- Compagnie de l'escarpelle
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Compagnie des mines de l'Escarpelle
La Compagnie des mines de l'Escarpelle est une ancienne société minière française active dans le département du Nord. Elle extrayait la houille dans les villes de Roost-Warendin, Leforest, Pont-de-la-Deûle, Dorignies, Courcelles-les-Lens et Auby.
Sommaire
Historique
Le 13 juin 1846, Monsieur François-eugéne Soyez[1], propriétaire à Cambrai, effectue un sondage au hameau de l'Escarpelle qui s'avère concluant. Le terrain houiller est atteint à 154 mètres de profondeur, deux couches de minerais sont traversées successivement. Ce résultat est constaté par les Ingénieurs de l'État l'année suivante, les 21 juin et 26 juillet 1847. L'heureux découvreur constitue alors une société ayant pour objectif la recherche et l'exploitation de la houille dans la région, en réunissant un capital avec des amis. Le 29 septembre 1850, la Compagnie de l'Escarpelle obtient la concession de 4 721 hectares.
Ces découvertes confirment le coude du Bassin minier et sa prolongation du gisement houiller vers Béthune.
Découverte du coude du Bassin minier Nord-Pas-de-Calais
La première société d'exploitation, celle d'Anzin, a été fondée en 1734. Son succès suscita de nombreuses recherches dans le Hainaut, dans les Flandres et en Artois.
Le bois était rare et de plus en plus cher. Des récompenses étaient promises à ceux « qui auraient mis durant les cinq ans une mine de charbon en exploitation dans la province d’Artois ». Malheureusement, des nombreux sondages entrepris, aucun ne révéla le charbon. À travers plusieurs essais infructueux, rien de sérieux ne sera tenté jusqu'en 1834.
Grâce à la découverte en 1846 du charbon à l’Escarpelle, il a été possible de déterminer que la formation carbonifère s’orientait de 30 à 40 degrés vers le Nord, cause initiale de tant d'insuccès dans les sondages.
Sitôt connue, cette découverte suscita de nouvelles recherches. En 1850, le terrain houiller est reconnu de Douai à Lens sur un espace de quinze kilomètres en longueur et huit en largeur. Le Bassin du Pas-de-Calais sera bientôt partagé entre les diverses sociétés concessionnaires jusque Fléchinelle (désormais Enquin-les-Mines).
Le bassin minier ressemble étrangement un bras droit au poing fermé. L'épaule se trouve à Fléchinelle, le coude à l'Escarpelle, le poing à Valenciennes et le pouce à Bruille-Saint-Amand.
Les fosses de la Compagnie de l'Escarpelle
Fosse n° 1 ou fosse Soyez
- [2]
- Située à Roost-Warendin, la fosse fut creusée dès 1847 à 300 m du sondage et de la rive gauche de la Scarpe : le diamètre du puits est de 2,80 m et il est muni d'un cuvelage en bois de chêne. Un premier accrochage est établi à 233 m et l'approfondissement du puits se termine provisoirement en juin 1849 à 240 m. L'exploitation commence en 1850 : les ouvriers se rendaient au fond par les échelles installées sur un côté du puits.
- En 1881 Le cuvelage en bois est remplacé par un autre en fonte. En 1876, deux cages se rencontrent dans le puits et occasionnent la mort de 13 mineurs. Le vieux chevalet en bois de 1850 fut remplacé en 1890 par un autre chevalet également en bois. La fosse fut détruite en 1918. Reconstruite après les hostilités, elle est équipée du chevalet métallique provenant de la fosse n° 6. L'extraction cesse en 1923. La fosse sert alors au service et à l'aérage pour la fosse n° 5 et n° 9 jusqu'en 1954. Profond de 409 m, le puits est remblayé en 1954 et le chevalet abattu en 1958.
- Production totale 3 237 391 tonnes de charbon Maigre.
Fosse n° 2 ou fosse Douay
- [3]
- Située à Leforest, près de la gare, de l'autre côté des voies. Foncée en mai 1850, d'un diamètre de 2,65 m : elle est envahie par l'eau en février 1853 et ne peut fonctionner qu'en octobre 1853 avec des accrochages à 200 et 240 m.
