Rue Saint-Honoré

Rue Saint-Honoré

48°51′53″N 2°19′56″E / 48.86472, 2.33222

Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Saint-Honoré.
1er, 8e arrt
Rue Saint-Honoré
Position sur la carte
Carte de Paris
Arrondissements 1er, 8e
Quartiers Halles
Palais-Royal
Place-Vendôme
Madeleine
Début 21, rue des Halles
Fin 14, rue Royale
Longueur 1840 mètres
Largeur 20 mètres (sauf en deux endroits, 17,50 m et 14,60 m)
Anciens noms Chemin du Roule
Géocodification Ville de Paris : 8860
DGI : 8635
Nomenclature officielle
Images et documents sur Wikimedia Commons Images et documents sur Wikimedia Commons
P1000381 Paris I Rue Saint-Honoré reductwk.JPG
Rue Saint-Honoré vue depuis le parvis de l’église Saint-Roch.

La rue Saint-Honoré est une rue de Paris située dans les 1er et 8e arrondissements. Elle doit son nom à l’ancienne église collégiale Saint-Honoré (portant le nom de saint Honoré d'Amiens) située autrefois dans le cloître Saint-Honoré.

Située près du jardin des Tuileries et du marché Saint-Honoré, cette rue offre une multitude de musées.

Sommaire

Historique

Détail du plan de Mérian de 1615 (le nord à gauche) : la deuxième porte (en haut) du XIVe siècle, le faubourg traversé par la rue Saint-Honoré et le bastion du XVIIe siècle (en bas).

La rue Saint-Honoré est une voie très ancienne de Paris, prolongement vers l'Ouest du decumanus maximus gallo-romain de Lutèce. À l’origine, la rue était un chemin qui allait à Saint-Ouen, Argenteuil et Neuilly. Elle s'est développée à la fin du XIIe siècle, sous le règne de Philippe Auguste, elle faisait partie de la croisée avec la rue Saint-Denis et la rue Saint-Jacques. Elle prolongeait la rue de la Ferronnerie. Elle porta les noms suivants :

  • entre la rue de la Lingerie et la rue de la Tonnellerie : rue de la Chausseterie, de 1300 au XVIIe siècle
  • entre la rue Tirechappe (disparue) et la rue de l'Arbre-Sec : rue du Chastiau Festu (1300) ou du Château Fêtu
  • entre la rue de l'Arbre Sec et la rue du Rempart (disparue) : rue de la Croix du Trahoir, rue de la Croix du Tiroir, rue du Traihoir ou du Traihouer, du Trayoir ou du Trahoir, du Triouer ou du Trioir entre le XIIIe siècle et le XIVe siècle ; puis rue de la Chaussée Saint-Honoré à partir de 1450 ;
  • entre la rue du Rempart (disparue) et la rue Royale : chemin de Clichy (1204), grand chemin Saint-Honoré (1283), chaussée Saint-Honoré (1370), grand chemin de la porte Saint-Honoré (1392), chemin Royal (1393), nouvelle rue Saint-Louis (1407), grand'rue Saint-Louis (1421), rue Neuve Saint-Louis (1430), grande rue du Faubourg Saint-Honoré (1609), chaussée Saint-Honoré (1634), rue Neuve Saint-Honoré (1638)

En 1854 les premiers numéros de la rue Saint Honoré sont supprimés sur l’ordre du baron Hausmann pour en faire la rue des Halles nouvellement percée pour relier la place du Chatelet aux Halles de Paris construites par Victor Baltard.

La rue Saint-Honoré commence désormais au numéro 33 juste après le 21 rue des Halles (ensemble historique de l’Hotel des Maréchaux de Villeroy et de la Crémerie de Paris].

En 1966, la partie comprise entre le Palais-Royal, le Théâtre Français et la place André-Malraux a été dénommée place Colette.

Bâtiments remarquables


Menu du 25 décembre 1870
Café Voisin, 261 rue Saint-Honoré

Une rue « révolutionnaire »

Attention : les numéros impairs de la rue St Honoré s'arrêtent aujourd'hui au 283. Les numéros supérieurs viennent d'une ancienne numérotation pour laquelle nous n'avons malheureusement pas la correspondance. Il en est peut-être de-même pour certains numéros pairs de la même époque. Toutes précisions à ce sujet seront les bienvenues. La plupart de ces indications sont issues des "Pavés de Paris" de Guy de La Batut.

