- Indre (Loire-Atlantique)
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Pour les articles homonymes, voir Indre.
Indre
La Loire vue depuis Indret.
DétailAdministration Pays France Région Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Arrondissement Arrondissement de Nantes Canton Canton de Saint-Herblain-Ouest-Indre Code commune 44074 Code postal 44610, 44620 Maire
Mandat en coursJean-Luc Le Drenn
2008-2014Intercommunalité Nantes Métropole Site web http://www.indre44.fr/ Démographie Population 3 818 hab. (2008) Densité 809 hab./km² Gentilé Indrais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 0 m — maxi. 26 m Superficie 4,72 km2 Indre (ɛ̃dʁ(ə)) est une commune française, située dans le département de Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire. Elle se situe à 8 km à l'ouest de Nantes.
Historiquement, Indre fait partie de la Bretagne, dans le pays historique du Pays nantais. La ville est aussi appelée « la cité des trois îles ».
Géographie
Situation
La commune est située sur l'ouest de Nantes, à 8 km de celle-ci, à cheval sur l'estuaire de la Loire, sur l'ancien lit de la Loire avant son aménagement. Elle est avec Nantes l'une des deux communes présentes sur les deux rives de l'estuaire.
Selon le classement établi par l’INSEE en 1999, Indre est une commune urbaine, une des 19 communes de banlieue de l’unité urbaine de Nantes ; elle fait donc partie de l’aire urbaine de Nantes et de l’espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique).
Communes limitrophes
Géographie physique
La commune est formée de trois anciens ilôts de granit situés en amont de l'estuaire de la Loire. Après l'aménagement de la Loire au XVIIIe siècle et la création de digue qui a eu pour conséquence le dépôt de sédiments, Basse-Indre et Haute-Indre se sont peu à peu ancrées sur la rive nord tandis qu'Indret s'est ancrée sur la rive sud.
L'altitude d'Indre varie entre 0 m et 26 m[1].
Géologie
Géologiquement Indre fait partie du massif armoricain, sur le sillon de Bretagne[2] et est composée en grande partie de roche métamorphique dont le gneiss à surface tubulaire[3] et le micaschiste. Basse-Indre est bâti sur un monticule d'amphibolite alternant avec du micaschiste[4] tandis que Haute-Indre est bâti sur des dalles[3] d'amphibolite schistoïde nodulaire ou à nodule de feldspath[5] avec de petite quantité de calcite et de chalcopyrite,[6]. Ceci semble indiquer un ancien synclinal[7] de micaschiste [8].
Climat
La commune est située dans une région soumise à l'influence océanique dont la pénétration est favorisée par l'estuaire de la Loire et l'absence de relief notable. Les pluies sont fréquentes mais peu intenses et peuvent varier d'une année à l'autre. Dû à sa position géographique le climat est peu diversifié entre les deux rives de la Loire, qui peuvent faire barrière notamment à la pluie. Les hivers sont doux et les étés faiblement chauds.
Le tableau suivant donne une idée du climat bisontin en comparaison avec la moyenne nationale et quelques villes symboliques[9],[10]:Ville Ensoleillement Pluie Neige Orage Brouillard Brest 1749 h/an 1 109 mm/an 9j/an 11j/an 74 j/an Paris 1 797 h/an 642 mm/an 15 j/an 19 j/an 13 j/an Nice 2 694 h / an 767 mm / an 1 j / an 31 j / an 1 j / an Strasbourg 1 637 h/an 610 mm/an 30 j/an 29 j/an 65 j/an Indre 1 956 h/an 789 mm/an 5 j/an 14 j/an 58 j/an Moyenne nationale 1 973 h/an 770 mm/an 14 j/an 22 j/an 40 j/an Températures et précipitations
Les records de température maximale et minimale sur Indre sont respectivement de 40,3°C le 12 juillet 1949 et - 15,6°C le 15 février 1956. Le jour le plus pluvieux était le 7 juillet 1977 avec 94,9 mm en 24 heures[11].
