- 10e régiment de dragons
-
10e Régiment de Dragons
Insigne régimentaire du 10e régiment de Dragons.Période 1674 – 1962 Pays France Branche armée de terre Type régiment de dragons Rôle cavalerie Ancienne dénomination • Tessé Dragons
• Mestre de Camp GénéralDevise Victoria pinget Inscriptions sur l’emblème Valmy 1792
Fleurus 1794
Austerlitz 1805
Eylau 1807
Friedland 1807
Artois 1914
Le Matz 1918
AFN 1952-1962Guerres Première Guerre mondiale
guerre d'AlgérieDécorations Croix de guerre 1914-1918
une étoile argentCommandant historique René III de Froulay, comte de Tessé modifier Le 10e régiment de dragons (10e RD) est une unité de cavalerie de l'armée française. Elle est créée en 1674 par le comte de Tessé, sous le nom de Tessé Dragons. Elle devient en 1685 le Mestre de Camp Général, puis en 1791 le 10e régiment de dragons. Elle est dissoute en 1962.
Création et différentes dénominations
Le Tessé Dragons est levé par René III de Froulay, comte de Tessé[1] le 25 mars 1674.
Ayant acheté au comte de Quincé[2] une charge « caponne » (non effective) de général des carabins[3], le comte de Tessé obtient du roi, le 17 décembre 1684[4], qu'il en fasse une charge de mestre de camp général des dragons[5], charge attribuant un régiment particulier. Le Tessé Dragons devient donc le Mestre de Camp Général. La plupart des sources donnent 1685 comme année de changement de nom[6]. Quelques-unes donnent 1684[7], c'est-à-dire l'année à la fin de laquelle le roi crée la charge.
Lors de la Révolution, le règlement du 1er janvier 1791 stipule que les régiments ne seront plus désignés que par le numéro de leur rang de création. Le régiment Mestre de camp Général, classé deuxième de l'arme (après le Colonel Général), rétrograde au dixième rang. Il devient le 10e régiment de dragons[8].
Le 18 juin 1811, le 10e régiment de dragons est dissous. Il devient le chevau-légers lanciers, lui-même licencié le 21 novembre 1815[9].
- 1816. Dragons de la Seine.
- 1825. Dissous (10e régiment de cuirassiers).
- 1825. 10e régiment de dragons.
- 1939. Dissous. Le régiment se répartit, et donne naissance à cinq groupes de reconnaissance.
- 16 avril 1945. 10e régiment de dragons.
- 1er novembre 1945. Dissous.
- 15 mai 1956. 10e régiment de dragons.
- 31 octobre 1962. Le régiment est dissous[10].
Chefs de corps
Mestres de camp généraux
- 1674. René de Froulay de Tessé. À la création, le major est Philibert-Emmanuel de Froulay, dit le chevalier de Tessé, frère cadet du comte[11].
- 1691. Louis, comte de Mailly.
- 11 mai 1696. Antoine V de Gramont.
- 25 mars 1703. Gabriel-Étienne-Louis Texier, marquis d'Hautefeuille[12].
- 5 juillet 1709. Charles Louis Auguste Fouquet de Belle-Isle[13].
- 9 juin 1736[14]. Marie-Charles-Louis d'Albert, duc de Luynes, duc de Chevreuse.
- 24 janvier 1754. François-Henri de Franquetot de Coigny[15].
- Octobre 1771. Louis-Joseph-Charles-Amable d'Albert de Luynes.
- En 1789, François-Marie-Casimir de Franquetot, marquis de Coigny[16].
Colonels, chefs-de-brigade et chefs d'escadrons
- 1791. Chevalier Joseph-Mercure d'Estresses, colonel.
- 1792. Joachim-Joseph Neuilly, colonel.
- 1792. Jean-Louis La Roque, colonel.
- 1793. Antoine-François Pierson, chef-de-brigade.
- 1795. Jean-Baptiste Godard, chef-de-brigade.
- 1800. Jacques-Marie Cavaignac, chef-de-brigade.
- 1806. Jean-Baptiste Dommanget, colonel[6].
- 1811. Francois-Félicité Chabert, colonel. Balzac l’a connu, mais il ne semble pas s’être inspiré de lui pour son Colonel Chabert[17].
- 1814. Louis-Claude Chaillot, colonel[18].
- 1907. Colonel Billet[10].
- 1914. Colonel du Plessix.
- 1917. Colonel Menu du Mesnil.