Rue de toutes les révolutions, où fut en quelque sorte inventée la "barricade", à l'angle de la rue de l'Arbre-Sec, lors de la journée du même nom (Journée des barricades), le 12 mai 1588. Épisode qui vit la victoire de Guise sur Henri III et la fuite de ce dernier hors de Paris.

C'est dans cette rue, entre la rue de l'Échelle et la rue de Rohan, que se déroulèrent les premiers combats des Trois glorieuses, le 27 juillet 1830, et que fut dressée la première barricade ; combats qui inspirèrent à Eugène Delacroix son fameux tableau La Liberté guidant le peuple.

Pendant la révolution de 1848, le Club du Rhône se réunissait près de la chapelle de l'Assomption, le Club des Amis fraternels y avait son siège au no 19, et Étienne Cabet y tenait ses réunions Icariennes… Une foule d'autres clubs y organisaient leurs assemblées; Bakounine y fit un discours, fin 1847, pour la commémoration de la révolution polonaise de 1830.

C'est dans cette rue qu'avait demeuré l'abbé Morellet, adepte du libéralisme économique, encyclopédistes protégé de Marie-Thérèse Rodet Geoffrin dite Mme Geoffrin ; ce qui ne l'empêcha pas d'être embastillé pour sa "Préface de la Comédie des philosophes", le 11 juin 1760.

C'est là aussi que logea Jean-Baptiste Drouet, le maître de poste de Sainte-Ménehould qui avait fait arrêter Louis XVI à Varennes et était devenu député à la Convention. Il participe à la Conjuration des Égaux qui se réunit chez lui pour préparer la tentative d'insurrection contre le Directoire en mai 1796.

On rencontre aussi dans les parages de nombreux personnages de romans, comme le Bossu de Paul Féval qui, revenu à Paris pour confondre Gonzague, s'y cache avec Aurore-de-Nevers

  • no  14 : Le savant Claude Bernard emménage dans cette maison en 1863.
  • no 22 : Ici se trouvait à partir de 1849 le magasin central de l'Association Laborieuse et Fraternelle des ouvriers cordonniers, coopérative d'inspiration fouriériste.
  • no 60 : Siège du Club des Prévoyants pendant la Révolution de 1848.
  • no 75 : Demeure de Napoléon Bazin, membre de plusieurs sociétés secrètes républicaines, impliqué dans l'attentat de Quénisset contre le duc d'Aumale, fils de Louis-Philippe Ier, à son retour d'Algérie en 1841.
Rue Saint-Honoré, n°93
  • no 93 : Boutique de l'apothicaire d'Henri IV dans laquelle celui-ci aurait reçu des soins après son assassinat le 14 mai 1610.

C'est là qu'a lieu l'arrestation de Pierre Broussel, conseiller au parlement de Paris. Elle va constituer le point de départ de la Fronde, le 26 août 1648.

  • no  121 au no  125 : Hôtel d'Aligre. Atelier de Philipp Wilheim Mathe, dit Creutz ou Kreutz, dit Curtius, anatomiste et barbier invité en France par le prince de Conti en 1770. Il sculpta les effigies en cire des personnages en vue de l'époque ; bustes qui, pendant la Révolution, furent pour certains l'objet de manifestations triomphales, comme ceux de Necker et du duc d'Orléans, et pour d'autres l'occasion d'autodafés, comme ceux du Pape et de La Fayette.
  • no 123 : Emplacement de la Cour d'Aligre où s'est tenue une réunion politique publique à la fin du Second Empire.

Ci-devant Oratoire du Louvre pendant la Révolution, siège de la Section de l'Oratoire de 1790 à 1792, devenue Section des gardes-françaises de 1793 à 1795.

  • Entre les no 155 et 161 : Emplacement de l'hospice des Quinze-Vingts créé par Louis IX pour abriter 300 chevaliers revenus aveugles des croisades en 1254. N'oublions pas qu'à cette époque nous ne comptions pas en base 10 mais en base 20 ou 12. Sous Charles IX, on y organisa des combats d'aveugles pour la distraction du roi et de la cour...
  • no 155 : Premier "café de la Régence" où se tinrent vers 1750 des réunions de mise au point de l'Encyclopédie. Fréquenté par Voltaire, Diderot, d'Alembert, Rousseau, Marmontel, Benjamin Franklin, Le Sage, etc. S'y disputaient depuis 1715 de mémorables tournois d'échecs. C'est dans ce café que Diderot situe le début de son "Neveu de Rameau", écrit en 1762.

