- Département de la Guyane
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Guyane
Pour les articles homonymes, voir Guyane (homonymie).Guyane (973) :
région française d’outre-mer
(Détaillé)Langue officielle : Français Langue(s) régionale(s) {{{Languelocale}}} Préfecture Cayenne Sous-préfecture(s) Saint-Laurent-du-Maroni Arrondissements Cayenne
Saint-Laurent-du-MaroniCantons 19 Communes 22 Président du
conseil régionalAntoine Karam Président du
conseil généralAlain Tien Liong Superficie 86 504 km² (2 % d'eau) Population
- Total (2009)
- Densité
221 500 hab.
3,0 hab./km²Monnaie Euro Fuseau horaire UTC -3 Domaine Internet .gf Indicatif téléphonique +594 La Guyane (ou Guyane française) est une région et un département d'outre-mer (DOM) français d'Amérique du Sud. Son code de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) est le 973. Avec ses 86 504 km2 de superficie, la Guyane est le plus grand département français et le plus boisé avec 96 % du territoire couvert d'une forêt équatoriale qui reste parmi les plus riches et les moins écologiquement fragmentées du monde. Cette forêt équatoriale est une forêt primaire à très haut niveau de biodiversité (hot-spot, parmi les plus riches au monde), protégée par un tout nouveau parc national et six réserves naturelles. L'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et l'Union européenne (UE) y recommandent des efforts particuliers de protection[1].
La Guyane fait partie des 9 régions ultrapériphériques (RUP) de l'UE. C'est en outre le seul territoire de l'UE en Amérique du Sud.
Son nom officiel est Guyane. L'ajout de l'adjectif « française » dans les dénominations courantes est une commodité de langage issue de la période coloniale, alors qu'existaient trois Guyanes : la Guyana (Guyane britannique), le Suriname (Guyane néerlandaise) et la Guyane française.
Sommaire
Toponymie
Le terme « Guyane » est d'origine indigène. Dans le dialecte guanao, c'est-à-dire celui de la population amérindienne du delta de l'Orénoque, guai signifierait « nom », « dénomination », yana est une négation. D'où Guayana qui est encore le terme italien pour désigner le massif des Guyanes. « Guyane » voudrait donc dire « sans nom », « ce qu'on ne peut nommer ». La Guyane serait donc la terre « qu'on n'ose nommer », «la terre sacrée», « la maison de l'être suprême».
À cette divinité se rattacherait la légende de l'Eldorado (le doré) qui n'est pas née d'une folle convoitise européenne, mais des superstitions indigènes (sources SVP). Paradoxalement, le terme de Guyane serait donc une appellation digne de cet Éden, longtemps mystérieux, paradis terrestre rêvé par les uns, enfer vert subi par les autres.
Histoire
Article détaillé : Histoire de la Guyane.La côte de Guyane fut reconnue par Christophe Colomb en 1498. En 1503 commencent les premières implantations françaises dans la zone de Cayenne. En 1604, la colonie de Guyane prend le nom de France équinoxiale. La Guyane restera alors une colonie française jusqu'au 19 mars 1946, où elle obtient le statut de département d'outre-mer.
Elle reste célèbre pour le bagne de Cayenne qui fit sa réputation car seul 3 % des prisonniers y ont survécu[réf. souhaitée]. La France attendait des détenus qu'ils fussent aussi des colons. Mais ce fut un échec. La fermeture du bagne a été obtenue, après la seconde guerre mondiale, suite à la publication de 27 articles d'Albert Londres et sous l'impulsion de Gaston Monnerville. C'est en 1938 que le dernier convoi de bagnards a fait route vers la Guyane mais ce n'est qu'en 1945 que l'Assemblée constituante décida de rapatrier les survivants qui le souhaitaient (très peu sont restés). L'opération prit huit ans.
Administration et politique
Découpage administratif
La Guyane est à la fois une région administrative et un département français d'outre-mer (DOM) dont la préfecture est Cayenne. Elle constitue avec la Guadeloupe et la Martinique, situées dans les Antilles, les départements français d'Amérique (DFA).
Au niveau régional, la Guyane élit un conseil régional.