- 10 janvier 1918. L'état-major du régiment est supprimé : départ du colonel Menu du Mesnil. Jusqu’à janvier 1919, le régiment est partagé en deux groupes de deux escadrons chacun.
- 10 février 1919. Colonel Devanlay[19].
- En 1938 et 1939, colonel Desprez[20].
- 1956. Lieutenant-colonel Viard.
- Lieutenant-colonel d'Achon.
- Chef d'escadrons Issaverdens.
- Lieutenant-colonel Rostain.
- Chef d'escadrons Bouland.
- Chef d'escadrons Henriot.
- 1962. Lieutenant-colonel Perrier[21],[10].
Historique des garnisons, combats et batailles
Ancien Régime
À partir d'août 1674 et jusqu'au début de 1675, le régiment sert en Roussillon dans les troupes aux ordres du comte de Schomberg[22]. En avril 1675, il s'apprête à embarquer pour l'expédition de Messine, lorsqu'il est appelé pour réprimer la révolte du papier timbré, d'abord en Guyenne[23] ; puis en Bretagne (il débarque au Port-Louis à la fin du mois d’août[24]) ; enfin à Bordeaux, du 17 novembre au 31 décembre[25].
Après la révocation de l’édit de Nantes (1685), près de 12 000 protestants trouvent refuge dans la principauté d'Orange[26] : dès 1685, le Mestre de Camp Général est appelé à y opérer des « conversions militaires[27] ». Il semble être resté occupé à cette tâche jusqu'à la fin 1687[28].
Durant la guerre de la Ligue d'Augsbourg (1688-1697), le comte de Tessé se montre « l’implacable exécuteur[4] » des ordres de Louvois concernant le second ravage du Palatinat. Le régiment combat avec Catinat à la bataille d’Avigliana le 28 mai 1690[29], à celle de Staffarda le 18 août de la même année[19] et à celle de La Marsaille, le 4 octobre 1693[30].
Il combat dans la guerre de Succession d'Espagne (1701-1713). Le 20 septembre 1703, il est à la bataille de Höchstädt[19].
Il combat dans la guerre de Succession de Pologne (1733-1735).
Durant la Guerre de Succession d'Autriche (1740-1748), il participe en 1741 à l’invasion de la Bohême. Le 27 juin 1743, il est à la bataille de Dettingen. Il participe à la campagne de Flandre (1744-1748). Il est à la Bataille de Fontenoy, le 11 mai 1745[19].
Durant la guerre de Sept Ans (1756-1763)[10], la charge de mestre de camp général appartient à François-Henri de Franquetot, duc de Coigny, âgé de dix-neuf ans au début du conflit. Le commandement effectif du régiment est assuré durant cette guerre :
- jusqu’au 27 mars 1761, par Gabriel Augustin de Franquetot, comte de Coigny, colonel-lieutenant ;
- à partir du 28 mars 1761, par Jean Charles, marquis de Ville, colonel-lieutenant[7].
Le Mestre de Camp Général combat le 26 juillet 1757 à Hastenbeck et le 23 juin 1758 à Krefeld[7].
En août 1790, le Mestre de Camp Général est un des trois régiments impliqués dans l'affaire de Nancy.
Guerres de la Révolution et de l’Empire
Campagnes
- 1792-1794. Armées du Nord et des Ardennes.
- 1794. Armée de Sambre-et-Meuse.
- 1795-1797. Armée de Rhin-et-Moselle.
- 1799. Invasion anglo-russe de la Hollande.
- 1800-1801. Armée des Grisons.
- 1802. Expédition de Saint-Domingue.
- 1805-1807. Grande Armée.
- 1806-1807. Campagne de Prusse et de Pologne.
- 1809-1811. Campagne d’Espagne[10].
Batailles
- 1792. Bataille de Valmy, bataille de Jemappes.
- 1793. Neerwinden, Cambrai.
- 1794. Bataille de Fleurus, bataille de Sprimont, Coblence.
- 1795. Mayence, Mont-Tonnerre.
- 1796. La Rehutte, bataille de Rastatt, Ettlingen.
- 1799. Bataille de Bergen, bataille d'Alkmaar, bataille de Castricum.
- 1800. Passage du col du Splügen.
- 1805. Bataille d'Ulm, bataille d'Austerlitz.
- 1806. Le régiment ne participe pas à la bataille d'Iéna, mais il est engagé dans la poursuite des Prussiens, puis dans les combats de Boitzenburg et de Prentzlow.
