Pont-à-Mousson

Pont-à-Mousson
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48° 54′ 19″ N 6° 03′ 17″ E / 48.9052777778, 6.05472222222

Pont-à-Mousson
La Moselle et l'abbaye des Prémontrés à Pont-à-Mousson. En arrière plan, l'église Saint-Martin
La Moselle et l'abbaye des Prémontrés à Pont-à-Mousson.
En arrière plan, l'église Saint-Martin
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Lorraine
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Canton Pont-à-Mousson
Code commune 54431
Code postal 54700
Maire
Mandat en cours
Henry Lemoine
2010-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Pont-à-Mousson
Site web www.ville-pont-a-mousson.fr
Démographie
Population 14 333 hab. (2008[1])
Densité 664 hab./km²
Aire urbaine 26 948 hab. ()
Gentilé Mussipontain(ne)s
Géographie
Coordonnées 48° 54′ 19″ Nord
       6° 03′ 17″ Est
/ 48.9052777778, 6.05472222222
Altitudes mini. 172 m — maxi. 382 m
Superficie 21,60 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Pont-à-Mousson [pɔ̃tamusɔ̃][2] est une ville et une commune du nord-est de la France,en Meurthe-et-Moselle, dans la région Lorraine. Ses habitants sont appelés les Mussipontains.

Tour à tour place forte, ville avancée ou pays frontière, Pont-à-Mousson eut souvent à souffrir des rigueurs de la guerre.

Sommaire

Géographie

Situation

Pont-à-Mousson est située au coeur de la Lorraine et du département de Meurthe-et-Moselle, à mi-chemin entre Nancy et Metz, au pied de la butte de Mousson (382 m), ancienne place forte des comtes puis ducs de Bar. La ville est située de part-et-d'autre de la Moselle.


Voies de communication et transports

La commune est desservie par de nombreuses voies de communications, à la fois routières, autoroutière (autoroute A313), aérienne, ferroviaire et fluviale.

Armoiries

Blason Pont-à-Mousson 54.svg

La ville porte : de gueules au pont de trois arches d’argent flanqué de deux tours crénelées couvertes du même, le tout posé sur des ondes de sinople mouvant de la pointe et surmonté d’un écusson d’azur semé de croisettes recroisetées au pied fiché d’or, chargé de deux bars adossés du même brochant sur le tout et d’une bordure aussi d’or.

Le pont fait référence à celui sur la Moselle — qui a donné son nom à la ville et qui est à l’origine de son développement — et l’écu est celui des comtes de Bar qui furent aussi seigneurs de Mousson, puis marquis de Pont-à-Mousson.

Histoire

Moyen Âge

Dans l’Antiquité, la principale voie commerciale franchissant la Moselle était située plus au sud, au niveau de Dieulouard (à l’époque Scarpone). Ce pont précurseur disparut sans laisser de traces.

Au début du Xe siècle, le site appartient aux seigneurs de Mousson, qui sont aussi comtes de Bar. Ceux-ci font construire un pont sur la Moselle au pied de la butte de Mousson, et ce lieu de passage sur la rivière, l’un des rares entre l’évêché de Toul, Nancy (capitale des ducs de Lorraine) et l’évêché de Metz, voit, à partir de 1230, une ville s’y développer. La ville prend alors le nom de Pont, ou plus précisément Pont-à-Mousson.

Pont-à-Mousson a été officiellement fondé par Thiébaut II de Bar ; la charte d'affranchissement date du 20 avril 1261[3]. La cité relève alors du Saint-Empire romain germanique. À sa tête se trouvent un maître-échevin, sept jurés et dix-huit conseillers de justice. La cité comprend quatre paroisses : Sainte-Croix, Saint-Laurent et Saint-Jean sur la rive gauche, (diocèse de Toul) et Saint-Martin sur la rive droite (diocèse de Metz). En 1353, l’empereur germanique Charles IV érige la ville en marquisat au profit de Robert Ier de Bar, qui gagne ainsi (pour sa terre de Pont-à-Mousson) le rang de prince d'Empire siégeant à la Diète.

