- Mouriès
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Mouriès
Église de Mouriès
DétailAdministration Pays France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Bouches-du-Rhône Arrondissement Arles Canton Eyguières Code commune 13065 Code postal 13890 Maire
Mandat en coursPierre Santoire
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée des Baux Démographie Population 3 085 hab. (2008) Densité 80 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 1 m — maxi. 280 m Superficie 38,35 km2 Mouriès est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Sommaire
Géographie
Accès
La route départementale 17 traverse la commune et le bourg joignant la commune d'Aureille à l'est à celle de Maussane-les-Alpilles à l'ouest et la route départementale 24 la commune de Saint-Martin-de-Crau au sud à celle d'Eygalières au nord.
Les routes départementales 5, 78 et 24A sont elles aussi présentes sur la commune.
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A54 (Nîmes - Salon-de-Provence) ou E80, entrée n° 12 au sud-ouest, sur la commune de Saint-Martin-de-Crau, puis, plus à l'est, l'autoroute A7, qui descend la vallée du Rhône et relie Lyon à Marseille via Orange.
L'aéroport international le plus proche est celui de Marseille Provence. On trouve aussi deux aérodromes sur le secteur des Alpilles, l'un au nord entre Égalières et Saint-Rémy-de-Provence, et un autre au sud de la ville d'Eyguières[1].
Relief et géologie
La commune est située au sud du massif des Alpilles. Ce massif est constitué de strates de roches sédimentaires plissées et forme un anticlinal.
L'altitude maximale est au nord, au niveau de Alpilles, et la minimal au sud-ouest.
Sismicité
Suite au décret du 14 mai 1991 définissant le zonage sismique de la France, les Bouches-du-Rhône ont été découpés de la manière suivante[2] :
- Zone II, zone qui correspond à une « sismicité moyenne » : les cantons de Lambesc, Peyrolles-en-Provence et Salon-de-Provence, tous trois de l'Arrondissement d’Aix-en-Provence
- Zone Ib, zone qui correspond à une « sismicité faible » : les cantons d'Aix-en-Provence et Trets de l'Arrondissement d’Aix-en-Provence, les cantons d'Eyguières et Orgon de l'Arrondissement d'Arles et les cantons de Berre-l'Etang, Istres-Nord et Istres-Sud de l'Arrondissement d'Istres.
- Zone Ia, zone qui correspond à une « sismicité très faible » : Tous les autres cantons de l'Arrondissement d’Aix-en-Provence, les cantons d'Arles-Est, Châteaurenard et Saint-Rémy-de-Provence de l'Arrondissement d'Arles, les cantons de Marignane, Martigues-Est et Martigues-Ouest de l'Arrondissement d'Istres, et enfin le canton de Roquevaire de l'Arrondissement de Marseille.
- Zone 0, zone qui correspond à une « sismicité négligeable » : Tous les autres.
Hydrologie
Mouriès est arrosée par le gaudre d'Aureille [3], cours d'eau de 12 km, ainsi que par le gaudre de la Vallongue[4], long de 4,2 km et la Gaudre du Mas Neuf. Ils alimentent l'étang de Berre.
On note aussi plusieurs canaux, comme les canaux de Van-Ens et de Mouriés au sud et le canal de la vallée des Baux plus au nord.
Climat
Malgré les hauts reliefs des Alpilles, on ne note pas de différences notables entre les plaines qui entourent le massif et les sommets. Le climat est de type méditerranéen, avec des étés secs et des saisons intermédiaires pluvieuses[5]. Comme l'ensemble des zones situées à proximité du Rhône, les Alpilles sont sujettes à un mistral conséquent. En revanche, le piémont sud est plus abrité des épisodes de gel, avec 40 jours par an. Le printemps y est parmi les plus précoces en Provence. On peut voir des amandiers en fleurs dès fin janvier[5].
À la différence des plaines, les sommets des Alpilles sont plus arrosés et le risque d'orage y est plus important[5].
Le mistral
Le mistral y souffle violemment du nord ou du nord-ouest, particulièrement en hiver et au printemps. Les Alpilles dévient le vent, mais le vent souffle sur la commune proche des Baux pratiquement aussi fort que dans le nord de la chaîne. Le mistral souffle fortement 100 jours par an en moyenne et faiblement 83 jours, ce qui ne laisse que 182 jours sans vent par an[5].
On distingue deux types de mistral : le « mistral blanc », qui dégage le ciel en totalité et accentue la luminosité, et le « mistral noir », plus rare, qui est accompagné de pluie.
