- Luçon (Vendée)
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Luçon
Hôtel-de-Ville de Luçon.
DétailAdministration Pays France Région Pays de la Loire Département Vendée Arrondissement Fontenay-le-Comte Canton Luçon (chef-lieu) Code commune 85128 Code postal 85400 Maire
Mandat en coursPierre-Guy Perrier (UMP)
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Pays né de la mer Site web http://www.lucon.fr/ Démographie Population 9 753 hab. (2008) Densité 309 hab./km² Gentilé Luçonnais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 1 m — maxi. 40 m Superficie 31,52 km2 Luçon est une commune française située dans le département de la Vendée et la région Pays de la Loire. Les habitants s'appellent les Luçonnais et les Luçonnaises.
Sommaire
Géographie
Situation
Luçon est située dans la grande plaine de la Vendée, au sud du bocage vendéen. Le marais poitevin est à ses frontières au sud. Le littoral Atlantique est à une vingtaine de kilomètres à l’ouest. Quatre grandes villes l’entourent. La Roche-sur-Yon, préfecture du département de Vendée au nord à 33 km, Fontenay-le-Comte chef-lieu d’arrondissement à l’est à 29 km, les Sables d’Olonne également chef-lieu d’arrondissement à l’ouest à 49 km et au sud dans le département voisin, la Rochelle, chef lieu du département de la Charente-Maritime à 41 km. La haute fléche de la Cathédrale de Luçon (85 métres) marque la frontiére entre les pays d'armorique au nord et les pays d'aquitaine au sud.
Géologie et relief
La lisière méridionale du bocage qui marque le début de la plaine était la limite du continent au cours du jurassique (ère secondaire). La plaine était à l’ère quaternaire envahie par la mer.
Voies de communication et transports
Infrastructures routières
Luçon est située au carrefour des départementales D949, qui relie Fontenay-le-Comte aux Sables d'Olonne, et D137, qui relie Nantes à La Rochelle. Elle est reliée au chef de lieu du département, la Roche sur Yon, par la RD746. Une route nouvellement aménagée la contourne par le nord.
L'autoroute A83 présente un accès à 13 km (sortie n°7, La Rochelle, Sainte-Hermine, Luçon).
Infrastructures ferroviaires
La voie ferrée Nantes Bordeaux dessert la ville depuis 1871. La double voie fut mis en service en 1922.
En 1881, le port fut relié à la ligne Nantes-Bordeaux par un embranchement ferré de 2.500 m. À cette voie ferrée se sont substitués l'actuel boulevard de l'océan et le chemin du Fief du Quart.
A la gare existait une liaison vers Chantonay , l'Aiguillon et Les Sables d'Olonnes, assurée par les Tramways de la Vendée
Infrastructures aéroportuaires
L’aéroport La Rochelle-Île de Ré situé à 45 km de Luçon relie les grandes métropoles françaises. Il relie également les grandes métropoles britanniques et belges. L’aérodrome de Luçon-Chasnais situé à 4 km de Luçon est privé. Il s’agit d’un village aéronautique construit à partir de 2000. Il comporte 28 lots constitués de maison individuelle, d’un hangar pour un avion et d’un accès à la piste. Celle-ci appartient au village et à ses copropriétaires.
Infrastructures maritimes
Il ne reste plus que les vestiges d’un port de mer devenu, au fil des siècles, port de cabotage avant d'être inactif, puis comblé en 1973. Il sert aujourd’hui de parking et d’aire de jeux.
Transports en commun
Depuis 2007, un service de transports collectifs, appelé Luciole, assure le déplacement des Luçonnais deux jours par semaine le long de quatre itinéraires.
Histoire
Née de la mer et de la volonté des hommes, Luçon a toujours été liée à l'Océan. La ville est apparue sur les rives du golfe des Pictons ; lorsque la mer s'est retirée brusquement au X° siècle[1], et suite aux mouvements telluriques de la Toussaint 1429[2],Luçon lui resta liée par un canal aménagé à partir d'un écours naturel. Au Moyen Âge, ses moines contribuèrent à l'aménagement de grands marais qui s'étendent à perte de vue jusqu'à l'Océan.
Réaménagé au début du XIXe siècle son port développa son activité avec l'Europe du Nord ; à l'époque, il était l'un des débouchés des blés de la plaine vendéenne.
Aux XIXe siècle et XXe siècle, des familles luçonnaises édifièrent les premiers chalets de La Tranche-sur-Mer.
