- Parti Radical valoisien
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Parti radical (France)
Parti radical Président, Porte-parole Jean-Louis Borloo Fondation 1901 Disparition {{{disparition}}} Siège 1, place de Valois
75001 ParisSecrétaire général Laurent Hénart Premier vice-président Serge Lepeltier Secrétaires généraux adjoints Michel Thiollière,
Arlette FructusTrésorier national Pierre Cueille Président d'honneur André Rossinot Ancien président François Loos Présidents du groupe au Sénat Yvon Collin (RDSE-PRG), Henri de Raincourt (UMP) à l'Assemblée Jean-François Copé (UMP) au Parlement européen Joseph Daul (UMP) Représentation du parti Députés Sénateurs Députés européens Idéologie Radicalisme, républicain Affiliation européenne Pas d'affiliation directe Affiliation internationale {{{internationale}}} Couleurs bleu, blanc, rouge Site Web http://www.partiradical.net/ voir aussi Constitution française
Politique de la France
Gouvernement français
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Partis politiques français
Élections en FranceLe Parti radical dit « valoisien » est le plus ancien parti politique français, continuation officielle du Parti radical historique suite à la scission intervenue en 1971. Il se situe au centre-droit de l'échiquier politique.
Sommaire
- 1 Histoire
- 2 Dénomination
- 3 Positionnement politique
- 4 Membres
- 5 Notes et références
- 6 Annexes
Histoire
La structuration du radicalisme au XIXe siècle
Le Parti radical trouve ses origines dans les rangs des républicains au XIXe siècle, où il se situa souvent à l'extrême gauche de l'échiquier politique. Sa philosophie politique sera tout au long de son histoire fortement influencée par la franc-maçonnerie, dont seront membres plusieurs des figures politiques radicales.
Sous la Monarchie de Juillet
En 1843, sous la Monarchie de Juillet, les radicaux se regroupent autour d'Alexandre Ledru-Rollin et participeront à l'avènement de la IIe République. Ils soutiendront les grandes réformes de 1848 : instauration du suffrage universel, abolition de l'esclavage, liberté de la presse, droit de réunion.
Les radicaux s'opposent au régime de Napoléon III et trouvent un leader, en 1868, en la personne de Léon Gambetta (qui a publié en 1863 La Politique radicale, recueil de discours qui synthétise la doctrine radicale). Leur « programme », qui prend corps dans un discours de Gambetta, le « Programme de Belleville », prononcé en 1869, s'axe essentiellement sur un rétablissement des libertés publiques et une démocratisation passant par un retour au suffrage universel (l'Empire ayant mis en place un système de candidatures officielles).
1870 - 1901
En 1870, Gambetta proclame la République à Versailles, après la défaite de l'Empire face à la Prusse. Les radicaux devront cependant composer avec les monarchistes orléanistes : parti de droite majoritaire inauguré par Adolphe Thiers, qui géra la révolte de Paris lors des évènements de la Commune avec une résolution sanglante alors que la France était envahie par les troupes allemandes, suite à la débacle de 1870. Adolphe Thiers, Mac-Mahon et les républicains modérés seront hissés à la tête de la France suite aux élections législatives. En effet, le radicalisme est ressenti comme un courant de pensée trop progressiste par les électeurs des zones rurales, qui lui préfèrent une monarchie modérée, garante à leurs yeux d'une plus grande stabilité politique.
La IIIe République installée définitivement depuis 1884, les radicaux incarneront particulièrement l'anti-cléricalisme et l'opposition à l'expansion coloniale de la France. Georges Clemenceau et, toujours, Léon Gambetta, en sont les figures les plus marquantes.
La création du parti et son rôle sous la IIIe République
Créé les 21, 22 et 23 juin 1901, le Parti radical est donc fondé avant même l'adoption des lois de juillet 1901 sur la liberté d'association. Suite à son succès aux élections législatives de 1902, il devient le parti « pivot » de la IIIe République et sera à l'initiative de plusieurs grandes réformes :
- la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905, dont l'artisan sera Émile Combes ;
- création de l'impôt sur le revenu, sur l'impulsion de Joseph Caillaux ;
- instauration de la gratuité de l'enseignement secondaire, menée par Édouard Herriot.
Pendant la Première Guerre mondiale, le radical Georges Clemenceau mène le pays à la Victoire.
