- La Queue-en-Brie
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La Queue-en-Brie
Le vieux village de La Queue-en-Brie
DétailAdministration Pays France Région Île-de-France Département Val-de-Marne Arrondissement Arrondissement de Nogent-sur-Marne Canton Canton d'Ormesson-sur-Marne Code commune 94060 Code postal 94510 Maire
Mandat en coursJean Jacques Darves (PCF)
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne Site web http://www.laqueueenbrie.fr Démographie Population 11 439 hab. (2008) Densité 1 249 hab./km² Gentilé Caudaciens, Caudaciennes Géographie Coordonnées Altitudes mini. 69 m — maxi. 107 m Superficie 9,16 km2 La Queue-en-Brie (prononcer la kø.ɑ̃.bʁi
) est une commune française située dans le département du Val-de-Marne et la région Île-de-France.
Sommaire
- 1 Géographie
- 2 Urbanisme
- 3 Histoire
- 4 Politique et administration
- 5 Population et société
- 6 Économie
- 7 Culture et patrimoine
- 8 Galerie
- 9 Notes et références
- 10 Bibliographie
- 11 Voir aussi
Géographie
Situation
La Queue-en-Brie est située à 17,9 kilomètres du centre de Paris à vol d'oiseau.
Elle est la commune située le plus à l'est du département du Val-de-Marne et, de ce fait, la commune la plus à l'est de la petite couronne de Paris.
Le 1er janvier 1968, en application de la loi du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, le département de Seine-et-Oise est supprimé et La Queue-en-Brie rejoint l'actuel département du Val-de-Marne.
Communes limitrophes
Relief et géologie
Hydrographie
On compte un seul cours d'eau dans le territoire communal, il s'agit du Morbras, ruisseau affluent de la Marne de 17,3 km de long.
La forêt domaniale de Notre-Dame au sud de la commune, abrite une vingtaine de mares abritant de nombreux batraciens et reptiles.
Urbanisme
Quartiers, lieux-dits et écarts
Comme la plupart des villes médiévales, La Queue-en-Brie s'est développée en absorbant au fil du temps les écarts avoisinants le vieux-village.
Le vieux-village[1] Situé au sud de la commune, le quartier traversé par le Morbras représente le centre historique de La Queue-en-Brie. On y trouve donc naturellement l'essentiel du patrimoine historique et religieux caudacien. La Pierre Lais[2] Ancien lieu-dit, son toponyme est révélateur de la potentielle existence d'un monolithe aujourd'hui disparu. Les Marnières[3] Le lieu-dit des Marnières, accueillant depuis les années 1970 la résidence des Marnières, est un lieu avéré d'occupation gallo-romaine ; en témoigne l'abondance de scories retrouvées pendant des fouilles archéologiques. Le centre-ville[4] C'est le nouveau centre-ville de la commune depuis le déplacement de la mairie en 1975. Les Bordes [5] C'est un quartier résidentiel construit sur d'anciennes zones agricoles. Le bois des friches [6] C'est un quartier résidentiel boisé et traversé par le Morbras dont les premières constructions ont été achevées au mois de juin 1975[7]. Les Ormoies [5] C'est un ensemble de trois quartiers résidentiels situés entre le bois des friches et l'actuel centre-ville. Le Val Fleuri [3] C'est un quartier résidentiel construit entre le quartier des Marnières et le bois Lacroix. Les 3F C'est un quartier construit en 2007[5] sur un terrain vague jouxtant la halle des Violettes et la vallée du Morbras. Transports en commun
La Queue-en-Brie ne disposant d'aucune voie ferrée, son réseau de transports en commun repose uniquement sur trois lignes de bus :
- La ligne Bus RATP 207 Noisy-le-Grand – Mont-d'Est ↔ Hôpital de La Queue-en-Brie, mise en service en mars 1995[8] offre un accès :
- à la mairie du Plessis-Trévise,
- à la ligne E du RER en gare de Villiers-sur-Marne - Le Plessis-Trévise,
- à la mairie de Villiers-sur-Marne
- à la ligne A du RER en gare de Noisy-le-Grand - Mont d'Est
Champigny Saint-Maur
↔ La Queue-en-Brie ↔ Pontault-Combault
dessert :
-
- le centre commercial Pince-Vent d'Ormesson-sur-Marne
- le centre commercial Croix Saint-Claude de Pontault-Combault
Sucy en Brie
↔ Noiseau ↔ La Queue en Brie Hôpital des Murets
Réseau routier
La route nationale 4, axe routier historique, traverse la ville au sud.
