Valdés Franco « El Maestro » (Péruvien). Lima (Pérou), aux côtés de Antonio Marín et José Ortega ; taureaux de la ganadería de Bartolomé Muñoz. Pas de « cession des trastos ». Alternative non valide en Espagne ; il en prendra une valide le 2 septembre 1883 à Madrid.
- 2 octobre : José María Ponce (Espagnol). Séville. Parrain, « Desperdicios » ; témoin, José Carmona « El Panadero ». Le 3 août 1856, il avait pris une première alternative à Madrid.
1860
- 24 septembre : José Antonio Suárez (Espagnol). Madrid. Parrain, « El Salamanquino » ; taureaux de la ganadería de Agustín Salido.
1862
- 8 juin : Antonio Carmona Luque « El Gordito » (Espagnol). Cordoue (Espagne). Parrain, son frère José Carmona « El Panadero ».
- 20 juillet : Antonio Luque « Cúchares de Córdoba » (Espagnol). Madrid. Parrain, « Cúchares » ; taureaux de la ganadería de Agustín Salido.
- 31 août : Manuel Fuentes Rodríguez « Bocanegra » (Espagnol). El Puerto de Santa María (Espagne, province de Cadix). Parrain « Desperdicios » ; témoin, Jacinto Machío ; taureaux de la ganadería du marquis de Tamarón.
1864
- 3 avril : Jacinto Machío (Espagnol). Cadix (Espagne). Parrain, « Desperdicios ». Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative gaditane, mais de celle qu’il prendra à Madrid le 10 juillet 1870.
- 12 juin : Pedro Aixela Torner « Peroy » (Espagnol). Barcelone (Espagne). Parrain, « El Salamanquino » ; témoin, José Antonio Suárez ; taureaux de la ganadería du marquis de la Conquista.
- 13 juin : Vicente García « Villaverde » (Espagnol). Madrid. Parrain, « Cúchares » ; taureaux de la ganadería de Miura. Il participera ensuite à diverses novilladas, perdant ainsi son titre de matador ; il prendra une nouvelle alternative le 28 juin 1868 à Madrid.
1865
- 29 septembre : Rafael Molina Sánchez « Lagartijo » (Espagnol). Úbeda (Espagne, province de Jaén). Parrain, Antonio Carmona Luque « El Gordito » ; taureaux de la Veuve de Ontiveros.
1867
- 18 mai : Francisco Arjona Reyes « Currito » (Espagnol). Madrid. Parrain, son père « Cúchares ».
- 27 octobre : Salvador Sánchez Povedano « Frascuelo » (Espagnol). Madrid. Parrain, « Cúchares » ; témoin, « Currito » ; taureaux de la ganadería de Manuel Bañuelos.
1868
- 28 juin : Vicente García « Villaverde » (Espagnol). Madrid. Parrain, « El Salamanquino » ; taureaux de la ganadería de Justo Hernández. Il avait pris une première alternative le 13 juin 1864 à Madrid, mais ayant participé par la suite à des novilladas, il avait perdu son titre de matador.
- 24 septembre : José Lara Jiménez « Chicorro » (Espagnol). Barcelone (Espagne). Parrain, « El Gordito ». Compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative barcelonaise, mais de celle qu’il prendra à Madrid le 11 juillet 1869.
1869
- 2 mai : José Giráldez y Díaz « Jaqueta » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « El Gordito » ; taureaux de la ganadería de Joaquín Pérez de la Concha. Après s’être retiré en 1874, il fera une nouvelle carrière de novillero à partir de 1877 et prendra une nouvelle alternative le 30 septembre de la même année à Séville.
- 11 juillet : José Lara Jiménez « Chicorro » (Espagnol). Madrid. Parrain, « El Salamanquino » ; taureaux de la ganadería du duc de Veragua. Il avait auparavant pris une alternative à Barcelone (Espagne) le 24 septembre 1868 ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative barcelonnaise, mais de celle madrilène.
- 24 octobre : Agustín Perera (Espagnol). Madrid. Parrain « Frascuelo » ; témoin Jacinto Machío ; taureaux des ganaderías de Aleas de de Taviel de Andrade, celui de la cérémonie étant de Aleas.
