- Le Croisic
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Le Croisic
La côte sauvage.
DétailAdministration Pays France Région Pays de la Loire Département Loire-Atlantique Arrondissement Saint-Nazaire Canton Croisic (chef-lieu) Code commune 44049 Code postal 44490 Maire
Mandat en coursMichèle Quellard
2008 - 2014Intercommunalité Communauté d'agglomération Cap Atlantique Site web http://www.lecroisic.fr/ Démographie Population 4 073 hab. (2008) Densité 905 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 0 m — maxi. 20 m Superficie 4,5 km2 Le Croisic est une commune française, située dans le département de Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire.
Sommaire
Géographie
Situation
Le Croisic est situé sur le littoral de la Loire-Atlantique, l'extrémité occidentale de la presqu'île guérandaise, et à une trentaine de kilomètres à l'ouest de Saint-Nazaire.
Les communes limitrophes sont Batz-sur-Mer à l'est et La Turballe au nord.
Selon le classement établi par l’INSEE en 1999, Le Croisic est une commune urbaine, une des 9 communes de banlieue de l’unité urbaine de Saint-Nazaire, qui s'étend de Donges au Croisic et fait partie de l’aire urbaine de Saint-Nazaire et de l’espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique). Le Croisic fait historiquement partie du Duché de Bretagne.
Géographie physique
Le Croisic, Batz-sur-Mer et Le Pouliguen se tiennent sur d'anciens îlots rocheux aux paysages très variés reliés au continent par un dépôt de sable qui a formé la dune de La Baule.
Au nord de la commune, se trouve le port situé à l'entrée des traicts (bras de mers s'enfonçant dans les terres et alimentant les marais salants)[1], autour duquel s'est développé le bourg. En face, à environ 550 mètres de celui-ci, se trouve l'extrémité sud de la pointe de Pen-Bron (dépendant de La Turballe) avec les bâtiments du centre hélio-marin. Cette presqu'île reliée également au continent par les dépôts de sable partant du continent, ont formé une dune.
Ces deux ceintures de sable ont ainsi isolé une zone marine, les traicts, qui est donc devenue plus calme et qui s'est ainsi transformée en vasière, aménagée depuis plus de mille ans pour former les Marais salants de Guérande.
Le littoral nord-ouest, ouest et sud de la commune sont constitués de côtes rocheuses et de dunes, moins densément urbanisées, baptisées Côte Sauvage. On peut voir l'écume des vagues, portée par le vent, jusque sur la route longeant la côte. L'intérieur de cette partie de la presqu'île constitue sans doute le dernier reliquat rural, autour de Pé la Mer, jusqu'à la côte Ouest.Toponymie
Le nom du Croisic viendrait de son toponyme breton Ar Groazig, où ar correspond à « le » ou « la », et où la terminaison -ig est un diminutif (comme -ette en français). Le terme groaz, lui, a plusieurs explications :
- il pourrait signifier « croix » : littéralement, Le Croisic signifierait donc « La Petite Croix » ;
- cependant, la meilleure des étymologies proposées semble être celle qui dérive du mot breton groaz : « grève ». Le Croisic signifierait alors, littéralement, le lieu de « La Petite Grève », nom fort bien en rapport avec sa situation : le port qui donne sur le traict, très sablonneux, ayant à redouter l'amoncèlement de dunes marines.
Histoire
Source : V. Vatier D'Ambroyse, Côtes vendéennes de Lorient à La Rochelle, Ed. Sanard Et Derangeon, 1892, 424 p.
Le Croisic est une petite ville, d'origine très ancienne, dans laquelle on a voulu retrouver l'un des ports bretons désignés par Ptolémée. Dès le milieu du Ve siècle, le Croisic devint une station préférée des marins saxons. Plusieurs fois ils battirent les Romains et quand, battus eux-mêmes, ils se voyaient forcés de se retirer, ce n'était jamais pour longtemps, car leurs compatriotes accouraient du nord à la rescousse : la position offrant trop d'avantages pour être négligée par ces habiles marins.
