Jacques Legendre

Jacques Legendre
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Jacques Legendre

Parlementaire français
Date de naissance 2 décembre 1941 (1941-12-02) (69 ans)
Mandat Député
1973 - 1977
1978
1986 - 1988
Sénateur
1992 - en cours
Circonscription Nord
Groupe parlementaire RPR (1992-2002)
UMP (depuis 2002)
Ve République

Jacques Legendre, né le 2 décembre 1941 à Paris, est un homme politique français.

Gaulliste militant dès l'âge de 20 ans, il est actuellement membre de l'Union pour un mouvement populaire, dont il est secrétaire national et président de la Fédération du Nord.

Il a été élu député du Nord sous l'étiquette UDR en 1973, puis réélu avec l'étiquette RPR en 1978 (démission pour entrer au gouvernement) et 1986.

Secrétaire d'État auprès du ministre du Travail dans le gouvernement Raymond Barre II du 29 mars 1977 au 31 mars 1978, puis secrétaire d'État auprès du ministre du Travail et de la participation du 2 avril 1978 au 2 octobre 1980, et enfin secrétaire d'État chargé de la Formation professionnelle auprès du Premier ministre du 2 octobre 1980 au 13 mai 1981 dans le gouvernement Raymond Barre III.

Il a été élu sénateur du Nord le 27 septembre 1992, et réélu le 23 septembre 2001. Membre du groupe UMP, dont il a été vice-président, il a été élu président de la commission de la Culture, de l'Éducation et de la Communication du Sénat, en charge aussi de la Recherche, de la Jeunesse, des Sports, de la Vie associative et de la Francophonie, le 8 octobre 2008[1].

Il est président du groupe d'amitié sénatorial France Afrique de l'Ouest depuis 1995 et président délégué du groupe d'amitié France Pays baltes pour la Lettonie depuis 2008.

Élu secrétaire général de l'APF en 1995 et 9 fois réélu, il contribue activement au développement de la branche parlementaire de la Francophonie.

Professeur certifié de lettres modernes, puis agrégé d’histoire-géographie, il a exercé dans différents lycées du Nord : Fourmies, Tourcoing, Lille, Cambrai.

Il occupe sans interruption depuis 1973 d’importantes responsabilités locales dans le Nord :

– membre du conseil régional de 1973 à 2002 (membre de droit, puis élu en 1986, 1992, 1998) ;
– maire de Cambrai de 1977 à 1992 puis 1er adjoint et toujours membre du conseil municipal ;
– conseiller général du Nord (canton de Cambrai-Ouest) de 1976 à 1982.

Fondateur en 1992 de la communauté de villes, puis d’agglomération de Cambrai dont il a été président jusqu’en 1998, actuellement vice-président de la CAC

Il siège en tant que représentant de son agglomération à la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI).

Sommaire

Carrière politique

Une jeunesse pour de Gaulle

Jacques Legendre s’éveille à la vie politique à la fin de la Quatrième République. Il ressent profondément le déclin du pays enlisé dans la Guerre en Algérie, les crises parlementaires à répétition. Aussi accueille-t-il avec enthousiasme l’arrivée au pouvoir du général de Gaulle en mai 1958.

Dès son arrivée en fac de lettres, à Amiens puis à Lille il défend l’action du fondateur de la Cinquième République au sein du syndicalisme étudiant (UNEF) où se développe alors une contestation d’extrême gauche.

En mars 1962 il adhère à l’UNR et décide de créer à Lille un groupe d’étudiants gaullistes : l’Action étudiante gaulliste qui lutte contre la pénétration des idées communistes mais aussi contre l’extrême droite OAS.

L’Action étudiante gaulliste, dont il est le fondateur et devient le président national en 1963, crée des sections dans les principales villes universitaires françaises et se développe jusqu’à sa fusion avec les jeunes UNR-UDT au sein de l'UJP en 1965.

En 1963, Jacques Legendre est élu membre du Comité Centre de l’UNR-UDT, organe de direction de ce mouvement.

En 1965, ses études de Lettres modernes terminées, il choisit de faire son service militaire en coopération. C’est encore une façon de servir un aspect de la politique gaulliste qu’il soutient particulièrement : la coopération avec l’Afrique.

