- Primel Tregastel
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Plougasnou
Plougasnou
DétailAdministration Pays France Région Bretagne Département Finistère Arrondissement Morlaix Canton Lanmeur Code Insee abr. 29188 Code postal 29630 Maire
Mandat en coursYvon Tanguy
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Morlaix Site internet Mairie-plougasnou.fr Démographie Population 3 240 hab. (2006[1]) Densité 95 hab./km² Gentilé Plouganiste Géographie Coordonnées Altitudes mini. 0 m — maxi. 94 m Superficie 33,94 km² Plougasnou [pluganu]* (en breton Plouganoù [plugɑ̃nu]) est une commune française située dans le département du Finistère et la région Bretagne. Ses habitants sont les Plouganistes[2].
Cette station balnéaire, située au bord de la Manche, bénéficie d'un patrimoine environnemental et culturel préservé à découvrir en dehors des circuits touristiques les plus fréquentés[3].
Sommaire
Géographie
Situation
La commune est située dans le Trégor finistérien, sur le littoral nord-ouest du département du Finistère, près des Côtes-d'Armor et son climat est océanique. Elle faisait partie du Trégor et la population parlait breton, majoritairement le trégorrois.
Plougasnou est limitrophe, au sud-ouest de la commune Plouezoc'h, au sud de Lanmeur et à l'est de Saint-Jean-du-Doigt. La Manche borde tout le littoral de l'ouest au nord-est.
Avec une population de 3 217 habitants (2007), c'est la commune la plus peuplée du canton de Lanmeur, dans l'arrondissement de Morlaix.
Étant donné sa proximité (seize kilomètres depuis le bourg), Morlaix est la ville de référence. Guingamp est à 69 kilomètres, Brest à 75 kilomètres et Quimper à 101 kilomètres[4].
Toponymie
Le nom de la commune signifie la « Paroisse de Saint-Cathnou » :
- le préfixe « Plou(ev) » désigne les agglomérations fondées au VIe siècle par les immigrants bretons insulaires, devenues des paroisses lors du Moyen Âge;
- la racine celte « Cathnou »[5] est un hagionyme (nom de saint). On le retrouve dans d'autres noms de lieux en Bretagne et dans la toponymie cornique. Traduit du vieux breton, il signifie « célèbre bataille » :
Prononciation
En français, Plougasnou se prononce [pluganu]*. Le s du nom de la commune est muet.
La forme bretonne Plouganoù se prononce [plugɑ̃nu]. Elle se distingue de la prononciation française par un a nasalisé.
Évolution de l'orthographe
Au XIe siècle[6] dans les textes en latin, la paroisse était nommée Ploicathnou ou Ploigathnou[7]. L'orthographe évolue progressivement : Plegano (1163, 1330), Ploegaznou (1371), Ploegasnova (1450), Guycaznou (1495, 1505, 1520), Ploegaznou (1516, 1550), Plougaznou (1550) et Plougano (1630).
L'orthographe bretonne actuelle, Plouganoù, date de la fin XXe siècle[6]. Elle concilie à la fois la prononciation en breton et l'étymologie en marquant par le suffixe -où la chute d'un a du suffixe originel -aou. Elle remplace, depuis le début du XXIe siècle, l'orthographe Plougañou en usage alors, dont la prononciation était calqué sur le français [pluganu].
Villages et hameaux
L'habitat est très dispersé avec plusieurs villages le long de la côte (Térénez, Le Diben, Primel-Trégastel), sur les hauteurs (le bourg de Plougasnou, Kérénot) ou bien dans les terres (Kermouster) et un grand nombre de hameaux très anciens.
Histoire
De la préhistoire à la fondation
Datant du Ve millénaire av. J.-C., sur la commune de Plouezoc'h, le cairn de Barnenez est la plus ancienne preuve de présence humaine sur ce littoral. Ce tumulus situé face à Térénez est le site mégalithique le plus important des environs.
Sur la commune elle-même, trois mégalithes de l'Âge du Fer (Ier millénaire av. J.-C.) sont classés aux monuments historiques[8] :
- le lec'h de Kermenhir ou Keraminir (lec'h est le mot breton désignant un mégalithe, le plus souvent un dolmen[9])
- le lec'h de Kermouster
- le menhir de Traon-Bihan
Bien que quelques vestiges gallo-romains aient été découverts à proximité du bourg[10], la fondation du village de Plougasnou n'eut sans doute lieu qu'au cours du VIe siècle.
