- Cognac (Charente)
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Cognac
La porte Saint-Jacques et le château François Ier
DétailAdministration Pays France Région Poitou-Charentes Département Charente Arrondissement Cognac
(Sous-préfecture)Canton chef-lieu des cantons de Cognac-Nord et Cognac-Sud Code commune 16102 Code postal 16100 Maire
Mandat en coursMichel Gourinchas
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes de Cognac Site web www.ville-cognac.fr Démographie Population 19 066 hab. (2008[1]) Densité 1 230 hab./km² Aire urbaine 48 131 hab. (2008) Gentilé Cognaçais Géographie Coordonnées Altitudes mini. 5 m — maxi. 53 m Superficie 15,50 km2 Cognac est une commune française, sous-préfecture située en Charente faisant partie de la région Poitou-Charentes.
Ses habitants sont les Cognaçais et les Cognaçaises.
Deuxième agglomération de la Charente après Angoulême, Cognac est également au cœur de la deuxième aire urbaine de ce département où son rayonnement urbain déborde au-delà des limites de la Charente-Maritime voisine et regroupe 48 131 habitants en 2008.
Sommaire
Géographie
Localisation et accès
Cognac est située sur les rives de la Charente en aval d'Angoulême (38 km) et Jarnac (12 km), en amont de Saintes (25 km). Elle s'est principalement développée sur la rive gauche. Sur la rive droite se trouve le faubourg Saint-Jacques. Cognac est à 406 km de Paris et seulement 97 km de Bordeaux[2]. L'altitude moyenne est de 23 mètres.
Dessertes routières principales : RN141 (Saintes-Angoulême-Limoges, route Centre-Europe Atlantique), D731 (vers Saint-Jean-d'Angély au nord, Archiac, Barbezieux et Chalais au sud), D732 (vers Royan par Pons), D24 et D15.
Desserte ferroviaire : ligne TER Angoulême-Jarnac-Cognac-Saintes- avec Royan ou La Rochelle. Le trajet vers Cognac au départ de Paris se fait en trois heures (correspondance comprise) au départ de la gare Montparnasse (2 heures 10 jusqu'à Angoulême puis 35 minutes en TER).
Article connexe : Gare de Cognac.Cognac se trouve historiquement sur l'un des chemins menant les pèlerins à Saint-Jacques-de-Compostelle, plus exactement un chemin transverse descendant la Charente entre le Limousin et Saintes pour la vénération de saint Eutrope[3]. Ces derniers étaient autrefois amenés à séjourner dans le faubourg Saint-Jacques, sur la rive droite de la Charente, avant de poursuivre leur chemin.
Le sentier de grande randonnée GR4 reliant Royan à Cannes traverse la commune.
Quartiers
Les deux plus anciens quartiers de Cognac; outre le centre historique qui s'est développé d'abord autour du château des Valois sur la rive gauche puis vers l'est après l'enrichissement de la ville grâce à l'essor du commerce des eaux-de-vie au XIXe siècle, sont les faubourgs Saint-Jacques et Saint-Martin qui correspondent à de très anciennes paroisses (pour Saint-Martin antérieure à celle de Cognac, pour Saint-Jacques lieu réservé aux pèlerins sur la rive droite du fleuve).
Il existe trois autres quartiers plus récents : Crouin, la cité de l’Hôpital et la cité du Dolmen . L'habitat y est principalement collectif.
Géologie
Cognac est située sur un sol calcaire datant du crétacé, occupé par les étages provencien, coniacien et santonien. Sur la rive gauche, la ville est construite sur l'étage coniacien.
Au cours des millions d’années de son histoire géologique, la région a connu une succession de mouvements tectoniques (failles, soulèvements…), de longues périodes d'invasion par la mer, sous des climats tropicaux à glaciaires. Lors des phases de présence de l'océan, principalement à l’ère secondaire, les dépôts issus des organismes marins ont formé l’actuel sous-sol calcaire à majorité argilo-calcaire.
On distingue cinq grands types de sols :
- Les champagnes :
Les champagnes sont des sols argilo-calcaires assez superficiels sur calcaire tendre, crayeux, du crétacé. La teneur en calcaire est très élevée dès la surface.
- Les groies :
Ce sont des sols argilo-calcaires superficiels comme les champagnes, mais rouges et très caillouteux, d’un calcaire dur du Jurassique.
- Les argiles du Pays bas :
Dans une zone dépressionnaire au nord de Cognac, appelée « Pays bas », se trouvent des sols très argileux (jusqu’à 60% d’argile).
- Les sols silico-argileux :
Les sols situés au nord-ouest de Cognac sont en majorité des argiles à silex résultant de la décarbonatation du calcaire.
