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Croissy-sur-Seine
L'hôtel de villeAdministration Pays France Région Île-de-France Département Yvelines Arrondissement Saint-Germain-en-Laye Canton Chatou Code commune 78190 Code postal 78290 Maire
Mandat en coursJean-Roger Davin
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de la Boucle de Seine Démographie Population 10 067 hab. (2008) Densité 2 926 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 19 m — maxi. 34 m Superficie 3,44 km2 Croissy-sur-Seine est une commune française du département des Yvelines, dans la région Île-de-France.
Les habitants sont appelés les Croissillons.
Sommaire
Géographie
Situation
La commune de Croissy-sur-Seine se trouve dans le nord-est du département des Yvelines, à onze kilomètres environ à l'ouest de Paris, à six kilomètres environ au sud-est de Saint-Germain-en-Laye, sous-préfecture, et à dix kilomètres environ au nord de Versailles, préfecture du département.
C'est une commune riveraine de la Seine située dans une boucle de la Seine, dans la convexité du méandre, sur la rive droite du fleuve. La commune est située partiellement en zone inondable.
Le territoire communal s'étend sur des sédiments alluviaux, sans relief marqué, s'étageant de 35 à 30 mètres d'altitude du nord-est vers le sud-ouest. C'est un territoire fortement urbanisé (environ les trois-quarts). Il englobe la partie amont de l'île de la Chaussée.
Les communes limitrophes sont Chatou au nord, Rueil-Malmaison, Bougival au sud, Louveciennes et Le Port-Marly au sud-ouest (ces quatre dernières communes se situant sur la rive gauche de la Seine), Le Pecq au nord-ouest et Le Vésinet au nord.
Hydrographie
Croissy-sur-Seine appartient au bassin versant de la Seine. Le territoire communal longe la rive droite du fleuve sur environ cinq kilomètres.
De ce fait la commune est concernée par les risques d'inondations liés aux crues de la Seine dans la frange sud du territoire, le long de la Seine, sur une largeur de 200 à 300 mètres environ. Dans le cadre du « plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) de la vallée de la Seine et de l'Oise, les zones inondables ont été classées en zone marron, rouge clair, bleue et verte, selon l'importance de l'exposition aux risques d'inondation. La zone marron concerne les berges de la Seine sur une largeur d'environ 25 mètres, où il s'agit de préserver la capacité d'écoulement des eaux. Toute occupation du sol y est interdite. Dans la zone rouge clair, déjà urbanisée mais très exposée au risque d'inondation, toute nouvelle urbanisation est interdite, mais l'entretien et le renouvellement des installations existantes sont autorisés. Cela concerne une bande dans la partie sud du territoire. Les zones bleues moins exposées mais également urbanisées sont soumises à des restrictions d'urbanisation, de nouvelles constructions pouvant être autorisées sous conditions. La zone verte concerne la partie sud-ouest du territoire, où s'étendent les installations de la Lyonnaise des eaux, qui est peu construite, ainsi que la partie amont de l'île de la Chaussée. L'urbanisation y est interdite pour préserver le champ d’expansion de crue de la Seine[1].
Relief et géologie
Utilisation du territoire
Occupation des sols en 2008. Type d'occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)Espace urbain construit 61,9 % 213,96 Espace urbain non construit 9,4 % 32,59 Espace rural 28,7 % 99,26 Source : Iaurif Le territoire communal est fortement urbanisé, l'espace urbain occupant plus de 71 % de la superficie totale de la commune et l'espace rural moins de 29 %[2].
L'espace rural comprend notamment 51 hectares de plans d'eau (la Seine et les bassins d'infiltration de la Lyonnaise des eaux).
L'espace urbain construit (213 hectares) est affecté principalement à l'habitat, qui occupe 181 hectares, dont 148 pour l'habitat individuel et 33 pour l'habitat collectif. Le reste est dédié aux activités économiques pour 15 hectares, et aux infrastructures (équipements, transport, chantiers) pour 17 hectares.
L'espace urbain ouvert, constitué par les espaces verts, parcs et jardins, occupe 132 hectares.
Infrastructures
Les communications sont assurées principalement par les routes départementales RD 321 (ancienne RN 311A orientée nord-sud) et RD 121 (orientée est-ouest) qui conduisent aux ponts sur la Seine (Pont du Pecq au nord-ouest, pont de Chatou au nord-est et pont de Bougival au sud.
Sur le plan ferroviaire, la commune est desservie par une station du RER A : « Chatou-Croissy » (située à Chatou).
