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Jean-Luc Mélenchon
Jean-Luc Mélenchon
Jean-Luc Mélenchon à la Fête de l'Humanité, en 20081er président du Bureau national du Parti de gauche Actuellement en fonction Depuis le 1er février 2009 Député européen Actuellement en fonction Depuis le 14 juillet 2009 Sénateur de l'Essonne Actuellement en fonction Depuis le 1er octobre 2004 2 octobre 1986 - 27 avril 2000 Ministre délégué à l'Enseignement professionnel 27 mars 2000 - 6 mai 2002 Président(s) Jacques Chirac Gouvernement(s) Lionel Jospin Prédécesseur(s) Claude Allègre (indirectement) Successeur(s) Luc Ferry (indirectement) Biographie Date de naissance 19 août 1951 Lieu de naissance Tanger, Maroc Nationalité Française Parti politique OCI
Parti socialiste
Parti de gaucheProfession Professeur de l'enseignement technique
Journalistemodifier Jean-Luc Mélenchon, né le 19 août 1951 à Tanger (Maroc), est un homme politique français de gauche.
Titulaire d’un DEUG de lettres modernes et d'une maîtrise de philosophie, il a été professeur dans l’enseignement technique, correcteur dans l’imprimerie, ouvrier d’entretien, journaliste, puis directeur de cabinet municipal en banlieue parisienne.
Adjoint au maire de Massy en 1983, il est élu conseiller général à partir de mars 1985, président délégué du conseil général de l'Essonne en 1998 et sénateur de l'Essonne le 28 septembre 1986 (réélu en 1995 et 2004). Élu député européen le 7 juin 2009 dans la circonscription Sud-Ouest, il reste sénateur jusqu'à la validation des résultats dans cette circonscription, mais sans toutefois pouvoir participer aux débats de la Haute assemblée[1].
C'est une figure historique de l'aile gauche du Parti socialiste jusqu'en novembre 2008, date à laquelle il quitte ce parti pour fonder le Parti de gauche (PG).
Sommaire
Biographie
Premiers pas en politique
Leader du mouvement lycéen[2] lors de Mai 68 dans sa ville de Lons-le-Saunier, il rejoint l’Union nationale des étudiants de France dès son entrée en faculté en septembre 1969. À l'issue des événements de mai-juin 1968 à Besançon, la Ligue communiste et le PSU, majoritaires dans l'AGEC-UNEF, appuient une prise en main du syndicat par les partisans de sa mutation en « mouvement politique de masse ». En s’y opposant, Jean-Luc Mélenchon rejoint l'Organisation communiste internationaliste, courant trotskiste d'obédience lambertiste, qui tente de contrer cette politique. Après la scission de l’UNEF en 1970, Jean-Luc Mélenchon participe au combat pour reconstruire l'UNEF locale comme syndicat défendant les intérêts matériels et moraux des étudiants[réf. nécessaire], à la fois contre le courant syndical issu de l'UEC, animant l'UNEF-Renouveau, liant le syndicat aux conseils de gestion de la loi Faure[réf. nécessaire], et contre les courants gauchistes qui visent sa transformation en mouvement politique[réf. nécessaire]. C'est à ce titre qu'il devient président de l’union locale étudiante, puis intègre le bureau national de l'Unef-Unité syndicale en 1974. Sa liste aux élections du CROUS en 1975 obtient 60 % des suffrages exprimés.
De 1972 à 1975, il devient le dirigeant de l'OCI à Besançon et joue un rôle important[réf. nécessaire] dans l'implantation régionale de cette organisation à Dole et Lons-le-Saunier (Jura). Sa pratique de leader syndical de masse — animation des luttes étudiantes et ouvrières des années 1969-1974, en particulier la grève des Lip, importante industrie horlogère bisontine démantelée quelques années plus tard — l'amène progressivement à prendre ses distances avec la conception léniniste du parti. C'est l'époque où le Parti socialiste de François Mitterrand reconstitué au congrès d'Épinay en 1971, occupe progressivement à gauche tout l'espace du socialisme démocratique, mettant le PCF en difficultés électorales.
Le militant socialiste mitterrandien
Jean-Luc Mélenchon quitte Besançon pour entrer dans l'activité professionnelle à Lons-le-Saunier et adhère au PS en 1977[3]. Il y occupe très vite des responsabilités départementales et développe un journal fédéral qui combat pour l'union PS-PCF; c'est l'époque où le second rompt les accords d'union de la gauche sur un programme commun de gouvernement. Remarqué lors d'une fête jurassienne du Poing et la Rose par Claude Germon, maire de Massy et membre du bureau exécutif du PS en charge du secteur entreprise du parti socialiste, il part en région parisienne et devient directeur de cabinet de ce responsable politique.
