Romans-sur-isère

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Romans-sur-Isère

Romans-sur-Isère
Romans-sur-Isère

Administration
Pays France
Région Rhône-Alpes
Département Drôme (préfecture)
Arrondissement Valence (préfecture)
Canton Romans-sur-Isère-1 et
Romans-sur-Isère-2
(chef-lieu)
Code Insee abr. 26281
Code postal 26100
Maire
Mandat en cours
Henri Bertholet
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Romans
Site internet http://www.ville-romans.com/
Démographie
Population 33 138 hab. (2006)
Densité 1 002 hab./km²
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 47″ Nord
       5° 03′ 06″ Est
/ 45.0463888889, 5.05166666667
Altitudes mini. 122 m — maxi. 291 m
Superficie 33,08 km²

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L'Isère à Romans-sur-Isère

Romans-sur-Isère (en occitan Rumans[1] d'Isèra, en ancien occitan Romans) est une commune française, située dans le département de la Drôme et la région Rhône-Alpes, au sud-est de la France.

Romans-sur-Isère est un chef-lieu de canton situé sur la rive droite de l'Isère à 18 km au nord-est de Valence. Avec la ville voisine de Bourg-de-Péage, établie de l'autre côté de la rivière, elle forme une agglomération d'une cinquantaine de milliers d'habitants (Romanais[2]. et Péageois).

Sommaire

Géographie

Romans est également située près du massif du Vercors, à vingt minutes en voiture. L'accès à Romans est facilité par l'autoroute A49 Romans-Grenoble, prolongée par la D 532 gratuite entre Valence et Romans, par la gare de Valence TGV à 8 km, et par l'autoroute du soleil à 15km à l'ouest à Tain l'hermitage.

Situées dans le sud-est de la France, dans la moyenne vallée du Rhône, Romans et sa ville sœur Bourg-de-Péage sont le centre d'une petite région limitée au Sud et à l'Ouest par la rivalité avec Valence, s'étendant au nord sur les collines du Bas-Dauphiné et englobant l'Est du rebord du Vercors. C'est une terre de rencontre entre les influences provençales et le Lyonnais.

Romans est placée sur la grande voie de passage que la nature a ouverte entre les Alpes et le Massif central. Mais à la différence des autres villes de la vallée du Rhône comme Valence ou Avignon, Romans ne se situe pas au bord du Rhône, mais sur un de ses grands affluents, l'Isère, une rivière difficilement franchissable aux abords de son confluent avec le Rhône.

Aussi la route rhodanienne, longtemps, emprunta plus en amont le gué de Romans et probablement dès le XIe siècle un pont près de la collégiale St-Barnard. Romans bénéficia aussi du débouché de la vallée de l'Isère vers la mer Méditerranée.

Le site primitif de Romans offre bien des atouts : la "molasse" de son sous-sol, un grès tendre, fournissait la pierre ; son exposition protégeait du vent du Nord tout en donnant le meilleur ensoleillement dans un climat présentant déjà des caractères méditerranéens. Des sources abondantes procuraient l'eau potable, le vent la force motrice aux moulins à grains ou à huile qui favorisèrent, dès le Moyen Âge, l'industrie du drap et la tannerie.

Histoire

À l'origine de Romans : l'abbaye de Barnard

La ville de Romans est née de la fondation en 838, près d’un gué sur l’Isère, d’une abbaye par Barnard, archevêque de Vienne.

Article détaillé : Barnard de Romans.

Le nom de la ville qui s'y développe autour, à partir du XIe siècle, dériverait du nom de la première paroisse : Saint Romain.

Au cours du XIe siècle, les moines de l'abbaye furent remplacés par des chanoines, qui constituèrent un chapître sous la surveillance de l'abbé Léger, fils du seigneur de Clérieux, et archevêque de Vienne. L’église devint alors collégiale.

Article détaillé : Collégiale Saint-Barnard.

Le temps des chanoines

Autour de la collégiale Saint-Barnard, marchands et artisans s’installèrent et développèrent une puissante industrie du drap. Sa renommée sera importante pendant près de sept siècles.

