Paradou

Paradou

43° 43′ 16″ N 4° 47′ 17″ E / 43.7211111111, 4.78805555556

Paradou
La mairie de Paradou
La mairie de Paradou
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Arrondissement d'Arles
Canton Canton de Saint-Rémy-de-Provence
Code commune 13068
Code postal 13520
Maire
Mandat en cours
Jean-Hilaire Seyverac (UMP)
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée des Baux
Site web Via la communauté de commune de la Vallée des Baux - Alpilles
Démographie
Population 1 276 hab. (2007)
Densité 79 hab./km²
Gentilé Paradounais(es)
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 16″ Nord
       4° 47′ 17″ Est
/ 43.7211111111, 4.78805555556
Altitudes mini. 0 m — maxi. 162 m
Superficie 16,15 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Situé au pied des Baux-de-Provence, à 14 kilomètres à l'est d'Arles et à 2 kilomètres de Maussane-les-Alpilles, [Le[1]] Paradou, s'adosse à la chaîne des Alpilles. Il tient son nom de l'appellation locale des moulins à eau qu'exploitaient des tisserands au fil de la rivière Arcoule.

La commune fut créée en 1796 par détachement de la commune des Baux-de-Provence. Elle s'appelait autrefois Saint-Martin-du-Castillon.

Ses habitants se nomment les Paradounais[2].

Sommaire

Géographie

Accès et transports

La route départementale 17 permet de traverser la commune et le bourg sur un axe est-ouest. La route départementale 78b fait de même sur un axe nord-sud avant d'aller rejoindre au niveau du pont Saint-Jean la route départementale 27 sur la commune voisine. A noter aussi la présence des routes départementales 78c et 78e.

Aucune autoroute sur la commune. Celle-ci est cependant desservie par :

  • Autoroute A 7 (sortie n°25) et route départementale RD 99
  • Autoroute A 54 (sortie n°12) et route départementale RD 27

La gare d'Arles est à moins d'une vingtaine de kilomètres à l'ouest de la commune et la gare d'Avignon TGV à environ une trentaine de kilomètres au nord.

L'aéroport international le plus proche est l'aéroport de Marseille Provence, au sud.

Relief et géologie

La commune est située au sud du massif des Alpilles. C'est donc en son nord que se trouve les principaux reliefs (Defends de Sousteyran, le grand Méjan, etc.). En son centre, les Rochers de la Pène et leur orientation est-ouest, forment une sorte de frontière entre le nord et sa variation importante du relief, et le sud de la commune qui est une plaine avec un semi marécage en sa limite sud.

Sismicité

Suite au décret du 14 mai 1991 définissant le zonage sismique de la France, les Bouches-du-Rhône ont été découpés de la manière suivante[3] :

Hydrographie

De par son relief, le massif des Alpilles est parcouru de nombreux ruisseaux que l'on nomme des « gaudres ». Un gaudre (du provençal gaudre : « petit ruisseau ») désigne un cours d'eau souvent à sec en été et à faible débit le reste de l'année. On peut noter sur la commune le gaudre du Trible, dont la source se situe au nord du village des Baux-de-Provence et qui rejoint la commune au sud-est au niveau du pont saint-Jean.

On trouve plusieurs canaux sur la commune, principalement au sud : le canal de la vallée des Baux, le canal de Saint-Jean, le canal des Pompes, le canal de Faubraguette et le canal du centre.

Enfin, plusieurs fossés et roubines : Fossé de l'Estagnol, Roubine de Grava, Fossé de Castillan, Roubine de Tronflette...

Article détaillé : Marais des Baux.

Climat

Le climat dans les Alpilles est considéré comme méditerranéen. Les hivers y sont doux et secs et les étés chauds et secs. La température moyenne maximale est observée en juillet et août (+29°C), la température moyenne minimale en décembre et janvier (+3°C)[4]. Le mois le plus pluvieux est janvier avec 7 jours de pluie en moyenne, contre 2 jours en juillet[4]. La région des Alpilles reçoit davantage de précipitations que le littoral de la Méditerranée : 500 mm/an en Camargue contre 600 à 700 mm/an pour les Alpilles.