Histoire
Article détaillé : Chronologie de La Queue-en-Brie.Héraldique
D'argent à la rivière du champ en fasce, à la tour de gueules maçonnée de sable de sable brochante, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or[9].
Les origines
La Queue-en-Brie se situe en bordure du massif forestier de l'Arc Boisé, haut lieu d'occupation préhistorique en Île-de-France.
Les différentes fouilles archéologiques menées lors de travaux de construction ont mis en évidence une occupation humaine importante dans la vallée du Morbras au cours du néolithique. Des terrasses ont pu être aménagées en bordure du Morbras, en attestent les nombreux sites découverts sur le territoire communal.
La découvert d'une amulette en plomb à l'effigie d'une vierge allaitant l'enfant Jésus datée du XIIe siècle[10] indique l'occupation protohistorique des lieux.
Des indices d'occupation gallo-romaine ont été trouvés au sud du domaine des Marmousets (meule du IIIe siècle[11]), et des foyers ayant servi à la réduction de minerai de fer ont été mis en évidence aux Marnières.
Le Moyen Âge
Article détaillé : Chronologie de La Queue-en-Brie#Moyen Âge.L'époque moderne
Article détaillé : Chronologie de La Queue-en-Brie#Époque moderne.L'époque contemporaine
Article détaillé : Chronologie de La Queue-en-Brie#Époque contemporaine.Devise
La devise de la commune est « De Brie, toujours fidèle à la France ».
La Queue-en-Brie partage également avec Le Plessis-Trévise[12] la devise « La ville à la campagne »[13]. En effet, la proximité à la fois des commerces (zones d'activités de Pontault-Combault, Ormesson-sur-Marne) et des zones boisées (Forêt de Notre-Dame, Bois des Marmousets, Bois Lacroix) offre un cadre de vie singulier.
Politique et administration
En 2005, la commune de La Queue-en-Brie a été récompensée par le label « Ville Internet @ »[14].
Tendances politiques
Liste des maires successifs[15] Période Identité Étiquette Qualité 2001 en cours Jean-Jacques Darves PCF 1995 2001 Jacques Aubry UDF 1983 1994 Roger Fontanille RPR Période Identité Étiquette Qualité 1977 1983 Claude Roméo PCF 1965 1977 Roger Fontanille UNR 1959 1965 Raymond Martin 1947 1959 Jacques Morel d’Arleux 1945 1947 Edmond Forestier 1944 1945 Jacques Morel d’Arleux 1936 1944 Jean Lafenêtre 1934 1936 Auguste Forestier 1931 1934 Jean Chrétien 1925 1931 Remy Carre 1922 1925 Lucien Morel d’Arleux 1919 1922 Jules Pasquier 1917 1919 François Hudier 1914 1917 François Maximilien Boulinier 1912 1914 Anaïs Schmitt 1891 1912 Henri Rouart 1884 1891 Antoine Jacquier 1878 1884 Jules Pasquier 1871 1878 Jules Neffier 1871 1871 Joseph Hugueville 1865 1870 Alphonse Burette 1850 1865 Jean Alexis Anselme 1848 1850 Felix-Josué Descemery 1830 1848 Michel Chartier 1822 1830 Adolphe Édouard Casimir Joseph Mortier 1812 1822 Armand de Maistre 1808 1812 Henry Dorisy 1804 1808 Michel François Pillon 1800 1804 Étienne Baudrier 1796 1800 Jacques Troisvallet 1793 1796 Pierre-Thomas Desvignes 1791 1792 Jean-Baptiste Grangeon 1791 1791 Nicolas Larbalestrier Sécurité
Intercommunalité
La Queue-en-Brie appartient à la Communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne[16].