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,8 4,0 5,9 9,0 11,9 13,9 13,5 11,8 8,9 5,1 3,0 7,7 Température moyenne (°C) 5,4 6,2 8,1 10,4 13,6 16,9 19,1 18,7 16,8 13,1 8,6 6,0 11,9 Température maximale moyenne (°C) 8,4 9,6 12,2 14,9 18,2 21,9 24,4 24,0 21,8 17,3 12,0 9,0 16,1 Ensoleillement (h) 72 99 148 187 211 239 267 239 191 140 91 70 1 956 Humidité relative (%) 88 84 80 77 78 76 75 76 80 86 88 89 81 Précipitations (mm) 86,6 70,2 69,1 49,9 64,1 45,0 46,4 44,8 62,2 79,2 86,9 84,1 788,5 dont pluie (mm) 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 dont neige (cm) 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Nombre de jours avec pluie 12,8 11,0 11,1 8,9 11,0 7,7 6,7 7,0 8,4 10,4 11,1 11,5 117,6 dont nombre de jours avec pluie ≥ 5 mm 6,1 4,8 4,9 3,6 4,5 2,9 2,7 3,1 3,9 5,0 6,2 6,1 53,7 Record de froid (°C)
(année du record)-13,0
(16/01/1985)-15,6
(15/02/1956)-7,0
(03/03/1965)-2,6
(11/04/1973)-0,9
(03/05/1979)3,8
(03/06/1975)6,1
(05/07/1975)5,6
(07/08/1956)2,8
(19/09/1952)-3,3
(30/10/1997)-6,8
(21/11/1993)-10,2
(27/12/1962)Record de chaleur (°C)
(année du record)17,6
(21/01/1969)21,4
(28/02/1960)23,2
(30/03/1965)27,5
(15/04/1949)32,0
(25/05/1953)36,8
(30/06/1952)40,3
(12/07/1949)37,4
(04/08/1990)34,3
(01/09/1961)27,0
(02/10/1985)21,1
(06/11/1955)18,4
(04/12/1953)Record de pluie en 24 h (mm)
(année du record)50,1
(02/01/1961)31,9
(27/02/1981)46,8
(10/03/1967)36,4
(09/04/1983)46,7
(12/05/1981)35,9
(02/06/1968)94,9
(07/07/1977)53,4
(28/08/1970)48,2
(25/09/1975)42,5
(09/10/1979)39,0
(20/11/1970)35,8
(14/12/1989)Source : Relevés 1961-1999Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D 86.68.42.470.29.62.869.112.24.049.914.95.964.118.29.045.021.911.946.424.413.944.824.013.562.221.811.879.217.38.986.912.05.184.19.03.0Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm) Phénomènes
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Nombre de jours d'orage 0,3 0,2 0,4 0,7 2,3 2,4 2,1 2,3 1,4 1,0 0,5 0,4 14,1 Nombre de jours avec grêle 0,4 0,6 0,7 0,6 0,2 0,1 0,1 - - 0,1 0,2 0,3 3,3 Nombre de jours avec neige 1,2 1,3 0,8 0,3 - - - - - - 0,4 1,1 5,1 Nombre de jours avec gel 9 7,6 5,3 1,1 0 0 0 0 0 0,2 2,6 9,7 15,9 Nombre de jours avec brouillard 7,3 5,1 3,8 2,3 2,4 2,2 2,2 4,2 5,6 7,5 7,1 8,6 58,2 Source : Relevés 1961-1999Vent
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. Record de vent (km/h)
(année du record)112
(25/01/1990)133
(03/02/1990)112
(24/03/1986)90
(15/04/1990)97
(12/05/1983)83
(07/06/1987)76
(03/07/1988)83
(30/08/1992)108
(13/09/1993)115
(15/10/1987)104
(12/11/1987)122
(14/12/1989)Source : Relevés 1961-1999Voies de communications
Par routes
Indre est desservi via terre à l'extrême Nord de la commune par la D107 (surnommé la route des sables), ainsi que la D75 allant jusqu'à l'embarcadère du bac. Dans sa continué et de l'autre rive (gauche), la D358 longe la commune dans l'extrémité sud. La Loire traverse la commune le long de Haut-Indre et entre Basse-Indre et Indret.
Transports en commun
À l'origine la commune était desservie par la ligne Z. Le 4 septembre 1978 la STAN créé la ligne 81. Celle-ci forme une boucle passant par commerce, Gare Maritime, Roche Maurice, Indre, Saint-Herblain, Bellevue, Chantenay et Place Mellinet. Aujourd'hui la ligne se limite entre Bellevue et Gare Maritime. Depuis le 25 août 2008 la ligne express'Couëron dispose d'un arrêt sur la commune nommé Indre.
Un projet de prolongement de la ligne 73 est à l'étude, il permettra une meilleur desserte de la gare ainsi qu'une liaison directe avec Atlantis le Centre et les 3 lignes de tramways.
Transports ferroviaires
Indre est à proximité de la Gare de Basse-Indre - Saint-Herblain, sur la ligne Tours - Le Croisic. Celle-ci porte le nom de Basse-Indre du fait de l'importance de la commune aux débuts du chemin de fer, avec ses forges. Elle est desservie par la ligne 1 et ligne 2 du TER Pays de la Loire.
Transports fluviaux
Un bac permet de relier Basse-Indre (nord Loire, rive droite) à Indret (sud Loire, rive gauche).
Pont à transbordeur
Un projet de pont à transbordeur a été proposé par Ferdinand Arnodin, en 1904, pour relier Basse-Indre à Indret. Les débats à propos de ce projet se sont poursuivis au conseil général de la Loire-Inférieure jusqu'en 1912. Ce pont à transbordeur, qui devait être similaire à celui réalisé à Nantes (1903-1958), n'a jamais été construit.
