- École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne
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École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne Devise Operta Naturae Inveniunt Munera Informations Fondation 1816 Type Grande école d'ingénieurs Localisation Coordonnées Ville Saint-Étienne Pays France Région Rhône-Alpes Direction Directeur Philippe Jamet Chiffres clés Étudiants 1436[1] Doctorants 166[1] Niveau Bac+5 à Bac+8 (Doctorat) Diplômés/an 312 en 2009[1] Divers Affiliation CGE, Groupe des écoles des mines, G16+, AGERA Site web www.emse.fr Géolocalisation sur la carte : France
modifier L'École nationale supérieure des Mines de Saint-Étienne (ENSM SE) est une école d'ingénieurs française à vocation généraliste créée en 1816. Elle fait partie du Groupe des Écoles des Mines (GEM), sous tutelle du ministère de l’Économie, de l'Industrie et de l’Emploi (ministère de l'industrie).
Présentation générale
Architecture
L'école est composée d'un bâtiment central relié en U par deux bâtiments latéraux. Sur la façade du bâtiment principal, le balcon est soutenu par deux atlantes figurant un mineur et un métallurgiste. Le tout est surmonté d'un fronton représentant l'école qui distribue à des enfants casqués la science sous forme de livres et d'outils. Deux statues symbolisant la science et l'industrie ont été insérées dans des niches. Différents noms d’élèves, de professeurs et de directeurs marquants sont sculptés sur la façade. L’école reçut différentes extensions, en 1969, avec la construction d’un bâtiment au sud. De 1973 à 1975, d'autres ajouts sont réalisés avec la construction de la Rotonde et d’autres bâtiments.
Histoire
À la chute du Premier Empire en 1815, le traité de Vienne sépare la Sarre et la Savoie de la France, la privant ainsi des écoles pratiques des mines de Geislautern et Pesey alors qu'à l'aube de la révolution industrielle, le pays a grand besoin de cadres pour l'extraction de la houille. Le 2 août 1816, Louis XVIII produit une ordonnance royale portant création d'une école de mineurs à Saint-Étienne, alors en plein essor grâce à ses mines de charbon.
L'école s'établit d'abord dans un petit bâtiment place Marengo, avec à sa tête Louis-Antoine Beaunier. La première promotion en 1819 ne comprend que douze élèves, dont Benoît Fourneyron est le major de promotion. Le 7 mars 1831, une nouvelle ordonnance royale donne à l'établissement le statut d'école d'ingénieur. Rapidement, les locaux s'avèrent mal adaptés face à la croissance des promotions. En 1848, les Frères des Écoles chrétiennes cèdent leur domaine sur la colline de Chantegrillet où l'école déménage. Mais les travaux miniers altèrent les bâtiments et un nouveau bâtiment destiné à accueillir l'école est construit à partir de 1924 à l'emplacement actuel situé cours Fauriel. En 1927 l'école rejoint ses nouveaux locaux — on la surnomme depuis la « grande dame du cours Fauriel ».
En 1992, l'école devient un établissement public national à caractère administratif. En 1994, une partie rénovée des anciens locaux de Manufrance, situés à quelques centaines de mètres, est annexée. En 2002, l'école prend le tournant de la microélectronique avec la création de son 5e centre d'enseignement et de recherche : le Centre Microélectronique de Provence Georges Charpak. En 2003, l'école franchit le cap des 1000 élèves. La première année du cursus Ingénieur civil des mines compte 130 élèves. En 2004, l'école crée son 6e centre de formation et de recherche, consacré à l'Ingénierie de la santé. En 2009, l'école franchit le cap des 1500 élèves.
Les formations
Cursus d’ingénieurs civils des mines
- Admission
Il existe deux types d'admissions :
- Sur concours (l'essentiel des effectifs du cycle ingénieur civil) après les classes préparatoires aux grandes écoles. La voie d’accès principale est le Concours commun Mines-Ponts (filière de classes préparatoires MP, PSI, PC, PT, TSI).