Le premier pont sur l'Isère (le « Pont Vieux ») fut construit en 1049 afin de faciliter et d'intensifier le trafic, mais aussi de permettre la perception d’un péage (d'où le nom de Bourg-de-Péage, ville sur l'autre rive de l'Isère, face à Romans), offrant ainsi des revenus pour la ville.

Un marché s’installa également autour de la collégiale Saint-Barnard ; il existe encore aujourd’hui sur la place Maurice Faure.

Ce noyau urbain fut pourtant menacé :

  • au nord, par les seigneurs d'Albon, ayant pris possession des terres de Peyrins ;
  • au sud, par les comtes Valentinois.

Dans ce climat d'insécurité, les chanoines décidèrent la construction d'un rempart. La tour Jacquemart, ancienne porte de l'Aumône, date de cette époque.

Article détaillé : Tour Jacquemart.

Le commerce s'intensifia durant le XIIIe siècle et la prospérité de la cité se traduisit par de nouvelles constructions menées par un grand bâtisseur : l'abbé Jean de Bernin. Il fit ainsi reconstruire un pont plus solide et agrandir la collégiale Saint-Barnard. C'est à cette même époque que des faubourgs se développèrent à l'extérieur des remparts.

Mais la tutelle du chapître devint de plus en plus pesante et les Romanais s'insurgèrent en 1280 : humiliés, les chanoines renoncèrent à la gouvernance de la cité.

Cité du Dauphiné

L’enrichissement et l’indépendance de la ville suscitèrent la convoitise du Dauphin, seigneur du Dauphiné, qui l'annexa en 1342.

En 1349, c'est dans la cité même qu'eu lieu la cérémonie du rattachement du Dauphiné à la France. L’acte, connu sous le nom de Traité de Romans, fut signé dans la demeure du Dauphin, près du « Pont Vieux », suivi d’une cérémonie religieuse dans la collégiale Saint-Barnard.

Article détaillé : Traité de Romans (1349).

La fin du Moyen Âge

Les premiers mégissiers et tanneurs s'installèrent dans le quartier de la Presle à la din du XIVe siècle.

Durant la guerre de Cent Ans, la ville s'entoura d'un second rempart qui englobait les faubourgs : quartiers de la Presle, de la Pavigne et de Saint-Nicolas. Ce rempart commença à être abattu vers 1830. Des vestiges sont encore visibles : une tour rue des Remparts-Saint-Nicolas, les murailles du quai Sainte-Claire et du cimetière Saint-Romain.

Au début du XVe siècle, la draperie romanaise s'exportait jusqu'au Proche Orient et les riches marchands se firent alors construire des hôtels particuliers en style gothique flamboyant un peu partout dans la cité.

En 1516, un riche et pieux marchand de Romans, Romanet Boffin, conçut dans la ville un chemin de Croix aboutissant au calvaire des Récollets.

Article détaillé : Calvaire des Récollets.

Le temps des épreuves

Durant la deuxième moitié du XVIe siècle Romans dut essuyer une série de catastrophes : grands froids, grandes sécheresses, pestes, etc. Les crises religieuses et sociales atteignirent leur paroxysme en 1562, où le pays de Romans fut ravagé au nom du Protestantisme (la collégiale Saint-Barnard fut mise à sac) et lors du Carnaval sanglant de 1580.

Au cours des deux siècles suivants, la ville stagna et l’industrie du drap disparut tandis qu’émergeait la tannerie et la soie.

C'est à cette même époque que la ville se couvre de couvents et de monastères (Capucins, Récollets, Ursulines, Saint-Just).

Article détaillé : Couvent de la Visitation.

En 1680, le bourg qui s'était constitué sur l’autre rive de l’Isère, face à Romans, devint Bourg-de-Péage, communauté indépendante.

En décembre 1788, les États du Dauphiné, assemblée de la province, s’ouvrent dans le couvent des moines Cordeliers ; leurs propositions préparèrent les États généraux de Versailles en 1789.

La Révolution fut vécue calmement dans la ville. Elle fut chef-lieu de district jusqu'en 1795.