Jumelages
La Queue-en-Brie n'est actuellement jumelée avec aucune ville. Population et société
Démographie
Évolution démographique
En 2008, La Queue-en-Brie est la 38e commune la plus peuplée du Val-de-Marne (sur 47) et la 813e au niveau national.
La population communale ne cesse de croître. De nombreux projets immobiliers (principalement de nature pavillonnaire) voient le jour dans les années 2000 : Plaine de bordes, Rue de Stockholm, Rue Jean Jaurès.
Pyramide des âges
Répartition des ménages
Éducation
Établissements éducatifs
- École maternelle Pauline Kergomard
- École maternelle Jean Zay
- École maternelle Gournay
- École maternelle Lamartine 1
- École maternelle Lamartine 2
- École élémentaire Pauline Kergomard
- École élémentaire Lamartine
- École élémentaire Jean Zay
- École élémentaire Jean Jaures
- École élémentaire Louis Pasteur
- Collège Jean Moulin
Cultes
Manifestations culturelles et festivités
Sport
Installations sportives
Le stade Robert Barran — nommé en l'honneur du célèbre joueur de rugby à XIII et rugby à XV qui s'illustra notamment en championnat et coupe de France entre 1944 et 1947 — propose les équipements suivants :
- un terrain de football et rugby,
- une piste d'athlétisme, saut en longueur et de saut en hauteur,
- quatre courts de tennis,
- un terrain de pétanque,
- un parcours santé.
Il peut accueillir jusqu'à 2 300 personnes, dont 300 dans ses tribunes.
Le stade Léo Lagrange — nommé en l'honneur d'un homme politique français — propose un terrain de football ainsi qu'un terrain de basket-ball.
Le stade annexe situé près de la résidence des Marnières est un lieu ouvert au public, où s'entraînent différentes équipes de la commune, ainsi que les élèves des écoles élémentaires et du collège Jean Moulin. C'est aussi un lieu de rendez-vous, notamment le 14 juillet de chaque année, puisque c'est ici qu'est tiré le feu d'artifice célébrant la fête nationale.
La halle des Violettes est une salle polyvalente accompagnée de vestiaires.
Le gymnase Pierre de Coubertin — nommé en l'honneur d'un historien et pédagogue français — est situé entre les écoles Lamartine et Pasteur, et propose les équipements suivants :
- le dojo Cathy Fleury
- une salle de football, handball, basket-ball
- une salle de gymnastique, volley-ball
La plaine de jeu du Liquidambar est un terrain aménagé dans le centre-ville qui propose un petit terrain de sports collectifs (football, basket-ball) ainsi que de nombreux équipements de loisir (balançoires, toboggans, etc).
Le centre départemental de modélisme des Marmousets, géré par l'association loi 1901 club Modélisme Des Marmousets (ou c2m)[21] est un site de 12 hectares consacré au modélisme sous toutes ses formes : pilotage à distance de véhicules terrestres, avions, hélicoptères, etc.
Équipes et associations sportives
L'association Entente Sportive Caudacienne, fondée le 28 février 1968 propose 15 sections sportives[22] : l'athlétisme, le badminton, la boxe française, le football, le football américain, le futsal, la gymnastique volontaire, le handball, le judo, le karaté, la lutte, le pancrace, le tennis, le tir à l'arc et le volley-ball.
