- Pierrefitte sur seine
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Pierrefitte-sur-Seine
Pierrefitte-sur-Seine Pays France Région Île-de-France Département Seine-Saint-Denis Arrondissement Saint-Denis Canton Pierrefitte-sur-Seine (Chef-lieu) Code Insee 93059 Code postal 93380 Maire
Mandat en coursMichel Fourcade
2008-2014Intercommunalité communauté d'agglomération Plaine Commune Coordonnées
géographiquesAltitudes moyenne : 98 m
minimale : 37 m
maximale : 97 mSuperficie 3,41 km² (341 ha) Population sans
doubles comptes27 532 hab.
(2006)Densité 8 074 hab./km² Commune de la Seine-Saint-Denis (93) Localisation du département en France Pierrefitte-sur-Seine est une commune de la Seine-Saint-Denis, située entre Saint-Denis et le département du Val-d'Oise. Elle fait partie de la communauté d'agglomération Plaine Commune et est le chef-lieu du canton de Pierrefitte-sur-Seine.
Les habitants de Pierrefitte-sur-Seine sont les Pierrefittoises et les Pierrefittois.
Sommaire
Géographie
Le territoire de Pierrefitte-sur-Seine se situe au nord de Saint-Denis, à une dizaine de kilomètres de Paris, sur la RN1. Il s'étend principalement sur la Plaine de France, mais ses limites nord-ouest sont constituées par les contreforts de la Butte-Pinson.
Un ensemble de petits ruisseaux sont discernables sur les anciennes cartes, mais ont ils ont été enterrés au fil de l'histoire afin de lutter contre les risques d'inondation tout en permettant le drainage des terrains.
Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[1], la commune faisait partie du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de la Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à la Seine-Saint-Denis après un transfert administratif effectif le 1er janvier 1968.
Communes limitrophes
- Saint-Denis
- Stains
- Villetaneuse
- Sarcelles dans le Val-d'Oise
- Montmagny dans le Val-d'Oise
Transports
Pierrefitte est situé près des autoroutes A1, A15 et A86.
Elle est traversée par les anciennes RN1 (plus de 50 000 véhicules/jour) et RN 301.
Hier : les anciens tramways
L'urbanisation de Pierrefitte a été fortement développée par la création de la gare de Pierrefitte - Stains en 1859, sur la ligne Paris - Lille, permettant aux parisiens de se rendre à Pierrefitte, dans un premier temps comme lieu de villégiature[2], mais également comme lieu d'habitat.
De plus, la ville a été desservie par trois lignes de tramways au début du XXe siècle :
- La ligne N°3 Mairie de Pierrefitte - Pont de Saint-Cloud des TMEP[3] par le Barrage (Place du Général Leclerc) et la gare de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) et les quais rive Droite, le Pont de Saint-Ouen et les quais de la Rive droite.
Cette ligne a fonctionné du 27 août 1901 au 30 mai 1910 - La ligne PC de Mairie de Pierrefitte à Porte de Clignancourt, créée par la TPDS, qui a circulé du 1er juin 1910 au 18 mai 1936. Lors de la fusion des compagnies de tramways au seint de la STCRP de 1921, cette ligne pris le N° 65, et, en 1926, elle transportait 1 500 000 voyageurs par an.
- La ligne 11b de la STCRP Gare de l'Est - Barrage de Pierrefitte, créée le 1er mai 1922, passait par Carrefour Pleyel, la Porte de Paris, l'église Saint-Denis-de l'Estrée et la place du Général Leclerc à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), transportait 4 400 000 voyageurs en 1926. En 1930 environ, il y avait 7 départs à l'heure de pointe et 3 en heure creuse pour la Porte de Clignancourt (ligne 65) et y rejoindre le métro, ainsi que la Place de la République (11b). Il fallait 34 minutes pour faire le trajet Pierrefitte - Porte de Clignancourt [4].
Les deux lignes de tramway ont été supprimées par la Société des transports en commun de la région parisienne le 18 mai 1936 : l'ensemble du secteur était désormais desservi par des autobus, alors considérés comme plus modernes[5]...