Émergence de l’industrie de la chaussure

Après 1850, l’économie et la société romanaises subissent leur mutation majeure avec le développement de l’industrie de la chaussure pour laquelle travaillent, en 1914, 5 000 ouvriers et ouvrières, à l’origine d’un mouvement syndical puissant.

Dès la fin du XIXe siècle, Joseph Fénestrier impose la première marque de chaussure, « UNIC ». La ville change : a population atteint 10 000 habitants, les remparts sont démolis, les quais construits, le chemin de fer attire de nombreux ateliers de chaussures. À l’est, le long de l’avenue Gambetta, s’édifient la caserne Bon, le collège, des demeures louées aux officiers.

Après la Première Guerre mondiale, dans les années 1920, le maire socialiste Jules Nadi fait construire, à proximité de la route de Grenoble, une cité-jardin à vocation sociale.

L’industrie de la chaussure bénéficie alors d’une certaine prospérité, la population compte 17 000 habitants ; la poussée urbaine s’exerce vers le nord, au-delà de la voie ferrée. L’église Notre-Dame-de-Lourdes est construite en 1937, dans le style « gothique moderne ».

La crise mondiale des années 1930 est particulièrement dramatique pour la chaussure de Romans, qui vivait en partie des exportations. La création d’une grande foire économique, en 1930, apparaît comme l’un des palliatifs.

La Deuxième guerre mondiale

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Romans est occupée une première fois par les Allemands en juin 1940, puis de septembre 1943 à août 1944.

La Résistance au régime de Vichy est marquée le 10 mars 1943 par une manifestation à la gare contre le départ des requis pour le S.T.O., puis le 9 juin 1944 par le départ des volontaires pour le Vercors où se trouvent de nombreux maquis. Les maquisards qui échappent à la brutale répression allemande de juillet (massacres de civils à Vassieux-en-Vercors, à La Chapelle-en-Vercors et à la grotte de la Luire) participent à la Libération de Romans en août.

Entre crises et mutations

Avec le retour de la paix, l’industrie de la chaussure redevient florissante, en particulier avec Charles Jourdan qui crée des magasins dans le monde entier ; elle emploie 4000 salariés.

La population continue à croître, de 20000 habitants en 1945 à 30000 en 1968. Pour les accueillir, de nouveaux quartiers se couvrent d’immeubles comme la cité HLM de La Monnaie, où vivent jusqu’à 8000 personnes. Des zones pavillonnaires remplacent les terres agricoles tout autour de la ville.

Mais à partir de 1974, la crise désorganise profondément la mono-industrie de la chaussure : la concurrence étrangère lui est fatale. De nombreuses entreprises ferment, entraînant des centaines de licenciements : en 25 ans, les effectifs passent de 4000 à 1000 salariés.

Déclin également pour la grande tannerie industrielle : seules subsistent la Tannerie Roux, l’une des plus anciennes de France, et la société de Tannerie Chaix. Face à ces mono-industries, une économie de substitution se met lentement en place dès les années 1960 (FBFC : combustible nucléaire, SEIM : équipement automobile, etc.) dans la zone industrielle en bordure du quartier de La Monnaie.

Dans les années 1990, l’économie de Romans peut s’appuyer sur une excellente desserte routière et ferroviaire grâce à l’autoroute A49 et au TGV.

En 2004, quelques noms défendent encore une production de chaussures de qualité : Jourdan, Kélian, Clergerie. Une nouvelle dynamique commerciale s’annonce avec l’ouverture de Marques Avenue , un espace de magasins d’usines, dans l’ancienne caserne Bon.

L’industrie agroalimentaire est un pôle en plein développement.