Les grandes gelées sont très rares, alors qu'elles étaient plus fréquentes au XIXe siècle, comme en témoignent le nombreux gels du Rhône, quasiment inconnus depuis le siècle dernier.

Le mistral

Le mistral y souffle violemment du nord ou du nord-ouest, particulièrement en hiver et au printemps. Le mistral souffle fortement 100 jours par an en moyenne et faiblement 83 jours, ce qui ne laisse que 182 jours sans vent par an[5].

On distingue deux types de mistral : le « mistral blanc », qui dégage le ciel en totalité et accentue la luminosité, et le « mistral noir », plus rare, qui est accompagné de pluie.

Données météorologiques

Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000  :

Mois J F M A M J J A S O N D année
Températures maximales (°C) 10,9 12,3 15,3 17,5 22,0 25,8 29,4 29,0 25,0 19,9 14,2 11,6 19,4
Températures moyennes (°C) 6,1 7,2 9,7 12,0 16,1 19,8 22,9 22,7 19,2 14,7 9,6 7,0 13,9
Températures minimales (°C) 1,2 2,0 4,0 6,4 10,1 13,7 16,4 16,3 13,3 9,5 4,9 2,4 8,4
Précipitations (hauteur en mm) 59 47 44 63 52 31 16 37 64 98 58 54 623,4
Source: Météo France / Station de Salon de Provence

Histoire

Préhistoire

Des découvertes récentes ont montré que le territoire de Paradou est habité depuis la Préhistoire. L'archéologue Otello Badan a trouvé trace d'une occupation remontant au Néolithique dans une grotte du vallon du Défens de Sousteyran. Dans cette grotte ont été mis au jour les restes de deux individus, ainsi que divers ustensiles plus anciens, comme une pointe moustérienne du Paléolithique moyen et des restes de faune[6].

Lors de la seconde partie du premier âge du Fer (VIIe ‑ VIe siècles av. J.‑C.), la population, jusqu'alors essentiellement nomade, se sédentarise et se met à construire en dur. Le castrum se structure à la manière d'un village avec ses rues et ses maisons adossées[7]. Le processus d'installation permanente est à mettre en parallèle avec l'intensification des échanges économiques avec les commerçants méditerranéens[7]. En échange de produits de luxe, les habitants des Alpilles produisent des céréales et passent d'une état d'autarcie à une véritable économie d'échange[7].

Antiquité

Stèles anépigraphes trouvées à l'Arcoule. Il pourrait s'agir de support à des objets votifs (musée de l'Arles antique).
Lion de l'Arcoule (musée de l'Arles antique).

Dans les siècles qui précèdent l'arrivée des Romains, le territoire de Paradou, comme l'ensemble des Alpilles, est peuplé de Ligures, de Celtes et de Celto-Ligures. Paradou fait alors sans doute partie du territoire des Nearchi dont Ernaginum constitue la frontière nord, mais aussi, peut-être, des Anatilii, qui vivent jusqu'au nord de la Crau, dont les Alpilles constituent la frontière naturelle[8]. Dès le IVe siècle av. J.‑C., le rapide développement de la ville d'Arles attire les forces vives de toute la région et notamment des Alpilles. Mais la première moitié du IIe siècle av. J.‑C. marque l'arrêt de l'expansion arlésienne et, peu à peu, les élites locales se disséminent de part et d'autre. C'est ainsi que l'on retrouve sur le territoire de Paradou une surface de 0,4 ha entouré d'un rempart de style hellénistique, appartenant sans doute à un aristocrate local[9].

Une statue tronquée du Ier siècle av. J.‑C., sculptée dans du calcaire, a été découverte au XIXe siècle près de la Fontaine de l'Arcoule. Dénommée le « Lion de l'Arcoule », elle fait aujourd'hui partie des collections du musée de l'Arles antique[10]. La commune est traversée par la voie Aurélienne qui rejoint Arles à Aix-en-Provence[11].

