Parti radical de gauche

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Parti radical de gauche
Présentation
Président	Jean-Michel Baylet
Fondation	1972 (MGRS) 1973 (MRG) 1994 (Radical) 1996 (PRS) 1998 (PRG)
Siège	13, Rue Duroc 75007 Paris
Idéologie	Radicalisme Social-libéralisme Fédéralisme européen
Couleurs	bleu, jaune
Site web	www.planeteradicale.org/
Présidents du groupe
au Sénat	Jacques Mézard (RDSE)
à l'Assemblée	Jean-Marc Ayrault (PS)
Représentation du parti
Députés
Sénateurs

Le Parti radical de gauche (PRG) est un parti politique français de centre-gauche, social-libéral, membre observateur du Parti ELDR au Parlement européen.

Fondation et dénomination

Pour des raisons judiciaires l'opposant à l'autre mouvement issu du même parti, le Parti radical (dit valoisien), il a dû changer plusieurs fois de nom, passant de Mouvement de la gauche radicale-socialiste (MGRS) en 1972 (année de la scission du parti radical) à Mouvement des radicaux de gauche (MRG) en 1973, puis à Radical (mouvement des radicaux de gauche pour la réforme et la République) en 1994 puis Parti radical-socialiste (PRS) avant de prendre son nom actuel le 13 janvier 1998.

Le PRG est né d'une scission du Parti radical, car ses animateurs (Maurice Faure, René Billières, Robert Fabre, Jacques Maroselli) souhaitaient adhérer au Programme commun de la gauche et soutenaient la candidature unique de la gauche, celle de François Mitterrand, pour l'élection présidentielle de 1974.

Présidence

Le président du PRG est Jean-Michel Baylet. Réélu lors du congrès des 17 et 18 mai 2008, son mandat court jusqu'en 2011.

Anciens présidents :

Mouvement de la gauche radicale-socialiste (MGRS) [1972]
puis Mouvement des radicaux de gauche (MRG) [de 1973 à 1994]

• Robert Fabre (1972-1978),
• Michel Crépeau (1978-1981),
• Roger-Gérard Schwartzenberg (1981-1983),
• Jean-Michel Baylet (1983-1985),
• François Doubin (1985-1988),
• Yvon Collin (1988-1989),
• Émile Zuccarelli (1989-1992),

Radical [1994]
Parti radical-socialiste (PRS) [1995-1997]
Parti radical de gauche [depuis le 13 janvier 1998]

• Jean-François Hory (1992-1995),
• Jean-Michel Baylet (depuis 1996).

Histoire

La montée en puissance du Parti socialiste dans les années 1970 l'a peu à peu marginalisé, au point qu'après la candidature de Michel Crépeau en 1981, et son résultat décevant de 2,09% des voix, le parti ne présente aucun candidat à la présidentielle. Il faudra attendre 2002 pour voir le parti soutenir son propre candidat au premier tour de la présidentielle. Au moment de la grave crise du PS au début des années 1990, les radicaux se choisiront Bernard Tapie pour leader, dont la liste « Énergie radicale » aux élections européennes de 1994 obtiendra 12,03% des voix, proche du score du PS (14,49%, liste conduite par Michel Rocard). Ce sera un succès sans lendemain, notamment à cause des tracas judiciaires de Bernard Tapie.

Le départ de Robert Fabre nommé en 1978 Médiateur de la République par Valéry Giscard d'Estaing, suivi de l'exclusion de plusieurs de ses proches, divise et affaiblit le parti (les tentatives de Robert Fabre d'accueillir au sein du MRG un certain nombre de gaullistes de gauche, comme Léo Hamon ou Jean Charbonnel lui avaient valu de solides inimitiés de la part des radicaux de gauche les plus proches du PS).

L'alternance en 1981, 1988 et 1997 permet au MRG puis au PRG d'accéder au pouvoir aux côtés des socialistes. Il participe à l'ensemble des gouvernements de la gauche depuis 1981.

Depuis 1981, l'importance des radicaux de gauche a décliné. Une scission survient en 1982 et voit la création du PDF. En 1984, Le MRG présente une liste commune avec des écologistes (dont Brice Lalonde) et l'UCR d'Olivier Stirn aux élections européennes. La liste ERE obtient un succès d'estime (3,32 % des voix) mais aucun élu. Aux élections législatives de 1986, une tentative de présenter des listes autonomes en alliance avec le MGP (Mouvement gaulliste populaire) achève de convaincre le MRG que l'alliance avec le PS demeure la seule solution raisonnable pour sa survie. Dès lors François Doubin puis Émile Zuccarelli s'emploieront, à la tête du MRG, à reconstruire tout à la fois une identité politique aux radicaux de gauche et une alliance équilibrée avec le Parti socialiste.