De la fondation au XXe siècle
Fondation du village
Le village de Plougasnou ne fut probablement fondé qu'au VIe siècle par des immigrants domnonéens fuyant la Bretagne insulaire[11].
Autrefois, Saint-Jean-du-Doigt était une trève de la paroisse de Plougasnou[7].
En 1039, la duchesse Berthe de Blois, épouse du duc Alain III de Bretagne, donna la prévôté de Saint-Georges en Plougasnou à l'Abbaye Saint-Georges de Rennes[7]. La paroisse se situe à cette époque en pays de Léon.
Légendes
Chassé de Bretagne insulaire, Saint Mériadec débarqua à Plougasnou et apprivoisa un loup qui terrorisait les environs.
Saint Primel serait le fondateur du village de Primel aujourd'hui associé à Trégastel.
Jacques Cambry, écrivain breton qui voyagea dans le Finistère à la fin de l'Ancien Régime, rapporte des coutumes particulières à la cérémonie du mariage dans la paroisse de Plougasnou[7] :
- Les invitations au mariage se font en vers. Il s'agit en générale de formules toutes faites, qui sauf de légères modifications servent à tous les garçons.
- Lors du repas de mariage, quatre hommes vêtus de blanc portent sur une civière une soupe aux mariés. Quatre autres portent des serviettes sur une autre civière et feignent de leur essuyer la bouche quand ils ont mangés. Le pain qu'on leur sert dans ce repas est alors coupé en petits fragments, puis ceux-ci sont réunis par un fil qui les traverse, emblème de la vie conjugale.
Hauts faits
Cette commune est connue pour des faits liés à la Révolte des Bonnets Rouges en 1675.
Héraldique
Les armes de Plougasnou se blasonnent ainsi : D'argent fretté d'azur
Armes de la famille de Guicaznou, reprises sur toutes les plaques de rues de la commune. Armoiries des Bartaige représenté sur le pignon ouest de la chapelle Sainte-Barbe de Plougasnou.
Du XXe siècle à nos jours
Les chemins de fer armoricains
Article détaillé : Chemins de fer armoricains.Officiellement ouverte le 1er mai 1912, les chemins de fer armoricains exploite la ligne Morlaix-Primel[12].
- En 1913, dès la première année de mise en circulation, il y a 3 départs de Morlaix et 3 départs de Primel. Le train met alors 1h23 pour faire ce trajet.
- En 1930, le train ne met plus que 1h10 à 1h15.
- En 1934, après 22 ans d'exploitation, la ligne devenue déficitaire est fermée.
La gare de Plougasnou existe toujours et se trouve face au stade de football en contrebas du bourg côté ouest.
Seconde Guerre mondiale
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Plougasnou est utilisée comme base du réseau « Var » animé par Peter Deman du SOE qui assure des liaisons avec la Cornouailles[13]. Ce réseau permet le retour de François Mitterrand, alors chef du mouvement de résistance MNPRG, qui débarque près de Plougasnou en février 1944.
La commune a été décorée de la Médaille de la Résistance[14]. Un monument à la mémoire des membres de Sao Breiz est dressé sur un îlot au large. Il a été inauguré en 1955 et comporte 288 noms de morts ou disparus.
Culture et patrimoine
Plages
D'ouest en est, Plougasnou dispose de plusieurs plages aux caractéristiques bien différentes.
- Térénez
- Face à Carantec, Térénez dispose à l'entrée de sa crique d'une petite grève utilisée toute l'année par l'école de voile[15].
- Saint Samson
- Plage de sable blanc, idéale pour les bains de soleil, elle dispose d'un parking facilement accessible. Orientée plein ouest, elle est cependant parfois très exposée au vent.
- Le Guerzit (en breton ar Guerzhid)
Située au bout d'une route sans issue, éloignée du bourg et disposant d'un petit parking, le Guerzit est la plage la mieux protégé du vent. Orientée nord-ouest, c'est à marée haute une plage de galets, mais à marée basse son sable et ses flaques d'eau chaude entre les rochers font le bonheur des enfants et des pêcheurs à pied.
- Primel-Trégastel
- La plus grande plage de la commune accueille une foule de touristes en été. Depuis la plage il est possible de marcher dans la lande jusqu'à une importante pointe granitique dominant la mer d'une cinquantaine de mètres. Cette pointe comporte notamment quelques dizaines de voies d'escalade.