De la défense de la République à l'ancrage à gauche
En 1927, Édouard Daladier succède à Édouard Herriot à la tête du parti. Leader de l'aile gauche du parti, il favorisera l'alliance des radicaux aux autres forces de progrès (socialistes de la SFIO notamment) au sein du Cartel des Gauches, puis du Front populaire de 1936, au sein duquel les radicaux deviennent minoritaires face au succès électoral de la SFIO. Jean Zay sera le ministre radical de Léon Blum, en charge de l'Éducation nationale, (le passage d'Instruction publique à Éducation nationale étant dû à É. Herriot en juin 1932), dont il engagera une profonde réforme pour la rendre plus démocratique et moderne.
Les années 30 seront aussi celles de l'arrivée des « Jeunes Turcs », parmi lesquels on peut citer : Pierre Mendès France, Jean Zay, Pierre Cot, Jacques Kayser et Émile Roche.
La Seconde Guerre mondiale
Plusieurs radicaux s'engageront dans la Résistance, au premier rang desquels Jean Moulin, mais aussi Jean Zay, Pierre Mendès-France, Henri Queuille, Paul Anxionnaz, René Mayer et René Cassin, futur rédacteur de la Déclaration universelle des droits de l'Homme.
Sous la IVe République
Le Parti radical reprend son rôle de formation politique « pivot », même s'il se trouve rapidement concurrencé par le MRP, nouvelle formation centriste, et la SFIO qui demeure la principale formation de la gauche non-communiste. Il décide donc de constituer le Rassemblement des gauches républicaines avec plusieurs formations centristes et libérales (UDSR, Alliance démocratique)...
Il soutiendra la construction européenne et favorisera une décolonisation raisonnée et progressive. Malgré des personnalités comme Henri Queuille, Edgar Faure, Félix Gaillard ou Pierre Mendès France, le parti se trouve quelque peu marginalisé sur l'échiquier politique et connaîtra de fortes dissensions internes, entre son aile gauche et son aile « centriste » qui se rapproche de plus en plus des partis de centre-droit.
Sous la Ve République : l'évolution vers le centre-droit
La Ve République sera fatale électoralement pour le Parti radical qui connaîtra un fort recul aux élections législatives, après s'être ardemment opposé au retour au pouvoir du Général de Gaulle et à l'adoption de la nouvelle constitution. À l'issue des législatives de 1958, il obtient 13 élus (membres du groupe de la Formation Administrative des Non-Inscrits puis du groupe de l'Entente démocratique). Le 27 mai 1959, Jean Berthoin, ministre de l'Intérieur, démissionne du gouvernement Michel Debré : le Parti radical n'est plus représenté au gouvernement. À l'occasion des élections législatives de 1962, le Parti radical participe au « cartel des non » et obtient 23 élus (membre du Rassemblement démocratique). Entre 1965 et 1968, il participe, avec la SFIO, à la Fédération de la Gauche Démocrate et Socialiste (FGDS). Son positionnement de facto au centre, sa tradition de gauche, son inclination à droite, le rendent peu lisible pour les électeurs dont les suffrages s'organisent désormais en deux blocs bien distincts : à droite autour des gaullistes, et à gauche autour des socialistes et des communistes. Pierre Mendès France, après son échec à maintenir le parti à gauche et sa « déconvenue » à l'élection présidentielle de 1969 (au sein du « ticket » qu'il avait constitué avec Gaston Defferre qui ne passe pas le 1er tour du scrutin), s'éloigne définitivement du parti pour rejoindre les rangs du futur Parti socialiste. Le 7 mai 1969, le comité exécutif vote le soutien à Alain Poher (Centre Démocrate) pour l'élection présidentielle. Talonné par le communiste Jacques Duclos au premier tour, le président de la République par interim sera nettement battu par Georges Pompidou à l'issue du second tour.
1970 - 1979 : la scission et une résurrection relative
En 1971, le Parti connaît un nouvel élan avec l'arrivée à sa tête, le 29 octobre 1969, de Jean-Jacques Servan-Schreiber (dit J.J.S.S.), passionné par le modèle des États-Unis et qui, bien qu'homme de gauche, sera l'artisan du passage au centre-droit du parti. En 1971, le parti connaît une scission avec la création du Mouvement des radicaux de gauche par une tendance minoritaire souhaitant adhérer au Programme commun, et qui soutiendra plus tard une candidature unique de la gauche, celle de François Mitterrand, pour l'élection présidentielle de 1974.