Les jardins du musée de la chaussure

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1882-1888 Julien Gignier
1888-1892 Marius Bonnet
1892-1899 Pierre Lacoste
1899-1900 Jean Figuet
1900 Joseph Fenestrier
1900-1901 Jules Arlaud
1901 Alphonse Banc
1901-1904 Paul Roux
1904-1907 Alfred Pinet
1907-1919 Ernest Gailly
1919-1928 Jules Nadi SFIO
1928-1931 Ernest Bonnardel
1931-1944 Dr René Barlatier Médecin
1944-1945 Roger Raoux
1945-1955 Paul Deval centre-gauche
1955-1977 Pierre Didier centre-droit
1977-1983 Georges Fillioud PS Journaliste
1983-1990 Étienne-Jean Lapassat PS Enseignant
1990- Henri Bertholet PS Enseignant, député de 1997 à 2002
Les données antérieures sont disponibles sur le site de la ville.

Démographie

Évolution démographique
(Source : Ehess[3] et INSEE[4])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5 742 6 473 6 997 8 837 9 285 9 972 9 471 9 958 10 869
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
11 219 11 257 11 524 12 674 12 923 13 806 14 733 16 545 16 702
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
17 140 17 622 17 201 17 054 17 596 18 957 19 489 15 972 22 559
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 - -
26 377 31 545 33 030 33 152 32 734 32 667 33 138 - -

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Lieux et monuments

Économie

Fabrication de combustibles nucléaires

L'usine Franco-Belge de Fabrication du Combustible (filiale 100 % Areva NP) est implantée dans la commune. Elle fabrique du combustible nucléaire pour des centrales de production d'électricité et des réacteurs de recherche.

Le 18 juillet 2008, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a annoncé qu'à la suite à la suite d'une rupture de canalisation des rejets d'effluents radioactifs ont eu lieu. La filiale d'Areva, a affirmé que « l'incident est circonscrit à l'endroit de la rupture de la canalisation et reste donc limité au site ». Mme Evangelia Petit, porte-parole de l'ASN, a déclaré « Les premières analyses montrent qu'il n'y a pas du tout d'impact sur l'environnement, car les quantités d'uranium sont très faibles, de l'ordre de quelques centaines de grammes ».[6] L'incident a été classé n°1 sur l'échelle INES.

Industrie de la chaussure de luxe

Romans a longtemps concentré beaucoup d'industries de la chaussure de luxe mais le secteur est en fort déclin depuis la fin des années 1980.

La région de Romans a vécu le lundi 29 août 2005, une journée noire avec l'annonce coup sur coup de la liquidation judiciaire de Stephane Kélian Production et du dépôt de bilan de Charles Jourdan. Cette région, qui avait déjà vu fondre les effectifs des fabricants de chaussure, passant de 1.443 personnes en 2000 à 784 en juin 2005, va encore perdre les 143 salariés de Stephane Kélian Production, tandis que le dépôt de bilan du groupe Charles Jourdan le 22 août menaçait 432 emplois.

Les deux entreprises ont été rachetées en 2007 et 2008 par le groupe Royer, qui a délocalisé la production. Il ne reste donc plus, dans la « capitale » de la chaussure de luxe, que la marque Robert Clergerie qui maintient dans la région des activités de création, de montage et de commercialisation.

Événements

Carmentran au Carnaval de Romans 2008
  • Festival international de folklore de Romans : chaque année, en juillet, une quinzaine de groupes folkloriques du monde entier se produisent pendant une semaine dans toute la ville et la région. Cet évènement est labellisé par le CIOFF (Comité International d'Organisation des Festivals de Folklore) et organisé par le groupe d'Art et Traditions Populaires de la ville, Empi et Riaume.

Liens externes : Site officiel d'Empi et Riaume, groupe d'Arts et Traditions Populaires et Organisateur du Festival International de Folklore de Romans 'Cultures et Traditions du Monde'

  • Le Carnaval de Romans a lieu chaque année fin février. Il existe depuis plusieurs siècles puisqu'il s'est tristement illustré en 1580 en terminant dans le sang.

C'est un Carnaval vivant et frondeur où se mêlent la foule déguisée et les artistes de théâtre de rue. On peut assister au procès de Carmentran qui sera brûlé le soir pour évacuer tous les malheurs de l'année.