Il devient un des principaux dirigeants mitterrandistes de la fédération de l'Essonne, ce qui le conduit au poste de premier secrétaire de cette fédération au congrès de Valence en 1981. S'opposant à la fois à la Deuxième gauche rocardienne et au CERES de Chevènement, il travaille à l'organisation du courant mitterrandiste, en Essonne d'abord puis à travers une publication « Données et Arguments », qui sera le creuset d'un courant ancré à la gauche du parti.
De la Gauche socialiste à PRS (1988-2005)
Fondateur avec Julien Dray de la Gauche socialiste en 1988, il s'oppose à l'entrée de la France dans la première Guerre du Golfe contre la majorité de son parti. La Gauche socialiste présentera sa propre motion lors de trois congrès du PS jusqu'à sa disparition en 2002. Elle obtient des scores oscillant entre 7,3 % et 13,3 % des suffrages exprimés. Lors du dramatique congrès de Rennes (aucune motion n'atteindra les 30 %), dans le cadre duquel l'aile gauche du parti part divisée en quatre, Jean-Luc Mélenchon conduit sa propre motion, qui obtient 1,35 % des voix. Lors du congrès de Brest en 1997, il se présente au poste de premier secrétaire du PS : seul concurrent face à François Hollande, il obtient 8,81 % des voix. En mars 2000, il accepte de participer au gouvernement de Lionel Jospin comme ministre délégué à l’enseignement professionnel.
Tirant le bilan de la défaite électorale d’avril 2002, lorsque la composante animée par Julien Dray fait le choix de passer dans l’équipe de François Hollande, Jean-Luc Mélenchon cofonde le courant Nouveau Monde avec Henri Emmanuelli. Leur motion obtiendra 16,3 % des voix lors du congrès de Dijon, un score équivalent à celui du Nouveau parti socialiste (NPS), l'autre principale formation de l'aile gauche du parti.
Après le référendum interne au Parti socialiste sur le projet de traité établissant une Constitution pour l'Europe et la victoire du oui, il enfreint les consignes de son parti et fait campagne aux côtés de Marie-George Buffet (PCF), Olivier Besancenot (LCR) et José Bové (Confédération paysanne) lors de meetings communs pour un non de gauche.
La campagne du non amène l'éclatement de Nouveau Monde et la recomposition de l'aile gauche du Parti socialiste. Alors qu'Henri Emmanuelli crée un nouveau courant, Alternative socialiste, Jean-Luc Mélenchon créé de son côté Trait d'union. Il fonde dans le même temps l’association PRS (Pour la république sociale), en dehors et indépendamment du Parti socialiste, dans le but de formuler et de faire vivre une orientation clairement républicaine et antilibérale dans la gauche française. PRS se prononce pour une force politique nouvelle qui prenne en compte à la fois l'échec de ce qui fut le modèle soviétique[4] et l'impasse d'une social-démocratie européenne qui accompagne les « réformes » du néo-libéralisme[5],[6]. Selon PRS, une autre voie est possible, c'est ce que traduirait l'émergence d'un parti comme Die Linke en Allemagne[7].
Après la victoire du non dans le pays au référendum du 29 mai 2005, il se présente lui-même comme le « trait d'union » au sein du Parti socialiste et des partenaires de gauche, d'où le nom de son nouveau courant. Il défend l'idée selon laquelle le candidat socialiste pour l'élection présidentielle de 2007 doit être une personne qui a défendu le non au référendum sur la Constitution européenne, car cette échéance coïnciderait selon lui avec la calendrier européen pour une renégociation du traité constitutionnel qui devrait s'appliquer à partir de 2009. Dans cet esprit, pour Jean-Luc Mélenchon, Laurent Fabius serait le rassembleur au sein du PS.
Dernières années au Parti socialiste (2005-2008)
Lors du congrès du Mans, en novembre 2005, Trait d'union (TU) dépose une contribution. L'aile gauche du PS, malgré le consensus de ses leader sur la question européenne, partira à nouveau divisée, TU rejoignant la motion conduite par Laurent Fabius et soutenue par Marie-Noëlle Lienemann, tandis que les autres leader de l'aile gauche se rassemblent derrière la motion présentée par le NPS. La première obtiendra 21,2 %, la seconde 23,6 %, tandis que les militants reconduisent la majorité sortante de François Hollande (53 %). Dans le cadre de l'élection primaire organisée un an plus tard au PS pour départager les candidats à la candidature socialiste à l'élection présidentielle, Jean-Luc Mélenchon apporte à nouveau son soutien à Laurent Fabius.