- En 1887, la Compagnie construit un lavoir à côté de cette fosse et on double les installations en 1891. De nombreuses explosions de grisou se manifestent en 1880, 1881, 1887, 1888 et 1889. Arrêt de l'extraction en 1914. Reconstruite en 1919 pour servir d'aérage au n° 6 et au n° 8. Le puits cesse son service à l'arrêt de la fosse n° 8 en 1968. Son puits de 346 m de profondeur est remblayé en 1970.
- Production totale : 1 841 042 tonnes de charbon maigre.
Fosse n° 3
- [4]
- Située à Pont-de-la-Deûle, une commune de Flers-en-Escrebieux . Commencée en mai 1856, d'un diamètre de 3 80 m pour utiliser les cages à deux berlines par étages. Les 75 mètres ont demandés neuf mois de travail afin d'épuiser l'eau. Terminée fin 1858 à 290 m avec des accrochages à 245 m et 286 m, elle entre en exploitation en juillet 1859 en extrayant le charbon de la veine Sainte Barbe (1 m d'épaisseur). Le puits est approfondi à 450 m en 1874.
- le 30 janvier 1875, cinq hommes qui descendaient assis dans une berline, sont précipités au fond du puits. La fosse fut anéantie en octobre 1918 ; elle servit encore à l'extraction jusqu'en 1922, puis à l'aérage des fosses n° 5 et n° 9 de l'Escarpelle. Elle cesse son activité en 1972. Le puits profond de 545 m est remblayé en août 1975 et le chevalet abattu en fin d'année.
- Production : 4 029 246 tonnes de charbon gras et demi gras.
Fosse n° 4 - 4 bis
- Située à Dorignies sur l' actuelle zone industrielle. Les débuts du fonçage ont lieu le 1er juillet 1865. En février 1866 se produisent à 30 m de profondeur, d'importantes venues d'eau que l'on n'arrive pas encore à enrayer en mai 1867. On utilise alors avec succès le système Chaudron (creusement par caissons).
- En 1870, on établit des accrochages à 278 m et 334 m et l'extraction commence en juin 1871 dans de belles veines de 1,50 m d'épaissseur. En 1880, la fosse produit 300 000 tonnes. En 1913, on exploite à 540 m. Le 4 bis est foncé en 1867 par le procédé Chaudron à 90 m du puits n° 4 à 334 m (426 m en 1876). Ce puits servira d'extraction en 1886. Détruite en 1918, la fosse ne servira plus que pour l'aérage de la fosse n° 5. Les deux puits sont dépourvus de chevalets. Le puits n° 4 bis profond de 448 m est remblayé en 1952, le n° 4 atteignant 535 m le sera en 1954. Les installations sont détruites en février 1980.
- Production totale : 5 392 233 tonnes de charbon gras.
Fosse n° 5
- Située à Dorignies sur l' actuelle zone industrielle. Le 16 septembre 1875 ont lieu les débuts du fonçage, d'un diamètre de 3,65 m par le procédé Chaudron. Les débuts d'exploitation datent de 1879 à 278 m, 334 m quelques années plus tard. Le chevalement métallique est installé en 1909 : on exploite alors à 683 m.
- En 1950, le puits atteint 681 m et la fosse, équipée d'un matériel à bout de souffle, produit très peu. Le puits n° 5 sert à l'extraction, au service et à l'entrée d'air. Le retour s'effectue par les puits n° 1 et 3 de l'Escarpelle. Le puits n° 5, équipé d'une machine d'extraction à air comprimé Thiriau de 600 CV reçoit à partir de 1953, des cages à quatre plateaux de deux berlines de 500 litres et ses recettes du fond et du jour sont améliorées. La fosse sert jusqu'en 1960 au service du personnel et du matériel puis elle s'arrête, n'ayant plus que des fonctions d'aérage jusqu'en 1970. Le puits profond de 681 m est remblayé en 1970 et le chevalet abattu en juin de la même année.
- La fosse a produit 7 432 000 tonnes.
Fosse n° 6
- [8]
- 1883-1936
- Située à Leforest. On creuse cette fosse le 9 avril 1884 d'un diamètre de 3,65 m pour servir d'aérage au n° 2. En décembre 1885, on installe un premier accrochage à 223 m et un second à 301 m en 1886. Arrêt de l'extraction au n° 6 en novembre 1936. La fosse sert alors de puits de service pour la fosse n° 10.
- Vers 1960 le toit du chevalet est enlevé et remplacé par une poutre de roulement équipée d'un chariot palan, ce qui en modifie considérablement l'aspect.