- Sur titres pour une intégration en première année ou en deuxième année.
À noter qu'il existe également des auditeurs libres/étudiants en échange (sur un ou plusieurs semestres) suivant les mêmes cours mais qui ne pourront prétendre au diplôme ICM.
- Parcours
La scolarité classique se déroule sur trois ans.
- La première année, la plus longue en termes d'heures de cours, est orientée vers l'intégration des connaissances avec une variété de l'enseignement (mathématiques, physique, informatique mais aussi introduction au management, à la gestion de projet et des langues). Elle comporte un stage ouvrier, d'une durée d'un mois réalisé sur la période en février-mars.
- La deuxième année est caractérisée par le choix par les élèves d'axes assez divers. Elle se termine par un stage dit stage d'application d'une durée minimale de seize semaines.
- La troisième année est orientée vers le métier. L'élève peut choisir parmi les options suivantes: Procédés & Energétique - Environnement industriel et territoire - Informatique - Matériaux & mécanique - Organisation & gestion industrielle - Management de projet et innovation - Microélectronique - Ingénierie-Santé - Mathématiques appliquées et finance quantitative. Au sein de cette option, il devra alors choisir un profil ("sous-option"). Un stage de fin d'étude (environ six mois) clôt la scolarité.
La possibilité est également donnée à l'élève de réaliser une partie ou l'intégralité de sa 2e et/ou troisième année dans une école / université partenaire, en France ou à l'étranger. Il arrive alors que la scolarité dure 3 ans et demi ou 4 ans.
Le cursus ICM fait partie de la Graduate School commune aux écoles des mines de Nancy et Saint-Etienne[2]. Il est devenu cohérent avec le système de transfert de crédits européens ECTS.Cursus d’ingénieurs spécialisés en microélectronique informatique et nouvelles technologies
Le cycle ISMEA (Ingénieurs Spécialisés en MicroElectronique et Applications) de l'ENSM-SE a été renommé en ISMIN (Ingénieurs Spécialisés en Microélectronique Informatique et Nouvelles technologies) au cours de l'année 2008.
Le cursus ISMIN est un cycle de formation d’ingénieurs spécialisés plus particulièrement orienté vers la microélectronique, les systèmes embarqués et les logiciels associés.
Le recrutement s'effectue principalement sur concours après les classes préparatoires aux grandes écoles.
- Sur le Concours Telecom INT (en banque de notes du concours Mines-Ponts) pour les filières MP, PC et PSI
- Sur le Concours Commun ENSAM pour la filière PT
- Sur la banque de notes spécifiques des Concours Centrale-Supélec pour la filière TSI
Des admissions sur titres sont également possibles.
Quatre spécialisations de fin de cursus (options) sont proposées :
- conception microélectronique ;
- conception des systèmes informatiques ;
- mobilité et sécurité ;
- ingéniérie des systèmes embarqués.
Cette formation se déroule à Gardanne, sur le site Georges Charpak.
Elle a été créée en 1982 dans le cadre du groupe ESIM (Ecole Supérieure d'Ingénieurs de Marseille) et a été intégrée à l'Ecole des Mines de Saint-Etienne en 2003.
Cursus d’ingénieurs spécialisés en Génie Industriel
Cette formation se déroule dans les locaux de l'ISTP à Saint-Etienne. Elle se compose de deux filières (formation par apprentissage et formation continue) et offre également la possibilité de VAE.
Cursus d’ingénieurs en Genie Electrique et en Informatique Industrielle
Cette formation se déroule au Centre Microélectronique de Provence Georges CHARPAK (CMP-GC) à Gardanne en partenariat avec l’ITII-PACA (Institut des Techniques d’Ingénieur de l’Industrie). La sélection s'effectue au niveau BAC+2 (après tests pour les apprentis et sur dossier pour les formations continues). Les deux filières cohabitent sous le nom de cycle ISFEN (Ingénieur de Spécialité en Formation Ecole Entreprise). La spécialité à choisir en troisième année peut être :
- Systèmes embarqués (CMP-GC)
- Réseaux (CMP-GC)
- Microélectronique (CMP-GC)
- Télécommunications (Nice)
- Génie logiciel (Toulon)
La scolarité d'effectue principalement le vendredi et le samedi ainsi qu'au cours de 2 périodes bloquées par an.