1870
- 10 juillet : Jacinto Machío (Espagnol). Madrid. Parrain, Cayetano Sanz ; témoin, « Currito » ; taureaux de la ganadería de Pérez de la Concha. Il avait auparavant pris une alternative à Cadix (Espagne) le 3 avril 1864 ; compte tenu des pratiques coutumières de l’époque, son ancienneté date, non de cette alternative gaditane, mais de celle madrilène.
1871
- José Negrón (Espagnol). Madrid. Pas de « cession des trastos ».
1872
- 21 juillet : Manuel Hilario Hermosilla Llanera « El Cirineo » (Espagnol). El Puerto de Santa María (Espagne, province de Cadix). Parrain, « Bocanegra » ; témoin, Antonio Fuentes Rodríguez ; taureaux de la ganadería de Bermúdez Reina.
- 8 septembre : Francisco Díez « Paco de Oro » (Espagnol). Madrid. Parrain, Cayetano Sanz ; taureaux de la ganadería du duc de Veragua.
- 13 octobre : Ángel Fernández « Valdemoro » (Espagnol). Madrid. Parrain, Cayetano Sanz ; taureaux de la ganadería de Dolorés Monje, viuda de Murube.
1874
- 12 mai : Manuel Hermosilla (Espagnol). Madrid. Parrain, « Lagartijo » ; taureaux de la ganadería de Miura.
- 6 septembre : Gerardo Caballero (Espagnol). Madrid. Parrain, « Lagartijo » ; taureaux de la ganadería de Anastasio Martín.
- 24 septembre : José Sánchez del Campo « Cara Ancha » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « Desperdicios » ; témoin, « Bocanegra » ; taureaux de la ganadería de José Antonio Adalid.
1875
- 28 mars : Hipólito Sánchez (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « Frascuelo ».
1876
- 16 avril : Fernando Gómez García « El Gallo » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain « Bocanegra ». Après avoir renoncé à cette alternative, il en prendra une nouvelle dans les mêmes arènes le 7 octobre 1877.
- 15 octobre : Felipe García (Espagnol). Madrid. Parrain, Manuel Carmona « El Panadero » ; taureaux de la ganadería de Juan Bertólez.
- 22 octobre : Ángel Pastor (Espagnol). Madrid. Parrain, « Lagartijo » ; témoins, « Frascuelo » et « Chicorro » ; deux taureaux de la ganadería de Miura, deux de celle de Rafael Laffitte et deux de celle du marquis de Saltillo, celui de la cérémonie étant de Miura.
1877
- 20 mai : Antonio Fernández « El Barrero » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, José Cineo « El Cirineo » ; taureaux de la ganadería de Francisco Posada.
- 30 septembre : José Giráldez y Díaz « Jaqueta » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « Lagartijo » ; témoin, « Chicorro » ; taureaux de la ganadería de Francisca Velázquez. Il avait pris une première alternative le 2 mai 1869 à Séville (Espagne) ; après s’être retiré en 1874, il avait fait une nouvelle carrière de novillero à partir de 1877.
- 7 octobre : Fernando Gómez García « El Gallo » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « Jaqueta ». Il avait pris une première alternative dans les mêmes arènes le 16 avril 1876, alternative à laquelle il avait par la suite renoncé.
1878
- 14 septembre : Juan Ruiz Vargas « Lagartija » (Espagnol). Valence (Espagne). Parrain, « Bocanegra ».
1879
- 13 avril : Ponciano Díaz (Mexicain). Puebla de los Ángeles (Mexique, état de Puebla). Parrain, Bernardo Gaviño. Alternative non valide en Espagne ; il en prendra une valide le 17 octobre 1889 à Madrid.
- 5 septembre : Manuel Molina (Espagnol). Murcie (Espagne). Parrain, son frère Rafael Molina Sánchez « Lagartijo » ; témoin, « Currito » ; taureaux de la ganadería de Antonio Hernández.
1882
- 28 septembre : Diego Prieto Barrera « Cuatrodedos » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « Currito » ; témoin, « Cara Ancha » ; taureaux de la ganadería de Laffitte.