Au niveau départemental, la Guyane est découpée en 19 cantons qui élisent chacun un conseiller général pour former le Conseil général de la Guyane.
Au niveau communal, il existe 22 communes dirigées par des maires. Certaines de ces communes, comme Maripasoula et Camopi, ont des superficies supérieures aux départements métropolitains. De plus, certaines communes sont subdivisées en villages supervisés par des capitaines.
Par ailleurs, la Guyane est représentée au niveau national par 2 députés (voir les circonscriptions de la Guyane) et 2 sénateurs.
Elle est aussi l'une des neuf régions ultrapériphériques de l'UE.
Politique
Trois tendances politiques se partagent la vie politique guyanaise. Les deux principales forces politiques restent, à l'instar du reste de la France, la droite loyaliste, représentée par l'UMP et la gauche loyaliste, représentée par le parti socialiste guyanais (PSG), le Walwari (PRG), les forces démocratiques de Guyane (FDG), le parti socialiste (PS) et les Verts.
Enfin, la troisième tendance politique, très minoritaire, est l'extrême-gauche indépendantiste, représentée par le mouvement de décolonisation et d'émancipation MDES.
Géographie
Article détaillé : Géographie de la Guyane.La Guyane est surtout connue pour accueillir, dans la ville de Kourou, le Centre national d'études spatiales (CNES), le Centre Spatial Guyanais (CSG) (base de lancement des fusées Ariane et lanceur civil européen de satellites commerciaux).
Au XIXe siècle et au début du XXe, elle était surtout connue comme lieu de déportation des bagnards condamnés aux travaux forcés au Bagne de Cayenne. Le bagne a été aboli mais il subsiste des bâtiments aux Îles du Salut, à Saint-Laurent-du-Maroni, etc.
La Guyane est frontalière du Brésil (sur 730 km), ce qui fait du Brésil le pays ayant la plus grande frontière terrestre avec la France, devant le Suriname (sur 510 km). Elle possède un climat équatorial. Son chef-lieu est Cayenne. Seule la bande côtière est facilement accessible, le reste du territoire est couvert par une forêt équatoriale dense, pour l'essentiel une forêt primaire, accessible seulement par voie fluviale ou aérienne.
Environnement, faune, flore, forêt
Article détaillé : Biodiversité de la Guyane.Cette région est parmi les plus riches du monde en matière de biodiversité tant animale que végétale.
Suite au Grenelle de l'environnement de 2007, le projet de Loi Grenelle II (dans son article 49) a proposé (en 2009, et sous réserve de modification) la création d’une entité unique chargée pour la Guyane de contribuer à la mise en œuvre des politiques de connaissance et de conservation du patrimoine naturel amazonien (avec compétence dans les domaines de la faune, flore, les habitats naturels et semi-naturels terrestres, fluviaux et côtiers, et sur le fonctionnement des écosystèmes). Il contribuera à appliquer les politiques environnementales conduites par l’État et les collectivités territoriales et leurs groupements. L'Art 64 du projet de loi prévoit aussi un « schéma départemental d’orientation minière » pour la Guyane, promouvant une exploitation minière compatible avec les exigences de préservation de l’environnement[2].L'environnement de la frange littorale est celui qui, le long de la RN1, a historiquement connu le plus de modifications, mais une forte artificialisation est localement constatée le long de la RN2 et là où les orpailleurs opèrent à l'ouest de la Guyane.
La forêt humide de Guyane s'est paradoxalement épanouie sur un des sols les plus pauvres du monde, en azote, en potassium, en phosphore et en matières organiques. Pour cette raison, et parce que cette zone a toujours conservé des refuges pour toutes ses espèces lors des périodes sèches ou de glaciation terrestre, cette forêt abrite des écosystèmes uniques qui sont parmi les plus riches et les plus fragiles du monde : forêts tropicales primaires très anciennes, mangroves, savanes, inselbergs et nombreux types de zones humides.
L'acidité des sols est également à l'origine de cette médiocrité des sols guyanais. Elle contraint les agriculteurs à chauler les champs, et a conduit au mode traditionnel d'agriculture sur brûlis : les cendres participent à l'élévation du Potentiel hydrogène (pH) en plus de l'apport de sels minéraux.