L'élection de Jean-François Hory à la tête du MRG en 1992 va permettre au MRG de prendre une importance nouvelle à gauche, grâce à l'adhésion de Bernard Tapie et son succès aux élections européennes de 1994. Le parti abrège alors son nom pour s'appeler tout simplement Radical. Mais cette nouvelle tentative d'indépendance échoue finalement en 1995, lorsque Jean-François Hory, crédité d'intentions de votes faméliques pour l’élection présidentielle à laquelle il s'est porté candidat, renonce à sa candidature puis à la présidence de Radical, qui prend ensuite le nom de Parti radical-socialiste, puis celui de Parti Radical de Gauche.

Le PRG choisit en 2002 d'être représenté par une personnalité non membre, Christiane Taubira, députée de Guyane. Cette décision crée au sein du PRG de fortes tensions, plusieurs de ses élus et dirigeants et au premier plan d'entre eux Émile Zuccarelli choisissant de soutenir la candidature du républicain Jean-Pierre Chevènement. À la suite de cette désignation, Madame Taubira, peu connue jusque là en France métropolitaine, n'obtient que 2,32%. Elle intègre provisoirement le PRG en qualité de vice-présidente avant de renoncer à cette fonction en 2005 et d'appeler avec Émile Zuccarelli et une majorité de députés PRG à voter « non » au référendum du 29 mai 2005 sur le projet de Traité constitutionnel européen. Aujourd'hui le PRG apparaît divisé entre un courant « social-libéral » autour de Jean-Michel Baylet et un courant républicain de gauche conduit par Émile Zuccarelli auréolé par ses victoires consécutives au référendum insulaire puis au référendum sur le TCE.

Le PRG défend notamment l'héritage laïque dans les institutions françaises.

Force électorale

Le PRG comptait en 2005 8 députés et deux présidents de conseils généraux. PS et PRG vivent dans une relative symbiose, les deux organisations ayant même une association de financement public commune, et évitant généralement d'être concurrents lors du 1^er tour des élections législatives. De 1997 à 2002, les députés du PRG ont siégé à l'Assemblée nationale aux côtés des Verts et des chevènementistes au sein du groupe RCV (Radical, citoyen et vert) ; les radicaux de gauche, dans l'incapacité de reformer un groupe autonome après 2002, siègent aujourd'hui comme apparentés dans le groupe socialiste pour 6 d'entre eux ou sans étiquette pour les deux autres : Émile Zuccarelli et Gérard Charasse. A la suite des élections législatives de 2007, l'ensemble des députés radicaux de gauche siègent comme apparentés au groupe socialiste, radical et citoyen au sein duquel ils constituent un sous-groupe avec des députés divers gauche.

Ils poursuivent en revanche l'expérience originale de leur groupe commun Rassemblement démocratique et social européen (RDSE) avec le Parti radical « valoisien », plutôt de centre-droit, au Sénat. À la suite des élections sénatoriales de septembre 2008, les sénateurs radicaux de gauche deviennent majoritaires au sein de ce groupe dont Yvon Collin assure la présidence.

Les 15 et 16 mai 2007, les présidents respectifs du Parti radical valoisien et du PRG ont fait savoir leur volonté de se rencontrer et de se rassembler, mettant ainsi fin à 35 ans de séparation, pour créer une « grande force centrale ». Mais des élus et des cadres du PRG s'y opposent.

Les élections municipales de 2008 ont permis au PRG de presque doubler le nombre de ses conseillers municipaux, et de gagner la mairie dans 42 communes de plus de 3 000 habitants.

A la suite des élections cantonales françaises de 2011, le PRG obtient 51 sièges, ce qui porte son total de conseillers généraux à 111^[1].

Élections de 2007

Pour l'élection présidentielle de 2007, le PRG n'avait pas immédiatement officialisé sa position. Bernard Castagnède, porte-parole, avait annoncé : « Si tout le monde à gauche y va, il serait surprenant que nous n'y allions pas ». Christiane Taubira, présidente du parti guyanais Walwari et candidate PRG en 2002, annonce sa candidature à l'investiture le 12 juillet 2006. Jean-Michel Baylet, président du PRG, et Bernard Tapie sont également considérés comme candidats potentiels.