Formation doctorale
L’Université Jean Monnet de Saint-Etienne et l’École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne, ont signé une convention créant l’École doctorale de Saint-Étienne (ED-SE) en date du 11 mai 2001 et obtenu l’accréditation conjointe d’une École doctorale pluridisciplinaire et inter-établissements du site stéphanois. Cette école doctorale permet la création de filières de formations disciplinaires cohérentes, ayant des bases scientifiques élargies et la mise en place d’une formation globale des doctorants.
C’est dans le cadre de cette Ecole Doctorale que sont organisées les études doctorales de l’Ecole des mines de Saint-Etienne. Tout titulaire d'un master recherche ou d'un diplôme de même équivalence (comme par exemple un diplôme d'ingénieur, sous réserve de pouvoir justifier d'un parcours recherche) peut postuler à cette formation d'une durée de 3 ans. L'école des Mines de Saint Etienne délivre le diplôme de docteur sous son seul sceau.
Mastères spécialisés
- Mastère spécialisé en ingénierie production et infrastructures en systèmes ouverts
- Mastère Spécialisé efficacité énergétique dans la rénovation des bâtiments[3] (en partenariat avec l'ENISE et l'ENTPE)[4]
La recherche
La recherche occupe une place fondamentale dans l'activité de l'école. Divisée en six centres autour de diverses thématiques : matériaux, procédés, mécanique, mathématiques, informatique, génie industriel, environnement, microélectronique et santé. L'école possède un effectif de 412,5 chercheurs, dont 152 doctorants, 121,5 enseignants chercheurs et 58 HDR[5].
Personnalités liées à l'école
Anciens directeurs
- Louis-Antoine Beaunier, fondateur de l'Ecole, de 1816 à 1835 ;
- Claude Francois Xavier Roussel-Galle de 1836 à 1852 ;
- Emmanuel-Louis Gruner de 1852 à 1858 ;
- Charles-Amable-Alban-Judas du Souich de 1858 à 1860 ;
- Etienne Dupont de 1860 à 1868 ;
- Mathieu Cacarrié de 1868 à 1873 ;
- Charles de Cizancourt de 1873 à 1879 ;
- Charles Castel de 1879 à 1880 ;
- Charles Fréjus Désiré Liénard de 1880 à 1881 ;
- Alfred Meurgey et Jouthée de 1881 à 1882 ;
- Claude André Simon Gonthier de 1882 à 1887 ;
- Albert Olry de 1887 à 1888 ;
- Ernest Leseure de 1888 à 1893 ;
- Gabriel Antoine Clément de Currières de Castelnau de 1893 à 1896 ;
- Louis Tauzin de 1896 à 1907 ;
- Georges Friedel de 1907 à 1919 ;
- Albert Henri Chipart de 1919 à 1929 ;
- Charles Descombes de 1929 à 1944 ;
- Louis Neltner de 1944 à 1971 ;
- Lucien Vielledent de 1971 à 1978 ;
- Guy Arnouil de 1978 à 1980 ;
- Maurice Mermet de 1980 à 1987 ;
- Philippe Saint-Raymond de 1987 à 1991 ;
- Philippe Hirtzman de 1991 à 2001 ;
- Robert Germinet de 2001 à 2008 ;
- Philippe Jamet depuis 2008.
Anciens professeurs
- Pierre Michel Moisson-Desroches, (de 1818 à 1827), professeur de géométrie descriptive, il participe à la création de l'école[6].
- Louis-Georges-Gabriel de Gallois-Lachapelle (de 1818 à 1820), professeur de chimie et metallurgie[7].