On peut toutefois noter que des sites de Terra preta (sols anthropogéniques) ont été découverts sur le territoire, notamment près de la frontière avec le Brésil. Des recherches sont activement menées par des acteurs de disciplines multiples pour déterminer le mode de création de ces sols les plus riches de la planète. L'hypothèse a été avancée que l'existence même de la forêt tropicale est due à ces interventions humaines intelligentes du passé (voir l'article Terra preta), où le brûlis (slash-and-burn) était remplacé par le charbonnage (slash-and-char).
5 500 espèces végétales ont été répertoriées, dont plus d'un millier d'arbres, 700 espèces d'oiseaux, 177 espèces de mammifères, plus de 500 espèces de poissons dont 45% lui sont endémique (les poissons "limon" et les poissons à écailles) et 109 espèces d'amphibiens. Les micro-organismes seraient bien plus nombreux encore, notamment dans le nord qui rivalise avec l'Amazonie brésilienne, Bornéo et Sumatra. Ce seul département français abrite au moins 98 % de la faune vertébrée et 96 % des plantes vasculaires de la France.
Les menaces qui pèsent sur l'écosystème sont la fragmentation par les routes, qui reste très limitée comparativement aux autres forêts d'Amérique du Sud, les impacts immédiats et différés du Barrage de Petit-saut d'EDF, de l'orpaillage (Opération Anaconda en Guyane), d'une chasse chaotique et du braconnage facilités par la création de nombreuses pistes et l'apparition des quads. L'exploitation forestière reste modérée en raison du manque de route, de port et de la difficulté du climat et du relief. Une ordonnance du 28 juillet 2005 a étendu le code forestier français à la Guyane, mais avec des adaptations et dérogations importantes. Dans une approche qui se veut durable, des concessions ou des cessions gratuites peuvent être accordées par des collectivités territoriales ou d’autres personnes morales pour leur utilisation par des personnes tirant traditionnellement leur subsistance de la forêt, mais les moyens utilisés n'étant plus toujours les moyens traditionnels, et l'écosystème guyanais étant vulnérable, les impacts de l'exploitation ou de la chasse pourraient être importants.
La moitié de la biodiversité française est en Guyane : 29 % des plantes, 55 % des vertébrés supérieurs (mammifères, oiseaux, poissons...) et jusqu'à 92 % des insectes. Tout cela dans un seul département de 86 504 km². Un parc national et six réserves naturelles oeuvrent à la préservation de milieux et d'espèces aussi divers qu'uniques.
Les plages de la réserve naturelle de l'Amana constituent pour les tortues marines un site de ponte exceptionnel (l'un des plus importants au niveau mondial).
Économie
Article détaillé : Économie de la Guyane.L'Économie de la Guyane est lourdement dépendante du soutien du reste de la France et de l'industrie spatiale. Il existe peu de lignes aériennes directes à destination des autres pays de l'Amérique du Sud, mis à part le Brésil. Toutefois, il est possible de se rendre dans le reste de l'Amérique en faisant escale à Pointe-à-Pitre-Pôle Caraïbes (Guadeloupe) ou à Fort-de-France-Aimé Césaire (Martinique).
Infrastructure
- Infrastructures en Guyane
- Réseau routier de Guyane
- Transports publics en Guyane
- Aéroport international de Rochambeau à Cayenne
Démographie
Article détaillé : Démographie de la Guyane.En 2006, la population de la Guyane était de 206 000 habitants. Elle est en forte croissance, puisqu'ils étaient 115 000 en 1990[3] et 157 000 en 1999[3]. C'est la conséquence d'une grande différence entre le taux de natalité de 31 ‰ et le taux de mortalité d'environ 4,2 ‰. La Guyane est le département français où le taux de natalité est le plus élevé et le taux de mortalité est le plus faible[4]. L'indice guyanais de fécondité était de 3,98 enfants par femme en 2006.
C'est une population jeune (l'âge médian est de 28,6 ans)[5] et en 1999, 43,3 % de la population avait moins de 20 ans[3].
