L'inverse d'un nombre

L'inverse d'un nombre

Nombre

La notion de nombre en linguistique est traitée à larticle Nombre grammatical


Un nombre est un concept permettant dévaluer et de comparer des quantités ou des rapports de grandeurs, mais aussi dordonner des éléments par une numérotation. Souvent écrits à laide dun ou plusieurs chiffres, les nombres interagissent par le biais dopérations qui sont résumées par des règles de calcul. Les propriétés de ces relations entre les nombres sont lobjet détude de larithmétique, qui se prolonge avec la théorie des nombres.

En labsence dune définition générale satisfaisante de cette notion[1], les mathématiques proposent plusieurs types de nombres pour exprimer des mesures physiques ou géométriques, résoudre des équations, voire pour appréhender linfini.

En physique, les grandeurs sans dimension sont souvent appelées « nombres », tels le nombre de Reynolds en mécanique des fluides ou les nombres quantiques.

Article détaillé : Grandeur sans dimension.

En dehors de leur utilisation scientifique, plusieurs nombres ont aussi acquis une charge symbolique forte dans les cultures populaires et religieuses.

Sommaire

Conception

Principe

Le concept de nombre trouve son origine dans lidée dappariement, cest-à-dire de la mise en correspondance densembles (par exemple des êtres humains dune part et des chevaux dautre part). Si lon tente de répartir tous les éléments en couples comprenant un élément de chaque ensemble, il se peut quil reste des éléments dun ensemble en trop, ou quil en manque, ou encore quil y en ait juste assez. Lexpérience montre alors que la manière de faire la répartition ne change pas le résultat, d la notion de quantité, caractère intrinsèque et qui peut être comparé.

Cette quantité nest pas encore un nombre mais est parfois désignée comme un « nombre-de »[2]. Le nombre en tant que tel ne possède pas dunité de mesure. Il est daprès Euclide[3] « un assemblage composé dunités », « lunité est ce selon quoi chacune des choses existantes est dite une. »

Parallèlement à la notion de quantité, lié à laspect « cardinal », le notion de repérage dans une liste mène à la définition du nombre « ordinal » : le premier nombre[4] est suivi dun deuxième, lui-même suivi dun autre et ainsi de suite « jusquà linfini ».

Extension progressive

Sans calcul, les nombres sont limités à la quantité de symboles utilisables. Par exemple, on ne peut compter sur ses doigts au-delà de dix[5]. La découverte des opérations numériques élémentaires (addition et multiplication notamment) va permettre aux mathématiques de faciliter la description des nombres beaucoup plus grands à laide de divers systèmes de numération. La civilisation babylonienne découvre notamment la notation positionnelle dès le IIIe millénaire avant notre ère et pratique alors le calcul avec des nombres ayant une partie fractionnaire.

Les fractions sont conçues en Égypte antique sous formes de « quantièmes », cest-à-dire dinverses dentiers. Leur manipulation est alors soumise à certaines contraintes qui ne seront surmontées que par linterprétation géométrique comme rapport de longueurs (entières). Toutefois, ni les fractions ni les autres proportions géométriques telles que pi, le nombre dor ou la diagonale du carré ne seront vraiment considérées comme des nombres par les mathématiciens de la Grèce antique, pour qui les seuls nombres sont entiers.

Même si le chiffre « 0 » est employé dans certains systèmes de numération positionnelle par plusieurs civilisations antiques[6], le nombre zéro napparait en tant que tel quau VIIe siècle dans les mathématiques indiennes. Il est repris par la civilisation de lIslam et importé en Europe au Xe siècle. Sous le qualificatif d’« absurdes », les nombres négatifs sont déjà étudiés au XVIe siècle mais leurs propriétés arithmétiques font encore polémique au début du XIXe siècle.

Les nombres algébriques (réels positifs) sont étudiés avec le développement de lalgèbre par les mathématiciens arabes. Ces derniers en calculent des valeurs approchées en notation décimale dès le XIIe siècle. Cette même algèbre conduira certains mathématiciens italiens à inventer au XVIe siècle des nombres « imaginaires », première approche des nombres complexes qui ne seront définis de manière satisfaisante quau XVIIIe siècle. Leur construction géométrique sera dailleurs rapidement suivie de celle des quaternions puis dautres nombres hypercomplexes pendant le siècle suivant.