- 1807. Bataille d'Eylau : sous les ordres du colonel Dommanget, le régiment participe à la plus grande charge de cavalerie de tous les temps[31] (10 000 à 12 000 cavaliers), conduite par Murat.
- 1807. Bataille de Friedland.
- 1809. Bataille d'Alba de Tormes.
- 1810. Siège de Ciudad Rodrigo.
- 1811. Bataille de Fuentes de Oñoro[6].
De 1815 à 1914
Première Guerre mondiale
1914
Lorraine
- 23 août. Gerbéviller.
- 25 et 26 août. Rozelieures[31].
Première bataille de la Marne
- 4 septembre Saint-Barthélémy.
- 9 septembre. Château-Thierry[19].
- 12 septembre. Fismes.
- 13 septembre. Sud de Craonne.
- 23 septembre. Chaulnes, Péronne.
- 24 septembre. Dompierre.
- 27 septembre. Miraumont.
Bataille de l’Artois
Bataille des Flandres
- 1er novembre. Dranouter.
- 7 novembre. Messines (à pied)[31].
1915 et 1916
Arrivé en Alsace en décembre 1914, le 10e régiment de dragons va y rester jusqu’en mai 1916 : secteur d’Aspach, puis de Michelbach, de Burnhaupt[32], de Balschwiller, de Fulleren et de Pfetterhouse[19].
1917
Bataille du Chemin des Dames
16 avril-5 mai. Les Cavaliers de Courcy (à pied).
1918
- 25 avril-15 mai. Combats des Monts des Flandres.
- 27 mai-10 juin. Bataille de l’Aisne : combats des bords de la rivière Matz[31].
Entre-deux-guerres
Le régiment prend garnison en 1923 à Alençon, puis à Dinan, puis en 1936 à Orange.
Seconde Guerre mondiale
Le Groupement de Cavalerie est destiné à former à la mobilisation des Groupes de Reconnaissance. Aussi, dès la déclaration de guerre, le 10e régiment de dragons disparaît-il en tant que tel pour se répartir, et donner naissance à cinq Groupes de Reconnaissance :
- 21e Groupe de Reconnaissance de Corps d'Armée (21e GRCA)
- 5e GRDI)
- 26e GRDI)
- 34e GRDI)
- 72e GRDI)
Recréé à Orange le 16 avril 1945, le 10e régiment de dragons est dissous le 1er novembre[31].
Guerre d'Algérie
- Juin 1956. Secteur côtier, à l’ouest d’Aïn Témouchent.
- 14 octobre 1957. Région de Rio Salado.
- À partir du 27 octobre 1958. Opérations à Saïda, Aflou, Béni Saf, Méchria, Rouïba.
- 1er mars 1959 au 11 février 1962. Opérations à Tiaret, Frenda, Aflou, Trezel, Aïn Kermes, Laghouat, Djelfa, Maghnia.
Faits d'armes faisant particulièrement honneur au régiment
- 6 novembre 1792, Jemmapes. Le 10e régiment de dragons enfonce les redoutes tenues par les Austro-Hongrois.
- 26 juin 1794, Fleurus. Action déterminante.
- 14 juin 1807, Friedland. Charges[31].
- 9 juin 1918, bataille de l'Aisne : défense du Plémont et du plateau Saint-Claude. Une page d’honneur est notamment écrite par le lieutenant d’Allens et par ses vingt dragons du 3e escadron[19].
Étendard
Les noms des batailles s'inscrivent en lettres d'or sur le drapeau, ainsi que l'inscription AFN[33],[34].
- Valmy 1792
- Fleurus 1794
- Austerlitz 1805
- Eylau 1807
- Friedland 1807
- Artois 1914
- Le Matz 1918
- AFN 1952-1962
Traditions et uniformes
Habillement, équipement et armement des régiments de dragons font l’objet d’une ordonnance et d’un règlement royaux le 1er mai 1750. Par privilège, les régiments Colonel Général et Mestre de Camp Général peuvent continuer à porter à leurs housses les trophées qu'ils ont coutume d’y porter. Les couleurs affectées au Mestre de Camp Général sont : « Habit, paremens, veste & doublure rouges ; housse & chaperon rouges, bordés de noir ; bonnet & revers rouges, bordés d'un galon noir ; épaulette et cordon de sabre noirs[35]. »
L’ordonnance et le règlement royaux du 9 avril 1757 apportent des modifications : « Mestre-de-camp général… Habit & veste rouges, paremens & doublure blancs, la veste aura des revers blancs, ou une patelette blanche sur la manche de la veste[36] ».