De 1965 à 1967, il est professeur coopérant en République centrafricaine (Berbérati, puis Bangui). Il y découvre la brousse africaine et la littérature africaine d’expression française. Il rédige alors un petit manuel de littérature négro-africaine d’expression française pour l’ENA de Bangui.

Jeune maire, jeune ministre

Son service national achevé, il rentre en France et est affecté comme professeur certifié de lettres modernes au lycée de Fourmies. Il est toujours membre du Comité central de l’UDR où il soutient la nécessité de réformes scolaires et universitaires. Il est alors un des plus actifs animateurs de l’Association pour l’Université moderne, que préside Léo Hamon.

Il se mobilise en mai 1968 pour faire face à la crise sociale et politique, ressentie comme une menace de renversement de la légalité républicaine et participe à l’organisation des grands défilés gaullistes de la fin mai.

Nommé en 1969 professeur dans un collège lillois, il poursuit son militantisme et assiste en novembre 1970 aux funérailles du Général de Gaulle à Colombey-les-Deux-Églises.

Il milite alors pour une réponse réformiste à la crise de 1968 et se sent proche de l’action menée par le Premier ministre Jacques Chaban-Delmas et sa « Nouvelle Société ».

En 1973, les militants gaullistes de Cambrai, bastion socialiste tenu par le même député SFIO depuis 1936, Raymond Gernez, lui demandent de se présenter à la députation dans cette circonscription où il n’a alors aucune attache.

À la surprise générale, il est élu député de la 16e circonscription du Nord, à 31 ans, donnant à la Majorité de l’époque une de ses rares victoires.

Après le décès de Georges Pompidou, il participe avec ferveur à la campagne présidentielle de Jacques Chaban-Delmas.

Nommé secrétaire général adjoint de l’UDR par le secrétaire général, Alexandre Sanguinetti, il est candidat le 14 décembre 1974 au poste de secrétaire général contre Jacques Chirac, Premier ministre, dont il craint alors qu’il n’aligne l’UDR sur le président Valéry Giscard d'Estaing. Il souhaite que les gaullistes restent des alliés loyaux mais non-alignés.

Il quitte le Comité central et ses responsabilités nationales à l’UDR après l’élection à sa tête de Jacques Chirac et poursuit son implantation locale dans le Nord.

En 1976, il prend à Raymond Gernez (PS) le canton de Cambrai-Ouest.

En 1977, sa liste l’emporte aux élections municipales à Cambrai, mettant un terme à une direction socialiste de 31 années.

Raymond Barre lui propose alors d’entrer au Gouvernement en qualité de Secrétaire d’État auprès du ministre du Travail chargé de la Formation professionnelle. Il accepte sur le conseil de Jacques Chaban-Delmas.

Avec Christian Beullac, ministre du Travail, il met sur pied le Pacte national pour l’Emploi des Jeunes, premier dispositif massif destiné à faire entrer les jeunes en difficulté dans l’emploi.

Il fait aussi voter la première loi sur la formation en alternance (1980) et poursuit l’action initiée par Jacques Chaban-Delmas et Jacques Delors en faveur de la formation continue.

La fermeture des hauts-fourneaux de Denain (1978) lors de la crise de la sidérurgie le confronte à Cambrai même et dans toute la région à un drame social. Il défend auprès du gouvernement la nécessité d’investissements d’avenir (poursuite de la réalisation de l’autoroute A 26, transformation du centre universitaire de Valenciennes en université, implantation de l’usine SMAN). Il est aussi l’interlocuteur de certains syndicalistes en direction des ministres du Travail, Robert Boulin, puis Jean Mattéoli, qui, tous deux, ont bien compris le drame humain qui frappe la région.

Lors de la présidentielle de 1981, il prend position dès le premier tour en faveur de Valéry Giscard d'Estaing, car il estime que le choix se fera surtout entre le président sortant et François Mitterrand, dont il ne veut absolument pas.

Il déclare alors « les hommes qui ont construit ensemble la Ve République se sont divisés. Le risque de voir élu François Mitterrand n’a jamais été aussi grand ».

Il est battu aux législatives de juin 1981 par le socialiste Jean Le Garrec, parachuté à Cambrai par Pierre Mauroy, lui-même d’origine cambrésienne et devenu Premier ministre.