- Les sables :
Ce sont là des sables que l’érosion a apportés du Massif Central. Les vignes y sont assez dispersées, au milieu d’autres cultures, de prés pour l’élevage, de forêts de pins et de châtaigniers. Encore aujourd’hui, vous trouverez de nombreux fossiles marins dans le vignoble cognaçais.
Hydrographie
Située sur une grande boucle de la Charente, Cognac s'est principalement développée sur la rive gauche du fleuve au pied du Château des Valois puis sur l'autre rive avec le faubourg Saint-Jacques. Les quais en contrebas de la ville sont parfois inondés lors des crues.
Communes limitrophes
Climat
La région de Cognac, comme une grande partie ouest du département de la Charente a un climat océanique aquitain.
Données climatiques à Cognac mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 2,0 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14,0 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8 Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5 Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7 Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9 Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80,0 783,6 Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[4].Histoire
Préhistoire
Le territoire de la commune est habité depuis le Paléolithique, de nombreuses preuves diffuses en attestent. Au Néolithique plusieurs communautés ont laissé leurs traces à Crouin, Saint-Martin et La Trache. Le dolmen de Séchebec est situé en pleine ville, cité du dolmen.
Antiquité
Les origines du nom de Cognac ne sont pas entièrement connues. Cependant, pour essayer de les comprendre voici un certain nombre de mentions de la ville sur des cartes dans le passé :
Une mention de "Commiaco" vers 1075-1101 (Cart. égl. Ang.); de "Conniaco" vers 1080, de "Cumniaco" (Cart. St-J.-d'Ang.); "Comprniacum" 1270 (Cart. Barb.). En fait, "Conniacum" viendrait du nom d'un domaine ayant appartenu dans l'antiquité à une famille nommée "Connius" (nom de famille latin dérivé du gaulois "Connus").
Il pourrait aussi s'agir du site Condate sur l'ancienne voie romaine du chemin Boisné reliant Saintes à Périgueux (inscrit sur la table de Peutinger). Cette interprétation a été mise en doute par certains qui placeraient plus volontiers ce Condate sur le site de Merpins ou de Crouin. Le nom de Cognac, située au confluent de la Charente et de l’Antenne, pourrait cependant correspondre (Condate est un toponyme celtique -gaulois- pour désigner une confluence).
Les sites gallo-romains sont nombreux. Sur la rive gauche, la villa de Chatenay qui comporte en bord de fleuve l'aménagement d'un quai ; il subsiste de très nombreux signes d'occupation sur toute la ville de Cognac, le long du canal Saint-Simon et près de la fontaine Saint-Martin[5]. Sur la rive droite, tout un habitat romain était édifié à la confluence de la Charente et de l'Antenne. Les vestiges les plus importants sont ceux qui ont été fouillés à la Haute-Sarrasine : une villa de plus de 80 m de long, exploitée du IIe siècle au IIIe siècle, qui témoigne d'une importante activité qui reste un mystère : la dizaine de bassins laissent le choix entre activité agricole, viticole, artisanale[6].
Moyen Âge
Des traces attestent de l'existence au faubourg Saint-Martin d'un petit village carolingien et mérovingien autour d'une fontaine votive qui sera transformée en chapelle au IVe siècle, probablement par l'évêque saint Martin de Tours. La nécropole proche de l'église Saint-Martin a été utilisée de VIIe siècle au XVIIIe siècle et a longtemps été la plus grande nécropole de la région.
Vers l'an 1000, Itier et Arnaud de Villebois s'installent sur le futur site de Cognac pour fonder leur dynastie et y construisent un petit castrum en bois. En 1031, ce sont les bénédictins qui s'installent sur les hauteurs pour édifier leur prieuré et l'église Saint-Léger. Un petit bourg se forme alors autour du castrum et de ce prieuré.
Vers 1200, la seigneurie de Cognac passe sous la domination de la maison d'Angleterre. C'est aussi à cette période que le château est reconstruit en pierre et qu'une première fortification encercle le bourg en devenir.
Au XIVe siècle, Philippe le Bel rattache la seigneurie de Cognac à la couronne de France. Pendant la guerre de Cent Ans, au gré des batailles et des traités, elle changera souvent de suzerain. Ce n'est qu'en 1448 que la ville est définitivement reprise aux Anglais, par le Duc François Ier de Bretagne.
Période moderne
Le futur roi de France François Ier voit le jour à Cognac en 1494 .Sa mère Louise de Savoie séjourne alors au château des Valois. Plus tard, le souverain accordera à la ville le privilège du commerce de sel par la rivière, assurant à Cognac un premier développement.