Avant l'établissement des grands ports militaires de Bretagne, le Croisic possédait une véritable importance. Il armait de forts navires, et à toutes les époques de l'histoire du duché de Bretagne, on retrouve avantageusement son nom. La fidélité de ses habitants aux ducs d'abord, puis aux rois de France, héritiers des ducs, resta si complète que des privilèges considérables lui furent assurés. Nicolas Bouchart, amiral de Bretagne né à Batz[2], tenant pour Jean de Montfort, fortifia la ville et y bâtit un château en 1355. Il réparait ainsi le mal que Louis d'Espagne, partisan de Charles de Blois, avait fait au port treize ans auparavant.
Le duc François II arma une flotte au Croisic, et accorda aux habitants plusieurs privilèges dont ils se montrèrent reconnaissants. Non seulement ils firent lever à l'armée de Charles VIII le siège de Nantes, mais encore ils contribuèrent à reprendre la ville de Vannes, enlevée par les Français. Plus tard, l'union de la Bretagne et de la France ayant été consommée, les Croisicais ne marchandèrent pas leur dévouement au nouveau souverain. Ils s'occupèrent avec ardeur des armements nécessaires pour réprimer les incursions des Anglais sur les rivages bretons. Quatre de leurs navires obtinrent l'honneur de la journée où si malheureusement périt le trop impétueux Portzmoguer (Primauguet) et où fut détruit le fameux vaisseau la Cordelière, construit par la reine Anne de Bretagne (1513).
« Le 29 avril 1557, dit Ogée, les habitants du Croisic écrivirent au duc d'Étampes, gouverneur de Bretagne, pour lui apprendre qu'ils avaient chassé les Espagnols de Belle-Île-en-Mer et pris une de leurs barques, où il s'était trouvé du sucre et des olives, et lui annoncer qu'ils lui conservaient quatre pains de sucre et un baril d'olives provenant de cette prise. »
Jusqu'en 1597, le Croisic resta au rang des plus fortes places bretonnes ; mais à cette époque Henri IV, vainqueur de la Ligue, acheva de pacifier le comté nantais. Le capitaine La Tremblaye vint assiéger et réduisit la ville, dont il démolit les fortifications et le château. À cette occasion surgit une réminiscence du célèbre épisode du siège de Calais par Édouard III d'Angleterre. Le capitaine avait imposé au Croisic une rançon de trente mille écus, somme considérable. On cherchait vainement à satisfaire le vainqueur ; alors vingt-deux habitants notables, désirant éviter à leur ville la continuation des représailles exercées par les troupes s'offrirent en otage. Les pauvres gens ne s'attendaient point à être si mal récompensés de leur belle action... Soit faute de ressources, soit pour toute autre cause, leurs concitoyens les laissèrent en prison. À grand peine, et après nombre de suppliques, purent-ils obtenir que la rançon dont leur personne répondait fût répartie sur la paroisse entière !
Un des derniers faits d'armes concernant le Croisic se passa, le lendemain de la bataille des Cardinaux le 21 novembre 1759. L'amiral de Conflans, « par une manœuvre sans excuses comme sans précédents dans la marine française [son vaisseau et son équipage étaient intacts], fit couper les câbles du Soleil-Royal et vint s'échouer à l'entrée du port vers sept heures du matin ». Le Héros, complètement désemparé, venait aussi faire côte à ce même port. L'épilogue du terrible combat devait être lamentable. Le maréchal français ordonna de brûler son vaisseau, quoiqu'il y ait lieu de croire que le Soleil-Royal pouvait être sauvé. Cet ordre fut exécuté, mais les Britanniques « voulurent avoir leur part dans l'incendie », et deux jours après, le 24 novembre, cinq chaloupes ennemies vinrent brûler le Héros. Ceci encore se passa sous les yeux de Conflans !...
Quinze jours environ s'écoulent, et l'amiral britannique s'avise qu'il doit envoyer retirer les canons des vaisseaux incendiés. En conséquence, il adresse aux Croisicais un ultimatum portant « que si l'on tentait de s'y opposer [au retrait des canons], il bombarderait la ville et la réduirait en cendres ». Mais sir Edward Hawke n'avait plus affaire à M. de Conflans. Les Croisicais, loin de se montrer effrayés par ses menaces, refusèrent de laisser enlever les pièces. Irrités, les Britanniques s'embossèrent et ouvrirent le feu. Pendant trois jours, les champs furent sillonnés par des boulets. Une bombe tomba dans le milieu du Croisic, devant la porte principale de l'église. Les habitants n'en persévérèrent pas moins dans leur patriotique résolution, et les assaillants durent renoncer à de nouveaux trophées d'une victoire dont ils avaient déjà tant de preuves. Longtemps, on travailla à l'extraction de l'artillerie et des débris des deux bâtiments. Un hardi plongeur, nommé Corron, ou Gotton, né au Croisic, et dont, disait-on, « la fortune était au fond de l'eau », rendit d'immenses services en cette circonstance...