Températures et précipitations
Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la periode 1971-2000 :
Mois J F M A M J J A S O N D année Températures maximales (°C) 10,9 12,3 15,3 17,5 22,0 25,8 29,4 29,0 25,0 19,9 14,2 11,6 19,4 Températures moyennes (°C) 6,1 7,2 9,7 12,0 16,1 19,8 22,9 22,7 19,2 14,7 9,6 7,0 13,9 Températures minimales (°C) 1,2 2,0 4,0 6,4 10,1 13,7 16,4 16,3 13,3 9,5 4,9 2,4 8,4 Précipitations (hauteur en mm) 59 47 44 63 52 31 16 37 64 98 58 54 623,4 Source: Météo France / Station de Salon-de-Provence Histoire
Préhistoire et Antiquité
Article détaillé : Oppidum des Caisses de Jean-Jean.Dans les siècles qui précèdent l'arrivée des Romains, le territoire de Mouriès, comme l'ensemble des Alpilles, est peuplé de Ligures, de Celtes et de Celto-Ligures. Mouriès fait alors sans doute partie du territoire des Nearchi dont Ernaginum constitue la frontière nord, mais aussi, peut-être, des Anatilii, qui vivent jusqu'au nord de la Crau, dont les Alpilles constituent la frontière naturelle[6].
Lors de la seconde partie du premier âge du Fer (VIIe ‑ VIe siècles av. J.‑C.), la population, jusqu'alors essentiellement nomade, se sédentarise et se met à construire en dur. Le castrum se structure à la manière d'un village avec ses rues et ses maisons adossées[7]. Le processus d'installation permanente est à mettre en parallèle avec l'intensification des échanges économiques avec les commerçants méditerranéens[7]. En échange de produits de luxe, les habitants des Alpilles produisent des céréales et passent d'une état d'autarcie à une véritable économie d'échange. Au cours des siècles suivants, la population du massif diminue de façon conséquente : le comptoir grec d'Arles attire de nombreux habitants venus de toute la région. Mais dès la fin de l'Âge du fer (IIe ‑ Ier siècles av. J.‑C.), l'oppidum des Caisses de Jean-Jean retrouve ses habitants qui le colonisent à nouveau. La ville se développe. Des monuments sont construits dans un style tardo-hellénistique[7].
La Table de Peutinger (Tabula Peutingeriana ou Peutingeriana Tabula Itineraria), appelée aussi « Carte des étapes de Castorius », copie du XIIIe siècle d'une ancienne carte romaine où figurent les routes et les villes principales de l'Empire romain qui constituaient le cursus publicus fait référence à un lieu qu'elle dénomme Tericias, forme dative de Tericiae. D'est en ouest, depuis Aix-en-Provence jusqu'au Rhône, on y lit les noms suivants : Aquis Sextis XVIII Pisavis XVIII Te[r]icias[8]. Ces indications localisent Tericiae sur le territoire de la commune de Mouriès, un peu à l'ouest du village. Mais de nombreux chercheurs se sont interrogés quant à son identification, son nom latin n'étant semble-t-il pas passé dans un toponyme moderne. Et l'on pourrait logiquement s'interroger quant à savoir s'il ne faudra pas voir dans l'oppidum des Caisses de Jean-Jean le site de l'antique Tericiae.
C'est un dénommé Villevieille, antiquaire à Montpellier qui, le premier, a proposé de voir en Tericiae l'antique Mouriès. L'historien-préfet, Christophe de Villeneuve-Bargemon (1824), localise la ville sur la propriété de Jean-Jean[9]. En 1884, Isidore Gilles propose le quartier de la Castelette, situé entre le village de Mouriès et les Caisses de Jean-Jean. Depuis 1895 et les études de L. Rochetin, il semble établi qu'il faille voir Tericiae en contrebas de l'oppidum[10]. Selon Fernand Benoit, une fois la paix romaine installée en Basse-Provence, la population de l'oppidum serait descendue dans la plaine qu'elle aurait colonisée, donnant naissance à la ville de Tericiae[11], d'une superficie totale de 14 hectares[12]. Benoit propose même un site précis, entre les Caisses, le Castellas, le Mazet et le hameau des Baumettes[13].
Moyen Âge
Renaissance
Période moderne
Période contemporaine
Toponymie
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes des Bouches-du-Rhône.Les armes peuvent se blasonner ainsi :
D'azur à la tour d'argent ouverte et maçonnée de sable, sommée de deux colombes d'argent, becquées et membrées de gueules, supportant de leur bec un écusson du même à l'étoile à 16 rais d'argent.
Politique et administration
Liste des maires de Mouriès
Liste des maires de Mouriès Période Identité Étiquette Qualité 1813 Jacques Cornille 1813 1821 Antoine Darmure 1821 1830 François Marie de Bonnecorse 1830 1840 Pierre Boussot 1840 Honoré Eugène Laville … 19xx 1989 Jean-Louis Codaccioni 1989 1995 Jacques Causse 1995 2001 Anne-Marie Brunel 2001 2008 Pierre Santoire Sans 2008 en cours Pierre Santoire Sans Intercommunalité
Mouriès est une des dix communes de la Communauté de communes de la Vallée des Baux.