Moyen Âge

Les marais n'étant pas asséchés, le village médiéval se situait sur les hauts des rochers de la Pène. Seules les tours du château de Saint-Martin-de-Castillon, datées du XIIIe siècle, restent les témoins de cet ancienne installation[10].

Renaissance

L'église primitive du village, qui datait du Xe siècle, fut reconstruite partiellement en 1632, Le vieux cimetière étant désaffecté puisqu'une draille (chemin de transhumance) le traversait depuis 1565, il fut placé à côté de l'église sur la même plan que sa façade[12].

Période moderne

Ce quartier de l'ancien Saint-Martin-de-Castillon fut érigé en commune le 23 septembre 1793 (1er vendémiaire, An V}[13]. Le cadastrage de la nouvelle commune fut achevé en 1830[14].

À cette époque, elle produisait des céréales, du vin, de la garance, des chardons à bonnetiers, des légumes, du foin et des fruits. Des plantations de mûriers permettaient d'alimenter les vers à soie, la production de cocons était telle qu'elle était directement traitées par les filatures installées à Saint-Rémy-de-Provence[15].

Période contemporaine

Charloun Rieu s'éteint à Paradou, son village natal, le 11 janvier 1924[16]. Quant à Pierre Alechinsky, il y installe son atelier après la Seconde Guerre mondiale et y vit à demeure depuis 1988[17],[18].

Toponymie

Le village s'est d'abord appelé Saint-Martin-de-Castillon, cité comme S. Martinus en 981 puis évoluant en S. Maria de Castillonne en 1213. La forme la plus ancienne est Paladol, attestée vers 1177, ce toponyme provient de l'ancien provençal parador qui désignait un moulin à foulon pour l'industrie drapière[19].

Héraldique

Les armes de Paradou sont relativement récentes. Le village n'en possédait pas sous l'ancien régime. Il faut attendre la deuxième partie du XXe siècle pour que soient créées ces armes. Les deux tours évoquent l'oppidum des tours de Castillon et l'étoile qui les surmonte est celle des seigneurs des Baux[20].

Armes de Paradou

Blasonnement :

De gueules aux deux tours d'or, maçonnées de sable, rangée en fasce en pointe, surmontées d'une étoile de seize rais d'argent.

Politique et administration

Le maire actuel de Paradou est Jean-Hilaire Seyverac (UMP), élu en 2001 et réélu au premier tour en 2008.

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
1989[21] en cours Jean-Hilaire Seyverac UMP  
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Intercommunalité

Paradou est une des dix communes de la Communauté de communes de la Vallée des Baux.

Population et société

Démographie

Évolution démographique
(Sources : CASSINI[22])

1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
  488 456 627 617 631 650 672 669
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
710 782 801 713 720 678 662 583 616
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
605 580 622 576 510 547 520 511 516
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007  
532 526 640 809 926 1 162 1 263[23] 1 276  

Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes


Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 20 987 €, ce qui plaçait Paradou au 4 160e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[24].

Agriculture

Les deux formes les plus évidentes[25] de cultures sur la commune sont celles de la vigne et celle de l'olivier, cette dernière étant principalement située sur la moitié nord de la commune, limitée au sud par les Rochers de la Pène. Néanmoins, elles sont loin d'être les seules et l'on trouve aussi de nombreux champs (céréales, fourrages, etc.), principalement au sud du bourg et de la commune.

Viticulture

La commune a son terroir classé en AOC et produit des vins Coteaux-des-baux-en-provence[26]. Cette AOC a été reconnue par un décret du 20 avril 1995 pour les vins rouges et rosés. D'abord classé VDQS par un arrêté du 23 janvier 1956 dans le cadre des Coteaux-d'aix-en-provence, un second décret daté du 24 décembre 1985 permit l’utilisation de la dénomination générique « Les Baux de Provence » reconnaissant l’identité spécifique de ce vignoble de la région des Baux concernant sept communes du massif des Alpilles. Sa production est de 15 500 hectolitres par an dont 75% en rouge et 25% en rosé[27].