L'équipe de football américain les Gladiateurs de la Queue-en-Brie — créée en 2001 — s'entraîne régulièrement au stade annexe et au stade Robert Barran, en compagnie de ses pom-pom girls. Le club évolue pour la première fois de son histoire en deuxième division de casque d'or pour la saison 2011.
L'Entente Sportive Caudacienne de Football (ES Caudacienne)[23], s'entraîne au stade Léo Lagrange et moins souvent au stade Robert Barran.
Médias
Port Saint Nicolas[24] est un site web réalisé à l'origine (6 décembre 1995[25]) par des paroissiens de La Queue-en-Brie comme premier site Web catholique francophone[26]. Depuis 1998, il n'y a plus de lien direct entre le site et La Queue-en-Brie. Selon le journal La Croix, ce site est « une référence de l'Internet catholique francophone »[27].
Vivre ensemble, le magazine municipal d'information édité plusieurs fois par an par la mairie, présente aux caudaciens un discours du maire, des informations sur le service public et l'administration, les travaux en cours de réalisation ou à venir et l'actualité de la commune[28] .
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Emploi
Emploi au lieu de travail La Queue-en-Brie en 2007
Secteur d’emploi Nombre % dont femmes en % dont hommes en % dont salariés en % Primaire Agriculture 14 0,5 25,5 74,5 74,5 Secondaire Industrie 220 7,8 25,4 74,6 92,6 Construction 269 9,5 6,9 93,1 71,4 Tertiaire Commerce, transports, services divers 1 015 35,8 40,6 59,4 89,1 Administration publique, enseignement, santé, action sociale 1 317 46,5 74,6 25,4 97,4 Total 2 835 100,0 51,9 48,1 91,3 Sources des données : Insee[29] Entreprises et secteurs d'activité
L'activité économique de la commune est répartie sur plusieurs zones d'activités :
- La zone industrielle de la Croix Saint-Nicolas,
- La zone d'activités de la RN4,
- La zone du Chemin de la Montagne,
- Le centre commercial Pince-Vent.
Secteur primaire
Secteur secondaire
Secteur tertiaire
Commerce
Santé
La commune abrite le centre hospitalier "Les Murets"[30].
Cet établissement qui a vu ses portes s'ouvrir à partir de 1963[31], a été implanté sur un domaine boisé de 17 hectares, ou un château a été construit à la fin du XIXe siècle[32]. Il propose notamment des services de psychiatrie, d'assistance aux personnes âgées dépendantes et de formation en soins infirmiers[30].
Culture et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Patrimoine civil
Le vieux-village
De type briard, il est le principal témoin de l'histoire de La Queue-en-Brie.
Le lavoir du vieux-village (ou le lavoir d'été)
Construit au XIXe siècle, il n'a été doté de sa toiture qu'en 1843[33].
Restauré en 1969 par la municipalité et le groupe nature caudacien[34], ce lavoir a été construit sur le Morbras, quelques mètres en aval d'un abreuvoir.
De par la dureté et la fraîcheur de l'eau du Morbras, il était plutôt utilisé en été, d'où son surnom de "lavoir d'été".
L'abreuvoir du vieux-village
Construit XIXe siècle, il permettait aux caudaciens d'abreuver leurs bêtes.
L'école de musique Lionel André
Bâtie en 1860, l'ancienne mairie et école de la commune se dresse au centre du vieux-village, à côté de l'église Saint-Nicolas.
L'école fut transférée en 1938 vers l'actuelle école Jean Jaurès, et la mairie resta en fonction jusqu'en 1975, où elle fut transférée vers l'actuel centre-ville.
La borne royale #19
Brisée pendant son déplacement, la borne royale numéro 19 qui jouxtait l'actuelle route nationale 4 était à l'origine ornée d'une fleur de lys, symbole de la monarchie française. Ce bas-relief fut martelé à la révolution pour être transformé en bonnet phrygien[35].
Le chiffre gravé sur cette borne milliaire indique la distance par rapport à Paris, qui est de dix-neuf milliers de toises, soit environ 36,7 kilomètres.