Ce café était situé sur le trajet des charrettes qui emmenaient les condamnés de la Conciergerie à la place de la Concorde, lorsque la guillotine y était installée. De sa terrasse Jacques-Louis David dessina Danton partant vers l'échafaud. Il fut le théâtre, en 1815, au début de la Restauration, de nombreux affrontements entre officiers napoléoniens démobilisés et officiers royalistes.

C'est au café de la Régence que Friedrich Engels retrouve Karl Marx, le 26 août 1844. Ils ne s'étaient jusqu'alors croisés qu'une fois à Cologne en 1842. Ils sont venus à Paris pour créer la revue "Les Annales franco-allemandes" qui ne connaîtra, devant les réticences des "socialistes" français (le mot venait d'être inventé), qu'un seul numéro double. C'est à cette époque qu'ils écrivent ensemble "la Sainte Famille".

À l'entrée des versaillais dans Paris, le 21 mai 1871, le Grand hôtel du Louvre est réquisitionné par le bataillon des "Tirailleurs de Belleville" et les "Vengeurs de Flourens". C'est dans son grand salon que Napoléon Gaillard père, directeur des barricades sous la Commune, installe son quartier-général.

  • no 161 : Emplacement en 1380 de la porte Saint-Honoré de l'enceinte de Charles V ; 2ème porte de ce nom, dite aussi porte des Aveugles. Elle sera démolie en 1636. C'est en tentant de la prendre d'assaut que Jeanne d'Arc est blessée le 8 septembre 1429. Une des principales issues du Paris fortifié, elle verra de nombreux événements, dont l'entrée des troupes royales dans Paris contre la Ligue le 12 mai 1588, et la "Journée des Farines" : attaque de soldats d'Henri IV déguisés en âniers, le 20 janvier 1591 pour tenter de prendre la ville dont il faisait le siège et qui lui résistait.
  • no 173 : Siège du journal "Le Canard enchaîné" dans lequel furent découverts des micros posés par la DST le 3 décembre 1973. Gros scandale...
  • no 198 : Café du Garde-Meuble. Demeure de l'abbé Barbotin, député du clergé aux États généraux ; un des plus violents opposants au vote par tête qui provoquera la rupture entre le roi et l'Assemblée.
  • no 211 : Hôtel de Noailles. Demeure de la future femme du marquis de La Fayette, amie de Marie-Antoinette. C'est là qu'ils se marient, le 11 avril 1774.

Marie-Antoinette d'Autriche vient y accueillir La Fayette à son retour d'Amérique, le 15 février 1779. Ce sera également la demeure de Charles-François Lebrun, Troisième Consul, en 1802. Il abritera plus tard, sous le nom d'Hôtel St James et Albany, Francis Scott Fitzgerald, sa femme Zelda et leurs enfants en mai 1921 et, en octobre de la même année, Sinclair Lewis qui travaille alors sur son personnage "George F. Babbitt". Cet hôtel est également cité par Graham Greene dans les "Voyages avec ma tante", écrit en 1969.

  • no 219 : Siège du "Club des Bureaucrates" pendant la Révolution de 1848. Titre rarement revendiqué depuis !...
Vestiges du chevet de l'église du couvent des Feuillants, à l'arrière du no 229.

C'est dans ce couvent des Feuillants que s'installent les bureaux de l'Assemblée Constituante, qui siège dans la salle du Manège toute proche, après son transfert de Versailles à Paris. Jacques Louis David y peint son "Serment du jeu de paume" en 1790. Une scission du club des Jacobins y élit domicile à partir du 16 juillet 1791, prenant le nom du lieu : ce sera le club des Feuillants, dont les membres les plus connus seront La Fayette, Barnave, les frères Lameth, Du Port, Le Chapelier, Siéyès, Talleyrand... Monarchistes constitutionnels, ils rompent avec les Jacobins sur la question du sort de Louis XVI. La famille royale y sera détenue 3 jours, avant son transfert au Temple, suite à la prise des Tuileries le 10 août 1792.