Aujourd'hui
La commune est desservie essentiellement par le RER D (Pierrefitte - Stains) ainsi que par la ligne 13 du métro de Paris, à l'extrème est de la commune.
En termes de bus, sa desserte est assurée par les lignes RATP 150 168 254 268 354 ainsi que, la nuit par le Noctilien N44
Demain : le TCSP RN1...
Article détaillé : Ligne 5 du tramway d'Île-de-France.Le chantier du Tramway sur pneus, Ligne 5 du tramway d'Île-de-France dit TCSP RN1 (pour Transport en commun sur site propre de la RN-1), a débuté en 2009 sur l'axe principal de la ville, entre marché de Saint Denis et la Gare de Garges - Sarcelles. La pose des premiers rails de guidage devrait intervenir en novembre 2010, sur Pierrefitte à hauteur des Rougemonts, et la ligne devrait être mise en service fin 2011.
Selon le projet de SDRIF rendu public le 15 novembre 2006, il pourrait être prolongé à terme à Garges-lès-Gonesse.
...Et la Tangentielle Nord
Articles détaillés : Ligne de Grande Ceinture et Tangentielle Nord.La ligne de Grande Ceinture traverse la commune depuis 1882. Cette ligne de chemin de fer contourne Paris et relie entre elles toutes les voies ferrées qui aboutissent à la capitale, afin de faciliter le trafic de marchandises. Elle a d'ailleurs perdu son trafic voyageur en 1939, mais conserve un rôle fret majeur pour la SNCF.
La ligne sera doublée par deux voies de tram-train en 2014, afin de relier, dans une première étape, la gare d'Épinay-sur-Seine à celle du Bourget, puis Sartrouville à Noisy-le-Sec, offrant ainsi des correspondances aisées avec toutes les lignes du RER ainsi qu'avec les lignes du Transilien du nord de l'agglomération. Une gare sera créée à Pierrefitte, au nord de la zone des Tartres, et en correspondance avec la gare du RER D de Pierrefitte - Stains.
Économie
La commune a été moins marquée que les autres villes de Plaine Commune par la présence de la grande industrie depuis la fin du XIXe siècle jusqu'à la désindustrialisation de l'Île-de-France. D'importantes entreprises ont néanmoins eu un rôle économique à Pierrefitte.
On y compte en 2007/2008 423 entreprises. Les principales sont les Cartonnages Guillaume (95 emplois, fabrication de coffrets pour l'industrie du luxe), Delage Aéro (90 salariés, construction de pièces pour moteurs d'avions) et le CDIF (80 salariés, éco-entreprise : centre de tri)[6].
Elle dispose également de plusieurs équipements importants de santé, avec l'hôpital Victor Hugo (psychiatrie), dépendant du Centre hospitalier de Saint-Denis, la Maison de l'Alisier (foyer d’accueil pour les traumatisés crâniens), la clinique Clinalliance, qui a ouvert en 2008[7], ainsi que le centre municipal de santé Jean-Aimé Dolidier.
Plaine Commune aménage deux zones d'activité le long de la future RD 28 prolongée, la ZAE Jules-Valles et la ZAE de la Gare militaire, dont le promoteur est Icade.
La zone des Tartres
La zone des Tartres est un secteur longtemps délaissé situé aux confins de Pierrefitte-sur-Seine, Stains et Saint-Denis, occupé notamment par des maraîchers et des jardins ouvriers. Elle est desservie par le Pavé d'Amiens qui sera restructuré prochainement par le Conseil Général dans le cadre du projet de prolongement de la RD 28.
Son aménagement était envisagé de longue date par le syndicat intercommunal des Tartres, qui a été dissout lorsque Stains a intégré Plaine Commune en 2004. Cet EPCI a désormais la compétence de l'aménagement de l'ensemble de ce territoire.
Les objectifs d'aménagement de cet espace de près de 110 hectares sont les suivants :
- Accompagner les projets existants : l’extension de l’Université Paris 8 (équipements sportifs), l’implantation des Archives nationales, les projets de RD28 et du futur pôle gare de la Tangentielle Nord
- Valoriser l’activité économique en recherchant les meilleures localisations au regard des besoins locaux, notamment l’accueil de PME/PMI et d’entreprises artisanales, et de l’offre foncière disponible.