Population et société
Démographie
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 18 185 €, ce qui plaçait Mouriès au 11 925e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[17].
Agriculture
Oléiculture
La commune produit de l'huile d'olive de la vallée des Baux-de-Provence est protégée par une appellation d'origine contrôlée (AOC) depuis un décret pris par l'INAO, le 27 août 1997. Les variétés d'olives qui entrent dans son élaboration sont la salonenque, la beruguette, la grossane et la verdale des Bouches-du-Rhône[18]. Elle produit aussi des olives cassées de la vallée des Baux-de-Provence qui sont protégée par une appellation d'origine contrôlée (AOC) depuis un décret pris par l'INAO, le 27 août 1997. Les variétés d'olives proposées à la commercialisation sont la salonenque et la beruguette[19].
La commune de Mouriès est connue pour son huile d'olive. Moins « médiatique » que Nyons, elle est pourtant la première commune oléicole de France en nombre d'oliviers[20]. Ses vergers sont composés de diverses variétés qui donnent à l'huile d'olive sa saveur particulière, huile qui bénéficie de l'AOC Huile d'olive de la Vallée des Baux-de-Provence et est réalisée par première pression à froid. C'est une huile extra-vierge aux notes herbacées.
Vignoble
La commune a son terroir classé en AOC et produit des vins Coteaux-des-baux-en-provence[21]. Cette AOC a été reconnue par un décret du 20 avril 1995 pour les vins rouges et rosés. D'abord classé VDQS par un arrêté du 23 janvier 1956 dans le cadre des Coteaux-d'aix-en-provence, un second décret daté du 24 décembre 1985 permit l’utilisation de la dénomination générique « Les Baux de Provence » reconnaissant l’identité spécifique de ce vignoble de la région des Baux concernant sept communes du massif des Alpilles. Sa production est de 15 500 hectolitres par an dont 75% en rouge et 25% en rosé[22].
Le vin de pays des Alpilles est un vin de pays de zone, au nord des Bouches-du-Rhône qui a vocation à labelliser, après dégustation, les vins ne pouvant postuler à l'appellation d'origine coteaux-des-baux-de-provence. Jusqu'en 2000, il portait le nom de vin de pays de la Petite Crau. La production est d'environ 6 000 hectolitres par an. Son vignoble, installé sur un plateau caillouteux, est limité, au Nord, par la Durance et au Sud, par les Alpilles[23].
Tourisme
Hormis l'agriculture, l'économie la plus facilement identifiable autour du massif des Alpilles est liée au tourisme. Même les producteurs viticoles et oléicoles semblent tenir compte du développement du tourisme et de plus en plus de domaines proposent de la dégustation, voir dans certains cas de véritables cours d'initiation à l'œnologie.
On peut considérer trois principales sortes de tourisme dans les Alpilles. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche (les Baux-de-Provence, Glanum, etc.) ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le massif et ses environs.
Équipements et services
Transports urbains
Éducation
Sports
On trouve sur la commune de Mouriès plusieurs sites d'escalade[24],[25] offrant de nombreuses voies avec des difficultés variables.
Santé
Vie locale
Culte
Catholique
Environnement
Le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés est assuré dans le cadre des missions de la Communauté de communes de la Vallée des Baux[26].
Culture et patrimoine
- Oppidum des Caisses de Jean-Jean : oppidum du VIe siècle av. J.‑C..
- Église Saint-Jacques (consacrée en 1782), au niveau du bourg.
- Le Mas de Brau, à l'ouest du bourg.
- Croix du Jubilé, au sud-ouest du bourg.
Manifestations culturelles et festivités
La reine du Ruban
Le club taurin du village élit tous les ans une jeune fille au titre de « reine du Ruban » lors des Festo dou riban. À cette occasion, la jeune fille, devant parler couramment la langue provençale défile aux côtés de la reine d'Arles et représente le village lors de cérémonies culturelles.
