Cugand

Cugand

47° 03′ 47″ N 1° 15′ 12″ W / 47.0630555556, -1.25333333333

Cugand
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Canton Montaigu
Code commune 85076
Code postal 85610
Maire
Mandat en cours
Joël Caillaud
2008-2014
Intercommunalité sans
Démographie
Population 3 164 hab. (2008)
Densité 235 hab./km²
Gentilé Cugandais
Géographie
Coordonnées 47° 03′ 47″ Nord
       1° 15′ 12″ Ouest
/ 47.0630555556, -1.25333333333
Altitudes mini. 13 m — maxi. 71 m
Superficie 13,47 km2

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Cugand est une commune française, située dans le département de la Vendée et la région Pays de la Loire.

Sommaire

Géographie

Cugand est située au bord de la Sèvre nantaise, à 28 km au sud-est de Nantes et 29 km au sud-ouest de Cholet.

Les communes limitrophes de Cugand sont :

Selon le classement établi par l’Insee en 1999, Cugand est une commune urbaine, une des quatre de l'unité urbaine de Clisson ; cette unité urbaine est identique à l'aire urbaine de Clisson qui fait partie de l’espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique).

Histoire

Toponymie

Cugand viendrait de cocut ou cucut, adjectif dérivé du pré-indo-européen cucc (hauteur arrondie), probablement avec le breton gwenn (blanc).

La commune porte le nom de Tchugan en poitevin[1].

Les origines

Si on en croit l'origine du nom de Cugand, l'occupation du site commence avant la venue des Romains, dans une région peuplée par les Pictons.

D'après Grégoire de Tours, historien du VIe siècle, Conan Mériadec obtint du tyran Maxime, le pays qu'il venait de conquérir avec le titre de roi. Ce pays était l'Armorique ou la Bretagne. Maxime ayant été tué dans la bataille auprès d'Aquilée en 391, Conan reconnut Théodore comme empereur. Il porta la guerre dans l'Aquitaine, il se rendit maître du pays de Retz en 405, il secoua le joug des Romains en 410. Pour enrayer les incursions dévastatrices des Bretons, l'empereur Honorius fit construire des fortifications appelées "mur d'Honorius" qui consistaient en des tours dont la base était de pierres et les étages de bois et où sont aujourd'hui les communes de Cugand, Gétigné, Boussay, Clisson, Bois de Céné, Legé, Saint-Etienne-du-Bois et Tiffauges.[réf. nécessaire]

De ces temps anciens, il ne resterait que peu de vestiges : les piles d'un pont au fond de la Sèvre au Bas-Noyer (voie romaine de Durivum (Saint-Georges-de-Montaigu) à Angers) et des dalles dans une ferme à l'Ambenière (voie romaine de Durivum à Clichio (Clisson)).

Les Marches de Bretagne et de Poitou

À l'origine, certainement plus cohérentes, les marches communes de Bretagne et de Poitou se scindaient au XVe siècle en plusieurs morceaux. À l'est, entre Clisson et Tiffauges, se trouvaient les Hautes Marches qui comprenaient les quatre paroisses de Gétigné, Boussay, Cugand et la Bruffière, lesquelles dépendaient simultanément des seigneuries de Tiffauges (Poitou) et Clisson (Bretagne) pour le temporel. Quant au spirituel, Cugand et Gétigné dépendaient du diocèse de Nantes et Boussay et la Bruffière de celui de Luçon.

Cette zone jouissait de privilèges particuliers, confirmés successivement par les ducs de Bretagne puis par les rois de France. Ainsi, Jean V, duc de Bretagne, reconnut par une charte du 3 septembre 1431 l'antiquité des franchises et privilèges des Marches :

« Jehan (…). À noz senneschal, alloué et procureur de Nantes (…) salut. Venuz sont par devers nous pluseurs des manans et habitans en la marche ancienne (…) complaignans humblement et expousans comme de touz temps ils aient acoustumé estre et demorez francs et exempts de touz fouages, aydes, subcides, quetz, gardes, subvencions ou imposicions quelconques, par ce qu'ilz sont en marche commune de Bretagne et de Poictou, qui est en celle exempcion et previlège, sens ce qu'il soit licite à l'une seignorie riens impouser de charge nouvelle esd. marches, sans l'assentement de l'autre, et furent les chouses ainsi introduites anciennement, ad ce que lesd. marches communes peussent demeurer habitées et fréquentées (…). »

Puis, par ordonnance du roi, Louis XIII, datée du 8 juin 1639, les habitants des Marches durent payer une taxe pour se maintenir dans leur privilèges. Celle-ci sera acquittée en 1642, 1651, 1661, 1678, 1681, 1704 et en 1762.