À ce titre, il déclarait le lundi 22 août 2005 : « Il n'y a pas cinquante candidats pour l'élection présidentielle de 2007 au PS, au point où nous en sommes, il n'en reste que deux : Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn. Ce sont deux hommes intelligents, qui ont bonne mine, mais il faut bien les démarquer sur quelque chose donc sur leurs idées et leurs engagements. [...] Je souhaite que le PS ne fasse pas l'erreur d'aller présenter un candidat qui aurait été partisan du oui [à la Constitution européenne, ce qui est le cas de Dominique Strauss-Kahn]. Par raisonnement, je déduis que c'est Laurent Fabius qui doit être candidat. [...] Fabius a été ministre, il est capable de diriger le pays. Je vais le soutenir, mais pas de chèque en blanc ». Le surlendemain de l'investiture de Ségolène Royal par le Parti socialiste, il assistait à un meeting de la gauche antilibérale, laissant planer le doute sur son éventuel soutien à sa candidature à l'élection présidentielle.
Après l'échec du Collectif national pour un rassemblement antilibéral à apporter son soutien à une candidature, il écrit sur son blog : « Une partie de l'électorat politisé de la gauche se démobilise. Il ne se sent pas représenté. Une partie de la population électorale parmi les désemparés (par la dureté de la vie) - désorientés (par l'absence d'alternative politique radicale intelligible) va continuer à flotter entre l'indifférence écœurée et les poussées de colère électorale aveugle. Enfin, la centralité de la candidature socialiste à gauche est désormais totale, que cela plaise ou pas, parce qu'elle paraît la seule efficace pour atteindre le programme commun le plus élémentaire : être présent au deuxième tour et battre la droite[8] », affirmant donc son soutien à Ségolène Royal. La défaite de cette dernière au second tour du scrutin présidentiel, face au candidat de l'UMP Nicolas Sarkozy, l'amènera à critiquer de manière très vive la stratégie de l'ex-candidate, notamment par le biais de son livre « En quête de gauche ».
Départ du PS et fondation du Parti de gauche
À l'occasion du congrès de Reims en septembre 2008, Trait d'union dépose une nouvelle contribution. Appelant à l'union de toutes les tendances de l'aile gauche du PS, Jean-Luc Mélenchon parvient très tôt à un accord avec le courant Forces militantes animé par le député nordiste Marc Dolez. Mais les autres tendances, rassemblées autour du Nouveau parti socialiste de Benoît Hamon et Henri Emmanuelli, hésitent longtemps entre cette stratégie et un soutien à la motion conduite par Martine Aubry et Laurent Fabius. La veille du dépôt des motions, un accord est finalement convenu entre les sept contributions de l'aile gauche du PS, et Jean-Luc Mélenchon fait partie des signataires de la motion C intitulée « Un monde d'avance », conduite par Benoît Hamon[9]. Il a qualifié ce rassemblement d'« évènement historique »[10] : cette motion rassemble en effet pour la première fois toutes les sensibilités de l'aile gauche du PS, avec des personnalités emblématiques de cette tendance comme Gérard Filoche, Marie-Noëlle Lienemann ou Paul Quilès.
Le 7 novembre 2008 a lieu le vote des militants socialistes pour départager les différentes motions. La motion soutenue par Ségolène Royal arrive en tête avec environ 29 % des suffrages exprimés, tandis que celle conduite par Benoît Hamon arrive en quatrième position avec moins de 19 %. Pour Jean-Luc Mélenchon, c'est une victoire de la majorité sortante, qui emporte 80 % des suffrages et, parmi elles, de celle prônant l'alliance au centre[11]. S'estimant trop éloignés de cette tendance au point qu'il ne soit pas utile de prendre part au Congrès, lui et Marc Dolez font part de leur décision, « par fidélité à leurs engagements » et dans un souci d'indépendance d'action, de quitter le Parti socialiste, pour créer un nouveau mouvement « sans concession face à la droite »[12].