Un élu local et régional confirmé

Jacques Legendre prend sa revanche en 1983 en écrasant Jean Le Garrec dès le premier tour des municipales de 1983 (réélu avec près de 60% des voix).

Les Cambrésiens lui sont reconnaissants de l’action vigoureuse qu’il mène en faveur de l’équipement scolaire et sportif de la ville et la restauration de son patrimoine.

Au niveau national il se rapproche de Jacques Chirac dont il considère qu’il est maintenant le leader incontestable de l’opposition.

Il est réélu député au printemps 1986 et conseiller régional (2e sur la liste conduite par Jacques Vernier, maire de Douai). De 1986 à 1988, il soutient le gouvernement. Il est rapporteur à l’Assemblée nationale sur les questions de formation professionnelle.

En 1988, il soutient Jacques Chirac aux présidentielles, tout en gardant estime et respect pour l’ancien Premier Ministre Raymond Barre.

Battu aux législatives de 1988 par Jean Le Garrec, il se consacre à nouveau à ses mandats de conseiller régional et de maire.

Il devient Secrétaire général puis Président de l’Association des maires du Nord.

En 1989, il est réélu pour la 3e fois Maire de Cambrai, en frôlant la réélection au premier tour.

En 1992, il est choisi pour être tête de liste RPR-UDF aux élections régionales dans le Nord. Malgré la constitution d’une liste Jean-Louis Borloo, il arrive en tête dans le Nord, devançant nettement la liste socialiste emmenée par Michel Delebarre. L’absence d’une majorité claire au conseil régional rend les petites formations (écologistes, liste Borloo, FN) arbitres du jeu. Au terme d’une folle nuit, il accepte au 3e tour de l’élection à la présidence de la Région de se retirer au profit de Jean-Louis Borloo afin de battre le PS. Mais Michel Delebarre se retire à son tour au profit de Marie-Christine Blandin (Verts). Ce que voyant Jean-Louis Borloo retire sa candidature obligeant Jacques Legendre à se représenter. Il est battu par Marie-Christine Blandin.

En septembre 1992, à la demande des sénateurs sortants Schumann, Diligent et Bataille, Jacques Legendre prend la tête d’une liste sénatoriale d’Union RPR-UDF qui aura finalement trois élus : Jacques Legendre, Maurice Schumann et André Diligent.

Il entre à 50 ans au Sénat, s’inscrit au groupe RPR et devient membre de la Commission des Affaires culturelles.

Du Sénateur Legendre au Président Legendre

Actif au sein de sa commission, il est désigné chaque année, de 1993 à 2008, rapporteur pour avis du budget de la Francophonie. Il intervient régulièrement sur tous les sujets relatifs à l’Éducation. Il est rapporteur de la loi sur la langue française présentée par le ministre de la Culture, Jacques Toubon et pose de nombreuses questions écrites et orales.

Le RPR n’ayant investi aucune liste en 2001, il constitue à nouveau une liste intitulée « une équipe pour le Nord au Sénat » face à la concurrence de 4 autres listes de droite ou du centre menées par MM. Lecerf, Turk, Wilmotte et Donnay.

Il est réélu, sa liste manquant de 22 voix un deuxième siège.

Toujours membre de la Commission des Affaires culturelles, il en devient Vice-Président et multiplie les rapports et travaux.

Il est l’auteur de 8 propositions de loi et co-signataires de 45.

Il est intervenu 134 fois en séance publique depuis janvier 2003 et 575 fois en commission.

Il est l’auteur de 13 rapports législatifs et de 18 rapports d’information.

Il a posé :

– 298 questions écrites ;
– 3 questions orales dans débat ;
– 4 questions au gouvernement ;
– 2 questions cribles.


Quelques uns des principaux travaux de Jacques Legendre au Sénat :