- En 1966, le puits est utilisé comme bure pour la fosse n° 10 jusqu'en 1973. À partir de cette date la fosse n° 6 sert au retour d'air pour la fosse n° 9 de Roost-Warendin jusqu'en 1982. Le puits cesse alors son service et sera remblayé en 1983. La machine d'extraction à air comprimé fabriquée par la Société des Ateliers Thiriau en Belgique est démontée et exposée dans la grande verrière du Centre historique minier de Lewarde.
- Le chevalet est abattu le mardi 13 novembre 1984, à 14.45 heures.
Fosse n° 6 vers 1930.
Fosse n° 7 - 7 bis
- [9] Puits n° 7
- [10] Puits n° 7 bis
- Située à Courcelles-les-Lens sur l' actuelle zone industrielle. Commencée en octobre 1861, d'un diamètre de 4 m. En 1869, on établit des accrochages à 208 m, 267 m, 340 m et 450 m. La Compagnie du Couchant d'Aniche, comme on l'appelait alors, ne reçoit sa concession de 440 hectares que le 18 septembre 1877 après de nombreuses actions en justice : elle connaît aussi des difficultés financières qui l'amènent à la faillite.
- Le 24 janvier 1883, un coup de grisou dans cette fosse fait quatre morts, un autre le 21 août 1885 occasionne dix tués.
- Le 7 bis est creusé en septembre 1902 à un diamètre de 5 m par le procédé de congélation. L'extraction commence en février 1906 et cesse en novembre 1948. Sa production est concentrée sur la fosse n° 8 à Auby. On y a remonté 7 019 000 tonnes de charbon.
- Le puits N°7 bis assure le retour d'air pour la fosse n° 8 jusqu'en 1966.
- Le puits N°7 profond de 635 m est remblayé en 1953. le N°7 bis, profond de 563 m, en 1966. Le Chevalet du N°7 bis est démantelé vers 1967.
- Les deux terrils coniques (145 et 145A) ont totalement été exploités.
Fosse n° 8
- La fosse est située à Auby.
- Le creusement commence en janvier 1906 par le procédé de congélation et rencontre de nombreuses difficultés. L'exploitation ne débute qu'en 1910. On communique avec le n° 6 dès 1908. La fosse n° 8 sera le théâtre d'un coup de grisou, le 31 juillet 1929 qui tua huit mineurs. À partir de novembre 1958, la modernisation du siège 8 est entreprise. Un nouveau chevalet à molettes superposées est installé au dessus de l'ancien chevalet sans arrêt de production. Un machine d'extraction à poulie Koepe entraînée par deux moteurs de 1 000 CV remplace l'ancienne. En 1964, la fosse exploite entre les étages -300 m et -510 m. Le personnel est de 711 personnes au fond et 111 au jour. Le rendement net s'élève à 1 295 kg.
- La fosse s'arrête le 30 juin 1968 après avoir extrait 10 150 000 tonnes. Le puits profond de 457 m est remblayé en 1968. Le chevalet est abattu en fin d'année 1968. La machine d'extraction est démontée pour être installée au puits Dechy.
Fosse n° 9
- Construite à Roost-Warendin
Les travaux débutent en 1909 par le procédé de congélation pour un diamètre de 5 m qui doit servir d'aérage pour le n° 1 et le n° 3. Un accrochage est établi à -206 m et un autre à -227 m en décembre 1909. En 1919, le puits est approfondi à -410 m.
- La fosse est modernisée en 1955 avec l'installation d'un lavoir. En 1956, l'ancien chevalet est remplacé par un nouveau plus moderne et la machine d'extraction à vapeur par une électrique. Le puits est approfondi à -463 m en 1975. La machine d'extraction étant trop lente, il est décidé de la remplacer par une des machines à poulie Koepe de :la fosse n° 13 de Noœux arrêtée depuis 1972. En septembre 1977, ont lieu les travaux de creusement de l'accrochage à -540 m.
- Les dernières berlines remontent le vendredi 26 octobre 1990, à 11 heures. Le charbon provient des tailles 0 et 2 bloc 1. La fosse n° 9 de l'Escarpelle est l'avant-dernier puits fermé de l'histoire de l'extraction du charbon dans le bassin houiller Nord-Pas-de-Calais. Les derniers seront les 9, 9 bis et 10 de la Compagnie des mines de Dourges à Oignies le 21 décembre 1990.
