- Remomont
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Orbey
Orbey
Pays France Région Alsace Département Haut-Rhin Arrondissement Ribeauvillé Canton Lapoutroie Code Insee 68249 Code postal 68370 Maire
Mandat en coursGuy Jacquey
2008-2013Intercommunalité C.C. de la Vallée de Kaysersberg Latitude
LongitudeAltitude 397 m (mini) – 1 301 m (maxi) Superficie 46,02 km² Population sans
doubles comptes3 548 hab.
(1999)Densité 77 hab./km² Orbey est une commune française, située dans le département du Haut-Rhin et la région Alsace.
Ses habitants sont appelés les Orbelais et les Orbelaises.
Géographie
La commune d'Orbey fait partie du canton de Lapoutroie et de l'arrondissement de Ribeauilé et occupe la haute vallée de la Weiss, incluant les lacs Blanc et Noir. Elle s'adosse au massif des Vosges, dominée par les sommets du Linge, du Gazon du Faing et de la Tête des Faux. Orbey fait partie de 'arrondissement de Ribeauvillé et du canton de Lapoutroie. Altitude: 550 mètres. Les habitants sont appelés les Orbelais.
Écarts et lieux-dits
les Allagouttes, le Bâa, les Basses Huttes, Bermont, Bethlehem, Blancrupt, Beauregard, le Bussat, la Camme, les Champs Simon, Chiaigayas, le Creux d'Argent, la Conatte, le Faudé, le Geishof, Grande Vallée, Holnet, les Hautes Huttes (Ober-Hütten), Laid, Noirmont, la Mossure,Pairis, le Rain des Chênes, Remonont, Tannach,
Cours d'eau
- la Weiss
Toponymie
- Sanctus Urbanus
- Orbeiz, 1050
- Orbetz, XIIe siècle
- Urbeisz, 1318
- Vault d'Orbeis, 1421
- Vaux de Urbeis, 1440
Histoire
Orbey apparaît pour la première fois en 1049 avec la donation faite par le pape Léon IX au couvent de Wolffenheim (Sainte-Croix-en-Plaine).Orbey est aussi mentionné en 1252 comme commune, une des premières d'Alsace. Elle avait le droit d'avoir un marché hebdomadaire. Le village fait partie des possessions de la seigneurie du Hohnack puis des comtes d'Eguisheim, ensuite des comtes de Ferrette puis aux Habsbourg qui le cèdent en fief aux sires de Ribeaupierre. Cette commune, autrefois chef-lieu de bailliage, renferme les ruines de la célèbre abbaye de Pairis (abbatia Parisiennsis) de l'ordre de Citeaux, fondée en 1138, par Ulric ou Udalric, petit fils de Gérard d'Alsace et dernier comte d'Eguisheim. Après avoir été pillée par les Anglais en 1356 et par les Armagnacs en 1444 elle fut attachée en 1453, comme prieuré, à l'abbaye wurtembergeoise de Maulbronn, et devint la proie des flammes vers la fin du XVe siècle. Gustave Horn en fit don, en 1632 à la famille de Marsilly, mais Louis XIII la rendit à l'ordre de Citeaux et à son savant dignitaire, l'abbé Buchinger. La Révolution la mit au nombre des biens nationaux. Les bâtiments, quoique relativement modernes et affectés à l'hospice d'Orbey, ont des caveaux et autres substructions fort anciennes. On y voit encore quelques débris de sculptures du XIIe et XIIIe siècle.