Héraldique
Les armes de Croissy-sur-Seine se blasonnent ainsi :
d'azur à l'écusson d'argent au croissant du champ, accompagné de trois losanges d'or.
Ce blason adopté par délibération du conseil municipal du 4 octobre 1958 est une création de Robert Louis[3]. Il a remplacé un ancien blason adopté en 1938, d'azur à un pont de trois arches d'or soutenu par une champagne de sinople[4].
Les trois losanges ont été empruntés aux armoiries de Jean Chanorier, agronome, qui fut le dernier seigneur et le premier maire de Croissy. Le croissant évoque la situation géographique de la commune dans une boucle de la Seine[5].
Histoire
Au IXe siècle la population locale, se consacrait principalement à la pêche. En mars 845, une centaine de drakkars Vikings conduits par Ragnar Lodbrok remontent la Seine pour piller Paris. Arrêtés à Charlevanne, ils passent sur le bras droit du fleuve et débarquent à la pêcherie de Croissy où ils affrontent la population locale. Les habitants furent pendus dans l'île ou crucifiés sur les maisons, le village pillé et détruit… Le lieu de débarquement prit plus tard le nom de Mauport, « port maudit »[6],[7].
Au XIe siècle la seigneurie de Croissy appartient aux seigneurs de Marly.
Sous Philippe le Hardi, les reliques de Saint Léonard que possédait l'église, y attiraient un grand concours de pèlerins.
Croissy est ravagée puis abandonnée pendant la guerre de Cent Ans. Lors de la chevauchée d’Édouard III en 1346 le Prince noir, fils du roi d’Angleterre, brûle Croissy et Chatou et s’empare de Saint-Germain-en-Laye.
Henri IV, en acquiert de vastes arpents qu’il fait réaménager en traçant de grandes voies qui sont, aujourd’hui encore, les principaux axes du sud de la Boucle.
Au XVIIe siècle les serviteurs du roi et de la reine, habitent à Croissy. La navigation sur la Seine s’effectue par le bras qui dessert Rueil et Bougival. Le bras côté Croissy, est un bras mort, encombré de hauts-fonds et d’îlots et bordé de zones inondables. Pour alimenter en abondance les nombreux bassins des jardins et bosquets du château de Versailles, Louis XIV a besoin de beaucoup d’eau, d’où la construction à Marly d’une machine gigantesque : elle barre la moitié de la Seine avec 14 roues à aubes de 12 mètres de diamètre, qui communiquent leurs mouvements, par un jeu de manivelles, à un énorme système de pompes réparties sur trois niveaux, qui amène l'eau, par l'aqueduc de Louveciennes, jusqu'à Versailles. La réalisation de cet ensemble, considéré alors comme la 8e Merveille du Monde, révolutionne localement la navigation et les bords de Seine. La Machine barrant le bras navigable, il faut aménager le bras mort de Croissy. Le village perd ainsi une quantité importante de terrains en bordure du fleuve.
En 1644, Croissy est achetée par le chevalier François de Patrocles, écuyer principal de la Reine.
En 1779, la terre de Croissy passe aux mains du receveur général des finances Jean Chanorier. En 1790, il est le premier maire élu de Croissy.
En 1793, Joséphine de Beauharnais y demeura dans un hôtel particulier situé au 6 bis Grand Rue pour se protéger de la Terreur.
Au XIXe siècle, Croissy, comme sa voisine Chatou, vit se développer la mode du canotage sur la Seine. Une guinguette installée dans l'île de Croissy, la Grenouillère, connut un grand succès jusqu'à sa destruction en 1889 par un incendie. Elle fut fréquentée notamment par les peintres impressionnistes, tels qu'Edgar Degas, Claude Monet, Auguste Renoir, Vincent Van Gogh, Alfred Sisley...
Croissy fut longtemps une terre de cultures maraîchères, dont les produits, notamment navets et carottes, étaient livrés aux halles de Paris.
Économie
- Commune résidentielle
- Installations de traitement de l'eau potable de la Lyonnaise des eaux.
- Principal centre de recherche des laboratoires Servier.
Chiffres clés
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Démographie
Évolution démographique
En 2008, Croissy-sur-Seine comptait 10 133 habitants (soit une augmentation de 3 % par rapport à 1999). La commune occupait le 922e rang au niveau national, alors qu'elle était au 906e en 1999, et le 40e au niveau départemental sur 262 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Croissy-sur-Seine depuis 1793.
Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[8], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.