Le vin de pays des Alpilles est un vin de pays de zone, au nord des Bouches-du-Rhône qui a vocation à labelliser, après dégustation, les vins ne pouvant postuler à l'appellation d'origine coteaux-des-baux-de-provence. Jusqu'en 2000, il portait le nom de vin de pays de la Petite Crau. La production est d'environ 6 000 hectolitres par an. Son vignoble, installé sur un plateau caillouteux, est limité, au Nord, par la Durance et au Sud, par les Alpilles[28].


Oliviers sous ciel bleu
Vincent Van Gogh, juin 1889

Oléiculture

La commune produit de l'huile d'olive de la vallée des Baux-de-Provence est protégée par une appellation d'origine contrôlée (AOC) depuis un décret pris par l'INAO, le 27 août 1997. Les variétés d'olives qui entrent dans son élaboration sont la salonenque, la beruguette, la grossane et la verdale des Bouches-du-Rhône[29]. Elle produit aussi des olives cassées et des des olives noires qui relèvent du même décret de l'INAO. Les variétés d'olives cassées proposées à la commercialisation sont la salonenque et la beruguette. Pour les olives noires la seule variété acceptée est la grossane[30] ,[31].

Tourisme

Hormis l'agriculture, l'économie la plus facilement identifiable autour du massif des Alpilles est liée au tourisme. Même les producteurs viticoles et oléicoles semblent tenir compte du développement du tourisme et de plus en plus de domaines proposent de la dégustation, voir dans certains cas de véritables cours d'initiation à l'œnologie.

On peut considérer trois principales sortes de tourisme dans les Alpilles. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche (les Baux-de-Provence, Glanum, etc.) ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le massif et ses environs.

Équipements et services

Éducation

La commune dispose d'une école primaire.

Sports

On trouve sur la commune un centre équestre, un parcours sportif et plusieurs chemins permettant la pratique de la randonnée. Plusieurs Golfs sur les environs, etc.

Santé

La commune dispose d'un cabinet médical, mais pas de pharmacie. La pharmacie la plus proche se trouve sur la commune voisine de Maussane-les-Alpilles, à environ 1,5 kilomètre.

Les hôpitaux les plus proches sont sur Saint-Rémy ou Arles, à une dizaine de kilomètres environ.

Vie locale

Culte

Église paroissiale

Culte catholique à l'église paroissiale.

Environnement

Le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés est assuré dans le cadre des missions de la Communauté de communes de la Vallée des Baux[32].

Culture et patrimoine

Manifestations culturelles et festivités

Paradou fait partie des seize communes du Parc naturel régional des Alpilles qui accueille depuis 2010 « Harmonies d'Arménie », l'un des événements du Festival des Alpilles. L'objectif d'« Harmonies d'Arménie » est de faire connaître la culture millénaire de l'Arménie à travers deux de ses fiertés : la musique et la danse. La première édition, à laquelle participait d'ailleurs Charles Aznavour, a réuni sur scène les soixante-douze danseurs et danseuses de la troupe arménienne Goris Sassoun et Lewon Minassian, virtuose du doudouk arménien. Cette soirée dédiée à la musique et la danse de l'Arménie faisait suite à une conférence du professeur Edmond Khayadjian qui a présenté les liens littéraires, qui relient les Alpilles et l'Arménie, à travers les correspondances entre Alphonse Daudet, Frédéric Mistral et le poète arménien Archag Tchobanian.

Voulant développer ce premier succès d"Harmonies d'Arménie", la municipalité du Paradou a entrepris un jumelage avec la commune arménienne de Sissian.