  • no 239 : 1er salon de Louise d'Épinay, dite Mme d'Épinay, près du cimetière des Capucins. Célèbre salon où se rencontrent artistes et philosophes des Lumières, de 1748 à 1762.
  • no 247 : Ateliers d'Henry Lepaute depuis 1829, célèbre horloger fabricant de pendules pour édifices publics qui équipèrent au XIXe siècle nombre de gares et de mairies.

Y est organisé, entre autres, un immense banquet de 1500 couverts en soutien à la Pologne insurgée, le 29 novembre 1847. Mais c'est aussi une salle de bal où la polka est introduite à Paris la même année. Le 25 décembre 1848 s'y tient le premier banquet des femmes socialistes. Elle est le siège du Club de la Délivrance, club modéré qui y tient 6 réunions avec Eugène Yung à la fin du Second Empire, en 1870.

  • no 263 : Couvent des Dames de l'Assomption où se retiraient certaines dames de la Cour sous l'ancien régime. Il fut transformé en caserne pendant la Révolution, en 1793.

C'est dans ce couvent que se cacha Gracchus Babeuf, le 5 décembre 1795, après la publication en novembre de son "Manifeste des plébéiens". De sa chapelle partit le cortège funèbre de Jean Maximilien Lamarque, général mort du choléra le 5 juin 1832. Ses obsèques allaient provoquer le déclenchement d'une insurrection qui serait réprimée dans le sang par un ministre de l'intérieur nommé Adolphe Thiers : c'est cet événement qui inspirera à Victor Hugo une scène célèbre de ses "Misérables" ; celle ou il fait mourir Gavroche sur une barricade. Cette même chapelle abritera le club de la Butte des Moulins pendant la Révolution de 1848.

  • no 275 : Maison du Héron. Cachette de Jean-Paul Marat au 3e étage, après qu'il a demandé la pendaison des 800 députés de la Constituante en 1790.
Église Saint-Roch
  • no 286 : Église Saint-Roch qui vit la conversion au catholicisme du banquier écossais protestant John Law de Lauriston, appuyée d'un don de 100 000 F, ce qui lui permit de devenir contrôleur général des finances sous la Régence, en 1719.

Sur son parvis eut lieu, le 23 mai 1750, une émeute contre les rafles de la police destinées à peupler la Louisiane. S'y trouve entre autres le tombeau de Denis Diderot, inhumé le 2 août 1784. Sur ses marches se déroula un des principaux épisodes de la répression de l'émeute du 13 Vendémiaire (5 octobre 1795). Le jeune officier d'artillerie Napoléon Bonaparte, recruté par Barras, y fit donner le canon contre les sectionnaires venus investir l'Assemblée. Une récente rénovation a pratiquement effacé les traces qui subsistaient de ce mitraillage. La grande fierté du personnage César Birotteau de Balzac était d'avoir été blessé lors de cette journée. L'église fut consacrée "Temple du Génie" par décret du 6 Brumaire an VII (27 octobre 1798). Une émeute d'un tout autre genre eut lieu le 7 janvier 1815. St Roch fut saccagée, aux cris de "mort aux prêtres", par 5000 manifestants qui protestaient contre le refus par l'Église d'enterrer chrétiennement la comédienne Marie Saucerotte, dite Françoise Raucourt (ou la Raucourt).

  • no 310 à 316 : Demeure du compositeur espagnol Juan Crisóstomo de Arriaga. Compositeur précoce, mort à 20 ans, qui composa "les Esclaves heureux" en 1826.
  • no 315 : Demeure de Joseph Fouché, duc d'Otrante, ministre de la police de tous les régimes.

Demeure également de Nicolas-Louis François de Neufchâteau, député à la Législative.

Demeure également du marquis Emmanuel de Pastoret, membre de l'Assemblée Législative.

  • no 334 : Petit hôtel de Noailles, demeure de Marivaux en 1744.
  • no 339 : Demeure de Jean Antoine Debry, auteur d'un essai sur l'éducation nationale. C'est lui qui prononça l'éloge funèbre de Mirabeau. Conventionnel opportuniste rallié à Bonaparte puis à Louis XVIII.