- Plougasnou-Saint-Jean
- La plage de Plougasnou-Saint-Jean à la frontière avec Saint-Jean-du-Doigt est la plus proche du bourg.
Ports de plaisance
Monuments
- L'oratoire Notre Dame de Lorette
- Cet oratoire dédié à Notre-Dame de Lorette, construit en 1611 par Jeanne de Keredan, douairière de Kerastan, est d’une architecture unique en Europe[16]. Il contient trois statues : une Vierge Marie en pierre de Kersanton, un saint prêtre tenant un livre et une statue de bois. Jusque dans les années 1950, les jeunes filles qui désiraient se marier dans l’année venaient y déposer une mèche de cheveux. Si le vent ne l’emportait pas, elles pouvaient espérer une union heureuse[17].
- L'église Saint Pierre
- Ce monument historique est dédié à Saint Pierre[18]. Il a été construite à plusieurs époques successives. Il ne reste de la première construction que 3 arcades à pleins cintres romans qui remontent au XIe siècle. La tour, surmontée d'une flèche en pierre, est de 1582. Le portail latéral est de 1574 et le porche qui le précède de 1616. Le chœur et les enfeus qui l'entourent sont du XVe siècle. Les armes de plusieurs seigneurs se voient dans cette église, notamment celles des Guicaznou[7].
- La chapelle oratoire du cimetière
- Cette chapelle avec la statue de Saint Éloi est située au cimetière à l'est du bourg.
- Le manoir de Ruffélic (XVIIe siècle)
- On y trouve un puits. Il s'agit de la résidence du recteur de Plougasnou (au XVIIIe siècle) et celle de François Louis de Kermerchou, sieur de Lézénor (vers 1772) [19]
- Le calvaire de Kergreis
- Déplacé aujourd'hui à côté de l’oratoire Notre Dame de Lorette, ce calvaire provient de Kergreis près de Kermouster. Il y marquait l’arrêt de la progression d’une des épidémies de peste qui ravagèrent le Trégor dans la première moitié du XVIIe siècle. La pierre levée est une stèle de l’Âge de fer[17].
- La maison du douanier
- Sur les hauteurs de la pointe de Primel, au milieu de la lande et des roches granitiques, se trouve une maison abandonnée. Construite en pierre taillée avec un toit en ardoise, elle n'a plus ni porte ni fenêtre. C'était au XIXe siècle le logement du douanier chargé de veiller au blocus continental décrété par Napoléon 1er.
Manifestations culturelles
- Les Mardis de Plougasnou
- Tous les étés, la municipalité installe une scène sur la place de l'église. Elle y organise chaque mardi une soirée festive, avec restauration et buvette, autour d'un concert de chants marins ou de musique et danses bretonnes[20].
- Le Festival de la mer
- Ce festival se tient début août au Diben, près du port de Plougasnou. C'est une kermesse typique associant tradition religieuse et ambiance festive. Elle commence en fin de matinée par une messe, suivie d'une procession qui s'achève par la bénédiction de la mer. Le soir, un fest-noz organisé en bord de mer clôt les festivités[21].
- Le Salon de peinture de Plougasnou
- À l'origine simple exposition de toiles à la maison prévôtale, située dans le bourg près de l'église, cette manifestation s'élargit aujourd'hui aux céramistes et sculpteurs. Les œuvres présentées à l'arrière des locaux de l'office du tourisme sont souvent produites par des artistes locaux ou bretons[22].
Personnalités locales
- Michel Le Bris, écrivain, spécialiste de Robert Louis Stevenson, et directeur du festival littéraire de Saint-Malo « Étonnants voyageurs »
- Joseph du Cosquer, chevalier, seigneur de Rosambo, conseiller au Parlement de Bretagne en 1672[7]
- Joseph Floc'h était un imprimeur. Il a publié Plougasnou, mille ans d'histoire.
- Fañch Le Marrec est un chanteur localement populaire, membre des Goristes. Il habite St Samson.
- Yvon Le Vaillant est un journaliste de presse nationale, né à Plougasnou.
- Antony Lhéritier (1912-1993) poète, humaniste, auteur de nombreux ouvrages essentiellement de poésie, a vécu jusqu'à la fin de sa vie au Diben en Plougasnou.
- Navigateurs
- Nicolas Troussel est un navigateur français né à Morlaix, vainqueur de la Solitaire du Figaro en 2006.