L'abbaye de Pairis
Article détaillé : Abbaye de Pairis.Administration
Liste des maires successifs Période Identité Parti Qualité mars 2001 2008 Jean Schuster mars 2008 Guy Jacquey DVD Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Évolution démographique
(Source : INSEE)1841 1858 1871 1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 5656 5259 5155 4778 4744 4683 4686 4545 4478 4512 4485 3232 3622 3976 3869 3160 3236 3369 3114 3382 3548 3707 Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes Lieux et monuments
Église Saint-Urbain [1]
Cette église est dédiée à Saint-Urbain, le patron des vignerons, patronage inspiré par les comtes d'Eguisheim. Aucun document ne nous renseigne sur l'emplacement du premier lieu de culte d'Orbeiz. Il s'agissait probablement d'une métairie placée sous l'administration de l'abbaye de Pairis. La première apparition d'un lieu de culte à Orbey est mentionné dans une bulle papale du 18 novembre 1049 adressée au couvent de Heiligkreuz (Sainte-Croix-en-Plaine). Un habitant d'Orbey était désigné pour collecter les dîmes revenant à l'église d'Orbeiz. Les revenus du domaine étaient partagés avec les comtes d'Eguisheim, l'autre partie allant à l'abbaye de Pairis pour les rémunérer de l'administration du village. La communauté paroissiale était alors rattachée à celle de Savamont connue aujourd'hui sous le nom de Sigolsheim. Orbeiz apparaît en tant que commune à partir de 1252 et comme paroisse autonome à partir de 1398. L'existence d'une tour, dont on a découvert les fondations lors de la construction de la deuxième église et que l'on a utilisée pour refaire le clocher ne révèle pas nécessairement l'édifice de la première église. Celle-ci devait être assez modeste, vu la position stratégique de cette tour. Elle était probablement destinée avant tout à surveiller la vallée de Tannach et celle de la Weiss. La forteresse du Gutemberg au Bonhomme avait à peu près le même objectif. L'église d'Orbey existait sans doute déjà avant l'arrivée des moines de l'abbaye de Pairis vers 1138. Lors de la disparition du monastère de Sainte Croix-en-Plaine en 1536, les droits de celle-ci furent octroyés à la ville de Colmar, qui les transmit rapidement à l'abbaye de Pairis. C'est à cette époque que l'église d'Orbey fut placée sous le patronage de saint Urbain, pape clunisien. La population d'Orbey devenant plus importante, la construction d'une lieu de culte plus important fut envisagée. C'est alors qu'une deuxième église fut édifiée. Les archives de l'abbaye de Pairis mentionnent qu'en 1736, elle finança la réfection du toit. À partir de 1760, une troisième construction de style roman fut édifiée sur l'emplacement du bâtiment actuel. Les pierres de l'ancienne tour furent utilisées pour le clocher qui fut surélevé en 1837 pour y placer une nouvelle cloche. Le maire d'Orbey, Eugène Lefebure, député du Haut-Rhin, prit l'initiative de construire un édifice plus digne d'une commune dont la population ne faisait qu'augmenter. En 1841, Orbey comptait une population de 5656 âmes, et en 1858 la population déclina légèrement pour approcher les 5259 habitants. En accord avec le curé Léon Deschamps, la municipalité, après quelques réticences, dues au coût élevé de la construction, accepta le projet présenté par le maire. La belle église que le visiteur peut admirer fut placée perpendiculairement à l'ancien emplacement et le cimetière transféré sur la pente voisine. En 1858, l'église étant toujours en construction, les curés successifs firent appel à la générosité des Orbelais pour embellir l'église, placer des vitraux et refaire les peintures, mosaïques... Au cours de la Première Guerre mondiale, l'église à peine achevée fut endommagée, et les réparations durèrent plusieurs années.Au cours de la guerre1940-1945 trois obus détruisirent le chœur et la nef de l'église. Tout était donc à refaire. Les travaux durèrent jusqu'au 22 avril 1957, année où monseigneur Jean-Julien Weber, évêque de Strasbourg consacra l'église restaurée. Mais ce n'est qu'entre 1963 et 1967 que la restauration de l'église d'Orbey fut achevée.