Les îles
Ancienne cité de pêcheurs située à 8 km en aval de Nantes, Indre était à l'origine formé de trois îlots de granit, situés au milieu du lit de la Loire. À la suite des différents aménagements du fleuve, Basse-Indre et Haute-Indre se sont ancrées sur la rive Nord, Indret sur la rive Sud.
Un bac assure la liaison entre Basse-Indre et Indret[12]. L'âme insulaire de la commune subsiste toujours : l'emploi d'« Indre » est peu fréquent, les habitants préférant utiliser le nom de chacune des anciennes îles.
Île de la Motte
L'Île de la Motte est une île inhabitée et protégée. Elle constitue un espace naturel pour la faune et la flore locales.
Basse-Indre
Basse-Indre (basɛ̃dʁ(ə)) est séparé de l'île de la Motte par le Maestro, petit bras de la Loire où jadis les pécheurs accostaient sur le « môle ». Elle fut le premier port civellier de France, avant d'être le premier port sidérurgique d'Europe. Les habitants de Basse-Indre sont appelés les Basse-Indrais.
Basse-Indre est une ancienne île en forme de chaloupe sillonnée par de nombreuses venelles grimpant jusqu'à la Grand'Rue, nom donné à l'ancienne rue commerçante. Autrefois l'île était composée de trois quartiers distincts. À l'ouest, habitaient les ouvriers des Forges, au centre les pêcheurs et à l'est, au point culminant de Basse-Indre, la Roche, les notables.
Haute-Indre
Ses habitants sont appelés les Haut-Indrais et les Haut-Indraises.
Haute-Indre (ʔotɛ̃dʁ(ə)) était baignée par la Loire et située entre les étiers de Tougas, des Chevraies et des Chaintres.C'était une île de pêcheurs, de marins bargers, de navigateurs au cabotage, de pilotes et de capitaines au long cours. Ses habitants la surnommaient la « Haute-Pena ». La plupart des Haut-Indrais possédaient un bateau, en raison de la menace constante des crues de la Loire. À son sommet on trouve un moulin datant d'avant la Révolution : le chemin du meunier conduisait autrefois « par la vallée » à Saint-Herblain où il se ravitaillait en grains.
Indret
Ses habitants sont appelés les Indretois et les Indretoises[13]. Indret (44620) n'a pas le même code postal que le reste d'Indre .
Saint Hermeland après avoir découvert Basse-Indre et Haute-Indre, découvrit Indret et l'appela Antricium (petite antre), qui plus tard deviendra "Aindrette", puis "Indret".
Située sur la rive sud de la Loire, Indret a d'abord été le site d'un château fort, le « château Mercœur » (cf. "Histoire" et "Patrimoine") et depuis la fin du XVIIIe siècle c'est celui d'un arsenal de l'État, jadis une fonderie de canons, actuellement l'unité Propulsion de la DCNS (cf. "Histoire"). Le site de la DCNS associe des bâtiments industriels plus ou moins anciens et des bâtiments résidentiels (cité ouvrière) encore utilisés.
Article détaillé : Fonderie d'Indret.Toponymie
Le nom d'Indre vient du latin antrum signifiant « antre ». La ville s'est appelée successivement Antrum et Antrinse monasterium en 840, Andra en 1144, qui s'est transformé en Aindre puis en Indre en 1638[14].
Histoire
Moyen Âge
Source : note[15]
À la fin du Ve siècle, des Saxons s'y fortifièrent avant d'assiéger Nantes en 490.
- Le monastère d'Indre
En l'an 630[15], Pasquier[16], évêque de Nantes, forma avec son peuple le désir de bâtir un monastère à proximité de Nantes dont il gouvernerait l'église. Le prélat envoya à l'abbé Lambert des messagers pour autoriser les moines de son ordre à s'établir aux environ de Nantes dans le lieu qu'ils choisiraient[14].
Hermeland fût désigné comme réunissant toutes les qualités pour fonder un monastère en Bretagne. Il partit de l'abbaye de Fontenelle avec douze autres frères. Arrivés à Nantes, les moines s'embarquèrent sur deux chaloupes pour descendre l'estuaire de la Loire ; rapidement, ils abordèrent dans une île (Basse-Indre) couverte de forêts épaisses et bordées de prairies dominant toutes celles qui l'entouraient. Hermeland découvrit dans l'île des antres et cavernes et l'appela Antrum. Il visita une seconde île (Indret), plus petite et la nomma Antricinium (« petit antre » en latin). après concertation avec l'évêque Pasquier, Hermeland fonda sur l'île d'Antrum un monastère et deux église en l'honneur de saint Paul et saint Pierre[14]. Il acheva son œuvre entre 670 et 678[14]. En 680, l'évêque Agathée (ou Agatheus) donna ce couvent à l'ordre de Saint-Benoît.