L’ordonnance d’habillement de 1786 fixe les uniformes des régiments de dragons. Le fond de l’habit est vert foncé (vert dragon). La doublure et les retroussis sont de la couleur distinctive attribuée à chaque régiment. Pour le Mestre de Camp Général : revers écarlate, parements verts, boutons jaunes, poches en travers, boutonnières en galon aurore à l’habit[37].
Insigne
1938 à 1939
Proposé par le colonel Desprez. Écu français moderne de fond doré. Trois étendards, un bleu, un blanc, un rouge. Un cor bleu et, sur fond bleu, une branche d’oranger portant trois fruits sont empruntés aux armes de la ville d’Orange, ville de garnison du régiment depuis 1936. Le tout est surmonté, sur fond vert (couleur de l’uniforme des dragons, de 1762 à 1868) : d’un casque d’argent en relief, portant le chiffre 10 ; de deux lances avec flamme rouge et blanc ; et de la devise Victoria pinget.
1945
Écu aux armes du comte de Tessé, fondateur du régiment : croix de Saint-André « dentelée de gueules sur fond d'argent », surmontée de la devise Victoria pinget.
1956 à 1962
Même insigne que celui de 1938, mais le casque y est plat et doré[20].
Devise
Depuis 1684[38] (époque à laquelle le Tessé Dragons devient le Mestre de Camp Général), la devise est : Victoria pinget[8],[1] (« La victoire l’illustre »). Elle est inscrite sur les guidons du régiment Mestre de Camp Général.
Personnages célèbres ayant servi dans le régiment
- Maréchal de Tessé, fondateur du régiment.
- Maréchal de Gramont (Antoine V).
- Maréchal de Belle-Isle.
- Maréchal de Coigny (François-Henri, 1737-1821).
- Général Jacques-Marie de Cavaignac[39].
- Général Justin Laffite, engagé comme simple dragon le 8 septembre 1789[40].
- Colonel Athanase Clément de Ris, comme simple dragon.
- Général Alexandre d'Alton.
- Général Jean-Baptiste Dommanget[6].
Notes et références
- « Régiment Mestre de camp Général Dragons », sur drapeaux.org. Arnaud Bunel,
- 40 000 livres à Louis de Quincé (fils de Joachim de Quincé, mort à Madrid en 1659), comte du Saint-Empire romain germanique, mestre de camp, général des carabins, gouverneur de la ville de Domfront. Tessé achète la charge pour
- « Les armes de la cavalerie », sur invalides.org. Sous Louis XIII, les compagnies de carabins sont retirées des régiments de cavalerie légère pour former des régiments. Mais le général des carabins dépend du colonel général de la cavalerie. Sa charge équivaut donc à une charge de mestre de camp général. On trouve encore des carabins en 1665. La charge subsiste un temps après leur suppression. Guillaume Le Blond, « Cavalerie », sur alembert.fr. Les carabins sont des cavaliers armés d'une carabine.
- col. 1034. Dr Hoefer (dir.), Nouvelle biographie générale depuis les temps les plus reculés jusqu’à 1850-1860, Firmin Didot, 1864, t. XLIII,
- Saint-Simon, Mémoires, coll. « Bibliothèque de La Pléiade », Gallimard, 1953, t. I, p. 305 et 306.
- (en) « 10e régiment de dragons », sur napoleon-series.org.
- « Mestre de Camp Général de dragons », sur vial.jean.free.fr. Jean Vial,
- « 10e régiment de dragons », sur 1789-1815.com.
- « 5e régiment de chevau-légers lanciers », sur empire.histofig.com. Frédéric Pouvesle,
- « 10e régiment de dragons », sur cavaliers.blindes.free.
- 4 août 1681 : le Bursard Dragons, qui deviendra plus tard le 20e régiment de dragons. Treuttel et Würtz, notes de Mémoires et Lettres du maréchal de Tessé, Paris, Strasbourg, Treuttel et Würtz, 1806, t. I, p. 5 et 8. Le comte de Tessé procurera un régiment à son frère le
- Saint-Simon, op. cit., t. II, p. 178 et 179.
