Le Pellerin

Le Pellerin
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47° 12′ N 1° 45′ W / 47.2, -1.75

Le Pellerin
Image illustrative de l'article Le Pellerin
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Arrondissement de Nantes
Canton Canton du Pellerin
Code commune 44120
Code postal 44640
Maire
Mandat en cours
Valérie Demangeau (PS)
2008 - 2014
Intercommunalité Nantes Métropole
Site web http://www.ville-lepellerin.fr/
Démographie
Population 4 268 hab. (2008)
Densité 139 hab./km²
Gentilé Pellerinais
Géographie
Coordonnées 47° 12′ Nord
       1° 45′ Ouest
/ 47.2, -1.75
Altitudes mini. 0 m — maxi. 27 m
Superficie 30,65 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Le Pellerin est une commune française, située dans le département de la Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire.

Le Pellerin comptait 4 268 habitants au recensement de 2008. Ses habitants s'appellent les Pellerinais.

Sommaire

Géographie

Situation de la commune du Pellerin dans le département de Loire-Atlantique

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Couëron, Saint-Jean-de-Boiseau, Brains, Cheix-en-Retz, Rouans, Vue, Frossay et Saint-Etienne-de-Montluc.

Les communes situées au nord du fleuve sont aussi limitrophes. Ce n'est qu'à partir de Paimbœuf que l'estuaire entre dans le domaine public maritime[1].

Situation

Le Pellerin est situé sur la rive sud de la Loire, à environ 20 km du centre de Nantes. Le territoire communal, d'une superficie de 30 km² (3000 ha), s'étire d'Est en Ouest le long du fleuve sur une longueur d'une quinzaine de kilomètres.

Selon le classement établi par l’INSEE, Le Pellerin est une commune urbaine, une des 19 communes de banlieue de l’unité urbaine de Nantes[N 1] ; elle fait donc partie de l’aire urbaine de Nantes et de l’espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique). Le pellerin fait historiquement partie du Pays de Retz, du royaume puis du duché de Bretagne.

Géographie physique

Le territoire du Pellerin se subdivise nettement en deux zones :

  • La moitié Ouest, plate et peu élevée (entre 1 et 6 mètres au-dessus du niveau de la mer), est constituée de sols alluviaux, résultats de l'accumulation de sédiments déposés par la Loire entre ses îles (île de Bois, île Sardine, île des Masses...).La végétation est composée principalement de joncs, de roseaux, de vastes pâtures, ponctuées par de rares bosquets ou des alignements de peupliers le long des digues. Le réseau d'anciens bras de Loire qui le quadrillent facilite les crues qui peuvent inonder une grande partie des prairies. Les Réserves de Chasse et de Faune Sauvage du Massereau et du Migron sont en partie situées sur la commune du Pellerin. Les limites cadastrales du Pellerin correspondent à l'ancien lit de la Loire, ainsi certains territoires tels la cale du Paradis, pourtant sur la rive Nord, appartiennent à cette commune. La Loire, maintes foins remaniée - c'est-à-dire draguée et enrochée- a adopté un lit mineur différent. L'inondation cyclique des îles tend à se raréfier et s'explique par l'approfondissement du chenal de la Loire.
  • La moitié Est a un sol cristallin, constitué de schistes et de gneiss. Elle correspond à l'extrémité Ouest du sillon de Bouguenais et culmine à 25 mètres, vers les hameaux de La Villeneuve et du Margat. Le bourg du Pellerin est sis sur un promontoire borné par deux petites vallées : celle du Surchaud à l'Est et celle du Port-Chassé à l'Ouest. Plusieurs coteaux de Loire ont été exploités comme carrières de granit, de gneiss (Les Coteaux) et, plus à l'intérieur, de kaolin (La Ville au Vay). La partie supérieure du plateau ligérien (partie Sud-Est de la commune) présente des terres propices au vignoble, mais celui-ci est resté de piètre qualité. Quelques arpents fournissent un gros-plant honnête.

Géographie humaine

La polyculture, comme dans la plupart des communes du Pays de retz, est longtemps restée le mode agricole dominant. Les cultures de céréales sont associées à l'élevage, en particulier bovin et équin (il subsiste dans le bourg la Canalière des Iles, réputée pour ses chevaux). La production laitière fut importante, ce qu'atteste la présence d'une ancienne laiterie à La Ville-au-vay.Quelques arpents de vigne dans le Sud-Est contribuent à maintenir une diversité des productions.

Outre des activités traditionnelles d'agriculture, elle a autrefois développé une petite mais lucrative activité de pêche à la civelle, aujourd'hui strictement règlementée. Celle-ci a connu son apogée au début des années 1980, époque où plus d'une centaine de bateaux -dont certains de la Baie de Quiberon- venaient s'amarrer sur les quais (mois de février et mars) et attiraient des maréyeurs espagnols ou japonais.