Article détaillé : Bataille de Luçon.Capitale spirituelle du Bas-Poitou
Un monastère est fondé par saint Philbert au VIIe siècle. Déjà pillée par les Normands en 846[3], la ville est à nouveau attaquée en 853 : le chef viking Hasting prend la ville et la pille. Un autre chef viking, recruté par le comte de Poitiers, arrive avant qu’il n’ait quitté la place, et l’assiège dans la ville. Hasting réussit néanmoins à négocier et à quitter la ville, qu’il laisse incendiée[4].
Devenue évêché par la volonté du pape Jean XXII en 1317, la cité est la capitale spirituelle du Bas-Poitou. Avant de devenir ministre de Louis XIII, le grand maître de la diplomatie française, le cardinal de Richelieu fut l'évêque réformateur de Luçon. On lui attribue d'avoir qualifié Luçon « d'évêché le plus crotté de France ». Il s'appliqua à rebâtir la ville détruite par les guerres de religion. Il se préoccupa de la formation des prêtres de son diocèse en écrivant un catéchisme, et en organisant des visites pastorales.
Napoléon III offrit à la Cathédrale le très bel orgue romantique de Cavaillé-Coll.
Goudji, orfèvre contemporain, a été choisi pour doter le chœur d'un nouveau mobilier.
Ville des jardins romantiques
Ville épiscopale, Luçon a longtemps été la résidence des gens de la bonne société provinciale, ce dont témoigne la présence de riches demeures aux toits d'ardoise.
Au XIXe siècle, certains constructeurs, inspirés par les récits de Victor Hugo et d'Alexandre Dumas[réf. nécessaire], donnèrent à quelques édifices une allure médiévale avec tours et gargouilles. Les tombes du cimetière historique de Luçon reflètent également ce goût néo-gothique. L'évêque, lui-même, fit construire le collège Richelieu dans le style des « public schools » anglaises[5] : les séminaristes du diocèse étudieront plus tard dans cet univers digne de Walter Scott. C'est alors que Luçon devint la ville verte telle qu'on la connaît aujourd'hui. Hyacinthe Dumaine offrit son Jardin à la Ville.
Ville fleurie
Luçon a été récompensée par trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 2008).
Jumelage
La ville est jumelée avec la Ville de Richelieu (Indre-et-Loire) depuis 2000.
Héraldique
Article détaillé : Armorial des communes de la Vendée.Blasonnement De gueules au brochet d'argent posé en pal.Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité avant 1703 après 1703 Daniel Perrot avant 1710 après 1710 Pierre Coutouly avant 1773 après 1773 Philippe Chauveau Avocat 5 février 1790 18 novembre 1790 Collinet de la Charrault Lieutenant des baronnies 25 novembre 1790 14 janvier 1791 Claude-Aimé Avron Avocat au Parlement et chargé d'affaires de l'évêque de Luçon 5 février 1791 9 mai 1791 Chauveau, le jeune Homme de loi 15 août 1791 26 novembre 1791 Jean-Claude Pillenière Notaire 26 novembre 1791 après 3/11/1793 Blaise Maigre apothicaire droguiste Parenteau avant juillet 1800 30 mai 1807 Chauveau juin 1807 1815 Charles Poictevin de la Rochette 1815 1816 Jacques René Chevallereau 1816 1826 Augustin de Surineau 1826 1828 Benjamin de Maynard Chevalier 1828 1830 Augustin de Surineau 1830 1835 Jacques François Beaussire Négociant 1835 1839 Henry Parenteau Propriétaire 1839 Pierre Jaud 1843 1844 Armand Lepeltier médecin 1844 1848 Frédéric Martin médecin 17 août 1848 30 août 1848 Armand Grossetière 30 août 1848 1850 Parenteau 1850 1878 François Gaudineau Bonapartiste Sénateur de la Vendée, président du conseil général de la Vendée 1878 1905 Prosper Deshayes Radical socialiste Notaire,
Président du conseil général de la Vendée, député1905 1919 Benjamin Ayraud Radical socialiste Propriétaire terrien 1919 1930 Georges Lafontaine Radical socialiste Professeur 1930 1935 Léon Roturier Radical socialiste Magistrat 1935 1941 Louis Boisselet Professeur 1941 1943 Gaston Gibaud Secrétaire de mairie 1943 1944 Léandre Épron 1944 1947 Adolphe Paboeuf Radical socialiste Médecin 1947 1953 Gustave Nicollon des Abbayes Médecin 1953 1971 Pierre Nau Radical socialiste Conseiller général 1971 1993 Jean de Mouzon Radical de gauche Pharmacien,
Conseiller général1993 1995 François Dauvergne Divers gauche Commerçant, maire honoraire (2003) 1995 2001 Dominique Souchet MPF Fonctionnaire des Affaires étrangères,
Député européen, conseiller généralMars 2001 En cours Pierre-Guy Perrier[6] UMP Pharmacien
Conseiller régionalToutes les données ne sont pas encore connues. Pour partie d'après : Maires et communes de Vendée au XXe siècle, par Isabelle Soulard, Association des Maires de Vendée, 2002.