- Elle a produit 18 130 000 tonnes. Le puits profond de 592 m est remblayé en janvier 1991. Le démantèlement du carreau commence en janvier 1991 et se termine le vendredi 30 août à 11 heures, avec la démolition de l'ancien chevalet. Le grand, dépouillé de son faux carré, se dresse encore au-dessus du carreau en cours de reconversion.
Le chevalet de la fosse n°9 est en projet de classement auprés de l' UNESCO.
Fosse n° 10
- La fosse n° 10, à Leforest, est la dernière mise en sevice par La Compagnie des mines de l'Escarpelle en 1926. Des accrochages sont ouverts à -220 m et -310 m. En 1946 l'extraction se fait entre les étages -226 m et -300 m. En 1964, la fosse exploite entre le tourtia et -270 m et prépare un nouvel étage à -370 m. En août 1965, le nouvel étage à -370 m est mis en route, en remplacement de celui de -270 m qui a duré trente ans.
- Le 24 mars 1969, cinq mineurs empruntent une cage de bure qui s'écrase 80 m plus bas. Les cinq hommes sont tués, laissant cinq veuves et seize orphelins.
- La fosse remporte le prix régional de productivité pour 1972 et cesse d'extraire le 16 novembre 1976 après avoir remonté 11 874 000 tonnes de charbon. Le puits profond de 414 m est remblayé au début de l'année 1991.
- Le chevalet est abattu le mercredi 11 mars 1992 à 15.50 heures.
Les hameaux
Création de « Pont-de-la-Deûle »
Dans une région à caractère rural, on trouvait difficilement à se loger et la main-d'œuvre locale était inexistante. C'est pourquoi la Compagnie des mines de l'Escarpelle fit construire des maisons, à Roost-Warendin, près de l'église. Elles sont terminées en 1852.
- En 1849, bien avant que l'exploitation de la fosse n° 3 ne fut commencée, la nécessité de pourvoir au logement des mineurs devient une urgence.
- En 1861, fut construite l'habitation du Directeur de la Compagnie à Pont-de-la-Deûle.
- En 1870, les maisons des ingénieurs et employés, route d'Auby à Pont-de-la-Deûle sont construites. C'était la naissance d'un hameau dans la zone « du pont de la Deûle ».
- En 1890, la direction de la Compagnie des mines de l'Escarpelle projette de créer une nouvelle commune en séparant la commune de Flers-en-Escrebieux de son quartier de Pont-de-la-Deûle avec l'adjonction du hameau de l'Escarpelle, détaché de Roost-Warendin. Ce projet est soumis à l'approbation du conseil municipal. Le 13 juillet, celui-ci nomme une commission, chargée d'étudier cette affaire. Le 27 juillet, le conseil délibère sur le rapport de la commission et émet un avis défavorable. Le Pont-de-la-Deûle reste donc intégré à Flers-en-Escrebieux.
Création du hameau « Le Villers » à Flers-en-Escrebieux
La cité du Villers fut construite vers 1920, pour loger la main d'œuvre polonaise que la Compagnie de l'Escarpelle avait embauchée. Les premiers logements à sortir de terre le furent sur la route nationale vers Noyelles-Godault. Vinrent ensuite ceux de la rue de Reims puis ceux des rues de Chalons et d'Épernay.
Les premières familles polonaises arrivèrent en 1922. Les hommes étaient affectés à la fosse de Courcelles (la Fosse n° 7). En 1924, la cité comptait 1 100 résidents. Des commerces de proximité s'ouvrent.
Les terrils
Parmi cette liste, beaucoup de terrils ont été exploités à cause de la construction de la rocade minière toute proche.
- 122 : 10 de l' Escarpelle Est
- ([14] )
- Ce terril conique est entièrement préservé. Il est de plus aménagé.
- 122A : 10 de l' Escarpelle Ouest
- ([15] )
- Ce petit terril plat est entièrement boisé. Il s' agit du premier terril édifié par la fosse.
- 123 : 1 de l' Escarpelle Ancien
- ([16] )
- Ce terril plat est le premier a avoir été créé sur place. Il a finalement été quasiment entièrement été recouvert par le terril n° 141 (1 nouveau-est de l' Escarpelle) lorsque l' évolution des techniques à permis l' édification de terrils coniques , plus hauts que les terrils plats.