- André Gentil est un navigateur et écrivain né sur la commune à Kervescontou. Dans son premier livre[23], il raconte sont tour du monde en solitaire par les trois grands caps sur le Méo Adarre II : un Romanée de 10 m20, conçu par l'architecte naval Philippe Harlé (dont tous les modèles portent le nom d'un cru ou d'un alcool). Parti de Morlaix le 4 juillet 1993, il est revenu à bon port le 6 juin 1994. Il vient de publier son deuxième livre[24].
Jeux traditionnels
Boules plombées du pays de Morlaix
La boule Bretonne telle qu'elle est pratiquée dans le nord Finistère dans la région de Morlaix a sa particularité et est sans doute la plus singulière des boules bretonnes actuelles. L'Amicale bouliste de Plougasnou est membre actif de la Fédération des boules plombées du Pays de Morlaix, adhérente à F.A.L.S.A.B. (confédération des jeux et sports traditionnels de Bretagne).
La commune de Plougasnou met à disposition des joueurs 4 allées en terre battue dont deux couvertes situées derrière la salle des fêtes.
L'association est composée d'une soixantaine de membres et organise de nombreux concours tout au long de l'année. Le jeu se pratique tous les jours de 17h à 19h sur l'allée privée du café épicerie Chez Masson quand le temps le permet ou sur les allées couvertes du bourg, les jeudis, samedis et dimanches de 14h30 à 17h30 sur les allées de Primel Trégastel aux beaux jours, ou sur les allées couvertes du bourg, sur les allées privées couvertes de Kerlanguis en Kermouster au café "Au relais des chasseurs" les jeudis et dimanches après midi. Une autre allée en plein air existe aussi à Kermébel (entre le port de Térenez et la plage de St Samson); elle dépend de l'ancien café-garage-forge tenu par la famille Prigent. L'amicale organise des séances d'initiation et de découverte gratuites de ce jeu si particulier du patrimoine du pays de Morlaix tout l'été sur les allées de Primel Trégastel et dans les collèges des alentours.
Économie
Primel Gastronomie est le premier acteur économique de la commune depuis 1974[25],[26],[27]. L'entreprise situé à Kerfeunten appartient au Groupe Sill Entreprises (Société Industrielle et Laitière du Léon). Elle développe et commercialise une large gamme de produits surgelées composées des produits de la mer ou du terroir : coquilles Saint-Jacques, cassolettes, feuilletés individuels ou familiaux, sauces, plats cuisinés à base de viande et de poisson, légumes...
Les Mousquetaires, groupe de grande distribution française, propriétaire de l'enseigne Intermarché, dispose d'un vivier de stockage de coquillages et crustacés au Diben[28]. Les viviers de la Méloine qui appartiennent aux Mousquetaires, redéveloppent malheureusement, l'activité de cuisson de crustacés que Jean et Guy Ouhlen avaient abandonné pour la transférer sur le site actuel de Primel Gastronomie, faute de place sur le site du Diben qui se trouve en pleine zone urbanisée. Des associations se battent actuellement ( ARAP, Force 5, APPBS, Sauvegarde du Trégor ) pour que cette activité soit transférée dans la même zone que Primel Gastronomie.
Démographie
Vivre à Plougasnou
La commune dispose de deux écoles maternelles et élémentaires (au bourg et à Kérénot), et d'un collège.
Été comme hiver, ses sentiers côtiers permettent de pratiquer la randonnée. Ils font d'ailleurs partie du GR 34.
Des vêtements (tee-shirt, sweat-shirt) Alerte à Plougasnou, parodiant la série télévisée Alerte à Malibu, sont commercialisés en Bretagne. Sur le dos, une bigoudenne court sur une plage avec une bouée de sauvetage à la main.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Parti Qualité 1790 1791 Jean BARVET 1791 1800 Jean GUYOMAR 1800 1802 Ollivier GUILLOU 1802 1803 François PASTOUR de KERJEAN 1803 1808 Vincent LE LAY 1808 1815 François PASTOUR de KERJEAN 1815 1836 Yves Guy PASTOUR de KERJEAN 1836 1839 Hervé CLECH 1839 1843 Pierre BOURDONNEC 1843 1847 Salaun KERTANGUY (de) 1847 1878 Joseph MAHE 1878 1893 Vincent BARAZER 1893 1904 Guillaume REDOU 1904 1929 Guillaume TEURNIER 1929 1944 Théodore LE GUEN 1944 1971 François CHARLES SFIO 1971 1983 André DEAN PS 1983 mars 2001 Hervé PICART PS mars 2001 2008 Yvon TANGUY SE mars 2008 2014 Yvon TANGUY SE Toutes les données ne sont pas encore connues. Source : MairesGenWeb Annexes
Articles connexes
Bibliographie
- Procès-verbaux des conseils municipaux, consultables en ligne sur le site de la mairie de Plougasnou.