Ainsi le Croisic, soit en se défendant, soit en arrachant aux ennemis nos épaves, se montrait digne de son antique réputation, et des lettres patentes qui lui avaient été octroyées, en 1618, par Louis XIII ; pour récompenser « le zèle des Croisicais à défendre, à leurs frais et dépens, le territoire, nous les dispensons de toute solde, impault et subsides... »
Au XIXe siècle, le Croisic possédait un très joli petit port, très gai, très riant, très animé par un actif va-et-vient de navires caboteurs et de barques de pêche, surtout au moment du passage de la sardine. Les marais salants et les bains de mer, ces derniers très fréquentés, entretiennent la prospérité de la ville. La bourgeoisie des environs, nantaise en particulier, profite de l'arrivée du train pour descendre dans la jeune station balnéaire. Un drame au bord de la mer de Balzac a pour cadre Le Croisic et la Grande Côte. L'écrivain séjournait non loin, en 1834 avec Laure de Berny, à Batz-sur-Mer quand il rédigeait ce court récit romanesque.
Vue panoramique de la baie de Castouillet Langue bretonne
Le breton a toujours été présent au Croisic, comme le prouve la toponymie.
En 1700, une carte montre la paroisse clairement en zone bretonnante et non en zone francophone[3].
En 1911, l'enquête sur la langue bretonne de la presqu'île de Batz est effectuée au Croisic chez une dame de 72 ans[4]. Le Croisic ne parle en réalité aujourd'hui que rarement cette langue, et ce uniquement grâce à l'arrivée saisonnière de pêcheurs cornouaillais. La pratique du breton local dit de Batz-sur-mer a disparu à la fin du XIXe siècle.
Lieux et monuments
- Menhir de la Pierre Longue, datant du Néolithique, situé sur le front de mer, avenue de la Pierre-Longue.
- Chapelle du Crucifix des XVe siècle-XVIe siècle
- Chapelle Saint-Goustan des XVe siècle-XVIe siècle
- Église Notre-Dame-de-Pitié des XVe siècle-XVIe siècle. Cette curieuse église domine le port de sa tour lanterne du XVIIe siècle, haute de 56 mètres. L'intérieur présente une nef courte, un chevet plat éclairé d'une baie flamboyante, et trois bas-côtés.
- Croix de Kervaudu du XVIIe siècle
- Hôtel d'Aiguillon : bâti à la fin du XVIIe siècle, vers 1675, il a abrité la mairie.
- Manoir de Kervaudu : gentilhommière datant de la fin du XVe siècle. Ce domaine de l'homme noir ("Kervaudu") a notamment appartenu à Aubin Le Roy, un des premiers protestants de la ville, et au peintre néo-impressionniste Ferdinand Puigaudeau. C'est le premier manoir breton à être classé monument historique en 1921.
- Maisons anciennes. Pour découvrir ces belles demeures en encorbellement et à pans de bois, il faut parcourir les petites rues proches de l'église.
- Le Mont-Esprit, immédiatement à l'Est de la gare. Haut de trente mètres, ce monticule doit sa présence aux Scandinaves venus acheter du sel au Moyen Âge. Le lest relâché au Croisic donna également naissance aux jonchères du port (Grande/Petite/Criée/Prince), ainsi quau Mont-Lénigo (18 m). Au XIXe siècle, le Mont-Esprit fut aménagé en parc, surmonté d'un promontoire hélicoïdal. Au sommet, le regard embrasse une large vue, de Batz à l'océan.