L'activité économique est regroupée d'une part sur les quais de Loire, avec un atelier du port autonome de Nantes-Saint-Nazaire, (dénommé aujourd'hui Grand port maritime de Nantes-Saint-Nazaire), et d'autre part sur la Zone d'Activité de la Brehannerie. Aujourd'hui, la majorité des actifs pellerinais travaille à l'extérieur de la commune, en particulier à Nantes. Le pellerin est relié à cette dernière par une ligne de bus, peut-être bientôt complétée par une navette fluviale, rappelant les "abeilles" d'autrefois.

Toponymie

Le nom du Pellerin viendrait du latin peregrinum (voyageur ou pèlerin) du fait que le village faisait partie des points de passage traditionnels des pèlerins qui descendaient à Saint-Jacques-de-Compostelle au Moyen Age[2] : c'était en effet l'un des points de passage de la Loire.

Histoire

Il subsiste aujourd'hui un bac qui assure le transport de véhicules et de passagers vers la commune située de l'autre côté du fleuve : Couëron. Le souvenir de la période où la ville voyait passer des pèlerins est encore visible dans les coquilles qui ornent le blason de la ville, ces coquilles symbolisant les pèlerins de Compostelle.

  • Au Xe siècle, le site - quelques huttes de pêcheurs - aurait été englobé dans l'enclave Viking de Basse-Loire. Au XIe siècle est attestée l'existence d'un prieuré au Pellerin[2]; le site primitif, qui correspondrait à peu près au quai l'herminier, ne comportait alors que quelques foyers de pêcheurs sédentaires. Quiriac, évêque de Nantes, donne ensuite l'église du Pellerin aux moines de l'Abbaye de Marmoutier située en Touraine; c'est l'époque des défrichements et de la mise en valeur de l'« arrière-pays », les fermes se multiplient. Durant tout le Moyen Âge et l'époque moderne, Le Pellerin est un port de pêche qui développe en parallèle une activité de construction navale. Pendant la période révolutionnaire -où elle s'appelle « Port-Brutus »-, la commune est le lieu de violents affrontements entre troupes républicaines et royalistes. L'ancienne église est partiellement détruite lors de ces combats.
  • On compte dans la seconde moitié du XIXe siècle près d'une de dizaine de chantiers produisant chalands et gabarres. À la fin du XIXe siècle, la construction du canal de la Martinière entraîne l'afflux de plusieurs centaines d'ouvriers, qui contribuent à modifier la composition sociale du Pellerin. Au début du XXe siècle, le passage du fleuve est assuré par un « ferry-boat » (Le « Saint-Julien »), qui use des chaînes posées en travers du fleuve pour se déplacer. La réparation des bateaux est en plein essor au Pellerin et le nombre d'ouvriers (pour la plupart des Finistériens, des Morbihannais et des Vendéens) augmente fortement. Pendant la Première guerre mondiale, le château est transformé en hôpital militaire.
  • Entre les deux guerres, c'est un lieu de détente prisé des Nantais qui viennent flâner le long des quais et du canal. Des régates sont organisées le week end, tandis qu'une charrière, combinaison d'une barge tractée et d'un vapeur, assure les allers et retours avec Couëron. Lors de la retraite de l'armée allemande en 1944, les forces d'occupation coulèrent plusieurs navires en travers de la Loire, afin d'obstruer le trafic maritime vers le port de Nantes. Le plus important d'entre eux, l'Antarktis, d'origine norvégienne, n'a pas pu être renfloué et dresse encore ses mâts au-dessus des nouvelles berges du fleuve, sur la commune voisine de Saint-Jean-de-Boiseau. Les travaux, qui durèrent jusqu'en 1951, eurent pour but de sauver les bateaux qui n'avaient pas trop souffert et surtout de modifier le tracé du fleuve, afin de faciliter le trafic entre Nantes et Saint-Nazaire. Le chantier fut surnommé « Bikini », faisant référence à l'atoll du Pacifique qui avait servi de terrain d'expérimentation nucléaire pour les États-Unis. En 1955, Le Pellerin reçoit son premier bac amphidrome, le Saint-Bernard; il sera suivi du François II (1962) et du Saint-Hermeland (1970).
  • De 1976 à 1979, Le Pellerin est le théâtre de nombreuses manifestations, parfois violentes, contre la construction par EDF d'une centrale nucléaire à l'est du bourg (à cheval sur les communes du Pellerin et de Cheix-en-Retz). Le projet sera finalement abandonné en 1983, pour tenter de renaître sur le site du Carnet près de Paimbœuf; là encore, l'implantation n'ira pas à son terme et le projet est officiellement abandonné en 1997.