1883
- 2 septembre : Ángel Custodio Valdés Franco « El Maestro » (Péruvien). Madrid. Parrain, « Valdemoro » ; taureaux de la ganadería de Bartolomé Muñoz. Il avait pris une alternative, sans « cession des trastos », le 7 août 1859 à Lima (Pérou), alternative non valide en Espagne.
- 11 octobre : Francisco Sánchez « Paco Frascuelo » (Espagnol). Madrid. Parrain, « Lagartijo » ; taureaux de la ganadería de Laffitte.
- 14 octobre : Valentín Martín Lorenzo (Espagnol). Madrid. Parrain, « Currito » ; taureaux de la ganadería de Anastasio Martín.
1884
- 13 avril : Luis Mazzantini (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « Frascuelo » ; taureaux de la ganadería de Adalid.
1885
- 14 mai : Gabriel López Portal « Mateíto » (Espagnol) et Antonio Ortega Ramírez « El Marinero » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « Bocanegra » ; témoin, « El Gallo » ; taureaux des ganaderías de Rafael Laffitte et Anastasio Martín, ceux des cérémonies étant de Rafael Laffitte.
- 13 septembre : Manuel García Cuesta « El Espartero » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « El Gordito » ; taureaux de la ganadería du marquis de Saltillo. Ayant par la suite participé à une novillada à Zalamea la Real (Espagne, province de Huelva), et ayant donc perdu son titre de « matador de toros », il prendra une seconde alternative le 11 octobre suivant.
- 11 octobre : Manuel García Cuesta « El Espartero » (Espagnol). (Lieu inconnu). Parrain, « El Gordito ». Il avait pris une première alternative le 13 septembre précédent, mais avait par la suite participé à une novillada à Zalamea la Real (Espagne, province de Huelva) et avait donc perdu son titre de « matador de toros ».
1886
- 3 janvier : Joaquín Sans y Almenar « Punteret » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, Luis Mazzantini ; témoin « El Espartero » ; taureaux de la ganadería de Saltillo. Il prendra une seconde alternative le 23 mai suivant à Valence (Espagne).
- 23 mai : Joaquín Sans y Almenar « Punteret » (Espagnol). Valence (Espagne). Parrain « Lagartijo » ; taureaux de la ganadería de Antonio Fernández de Heredia. Il avait pris une première alternative le 3 janvier précédent à Séville (Espagne).
1887
- 22 mai : José Centeno (Espagnol). Madrid. Parrain, « Currito » ; taureaux de la ganadería de Agustín Solís.
- 29 septembre : Rafael Guerra Bejarano « Guerrita » (Espagnol). Madrid. Parrain « Lagartijo » ; taureaux de la ganadería de Gallardo.
1888
- 14 octobre :
- Leandro Sánchez de León « Cacheta » (Espagnol). Madrid. Parrain, « Currito » ; taureaux de la ganadería de Solís.
- Julio Aparici y Pascual « Fabrilo » (Espagnol). Valence (Espagne). Parrain, Antonio Carmona « El Gordito » ; taureaux de la ganadería de González Nandín.
1889
- 7 juillet : Enrique Santos « Tortero » (Espagnol). Madrid. Parrain, « Frascuelo » ; témoin, Ángel Pastor ; taureaux de la ganadería de Pablo Romero.
- 15 septembre : Carlos Borrego « Zocato » (Espagnol). Madrid. Parrain, Ángel Pastor ; taureaux de la ganadería de González Nandín.
- 24 septembre : Tomás Parrondo « El Manchao » (Espagnol). Barcelone (Espagne). Parrain, « El Gallo ».
- 29 septembre : Rafael Bejarano Carrasco « Torerito » (Espagnol). Madrid. Parrain, « Lagartijo » ; témoins, « Frascuelo » et « Tortero » ; taureaux de la ganadería de Anastasio Martín.
- 17 octobre : Ponciano Díaz (Mexicain). Madrid. Parrain, « Frascuelo » ; témoin, « Guerrita » ; trois taureaux de la ganadería du duc de Veragua et trois de celle de Orozco. Il avait pris une première alternative, non valide en Espagne, le 13 avril 1879 à Puebla de los Ángeles (Mexique, état de Puebla).