Son origine est estimée entre le XVIIe siècle et le XVIIIe siècle, et elle se tient actuellement dans le vieux-village, devant les vestiges de l'ancienne tour féodale.
La pierre Lais
La fontaine et le lavoir de la pierre Lais (ou le lavoir d'hiver)
Construite en 1873 (la date y est gravée) sur le lieu dit de la pierre Lais, cette fontaine tire son eau d'une source profonde.
Gravée des initiales de son concepteur — N.H (H pour Hérault) —, la fontaine de forme hémisphérique se déverse dans le bassin d'un ancien lavoir.
L'eau y étant moins froide que celle du Morbras situé à 300 mètres de là, il était principalement utilisé par les lavandières en hiver, d'où son surnom de "lavoir d'hiver".
Le domaine des Marmousets
Au début du XIXe siècle, le domaine devient propriété de Jean-Baptiste Nompère de Champagny (1756-1834), duc de Cadore, ministre de Napoléon Ier[36].
- Le château des Marmousets
- Vraisemblablement édifié à la fin du XVIIIe siècle, la tradition indique pourtant qu'il fut construit par le Général Hulin en 1828[37].
- La glacière des Marmousets
- Construite au XVIIIe siècle, elle était principalement utilisée pour la conservation de la viande[38].
Le domaine de l'Hermitage
Le pavillon de l'Hermitage
Construit au XVIIe siècle, ce pavillon d'angle constitue l'unique vestige de l'ancien château de l'Hermitage[39].
La maison Rouart
Ancienne demeure d'Alexis et Henri Rouart, il s'agit d'un vestige des communs de l'ancien château de l'hermitage[40].
La glacière Rouart (XVIIe siècle)
Anciennement aménagée dans les caves d'une partie aujourd'hui démolie du château de l'Hermitage, la glacière était destinée à conserver les denrées périssables[41].
Patrimoine religieux
- Église Saint-Nicolas du XIe siècle - XIIe siècle
- Monument sépulcral des curés de La Queue-en-Brie[42]
- Église Saint-Jean, bâtie en 1974.
Patrimoine militaire
Les vestiges de l'ancienne tour féodale, appelée à tort "le donjon", qui aurait été construite au début du XIIe siècle, sont visibles place de la Tour, dans le vieux-village[43].
Patrimoine environnemental
La Queue-en-Brie bénéficie du label « ville fleurie » avec une fleur attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[44].
La Forêt de Notre-Dame, l'une des plus grandes forêts de l'est francilien, se trouve en partie sur le territoire de la commune.
Patrimoine culturel
- Maison pour tous Henri Rouart : Lieu d'expositions, de concert, de représentations diverses. Il s'agit de la seule salle à proprement parler capable d'accueillir du public pour des évènements culturels,
- La bibliothèque municipale George Sand[45],
- Des expositions ont régulièrement lieu dans le hall de la mairie.
Vie nocturne
La boîte de nuit Lua Vista, située sur la route nationale 4 offre aux noctambules un lieu de festivités.
Personnalités
- Le Maréchal Mortier, de son vrai nom Adolphe Édouard Casimir Joseph Mortier, a été maire de la commune entre 1822 et 1830.
- Henri Rouart, ingénieur, industriel, artiste-peintre et collectionneur français, fut maire de la commune entre 1891 et 1912.
- Le Général Hulin, de son vrai nom Pierre-Augustin Hulin, est un soldat de l'armée française ayant joué un rôle important lors de la prise de la Bastille. Il a vécu dans la retraite à la Queue-en-Brie.
- Cathy Fleury, judokate, de son vrai nom Catherine Fleury-Vachon, a résidé à la Queue-en-Brie[46]. Le Dojo du gymnase Pierre de Coubertin porte son nom. Celui-ci est situé près du quartier des Marnières, où se trouve son ancienne résidence.