Pont-à-Mousson est ensuite donné en apanage à divers princes de la maison de Bar, suivie par la maison d’Anjou (qui hérite du Barrois en 1430), puis par la maison de Lorraine (qui hérite du Barrois en 1480). À cette date, Pont-à-Mousson est rattaché au duché de Lorraine, et le titre de marquis de Pont est parfois concédé au prince héréditaire de Lorraine, fils aîné du duc et héritier du duché.

Temps modernes

Façade renaissance de l'ancienne Université de Pont-à-Mousson

En 1572, le cardinal Charles de Lorraine y fonde une université qu’il confie aux jésuites. Aux portes de l’Allemagne protestante, encore terre d’Empire en passe de basculer dans le giron français, le pays mussipontain et le Duché de Lorraine en général prenaient ainsi position dans les guerres de religion et la Contre-Réforme. C'est une création tridentine qui s'inscrit dans le projet du Saint-Siège de créer une « dorsale catholique » dans les pays d'« entre-deux » (axe lotharingien)[4].

Au XVIIe siècle, l’université de Pont-à-Mousson se développa rapidement pour compter jusqu’à 2 000 étudiants. Cette université comptait quatre facultés : théologie, arts, droit et médecine. Des étudiants venus de toute l’Europe occidentale et centrale viennent y parfaire leurs études. Une rivalité oppose alors la rive droite (quartier Saint-Martin sous la houlette des jésuites) à la rive gauche (quartier Saint-Laurent réputé plus « chahuteur »). Ces divergences atteignent leur paroxysme lors de la violente querelle des imprimeurs, visant à savoir s’il fallait dire « Ponti Mussoni » ou « Mussiponti ». C’est cette dernière qui triompha, et les habitants du Pont sont désormais appelés les Mussipontains.

XVIIIe et XIXe siècles

La Lorraine et le Barrois devenus français, en 1768, l’université fut transférée par Louis XV à Nancy au grand dam des mussipontains et du marché de l’immobilier. La ville ne conserva qu’un collège et une école militaire de renom.

Pont-à-Mousson continue cependant de rayonner dans les arts à travers une imagerie réputée qui rivalise longtemps avec celle d’Épinal. Une fabrique de papier mâché contribua également au développement culturel de la cité[5].

Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795. Détruite pendant la guerre de Trente Ans, occupée en 1814 et 1815, elle fut en 1870 le théâtre de sévères combats de rue.[précision nécessaire]

XXe siècle

Pont-à-Mousson et sa région furent le lieu de redoutables et tragiques combats durant la Première Guerre mondiale. Le Bois-Le-Prêtre, la Croix des Carmes, le Xon, le Grand-Couronné évoquent les terribles batailles entre soldats français et allemands. Le cimetière du Pétan nous rappelle le prix payé par les belligérants durant cette guerre. La ville fut à nouveau gravement endommagée en 1944, avant d’être libérée par la troisième armée américaine du général Patton aidée par une résistance locale active.

La ville a reçu de la main du président Raymond Poincaré, en 1921, la Croix de guerre 1914-1918 avec palme et peu après, du député Désiré Ferry, la croix de la Légion d'honneur. La ville est également titulaire de la Croix de guerre de 1939-1945 avec étoile d’argent.

Économie

Les usines Saint-Gobain

Sidérurgie

L’usine de Pont-à-Mousson, fondée en 1856, a été rapidement dotée de deux hauts fourneaux (1857 et 1858) marchant tantôt au bois, tantôt au coke. Deux autres hauts fourneaux complètent ce premier ensemble fin 1861 et sans doute en 1867 avec des productions faibles de l’ordre de cinq à six tonnes par jour et par haut fourneau.