Le maximum de la population a été atteint en 2008 avec 10 133 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,3 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 48,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,7 %, 15 à 29 ans = 17,5 %, 30 à 44 ans = 19,7 %, 45 à 59 ans = 21,5 %, plus de 60 ans = 18,6 %) ;
- 51,3 % de femmes (0 à 14 ans = 18,8 %, 15 à 29 ans = 15,2 %, 30 à 44 ans = 21,1 %, 45 à 59 ans = 21,6 %, plus de 60 ans = 23,4 %).
Administration
En 2008, la commune a reçu le label « Ville Internet @@@@ »[14].
Les maires de Croissy-sur-Seine
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 22 janvier 1790 14 novembre 1790 Jean Chanorier Agronome et receveur général des finances mai 1935 mars 1939 Chactas Hulin SFIO mars 1939 août 1944 Paul Lucas août 1944 janvier 1945 Jean Elie Mazubert PC janvier 1945 mai 1945 Fernand Hostachy mai 1945 octobre 1947 Charles Motte SFIO octobre 1947 mars 1956 Paul Lemoine mars 1956 mai 1979 Fernand Hostachy juin 1979 mai 1985 Roland Courtel mai 1985 juin 1995 Alfred Callu juin 1995 mars 2001 Jean-Henry Ricard UMP mars 2001[15] ... Jean-Roger Davin UMP Toutes les données ne sont pas encore connues. Culture
Patrimoine architectural
La commune compte quatre monuments historiques :
- Chapelle Saint-Léonard-et-Saint-Martin, ancienne église paroissiale fermée au culte au XIXe siècle et actuel lieu d'expositions, construite à partir du XIIIe siècle. Elle a été inscrite par arrêté du 11 juillet 1942[16].
- Château de Croissy, XVIIIe siècle. Il a été inscrit par arrêté du 18 juillet 1975[17].
- Musée de la Grenouillère, installé dans la maison dite de Joséphine de Beauharnais. Cette maison construite entre le XVIeet le XIXe siècle a été inscrite par arrêté du 22 mai 1974[18].
- Ancienne Maison de Charité construite en 1852. Elle a été inscrite par arrêté du 7 février 1974[19].
Autres lieux et monuments :
- Église Saint-Léonard, édifice de style néogothique construit en 1882.
- Chemin des Impressionnistes
- Hôtel particulier de style Louis XIII construit pour l'industriel Ernest Goüin en 1869 au no 2 de la berge de la prairie, à l'angle de l’avenue Émile Augier. Le frère de son gendre et neveu d'Émile Augier, le poète Émile Guiard dit Dargil, y habite après lui. La villa a également appartenu au musicien Jean-Michel Jarre et à l’actrice Charlotte Rampling.
- Villa Desmarest, petit château construit en 1857, au no 10 de la berge de la prairie, pour Ernest Desmarest, avocat, maire du IXe arrondissement de Paris et « protecteur » d’artistes. Son parc abritait une salle de spectacle bâtie pour ses amis et clients : Céleste Mogador, la cantatrice Pauline Viardot, les compositeurs Gounod, Bizet… La propriété appartient par la suite à Jules Goüin, régent de la Banque de France.
Événements Culturels
- La Fête de la carotte : c'est la fête traditionnelle de Croissy depuis le milieu du XIXe siècle. Hommage ancestral au légume qui fit jadis la gloire de cette ancienne cité maraîchère, la fête a lieu chaque année le deuxième week-end de septembre. Au programme : retraite aux flambeaux, feu d'artifice, soirée DJ, messe de la Saint-Fiacre, défilé de chars à bras, concours d'objets roulants non identifiés, grand repas "bœuf carottes", forum des associations, fête foraine, cinéma de plein air...
- Les Fêtes romantiques, organisées chaque année depuis 1999 à la mi-octobre dans le cadre de la chapelle Saint-Léonard, les « fêtes romantiques » proposent concerts, expositions, lectures, master classes, spectacles autour du répertoire musical et littéraire romantique. Concerts et animations pédagogiques sur instruments d'époque.
- Les Fêtes de Juin sont devenues un temps fort annuel que seule la météo peut contrarier. En effet, l'esprit même de la manifestation réside dans le plein air, donnant chaque année autour du 21 juin, un avant goût de vacances. D'abord, la fête de la Musique qui investit complètement le centre-ville, puis, le temps d'un week-end, c'est toute une succession d'animations qui fleurissent : mini festival dans l'île, la fête de la Grenouillère avec son ambiance bal musette, canotiers et guinguette...