Emblèmes
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes de Loire-Atlantique.Blasonnement Commentaires : Armes de la famille de Terves (duché de Coislin) ; blason sculpté vers 1630 en l'hôtel de Coislin. Les mouchetures d'hermine évoquent le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. La croix de gueules rappelle le champ du blason de Nantes (Nantes qui, rappelons-le, fût une des capitales de la Bretagne).Victor Adolphe Malte-Brun, dans La France illustrée de 1882, nous propose une autre version : D'azur, à la croix d'argent, cantonnée de quatre mouchetures d'hermine d'or. Cette version n'a pas cours aujourd'hui et il semble même douteux qu'elle ait existé un jour : les mouchetures d'hermine, symbole de la Bretagne, sont toujours de sable sur champ d'argent, et ici on semble plutôt avoir affaire à une vision très « France » : champ d'azur et mouchetures d'hermine d'or, alternative « bretonne » au champ d'azur et fleurs de lys d'or habituel…
Blason du Comte de Terves, dont la famille est originaire du Croisic :
Devise
La devise du Croisic : Crociliacis Signum Insigna.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité - - - 1954 1971 Jean Clenet 1971 1977 Léon Le Cléac'h 1977 1983 Pierre Thomère 1983 1986 Louis Jaunay 1986 1986 Jacques Guilleux 1986 1989 Jean Auffret 1989 1995 Marcel Laurent mars 1995 mars 2008 Christophe Priou UMP Député mars 2008 (2014) Michèle Quellard[5],[6] Divers droite Toutes les données ne sont pas encore connues. Démographie
Évolution démographique
En 2008, Le Croisic comptait 4 073 habitants (soit une diminution de 5 % par rapport à 1999). La commune occupait le 2 467e rang au niveau national, alors qu'elle était au 2 198e en 1999, et le 65e au niveau départemental sur 221 communes.
L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Le Croisic depuis cette date. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Le Croisic, cela correspond à 2008, 2013, etc. Les autres dates de « recensements » (2006, etc. ) sont des estimations[7],[8],[N 1].
Le maximum de la population a été atteint en 1990 avec 4 428 habitants.
Histogramme Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (45 %) est en effet supérieur au taux national (22,1 %) et au taux départemental (20,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (54,7 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 45,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 11,9 %, 15 à 29 ans = 12,2 %, 30 à 44 ans = 15 %, 45 à 59 ans = 21 %, plus de 60 ans = 40 %) ;
- 54,7 % de femmes (0 à 14 ans = 9,4 %, 15 à 29 ans = 9,2 %, 30 à 44 ans = 13,6 %, 45 à 59 ans = 18,6 %, plus de 60 ans = 49,1 %).
Économie
Activités principales : pêche, conchyliculture, tourisme.
- Port de pêche géré par la Chambre de commerce et d'industrie de Nantes et de Saint-Nazaire. Premier port de France pour la pêche à la crevette rose. Les coques sont une autre des spécialités (conchyliculture).
Transport
La commune possède sa propre gare SNCF, terminus de la ligne Saint-Nazaire - Le Croisic, prolongement de la ligne en provenance de Tours, qui est actuellement desservie par la ligne 1 du TER Pays de la Loire, par le TER Interloire et les TGV en provenance notamment de Paris-Montparnasse.
En outre, les autocars départementaux du Réseau Lila, notamment par les lignes E (Le Croisic - La Baule - Saint-Nazaire), P (Guérande - Le Pouliguen - Le Croisic) et la ligne interne Croisi'bus, desservent en tout 21 arrêts situés sur le territoire de la commune.
Les opérations d'urbanisation du centre de la Presqu'île
En 2005-2006 a eu lieu une opération de dynamisation du centre de l'île, par la construction de plusieurs lotissements d'habitats individuels. L'objectif était de permettre aux familles, en particulier les jeunes, de pouvoir s'ancrer dans la presqu'île, au lieu d'avoir à aller vivre à Saint-Nazaire ou Nantes.
Écologie
Les traicts du Croisic, zone humide au nord, commune aux villes du Croisic, de Batz-sur-Mer, de Guérande (entre autres), est une zone pseudo fermée, ou seul un étroit passage entre le port du Croisic et la pointe de Pen-Bron permet le passage de la mer. Le passage fait moins de 300 mètres de large, alors qu'il alimente une étendue de plus de 4 kilomètres de diamètre. Ce goulot d'étranglement provoque ainsi de puissants courants marins lors des fortes marées, du fait du volume d'eau passant d'un côté à l'autre.