Paradoxalement, il faudra cependant attendre le XIXe siècle pour que soit reconnue lexistence de nombres transcendants, juste avant que soit formalisée la notion de nombre réel indépendamment de la géométrie. La procédure de complétion des nombres rationnels sera imitée au début du XXe siècle pour construire les nombres p-adiques.

Les nombres transfinis sont introduits de diverses manières à partir de la fin du XIXe siècle, lorsque Georg Cantor définit les ordinaux et cardinaux. Dans la seconde moitié du XXe siècle, lanalyse non standard fait usage de nombres hyperréels puis superréels, tandis que Conway présente les nombres surréels et pseudo-réels.

Article détaillé : Histoire des mathématiques.

Pédagogie

Diverses expériences explorent les capacités numériques chez lenfant en bas âge.

Dans léducation, lapprentissage du nombre débute avec lacquisition de la « chaine numérique »[7], notamment à laide de comptines[8] : « un, deux, trois… » Cette liste sera progressivement prolongée pour permettre à lenfant dénumérer des objets quil manipule afin de les dénombrer (en associant à cette quantité le dernier terme de lénumération), mais aussi pour repérer une position dans une série ordonnée.

Au cours de la scolarité, lenfant est amené à considérer divers types de nombres rangés dans une suite croissante densembles :

  • lensemble N des entiers naturels, qui peuvent sécrire à laide des dix chiffres arabes ;
  • lensemble Z des entiers relatifs, qui sont munis dun signe positif ( + ) ou négatif ( ) ;
  • lensemble D des nombres décimaux, qui ont des chiffres à gauche et à droite dune virgule (et peuvent être négatifs) ;
  • lensemble Q des nombres rationnels, qui sont représentés par des fractions avec un numérateur et un dénominateur entiers (ou décimaux) ;
  • lensemble R des nombres réels, qui repèrent tous les points dun axe orienté continu ;
  • lensemble C des nombres complexes, qui peuvent décrire tous les points dun plan.

Numération

Numérations selon les cultures
Numération arabo-indienne
arabe
khmer
indienne
mongole
thaï
Numérations à lorigine chinoise
chinoise
japonaise
à bâtons
suzhou
Numérations alphabétiques
arménienne
cyrillique
d'Âryabhata
éthiopienne
hébraïque
grecque
tchouvache
Autres systèmes
attique
brahmi
champs d'urnes
colombienne
égyptienne
étrusque
forestière
inuite
maya
mésopotamienne
romaine
Notations positionnelles par base
Décimal (10)
2, 4, 8, 16, 32, 64
1, 3, 6, 9, 12, 20, 24, 30, 36, 60, plus
Article détaillé : Numération.

Origine

Lidée de quantité et sa codification visuelle sont vraisemblablement antérieures à lapparition de lécriture[9]. Plusieurs procédés de comptage sont progressivement développés pour décrire la taille dun troupeau et contrôler son évolution, suivre un calendrier ou mesurer des récoltes[10].

Au IVe millénaire avant notre ère, les civilisations mésopotamiennes utilisent ainsi des boules creuses dargile contenant des jetons, puis des tablettes dargile munies de marques. Un système de notation (dit « système S ») est employé pour la désignation des quantités discrètes, tandis que les surfaces et autres grandeurs sont représentées chacune selon un système de notation propre[11]. Il faut attendre la fusion de ces systèmes, à la fin du IIIe millénaire avant notre ère, pour voir se former véritablement le concept du nombre abstrait, indépendant de ses réalisations concrètes[12].

Du signe au chiffre

Article détaillé : Système de numération.

Dans les systèmes de numération additifs, certains symboles (variables selon les cultures) représentent des quantités précises et sont juxtaposés pour désigner tous les nombres utiles[13].