Le 24 ou 25 juin 843 le monastère fut détruit par les Normands, qui descendaient la Loire après avoir saccagé Nantes. Sur ses ruines fut construit un prieuré.
- Le château et l'île d'Indret
En 1005, Budic, comte de Nantes, fit construire un château sur l'île d'Indret, où en 1026 fut célébré le mariage de sa sœur Judith avec Alain Canhiart, comte de Cornouaille.
Au XVe siècle, l'île d’Indret appartient aux ducs de Bretagne (qui sont aussi comtes de Nantes) : Jean V, puis François Ier qui donne le château à Marguerite d’Orléans, comtesse d’Étampes et de Vertou. L’île est ensuite donnée à Gilles de Condest suivant contrat rédigé par maître Rolland de La Villéon, agissant au nom de la duchesse Anne. Suite au mariage d’Anne de Bretagne, l’île et ses dépendances reviennent à la couronne de France.
Époque moderne
- Le château et l'île d'Indret
En 1588, l'île est donnée par Henri II à duc de Mercoeur, Philippe-Emmanuel de Lorraine fit rétablir le château.
Elle est ensuite la propriété de Louis Duplessis, sieur de Guenouville, qui la cède en 1642 au roi Louis XIII, en échange des fiefs de la Prairie de Biesse et du pont de Vertais (sur les îles de Nantes). En 1650, la régente Anne d’Autriche donne la terre et le château en apanage au chef d'escadre Abraham Duquesne pour le dédommager des sommes que lui avait coûté l'armement de la flotte qui avait battu les Anglais et les Espagnols à l'embouchure de la Gironde. Mais Abraham Duquesne, qui est protestant, s'exile en Suisse, après la révocation de l'édit de Nantes.
En 1777, une usine de la Marine royale destinée à la production de canons y est établie : la fonderie d'Indret, origine de l'actuelle usine de la DCNS.
Époque contemporaine
- XIXe siècle
L'industrialisation de la région nantaise a lieu notamment à Indre, où la métallurgie se développe au XIXe siècle.
Une usine à laminer le fer est fondée en 1821 à Basse-Indre par des Gallois, qui utilisent pour cela un ancien chantier naval appartenant à la famille Crucy. L'armateur nantais Thomas Dobrée (père) en devient l'agent général. L'usine comporte des fours à puddler pour affiner la fonte et des laminoirs pour produire notamment des feuillards. C'est une des premières forges à l'anglaise établies en France sous la Restauration : les Forges de Basse-Indre. Le 8 mars 1846, l'usine devient une société en commandite sous la raison sociale A. Langlois et Cie avec un capital de 2 500 000 francs, divisé en 5 000 actions de 500 francs chacune. À la fin du siècle, l'entreprise s'associe avec un de ses gros clients, Jules Joseph Carnaud, un ferblantier parisien installé à Nantes ; l'entreprise issue de cette association prend le nom de JJ Carnaud et Forges de Basse-Indre (ou : Carnaud-Basse-Indre) et va être un leader français du fer blanc et de la boîte de conserve. Par la suite, dans le cadre des vicissitudes de la sidérurgie française, elle a fait partie de la Sollac, d'Usinor, et actuellement, d'Arcelor-Mittal, sous la forme de la filiale Carnaud Metalbox. L'usine de Basse-Indre relève cependant d'une autre filiale : Arcelor Packaging International.
D'autre part, en 1821, l'établissement royal d'Indret embauche deux mille personnes et se met à fabriquer des machines à vapeur pour la marine[17],[18].
- XXe siècle
Une troisième grande usine s'ajoute aux deux précédentes dans les années 1920 : l'usine de fertilisants installée par la Compagnie bordelaise[19].
Notes et références
- IGN - Données géographiques sur ma commune
- Faciès géologique. Consulté le 14 avril 2010. [PDF]
- Urbanisme, vol. 8, université du Michigan, 1939
- Jean Ogée, rédacteur : A. Marteville, Pierre Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, dédié à la nation bretonne, vol. 1, université de Columbia, Molliex, 1845
- Société académique de Nantes et du département de la Loire-Inférieure, Annales, vol. 14, université du Michigan, 1843
- France. Comité des travaux historiques et scientifiques, Comptes rendus, université de Californie, Imprimerie nationale, 197
- Société géologique et minéralogique de Bretagne, Bulletin, vol. 2, université du Michigan, Institut de géologique et minéralogique de Bretagne, 1921
- France Services de la carte géologique de la France et des topographies souterraines, Bulletin des Services de la carte géologique de la France et des topographies souterraines, vol. 20, t. 125-126, Libr. polytechnique, Baudry et C(ie), 1910, 1910, p. 409
- Site officiel de météofrance. Consulté le 14 avril 2010.]
- Données sur le climat d'Indre, site de l'Internaute
- Site officiel de Météo France.. Consulté le 14 avril 2010.