Personnalités liées à la commune

Jumelages

Sports

  • Aviron (sport): l'Aviron Romanais Péageois et RCBI créée en 1908. C'est le premier club de Drôme-Ardèche. Le plus grand rameur du club est Laurent Porchier qui a été plusieurs fois champion de France et champion du monde. Mais son plus grand titre est celui de champion olympique à Sydney en 2000.
  • Rugby : l'US Romans a longtemps joué en Première Division.
  • Bmx : Romans accueillera les championnats de France de bmx les 7 et 8 juillet 2007 ainsi que le championnat d'Europe du 13 au 15 juillet 2007.
  • Judo : le dojo romanais est le 2ème club de France en nombre de licenciés.
  • Volley-ball : le Volley Ball Romanais comprend 106 licenciés FFVB + 50 licenciés UFOLEP et fêtera ses 40 ans durant la saison 2008/2009
  • Tennis : Le tennis-club des Chasses accueille chaque année plus de 186 nouveaux licenciés. Présence d'un club house, de 9 terrains extérieurs et de 4 terrains intérieurs.
  • Handball : le Handball Club Romanais évolue en régional et prénational pour ces équipes premières.

Gastronomie

Religion

La paroisse Sainte Claire en Dauphiné regroupe les villes de Romans-sur-Isère, Bourg-de-Péage, Pizançon et Granges-lès-Beaumont.

Voir aussi

Bibliographie

Témoignages et mémoires sur l'histoire de Romans

  • Marcel Armand, Une tranche de pogne : Quelques événements romanais, Union locale CGT, Romans-sur-Isère, 1979, 78 p. 
  • Marcel Armand, Histoire de la Bourse du travail de Romans et de ceux qui l'ont faite : Un militant parle, Union locale CGT, Romans-sur-Isère, 1982, 80 p. 
  • Jeanne Deval, Ces années passées : Romans-Bourg-de-Péage, 1900-1939, Deval, Romans-sur-Isère, 1988, 303 p. 
  • Elvio Sagatto, Romans-sur-Isère : Tranches de vie dans le quartier Saint-Nicolas, 1920-1940, Association Sauvegarde du patrimoine romanais-péageois, Romans-sur-Isère, 2006, 128 p. 

Essais historiques

  • Laurent Jacquot, Romans - Traces d'histoire, coll. les Patrimoines, ed. Dauphiné Libéré, 2008.
  • Association Sauvegarde du patrimoine romanais-péageois, La Libération de Romans et de Bourg-de-Péage, Sutton, coll. « Témoignages et récits », Saint-Cyr-sur-Loire, 2004, 160 p. (ISSN 1622-7077) 
  • Association Sauvegarde du patrimoine romanais-péageois, Histoire et Patrimoine, 20 ans de chroniques dans L'Impartial[1], mars 2009.
  • Ulysse Chevalier, Romans-sur-Isère [« Annales de la ville de Romans »], Lacour, coll. « Rediviva », Nîmes, 2002, 347 p..
    Fac-similé de l'édition originale parue à Valence, chez J. Céas et fils, en 1897
     
  • Ulysse Chevalier, Annales de la ville de Romans pendant les guerres de Religion de 1549 à 1599, Chenevier et Chavet, Valence, 1875, 111 p. 
  • Ulysse Chevalier, Un tournoi à Romans en 1484, Sibilat André, Romans-sur-Isère, 1888, 33 p. 
  • Jean-Baptiste Dochier, Mémoires sur la ville de Romans, Éditions du Bastion, 1987, 199 p..
    Fac-similé de l'édition originale parue à Valence, chez J. Montal, en 1812
     
  • Jean-Pierre Ginet, Les Fêtes pascales à Romans sous la Renaissance, Lienhart, Aubenas, 1993, 167 p. (ISBN 2-86677-138-9) 
  • Jean-Pierre Ginet (préface de Georges Fillioud), Les Métiers d'autrefois à Romans-sur-Isère, Le Dauphiné libéré, coll. « Caractères », Veurey, 2000, 156 p. (ISBN 2-911739-27-2) 
  • André Lacroix, Romans et le Bourg-de-Péage avant 1790 : Archéologie, histoire et statistique, La Tour Gile, Péronnas, 1999, 367 p. 
  • Emmanuel Le Roy Ladurie, Le Carnaval de Romans : De la Chandeleur au mercredi des Cendres, 1579-1580, Gallimard, coll. « Bibliothèque des histoires », Paris, 1979, 426 p. 
  • Ludovic Viallet, Bourgeois, prêtres et cordeliers à Romans, v. 1280-v. 1530, Publications de l'Université de Saint-Étienne, Saint-Just-la-Pendue, 2001, 607 p..
    Texte remanié d'une thèse de doctorat soutenue à Grenoble-II en 1999
     