Finalement, le 22 octobre 2006, les militants du PRG réunis en congrès extraordinaire ont validé à une forte majorité la stratégie d'union avec le Parti socialiste dès le premier tour de l'élection présidentielle. 473 délégués l'ont approuvée contre 208 qui s'y sont opposés lors d'un vote à l'issue d'un congrès extraordinaire de deux jours à Paris^[2]. La conclusion d'un accord global entre le PS et le PRG pour les législatives 2007 était en effet conditionné par le PS au fait que le PRG soutienne le candidat socialiste dès le premier tour. 36 circonscriptions électorales sont réservées au PRG. Mais les résultats de ces élections législatives sont assez moyens pour le PRG, qui obtient toutefois 9 députés, dont Christiane Taubira (à comparer aux 8 sortants), dont cinq femmes, tandis que plusieurs de ses sortants sont battus (Émile Zuccarelli, Roger-Gérard Schwartzenberg, François Huwart…). Faute d'avoir obtenu la réduction à 15 députés du seuil de constitution d'un groupe parlementaire, les députés radicaux de gauche décident finalement de constituer le groupe Socialiste, radical, citoyen et divers gauche (SRC) avec les députés du Parti socialiste et du Mouvement républicain et citoyen. Le groupe SRC est présidé par Jean-Marc Ayrault.

Une crise est ouverte lors de la révision de la Constitution, six des huit députés radicaux de gauche^[3] et des sénateurs du RDSE se prononçant en faveur de la révision, permettant à celle-ci d'être adoptée, bien que le règlement du groupe SRC voté en 2007 leur accordât la liberté de vote.

Députés élus ou réélus en juin 2007

• Gérard Charasse, Allier
• Paul Giacobbi, Haute-Corse
• Annick Girardin, Saint-Pierre-et-Miquelon
• Joël Giraud, Hautes-Alpes
• Dominique Orliac, Lot
• Chantal Robin-Rodrigo, Hautes-Pyrénées
• Sylvia Pinel, Tarn-et-Garonne
• Christiane Taubira, Guyane, élue Walwari
• Jeanny Marc, Guadeloupe, élue GUSR
• Chantal Berthelot, Guyane, élue PSG
• Albert Likuvalu, Wallis-et-Futuna, élu PS Wallis et Futuna

Sénateurs

• Jean-Michel Baylet, Tarn-et-Garonne
• Yvon Collin, Tarn-et-Garonne
• Nicolas Alfonsi, Corse-du-Sud
• François Vendasi, Haute-Corse
• Raymond Vall, Gers
• Anne-Marie Escoffier, Aveyron
• François Fortassin, Hautes-Pyrénées
• Françoise Laborde, Haute-Garonne
• Jacques Mézard, Cantal
• Jean-Claude Requier, Lot
• Jean-Pierre Plancade, Haute-Garonne

Conseillers régionaux

• Aquitaine : 2 élus
• Auvergne : Marie-Claude Léguillon
• Bourgogne : Didier Martin, Jacques Rebillard
• Centre : Bernard Fournier, Patrick Riehl, Mélanie Fortier
• Languedoc-Roussillon : 3 élus
• Midi-Pyrénées : Christophe Delahaye, Claude Gaits, Michèle Garrigues, Andréa Goumont, Philippe Guerin, Malika Kourdoughli, Bernard Lapeyrade, Geneviève Lasfargues, Sylvia Pinel, Bernard Raynaud, Dominique Salomon
• Nord-Pas-de-Calais : Pierre Georget, Eric Rommel, Rachida Sahraoui
• Basse-Normandie : Alain Tourret, Muriel Jozeau-Marigné, Annie Anne, Josiane Tomasetto
• Haute-Normandie : Daniel Lesueur, Valérie Gibert-Thieulent, Franck Martin
• Pays de la Loire : Marylène Mazzorana, Dominique Prouteau
• Picardie : Josiane Baeckelandt, Fabrice Dalongeville, Sylvie Hubert
• Poitou-Charentes : Christophe Ramblière, Benoît Biteau, Nathalie Garnier
• Rhône-Alpes : Catherine Pidoux, Sarah Boukaala, André Friedenberg, Thierry Braillard, Gérard Perrissin-Fabert
• Île-de-France : Eddie Aït, Mireille Gitton, Muriel Guenoux, Josy Mollet-Lidy