1890
- 12 mai : Antonio Moreno Fernández « Lagartijillo » (Espagnol). Madrid. Parrain, « Frascuelo » ; taureaux de la ganadería du duc de Veragua.
- 22 mai : Juan Jiménez Ripoll « El Ecijano » (Espagnol). Madrid. Parrain « Guerrita » ; taureaux de la ganadería de Torres Díaz de la Cortina.
- 10 août : Francisco Jiménez « Rebujina » (Espagnol). San Fernando (Espagne, province de Cadix). Parrain, « Lagartijo ». Après avoir renoncé à cette alternative, il en prendra une nouvelle le 30 mai 1893 à Aranjuez (Espagne, province de Madrid).
- 12 octobre : Antonio Arana Carmona « Jarana » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « El Gallo » ; taureaux de la ganadería de Miura.
- 30 novembre : Enrique Vargas González « Minuto » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « El Gallo » ; taureaux de la ganadería de José Antonio Adalid.
1891
- 27 août : Francisco Bonar « Bonarillo » (Espagnol). Madrid. Parrain, Luis Mazzantini ; taureaux de la ganadería de Benjumea.
- 30 août : José Rodríguez Davié « Pepete » (Espagnol). El Puerto de Santa María (Espagne, province de Cadix). Parrain Luis Mazzantini ; témoin, « Jarana » ; taureaux de la ganadería de Benjumea.
- 16 septembre : Antonio Reverte (Espagnol). Madrid. Parrain, « Guerrita » ; taureaux de la ganadería du marquis de Saltillo.
1892
- 21 septembre : Joaquín Navarro « Quinito » (Espagnol). Écija (Espagne, province de Séville). Parrain, « Cara Ancha » ; taureaux de la ganadería du marquis de los Castellanos.
- 28 septembre : Francisco Carrillo (Espagnol). Palma de Majorque (Îles Baléares). Il prendra une seconde alternative le 8 juillet 1901 à La Línea de la Concepción (Espagne, province de Cadix).
- Date inconnue : José Marrero Bez « Cheche » (Mexicain). Monterrey (Mexique, état de Nuevo León).
1893
- 2 avril : Francisco González « Faíco » (Espagnol). Saragosse (Espagne). Parrain, « Torerito » ; témoin, « Jarana » ; taureaux de la ganadería du comte de Espoz y Mina.
- 11 mai : Antonio Escobar Mellado « El Bolo » (Espagnol). Valence (Espagne). Parrain, « Minuto » ; taureaux de la ganadería du comte de la Patilla.
- 30 mai : Francisco Jiménez « Rebujina » (Espagnol). Aranjuez (Espagne, province de Madrid). Parrain, Gabriel López Portal « Mateíto ». Il avait pris une première alternative le 18 août 1890 à San Fernando (Espagne, province de Cadix), à laquelle il avait par la suite renoncé.
- 22 août : Manuel Nieto « Gorete » (Espagnol). Antequera (Espagne, province de Málaga). Parrain, Luis Mazzantini. Il renonça immédiatement à cette alternative, puis en prit une nouvelle le 16 août 1897 à Badajoz (Espagne).
- 17 septembre : Antonio Fuentes (Espagnol). Madrid. Parrain, « El Gallo » ; taureaux de la ganadería de José Clemente.
- 29 septembre : Emilio Torres Reina « Bombita » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « El Espartero » ; témoin, « Guerrita » ; taureaux de la ganadería de Anastasio Martín.
- 30 septembre : Miguel Báez Quintero « Litri » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, « Bonarillo » ; taureaux de la ganadería de Antonio Hálcon.
1894
- 18 novembre : Félix Robert (Français). Valence (Espagne). Parrain, « El Gallo » ; taureaux de la ganadería de Conradi. Il est le premier français à prendre l’alternative.
1895
- 21 avril : Juan Gómez de Lesca (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain « Guerrita » ; taureaux de la ganadería de Benjumea.
- 5 septembre : Antonio de Dios y Moreno « Conejito » (Espagnol). Linares (Espagne, province de Jaén). Parrain, « Guerrita » ; taureaux de la ganadería de Orozco.