Sur l'architecture et l'urbanisme romanais

Études générales

Collégiale Saint-Barnard

  • Cyprien Perrossier (abbé), Les Tapisseries de l'église Saint-Barnard de Romans : Notice historique et descriptive, Imprimerie valentinoise, Valence, 1891, in-8° 
  • Association Amis de Saint-Barnard, La Tenture brodée du Mystère de la Passion : Collégiale Saint-Barnard, Amis de Saint-Barnard, Romans-sur-Isère, 1990, 44 p. 

Tour Jacquemart

  • Association Sauvegarde du patrimoine romanais-péageois, Jacquemart, Association Sauvegarde du patrimoine romanais-péageois, Romans-sur-Isère, 1996, 31 p. 

Calvaire des Récollets

  • Association Sauvegarde du patrimoine romanais-péageois, Le « Grand voyage » et le calvaire de Romans en Dauphiné : Notice historique, Association Sauvegarde du patrimoine romanais-péageois, Romans-sur-Isère, 1998, 37 p. 
  • Alain Châtre et Nicole Prival Piras, Le Jardin des soupirs : Romans-sur-Isère, enclos des Récollets, Peuple libre, Valence, 1995 (ISBN 2-907655-13-2) 

Cité Jules-Nadi

  • Association Sauvegarde du patrimoine romanais-péageois, Romans, une cité-jardin : La Cité Jules-Nadi, Association Sauvegarde du patrimoine romanais-péageois, Romans-sur-Isère, 2005, 64 p. 

Autres lieux

  • Ulysse Chevalier, La Chapelle de Saint-Michel de Romans, Lacour, coll. « Rediviva », Nîmes, 1992, 16 p. (ISBN 2-86971-570-7).
    Réédition d'un ouvrage paru à Grenoble, chez Prudhomme, en 1869
     
  • Jean Pautrot, Quelques pages d'histoire romanaise avec l'Hôtel de Clérieu, J. Pautrot, Romans-sur-Isère, 1984, 63 p. (ISBN 2-902935-04-8) 

Sur l'industrie du cuir et de la chaussure à Romans

  • ACCÈS-Université populaire, Les Romanais, Romans et la chaussure : 150 ans d'histoire, Peuple libre & notre temps, Valence, 2001, 335 p. (ISBN 2-907655-34-5) 
  • Marie-Josèphe Bossan, Romans, le cuir et la chaussure : Catalogue de l'exposition organisée par le Musée de Romans, Musée international de la chaussure de Romans, Romans-sur-Isère, 1979, 28 p. 

Publications sur des associations, institutions et événements romanais

  • Il était une foire : Rétrospective de la foire du Dauphiné à Romans, Association Sauvegarde du patrimoine romanais-péageois, Romans-sur-Isère, 2006, 64 p. (ISBN 2-9524714-0-2) 
  • ACCÈS-Université populaire, ACCÈS a vingt ans : L'Université populaire du Pays de Romans de 1987 à 2007, Association Sauvegarde du patrimoine romanais-péageois, Romans-sur-Isère, 2007, 109 p. (ISBN 978-2-95247-141-1) 
  • Jean-Claude Bousson, Claude Courau, Christian Darlet et autres, USRP, 1908-2008 : Cent ans de passion, USRP, Romans-sur-Isère, 2008, 252 p. (ISBN 2-9523258-8-X) 
  • Éric Maulavé, Noires et blanches : École nationale de musique et de danse de Romans-sur-Isère, Ville de Romans, Romans-sur-Isère, 1998, 34 p. 

Notes et références

Liens externes


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