Ils ont annoncé « la construction d'un nouveau parti de gauche », simplement intitulé "le Parti de gauche" (sur le modèle allemand de Die Linke), et appelé « à la constitution d'un front de forces de gauche pour les élections européennes »[13]. Le 18 novembre, à l'occasion d'une rencontre avec le Parti communiste français, les deux partis ont annoncé leur alliance sous forme de « partenariat », dans le cadre d'un « front de gauche pour une autre Europe démocratique et sociale, contre la ratification du Traité de Lisbonne et les traités européens actuels ». Le meeting de lancement du Parti de gauche a eu lieu le 29 novembre à Saint-Ouen, en présence du co-président de Die Linke Oskar Lafontaine[14]. Le PG est officiellement fondé le 1e février 2009 à Limeil-Brévannes, en présence de quelques 600 délégués venus de tous les départements dans lesquels des comités du parti se sont formés. Jean-Luc Mélenchon en devient le président du bureau national.
La liste du Front de gauche qu'il conduit dans la circonscription Sud-Ouest lors des élections européennes de juin 2009 obtient 8,15 % des suffrages exprimés et lui permet de devenir député européen.
Controverses et détracteurs
Les propos et prises de positions de Jean-Luc Mélenchon suscitent les réactions de divers mouvements et personnalités.
Suite à sa sortie sur la « majorité gouvernementale nationale-catholique anti-européenne depuis ralliée par l’extrême droite » de Lech et Jarosław Kaczyński en Pologne et sur les Lituaniens[15] au cours de la campagne de 2005, le journaliste Jean Quatremer l'a qualifié de « social-souverainiste » et l'a accusé de « flirter avec la xénophobie »[16].
Opposé « à ce que des groupes de locuteurs aient des droits particuliers », mais non, selon ses propos, « à la pratique des langues régionales »[17], ses prises de position sur l'enseignement de la langue bretonne par les écoles Diwan - ainsi que le financement par l'État de ces dernières[18] - ou sur certains régionalistes bretons qualifiés d'« identitaires ethnicistes »[19], il s'est attiré l'opposition d'autonomistes bretons[20], de linguistes[21], de la commission culture du PCF[22], etc. Ses propos ont également suscité des critiques parmi les socialistes de la région Bretagne, qu'il avait accusés de favoriser les « autonomistes », lors de l'organisation de la Breizh Touch, en septembre 2007 à Paris. À cette occasion, Jean-Yves Le Drian, président socialiste de la région Bretagne, répondant à ses accusations de « manipulation », le qualifie de « paon sectaire d'avant guerre »[23]. Quant à Jean-Jacques Urvoas, député de Quimper, il dénonce « l'irrationalité » de l'« idéologie nationaliste » de Jean-Luc Mélenchon, de même que ses « propos diffamatoires », à propos d'une intervention au Sénat relative aux origines de la langue bretonne[24].
En avril 2008, il se prononce[25] contre « le boycott des jeux de Pékin et la propagande anti-chinoise », jugeant dans cette attitude une « morgue ressemblant à du racisme » et « l’écho du mépris des colons qui ont imposé en leur temps les armes à la main l’obligation pour les Chinois de faire le commerce de l’opium[26] ». Selon lui, « le dossier du Tibet tel que présenté par ses partisans est un facteur de violences, de guerres et de déstabilisation aussi considérable que celui des Balkans ». Ces positions polémiques génèrent des critiques l'accusant de « reprendre fidèlement l'historiographie officielle de Pékin »[27],[28]. Face à ses détracteurs, Jean-Luc Mélenchon publie de nouveau un long article sur la question du Tibet le 24 avril 2008[29].
Récapitulatif des mandats
Fonctions ministérielles
- 27 mars 2000 - 6 mai 2002 : ministre délégué à l'Enseignement professionnel du gouvernement Lionel Jospin
Mandat de sénateur
Mandats locaux
- 1983 - 2001 : conseiller municipal de Massy (Essonne)
- 1989 - 1995 : adjoint au maire de Massy
- 1985 - 1992 ; 1998 - 2000 ; 2001 - 2004 : conseiller général de l'Essonne pour le canton de Massy-Ouest (non candidat à sa propre succession aux élections cantonales de mars 2004)
- 1998 - 2000 : vice-président du conseil général de l'Essonne
Mandat européen
- 7 juin 2009 : élu député européen de la circonscription Sud-Ouest, sur la liste Front de gauche pour changer d'Europe.
Fonctions politiques au PS
Cofondateur du courant « Gauche socialiste » au PS, membre du conseil national du PS, membre du bureau national du PS, directeur de la rédaction du bulletin hebdomadaire À Gauche, co-fondateur et président du courant socialiste « Nouveau Monde », puis animateur de la sensibilité Trait d'union jusqu'à son départ du PS en novembre 2008.