- « Des îles d'Indre à Indre : petite histoire » sur indre44.fr
- Joëlle Deniot et Catherine Dutheil, Metamorphoses Ouvrieres, p. 51
- France. Ministère de la Marine et des Colonies, France. Ministère de la Marine, Revue maritime et coloniale, vol. 23, université du Michigan, Le Ministère, 1868 [lire en ligne (page consultée le 29 juin 2009)]
- Jean Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Molliex, 1843 [détail de l’édition]
- ou : Paschaire, Pasquien, Paschase, Paschasius, Poscarius...
- Paris 1851 G. Touchard-Lafosse, La Loire historique, pittoresque et biographique de la source de ce fleuve à son embouchure dans l'océan., Librairie Adolphe Delahays,
- Pierre-Joseph Proudhon, Manuel du spéculateur à la Bourse, Garnier frères, Paris 1857 (lire sur Wikisource)
- [1] Cf. Corinne Lodé, La Bordelaise... et extrait disponible en ligne :
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes de Loire-Atlantique.Blasonnement Version bretonne du blason : de gueules à une galère d'argent voguant sur une mer du même ; au chef d'argent chargé du mot « Endrez » de sable.
Culture et patrimoine
Patrimoine architectural
Bâtiment de l'horloge
Ce bâtiment dit « de l’horloge », est un témoin du riche passé industriel d’Indret. Il aurait été l’orangerie du château. John Wilkinson, en 1777, transforme ce pavillon en atelier de menuiserie nécessaire à la fonderie de canons pour la confection de moules en bois. La superbe toiture est supportée par une charpente en forme de carène inversée de navire qui symbolise le chantier naval, volonté de symbiose entre patrimoine industriel et architectural. Ce bâtiment servit d’infirmerie vers le milieu du XIXe siècle, de prison et enfin de local pour les gardiens, l’entrée de l’établissement étant à proximité.
Église Saint-Hermeland
L’église Saint-Hermeland (1870-1889), œuvre de l'architecte Ménard. Cette église est édifiée sur l’emplacement d’un ancien cimetière et d’une ancienne église. La tour et la flèche datent de 1889.
Ermitage Saint-Hermeland
L'ermitage de Saint-Hermeland (VIIe siècle) a un plan formé de deux cercles qui se recoupent et qui affecte la forme d’un 8. Les deux tours accolées communiquent entre elles à l'intérieur et ont cependant une entrée extérieure distincte. Un escalier serpentant autour du monument conduit à une plate-forme. Quelle est l'origine de cet oratoire ?
Au VIe siècle, saint Friard, de Besné de Pontchâteau, peut être considéré comme le premier solitaire connu dans le diocèse nantais. Il se réfugie dans une île de la Loire appelée Vindruret, nom qui se rapproche assez bien d'Indret. C'est là que Saint Félix de Nantes reçoit son dernier soupir.
Vers le milieu de ce siècle, un diacre de saint Félix, le nantais saint Martin fonde l'abbaye de Vertou. Cet ermitage aurait été édifié par saint Martin de Vertou entre 527 et 629.
Pendant la Révolution, l'oratoire sert de plate-forme pour les canons des Républicains. Après avoir reçu les visites de Napoléon Ier, des duchesses d’Angoulême et de Berry, entre autres, il devient en 1828 simple loge de gardien. En 1845, il est rendu au culte et restauré en 1863.
Château Mercœur
Situé au centre de l'île d'Indret, c'était à l'origine un château fort flanqué de quatre tours. Construit au XIe siècle, il a subi des remaniements à partir du XVe siècle.
En 1828, les fossés ont été comblés et le pont-levis supprimé.
Chapelle Forerie
La chapelle Forerie (XVIIIe siècle). Ce bâtiment était une partie de la Fonderie d'Indret, créée en 1777 pour la Marine par le maître de forges anglais William Wilkinson. Elle fut transformée en chapelle, puis en église le 19 janvier 1844, elle ferma ces portes en 1976.
La forerie était actionnée par deux grandes roues hydrauliques de 20 pieds (6,5 m) de diamètre [1].
Patrimoine environnemental
Politique et administration
Indre est historiquement une commune ancrée à gauche, c'est tout naturellement qu'elle est la commune en Loire-Atlantique ayant eue le plus de voix pour le PS au 1er tour et second tour des élections présidentielle de 2007[2].