La population de la Guyane est en constante augmentation. Elle devrait passer à 425 000 en 2030[6] (600 000 selon une hypothèse haute), en raison d'un fort taux de croissance naturelle (excédent des naissances sur les décès) et sous l'effet d'une immigration importante (souvent clandestine) venant des pays limitrophes (Brésil, Guyana, Haïti, Suriname...). Celle-ci est motivée par l'or, un système de santé avancé, des écoles performantes par rapport à leurs pays d'origine, un État-providence généreux (RMI et allocations familiales notamment), ainsi que des salaires plus attractifs.
Populations actuelles
Le nombre exact d'habitants n'est pas connu, en raison notamment de la présence de milliers de clandestins, pour la plupart employés à la recherche de l'or. La population est essentiellement groupés dans quelques communes sur le littoral, le long de la RN1 (bande littorale) et au bord des grands fleuves et de leurs estuaires. De nombreuses communautés coexistent[7], venant de 80 pays, avec aujourd'hui une quarantaine de nationalités, dont :
- Les Créoles guyanais (environ 40 % de la population)
- Les Amérindiens répartis en six ethnies (les Arawaks, les Palikurs, les Kali'na, les Wayanas, les Wayampis, et les Emerillons). Ils représentent environ 4 500 personnes.
- Les descendants des Noirs Marrons, appelés "Bushinengés" (les Saramacas, les Paramacas, les Bonis ou Alukus, les Djukas ou Bosches). Ils représentent au moins 4 000 personnes.
- Les H'mongs, arrivés le 6 septembre 1977, représentent environ 2 000 personnes regroupées sur les communes de Roura (village de Cacao) et Mana (village de Javouhey).
- Les Métropolitains représentent actuellement environ 12 % de la population.
- Les autres populations (Chinois, Libanais, Brésiliens, Haïtiens, Surinamais, Guyaniens, Hindustanis, Javanais du Suriname, Péruviens, etc.) représentent près de 40 % de la population de Guyane.
La population étrangère en situation irrégulière (clandestins) est estimée entre 40 000 et 60 000 personnes, en plus des 230 000 habitants répertoriés.
Au 7 août 2006, selon Survival, « dans la partie amazonienne du département français de la Guyane vivent aujourd'hui quelque dix mille Amérindiens dont les droits à la propriété collective de leurs terres, sur lesquelles ils étaient autrefois souverains, ne sont toujours pas reconnus ».[8]
Le taux de chômage officiel oscille autour de 29,5 %.
Parmi les agriculteurs, on compte des H'mongs qui cultivent entre autres les fruits, le manioc et font du maraîchage.
Culture
Articles détaillés : Culture de la Guyane française, Créole guyanais, Manioc en Guyane, Liste des médias de Guyane, Danses en Guyane et Gastronomie guyanaise.Pâques en Guyane
À Pâques les Guyanais mangent un plat typique de la Guyane le bouillon d'awara.
Article détaillé : Carnaval de Guyane.Le Carnaval est l'un des événements majeurs de Guyane. Il se déroule, les après-midi de dimanche, entre l'Épiphanie au début de janvier, et le Mercredi des Cendres en février ou mars. Des groupes déguisés selon la thématique de l'année, y défilent autour de chars décorés, au rythme des percussions et des cuivres. La préparation des groupes durent des mois avant le carnaval. Les groupes défilent devant des milliers de spectateurs qui se masse sur les trottoirs et les gradins aménagés pour l'occasion.
Puis, au début de soirée, les touloulous se rendent dans les discothèques.
Des groupes brésiliens identiques à ceux que l'on rencontre au Carnaval de Rio, sont également appréciés pour leurs rythmes et leurs costumes affriolants. La communauté asiatique de Cayenne participe également aux défilés en apportant sa touche caractéristique, avec des dragons.
Personnalités guyanaises
Langues
La langue officielle de la Guyane est le français. Mais de nombreuses autres langues locales existent. Ainsi, les langues régionales officielles sont le créole guyanais, 6 langues amérindiennes (arawak, palikur, kali'na, wayana, wayampi, émerillon), 4 dialectes noirs marrons (saramaca, paramaca, boni, djuka), ainsi que le h'mong (langue laotienne). Enfin, les autres communautés formant une partie non négligeable de la population parlent quotidiennement le portugais, le chinois, le créole haïtien, l'espagnol, l'anglais, etc. Les dialectes noirs marrons, parlés par les Surinamais et les Busi-Nengue dans leur ensemble, sont regroupés sous le nom de « sranan tongo » (la langue du Suriname) ou de « taki taki » (de l'anglais « talk talk »), mais ce dernier terme peut avoir une connotation péjorative.