C'est à partir de cette date qu'est adjoint au nom du Parti radical le qualitatif de « valoisien » (venant de la place de Valois où se situe son siège national) pour le distinguer du MRG. En 1973, le Parti radical s'allie aux centristes issus du MRP de Jean Lecanuet au sein du Mouvement réformateur. Opposés à une alliance électorale avec les communistes mais toujours anti-gaullistes, les radicaux accompagneront les principales réformes sociétales de la présidence de Valéry Giscard d'Estaing (autorisation de la pilule contraceptive, reconnaissance des droits des femmes) et réclameront une nouvelle organisation territoriale de la France au profit des pouvoirs locaux.
Cette nouvelle dynamique impulsée par « JJSS » grâce à sa victoire surprise en 1970 contre un député gaulliste, s'achèvera cependant par un échec, ce dernier connaissant plusieurs revers électoraux successifs (moins de 2 % aux élections européennes de 1979).
L'intégration à l'UDF
Le parti doit alors le maintien de son influence à sa participation à la création de l'UDF, initiée par Valéry Giscard d'Estaing en 1978. Il en devient l'une des six composantes aux côtés des centristes du Centre des démocrates sociaux, des libéraux du Parti républicain et de la Fédération nationale des Clubs Perspectives & Réalités, des sociaux-démocrates du Mouvement démocrate-socialiste et des Adhérents directs.
À travers l'UDF, le Parti radical participera à tous les gouvernements issus de majorités RPR/UDF.
L'association avec l'UMP
En 1998, l'UDF connaît une scission importante avec le départ de Démocratie libérale (ex-Parti républicain), suite aux élections régionales qui ont vu se constituer des alliances entre le Front national et certains membres de DL. Le Parti radical reste membre de l'UDF aux côtés des centristes de Force démocrate qui fusionnent peu après avec les adhérents directs et plusieurs autres petits partis centristes membres de la formation. Cette fusion interne marginalise le Parti radical dont plusieurs responsables prennent leurs distances vis-à-vis de la direction nationale de l'UDF menée par François Bayrou et sa ligne ayant pour ambition de constituer une force centriste indépendante de la droite et de la gauche.
La majorité des radicaux participent donc naturellement à la création de l'UMP à la suite de la réélection de Jacques Chirac. Le Parti radical quitte alors l'UDF pour signer un accord d'association avec l'UMP. Il demeure un parti de plein exercice, mais ses financements sont constitués essentiellement de subventions versées par l'UMP avec laquelle l'adhésion est désormais commune. Le parti est alors dirigé par Jean-Louis Borloo et André Rossinot. Puis, depuis novembre 2007, par Jean-Louis Borloo. Depuis le congrès de 2007, les adhérents n'ont plus systématiquement la double appartenance PR/UMP, ce sont eux qui choisissent.
Article connexe : Parti républicain, radical et radical-socialiste.Dénomination
En 1971, une partie minoritaire des radicaux a fait scission pour rejoindre le Programme commun et fonder ce qui est aujourd'hui le Parti radical de gauche (PRG).
Le nom du parti radical-socialiste « maintenu » fait référence à la place de Valois (à Paris, 1er arrondissement), où se trouve le siège historique du parti (au numéro 1). Ce « Parti radical valoisien » détient la propriété du nom complet du Parti radical (aujourd'hui seul mentionné sur une petite plaque) historique, qui est « Parti républicain, radical et radical-socialiste » et qui a été conservé bien après la scission sur le linteau de l'entrée du siège, au 1 Place de Valois. Cette plaque à la dénomination historique est encore arborée à l'entrée du siège.
Le Parti « valoisien » est en réalité la continuation légale du Parti républicain, radical et radical-socialiste, bien que les radicaux valoisiens aient perdu l'habitude, depuis 1981, d'utiliser le terme « socialiste », qui n'en figure pas moins toujours dans leur dénomination officielle.
Positionnement politique
Proche du centre, il s'est allié à la droite. Il a été longtemps l'une des composantes de l'UDF avant d'intégrer l'UMP. Il s'est différencié d'autres composantes de l'UDF comme Démocratie libérale en refusant toute tractation avec le Front national. Le Parti radical est également un défenseur fervent de la laïcité.
Il existe aussi le mouvement de jeunes du Parti radical : les Jeunes Radicaux.