Demeure également de Georges Couthon, Conventionnel Montagnard, promoteur actif de la Terreur, membre du Comité de Salut Public, Guillotiné avec son ami Robespierre le 10 Thermidor. Demeure encore de Robert Lindet, ex-évêque marié en 1792. Conventionnel, membre du Comité de Salut Public, thermidorien, il siègera au Conseil des Anciens.

  • no 352 : Demeure, à l'entresol, de Sophie de Condorcet, veuve de Condorcet née Sophie de Grouchy, sœur du général Grouchy, qui avait tenu à l'Hôtel des Monnaies un des salons les plus avancés de la fin des Lumières, fréquenté entre autres par Benjamin Franklin.
  • no 359 : Siège du Club des Condamnés politiques en 1848.
  • no 367 : Chapelle St Hyacinthe du couvent de l'Assomption, siège du Club démocratique des Libres-penseurs en 1848.
  • no 368 : Demeure de Jean Maximilien Lamarque, général revendiqué comme un des leurs par les Républicains, ce qui provoquera, à l'occasion des ses obsèques, l'insurrection du 1er juin 1832.
  • no 374 : Salon de Marie-Thérèse Rodet Geoffrin, dite Mme Geoffrin, qui rassemble Fontenelle, Montesquieu, Voltaire, Grimm, d'Alembert, Helvétius, Marmontel, d'Holbach, Diderot, Hume... de 1749 à 1777.

C’est là que Robespierre prépara avec Pierre-Gaspard Chaumette et Claude Fournier-L'Héritier, la journée du 10 août 1792. C’est là aussi qu'il fut victime d'une tentative d’assassinat le 4 prairial an II (23 mai 1794). La charrette qui menait l’Incorruptible à la guillotine, le 28 juillet 1794, s'arrêta devant cette maison qui avait été badigeonnée de sang.

C’est par cette porte que Louis XIV fait son retour à Paris pour soumettre les princes et le parlement, le 21 octobre 1652.

Stations du métro qui desservent la rue Saint Honore

Notes et références



Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Rue Saint-Honoré de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Поможем написать курсовую

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Rue Saint-Honoré — Rue Saint Honoré, Foto aus dem Jahr 2011 Die Rue Saint Honoré in Paris ist eine der ältesten Straßen der Stadt. Sie verläuft parallel zur Rue de Rivoli. Inhaltsverzeichnis …   Deutsch Wikipedia

  • Rue Saint-Honore — Rue Saint Honoré Pour les articles homonymes, voir Saint Honoré. 1er, 8e arrt …   Wikipédia en Français

  • Rue saint-honoré — Pour les articles homonymes, voir Saint Honoré. 1er, 8e arrt …   Wikipédia en Français

  • Rue Saint-Honoré — Paris streetbox arr num=1er streetname=Rue SAINT HONORÉ x=110 y=76 paris arr1=1er arr2=8e quarter=Les Halles. Palais Royale. Place Vendôme. begins=rue des Halles beginsnum=21 ends=rue Royale endsnum=14 length=1840 width=20 width2=17,50m 14,60m… …   Wikipedia

  • Saint-Honore — Saint Honoré Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Pour les articles homonymes, voir Honoré et Saint Honoré. Saint Honoré est un nom propre ou commun qui peut désigner  …   Wikipédia en Français

  • Saint-honore — Saint Honoré Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Pour les articles homonymes, voir Honoré et Saint Honoré. Saint Honoré est un nom propre ou commun qui peut désigner  …   Wikipédia en Français

  • Saint-honoré — Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Pour les articles homonymes, voir Honoré et Saint Honoré. Saint Honoré est un nom propre ou commun qui peut désigner  …   Wikipédia en Français

  • Saint Honore — Saint Honoré Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Pour les articles homonymes, voir Honoré et Saint Honoré. Saint Honoré est un nom propre ou commun qui peut désigner  …   Wikipédia en Français

  • Saint honore — Saint Honoré Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Pour les articles homonymes, voir Honoré et Saint Honoré. Saint Honoré est un nom propre ou commun qui peut désigner  …   Wikipédia en Français

  • Saint honoré — Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Pour les articles homonymes, voir Honoré et Saint Honoré. Saint Honoré est un nom propre ou commun qui peut désigner  …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”