Cette zone du traict permet à l'eau salée de rentrer profondément dans les terres, sur plusieurs dizaines de kilomètres, et d'alimenter en particulier les marais salants de Guérande. C'est aussi et surtout une zone écologiquement très riche, où l'Homme, par les marais salants, contribue au maintien de cet éco-système fragile. Le traict est d'ailleurs classé zone Natura 2000, réseau européen qui "a pour objectif de maintenir les espèces et les habitats d’intérêt communautaire dans un bon état de conservation"[14].
Personnalités liées à la commune
- Hervé Rielle (1654-1729), matelot, pilote audacieux à la bataille de la Hougue en 1692, né et décédé au Croisic.
- Pierre Bouguer (1698-1758), mathématicien, physicien et hydrographe français, né au Croisic.
- Paul Desforges-Maillard (1699-1772) dit Mademoiselle de Malcrais de la Vigne, avocat et poète, né et décédé au Croisic.
- Henri Becquerel (1852-1908), physicien français et Prix Nobel de physique, est décédé au Croisic.
- Jacques-Yves Le Toumelin (1920-2009), navigateur français, a fait le Tour du monde en solitaire en 1949-1952, sur le Kurun.
- Philippe Avron (1928-2010), acteur français, est né au Croisic.
- Claude Chabrol (1930-2010), cinéaste français, vivait au Croisic avec son épouse depuis 2004[15]
- Alain Maillard de La Morandais (1935-), prêtre français, est né au Croisic.
- Jean-Christophe Le Texier dit « Tex » (1960-), animateur et humoriste français, est né au Croisic.
- Nicolas Bouchart (-), amiral de Bretagne, capitaine du Croisic.
Jumelage
La ville est jumelée avec :
Voir aussi
Bibliographie
- Farid Abdelouahab (dir.) (préf. Jack Lang), Regards objectifs : Mieusement et Lesueur photographes à Blois, Paris, Somogy, 2000, 183 p. (ISBN 2-85056-436-2), p. 64-65.
Photographies de Séraphin-Médéric Mieusement de la chapelle Saint-Goustan en 1887.
Articles connexes
- Côte d'Amour
- Communes de la Loire-Atlantique
- La Baule - Presqu'île de Guérande
Liens externes
Notes et références
Notes
* pour 2004 et 2005 la population réelle publiée dans la base Cassini (attribuée par convention à l'année 2006 par l'EHESS) si elle existe ;
* la population 2006, première population légale connue post-1999 publiée par l’Insee ;
* les populations suivantes correspondant aux années réelles de recensement publiées par l’Insee ;
* la dernière population légale publiée par l’Insee.
Afin de permettre une comparaison entre communes, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999, de présenter :
Références
- Présentation des Traicts du Croisic
- Fernand Guériff & Gaston Le Floc'h, Terroirs du pays de Guérande, Éditions Label LN - Brest 2006 (ISBN 2 915915 14 8)
- http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://www.garwood-voigt.com/catalogues/H22415BretagneValk.jpg&imgrefurl=http://www.garwood-voigt.com/catalogues/france.htm&usg=__vN0So0dBrE_hgbDwy2KvSeFZeCs=&h=469&w=566&sz=102&hl=fr&start=5&um=1&itbs=1&tbnid=qKVf5D6GgPBINM:&tbnh=111&tbnw=134&prev=/images%3Fq%3DTabula%2Bducatus%2Bbritanniae%2Bgallis%26um%3D1%26hl%3Dfr%26sa%3DN%26tbs%3Disch:1
- http://sbahuaud.free.fr/ALBB/_09_Roll%20ar%20parrezio%F9-2.jpg
- HippocampeInfo2 Avril 2008
- Le Croisic : une femme à la barre
- Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V des « opérations de recensement »
- Calendrier de recensement sur insee.fr. Consulté le 7 juillet 2011
- Le Croisic 1836 sur Archinoë portail d'indexation collaborative. Consulté le 7 juillet 2011
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur Base Cassini de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 7 juillet 2011
- Évolution et structure de la population sur Résultats du recensement de la population - 2008. Consulté le 7 juillet 2011
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur insee.fr. Consulté le 7 juillet 2011
- Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique en 2008 sur insee.fr. Consulté le 7 juillet 2011
- http://www.natura2000.fr/-Les-objectifs-de-Natura-2000-
- Article du Télégramme du 12/09/2010
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