Au sein de l'UMP
Le Parti radical a fait le choix d'un financement public indirect depuis 1993. D'abord à travers l'association de financement de l'UDF, puis, sur le même mode, à travers avec un protocole d'accord avec l'UMP. En effet, l'UMP finance une majeure partie du Parti. Lors de la création de l'UMP, le Parti radical valoisien a adhéré à l'UMP en tant que personne morale, comme lors de la fusion de l'UDF de 2001 aboutissant à la création de la Nouvelle UDF de François Bayrou. Les personnes adhérant au Parti radical sont par là même membres de l'UMP. Cela permet au Parti radical de conserver le lien direct avec ses adhérents, les cotisations et sa personnalité juridique distincte de l'UMP. Cependant, depuis l'année 2008, un adhérent au Parti radical peut faire le choix d'être ou non par la même occasion adhérent à l'UMP.
Allié, de fait, de l'UMP, le Parti radical valoisien souhaite une « politique progressiste qui prône l'égalité des chances, la laïcité et le respect des valeurs humaines », selon les mots de Jean-Louis Borloo.
Début mai 2008, dans une interview réservée au magazine L'Express, Serge Lepeltier, vice-président du Parti radical, a déclaré que le parti devait présenter des listes autonomes aux élections européennes de 2009. Les listes seront finalement communes avec l'UMP.
Le rapprochement avec les Radicaux de gauche
Depuis l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, les deux partis radicaux plaident régulièrement pour des retrouvailles, que ce soit Jean-Michel Baylet en mai 2007 dans le Le Monde, ou André Rossinot en septembre 2008 dans Le Figaro.
En septembre 2007, les deux branches du radicalisme français tenaient leur université d'été avec un échange de délégation (celle du PRG à Nancy chez les valoisiens, et celle du PR à Ramatuelle chez leurs homologues de gauche). Les 16 et 17 novembre 2007, a eu lieu le 108e congrès du Parti radical : les dirigeants des deux partis ont parlé ouvertement de rapprochement pour occuper le centre de la vie politique française. Une force radicale unie concurrencerait de fait le MoDem et le Nouveau Centre.
Un an plus tard, il semble que le débat ne soit plus à l'ordre du jour puisqu'après les sénatoriales de septembre 2008, 5 sénateurs radicaux ont préféré siéger avec l'UMP plutôt qu'avec le PRG au sein du groupe RDSE, et que Jean-Michel Baylet voulait créer son propre groupe avec le MRC et les divers gauche. Le même mois, André Rossinot a cependant annoncé qu'une commission d'étude conjointe avec le PRG allait travailler sur la laïcité.
Programme politique actuel
- Accélérer l'adaptation de l'École au monde moderne et renforcer les dispositifs d'aide aux élèves en difficulté ;
- Alléger le coût de l'État et le recentrer sur ses missions régaliennes afin de faire face aux enjeux du monde ;
- Relancer le dialogue social et organiser la solidarité entre les générations ;
- Engager la réforme fiscale qui favorisera l'envie d'entreprendre et accroître l'autonomie des collectivités locales ;
- Rendre aux citoyens la sécurité au quotidien ;
- Donner à la Défense les moyens d'assumer ses nouvelles fonctions face au terrorisme international ;
- Intégrer le sud méditerranéen au projet européen par l'union des entreprises européennes et des entreprises des pays d'Afrique du Nord ;
- Créer une citoyenneté européenne et une fédération des nations en Europe.
Membres
Le parti revendique 11 000 membres en 2007 (dont 2 000 chez les jeunes). Grâce à la réforme des statuts, adoptée lors du congrès de novembre 2007, les membres vont pouvoir élire leur président pour 3 ans (renouvelable une fois) à partir de 2009 (auparavant, le président était élu par les 1 400 délégués du parti).
Parmi ses dirigeants, on peut citer André Rossinot, ancien co-président du parti et maire de Nancy, mais aussi Jean-Louis Borloo, président et ministre du gouvernement François Fillon (2). Parmi les poids lourds du parti on compte aussi le nancéien Laurent Hénart, le strasbourgeois François Loos, l'ancien Président du Rassemblement démocratique et social européen au Sénat Pierre Laffitte, Jean Leonetti, Dominique Paillé, Michel Thiollière, Michel Zumkeller.
Parmi ses anciens dirigeants : Olivier Stirn, Jean-Jacques Servan-Schreiber, Didier Bariani resté à l'UDF, Yves Galland , Thierry Cornillet un temps resté fidèle à François Bayrou est revenu au PR.