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Plaque commémorative de Jean Chanorier au cimetière.
Personnalités liées à la commune
- Pierre-Jean Mariette (1694-1794), graveur et libraire à Paris, célèbre historien d'art.
- Jean Chanorier (1746-1806), receveur général des finances, premier maire en 1790.
- Joséphine de Beauharnais.
- Paul Barras (1755-1829), conventionnel, membre du Directoire.
- Eugène Labiche (1815-1888), auteur dramatique.
- Ernest Goüin (1815-1885), industriel.
- Émile Augier (1820-1889), auteur dramatique, académicien.
- Claude Monet (1840-1926), peintre impressionniste.
- Pierre-Auguste Renoir (1841-1919), peintre impressionniste.
- Paul Déroulède (1846-1914), écrivain, homme politique.
- Théophile Poilpot (1848-1915), peintre académique.
- Louis Ganderax (1855-1941), écrivain, critique littéraire.
- Amélie Diéterle (1871-1941), comédienne.
- Adolphe Kégresse (1879-1943).
- Claudia Victrix (1888-1976), cantatrice et actrice de cinéma.
- Roger Henrard (1900-1975), photographe aérien.
- Pierre Balmain (1914-1982), couturier.
- Roger Pierre (° 1923-2010), comédien et humoriste.
- Michel Delpech (° 1946), chanteur.
- Charlotte Rampling (° 1946), actrice.
- Monna Delza (1882-1921), actrice.
- Jean-Michel Jarre (° 1948), compositeur.
- Raí Souza Vieira de Oliveira (° 1993), footballeur, Paris-Saint-Germain.
- Christian Corrêa Dionisio (° 1999), footballeur, Paris-Saint-Germain.
- Jérôme Alonzo (° 1972), footballeur, lorsqu'il jouait au Paris-Saint-Germain.
- Anne-Marie Peysson (° 1935), Speakerine, Animatrice, chanteuse.
Notes et références
- Plan de Prévention des Risques d’Inondation de la vallée de la Seine et de l'Oise - Département des Yvelines -Notice de présentation, Préfecture des Yvelines, 2007. Consulté le 1er juin 2011.
- Occupation du sol détaillée en 2008 - Croissy-sur-Seine, Iaurif. Consulté le 31 mai 2011.
- Armoiries de Croissy-sur-Seine, La Mémoire de Croissy
- Jacques Catinat, C'est arrivé à Croissy-sur-Seine, Association des amis de la place d'Aligre et du Vieux Croissy, 1983, p. 6
- Le blason de la ville, site officiel de Croissy-sur-Seine
- abbaye de Saint-Germain-des-Prés Rapporté par le moine Aimoin de l'
- Histoire de Croissy sur le site de la mairie.
- Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 2 mai 2011
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 2 mai 2011
- Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 2 mai 2011
- Évolution et structure de la population à Croissy-sur-Seine en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 2 mai 2011
- Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 2 mai 2011
- Palmarès 2008 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 01/10/2009.
- les maires des Yvelines, Préfecture des Yvelines
- Notice no PA00087417, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Notice no PA00087416, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Notice no PA00087419, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
- Notice no PA00087418, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Jean-Charles Bonnet, Le Village de Croissy-sur-Seine sous l'ancien régime et pendant la Révolution, d'après les pièces authentiques, Impr. de A. Burdin, 1894.
- Jacques Catinat, C'est arrivé à Croissy-sur-Seine, Association des amis de la place d'Aligre et du Vieux Croissy, 1983, 402 p..
- Jean-Charles Bonnet, Histoire de Croissy-sur-Seine, Res Universis, coll. « Monographies des villes et villages de France », 1991, réimpression de l'ouvrage paru en 1894, 368 p. (ISBN 978-2-87760-686-4).
- Laurent Robert, Chatou, Croissy-sur-Seine, villégiatures en bordure de Seine, Conseil général des Yvelines, coll. « Images du patrimoine », 1993, 41 p. (ISBN 978-2-90591-307-4).
- Ayme /Caudy, Croissy-sur-Seine - Ses rives et la Grenouillère, Alan Sutton, coll. « Mémoire en images », 2002, 41 p. (ISBN 978-2-84253-770-8).
Liens externes
- Croissy-sur-Seine, site officiel
- Vue aérienne de la commune de Croissy-sur-Seine sur le site de l'IAURIF
- Croissy-sur-Seine sur le site de l'INSEE
- Plan d'intendance de la paroisse de Croissy sur le site des archives des Yvelines
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