- 7 septembre : Francisco Gavira (Espagnol). Murcie (Espagne). Parrain, « Lagartijo » ; témoin, Luis Mazzantini ; taureaux de la ganadería de Palha.
- 9 septembre : Cándido Martínez Pingarrón « El Mancheguito » (Espagnol). Alicante (Espagne). Parrain, « Fabrilo ». Après avoir renoncé à cette alternative, il en prendra une nouvelle le 10 septembre 1900 à Albacete (Espagne).
- 22 septembre : José García Rodríguez « El Algabeño » (Espagnol). Madrid. Parrain, « El Gallo » ; témoin, « Bombita » ; taureaux de la ganadería du duc de Veragua.
- 29 septembre : Nicanor Villa y Arilla « Villita » (Espagnol). Madrid. Parrain, Luis Mazzantini ; témoin, « Bombita » ; taureaux de la ganadería de Moreno Santamaría.
1896
- 1er novembre : Joaquín Hernández Castro « Parrao » (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain, Antonio Reverte ; témoin, « Villita » ; taureaux de la ganadería de Anastasio Martín.
1897
- 25 juillet : Eduardo Leal Casado « Llaverito » (Espagnol). Monterrey (Mexique, état de Nuevo León). Parrain, « Cuatrodedos ». Alternative non valide en Espagne ; il en prendra une seconde, également non valide en Espagne le 5 mai 1898 à Morelia (Mexique, état de Michoacán) ; il en prendra une valide le 9 septembre 1904 à San Martín de Valdeiglesias (Espagne, province de Madrid).
- 16 août : Manuel Nieto « Gorete » (Espagnol). Badajoz (Espagne). Parrain, Antonio Reverte ; témoin, « Quinito » ; taureaux de la ganadería de Pablo Romero. Il avait pris une première alternative le 22 août 1893 à Antequera (Espagne, province de Málaga), à laquelle il avait immédiatement renoncé.
- 19 septembre : Ángel García de la Flor « Padilla » (Espagnol). Madrid. Parrain, Luis Mazzantini ; témoin, « Bonarillo » ; taureaux de la ganadería de Miura.
- 25 octobre : Cayetano Leal Casado « Pepe-Hillo » (Espagnol). Madrid. Parrain, Luis Mazzantini ; témoin, Antonio Fuentes ; taureaux de la ganadería de Moreno Santamaría.
- 31 octobre : Antonio Guerrero Román « Guerrerito » (Espagnol). Grenade (Espagne). Parrain, « Lagartijillo » ; taureaux de la ganadería de José Clemente.
1898
- 5 mai : Eduardo Leal Casado « Llaverito » (Espagnol). Morelia (Mexique, état de Michoacán). Parrain, « El Bolo ». Il avait pris une première alternative, non valide en Espagne, le 25 juillet 1897 à Monterrey (Mexique, état de Nuevo León) ; après cette seconde alternative, également non valide en Espagne, il en prendra une valide le 9 septembre 1904 à San Martín de Valdeiglesias (Espagne, province de Madrid).
- 28 octobre : Domingo del Campo y Álvarez « Dominguín » (Espagnol). Madrid. Parrain, « Torerito » ; témoins, « Lagartijillo » et « Bombita » ; taureaux de la ganadería d’Ibarra.
1899
- 2 avril : Antonio Montes (Espagnol). Séville (Espagne). Parrain Antonio Fuentes ; témoin « Bombita » ; taureaux de la ganadería d'Otaolaurruchi.
- 17 août : Félix Velasco (Espagnol). Ciudad Real (Espagne). Parrain, « Torerito » ; taureaux de la ganadería de Aleas.
- 24 septembre : Ricardo Torres Reina « Bombita » (Espagnol). Madrid. Parrain, « El Algabeño » ; témoin, Domingo del Campo y Álvarez « Dominguín » ; taureaux de la ganadería du duc de Veragua.
- 29 octobre : Manuel Lara Reyes « El Jerezano » (Espagnol). Barcelone (Espagne). Parrain son oncle « Chicorro » ; témoin « Parrao » ; taureaux de la ganadería de Filiberto Mira.