Notes et références
- ↑ Les résultats de la circonscription Sud-Ouest ne sont pas encore validés en raison d'une action en justice.
- ↑ Mai 68 et vous : interview de Jean-Luc Mélenchon pour parti-socialiste.tv, le 30 avril 2008
- ↑ Élections sénatoriales de 2004 - Résultats dans l'Essonne, sur le site du Sénat.
- ↑ « Qui sommes-nous? », sur le site Internet de PRS Isère.
- ↑ Jean-Luc Mélenchon, « Le devoir d’audace », tribune libre parue dans L'Humanité le 9 mai 2007. Il explique que « cette réinvention de la gauche a lieu en ce moment même en Amérique latine, au Brésil, Venezuela, Bolivie, Équateur parmi d’autres pays. »
- ↑ Jean-Luc Mélenchon, « le PS a un métro de retard », Le Nouvel Observateur, n° 2236, jeudi 13 septembre 2007.
- ↑ Jean-Luc Mélenchon, François Delapierre et Raquel Garrido, « Leçons d'une refondation », tribune libre parue dans le journal Politis.
- ↑ Jean-luc-melenchon.fr
- ↑ Congrès PS: Hamon, Emmanuelli, Lienemann et Filoche présentent une motion, AFP
- ↑ Mélenchon qualifie "d'événement historique" l'unité de l'aile gauche du PS, AFP
- ↑ Ca suffit comme ça ! Communiqué de Jean-Luc Mélenchon et Marc Dolez sur le site casuffitcommeca.fr
- ↑ Jean-Luc Mélenchon quitte le PS, 7 novembre 2008, Le Figaro
- ↑ Jean-Luc Mélenchon quitte le PS, 7 novembre 2008, Le Monde
- ↑ www.lepartidelagauche.fr, "Dernière minute! "
- ↑ Un article relatif à ses propos
- ↑ Jean Quatremer, «Mélenchon et le "plombier polonais"», 25 mai 2006, blog de libération.fr
- ↑ Séance du Sénat, le 29 janvier 2008 (compte rendu intégral des débats)
- ↑ Diwan, une école contraire à l'idéal laïque, entretien accordé au journal Libération, 4 décembre 2001.
- ↑ « Il y a breton et breton » sur son blog, le 23 septembre 2007.
- ↑ par exemple de l'Union Démocratique Bretonne (Article de l'UDB, Mélenchon : caricature du nationalisme français, 5/10/2007), cf Éric Conan, « Vers un nouveau "modèle breton" ? », in L'Express, 29 juin 2006, article en ligne
- ↑ Gilbert DALGALIAN
- ↑ Langues et Cultures de France
- ↑ « Jean-Yves Le Drian appelle à la tenue d'un congrès de "clarification" au PS »
- ↑ [1] ; Langues régionales : tensions entre élus socialistes ; Ouest-France du 22 mai 2008
- ↑ sur son blog et sur Europe 1 : « Jean-Luc Mélenchon s'en prend aux pro-Tibétains », L'Express, 9 avril 2008.
- ↑ « Je ne suis pas d'accord avec le boycott des jeux de Pékin et la propagande anti-chinoise », blog de Jean-Luc Mélenchon.
- ↑ Pierre Haski, « Pour Mélenchon, il n'y a jamais eu d'invasion chinoise du Tibet », rue 89, 9 avril 2008
- ↑ Ce soir ou jamais : Débat sur le Tibet, émission du 23 avril 2008 (France 3)
- ↑ Un projet théocratique, autoritaire, ethniciste, dangereux pour la paix, blog de Jean-Luc Mélenchon, 24 avril 2008
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Bibliographie
- À la conquête du chaos, Éditions Denoël, 1991.
- Rocard, le rendez vous manqué, Éditions Denoël, 1994.
- Le nouvel âge du capitalisme (ouvrage collectif), Éditions L'Harmattan, 1998.
- Pour la république sociale (ouvrage collectif), Éditions L'Harmattan, 2002.
- Causes républicaines, Éditions du Seuil, 2004 (Réédition de textes publiés dans Le Monde, Marianne, Politis, La Nouvelle Revue socialiste, À Gauche, ou autres).
- En quête de gauche, Éditions Balland, 2007.
- Laïcité : Réplique au discours de Nicolas Sarkozy, chanoine de Latran, Éditions Bruno Leprince, 2008.
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