Lors des états généraux de 1789, fait unique en France, les trois ordres (noblesse, clergé et tiers-états) rédigèrent ensemble leurs doléances : conserver les privilèges des Marches. Ce que la Convention refusera.

La Révolution

L'abolition des privilèges, le 4 août 1789, souleva l'indignation générale : la population de Cugand se réunit pour protester. Ensuite, la constitution civile du clergé, le 12 juillet 1790, et la levée en masse de 300 000 hommes décrétée par la Convention, déclenchaient le début des guerres de Vendée dans la région. Le recteur Le Bastard refusant de prêter serment, se réfugia dans la clandestinité.

Tout débuta le 11 mars 1793, quand 4000 paysans des paroisses environnantes marchèrent sur Clisson. Sous la conduite de Belorde de la Grenotière, la garde nationale se porta sur Cugand, faisant 16 prisonniers et un autre détachement plusieurs morts sur Gétigné. Malgré les renforts venus de Nantes, sous l'impulsion de la prise de Cholet, le 14 mars, les insurgés prirent Clisson et s'emparèrent de Vertou le 18. M. de Vieux, seigneur du Pin Sauvage était le commandant général de ce rassemblement.

Le 16 septembre, les troupes républicaines arrivèrent à Clisson. Au cours de cette bataille, les insurgés battant retraite furent repousser au combat par leurs femmes qui les traitaient de poltrons et de couards, les républicains furent finalement battus à Torfou le 19. Devant l'impossibilité de vaincre, la République créa 12 colonnes infernales charger de tuer et de brûler tout ce qui se trouve sur leur passage. L'une d'elles fera plusieurs passages à Cugand dont un le 10 juin 1794. Durant cette période, on estime qu'environ 200 Cugandais périrent. En 1789, Cugand comprenait environ 1800 habitants.

Outre cette guerre, la Révolution a apporté d'autres changements. Ainsi, par la loi du 15 janvier 1790, les départements et les communes virent le jour. Dans ce découpage, Cugand se retrouve en Vendée ce qui n'était pas du goût des habitants. Ils rédigèrent une réclamation à l'adresse du Procureur Général Syndic demandant à être réunis au district de Clisson, le 10 juillet 1790. Si au départ, celui-ci sembla favorable au projet, il se rallia au point de vue de l'abbé Richard de la Vergne, député des Marches et originaires de Boussay, pour maintenir Cugand en Vendée.

L'industrialisation de la Sèvre

Cugand étant dans les Marches de Bretagne et de Poitou, les habitants jouissaient de certains privilèges. Pour tirer le meilleur parti de leurs exemptions très favorables aux échanges commerciaux (les marchandises voyageant sans taxes), ils multiplièrent moulins et manufactures dans la vallée de la Sèvre. Aux anciens moulins à blé et à seigle, ils ajoutèrent des moulins à tan, à foulon, à papier dans lesquels la force hydraulique permettait une mécanisation partielle de la production. Dans le même temps, alors que le filage de la laine, du chanvre, du lin et, plus tard, du coton était assuré par les femmes des villages travaillant à domicile, le tissage devint l'œuvre d'artisans spécialisés regroupés dans le bourg.

On situe généralement au XVIe siècle, l'exploitation rationnelle des chaussées par les entreprises artisanales : on avance les dates de 1562 pour Hucheloup, 1587 pour la Doucinière, 1593 pour Antières, 1595 pour Fouques. Examinons les différentes occupations des chaussées :

  • La Haute Doucinière : un moulin à blé (1686), un foulon
  • La Basse Doucinière : un moulin à blé (1586), un foulon puis une usine électrique (1915-1920)
  • Hucheloup : un moulin à blé (1522), un foulon (1562) puis une filature (1835-1985)
  • Bas-Hucheloup : un moulin à blé (1522) puis une tannerie (XIX siècle) et une chamoiserie
  • Fradet : un moulin à blé (1503 - 1900)
  • Antières : un moulin à blé (1430), un foulon (1593), une papèterie (1644-1934), une cartonnerie (1946-1960) puis une fabrique de caoutchouc et matières plastiques (depuis 1960)
  • Gaumier : un moulin à blé (1522), un foulon (1595-1957) et un tissage (1815-1957)
  • La Grenotière : un moulin à blé(1522), un foulon (1595) puis une tannerie
  • Fouques : un moulin à blé (1522), un foulon (1595) puis une forge (1776-1828) et une filature (1828-1960)
  • La Feuillée : un moulin à blé (1522), une papèterie (1680-1839), une filature et teinturerie (1839-1899), une tannerie (1899-1929), une chamoiserie (1929-1969) puis un studio de cinéma (depuis 1969)
  • Plessard : un moulin à blé (1634-1815) devenu minoterie (1815-1910), une usine électrique (1910), une tannerie transformée en gîtes ruraux.