- Pierre Chevenard, professeur de métallurgie de 1919 à 1935.
Anciens élèves
- Jean-Baptiste Boussingault : père de la chimie agricole.
- Christian Brodhag (promotion 1971) : délégué interministériel au développement durable (2004-2008) ; il fut successivement attaché de recherche (1978), chargé de mission (1981), maître de recherche (1999) puis directeur de recherche (2004) à l'ENSM SE.
- Pierre Chevenard (promotion 1907) : ingénieur et chercheur spécialiste des aciers spéciaux et de la métallographie, membre de l'Académie des sciences.
- Pierre-Frédéric Dorian (auditeur libre 1831-1832) : maître de forges et homme politique français. Membre du Gouvernement de la Défense nationale (1870-1871).
- Henri Fayol (promotion 1860) : fondateur de l'École scientifique du travail (fayolisme).
- Olivier Fleurot (promotion 1971) : à la direction générale des Échos (1996), il devient le premier français à diriger le Financial Times (1998). En octobre 2006, Maurice Lévy fait appel à lui pour présider Publicis Worldwide.
- Benoît Fourneyron : inventeur de la turbine hydraulique.
- Jules Garnier : découvreur du nickel en Nouvelle-Calédonie.
- Xavier Hommaire de Hell (promotion 1831) : ingénieur civil, géologue et géographe, membre de l'Académie des sciences.
- Issoufou Mahamadou, élu président du Niger le 6 mars 2011, fait partie de la promotion de 1976.
- Benoît Rouquayrol un des inventeurs du scaphandre autonome.
- Gaspard-Félix Tournachon, dit Nadar (1820-1910) : promotion 1837, caricaturiste, aéronaute et photographe[8].
Voir la catégorie : Élève de l'École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne.Le Prix puRkwa
Ce prix international, dédié à l'esprit et à l'éveil scientifique, a pour objet l'alphabétisation scientifique des enfants de la planète. Il vise à soutenir les initiatives les plus innovantes pour assurer la promotion et le développement de l'esprit scientifique des enfants du monde entier. Il est destiné à encourager les meilleures méthodes dans le domaine général de l'enseignement des sciences, dans les programmes scolaires pour les enfants de moins de 16 ans. Il est décerné à des pionniers en matière d'éducation des sciences qui se sont illustrés par leur démarche d'innovation. Le Prix puRkwa est une initiative de l'École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne et de son directeur Robert Germinet, soutenue par diverses organisations, administrations régionales et partenaires industriels. Il est décerné conjointement par l'Académie des sciences et l'école, chaque année à deux lauréats, et est doté de 80 000 euros. PuRkwa est la retranscription en phonétique de "Pourquoi" en français, une question qui revient souvent dans la bouche des enfants, dans leurs langues respectives.
Le lancement de ce prix a eu lieu le 21 juin 2004 à l'Académie des sciences de l'Institut de France à Paris devant plus de 150 personnalités du monde institutionnel, académique et scientifique, en présence de la presse nationale et étrangère. Le jury était présidé par Georges Charpak, Prix Nobel et membre de l'Académie des sciences, et composé de personnalités de haute notoriété scientifique, Prix Nobel et Académiciens français et étrangers.
Les lauréats ont été:
- 2009: L'association Main à la Pâte, fondée en 1996 par Georges Charpak, Pierre Léna et Yves Quéré, pour la découverte des sciences par la démarche expérimentale d'investigation scientifique dès l'école primaire.
- 2009: L'ONG américaine "The national ressource center" pour la rénovation de l’apprentissage et de l’enseignement des sciences, depuis la maternelle jusqu’au Master, aux États-Unis et dans le monde entier.