Héraldique

Blason Blasonnement
D'azur à la nef équipée et habillée d'or, voguant sur des ondes d'argent mouvant de la pointe, au chef cousu de sinople chargé de trois coquilles aussi d'or, celle du milieu versée.
Commentaires : Blason conçu par M. Ferrand (délibération municipale du 24 mars 1946).

Administration

Le Pellerin appartient à l'arrondissement de Nantes. C'est le chef-lieu d'un canton qui comprend Cheix-en-Retz (699 habitants), La Montagne (6021 habitants), Port-Saint-Père (2533 habitants), Rouans (2498 habitants), Saint-Jean-de-Boiseau (4698 habitants), Sainte-Pazanne (4758 habitants) et Vue (1277 habitants), soit plus de 26 000 habitants selon le rencensement de 2006.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1989 1995 René Guilloux PS  
1995 mars 2008 Daniel Morisson PS  
mars 2008   Valérie Demangeau PS  
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique

En 2008, Le Pellerin comptait 4 268 habitants (soit une augmentation de 13 % par rapport à 1999). La commune occupait le 2 346e rang au niveau national, alors qu'elle était au 2 475e en 1999, et le 59e au niveau départemental sur 221 communes.

L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Le Pellerin depuis cette date. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Le Pellerin, cela correspond à 2005, 2010, etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2008, etc.) sont des estimations[3],[4],[N 2].

Le maximum de la population a été atteint en 2008 avec 4 268 habitants.

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 2 100 1 456 1 495 1 654 1 729 1 650 1 750 1 796 1 783
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 1 726 1 851 1 833 1 779 1 794 1 775 2 392 2 241 2 270
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 2 283 2 264 2 313 2 311 2 241 2 252 2 256 2 472 2 507
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2008
Population 2 667 2 685 2 902 3 478 3 712 3 777 4 109 4 181 4 268
Notes, sources, ... Sources : pour le recensement de 1836, archives départementales de la Loire-Atlantique[5], base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusque 1962 et pour le recensement 2005[6], et à partir de 1968 : Insee (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[7],[8].
Histogramme

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,8 %) est en effet inférieur au taux national (22,1 %) et au taux départemental (20,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

  • 48 % d’hommes (0 à 14 ans = 23,4 %, 15 à 29 ans = 16,9 %, 30 à 44 ans = 22 %, 45 à 59 ans = 20,8 %, plus de 60 ans = 16,8 %) ;
  • 52 % de femmes (0 à 14 ans = 20,2 %, 15 à 29 ans = 16,1 %, 30 à 44 ans = 21,7 %, 45 à 59 ans = 19,6 %, plus de 60 ans = 22,5 %).
Pyramide des âges à Le Pellerin en 2008 en pourcentage[7]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90 ans ou +
1,7 
4,8 
75 à 89 ans
8,8 
11,7 
60 à 74 ans
12,0 
20,8 
45 à 59 ans
19,6 
22,0 
30 à 44 ans
21,7 
16,9 
15 à 29 ans
16,1 
23,4 
0 à 14 ans
20,2 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2008 en pourcentage[9]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90 ans ou +
1,0 
5,5 
75 à 89 ans
9,0 
11,7 
60 à 74 ans
13,0 
20,2 
45 à 59 ans
19,9 
21,4 
30 à 44 ans
20,3 
20,3 
15 à 29 ans
18,7 
20,5 
0 à 14 ans
18,3 

Lieux et monuments

  • Le Canal de la Martinière ou Canal de Basse Loire. Conçu à l'origine pour faciliter le trafic maritime vers Nantes, il n'a fonctionné en réalité qu'une vingtaine d'années, de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, puis fut transformé en cimetière à bateaux, et enfin en base militaire de l'OTAN.Le petit contingent _une centaine d'hommes_ quittera la base de La Martinière en 1966-67, suite à la décision du Général De Gaulle de retirer la France du commandement intégré de cette organisation militaire. C'est un espace naturel qui s'étend sur près de vingt kilomètres. Il va jusqu'à la commune de Frossay et débouche non loin du port de Paimboeuf. La salle des machines de la Martinière, bien conservée, peut se visiter. À proximité on peut encore observer deux péniches en béton datant du début du XXe siècle; elles servaient au transport de matériel ou de liquides.

Les quais, nommés successivement d'Ouest en Est « Coteaux », « l'Herminier » et « Provost », étalent leurs maisons sur près d'un kilomètre. Certaines d'entre elles datent du XVIIIe siècle ; quelques villas du XIXe siècle subsistent, telles « Villa Maria » ou « La roche aux follets », conservant parfois un style Art nouveau. À l'est, deux bâtisses abritaient autrefois « l'Encre d'or » et le « Lion d'or », restaurants-brasseries qui accueillaient les Nantais venus se promener le dimanche, activité touristique qui atteint son essor dans les années 1930-1950. Devant, sur la Loire, un môle à double cale en pierre de taille a été construit à la veille de la Première Guerre mondiale. Il a longtemps servi aux bateliers et aux pêcheurs de Loire.