- Conforter l’habitat dans un souci de diversification de l’offre et d’accompagnement des opérations de restructuration lourde du patrimoine.
- Développer une dimension environnementale et paysagère du secteur dans un réseau d’échanges à l’échelle de Plaine Commune et du Département.
Centre des Archives nationales françaises
En mars 2004, le président de la République Jacques Chirac a annoncé que le nouveau complexe des Archives nationales serait construit dans la zone des Tartres, marquant ainsi la volonté de l’État de construire au cœur de la cité un grand établissement culturel, dans un territoire en devenir, aux portes de Paris.
Cet emplacement a été retenu en raison de sa proximité immédiate de la station de métro de Saint-Denis - Université sur la Ligne 13 du métro de Paris ainsi que de l'université de Saint-Denis, et, un peu plus loin, de Villetaneuse, et de la disponibilité foncière disponible dans ce secteur de la zone des Tartres
Le bâtiment, conçu par l'architecte Massimiliano Fuksas, d'une superficie de 84 293 m2 [8], d'une capacité de stockage de 320 kilomètres linéaires, haut de 42 m et long de 180 mètres, accueillera 400 personnes environ (chercheurs, enseignants, étudiants, généalogistes…) chaque jour. Il accueillera les archives postérieures à 1790.
La coût de ce centre est estimée à 194 M€[9] , dont le chantier, de 31 mois, devrait débuter en juin 2009[10]. sera normalement livré, par l'entreprise Bouygues Bâtiment Île de France Ouvrages publics, en 2012
Histoire
Héraldique
Étymologie
Tirant son nom du latin Petra ficta (pierre figée au sol ou menhir), la ville de Pierrefitte sur Seine, terre de vignobles, est un territoire à l'histoire millénaire.
Du Moyen Âge au XVIIIe siècle
Propriété de l'Abbaye de Saint-Denis au IXe siècle, elle fut en partie détruite au XVe siècle, pendant la guerre de Cent Ans, puis bombardée et ravagée durant celle de 1870.
Au XVIIIe siècle, Pierrefitte est un village d'agriculteurs et de carriers, qui exploite le gypse de la pierre à plâtre des contreforts de la Butte-Pinson.
Le XIXe siècle
En 1856, Pierrefitte est desservie par le Chemin de Fer de Paris à Creil, ce qui permet à la ville de devenir un lieu de petite villégiature pour des parisiens aisés.
En 1896, Pierrefitte est un bourg de 2468 habitants dont l'activité économique se résume à deux entreprises, l’une de tentures murales, dite Lincrusta Walton, occupant 40 ouvriers et l’autre de matériel de chemin de fer et occupant 30 ouvriers, auquel il faut rajouter une maison d’épicerie en gros. L'agriculture est consacrée à la culture maraîchère et à l’horticulture, qui ont remplacé la fabrication du vin, les plants de vigne ayant peu à peu disparu.
Le bourg est alors constitué de 383 maisons (dont 51 de deux étages et 5 de trois étages et plus) constituant 717 logements, ainsi que 32 ateliers et 47 magasins ou boutiques[11].
Démographie
Administration
La ville est membre fondateur depuis 2000 de la communauté d'agglomération Plaine Commune.
Après avoir ravi le siège de conseiller général du canton de Pierrefitte-sur-Seine à la maire PCF Catherine Hanriot lors des cantonales de 2004, Michel Fourcade a remporté les primaires organisées lors du premier tour des municipales 2008 à la tête d'une liste de rassemblement notamment du PS, des verts et de représentants de la société civile contre le PCF.
Au second tour, la liste du PCF a fusionné avec celle conduite par le socialiste Michel Fourcade et cette liste d'union a remporté le second tour du 16 mars 2008 par 65,9 % des exprimés face à la liste Bazeli (UMP)[16].