En 1869, la production est de 24 000 tonnes de fonte brute et de 7 000 tonnes de moulées. En 1894, cinq hauts fourneaux sont à feu, et ce jusqu’à la veille de la Première Guerre mondiale. L’usine est alors gravement endommagée puis redémarre progressivement, l’un des hauts fourneaux étant remis à feu en présence de Raymond Poincaré. Entre octobre 1924 et février 1925, les monte-charges des hauts fourneaux sont remplacés par des transporteurs aériens.

L’usine compte cinq hauts fourneaux avant et après la Seconde Guerre mondiale, et ce jusqu’en 1964, où elle n’a plus alors que quatre hauts fourneaux. Actuellement, trois hauts fourneaux assurent la production.

Autres activités

Plaque d'égout Pont-à-Mousson
  • Métallurgie
  • Constructions mécaniques
  • Brasserie

L’entreprise Saint-Gobain PAM (ex-Pont-à-Mousson SA), maintenant dans l’activité Saint-Gobain Canalisations, filiale de Saint-Gobain, fabrique des canalisations en fonte qui équipent de nombreux réseaux d’eau, notamment d’égouts en France. Elle est célèbre pour ses plaques d’égout qui ne représentent pourtant qu’une petite partie de sa production.

Politique et administration

Pont-à-Mousson est chef-lieu du canton du même nom, formé également par les communes de Atton, Autreville-sur-Moselle, Belleville, Bezaumont, Bouxières-sous-Froidmont, Champey-sur-Moselle, Landremont, Lesménils, Loisy, Millery, Morville-sur-Seille, Mousson, Port-sur-Seille, Sainte-Geneviève, Ville-au-Val et Vittonville.


Administration municipale

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Trouard de Riolles    
    Gaston Laurent    
  1989 Bernard Guy CNI Conseiller général
1989 1995 Yvon Tondon PS député
mars 1995 juin 2009 Henry Lemoine UMP élection invalidée[6]
juin 2009 juin 2010 Jacques Choquenet UMP  
juin 2010   Henry Lemoine UMP  

Jumelages

Démographie

Évolution démographique
(Source : Ehess[7] et Insee[8])

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6 428 6 738 7 000 7 005 7 039 7 261 7 131 7 140 7 079
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7 709 8 115   8 211 10 970 11 293 11 585 11 595 12 701
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
12 847 13 543 14 009 8 891 11 726 12 646 11 343 10 239 11 416
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008  
12 802 13 406 14 830 14 942 14 645 14 592 13 879 14 333  

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Lieux et monuments

Panorama de la Place Duroc - De gauche à droite :
clocher de l'église Saint-Laurent - Hôtel de Ville - un clocher de l'église Saint-Martin (au loin) - Ancien cinéma (au milieu) - Maison des sept péchés capitaux (à droite)

Édifices civils

  • La pierre au Jô, menhir gallo-romain dédié à Jupiter
  • Substructions gallo-romaines à Montrichard et à la Vitrée ; la ville était située sur la grande voie menant d'Aix à Cologne par Lyon et Trèves.
  • Château des ducs de Bar, élevé en 1359 par le duc Robert Ier de Bar, agrandi dès 1394, reconstruit en 1480 au lendemain des guerre de Bourgogne par René II de Lorraine, détruit sur ordre de Richelieu parachevée par le maréchal François de Créquy en 1670. Il occupait l'emplacement des casernes actuelles. Y est née en 1429 Marguerite d'Anjou, épouse d'Henri VI d'Angleterre.
  • Château de Booz construit en 1775 pour Jean-François Trouard de Riolle, sauvagement rasé en 1970 pour élargir la route de Pagny-sur-Moselle
  • la maison des sept péchés capitaux XVIe siècle. « Le Château d’Amour », bâtiment du XVIe siècle, résidence ducale sur la place Duroc.
  • la place Duroc XVIe au XVIIIe siècle, vaste triangle ceinturé de maisons à arcades.
  • la Fontaine Rouge doit son nom à l’eau ferrugineuse qui coule depuis des siècles au même débit soit 250 litres à l'heure et à 11 °C de température. Richelieu, venu araser la place forte de Mousson, ne manqua pas de profiter des vertus curatives de cette source.
  • la Cour d’Honneur de l’ancienne université (début XVIIe siècle), porte du parloir, aujourd’hui lycée
  • l’hôtel de ville est une élégante construction de style Louis XVI, œuvre de Lecreulx, réalisée par Claude Mique de 1786 à 1791
  • Maisons XVIe siècle, rue Saint-Laurent.
  • Empreinte de la tour de Prague XVe siècle, rue des Fossés.
  • Manège de l'ancienne caserne Duroc XIXe siècle.
  • Façades de l'ancien observatoire.
  • Devanture du magasin Michel, 16 rue Clemenceau.
  • Maison de la Monnaie, 2 rue de la Poterne ; rue Magot-de-Rogeville construit dans le 4e quart du XVIe siècle