  • rapport n° 346, année 2002-2003 sur la modification de la loi du 17 janvier 2001 relative à l’archéologie préventive
  • rapport n° 63, année 2003-2004 sur « l’enseignement des langues étrangères face au défi de la diversification…pour que vivent les langues
  • proposition de loi destinée à « renforcer les garanties des cotisants vis-à-vis des Unions pour le Recouvrement des Cotisations de Sécurité sociale et d’allocations familiales (URSAFF), n° 263, année 2004-2005
  • rapport sur la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles n° 414, année 2005-2006
  • Rapport d’information sur la diversité sociale dans les classes préparatoires aux grandes écoles n° 441, année 2006-2007
  • Liberté d’expression et respect des croyances religieuses – auditions du 18 mai 2006-n° 479
  • Rapport d’information « À quoi sert le baccalauréat ? « n° 370, année 2007-2008
  • L’enseignement des littératures européennes n° 221 année 2007-2008
  • proposition de loi pour sanctionner la vente d’objets liés au nazisme ou à d’autres auteurs de crimes contre l’humanité n° 362 année 2007-2008
  • rapport d’information n° 585, année 2008-2009, sur la circulation des œuvres audio-visuelles
  • rapport n° 458, année 2008-2009 sur le rayonnement culturel international : une ambition pour la diplomatie française, en collaboration avec Josselin de Rohan, président de la Commission des Affaires étrangères et de la Défense
  • Avis sur la Réforme des collectivités territoriales n° 573 année 2009-2010
  • Proposition de loi sur l’équipement numérique des établissements de spectacles cinématographiques n° 411, année 2009-2010 avec Jean-Pierre Leleux
  • Rapport d’information sur l’Avenir de l’Agence France Presse n° 240, année 2009-2010
  • Rapport d’information n° 432 sur l’avenir de la radio. Actes de la table ronde organisée le 15 janvier 2010
  • Rapport d’information sur la création des contenus culturels et Internet n° 330, année 2010-2011
  • Proposition de loi sur le patrimoine monumental de l’État avec Mme Françoise FERAT n° 68, année 2010-2011
  • Proposition de résolution européenne pour garantir la diversité culturelle à l’ère numérique n° 565, année 2010-2011
  • Rapport d’information sur l’avenir de la production audiovisuelle en France n° 710, année 2010-2011
  • Rapport d’information n° 1983, année 2010-2011, « de l’éducation au jeu vidéo, pourquoi le Canada est-il parmi les premiers de la classe ? »
  • Proposition de loi n° 378 année 2010-2011 Régulation du système de distribution de la presse
  • Proposition de loi n° 522 : Gouvernance de l’Agence France Presse , année 2010-2011
  • Proposition de loi sur le Prix du Livre numérique n° 309, année 2010-2011
  • Proposition de résolution « Apporter le soutien du Sénat à la signature d’une Convention universelle pour la protection des personnes à l’égard du traitement des données personnelles »- avec MM. Jean Bizet, Jean-Paul Enorine, Jean-Jacques Hyest, présidents de Commission, n° 168 année 2010-2011

Jacques Legendre a aussi été membre de l’importante mission commune d’information sur la désindustrialisation des territoires qu’il a fait venir dans le Hainaut-Cambrésis.

Il a régulièrement tenu informés les maires du département de ses activités en leur adressant soixante lettres d’information pendant la mandature, avec de nombreuses informations et des renseignements utiles.

Elu Vice-président de la Commission des Affaires culturelles en 2005, mais aussi Président de la Commission de la Culture de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, où il a représenté le Sénat de 1995 à 2008, il est devenu président de la Commission des Affaires culturelles, rebaptisée Culture, Éducation et Communication en 2008.

Son activité au Sénat a été mesurée par deux études indépendantes :

  • Classement des sénateurs à partir de 10 critères, réalisé par le magazine Lyon Capitale n° 691, juillet août 2010 et classant les 343 sénateurs : Jacques Legendre 29e, il est devancé dans le Nord par Bernard Frimat (10e), le 3e Sénateur nordiste est 51e, les autres 73e, 83e, 103e, 105e, 213e, 266e, 312e, 319e.
  • Classement des 25 meilleurs sénateurs, palmarès parlementaire établi par le Cabinet INTEREL, portant sur l’année 2010 : Jacques Legendre, 22e et premier nordiste. Un autre sénateur du Nord est 24e

Autres engagements et responsabilités

Jacques Legendre rappelle souvent qu’au XXIe siècle l’engagement politique doit être à la fois enraciné localement et ouvert sur le monde.

À ses mandats locaux et nationaux, il ajoute donc une ouverture internationale.

Coopérant en Afrique Noire pendant son service militaire en qualité de professeur en République Centrafricaine ( 1965 - 1966) il a gardé un réel intérêt pour ce continent et la francophonie.