Conseillers généraux

• Aisne : Jacques Krabal
• Allier : Gérard Charasse
• Hautes-Alpes : Pierre Denis, Bernard Allard-Latour, Alain Fardella
• Alpes-Maritimes : Patrick Mottard
• Aveyron : Éric Cantournet
• Charente-Maritime : Gilles Gautronneau ,Pascal Ferchaud, Marie-Pierre Brunet, Marie-Lyse Fleuret-Pagnoux, Yann Juin, Jean-Yves Martin, Michel Rogeon, Denis Petit
• Haute-Corse : Jean-Jacques Vendasi, François Orlandi, Jacques Costa, Michel Mezzadri, Pierre-Joseph Ghionga
• Corse-du-Sud : Nicolas Alfonsi,
• Côte-d'Or : Robert Grimpret
• Creuse : Jean Commergnat
• Dordogne : Yves Moreau
• Eure : Claude Béhar
• Eure-et-Loir : Christian Gigon
• Haute-Garonne : Bernard Keller
• Gers : Bruno Mattel,Gérard Castet
• Île-et-Vilaine : Christian Couet
• Lot : Bernard Choulet,Georges Frescaline,Jean-Claude Requier
• Lot-et-Garonne : Jean-Louis Mateos,Jean-Claude Gouget
• Maine-et-Loire : Jean-Michel Marchand
• Oise : Joël Patin,Thierry Maugez,Thibault Delavenne
• Pas-de-Calais : Jean-Pierre Defontaine
• Hautes-Pyrénées : Jean-Claude Beaucoueste, François Fortassin, Michel Pelieu, Robert Vignes, Marc Léo, Chantal Robin-Rodrigo, Jeanine Dubié, Georges Azavant, Bernard Verdier, Francis Dutour, Roland Dubertrand, Jacques Brune, Josette Bourdeu, André Fourcade
• Rhône : Louis Pelaez
• Haute-Saône : Gérard Poivey
• Somme : Jean-Jacques Stoter
• Tarn : Michel Albarede
• Tarn-et-Garonne : Jean-Michel Baylet, Raymond Massip, Jean-Luc de Prince, Guy-Michel Empociello, Jean Lavabre, Jean-Paul Raynal, Jacques Taberly