Monuments et lieux touristiques

Oratoire à Paradou.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

  1. Sans article, d'après l'INSEE, ou Le Paradou avec article, selon la coutume, formulation employée également par le Conseil municipal, organe représentatif des habitants de la commune, ce qui oppose deux légitimités d'emploi.
  2. « Fiche sur habitants.fr ».
  3. La sismicité des Bouches-du-Rhône
  4. a et b Climat à Maussane-les-Alpilles, commune limitrophe, holidaycheck.fr.
  5. « Le climat », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, H. Bruneton, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, p. 23-24.
  6. « La Préhistoire des Alpilles », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, G. Sauzade, op. cit., p. 137.
  7. a, b et c Y. Marcadal, « Les oppida des Alpilles », in Les Alpilles, op. cit, p. 146.
  8. « Le peuplement des Alpilles durant l'âge du Fer », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, P. Arcelin, op. cit., p. 142.
  9. « Le peuplement des Alpilles durant l'âge du Fer », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, P. Arcelin, op. cit., p. 143.
  10. a, b et c Les carnets du patrimoine, op. cit., p. 344.
  11. Jacques Marseille (sous la direction de), Dictionnaire de la Provence et de la Côte d'Azur, Éd. Larousse, Paris, 2002, p. 577.
  12. L. Paulet, op. cit., pp. 169 à 186.
  13. L. Paulet, op. cit., p. 344.
  14. L. Paulet, op. cit., p. 348.
  15. Émile Garcin, Dictionnaire historique et topographique de la Provence ancienne et moderne, Tome II, Draguignan, 1835, rééd. Chantemerle, Nyons, 1972, p. 276.
  16. Dictionnaire de la Provence op. cit., p. 659.
  17. Pierre Alechinsky au Paradou
  18. Claude Darras, Pierre Alechinsky sous le signe de Cobra, Le Journal du Luberon, n° 53, automne 2010, p. 26.
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1876.
  20. Le Paradou, H. Ratyé-Choremi, coll. « Le Temps retrouvé », éd. Équinoxe, Marguerittes, 1990, p. 4.
  21. http://saintremydetoutesnosforces.over-blog.com/article-32882230.html
  22. http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/fiche.php?select_resultat=26138
  23. http://www.insee.fr
  24. CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl sur site de l'Insee. Consulté le 6 novembre 2010
  25. On parle des « formes les plus évidentes de culture » car, bénéficiant d'AOC, il s'agit d'un axe important de la communication locale.
  26. Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine
  27. Coteaux-des-baux-de-provence (AOC) sur le site de l'Institut National des Appellations d'Origine
  28. Louis Menjucq, président de l'ANIVIT (sous la direction de), Vins de pays de France,  éd. Romain Pages, Saint-Cloud, 1991, (ISBN 2908878151), p. 86.
  29. Huile d'olive de la vallée des Baux-de-Provence AOC
  30. Olives cassées de la vallée des Baux-de-Provence AOC
  31. Olives noires de la vallée des Baux-de-Provence AOC
  32. http://www.aspic.interieur.gouv.fr/Aspic2/asvixGroupementHTML.php?idGrpt=74&style=doc&x=1288173399
  33. « Cimetières des Alpilles », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, R. Bertrand, op. cit., p. 230.
  34. Petite Provence du Paradou
  35. Église Saint-Martin et les édifices religieux du Paradou
  36. « Églises de la fin du Moyen Âge à la Restauration », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, S. Aspord-Mercier, Ph. Mercier, op. cit., p. 219, 220.
  37. Sur les stars : [1] [2] [3]
  38. Sur les politiques : [4] [5]
  39. Autre source : [6]

Voir aussi

Bibliographie

  • M. Marie, J. Viard, La campagne inventée, Le Paradou, Actes Sud, 1977
  • Abbé L. Paulet, Les Baux et Castillon. Histoire des communes des Baux, du Paradou, de Maussane et de Mouriès, CPM. Marcel Petit, Raphèles-lès_Arles, 1987, 4987 (ISBN 2866730606) 
  • « Les Alpilles et la Montagnette », Carte archéologique de la Gaule, t. 13/2, 1999, p. 203-207, (ISBN 978-2877540599).
  • Patrick Saletta (sous la direction de), Provence Côte d'Azur - Les Carnets du Patrimoine, Les Guides Masson, Paris, 2000, 2000 (ISBN 2707204080) 
  • Jacques Marseille (sous la direction de), Dictionnaire de la Provence et de la Côte d'Azur, Éd. Larousse, Paris, 2002. (ISBN 2035751055)
  • Les Alpilles. Encyclopédie d'une montagne provençale, divers auteurs, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, (ISBN 978-2906162976).

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