Article détaillé : Élection à Indre.Les maires d'Indre
Liste des maires successifs[3],[4] Période Identité Parti Qualité 22 février 1790 Etienne Boquien Mathurin Buet ?- 1812 - ? Pierre Saulny 1871[5] Victor Boquien 8 octobre 1876 - 21 janvier 1878 Victor Boquien Chevalier de la Légion d'honneur 21 janvier 1878 - 23 janvier 1881 Victor Boquien Chevalier de la Légion d'honneur 23 janvier 1881 - 14 mai 1884 Victor Boquien Chevalier de la Légion d'honneur 14 mai 1884 - 20 mai 1888 Victor Boquien Chevalier de la Légion d'honneur 20 mai 1888 - 15 mai 1892 Victor Boquien Chevalier de la Légion d'honneur 15 mai 1892 - 11 mai 1896 Victor Boquien Chevalier de la Légion d'honneur 11 mai 1896 - 20 mai 1900 Victor Boquien Chevalier de la Légion d'honneur 20 mai 1900 - 15 mai 1904 Victor Boquien Chevalier de la Légion d'honneur 15 mai 1904 - 24 mars 1907 Victor Boquien Chevalier de la Légion d'honneur 24 mars 1907 - 17 mai 1908 Jules Dupuy 17 mai 1908 - 19 mai 1912 Joseph Déjoie 19 mai 1912 - Joseph Déjoie 23 juin 1921- Henri Michel Période inconnue Félix Guyot SFIO mars 2001 - juin 2006 Alcide Maquaire (Haut-Indre) PS juin 2006 - mars 2008 Jean-Luc Le Drenn (Haut-Indre) Divers gauche Technicien Réseau Informatique mars 2008 - Jean-Luc Le Drenn (Haut-Indre) Divers gauche Technicien Réseau Informatique Les données antérieures ne sont pas encore connues. Démographie
Évolution démographique
La commune fait partie d'une agglomération de 24 communes entourant Nantes et où vivaient en 2007 580 502 habitants, et dans laquelle un habitant sur 154 était indrais cette année-là.
La commune depuis deux siècles subit de légères variations du nombre d'habitants, cela étant dû à la taille de la commune et à la présence de trois grandes industries qui occupent une grande part du territoire mais également à la création d'un arrêté municipal limitant la hauteur des habitations à 13 m.
En 2008, Indre comptait 3 818 habitants (soit une augmentation de 5 % par rapport à 1999). La commune occupait le 2 637e rang au niveau national, alors qu'elle était au 2 557e en 1999, et le 70e au niveau départemental sur 221 communes.
L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Indre depuis cette date. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Indre, cela correspond à 2006, 2011, etc. Les autres dates de « recensements » (2008, etc.) sont des estimations[6],[7],[N 1].
Le maximum de la population a été atteint en 1962 avec 4 625 habitants.
Histogramme Évolution de la part des hommes et femmes dans la population
Les tableaux suivants synthétisent l'évolution de la part des hommes et des femmes dans la population en nombre d'individus et pourcentage par rapport à la population totale et l'évolution du nombre d'individus et variation du pourcentage entre 2 années[12],[10]. La proportion de femmes est légèrement plus importante, cela s'explique par le travail pénible des hommes aux anciennes forges ce qui fait augmenter le nombre de veuves[réf. incomplète][12].
rouge=femmes bleu=hommes
Évolution démographique Hommes/Femmes Années Hommes Femmes individu évolution individu évolution Nbre % Nbre % Nbre % Nbre % 1982 1728 49,17 % 1786 50,83 % 1990 1630 49,98 % -98 +0,81% 1631 50,02 % -155 -0,81% 1999 1745 47,90 % +115 -2,08% 1896 52,10 % +265 +2,08 % 2007 1848 49,14 % +103 +1,24 % 1913 50,86 % +17 -1,24 % Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18,3 %) est en effet inférieur au taux national (22,1 %) et au taux départemental (20,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,9 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 49,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,5 %, 15 à 29 ans = 18,5 %, 30 à 44 ans = 24,8 %, 45 à 59 ans = 20,6 %, plus de 60 ans = 14,5 %) ;
- 50,9 % de femmes (0 à 14 ans = 18,4 %, 15 à 29 ans = 16,1 %, 30 à 44 ans = 24,1 %, 45 à 59 ans = 19,4 %, plus de 60 ans = 22 %).
Mouvement naturel de la population
Le tableau suivant présente l'évolution du nombre de naissance et de décès entre 1975 et 1999[14].
Naissances et décès Période Nombre de
naissancesNombre
de décèsSolde
naturelVariation absolue
de la populationTaux Taux annuel Natalité Mortalité Solde
naturelSolde
migratoireSolde
total1975-1982 339 278 61 -196 13,30 ‰ 10,90 ‰ + 0,24 % -1,01 % -0,77 % 1982-1990 335 275 61 -251 12,30 ‰ 10,06 ‰ +0,22 % -1,15 % -0,92 % 1990-1999 383 269 114 381 12,40 ‰ 8,71 ‰ +0,37 % +0,86 % + 1,23 % Économie
Commerce et artisanat
Indre possède plusieurs boulangeries et coiffeurs ainsi que des cafés et un fleuriste. Il y a aussi de nombreux artisans (plombier-chauffagiste…). Des professions libérales se sont installées à Indre (médecin, architecte, infographiste en freelance). Indre possède aussi depuis 2008 un hard-discount Leader Price ,ayant pris la place de Netto et de Ecomarché qui se trouvait auparavant au même endroit
Marchés
Le marché dominical de Basse-Indre accueille 4 500 à 6 000 visiteurs[15] et 250 commerçants chaque semaine. La diversité de produits proposés, le nombre de commerçant en fait un des marchés les plus réputés de l'agglomération.