  • Le quai des Coteaux abrite l'activité maritime, avec l'atelier du port autonome de Nantes-Saint-Nazaire. Les premiers ateliers (1883) étaient construits en bois; leur activité première fut d'abriter le matériel du canal. Ils furent ensuite agrandis et bâtis en brique au début du XXe siècle; à partir de cette époque, les "Coteaux" sont affectés à la maintenace des navires.
  • Le quai (ou "place") l'Herminier sert parfois de lieu de marché, de champ de foire ou plus simplement de lieu d'attente pour le bac. Il est surplombé par le château du Pellerin, ouvrage aux soubassements plus anciens que la plupart de ses murs, remaniés plusieurs fois depuis le XVIIIe siècle.
  • Le quai Provost a perdu une grande partie de sa façade ligérienne, avec la modification du cours de la Loire, au sortir de la Deuxième Guerre mondiale. Il reste néanmoins le site privilégié des pêcheurs de civelle, qui s'amarrent le long d'un ponton de barges.

Derrière ces quais, la grand'rue (Rue Aristide bertreux), la place de la mairie, les rues du Vieux château, des Vieux chantiers, d'Alger et des Dames sont encore majoritairement constituées de maisons typiques des bourgs de pêcheurs du XIXe siècle. Disposées les unes contre les autres, leur façade est austère, ne comportant qu'un nombre réduit d'ouvertures, le bâtiment n'excède pas deux étages, les jardins sont réduits. Les couvertures sont traditionnellement d'ardoise, mais la tuile a tendance à l'emporter depuis les années 1960. Quelques ruelles ou "venelles" étroites et pentues conduisent aux quais. Plus haut, le long de l'ancienne départementale Nantes-Paimboeuf, aujourd'hui nommée rues du Prieuré et du Clos-grillé, se dressent quelques bâtisses des années 1910-1930. Les maisons comportent plusieurs étages et possèdent une façade ornée la plupart du temps de matériaux variés (Gneiss, granit, et très souvent parement de brique autour des entrées et fenêtres).

  • L'église Notre-Dame du Pellerin, construite au milieu du XIXe siècle, dans un style néo-gothique. Elle remplace l'ancienne église paroissiale, incendiée en 1793.

Personnalités liées à la commune

  • Joseph Fouché 1759-1820, duc d'Otrante et homme politique. Il est né dans une maison de la rue Aristide Bertreux.
  • Adine Riom (née Brobant), 1818-1899, femme de Lettres.
  • Georges Judic (1899-1965), fils de Francis Judic (maire dans les années 1930), ingénieur et entrepreneur (carrières de la Ville-au-Vay et des Coteaux), conseiller général du canton du Pellerin au début des années 1960. Il a laissé son nom à l'ancienne piscine du Quai Provost; l'étang qui occupe la carrière de kaolin est encore surnommé "étang à Judic".
  • Le docteur Gaston Villainne, maire du Pellerin à la fin des années 1970, l'un des opposants au projet de centrale nucléaire.

Notes et références

Notes

  1. L'unité urbaine est une notion géographique et ne correspond pas exactement à la Communauté d'agglomération, notion institutionnelle. Cf. Aire urbaine de Nantes pour sa composition
  2. Afin de permettre une comparaison entre communes, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999, de présenter :
    * pour 2004 et 2005 la population réelle publiée dans la base Cassini (attribuée par convention à l'année 2006 par l'EHESS) si elle existe ;
    * la population 2006, première population légale connue post-1999 publiée par l’Insee ;
    * les populations suivantes correspondant aux années réelles de recensement publiées par l’Insee ;
    * la dernière population légale publiée par l’Insee.

Références

  1. Cf carte IGN Loire-Atlantique. Carte routière et administrative. au 1/140 000°.
  2. a et b Histoire du Pellerin, consulté le 23-03-2010.
  3. Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V des « opérations de recensement »
  4. Calendrier de recensement sur insee.fr. Consulté le 22 juillet 2011
  5. Le Pellerin 1836 sur Archinoë portail d'indexation collaborative. Consulté le 22 juillet 2011
  6. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur Base Cassini de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 22 juillet 2011
  7. a et b Évolution et structure de la population sur Résultats du recensement de la population - 2008. Consulté le 22 juillet 2011
  8. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur insee.fr. Consulté le 22 juillet 2011
  9. Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique en 2008 sur insee.fr. Consulté le 22 juillet 2011

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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