Chapelle Sainte Barbe (Hautes Huttes)
Une ancienne chapelle devait déjà exister avant 1600, mais avec les troubles de la Révolution des fanatiques ont mis cette chapelle à terre. Plus tard, au XVIIIe siècle la chapelle est reconstruite, mais on y associe alors une école. Bombardée pendant la première guerre mondiale en 1915 précisément, le bâtiment est à nouveau endommagé. Il sera à nouveau restauré en 1927. L'édifice actuel est surmonté d'un clocher. Une cloison sépare l'église de l'école, ce qui est très utile lors de l'affluence des fidèles pendant les grandes fêtes, notamment la fête patronale célébrée le 4 décembre. Dans ce cas on déplace la cloison mobile qui sépare l'école de la chapelle.
Chapelle Saint-Genest (Creux d'Argent)
Sur les hauteurs d'Orbey, en direction du Col de Bermont et de a statue du Sacré Cœur se trouve la chapelle Saint-Genest.Construite en 1888, puis reconstruite en 1925, elle comprend une nef) et une abside légèrement plus basse, un clocher avec un toit en bâtière flanqué sur le bâtiment. L'intérieur de la chapelle est décoré de statues, de vitraux financés par de généreux donateurs du hameau. L'autel comme les vitraux témoignent de cet art religieux rural robuste et soigné de la fin du XIXe siècle et début du XXe siècle. C'est un décret impérial du 6 septembre 1813 qui a autorisé un culte public dans cette chapelle sous le vocable de chapelle du Bon Secours de Saint-Genest. Pendant la première guerre mondiale, la chapelle située sur la ligne du front a été endommagée puis reconstruite. Plusieurs vestiges et des tranchés ainsi que des bunkers se trouvent à proximité de la chapelle. Les habitants du secteur, après la guerre se sont activés à relever des ruines cette chapelle grâces à des dons et aux dommages de guerre. Une bénédiction solennelle a marqué le retour au culte le 11 novembre 1926. La reconstruction a été l'œuvre d'Émile Jokers. Les peintures murales sont de M. Bottinelli, artiste peintre du Bonhomme, le maître autel étant de MM. Ruthmann et Russchmann. Vitraux et statues ont été offerts par les habitants du hameau: on y retrouve notamment les noms des familles du Creux d'Argent mais aussi des hameaux du Laid, de la Marelle tous proches. Au début des années quatre vingt dix, la commune a procédé à des travaux de remise à neuf des peintures extérieures. Des messes sont encore régulièrement célébrées dans ce qui était autrefois un lieu de pèlerinage. Les propriétaires de la ferme à proximité, la famille Knopf, entretiennent le lieu. On peut s'adresser à eux pour les visiter.
Monastère de la Fédération Notre Dame des Prêcheurs (Bois le Sire)
Le monastère Saint Jean-Baptiste est occupée par des moniales Dominicaines et a été transféré à Orbey depuis 1973, dans une ferme aménagée permettant la vie communautaire. Ce monastère était auparavant implanté à Logelbach près de Colmar. Ce sont deux veuves désirant se consacrer à la vie contemplative qui ont fondé la première communauté à Colmar, onze après le décès de Saint-Dominique. La communauté s'est ensuite agrandie. Les deux fondatrices ont été initiées à leur forme de vie monastique de saint Sixte à Rome. A leur retour, elles prirent l'habit de l'ordre des Dominicaines et placées sous cet ordre en 1245. Le monastère d'origine fut dédié à Saint Jean Baptiste. En 1269, Albert le Grand consacra l'église et Maître Eckhart fit une visite canonique en 1322. En 1792 les religieuses furent expulsées de leur bâtiment qui est devenue aujourd'hui le musée Unterlinden de Colmar. Pendant plus d'une centaine d'années, la communauté avait ainsi disparu de l'Alsace. En 1899, six moniales dont trois alsaciennes, toutes du monastère d'Oullins(Lyon) se rendirent à Colmar pour y refonder un monastère des Dominicaines. En 1926, le monastère est transféré à Logelbach, dans la banlieue de Colmar et y reste jusqu'au transfert à Orbey en 1973. La communauté compte quatorze religieuses âgées de 26 à 92 ans.