- 136 : Terril Sébastopol de Roost
- ([17] )
- 136A : Roost Lain Est
- ([18] )
- 138 : 9 de l' Escarpelle
- ([19] )
- Le terril, exploité, est situé au Sud de la fosse 9 à Roost-Warendin.
- 139 : Les Pâturelles
- ([20] )
- Ce terril plat , assez étendu a été édifié après que le terrain eut venu à manque pour le terril n° 123 (1 de l' Escarpelle Ancien). Quelques années plus tard , lorsque les techniques le permirent , le terril n° 141 (1 nouveau-est de l' Escarpelle), conique, a été édifié sur le terril n° 123. Le terril n° 139 est intact et intégralement boisé.
- 141 : 1 nouveau-est de l' Escarpelle
- ([21] )
- Il s' agit de l' immense terril conique non exploité situé près de la Scarpe à Roost Warendin.
- 142 : 8 de l' Escarpelle
- ([22] )
- Ce terril a totalement été exploité.
- 145 : 7 de l' Escarpelle Est
- ([23] )
- Cet ancien terril conique a été totalement exploité et sert actuellement de terrains à la zone industrielle.
- 145A : 7 de l' Escarpelle Ouest
- ([24]
- Cet ancien terril conique a aussi été totalement exploité et sert actuellement de terrains à la zone industrielle.
)
- 212 : Cavalier du 10 de l' Escarpelle
- ([25] )
- Au début de l' exploitation , les schistes furent déposés sur ce terril cavalier sur une hauteur de 3 à 5 mètres . Ce terril , entièrement aplani , allait du carreau de la fosse jusqu' aux terrils de la fosse 10 (numéros 122 et 122A).
- 213 : Cavalier de Roost
- 213A : Cavalier de Roost-Warendin
- 213B : Cavalier de Roost-Warendin
- 213C : Cavalier de Roost-Warendin
- 213D : Cavalier de Roost-Warendin
- 214 : Cavalier de Courcelles-lez-Lens
- ([26] )
- Il s' agit d' un terril cavalier.
Notes & références
- ↑ la Voix du Nord page 7 édition de Douai du 23 aôut 2009
- ↑ BRGM - Puits n° 1
- ↑ BRGM - Puits n° 2
- ↑ BRGM - Puits n° 3
- ↑ BRGM - Puits n° 4
- ↑ BRGM - Puits n° 4 bis
- ↑ BRGM - Puits n° 5
- ↑ BRGM - Puits n° 6
- ↑ BRGM - Puits n° 7
- ↑ BRGM - Puits n° 7 bis
- ↑ BRGM - Puits n° 8
- ↑ BRGM - Puits n° 9
- ↑ BRGM - Puits n° 10
- ↑ BRGM - Terril n° 122
- ↑ BRGM - Terril n° 122A
- ↑ BRGM - Terril n° 123
- ↑ BRGM - Terril n° 136
- ↑ BRGM - Terril n° 136A
- ↑ BRGM - Terril n° 138
- ↑ BRGM - Terril n° 139
- ↑ BRGM - Terril n° 141
- ↑ BRGM - Terril n° 142
- ↑ BRGM - Terril n° 145
- ↑ BRGM - Terril n° 145A
- ↑ BRGM - Terril cavalier n° 212
- ↑ BRGM - Terril cavalier n° 214
Voir aussi
Liens internes
- Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais
- Compagnie des mines d'Aniche à l'Est.
- Compagnie des mines d'Ostricourt, de Dourges et de Drocourt à l'Ouest.
Liens externes
- Rapport du commissaire de Lourches sur les possibles mouvement de grèves des mineurs des secteurs d'Aniche Oignies et l'Escarpelle.
- Site d' un ancien mineur expliquant les bases d' un puits de mine des HBNPC
Bibliographie
: Source utilisée pour la rédaction de l'article
- Émile-Alexandre Vuillemin, Le Bassin Houiller du Pas-de-Calais. Tome I, Imprimerie L. Danel, 1880
- Émile-Alexandre Vuillemin, Le Bassin Houiller du Pas-de-Calais. Tome II, Imprimerie L. Danel, 1880
- Émile-Alexandre Vuillemin, Le Bassin Houiller du Pas-de-Calais. Tome III, Imprimerie L. Danel, 1883
- Guy Dubois et Jean Marie Minot, Histoire des Mines du Nord et du Pas-de-Calais, Tome 1, 1991 - Tome 2, 1992
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