Pôles industriels
Trois grands établissements industriels ont marqué l'histoire économique d'Indre.
Deux d'entre eux fonctionnent encore actuellement (2010) :
- DCNS Propulsion (Indret), à l'origine Fonderie royale d'Indret (cf. partie Histoire) ;
- Arcelor Packaging International (Basse-Indre) : fabrique d'emballage en acier, anciennement Forges de Basse-Indre (idem). Son projet d'augmenter sa production d'anodes d'étain est un débat parmi les élu-e-s qui ont voté dans un sens favorable, à la différence de commune avoisinante (Bouguenais s'y oppose)[16].
En revanche, AZF Soferti, fabrique de fertilisant (Basse-Indre), a cessé sa production le vendredi 30 juin 2007.
Éducation
La commune relève de l'académie de Nantes.
Quatre groupes scolaires comprenant chacun une école maternelle et une école primaire dispensent l'enseignement à Indre :
- école privée Sainte-Anne (Basse-Indre) ;
- école publique Jules-Ferry (Basse-Indre) ;
- école publique Pierre-Mara (Haute-Indre) ;
- école publique Georges-Brassens (Indret).
Il n'y a plus d'établissement d'enseignement secondaire sur la commune. Il a existé un collège qui a été transféré et agrandi à Saint-Herblain. L'ancien collège est maintenant une école de musique.
Vie associative et sportive
Le sentiment identitaire des habitants de chaque îles est renforcé par la présence d'amicales laïques à Basse-Indre et Haut-Indre, ainsi qu'une association sportive et culturelle à Indret. La commune possède de nombreuses associations sportives et culturelles, plus de 40 associations (une association pour 92 habitants).
- AL Basse-Indre : club de basket-ball avec notamment une équipe de seniors A évoluant en Nationale 2 (Masculine), équivalant de la 4e division nationale.
- US Basse-Indre : club de football de la commune possédant 9 équipes 150 licenciés :
1 équipe débutant, 2 équipes poussins, 1 équipe benjamin, 1 équipe 13 ans, 1 équipe 15 ans, seniors A et Seniors B.
Rennes - Basse-Indre
Une course cycliste eu lieu entre les deux villes entre 1955 et 1963.
Traditions
Gastronomie
La spécialité gastronomique de la commune est la civelle, alevin de l'anguille, qui aujourd'hui ne se pêche plus sur la commune. Jadis Basse-Indre était le premier port civellier de France. Tous les ans, à la fin mars depuis 1965 l'on fête ce passé historique en organisant la fête des civelles, qui propose des dégustations de civelles nature ou à la sauce Basse-Indraise (recette tenue secrète).
Fêtes
- Fêtes des civelles à Basse-Indre.
- Fêtes des Anguilles à Haute-Indre.
- Fêtes des sardines à Haute-Indre.
Personnalités liées à la commune
- Jules Joseph Carnaud, industriel parisien et nantais du fer blanc, créateur en association avec les Forges de Basse-Indre de l'entreprise JJ Carnaud et Forges de Basse-Indre (1902).
- Léonce-Henri Burel, directeur français de la photographie et de l'image, est né le 23 novembre 1892, à Indret, décédé le 21 mars 1977, à Mougins (Alpes-Maritimes).
- Jean Cremet, ouvrier chaudronnier à l'arsenal d'Indret et militant anarcho-syndicaliste.
Indre dans la littérature
- Dans Mémoires d'un touriste, Stendhal fait référence à l'arsenal d'Indret.
« L'arsenal d’Indret, où la marine fait de grandes constructions, donne l'idée de l'utile, mais n'a rien de beau. On aperçoit en passant de grands magasins oblongs, assez bas et couverts d'ardoises, et force bateaux à vapeur dans leurs chantiers; on voit s'élever en tourbillonnant d'énormes masses de fumée noire. Il y a là un homme d'un vrai mérite, M. Gingembre; mais, comme M. Amoros à Paris, il doit dévorer bien des contrariétés. ».
- Honoré de Balzac, dans son livre Béatrix fait références à Basse-Indre et au forge d'Indret.