Le sacré cœur de Remomont
Ce monument fut édifié sur la chaume de la colline du Creux d'Argent à la suite du mission prêchée en 1933. Conçue comme un acte à Dieu, la mission est un acte important dans la vie religieuse, marqué par de nombreuses prédications, messes et processions. L'usage veut qu'à la suite de cette période on édifie un croix ou un monument religieux. Sur le socle de la statue du Sacré Cœur figure deux plaques, l'une commémorant la mission, tandis que la seconde rappelle la rupture de la digue du lac Noir en 1933.
La Tour du Faudé
Une 1ère tour est construite en 1891. Elle est détruite en juillet 1915 car elle servait à l'observation de l'armée allemande. Reconstruite entre 1932 et 1934, elle est inaugurée le 19 août 1934. Elle est à nouveau détruite le 11 décembre 1944 lors de la libération d'Orbey. Reconstruite à l'identique, elle est inaugurée le 15 août 2002. Depuis le sommet de la tour du Faudé on a une magnifique vue de tout le canton.
Cimetière Duchêne
La Stupa de la compassion à la ferme Graine-Champ (2007)
Les ruines du Château du Petit Hohnack
Les ruines sont situés sur un piton situés à 927 mètres d'altitude, sur le banc de la commune de Labaroche qui se trouve sur la ligne de crête qui sépare la vallée de Munster de celle d'Orbey.Il domine les Vosges jusqu'au Haut-Koenigsbourg et la plaine d'Alsace jusqu'à la Forêt Noire. Les premiers maîtres de la région furent les comtes d'Éguisheim qui prirent le nom de leur château vers 1038. C'était une famille très puissante qui descendait probablement des anciens ducs d'Alsace et détenait à ce titre de comte du Nordgau, c'est-à-dire de la Basse Alsace.C'est probablement Hugues IV, le père de Bruno d'Éguisheim, devenu pape sous le nom de Léon IX, qui fera construire le château du Hohnack. Il sera ainsi à l'origine de la seigneurie du Honhack et de la mise en valeur de la région.Les comtes d'Éguisheim avaient de bons rapports avec la Lorraine. Pour protéger le passage de la route du Bonhomme,les religieux de Saint-Dié qu'ils connaissaient firent défricher l'endroit pour permettre de construire une route reliant la Lorraine à l'Alsace à travers le Col du Bonhomme. Le château du Hohnack était une bâtisse imposante ayant 280 pieds de longueur (soit 90 m) et 210 pieds de largeur (soit 67 m). Une enceinte polygonale entourait une cour à 'intérieur de laquelle s'élevait un donjon carré. la famille d'Eguisheim s'éteignit avec le décès du comte Ulrich en 1141. Comme il n'avait pas d'héritier direct , les biens passèrent à son neveu Louis, comte de Ferrette. Mais le Honack échappèrent aux Ferrette. Les sires de Ribeaupierre une autre famille puissante, cherchaient à agrandir leur domaine, ils s'emparèrent du Hohnack, tout en restant vassaux des Ferrette. En 1324, le comte Ulrich III mourut, et ses domaines passèrent à sa fille Jeanne, mariée à Albert de Habsbourg, duc d'Autriche. Désormais les Ribeaupierre furent les vassaux des Habsbourg.