- Louis Le Guennec, Plougasnou son histoire, son patrimoine, Section Patrimoine du Foyer Rural de Plougasnou, 1994, 64 p. (ISBN 2-9508369-0-9)
Liens externes
- Plougasnou dans la base Mérimée (architecture) du Ministère de la Culture
- Plougasnou dans la base Palissy (mobilier) du Ministère de la Culture
- Plougasnou dans la base Mémoire (images) du Ministère de la Culture
- Plougasnou dans la base Chastel (bibliographie) du Ministère de la Culture
- Plougasnou sur le site de l'Institut géographique national
- Plougasnou sur le site de l'Insee
Notes et références
- ↑ populations légales 2006 sur le site de l’INSEE
- ↑ Le club de football s'appelle l'Étoile du Trégor Plouganiste [lire en ligne], le club de pétanque la Pétanque Plouganiste [lire en ligne]
- ↑ Office du tourisme de Plougasnou - Saint-Jean-du-Doigt - Plouezoc'h, Plougasnou [lire en ligne]
- ↑ Distances fournies par Mappy
- ↑ Cathnou est l'orthographe relevée sur le site de la mairie de Plougasnou, d'autres orthographes sont utilisées par différents étymologistes (Catnou, Cano ou bien Caznou) [lire en ligne]
- ↑ a et b Ressources linguistiques de l'office de la langue bretonne [lire en ligne]
- ↑ a , b , c , d , e et f « Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne dédié à la Nation bretonne », par Jean Ogée, A. Marteville, Pierre Varin, publié par Mollieux, 1845, copie de l'exemplaire la New York Public Library numérisé le 15 juin 2007 [lire en ligne]
- ↑ Ministère de la Culture, Base Mérimée [lire en ligne]
- ↑ Agence Bretagne Presse, Dictionnaire Favereau [lire en ligne]
- ↑ En 2002 Plusieurs parcelles du lotissement communal de l'Oratoire ont été soumises à des fouilles archéologiques préventives qui ont révélé l'existence de vestiges de type gallo-romain [lire en ligne]
- ↑ Louis Le Guennec, Plougasnou son histoire, son patrimoine, édité par la section patrimoine du foyer rural de Plougasnou [lire en ligne]
- ↑ « Le chemin de fer : La ligne Morlaix - Plougasnou - Primel », Mairie de Plougasnou, [lire en ligne]
- ↑ Alain Lozac'h, Petit lexique de la deuxième guerre mondiale en Bretagne, Éditions Keltia Graphic, Spézet, 2005, pages 174 et 175
- ↑ Mairie de Plougasnou, Plougasnou dans la guerre [lire en ligne]
- ↑ Société des Régates de Térénez, site internet [lire en ligne]
- ↑ Mairie de Plougasnou, L'Oratoire Notre Dame de Lorette [lire en ligne]
- ↑ a et b D'après le texte apposé sur la plaque explicative près du monument
- ↑ Mairie de Plougasnou, L'église Saint Pierre de Plougasnou [lire en ligne]
- ↑ http://www.infobretagne.com/plougasnou.htm
- ↑ Office du tourisme, Programmation 2007 des Mardis de Plougasnou [lire en ligne]
- ↑ Office du tourisme, Programmation 2007 du Festival de la Mer [lire en ligne]
- ↑ Office du tourisme, Salons, expositions [lire en ligne]
- ↑ Par les Trois Caps ? : T'es pas cap !, Editions L'Ancre de Marine, 2006, 199 p. ISBN 2841412113
- ↑ La mare aux gobies et autres Histoires salée, Editions L'Ancre de Marine, 2009, 160 p. ISBN 2841412342
- ↑ [1]
- ↑ La compagnie artique
- ↑ [2]
- ↑ Pauline Cardinaud, Les Mousquetaires, pros du poisson frais, Points de vente, 02/06/2008, p.18
- ↑ La démographie de Plougasnou
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