1900
- 3 juin : Diego Olivé Rodas « Morenito de Algeciras » (Espagnol). Algésiras (Espagne, province de Cadix). Parrain, « Quinito ». Il renonça par la suite à cette alternative, puis en prit une nouvelle le 20 juillet 1902 à Barcelone (Espagne).
- 22 juillet : José Rodríguez Sánchez « Bebe Chico » (Espagnol). Madrid. Parrain, « Minuto » ; taureaux de la ganadería de Basilio Peñalver. Cette corrida devait être un mano a mano, mais le parrain ayant été blessé par son premier taureau, le récipendiaire dut seul affronter les six.
- 29 juillet : José Luis Villegas « Potoco » (Espagnol). Cadix (Espagne). Parrain, Luis Mazzantini ; témoin, Antonio Montes ; taureaux de la ganadería de Peñalver.
- 12 août : Bartolomé Jiménez Najar « Murcia » (Espagnol). Alicante (Espagne). Parrain, Luis Mazzantini ; témoin, « Lagartijillo » ; taureaux de la ganadería de Anastasio Martín.
- 3 septembre : Juan Antonio Cervera (Espagnol). Villarrobledo (Espagne, province d'Albacete). Parrain, Joaquín Navarro « Quinito » ; taureaux de la ganadería de Flores.
- 8 septembre : Antonio Olmedo Vázquez « Valentín » (Espagnol). Murcie (Espagne). Parrain, Luis Mazzantini ; témoin, « Quinito » ; taureaux de la ganadería de Esteban Hernández.
- 10 septembre : Cándido Martínez Pingarrón « El Mancheguito » (Espagnol). Albacete (Espagne). Parrain, Antonio Fuentes ; taureaux de la ganadería de Ibarra. Il avait pris une première alternative le 9 septembre 1895 à Alicante (Espagne), à laquelle il avait par la suite renoncé.
- 16 septembre : Rafael González Madrid « Machaquito » (Espagnol) et Rafael Molina Martínez « Lagartijo Chico » (Espagnol). Madrid ; parrain « Bombita » ; taureaux du duc de Veragua.
- 30 décembre : José Rovirosa (Espagnol). Mexico. Parrain, « Villita » ; témoin, « Valentín » ; taureaux de la ganadería de San Diego de los Padres. Alternative non valide en Espagne.
- Date inconnue : Arcadio Ramírez « Reverte Mexicano » (Mexicain). Tlaquepaque (Mexique, état de Jalisco). Parrain, Manuel Hermosilla ; taureaux de la ganadería de Atenco. Alternative non valide en Espagne. Il en prendra une seconde, elle aussi non valide en Espagne, le 15 décembre 1901 à Puebla de los Angeles (Mexique, état de Puebla).
Sources
- taurofilia.net
- contrabarrera.com.ve
- diariocordoba.com
- laplazareal.net
- alostorosmagazine.com
- paginasdetoros.com
- venezuelataurina.com
- historiadeltorero.com
- mundotoro.com
- portaltaurino.com
Voir aussi
Notes
- ↑ Aucune liste exhaustive ne semble possible : nombre de matadors ont pris l’alternative, sans que leur notoriété ait jamais dépassé les frontières de leur province, voire celles de leur village, et n’ont pas laissé la moindre trace dans l’histoire.
- ↑ Jusqu’au milieu du XIXème siècle, la date de l’ancienneté n’était pas fixée avec précision. Selon certains, elle dépendait de la date de la première corrida en qualité de matador, selon d’autres, de la date de la première corrida à Madrid. Ainsi l’ancienneté d’un matador pouvait être différente selon la ville dans laquelle il se produisait. De plus, la renommée des matadors influençait leur ancienneté : les plus renommés arrivaient à imposer comme date d’ancienneté, dans toutes les arènes, leur première corrida en qualité de matador ; les autres étaient obligés de suivre la règle commune.
- ↑ Jusqu’au milieu du XIXème siècle, nombre de matadors ont acquis leur titre sans qu’ait eu lieu la cérémonie de l’alternative, la « cession des trastos » (les « instruments », l’épée et la muleta). Ces « alternatives » sans « cession des trastos » seront quand même signalées.
- ↑ La piste était partagée en deux, deux corridas se déroulant simultanément.
Catégorie : Tauromachie
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