Les systèmes alphabétiques associent la liste des lettres de lalphabet (employant en renfort des lettres inusitées, désuètes ou inventées[14]) aux neuf unités, neuf dizaines et neuf centaines pour écrire chaque nombre entre 1 et 999 en trois caractères maximum. Pour écrire des valeurs supérieures, un nouveau groupe de trois lettres maximum désignant les milliers est placé à gauche, séparé par une apostrophe.

Ce système est proche de lécriture positionnelle chiffrée, dans laquelle chaque position ne contient (au plus[15]) quun seul chiffre.

Arithmétique

Article détaillé : Arithmétique.

Opérations

Dès lors que les quantités sont représentées par des symboles, la manipulation des quantités doit être traduite par des opérations sur les nombres. Ainsi, la réunion de deux quantités définit lopération daddition et la répétition dune certaine quantité donne lieu à la multiplication. Ces deux opérations directes admettent des opérations réciproques : la soustraction et la division, qui permettent de retrouver lun des opérandes à partir du résultat et de lautre opérande.

Chacune de ces opérations est réalisée selon diverses techniques de calcul. Mais contrairement aux opérations directes qui sont définies sans restriction, les opérations réciproques naboutissent que sous certaines conditions. Ainsi, avant lutilisation des nombres négatifs, un nombre ne peut être soustrait quà un nombre plus grand[16]. De même, la notion de divisibilité décrit la réalisabilité dune division. Le processus de division euclidienne a cependant lavantage de fournir un résultat même sans lhypothèse de divisibilité. Cette dernière sexprime alors par labsence de reste.

À partir du moment la multiplication apparaît comme une opération purement numérique, sa répétition définit les puissances dun nombre, dont les opérations réciproques sont appelées racines. Dautres opérations telles que la factorielle sont développées dans le cadre de la combinatoire.

Article détaillé : Opération (mathématiques).

Multiple et diviseur

Dans ce paragraphe, tout nombre est sous-entendu entier et strictement positif.

Étant donné un nombre, lensemble de ses multiples est infini mais régulièrement réparti et facile à décrire par une suite arithmétique. Par exemple, les multiples de 2 sont les nombres pairs, qui sont alternés avec les nombres impairs parmi tous les entiers.

Au contraire, lensemble des diviseurs dun nombre est toujours fini et sa répartition na pas du tout le même genre de régularité. Il contient certes toujours le nombre à diviser et le nombre 1, les éventuels autres diviseurs se situant entre ces deux extrêmes. Mais il est en général difficile de lister ces autres diviseurs à partir dune écriture du nombre dans une base donnée.

Ce problème est lié en partie à la rareté de critères simples pour déterminer sans calcul si un nombre est divisible par un autre. Dans un système de numération positionnelle décimale, plusieurs critères de divisibilité sont connus pour de petits diviseurs (surtout pour 2, 3, 5, 9 et 10), mais en dehors de ces quelques cas, cest essentiellement la division euclidienne qui permet de répondre à cette question.

Article détaillé : Divisibilité.

Nombre premier

Hormis le nombre 1, qui est son seul diviseur, tout nombre admet donc au moins deux diviseurs distincts. Ceux qui en admettent exactement deux sont appelés nombres premiers. Ils sont les seuls à pouvoir réduire dautres nombres par division, sans être eux-mêmes décomposables en produit de nombres strictement plus petits. Il en existe une infinité et chaque nombre se décompose de manière unique en un produit de nombres premiers. Cette décomposition permet entre autres de comprendre la structure de lensemble des diviseurs.

Vers la théorie des nombres

Les opérations définies sur les entiers sétendent à dautres objets mathématiques qui ne prendront que progressivement le statut de nombre. Les nombres avec une partie fractionnaire, les fractions, puis zéro et les nombres négatifs, les nombres algébriques et certains nombres dabord qualifiés d’« imaginaires » sont lobjet détude dune arithmétique qui se développe jusquà prendre le nom de théorie des nombres.