Liste des maires
Liste des maires successifs[17] Période Identité Parti Qualité 1900 1907 Louis-Victor Tuleu 1907 1907 Victor Leguillier président de la Délégation spéciale 1907 1911 Clément gillet 1911 1911 Victor Leguillier président de la Délégation spéciale 1911 1912 Édmond Brun 1912 1913 Clément Gillet 1913 1919 Louis-Octave Gillet 1919 1920 Amédée Gillet 1920 1921 Louis Langlois 1921 1929 Henri-Octave Lemaire 1929 1940 Albert Richard 1940 1943 Raymond Dirr Maire nommé 1943 1944 Louis Raison Maire nommé 1944 1945 Raymond Picard Président du Comité local de libération 1945 1971 Roger Fréville PCF 1971 1998 Daniel Bioton PCF 1998 2008 Catherine Hanriot PCF Conseillère générale (1998-2004) 2008 Michel Fourcade PS Conseiller général Sites et monuments
- L'Église Saint-Gervais-Saint-Protais, construite sur les plans de l'architecte Lequeux, a été consacrée le 21 octobre 1857. Toutefois, les fonts baptismaux des XIIe et XIIIe siècle proviennent de l'église antérieure. La Cloche a été offerte par l'impératrice Eugénie.
L'église était décrite comme suit en 1879 :
L'église est située dans la Grand'Rue du village, et sa façade, légèrement en retrait, se compose, au premier plan, d'un avant-corps accusant la grande nef et, au deuxième plan, des façades des bas-côtés qui sont moins élevées et ajourées, chacune, par une fenêtre plein-cintre.
L'avant-corps présente, en son milieu, une grande tour carrée dont le soubassement est percé d'une porte plein-cintre, décorée de moulures et surmontée d'une croix. Elle est encadrée de deux pilastres composites, supportant un entablement dont l'architrave est interrompue par un tableau qui porte cette inscription : « NON EST HIC ALIUD NISI DOMUS DEI ET PORTA COELI. GEN., XXVIII, XVII ».
Au-dessus de cet entablement s'élève la tour proprement dite, décorée de refends et de bossages, interrompus par un cadran d'horloge. Elle est flanquée de contreforts peu saillants sur lesquels s'appuie le beffroi ajouré de fenêtres géminées garnies d'abat-sons et surmonté d'une flèche octogonale dont les pans, aux angles de la tour, sont flanqués de pyramidions. (...)
À l'intérieur l'église présente une nef s'ouvrant sur les bas-côtés par cinq travées séparées par des colonnes qui supportent la retombée de voûtes plein-cintre. Au-dessus, des antes très plats, terminés par des consoles, reçoivent les poutres ornées de culs-de-lampe qui soutiennent le plafond à compartiments. Cette nef se termine, en avant de l'hémicycle du maître-autel, par un arc triomphal décoré de fresques et de sculptures. Cet hémicycle est lui-même recouvert par une demi-coupole.
Une frise peinte contourne la nef et sépare l'étage des arcades du rez-de-chaussée de celui des fenêtres circulaires placées au-dessus de chacune d'elles.
Les bas-côtés sont ajourés de cinq fenêtres plein-cintre, munies également de verrières. Ils se terminent par deux chapelles dédiées, celle de gauche à Sainte Geneviève, celle de droite à la Vierge[15]
.
- L'Église Sainte-Thérèse des Joncherolles a été construite en 1960 par l'architecte Paul-Marie Vilmont
Ville fleurie : 1 fleur attribuée en 2007[18] par le Conseil national des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris.
Architecture contemporaine
Le quartier des poètes (ou Cité Rose)
Jumelages
- Rüdersdorf près de Berlin. Jumelage depuis 1966.
- Braintree dans l'Essex (Royaume-Uni). Jumelage depuis 1967.
Personnalités liées à la commune
Pierrefitte accueillit d'illustres personnages comme le Général Baron d'Empire Moulin ou le peintre Maurice Utrillo. La ville inspira d'ailleurs l'artiste qui immortalisa, dans ses premières œuvres les vignes, l'église et les rues de Pierrefitte.
- Frédérick Lemaître avait une résidence à Pierrefitte, devenu parc public et conservatoire municipal de musique et de danse.