- Philippe Rombi, pianiste, compositeur français, a résidé à la Queue-en-Brie de 2001 à mi-janvier 2003[47]. L'école municipale de musique (rebaptisée Lionel André[48] en 2005) . Elle est située dans l'avenue Jean-Jaurès, où se trouve également la salle Claude Debussy.
La Queue-en-Brie dans la culture populaire
L'écrivain Victor Hugo, dans son roman Notre-Dame de Paris envoie le capitaine Phœbus se reposer à la Queue-en-Brie pour se remettre de ses blessures.
Le peintre André Dunoyer de Segonzac a immortalisé en 1931 l'allée de tilleuls de l'actuelle rue Jean Jaurès dans son aquarelle "Grande rue du village", qui se trouve maintenant à l'Ambassade de France à Washington[49]. Une rue de la commune porte d'ailleurs son nom[50].
Galerie
Galerie : Voir la galerie sur CommonsNotes et références
- Le Vieux Village, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
- La Pierre Lais, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
- Les Marnières et le Val Fleuri, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
- Le centre ville, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
- Les Bordes, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
- Le Bois des friches, laqueuenbrie.fr. Consulté le 10 novembre 2010
- Historique de l'Association Syndicale Libre du Bois des Friches, boisdesfriches.org. Consulté le 10 novembre 2010
- Base de données SILOÉ
- Banque du Blason
- Amulette en plomb
- Meule du IIIe siècle
- Le Plessis-Trévise, "ville à la campagne"
- La Queue-en-Brie "ville à la campagne"
- La Queue-en-Brie, Ville Internet @ 2005. Consulté le 23/08/2010.
- Site municipal- Liste des maires
- Territoires de la Communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne
- Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee
- Notice communale de La Queue-en-Brie sur le site Cassini de l’EHESS
- Évolution et structure de la population, Insee
- Répartition des ménages, Insee
- Site du c2m, Club Modélisme Des Marmousets
- Entente Sportive de La Queue-en-Brie
- Site de l'ES Caudacienne de Football
- Port Saint Nicolas - Site Web, page d'accueil
- Petite histoire des débuts du port
- Église réformée de France
- « Port-Saint-Nicolas.org fête ses dix ans », La Croix, 26 décembre 2005 Guillaume Barou,
- Vivre ensemble, le magazine municipal d'information
- Recensement de la population 2007, thème : Emploi - Population active » sur recensement.insee.fr, 2007. Consulté le 04 novembre 2010 INSEE, «
- Centre hospitalier Les Murets
- Les Murets - Environnement
- Centre Hospitalier "Les Murets" - Environnement
- ROBLIN (J.), 1994, p. 134.
- Le lavoir d'été de La Queue-en-Brie
- La borne royale 19
- Chateau des Marmousets sur www.flickr.com. Consulté le 30 avril 2011
- Le château des Marmousets
- La glacière des Marmousets
- Le château de l'hermitage
- Maison Rouart de la Queue-en-Brie
- Glacière Rouart
- Monument Sépulcral des curés de la Queue-en-Brie
- Vestiges de la tour féodale
- Palmarès 2009 du concours des Villes et Villages Fleuris
- Bibiothèque municipale George Sand, sur www.laqueueenbrie.fr
- Liste des athlètes du Val-de-Marne présents aux JO de Barcelone 1992.
- Les personnages célèbres du val de marne.
- L'école municipale de musique, sur le site de la mairie.
- Le site de Roger Fontanille ». Consulté le 23 septembre 2010 Roger Fontanille, «
- Écoles maternelles de La Queue-en-Brie, laqueuenbrie.fr. Consulté le 23 septembre 2010
Bibliographie
- ROBLIN (J.), La-Queue-en-Brie. Nouvelle chronique caudacienne, Manchecourt, 1994, 187 p. (ISBN 978-2-9508908-0-1)
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Catégories :- Commune du Val-de-Marne
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