« On ne tient pas contre de telles réponses, surtout quand elles sont accompagnées d'un séjour de trois heures dans une chétive auberge de la Basse-Indre, où nous avons déjeuné de poisson frais dans une petite chambre comme en peignent les peintres de genre, et par les fenêtres de laquelle on entendait mugir les forges d’Indret à travers la belle nappe de la Loire. En voyant comment tournaient les expériences de l'Expérience, je me suis écriée : - Ah ! chère Félicité !… Calyste, incapable de soupçonner les conseils de la religieuse et la duplicité de ma conduite, a fait un divin calembour ; il m'a coupé la parole en me répondant : - Gardons-en le souvenir ? nous enverrons un artiste pour copier ce paysage. Non, j'ai ri, chère maman, à déconcerter Calyste et je l'ai vu bien près de se fâcher. - Mais, lui dis-je, il y a de ce paysage, de cette scène, un tableau dans mon cœur qui ne s'effacera jamais, et d'une couleur inimitable. »
- Alphonse Daudet, dans son livre Jack, une partie de l'histoire se déroule à Indret. L'un des personnages est nommé "La Bassindre". Un film a été tourné par la télévision sur le site originel de l'histoire autour de l'entrée marquée du fronton « Indret marine impériale », du bâtiment de l'horloge, et du « chapeau de tôle », la buvette (reconstituée) qui accueillait les ouvriers à la sortie du travail.
Voir aussi
Bibliographie
- Joëlle Deniot et Catherine Dutheil, Metamorphoses ouvrières, Édition L'Harmattan, coll.« Logique sociale », Nantes, 1982. (ISBN 2738438644)
- Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, Flohic Editions, Charenton, 1999. "Indre" : tome 2, pages 1085-1090.
- Industrie
- Marie-Madeleine Le Naire, « La métallurgie lourde dans l’estuaire de la Loire » in Norois, 1955, disponible en ligne : [2].
Cet article évoque les usines de Basse-Indre et de Couëron au début des années 1950. - Bruno Cailleton, Les Chantiers navals de l’amirauté de Nantes : Nantes, Basse-Indre, Indret, Paimboeuf, 1738-1790, Hérault, Cholet, 1999
- Etablissement des constructions et armes navales d’Indret, ECAN, ca 1970
- Claude Desnoës, Basse-Indre : du fer puddlé aux aciers pour emballage, Ponctuation, Indre, 1999
- Corinne Lodé, La Bordelaise en bords de Loire, Ponctuation, Indre, 2001.
La Bordelaise : nom de la société qui établit l'usine d'engrais d'Indre. - Dominique Arnaud, Fonderie : une industrie du XXIe siècle, Paris, 2002
- Pôle historique d’Indret, Indret : des canons du Roi à la propulsion nucléaire, DCNS, Paris, 2008
- Autres
- Ange Guépin, Voyage de Nantes à Indret, Siloë, Nantes, 1999 (réédition d'un texte du XIXe siècle)
- Gaston Boucault, Basse-Indre au début du XXe siècle, Nantes, 1984
- Corinne Lodé, Etude d’une communauté rurale au XVIIIe siècle : Indre, Nantes, 1992
- Les Familles d’Indre à la fin du XVIIIe siècle : contribution à l’étude des patronymes, Maison des ancêtres, Nantes, 1999
- Jean-Claude Rousseaux, Entr’Indr’émois, Ponctuation, Indre, 2001
La plupart de ces ouvrages sont disponibles à la médiathèque de Nantes.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
* pour 2004 et 2005 la population réelle publiée dans la base Cassini (attribuée par convention à l'année 2006 par l'EHESS) si elle existe ;
* la population 2006, première population légale connue post-1999 publiée par l’Insee ;
* les populations suivantes correspondant aux années réelles de recensement publiées par l’Insee ;
* la dernière population légale publiée par l’Insee.
Afin de permettre une comparaison entre communes, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999, de présenter :
Références
- http://boiseau.free.fr/page55.html Société d'Histoire de Saint Jean de Boiseau, « Une forerie pour une fonderie ». Pour plus de détails, voir :
- élection présidentielle de 2007
- francegenweb.org, listes des maires
- Délibérations municipales sur Loire Atlantique
- René Kerviler et Louis Marie Chauffier, Répertoire général de bio-bibliographie bretonne, J. Plihon, juin 2009 (réimpr. 1890)
- Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V des « opérations de recensement »
- Calendrier de recensement sur insee.fr. Consulté le 10 juillet 2011
- Indre 1836 sur Archinoë portail d'indexation collaborative. Consulté le 10 juillet 2011
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur Base Cassini de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 10 juillet 2011
- Évolution et structure de la population sur Résultats du recensement de la population - 2008. Consulté le 10 juillet 2011
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur insee.fr. Consulté le 10 juillet 2011
- Recensement de mars 1999
- Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique en 2008 sur insee.fr. Consulté le 10 juillet 2011
- Insee - Evolutions démo 1982-1999
- La foule débarque dimanche ! sur PressOcéan.fr. Consulté le 14 avril 2010.
- Étienne Mvé dans Presse-Océan du 3 octobre 2008 : « Indre : l'étain d'Arcelor-Mital plombe l'atmosphère »
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