C'est en 2005 que le Parti radical a connu plusieurs ralliements d'anciens centristes (Renaud Dutreil, Françoise Hostalier) et gaullistes (Serge Lepeltier) qui y cherchent, semble-t-il, un espace d'expression moins libéral et moins sarkozyste qu'au sein de l'UMP. Le parti a présenté 37 candidats aux législatives de juin 2007 : 6 ont été élus dès le premier tour et 18 députés radicaux siègent finalement à l'assemblée à l'issue du second tour. Pour les municipales 2008, le Parti présente 2 000 candidats et 14 têtes de liste dans des villes de plus de 30 000 habitants (Antibes, Valenciennes, Perpignan, Bourges, Montélimar, Bayonne, Saint-Étienne, Nancy...)
Les élections sénatoriales de 2008 ont été difficiles pour le Parti puisque de 8 sénateurs en 2004, il ne se retrouve plus qu'avec 6 membres élus. Des figures comme Pierre Laffitte, Gilbert Baumet, Dominique Paillé, Yves Coussain, Xavier de Roux, Thierry Cornillet ont été battues et Georges Mouly ne se représentait pas.
Les élus
En 2008, le Parti radical compte :
- 1 ministre : Jean-Louis Borloo
- 18 députés (inscrits au groupe UMP) : Jean-Louis Bernard (Loiret), Alain Ferry, Frédéric Reiss, François Loos (Bas-Rhin), Françoise Hostalier (Nord), Jean Grenet (Pyrénées-Atlantiques), Laurent Henart (Meurthe-et-Moselle), Robert Lecou (Hérault), Jean Leonetti (Alpes-Maritimes), Alain Marc (Aveyron), Franck Reynier (Drôme), François Scellier (Val-d'Oise), André Wojciechowski (Moselle), Michel Zumkeller (Territoire de Belfort), Alfred Almont (Martinique), Jacqueline Irles (Pyrénées-Orientales), Franck Marlin (Essonne), Yves Jégo (Seine-et-Marne)
- 6 sénateurs : Pierre Jarlier, Sophie Joissains, Michel Thiollière, Jean-Paul Alduy et Alain Chatillon siègent au groupe UMP, Aymeri de Montesquiou continue à siéger au RDSE
- 4 députés européens (inscrits au groupe du PPE-DE ) : Véronique Mathieu, Tokia Saïfi, Marie-Thérèse Sanchez-Schmid et Dominique Riquet
- 130 maires
- 700 élus locaux
- 50 conseillers généraux et 15 conseillers régionaux .
À l'Assemblée, Laurent Hénart, secrétaire général du PR, souhaite une plus forte visibilité des 18 députés radicaux sans toutefois quitter le groupe UMP.
Le nouveau secrétaire général adjoint est maintenant Serge Lepeltier, il sera notamment chargé de renforcer les liens avec le PRG mais aussi des relations avec les autres sensibilités centristes (Gauche moderne, Les Progressistes, Nouveau Centre, etc.)
Présidents
- 1971 - 1975 : Jean-Jacques Servan-Schreiber
- 1975 - 1977 : Gabriel Péronnet
- 1977 - 1979 : Jean-Jacques Servan-Schreiber
- 1979 - 1983 : Didier Bariani
- 1983 - 1988 : André Rossinot
- 1988 - 1993 : Yves Galland
- 1993 - 1997 : André Rossinot
- 1997 - 1999 : Thierry Cornillet
- 1999 - 2003 : François Loos
- 2003 - 2005 : André Rossinot
- 2005 - 2007 : Jean-Louis Borloo et André Rossinot
- 2007 - en cours : Jean-Louis Borloo
Suite au nouveau règlement de juillet 2009, le président du Parti Radical sera élu par les adhérents. Les candidats doivent déposer leurs candidatures avant le 13 septembre 2009 avant minuit.
Deux critères pour déposer les candidatures : 5 signatures de présidents de Fédérations du Parti Radical, et validation de la candidature par le comité exécutif.
Deux candidats sont pressentis : Jean-Louis Borloo, sortant, et Yves Jégo, nouvel adhérent depuis juin 2009. Un challenger s'est lancé récemment, Albert Batihe[1], vice-président de la commission des affaires étrangères et européennes.
Notes et références
Annexes
Articles connexes
- Jeunes Turcs
- Jeunes Radicaux
- Union pour un mouvement populaire
- Comité de liaison de la majorité présidentielle
Liens externes
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