Démographie
Évolution démographique
En 2008, Luçon comptait 9 753 habitants (soit une augmentation de 5 % par rapport à 1999). La commune occupait le 966e rang au niveau national, alors qu'elle était au 962e en 1999, et le 9e au niveau départemental sur 282 communes.
L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Luçon depuis cette date. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Luçon, cela correspond à 2007, 2012, etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2008, etc.) sont des estimations[7],[N 1].
Le maximum de la population a été atteint en 2008 avec 9 753 habitants.
Histogramme Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (31,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (25,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53 %) est supérieur au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 47 % d’hommes (0 à 14 ans = 16,3 %, 15 à 29 ans = 17,6 %, 30 à 44 ans = 16,8 %, 45 à 59 ans = 21,4 %, plus de 60 ans = 27,9 %) ;
- 53 % de femmes (0 à 14 ans = 13,4 %, 15 à 29 ans = 15,7 %, 30 à 44 ans = 16,8 %, 45 à 59 ans = 19,8 %, plus de 60 ans = 34,3 %).
Lieux et monuments
La ville est le siège d'un évêché dont le titulaire le plus célèbre était le cardinal de Richelieu.
- Bas-relief de Joël Martel, à l'entrée du Groupe Scolaire du Centre, rue Dr Pabeuf ;
- Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption;
- Cloître de l'évêché [14], XVIe siècle ;
- Chapelle des Ursulines, XVIIe siècle avec son plafond peint et son retable ;
- Chapelle du Carmel, 1847, de style du XIIIe siècle ;
- Chapelle Sainte-Madeleine, attenante à l'hôpital, XVe siècle ;
- Chapelle Sainte-Thérèse (1925) ;
- Château de Mille-Souris (actuelle maison de retraite des missionnaires de la Plaine); anciennement hôtel de Mauras, cette maison a probablement été construite à la fin du XVIIe siècle. Sa porte principale s'inspire de la façade baroque de la cathédrale ;
- Château d'eau du début du XXe siècle;
- Cimetière historique, créé sous la Révolution, c'est un véritable musée à ciel ouvert;
- Distillerie Vrignaud, bâtiments industriels du XIXe siècle;
- Grand séminaire ou Collège Richelieu, 1847;
- Jardin Dumaine;
- Statue de Richelieu, érigée en 1935, inaugurée par Édouard Herriot, située place Richelieu;
- Ancien port, comblé dans les années 1970;
Personnalités liées à la commune
- Émile Beaussire (1824-1889), philosophe, diplômé de l'École normale supérieure, co-fondateur de l'École libre des sciences politiques, membre de l'Académie des sciences morales et politiques, député de la Vendée
- François Bégaudeau, écrivain et acteur né à Luçon en 1971.
- Edmond Biré (1829-1907), écrivain et critique littéraire.
- Jacques Blasquez, Compagnon de la Libération[15], né à Luçon le 31 janvier 1912, décédé à Paris le 11 août 1998. Inhumé à Luçon.
- François Bon, écrivain, né à Luçon en 1953
- Michel de Bussy-Rabutin (1669-1736), évêque de Luçon de 1723 à sa mort
- Germain Colot (XVe-XVIe), premier chirurgien français à opérer (1474) de la maladie de la pierre, né et mort à Luçon
- Théodore Dézamy (1808-1850), théoricien du communisme utopique, né et mort à Luçon
- Jean Droze, né Jacques Jeandroz, Né à Lucon le 26 juin 1925 et décédé à Draveil (Essonne) le 3 novembre 1995. Acteur de comédies populaires françaises des années 1960-1970, notamment au côté de Louis de Funès.
- Henri Victor, vicomte de L'Espinay (26 juillet 1808 - Sainte-Cécile (Vendée) ✝ 19 avril 1878 - Nantes (Loire-Atlantique)), fut un homme d'église et politique vendéen du XIXe siècle.
- Émile Girardeau (1882-1970), polytechnicien (promotion 1902), créateur de la société CSF, pionnier de la radiodiffusion
- Fabrice Hybert, artiste, né à Luçon en 1961
- François-André Isambert, député de 1832 à 1848
- Gaspard Bernard de Marigny, né à Luçon le 2 novembre 1754, général Vendéen, fusillé le 10 juillet 1794, sur ordre de Charette et de Stofflet.