Liste des reines du Ruban élues depuis la création de l'événementN° Nom Date du règne Sources 1 Christelle Roggiero 1996-1997 2 Sandrine Favier 1997-1998 3 Hélène Vianès 1998-1999 4 Claire Martin 1999-2000 5 Amandine Ricaud-Roux 2000-2001 6 Perrine Crouau 2001-2002 7 Marjorie di Christofano 2002-2003 8 Aurélie Racamier 2003-2004 9 Émilie Dublé 2004-2005 10 Carlyne Nègre 2005-2006 [1] 11 Alexandra Engelaere 2006-2007 [2] 12 Julia Berizzi 2007-2008 [3] 13 Fanny Feraud-Simon 2008-2010 [4] 14 Annelyse Dodeler-Puech 2010-2011 [5] Irish Music et Dance du festival des Alpilles
Pour rendre hommage à la culture celtique, la municipalité de Mouriès et le Festival des Alpilles organisent chaque année une manifestation musicale Irish Music & Dance qui met en scène un groupe de musiciens irlandais et une troupe de danseuses irlandaises. Cet événement du Festival des Alpilles se tient au début août dans le parc du Moulin Peyre et son succès ne fait que croître d'année en année.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Quiqueran de Beaujeu (1522-1550), évêque de Senez, auteur de la Provence louée.
- Jean-Baptiste Coye (1711 - 1771), écrivain provençal de langue d'oc.
- Antoine Serra (1908-1995), artiste peintre
- Toni Grand (1935-2005), sculpteur
- Paul Révoil (1856-1914), diplomate français
- Charles Aznavour (1924- ), chanteur français
- Eric Cantona (1966- ), acteur, ancien footballeur professionnel
Notes et références
- consultable en ligne sur le site web du journal Romain Cantennot, l'Aéroport d'Eyguières vole de ses propres ailes, 25 mai 2009, article publié dans le journal La Provence,
- La sismicité des Bouches-du-Rhône
- Fiche du Gaudre d'Aureille sur le site du SANDRE
- Fiche du Gaudre de la Vallogue sur le site du SANDRE
- « Le climat », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, H. Bruneton, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, p. 23-24.
- « Le peuplement des Alpilles durant l'âge du Fer », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, P. Arcelin, op. cit., p. 142.
- Y. Marcadal, « Les oppida des Alpilles », in Les Alpilles, op. cit, p. 146.
- « Une agglomération secondaire antique près de Mouriès : Tericiae ? », dans Guy Barruol (dir.) et Nerte Dautier (dir.), Les Alpilles : Encyclopédie d'une montagne provençale, op. cit., p. 156.
- Ch. de Villeneuve-Bargemon, Statistique du département des Bouches-du-Rhône avec atlas, II, Marseille, A. Ricard, 1824, p. 1159.
- « Tericiae. Une des stations de la voie aurélienne dans la Haute-Provence », L. Rochetin, in Mémoires de l'Académie de Vaucluse, Avignon, vol. XIV, 1895, p. 18-34.
- Académie des inscriptions et belles-lettres, Ministère de la Culture et de la Communication, Ministère de l'Éducation nationale, de la Recherche et de la Technologie, diff. Fondation Maison des sciences de l'homme, Paris, 1999, 464 p. (ISBN 978-2-87754-059-9), p. 210. Fabienne Gateau (dir.) et Michiel Gazenbeek (dir.), Les Alpilles et la Montagnette, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (no 13/2), éd.
- Yves Marcadal, « Les oppida des Alpilles », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, op. cit, p. 144.
- Fernand Benoit, « La voie d'Italie en Espagne à l'époque d'Auguste sur le territoire d'Arles », in Revue des études anciennes, Bordeaux, vol. 40, 1938, p. 142, 143.
- http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/fiche.php?select_resultat=24244
- http://www.insee.fr
- (fr) Populations légales 2008 de la commune d'Eygalières, INSEE
- CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl sur site de l'Insee. Consulté le 6 novembre 2010
- Huile d'olive de la vallée des Baux-de-Provence AOC
- Olives cassées de la vallée des Baux-de-Provence AOC
- Page consacrée à Mouriès, Communauté de communes de la vallée des Baux - Alpilles.
- Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine
- Coteaux-des-baux-de-provence (AOC) sur le site de l'Institut National des Appellations d'Origine
- ISBN 978-2-908878-15-8), p. 86. Louis Menjucq, président de l'ANIVIT (sous la direction de), Vins de pays de France, éd. Romain Pages, Saint-Cloud, 1991, (
- Mouriès, Caïssas de Servanna, site d'escalade
- Mouriès, couenne, site d'escalade
- http://www.aspic.interieur.gouv.fr/Aspic2/asvixGroupementHTML.php?idGrpt=74&style=doc&x=1288173399
Voir aussi
Bibliographie
- Les Alpilles. Encyclopédie d'une montagne provençale, divers auteurs, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, (ISBN 978-2-906162-97-6).
- « Les Alpilles et la Montagnette », Carte archéologique de la Gaule, t. 13/2, 1999, p. 203-207, (ISBN 978-2-87754-059-9).
Articles connexes
- Liste des communes des Bouches-du-Rhône
- Vin de pays des Alpilles
Liens externes
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