Lac Blanc et Lac Noir
Les deux lacs naturels, datent de la période glacière et sont nichés dans le paysage sauvage du [[Parc Régional des ballons des Massif des Vosges|Vosges]]. L'aménagement du Lac Blanc et Lac Noir associe de façon originale les deux lacs naturels dans un système de transfert d'énergie par pompage/turbinage. C'est la première installation française de ce type, construite de 1828 à 1933 par le groupe industriel de René Koechlin, l'inventeur de l'aménagement hydroélectrique du Rhin. Elle avait pour but de produire de l'électricité aux heures de pointe, tout en utilisant la production de nuit de Kembs, première centrale française du Rhin. L'exploitation et la maintenance sont assurées par les équipes du Rhin. la centrale est reliée aux hommes 24h sur 24. Tout dysfonctionnement est enregistré par un automate qui met l'installation en sécurité et transmet un message d'alarme par téléphone à l'agent de service. Celui-ci intervient à distance ou sur )place selon l'évènement. Propriété de l'EDF depuis 1946,la station a été rénovée et modernisée de 1990 à 2002.L'originalité de fonctionnement de l'ouvrage consiste à échanger la même eau entre le Lac Blanc et le Lac Noir, séparés par 120 mètres de dénivelé. la production d'électricité est réalisée lors des pointes de consommation par le turbinage de l'eau du bassin supérieur. En faible consommation, l'eau du bassin inférieur est renvoyée dans le Le Lac Blanc par pompage pour y être stockée jusqu'au prochain besoin. Cette opération consomme de l'électricité mais au coût des "heures creuses", d'où son atout économique. Compte tenu de la rapidité de la mise en service des groupes (80 000 kW) en 7 minutes, pendant 6 heures si nécessaire), le Lac Noir constitue un maillon intéressant dans la sécurité d'alimentation électrique des clients. Le fonctionnement est entièrement piloté à distance depuis un centre de commande régional.
Usine hydroélectrique du Lac Noir
Le Lac Noir est situé dans un cirque glacier érodé par les glaciers, à une distance d'un kilomètre en aval du Lac Blanc. Contrairement à ce dernier, ses eaux sont de couleur brunes, car il est alimenté par une tourbière, d'où son nom. Pourvu comme son voisin d'une digue artificielle, la Lac Noir constitue avec le Lac Blanc, un double réservoir qui permet le fonctionnement de l'usine hydroélectrique implantée sur la rive nord-est. La conduite de pompage qui relie les deux lacs se rompt en 1934; une masse d'eau s'abat sur le toit de l'usine, qui s'effondre engloutissant neuf personnes. En 1938, la centrale est remise en service.
Vestiges de Glacière (Parc Lefébure) 1860
Le Musée mémorial du Linge ( 86 rue du Général de Gaulle, Orbey)
Le Linge fut un champ de bataille de la guerre 1914-1918 où un affrontement particulièrement meurtrier se déroula entre le 20 juillet et le 15 octobre 1915 qui fit 17000 morts. Le musée mémorial du Linge a rassemblé tous les objets français et allemands qui ont été trouvés sur place.
Le Gisant (cimetière français du Wettstein)
Ce gisant repose au pied de la grande croix du Col du Wettstein représente un chasseur tombé au champ d'honneur. L'ensemble constitue un mémorial consacré au souvenir des milliers de soldats morts en 1915 au Lingekopf.
Cimetière français du Wettstein (Col du Wettstein)
Un jeune lieutenant de chasseurs est vraisemblablement à l'origine du cimetière militaire du Wettstein. Avec le bois des sapins brisés par les bombardements lors des combats de la première guerre mondiale, il fabrique une petite croix qui par la suite est enchâssée dans la base d'une croix en granit. Celle-ci est est inaugurée par le Général Gamelin en 1939, à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Dans ce cimetière repose 2664 soldats tombés lors des combats.
Les calvaires
Personnalités liées à la commune
- Pierre de Blarru : poète de langue latine, né le 6 avril 1437 à Blancrupt, décédé à Saint-Dié le 23 novembre 1505
- Mathias Ringmann né dans une cense des environs de Pairis en 1482, décédé en 1511 à Sélestat est un humaniste auteur de plusieurs ouvrages
Voir aussi
Notes et références
- ↑ D'après une fiche signalétique se trouvant dans l'église Saint-Urbain d'Orbey
Bibliographie
Liens externes
- Site officiel de la commune
- Site officiel de la Communauté de Communes de la Vallée de Kaysersberg
- Orbey sur le site de l'Institut géographique national
- Site web des sapeurs-pompiers d'Orbey
- Photographies de Orbey pendant la 1ere Guerre Mondiale - Site personnel
Catégorie : Commune du Haut-Rhin
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