Édifices religieux

  • l’abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson XVIIIe siècle
  • l’église Saint-Martin de Pont-à-Mousson, XIVe et XVe siècles
  • l’église Saint-Laurent de Pont-à-Mousson, XVe, XVIIIe , XIXe siècle. Elle possède un retable du XVIe siècle, un Christ montant au calvaire attribué autrefois à Ligier Richier, ainsi qu'un chandelier pascal en bois doré.
  • l'ancien collège des jésuites (lycée) : façade sur la cour intérieure XVIIe siècle
  • l'ancien petit séminaire
  • le temple protestant.
  • la synagogue, datant de 1844, se trouvait au 44 rue Charles-Lepois. Elle n'est pas visible de la rue car elles se trouve au centre du pâté de maisons, derrière la maison du rabbin, transformée en logement. Selon Max Polonovski, elle devait être détruite à la fin du XXe siècle[9], toutefois, en 2010, le bâtiment est toujours debout car on peut apercevoir le faîte du toit avec ses deux épis de faîtage qui dépassent au dessus des maisons. La rue de la Poterne est l'ancienne rue des juifs. Pont-à-Mousson a aussi un cimetière juif, rue Robert-Blum.

Musée

  • le musée au fil du papier retrace toute l’histoire de la ville et présente notamment une large collection de meubles et objets d’art en papier mâché, caractérisés par leurs décorations fortement inspirées par la mode des « chinoiseries » (courant parallèle à l’Art nouveau de l’école de Nancy).

Activités sportives

Personnalités liées à la commune

Cette liste n'est pas exhaustive

Personnalités nées à Pont-à-Mousson

  • Marguerite d'Anjou, princesse de Lorraine et de Bar, reine d’Angleterre
  • Primo Basso (1926-2010) né le 13 mars 1926 à Pont-à-Mousson, professeur, romancier et auteur.
  • Jean Bertho (1928-), acteur et réalisateur français est né à Pont-à-Mousson.
  • Paul Claudon (1919-2005), producteur de cinéma (Le Soupirant de Pierre Etaix, Les Valseuses de Bertrand Blier, Se souvenir des belles choses de Zabou Breitman, etc.).
  • le Maréchal d’Empire Duroc (Pont-à-Mousson 25 octobre 1772 - Niedermackersdorf 23 mai 1813), duc de Frioul, maréchal du Palais. Sa maison natale est au 39 de la rue Saint-Laurent, où l’on peut voir quelques façades intéressantes. Il fut blessé mortellement par un boulet en Silésie. Sa dépouille repose aux Invalides. Mais son coeur repose au cimetière de Saint-Martin
  • le Général Fabvier, qui s’est illustré lors de la révolution grecque.
  • Nicolas Florentin, footballeur, joueur du Stade Malherbe de Caen
  • Jean-Pierre François (1965-…), footballeur à Dijon puis à l’AS Saint-Étienne, reconverti dans la chanson avec le titre Je Te Survivrai.
  • Joseph François Fririon (1771-1849), général des armées de la République et de l'Empire.
  • Louis-Camille Maillard (1878-1936), chimiste qui a donné son nom à la réaction de Maillard.
  • François-Ignace Mangin (1742-1807), architecte[10]
  • Roger Marage, artiste peintre et graveur né à Pont-à-Mousson en 1922.
  • Robert Morel (1922-1990), éditeur français né à Pont-à-Mousson.
  • André Robinot (1928-...) Précurseur de Saint Gobain, champion d'aviron et médiateur civil.
  • Mikl Mayer (1987-...) auteur dessinateur de la BD "Les D'jeunes".