- 2008: Guillermo Fernández de la Garza, Director Ejecutivo de la Fundación México Estados Unidos para la Ciencia, A.C., a lancé le programme "Aprendizaje vivencial e indagatorio de las ciencias", (Mexique)
- 2008: Wynne Harlen, "Visiting Professor, Graduate School of Education, University of Bristol", responsable du Conseil écossais de l'Education, spécialiste mondiale de l'éducation scientifique primaire et secondaire, (Grande-Bretagne)
- 2007: Stevan Jokiv, Directeur scientifique de l'Institut Vinça de Belgrade, a lancé le programme "Ruka u Testu", (Serbie)
- 2007: Jorge Eduardo Allende, ancien président de l'Académie des sciences du Chili, a lancé le programme ECBI, (Chili)
- 2006: Karen Worth, co-directrice du “K-12 Science Curriculum Dissemination Center”, Education Development Center, Center for Science Education et instructeur à la "School of Education and Child Life" à Wheelock College (Boston, Massachusetts, USA)
- 2006: Dr. Yu Wei, directrice du Centre de recherche pour l'apprentissage des sciences à l'Université du Sud-Est de Nanjing (Chine)
- 2005: Dr. Michael Klentchy, superintendent du "El Centro Unified School District" (Californie, USA)
- 2005: Dr. Mauricio Duque, professeur d'ingénierie à la "Universidad de Los Andes" à Bogota (Colombie).
Vie associative
L'École Nationale Supérieure des Mines de Saint Étienne regorge d'une vie associative active. Celle-ci est principalement animée par les étudiants. Elle se découpe en associations gérant la vie communautaire interne et des associations plus tournées vers l'extérieur et l'humanitaire.
- Associations internes à l'École:
- Le Bureau des Élèves (BDE): il assure la vie des élèves et de nombreuses animations, soirées etc.
- Le Bureau des Sports (BDS): il propose de nombreuses activités et sorties sportives
- Le Bureau des Arts (BDA): il propose de nombreuses activités culturelles internes (concerts, spectacles) et sortie culturelles (Théâtre, cinéma etc.)
- Associations tournée sur l'extérieur
- Mines Études et Projets [1] : la Junior-Entreprise de l'école
- Les Mines ont du Cœur
- Min'Bot [2]: Association de Robotique sensibilisant la jeunesse Stéphanoise à la Robotique et participant à de nombreux événements culturels dans la Loire
- Credit's Mines [3]: Association de Micro-Crédit au Togo assurant la collecte de fonds et le transfert vers une association partenaire compétente locale
- Youth Council of France
- Ingénieurs Sans Frontières
Notes et références
- http://www.letudiant.fr/palmares/classement-ecole-ingenieur-apres-prepa/fiche/ecole-nationale-superieure-des-mines-de-saint-etienne-5070.html
- http://www.gemtech.fr/42920619/1/fiche___pagelibre/
- http://www.emse.fr/spip/-Mastere-Specialise-Efficacite-.html
- http://www.leprogres.fr/loire/2011/07/16/un-mastere-pour-reduire-les-emissions-de-gaz-a-effet-de-serre-dans-les-batiments-a-renover
- http://www.emse.fr/spip/-Recherche-.html
- lire (consulté le 05/01/2010). Annales X, Pierre Michel Moisson-Desroches,
- lire (consulté le 05/12/2010). Annales, Professeurs de l'école des mines de Saint-Etienne au XIXème siècle,
- lire en ligne (consulté le 12 février 2010). Annales, fiche : Félix Tournachon dit Nadar
Voir aussi
Bibliographie
- Garçon Anne-Françoise, Entre l'Etat et l'usine. L'Ecole des Mines de Saint-Etienne au XIXe siècle, Presses Universitaires de Rennes, 2004
Article connexe
Liens externes
- Site officiel
- Site des élèves (Saint-Etienne)
- Site des élèves (Gardanne)
- Site des anciens élèves
- Groupe des anciens élèves sur LinkedIn
- Liste des directeurs et des plus anciens professeurs de l'Ecole depuis sa création
- Site de la Junior-Entreprise de l'école Mines Etudes et Projets
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