Dans les villes et les intercommunalités

• Auby : Christophe Charles, conseiller municipal.
• Abbeville : Marie-Line Bourgois, conseiller municipal, René Dobremetz, conseiller municipal.
• Briquemesnil-Floxicourt : Jean-Jacques Stoter, maire, président de la fédération.
• Amiens : Guillaume Bonnet, maire-adjoint. Hélène Luczak, conseiller municipal.
• Bruay-la-Buissière : Joël Boineau, conseiller municipal.
• Braisnes : Fabrice Robert, conseiller municipal.
• Bourbourg : Francis Bassemon, maire. Jean-Marie Duval, conseiller municipal.
• Beaumont-sur-Oise : Nathalie Cloots, conseiller municipale. Ollivier-François Dorso, conseiller municipal.
• Blérancourt : Patrick Laplace, maire.
• Béthune : Jean-René Boutinon, maire adjoint. Yvon Bultel, maire adjoint. Monique Delmotte, maire adjoint.
• Annezin : Michel Chevalier, conseiller municipal.
• Aubervilliers : Abderrahim Hafidi, maire adjoint. Djamila Khelaf, maire adjoint. Djida Madi, conseillère municipale. Alexandre Ngaleu Monkam, conseiller municipal. Madeleine Ngange, conseiller municipal.
• Aulnay-sous-Bois : Jean-Pierre Laborde, maire-adjoint.Ahmed Laouedj, maire adjoint. Aurélie Leloup, conseillère municipale déléguée. Karine Fougeray, maire-adjoint. Mario Oliveira, conseiller municipal.
• Auger-Saint-Vincent : Fabrice Dalongeville, maire, président du PRG de l'Oise.
• Beynes : Yves Revel, conseiller municipal.
• Roeux : Eugène Citerne, maire adjoint.
• Carrières-sous-Poissy : Eddie Aït, maire.
• Les Clayes-sous-Bois : Claude DEBOOSERE LEPIDI, conseiller municipal. Driss Nala, conseiller municipal délégué.
• Montesson : Jean-Claude Oper, conseiller municipal.
• Corcy : Fédéric Naud, conseiller municipal.
• Coubron : Francis Deschamps, conseiller municipal.
• Dunkerque : François Liber, maire-adjoint. Marie-Noëlle Loger, maire-adjoint.
• Marcq : Pierre Souin, maire.
• Rambouillet : Bruno Tranchant, conseille municipal.
• Moult : Alain Touret, maire.
• Meulan : Laurent Somme,conseiller municipal.
• Saint-Germain-de-Tallevende : Marc-Andreu Sabater, maire.
• Cherbourg-Octeville : Muriel Jozeau-Marigné, maire-adjoint.
• Eragny-sur-Oise : Hélène Chatillon, conseiller municipal.
• Fampoux : Géry Coulon, maire, conseiller communautaire à la CU d'Arras.
• Guyencourt : Gérard Méjean, maire-adjoint.
• Fontenay-sous-Bois : Linda Bertotto, conseillère municipale. Maria José DO ROSARIO, conseillère municipale.
• Gentilly : Jean-Yves DESLANDE LE CARDIET, conseiller municipal
• Jouy-le-Moutier : Michel Granger, conseiller municipal.
• Barlin : Marie-José Daize, conseiller municipal.
• Osny : Pascal-Éric Lalmy, conseiller municipal.
• Villemandeur : Bernard Forunier, conseiller municipal.
• Bondy : Kadijia Besseghir, conseiller municipal délégué.
• Blargies : Patrick Périmony, maire.
• Joinville-le-Pont : Marc VERSTRAETE, conseiller municipal.
• Paris : Gilles Alayrac, conseiller de paris. Thierry Blandin, maire adjoint (Paris XX); Jean-Bernard Bros, conseiller de paris, maire adjoint. Étienne Dabeedin, conseiller municipal. Laurence Golgrab, maire-adjoint (Paris XVIII°), conseiller municipal. Muriel Guenoux, conseiller municipal. Xavier Laugaudin, maire-adjoint (IX). Jean-Christophe Mikhailof, maire-adjoint (XI). Fabrice Moulin, maire-adjoint (XII). Marie-Louise PADOVANI-CAPIASSI, maire-adjoint (XIV°). Marie-Hélène PIETRANICO, conseiller municipal (XV).
• Taverny : Rehda Khaled, conseiller municipal.
• Vitry-en-Artois : Pierre Georget, maire, président de la fédération du Pas-de-Calais. Didier Decaen, conseiller municipal. Véronique Delcourt, conseillère municipale déléguée. Sylvie Duriak, maire adjointe. Gérard Dziaek, conseiller municipal.
• Hénin-sur-Cojeul : Jean-Pierre Defontaine, conseiller municipal.
• Montrouge : Paul-André Mouly, conseiller municipal.
• Clichy : Fawzi BENABDALLAH, conseiller municipal. Anabelle Galini, maire-adjoint. Mireille Giton, maire-adjoint.Bernard Marchandan. Serge-Azise SETTERAHMANE, maire-adjoint.
• Chaville : Thierry Besançon, conseiller municipal.
• Calais : Antoine Deguines, maire-adjoint, vice-président de la communauté d'agglomération du Calaisis. Michèle Klopfenstein-Leheut de Lavallée, conseillère municipale.
• Cachan : Cécile Reichard, conseillère municipale.
• Chevilly-Larue : Nathalie Sans-Sevaux, conseillère municipale
• Château-Thierry : Jacques Krabal, maire. Frédéric Bardoux, maire-adjoint.Philippe Pintelon, conseiller municipal.
• Clermont : Christiane Borderias Soler, conseillère municipale.