Penchons-nous sur les deux principales activités : le papier et le tissage. Quel était, à cette époque, le procédé de fabrication du papier ? L'eau de la Sèvre était indispensable à chacun des stades de la fabrication, sauf pour le séchage ! L'eau passait par le pourrissoir des vieux chiffons, préalablement triés par les femmes. L'eau s'écoulait dans les lavoirs où on nettoyait les morceaux coupés, avant la transformation en pâte à papier sous l'action des moulins à maillets ou des moulins à cylindres. Le travail se faisait dans des cuves en bois revêtues intérieurement de plomb.

Quand on voulait utiliser cette pâte stockée dans les dépôts, on en revenait à l'eau de la Sèvre pour le délayage. Enfin, et c'était tout l'art du compagnon papetier ; il fallait savoir tremper la forme (le moule, sorte de châssis garni de fils de laiton ou de cuivre) dans la pâte, l'égoutter, la passer à l'ouvrier coucheur qui la posait sur des feutres ou des cylindres garnis de laine. Restait à presser, à étendre, sécher et encoller, presser de nouveau et enfin étendre au soleil ou au séchoir avant de le lisser.

Au bord de la sèvre à Gaumier, il existe un ancien moulin à foulon dont la survivance est miraculeuse. Il donne un exemple étonnant de ce procédé à deux piles, jadis très commun et maintenant rarissime. Le battage hydraulique avec de lourds maillets frappant les draps de laine est une opération d'apprêt, complémentaire du filage, du tissu et de la teinturerie. Il a pour objet de dégraisser, de réduire et de donner du liant, voire de satiner les étoffes appelées tiretaines ou kalmouks, selon les dimensions. Opération très délicate, prolongée plusieurs heures, de nuit comme de jour et physiquement très éprouvante, pour qui le pratique. Les étoffes étaient ensuite séchées sur un pré voisin sur un fil.

Tout au long du XIX siècle, Cugand fut la commune de Vendée la plus industrialisée. La fermeture de la dernière filature, en 1985, mit fin aux activités sur les bords de Sèvre et à une aventure commencée au XVII siècle. Aujourd'hui, il ne reste que quelques ruines et une Mutualité, réunion des deux sociétés mutualistes de la commune, l'une fondée en 1841 (par les fileurs et première association du département) et l'autre en 1849 (par les papetiers et qui était la neuvième).

Dictionnaire d'Ogée

En 1878, Ogée fait un dictionnaire sur les communes de Bretagne. Cugand étant historiquement une paroisse bretonne, elle y est décrite.

Cugan [Cugand]; à 6 l. 3/4 au S.-E. de Nantes, son évêché et son ressort; à 28 l.3/4 de Rennes, et à 1l. de Clisson, sa sudélégation. On y compte 950 communiants. La cure est présenté par le roi; Les chapellenies de Saint-Michel et de Saint-Jacques, par l'évêque de Nantes, et la chapellenie de Saint-Lazare, par les seigneurs de Clisson. Cette paroisse est dans les Hautes-Marches (Voy. Nantes, année 409, où se trouve l'établissement des marches.) Son territoire, arrosé des eaux de la rivière de Sèvre, est très exactement cultivée. Les habitants du pays sont très-laborieux et excellent agriculteurs. Nous leur rendons justice avec plaisir : on ne voit point dans leur canton ces landes immenses qui défigurent quelques endroits de la Bretagne ; mais de belles moissons et des vignes dont le vin est d'assez bonne qualité. Ils jouissent d'une honnête aisance, qu'ils méritent ; Ils la doivent à leur activité et à des travaux opiniâtres. Il s'y trouve plusieurs moulins à papier.

  • Cugand est aujourd'hui dans le département de la Vendée.

Héraldique

Blason Blasonnement
De gueules à l'aigle d'argent, becquée et membrée d'azur.