Il est depuis 2010 secrétaire national de l’UMP chargé de l’Afrique subsaharienne.

Il est au Sénat, depuis 1995, Président du Groupe d’amitié France Afrique de l’Ouest qui entretient des rapports suivis avec les parlements de la région.

Il a adhéré dès 1973 à l’Association Internationale des Parlementaires francophones (AIPLF) devenue en 1998 Assemblée parlementaire de la Francophonie. Il en a été le Secrétaire général de 1986 à 1988, puis à nouveau depuis 1995 sans interruption. Il a beaucoup développé l’audience de la branche parlementaire de la Francophonie et travaille en liaison avec le président Abdou Diouf à la consolidation de la démocratie parlementaire en Afrique.

Très attaché aussi à l’Europe, Jacques Legendre a représenté le Sénat à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe de 1995 à 2008. Il en a présidé la Commission de la Culture, de l’Éducation et de la Communication de 2005 à 2008.

Il a quitté cette fonction lors de son élection à la Commission homologue du Sénat.

Il a aussi été 6 fois membre de la délégation française à l’Assemblée générale de l’ONU à New York.

À la demande du président de la République et du président Giscard d’Estaing, Jacques Legendre, dont l’attachement au patrimoine est connu, a été nommé membre de la Commission présidée par VGE sur l’avenir de l’hôtel de la Marine.

Il est membre du conseil d’administration du Centre des Monuments Nationaux ainsi que du musée du Quai Branly.

Il a été auditeur de la 46e session nationale de l’IHEDN et à la 15e session nationale de l’IHESI.

Mandats :

Dans le département du Nord :

  • Conseiller municipal. Elu en 1977 et Maire de 1977 à 1992. Démissionne lors de son entrée au Sénat pour respecter la loi sur le cumul des mandats. Mais reste au conseil municipal en qualité de premier adjoint puis de conseiller.
  • Président de la communauté d’agglomération de Cambrai, qu’il fonde en 1992, et ce jusqu’en 2008. Il quitte la présidence car il estime la tâche trop lourde pour la cumuler avec une présidence de Commission au Sénat. Mais reste néanmoins vice-président de la communauté d’agglomération où il avait mené une vigoureuse action de développement économique.
  • Membre de la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI)
  • Membre de la Commission départementale de la présence postale

Au niveau national :

Élu sénateur du Nord en 1992, réélu en 2001, Jacques Legendre est candidat à sa réélection en 2011, à la tête d’une liste dénommée : « Au Sénat, pour nos communes et pour nos valeurs » et composée ainsi :

  • 1 - Jacques Legendre

Ancien ministre, sénateur du Nord

Vice-président de la communauté d’agglomération de Cambrai

Conseiller municipal de Cambrai


  • 2 - Joëlle Longueval

Conseillère régionale

Adjointe au maire de Marcq-en-Baroeul


  • 3 - Régis Cauche

Maire de Croix

Conseiller Lille Métropole communauté urbaine


  • 4 - Catherine Verlynde

Conseillère municipale de Bray-Dunes


  • 5 - Jacques Schneider

Maire d’Hergnies

Vice-président de la communauté d’agglomération

Valenciennes Métropole


  • 6 - Chantal Brisabois

Adjointe au maire de Douai

Conseillère à la communauté d’agglomération du Douaisis


  • 7 - Alain Pluss

Maire de Wattignies

Conseiller Lille Métropole communauté urbaine


  • 8 - Élisabeth Pruvot

Maire de Croix-Caluyau

Conseillère générale suppléante du canton de Landrecies


  • 9 - Jean-Claude Sarazin

Maire d’Avelin


  • 10 - Geneviève Porez

Maire de Wargnies-le-Petit


  • 11 - Hervé Saison

Maire d’Hondschoote

Vice-président du syndicat mixte Flandre Morinie

1er vice-président SIROM Flandre Nord


  • 12 - Nathalie Hamelin

Adjointe au maire de Crespin

Déléguée Parc naturel régional Scarpe-Escaut


  • 13 - François-Xavier Villain

Député maire de Cambrai

Président de la communauté d’agglomération de Cambrai

Récapitulatif des fonctions politiques

Mandats en cours

Anciens mandats

Notes et références

Liens externes



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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Jacques Legendre de Wikipédia en français (auteurs)

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