Forces armées en Guyane
Depuis juillet 2009, le commandant des forces armées de la Guyane est le général Jean-Pierre Hestin. Il y a 1 900 militaires et il est prévu une augmentation des effectifs d'ici 2014-2015[9].
- 3e régiment étranger d'infanterie (3e REI) de Kourou (Légion étrangère)
- 9e régiment d'infanterie de marine (9e RIMa) de Cayenne, à la Madeleine.
- Les gendarmes divisés en Gendarmes départementaux, répartis dans les 16 brigades que compte le département (à Chaton et à la route de la Madeleine situés à Cayenne). D'autres brigades à Remire-Montjoly, Cacao, Régina, Saint-Georges-de-l'Oyapock, Camopi, Macouria, Kourou, Sinnamary, Iracoubo, Mana, Saint Laurent du Maroni, Apatou, Grand-Santi, Papaïchton et Maripasoula) et en gendarmes mobiles en séjour de 3 mois. En septembre 2009, la gendarmerie de Chaton a déménagé à Matoury.
- Le RSMAGy Régiment du Service Militaire Adapté de la Guyane situé à Saint-Jean-du-Maroni, avec un détachement à Cayenne.
On note également des détachements d'autres corps d'armée :
- Le peloton de l'armée de l'air basé à base aérienne 367 de l'aéroport de Rochambeau. Elle attend la livraison d'aéronefs[10].
- Le peloton de la marine nationale basé à la base navale de Dégrad-Des-Cannes
- Un détachement de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris à Kourou, assurant la protection des personnes et des biens du Centre spatial guyanais
Codes
La Guyane française a pour codes :
- GUF, dans la norme ISO 3166-1 (liste des codes pays),
- .gf, selon les noms de domaines internet,
- F-O, selon la liste des préfixes OACI d'immatriculation des aéronefs,
- GF, selon la norme ISO 3166-1, code alpha-2,
- SO, selon la liste des préfixes des codes OACI des aéroports.
Notes et références
- ↑ Synthèse : biodiversité et conservation outre-mer (UICN, 2008)
- ↑ Projet de loi Grenelle II, avec exposé des motifs, et étude d'impact du projet (PDF, 525 pages) (en cours d'examen)
- ↑ a , b et c Source INSEE
- ↑ INSEE
- ↑ Données CIA 2006
- ↑ INSEE Antiane - projection 2030
- ↑ Ministère de l'outre-mer - Présentation - Guyane
- ↑ Voir l'article Journée internationale des peuples autochtones dans Le Nouvel Obs du 09/08/2006, [lire en ligne]
- ↑ Journal TV de rfo guyane du 18 Août 2009
- ↑ Journal TV de rfo guyane du 18 Août 2009
Bibliographie
- Shirley Compard, « De Diamant à Ariane 5 : des sables d'Hammaguir à la forêt guyanaise », dans Revue aerospatiale, N° hors série 20 ans d'Aerospatiale, janvier 1990
- Les Guyanes, collection Que sais-je ?, Michel Devèze Éditions Paris PUF, no 1315
- 1996 : Les Tortues continentales de Guyane française, Metrailler S. & Le Gratiet G., PMS éditions, Bramois
- 2000 : Guyane-Guyanes, une géographie sauvage de l'Orénoque à l'Amazone, Lézy, Emmanuel Édition Belin
- 2002 : Guyane, ou le voyage écologique, Cécile Richard-Hansen, Roger Le Guen, Éditions Roger Le Guen - Garies, France, 430 pages - ISBN : 2-9514396-1-x
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
- Site officiel de la Région Guyane
- Site officiel de la préfecture de Guyane
- Site officiel du Conseil Général de la Guyane
- Comité du Tourisme de Guyane
- Carte et texte du département en 1883, tiré de l'Atlas de Vuillemin
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