Géométrie

Nombre figuré

La tetraktys pythagoricienne

Lévaluation dune quantité dobjets se fait plus ou moins rapidement selon la manière dont les objets sont rangés. Par exemple, seize jetons se comptent bien plus facilement sils sont disposés en carré que sils sont jetés en désordre sur une table. De même, la tetraktys des pythagoriciens est le rangement de dix points en triangle. Dautres formes sont étudiées sous cet angle dans le plan (hexagones par exemple) ou dans lespace par des empilements de figures.

Cette vision des nombres comme des configurations géométriques permet entre autres dinterpréter le produit de deux nombres comme le rectangle dont les côtés sont décrits par ces deux nombres, d la nécessaire commutativité de la multiplication, cest-à-dire que lordre dans lequel on effectue la multiplication na pas dinfluence sur le résultat. Dautres propriétés arithmétiques peuvent sénoncer géométriquement. Ainsi, un nombre est pair sil est représentable par un rectangle sur deux lignes ; il est premier si la seule manière de le représenter sous forme de rectangle est une ligne de plusieurs points.

Article détaillé : Nombre figuré.

Rapport de grandeur

Certains nombres proviennent de rapports géométriques comme pi, rapport de la circonférence du cercle à son diamètre, ou le nombre dor, du problème de la division « en extrême et moyenne raison ».


Voir aussi

Notes et références

  1. Le Petit Robert de la langue française et le Trésor de la Langue Française Informatisé rapportent que « le nombre est une des notions fondamentales de lentendement […] quon ne peut définir. » Le Petit Larousse illustré soutient que le nombre « ne peut faire lobjet dune définition stricte ».
  2. Expression utilisée par Stella Baruk dans son Dictionnaire de mathématiques élémentaires.
  3. Éléments, livre VII.
  4. Le premier entier dit « naturel » est le nombre 1 avant la reconnaissance du zéro mais encore après dans le langage courant et encore aujourdhui dans les mathématiques anglo-saxonnes.
  5. Mais on peut calculer avec ses doigts en manipulant des nombres bien plus grands.
  6. On le trouve notamment dans la numération grecque à partir du IIe siècle avant notre ère et la numération maya au cours du Ier millénaire.
  7. Il sagit de la suite des premiers nombres entiers, commençant généralement à 1, voir à ce sujet les nouveaux programmes de lécole primaire en France p7.
  8. Le mot « comptine » dérive lui-même tardivement du verbe « compter » selon le dictionnaire historique de la langue française.
  9. Los dIshango est ainsi interprété comme un artefact antérieur à lapparition de lécriture et représentant des valeurs numériques.
  10. Georges Ifrah, introduction à lHistoire universelle des chiffres.
  11. Catherine Goldstein, « La naissance du nombre en Mésopotamie », Histoire des nombres, éditions Tallandier, 2007.
  12. Christian Houzel, « Quest-ce quun nombre ? », Histoire des nombres, éditions Tallandier, 2007.
  13. Le système de numération de lÉgypte antique sarrête ainsi au symbole du million, assimilé à linfini.
  14. Voir par exemple la numération grecque.
  15. Le zéro de position est inventé dabord pour indiquer labsence de chiffre sur une position.
  16. Même en admettant lusage des nombres négatifs, pour soustraire un nombre positif à un nombre positif plus petit, on effectue la soustraction contraire et on change le signe du résultat.

Liens externes

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Voir « nombre » sur le Wiktionnaire.

Bibliographie

  • John H. Conway, Richard K. Guy, Le Livre des Nombres, Paris, Eyrolles, 1998. ISBN 2-212-03638-8.
  • Heinz-Dieter Ebbinghaus, et al. , Numbers, New York, Springer, 1991. ISBN 0-387-97497-0.
  • Paul Benoît, Karine Chemla, Jim Ritter, Histoire des fractions, fractions d'histoire, Birkhäuser, 1992 
  • G. H. Hardy et E. M. Wright, An Introduction to the Theory of Numbers, 4° éd. New York, Oxford University Press, 1960. "Le plus grand classique sur la théorie des nombres", selon Douglas Hofstadter.
  • Georges Ifrah, Histoire universelle des chiffres, Éditions Robert Laffont, collection « Bouquins ».
  • Le mystère des nombres, Hors-série Science et Avenir, 2004.
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