- Régis Messac (Champagnac, 2 août 1893 - du côté de Gross-Rosen ou de Dora, c. 1945) a été élève, de 1904 à 1907, à l’école de Luçon, où ses parents étaient instituteurs.
- Georges Millandy, auteur et chansonnier français (1870-1964)
- Michel Moy, artiste peintre, né à Luçon en 1932, mort en 2007 et inhumé à Luçon.
- Richelieu, évêque de Luçon de 1607 à 1624
- Charles Sochet des Touches, amiral, héros de la Guerre d'indépendance des États-Unis, né à Luçon en 1727, mort à Prinquiau en 1793.
Établissements scolaires
Luçon est située dans l’académie de Nantes
Liste des établissements scolaires Écoles maternelles Écoles élémentaires Collèges Lycées Enseignement supérieur Secteur public École Jean-Moulin Collège Émile Beaussire Lycée Atlantique École Le Centre Collège Le Sourdy Lycée Agricole de Luçon-Pétré École Les Carrières Secteur privé École Sainte-Ursule Collège-lycée Sainte-Ursule École de journalisme de l'Ouest École Sainte-Anne Sacré-Cœur École Notre-Dame Enseignement primaire
Les écoles maternelles sont au nombre de 4, réparties à peu près entre le public et le privé.
Enseignement secondaire
- Le lycée polyvalent Atlantique assure l’enseignement des sections générales, technologiques et professionnelles. Son taux de réussite au baccalauréat est de 89% (statistiques 2009[1]).
- Le lycée agricole de Pétré forme à la production agricole, horticole et à l’aménagement paysager. Il existe depuis 1887 et est situé à Pétré sur le territoire de la commune de Ste-Gemme-la-Plaine.
- Le collège Émile Beaussire assure la formation de la 6ème à la 3ème pour 300 élèves environ. Il date de 1938. Le taux de réussite au brevet des collèges est de plus de 88% (statistiques 2006).
- Le collège le Sourdy s’est ouvert en 1970. Il s’est enrichi en 1985 d’une section d’enseignements généraux et professionnels adaptés.
- Le collège et le lycée privé Sainte Ursule forme plus de 900 élèves dont plus de 600 au collège et plus de 300 au lycée d’enseignement général et professionnel (2009). Il dispose d’un internat. Son lycée professionnel prépare le C.A.P. Dessinateur d’exécution en communication graphique. Le taux de réussite au baccalauréat est plus de 97%, au brevet des collèges plus de 99% et au CAP plus de 83% (statistiques 2009[2]).
Enseignement supérieur
- Le lycée polyvalent Atlantique prépare aux brevets techniques supérieurs (BTS) du tourisme et des loisirs, de l'économie sociale et familiale ainsi qu'au DE de conseiller en Econonie Sociale et Familiale. Le taux de réussite est de plus de 89% (statistiques 1999).
- Le lycée agricole de Pétré forme au BTS agricole.
Notes et références
Notes
* pour 2004 et 2005 la population réelle publiée dans la base Cassini (attribuée par convention à l'année 2006 par l'EHESS) si elle existe ;
* la population 2006, première population légale connue post-1999 publiée par l’Insee ;
* les populations suivantes correspondant aux années réelles de recensement publiées par l’Insee ;
* la dernière population légale publiée par l’Insee.
Par convention, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de présenter :
Références
- ISBN 2-7428-0137-5), p 81 Henri Bourgeois, Chroniques luçonnaises, Paris Res Universis, édité en 1902, rassort de l'édition 1993, (
- Guide bleu des Pays de la Loire, Hachette, 1989
- ISBN 2-84618-205-1), p 49 Prosper Boissonnade, Histoire de Poitou, Pyrémonde/Princinègue, 2005 (
- Michel Dillange, Les Comtes de Poitou, Ducs d'Aquitaine (778-1204), Geste éditions, coll. « La Crèche », 1995, 304 p. (ISBN 978-2-910919-09-2), p. 56.
- Abbé J. Corblet, Revue de l'Art chrétien Tome II, Paris, 1858, p 502
- Site officiel de la préfecture de la Vendée - liste des maires(doc pdf)
- Calendrier de recensement sur insee.fr. Consulté le 22 mai 2011
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur Base Cassini de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 22 mai 2011
- Évolution et structure de la population sur insee.fr. Consulté le 22 mai 2011
- Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur insee.fr. Consulté le 22 mai 2011
- Recensement de la population au 1er janvier 2007 sur insee.fr. Consulté le 22 mai 2011
- Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur insee.fr. Consulté le 22 mai 2011
- Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 sur insee.fr. Consulté le 22 mai 2011
- Visite virtuelle du cloître de l'évèché de Luçon sur Oriell.fr
- Biographie de Jacques Blasquez
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
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