Administration

La Mairie se situe place Vincent-Ansquer.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2008 2014 Joël Caillaud[2]    
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique

En 2008, Cugand comptait 3 164 habitants (soit une augmentation de 14 % par rapport à 1999). La commune occupait le 3 201e rang au niveau national, alors qu'elle était au 3 366e en 1999, et le 42e au niveau départemental sur 282 communes.

L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Cugand depuis cette date. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Cugand, cela correspond à 2004, 2009, etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2008, etc.) sont des estimations[3],[N 1].

Le maximum de la population a été atteint en 2006 avec 3 171 habitants.

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population non disponible 1 302 1 689 1 828 1 943 2 022 2 190 2 255 2 246
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 2 249 2 295 2 187 1 996 2 058 2 044 2 147 2 129 2 186
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 2 273 2 243 2 290 2 081 2 169 2 055 1 860 1 826 1 907
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2008
Population 2 110 2 199 2 425 2 525 2 627 2 771 3 114 3 171 3 164
Notes, sources, ... Sources : base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusque 1962 et pour le recensement 2004[4], et à partir de 1968 : Insee (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[5],[6],[7].
Histogramme

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (25,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,9 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 49,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,9 %, 15 à 29 ans = 14,6 %, 30 à 44 ans = 20,6 %, 45 à 59 ans = 23,4 %, plus de 60 ans = 19,4 %) ;
  • 50,9 % de femmes (0 à 14 ans = 18 %, 15 à 29 ans = 12,4 %, 30 à 44 ans = 19,4 %, 45 à 59 ans = 21,5 %, plus de 60 ans = 28,8 %).
Pyramide des âges à Cugand en 2007 en pourcentage[5]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,8 
90 ans ou +
2,8 
7,3 
75 à 89 ans
13,3 
11,3 
60 à 74 ans
12,7 
23,4 
45 à 59 ans
21,5 
20,6 
30 à 44 ans
19,4 
14,6 
15 à 29 ans
12,4 
21,9 
0 à 14 ans
18,0 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2007 en pourcentage[8]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,4 
90 ans ou +
1,2 
7,3 
75 à 89 ans
10,6 
14,9 
60 à 74 ans
15,7 
20,9 
45 à 59 ans
20,2 
20,4 
30 à 44 ans
19,3 
17,3 
15 à 29 ans
15,5 
18,9 
0 à 14 ans
17,4 

Vie locale

Sport

  • Les gazelles Cugandaises : section de gymnastique d'entretien

Santé

Éducation

  • École privée mixte Saint Michel / Jeanne d'Arc Rue Jean-Moulin
  • École publique élémentaire Jean Moulin

Culture

  • Bibliothèque Cugandaise

Lieux et monuments

  • Moulin à foulon de Gaumier sur la Sèvre nantaise.
  • La Grand-Maison : ancienne dépendance du château de Clisson, tour du XVe siècle.
  • L'obélisque située sur le plateau dominant la Sèvre. Dessinée par Mathurin Crucy et construite en 1815, c'est en fait une fabrique du jardin du Domaine de la Garenne Lemot situé de l'autre côté de la rivière.

Personnalités liées à la commune

Événements

  • Festival de Cugand, Danses et Musiques du Monde, groupes folkloriques du monde entier, pendant 4 jours au mois d'août (20 000 spectateurs en 2005 pour la 7e édition du festival).

Pour approfondir

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Par convention, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de présenter :
    * pour 2004 et 2005 la population réelle publiée dans la base Cassini (attribuée par convention à l'année 2006 par l'EHESS) si elle existe ;
    * la population 2006, première population légale connue post-1999 publiée par l’Insee ;
    * les populations suivantes correspondant aux années réelles de recensement publiées par l’Insee ;
    * la dernière population légale publiée par l’Insee.

Références

  1. Le nom de la commune a été traduit Kugant en breton, nom sans valeur historique : le breton n'y a jamais été parlé, et l'on y a toujours parlé le poitevin, puis le français.
  2. Site officiel de la préfecture de la Vendée - liste des maires(doc pdf)
  3. Calendrier de recensement sur insee.fr. Consulté le 13 mai 2011
  4. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur Base Cassini de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 13 mai 2011
  5. a et b Évolution et structure de la population sur insee.fr. Consulté le 13 mai 2011
  6. Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur insee.fr. Consulté le 13 mai 2011
  7. Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur insee.fr. Consulté le 13 mai 2011
  8. Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 sur insee.fr. Consulté le 13 mai 2011

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Cugand de Wikipédia en français (auteurs)

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