• Chilly-Mazarin : Christine Delabarre, conseiller municipal.
• Corcy : Frédéric Naud, maire-adjoint.
• Colombes : Edouard Phanor, maire-adjoint.
• Creil : Eddie Beaubrun, conseiller municipal. Éric Montes, maire-adjoint.
• Gagny : Mounir Ben Zaier, conseiller municipal. Alain Benis-Surprise, conseiller municipale. Isabelle Dernoncourt, conseiller municipal. Jim Dhoet, conseiller municipal. Fanny Le Mancq, conseillère municipale. Jean-François Thevenot, conseiller municipal.
• Trouy : Gérard Santosuosso, maire
• Le Poinconnet : Christine Rippart, conseillère municipale.
• Châteauroux : Michel Arroyo, conseiller municipal. Marie-José Chuassonnet, conseiller municipal.
• Guiscard : Thibaut Delavenne, maire.
• Framecourt : Claude Devaux, maire.
• Froissy : Josiane Baecklandt, maire.
• Vierzon : Jean-Paul Saboureau, conseiller municipal.
• Villeneuve-Saint-Georges : Myryame Gaye, Conseillère municipale. Charles Knopfer, conseiller municipal.Monique Tirode, maire-adjoint.
• Vitry-sur-Seine : Sylvie Montoir, conseiller municipal.Maurice TZINMANN, maire-adjoint.
• Le Perreux : Patrick Mouge, maire-adjoint.
• Haillicourt : Gérard Foucault, maire.
• Ivry-sur-Seine : Pierre Martinez, conseiller municipal délégué.
• Le Kremlin-Bicêtre : Pierre Mercadier, conseiller municipal;
• Hénin-Beaumont : Jean-Claude Gannuzi, maire-adjoint.
• Hermes : Laurent Pagny, maire.
• Basseux : Francine Guilluy, conseillère municipale.
• Lavacquerie : Éric Boucourt, conseiller municipal.
• Le Quesne : Michel Doinel, maire.
• Lille : Jacques Mutez, conseiller municipal
• Livry-Gargan : Gérard Cosimi, conseiller municipal délégué, président de la fédération de Seine-Saint-Denis.
• Feuquières : Céline Carouge, maire-adjointe.
• Le Pré-Saint-Gervais : Walter Pinna, conseiller municipal.
• Loon-Plage : Eric Rommel, maire.
• Livry-Gargan : Lamia Bensabah,conseiller municipal.
• Lévignen : Martine Gabillet, maire adjoint.
• Margny-les-Compiègne : Daniel Dhieux, conseiller municipal.
• Morangis : José de Sousa, maire-adjoint.
• Montreuil-sur-Brêche : Fred Boucher, conseiller municipal.
• Nîmes : Jocelyne Pezet-Romieux, conseillère municipale.
• Noyers-Saint-Martin : Nathalie Cosso, conseillère municipale. Christophe Isaac, conseiller municipal.
• Palaiseau : François Xavier Perrault, maire-adjoint.
• Pantin : Jean-Jacques Brient, maire-adjoint.Sylvi Nouaille, conseiller municipal.
• Pont-Sainte-Maxence : Daniel Noël, maire-adjoint.
• Romainville : Karim Amazouz, conseiller municipal.
• Saint-Pol-sur-Mer : Benoit Venturini, conseiller municipal délégué.
• Saint-Leu-d'Esserent : Fanny Guinion, conseiller municipal.
• Sarcelles : Marie-Laure Amacin, conseiller municipal. Jocelyne Mayol, conseiller municipal.
• Somain : Jérôme Matuszewski, conseiller municipal.
• Sevran : Michel Chatenet, conseiller municipal. Jean-Pierre Laborde, maire adjoint.
• Sommereux : Joël Patin, conseiller municipal.
• Soissons : Didier Doda, maire-adjoint, président de la fédération de l'Aisne. Sylvie Hubert, conseillère municipale. Élisabeth Tuloup, conseillère municipale.
• Villers-Cotterêts : Raymond Duvauchelle, maire-adjoint. Sarah Granthomme, conseillère municipale.
• Vierzy : Christine Eyraud, conseillère municipale
• Tergnier : Daniel Dardenne, amire-adjoint. Francis Delacourt, conseiller communautaire.
• Tourcoing : Jack Blot, conseiller municipal
• Varennes-en-Croix : Éric Van Steenkiste-Delespierre, conseiller municipal, conseiller communautaire de la communauté de communes du Pays du Coquelicot.
• Villepinte : Karima Malki, maire adjointe.
• Viry-Châtillon : Florent Cappelletti, conseiller municipal.
• Wattrelos : Véronique Bossut, maire-adjoint.Marc Zarcone, conseiller municipal délégué. Paul Patou, Zohra Reiffers-Ballabas, conseillers municipaux.

Situation en mars 2011

Au 1 octobre 2011, à la fin de toutes les élections municipales, générales et régionales, législatives et sénatoriales ayant eu lieu depuis 2007, le PRG dénombrait :

Logos

• 

  MRG : 1973-1994

• 

  RAD : 1994-1996

• 

  PRS : 1996-1998

• 

  PRG : 1998-2009

• 

  PRG : depuis 2009

Notes et références

Voir aussi

Liens internes

• Jeunes radicaux de gauche
• Parti radical
• Parti républicain, radical et radical-socialiste

Liens externes

• Site officiel du Parti radical de gauche
• Site des députés radicaux de gauche
• Annuaire des sites radicaux de gauche

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