- Alcide Dessalines d'Orbigny
- Maurice Utrillo et sa mère, Suzanne Valadon, demeurèrent à Pierrefitte (en 1901, à la Villa Hochard)
- le Général Baron d'Empire Moulin
Anecdotes
La course cycliste Paris-Roubaix eut longtemps son départ devant un café de la RN1, à l'entrée de Pierrefitte.
Notes et références
- ↑ Journal Officiel, Loi n°64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
- ↑ Les guinguettes de la Butte-Pinson étaient fréquentées tant par les habitants du secteur que par les parisiens. Des services de bus spéciaux leur facilitaient l'accès
- ↑ La Compagnie des Tramways Mécaniques des Environs de Paris (TMEP), de manière générale en très grande difficulté financière, et qui venait de subir les désastreuses inondations de la Seine de janvier 1910, fut absorbée par la compagnie des Tramways de Paris et du Département de la Seine (TPDS) le 1er juin 1910. La TDPS coupa dès cette date la ligne en trois , avec :
- La ligne BA (Saint-Cloud - Asnières-sur-Seine
- La ligne AsD (Asnières-sur-Seine - Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
- La ligne PC (Pierrefitte - Porte de Clignancourt)
- ↑ SOURCE : Notice sur le projet d'aménagement de la Commune de Villetaneuse (lois de 1919-1924), déclaré d'utilité publique par décret du 22 mai 1933.
- ↑ Source : Revue Chemins de fer régionaux et urbains N°306 (6/2004) éditée par la Fédération des amis des chemins de fer (FACS) Gare de l'Est 75475 PARIS CEDEX 10
- ↑ « Le guide des collectivités locales », dans "Bienvenue ! La Seine-Saint-Denis", édité par le Comité d'expansion (COMEX) de la Seine-Saint-Denis, Mai 2008
- ↑ Mairam Guissé, « Pierrefitte-sur-Seine : Une nouvelle clinique de 7 000 m² », dans Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis, 18 septembre 2008
- ↑ surface en shon source Le Moniteur N°5513 du 24 juillet 2009 page 17
- ↑ Le Moniteur N°5513 du 24 juillet 2009 page 17
- ↑ Nouveau centre des Archives nationales de Pierrefitte-sur-Seine sur le site Archives de France. Consulté le 10 avril 2009
- ↑ SOURCE : Monographie de 1896 mentionnée en bibliographie
- ↑ http://cassini.ehess.fr/ Population avant le recensement de 1962
- ↑ Source : INSEE : recensements généraux de la population
- ↑ Recensement 2005 : évaluation de l'INSEE, citée par le quotidien Le Parisien, édition Seine-Saint-Denis, du 17 janvier 2007
- ↑ a et b Service des Beaux-Arts du Département de la Seine, Inventaire général des œuvres d'art décorant les édifices du département de la Seine, vol. 1 : Arrondissement de Saint-Denis, Chaix et Cie, 1879
- ↑ Résultats des élections municipales 2008 - 2nd tour
Votants 50,2 %
Exprimés 48,4 %
Liste Fourcade (PS) - 65,9 % des exprimés - 29 sièges
Liste Bazeli (UMP) - 34,1 % des exprimés - 6 sièges
Source Le Parisien. - ↑ SOURCE : CD Une histoire de la Seine-Saint-Denis au XXe siècle - Éditions du Conseil général 2004 (ISBN 2-906525-18-9)
- ↑ Palmarès du concours Villes et villages fleuris - Seine Saint Denis. Consulté le 18 juin 2008
Voir aussi
Articles connexes
- Butte-Pinson
- Gare de Pierrefitte - Stains
- Communauté d'agglomération Plaine Commune
- Liste des maires de la Seine-Saint-Denis
- Communes de la Seine-Saint-Denis
Liens externes
Bibliographie
- Pierrefitte-sur-Seine : notice historique et renseignements administratifs, Impr. de l'école d'Alembert (Montévrain), coll. « État des communes du département de la Seine à la fin du XIXe siècle », Paris, 1896, 63 p.
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