Autres personnalités liées à la commune

  • Charles Bocquet, luthiste, compositeur au service des ducs de Lorraine.
  • François Nicolas Fririon (1766-1821),général des armées de la République et de l'Empire(nom gravé sous l'arc de Triomphe) est décédé dans la commune.
  • Léon Greff (1861-1936), banquier, commissaire aux comptes de la S.A. des Hauts-Fourneaux de Pont-à-Mousson, de 1921 à 1933. Fils aîné du Gérant de la Verrerie de Meisenthal, il a résidé 54, place Duroc et a été premier Adjoint du Maire de Pont-à-Mousson (1900).
  • Philippe de Gueldre, fille du Duc de Gueldre, retirée au couvent des Clarisses à Pont-à-Mousson, elle y décède en 1547.
  • Jacques Marquette (1637-1675), grand homme religieux, sa famille très pieuse éveille en lui une vocation apostolique. Après ses études dans les écoles mussipontaines, Jacques Marquette entre à dix-sept ans dans la Compagnie de Jésus. Moins d’une année après avoir terminé ses études, il est ordonné prêtre à vingt-neuf ans et sollicite d’être envoyé en mission « ad exteras nationes ». Il découvrit le Mississippi en Amérique.

Notes et références

  1. Populations légales 2008 de la commune : Pont-à-Mousson sur le site de l'Insee
  2. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
  3. Pierre Lallemand, Pont-à-Mousson : au coeur des rues, la mémoire d'une ville, 1994, p. 11
  4. Pierre Fourier, Sa Correspondance 1598-1640 recueillie par Sœur Hélène Derréal. Presses Universitaires de Nancy 1989, tome 1, préface, page XII
  5. Cf. Musée au fil du papier
  6. Décision du Conseil d’État du 29 mai 2009, voir Le Monde du 5 juin, p. 13
  7. http://cassini.ehess.fr/ Population par commune avant 1962 (résultats publiés au journal officiel ou conservés aux archives départementales)
  8. Insee : Population depuis le recensement de 1962
  9. judaisme.sdv.fr
  10. L'ARCHITECTE LORRAIN FRANÇOIS MANGIN, HÉROS INVOLONTAIRE D'UNE « AFFAIRE » IMMORTALISÉE PAR GOETHE DANS SON « SIÈGE DE MAYENCE » — 1793

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • Manuel Bazaille, « Souvenirs de l’occupation à Pont-à-Mousson », in La Revue lorraine populaire, no 169, décembre 2002
  • Manuel Bazaille, « Une enfance sous l’occupation à Pont-à-Mousson », in La Revue lorraine populaire, no 179, août 2004
  • Manuel Bazaille, « Le canton de Pont-à-Mousson à l’amende », in La Revue lorraine populaire, no 203, août 2008
  • Julien Florange, Pierre Loevenbruck, Notre cher pont-à-Mousson, M. Mutelet, Metz, 1956
  • Jean-Luc Fray, Villes et bourgs de Lorraine : réseaux urbains et centralité au Moyen Âge, Presses universitaires Blaise Pascal, Clermont-Ferrand, 2006
  • Alain Girardot, Les origines de la ville de Pont-à-Mousson (1261-1300), in : Annales de l'Est, 1972, p. 107-126
  • Pierre Lallemand, Pont-à-Mousson : au coeur des rues, la mémoire d'une ville, Pierron, Sarreguemines, 1994, ISBN 2-7085-0130-5

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