- soreze.com. « Charles-Louis-Auguste Fouquet, Maréchal de Belle-Isle », sur
- « Charles-Louis-Auguste Fouquet », sur marcmaison.fr.
- « Marie François Henri, duc de Coigny de Franquetot », sur gw4.geneanet.org.
- « Dragons », sur napoleon-series.org.
- « En marge de la bataille d'Eylau : mais qui était donc le colonel Chabert ? ». Robert Ouvrard,
- « Chaillot (Louis-Claude) », sur lesapn.forumactif.fr. Jean-Pierre Bibet,
- Historique du 10e régiment de dragons : 1914-1918, sur tableaudhonneur.free. Martial Lopez,
- collection-insignes-napo39.fr. « Histoire des insignes du 10e régiment de dragons », sur praetiritifides.chez.com
- « Fiche Algérie 1954-1964 du 10e Dragons », sur cavaliers.blindes.free.fr Lieutenant-colonel Claude Aïcardi,
- Treuttel et Würtz, op. cit., t. I, p. 5.
- Émile Laloy, La Révolte de Messine : l'expédition de Sicile et la politique française en Italie (1674-1678), Klincksieck, 1929, t. II, p. 48.
- et 154. Yvon Garlan, Claude Nières, Les Révoltes bretonnes de 1675 : papier timbré et bonnets rouges, coll. « Problèmes/Histoire », Éditions sociales, 1975, p. 153
- Archives historiques de la Gironde, 1906, t. 41. p. 256.
- « L’héritage de la principauté d’Orange : enjeu entre le protecteur des Provinces-Unies et le roi de France », sur rha.revues.org, Revue historique des armées, n° 253, novembre 2008. Rémy Porte,
- col. 1034 et 1035. Dr Hoefer, op. cit., t. XLIII,
- Treuttel et Würtz, op. cit., t. I, p. 13.
- Antoine Ier de Monaco, coll. « Mémoires et documents historiques », Imprimerie de Monaco, 1917, p. xx. André Le Glay, introduction aux Lettres du maréchal de Tessé au prince
- claude.larronde.pagesperso-orange.fr. Claude Larronde, « Les Officiers vicquois sous le règne de Louis XIV », sur
- « Historique succinct du 10e régiment de dragons », sur cavaliers.blindes.free.fr Lieutenant-colonel Henri Azema,
- Burnhaupt-le-Haut et Burnhaupt-le-Bas sont deux localités distantes d'1,5 km.
- n° 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, n° 27, 9 novembre 2007. Décision
- 19 novembre 2004, (A) NORDEF0452926A, Michèle Alliot-Marie. Arrêté relatif à l'attribution de l'inscription AFN 1952-1962 sur les drapeaux et étendards des formations des armées et services,
- « Ordonnance du Roy concernant l'habillement, l'équipement & l'armement de ses régimens de Dragons », sur praetiritifides.chez.com.
- « Ordonnance du Roy, Concernant l'Habillement de ses régimens de Dragons. Du 9 Avril 1757 », sur genealogie.over-blog.com/.
- « Dragons 1789 », sur 1789-1815.com.
- « Les devises militaires françaises », sur armees.com.
- « Cavaignac Jacques Marie, général vicomte de Baragne (1773-1855) », sur appl-lachaise.net.
- « M. Justin Laffite », sur lesbataillonsdevolontaires.wifeo.com, Dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889, Bourloton, 1889-1891. A. Robert, G. Cougny,
Voir aussi
Bibliographie
- Lieutenant Charles-Alexandre-Marie-Céleste d’Ollone, Historique du 10e régiment de dragons, Berger-Levrault, 1893.
- Martial Lopez, Historique du 10e régiment de dragons résumé pendant les cinq campagnes contre l’Allemagne : 1914-1918, sur tableaudhonneur.free, éd. abrégée, Montauban, Georges Forestié, 1920.
Articles connexes
- Affaire de Nancy
- Dragon (militaire)
- Liste des grades dans l'armée française
- Liste des régiments français
- Mestre de camp général
- Régiment de cavalerie français
- Régiments français d'ancien régime
Liens externes
- Portail du monde équestre
- Portail de l’histoire militaire
Catégories :- Unité de cavalerie française dissoute
- Unité militaire de la Première Guerre mondiale
- Unité militaire de la Seconde Guerre mondiale
- Unité militaire française historique
- Unité de l'armée française
- Unité militaire durant les Guerres de la Révolution française
Wikimedia Foundation. 2010.