La ville a été administrée par des gouverneurs dont les premiers furent Jean de Brémond de Balanzac de 1504 à 1514 puis Jacques Chesnel. La révolte des pitauds atteint Cognac en 1548. Quelques années avant, en 1541, la gabelle avait été imposée à la Saintonge et à l’Angoumois. Ces deux provinces étaient auparavant exemptées de cet impôt sur le sel. La révolte gronde puis éclate près d’Angoulême, et Cognac finit par être prise par les révoltés pendant l’été[7]. Les gouverneurs suivant seront Pierre de Montalembert en 1557 et Duch d'Asnières mis en place par les protestants en 1562.Il est à souligner que Calvin avait trouvé refuge à Angoulême en 1553. Sa présence dans la région facilitera très tôt la propagation de la Réforme à Cognac.
Lors de la première des guerres de religion, la ville prend les armes : elle est reconquise en 1563 par Montpensier. En 1565, Charles IX y passera lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la Cour[8]. En 1570, la paix de Saint-Germain, signée entre le roi Charles IX et l’amiral Gaspard II de Coligny, octroie aux Protestants quatre places fortes : La Rochelle, Cognac, Montauban et La Charité-sur-Loire.
En 1610, un certain Jacques Roux fait commerce d'une eau-de-vie qui semble être l'origine du cognac actuel.
En 1651, Cognac soutient un siège contre la Fronde menée par Condé, la ville sera sauvée tardivement par l'arrivée des troupes royales. En récompense elle reçoit des privilèges du roi Louis XIV.
Au début du XVIIIe siècle, Cognac se modernise progressivement. Les remparts de la ville sont alors à l'abandon et deviennent par endroits des jardins de chanvre ou de simples promenades. Ils ne disparaitront complètement qu'en 1845. La ville connaît à nouveau des mouvements de révolte en 1718 quand le marquis d’Argenson choisit l’élection de Cognac pour expérimenter la dîme royale, impôt prévu pour être payé par tous, y compris par ceux bénéficiant de privilèges. Même si le projet est très favorablement accueilli dans la campagne environnante, ces derniers, qui refusent d'être imposés, réussissent à obtenir le ralliement des habitants de la ville mettant un terme à cette tentative d'introduction d'un peu d’égalité fiscale[9].
À l'époque, quelques familles anglaises s'installent à Cognac et dans sa région, pour y développer le commerce d'eaux-de-vie : Jean Martell (1720), Rémy-Martin (1724), Thomas Hine (1763) à Jarnac, Richard Hennessy (1765) à côté de familles locales comme Augier et Delamain à Jarnac.
Parmi les trois députés du tiers-état pour le district aux États Généraux figure Étienne Augier, « protestant » [10].
Avant le rachat des Hôtels particuliers des familles Dupuy d’Angeac et Otard, acquis successivement en 1889 et 1921 par la Mairie pour son installation actuelle et celle du Musée, cette dernière avait été auparavant située, tout comme la sous-préfecture, dans l'ancien couvent des Récollets. De l'an VII à l'an XII Messieurs Sarrazin, Caminade et Robin ont été à la tête de la municipalité[11] .
Période contemporaine
En 1800, Cognac devient chef-lieu d'un des quatre districts de la Charente ; puis sous-préfecture du département en 1818. C'est en 1839 que Cognac peut réellement commencer à se développer avec le projet de la route nationale (RN141) qui passera par l'ancien rempart nord pour éviter le centre devenu inaccessible aux véhicules modernes ; le pont sera reconstruit quelques centaines de mètres en aval pour prolonger cette route. Les travaux débutent en 1848; le pont neuf sera inauguré en 1850.
En 1847, les communes locales sont réorganisées : Cognac s'agrandit en absorbant une partie de Saint-Martin et les faubourgs de Saint-Lazare, Saint-Antoine et le village de Cagouillet. En 1867, Cognac absorbe Crouin et Saint-Martin.
En 1870, la campagne cognaçaise est frappée de plein fouet par le phylloxéra qui détruira une grand partie du vignoble. Étonnamment, c'est ce qui va permettre aux négociants de la ville de se développer. Petit à petit ceux-ci, grâce à leur assise financière, vont incorporer la distillation et l'assemblage pour devenir producteurs en achetant désormais les récoltes de vins et non plus l'eau-de-vie. C'est en 1891 que le nom cognac apparaît comme appellation pour les eaux-de-vie locales.
Le commerce du cognac repartira bientôt et permettra la croissance de la ville. En 1878, Claude Boucher s'installe à Cognac pour y fonder une verrerie et inventera en 1898 une machine à souffler le verre. La verrerie Claude Boucher sera absorbée en 1962 par la société Saint-Gobain.
Les groupes familiaux du Cognac se transforment petit à petit, en s'alliant à d'autres sociétés ou avec des groupes de spiritueux internationaux, c'est le début de la séparation économique entre la ville et son produit. En 1971 JAs Hennessy s'allie avec Moët & Chandon, puis en 1987 fonde le groupe LVMH.
Évènements récents
La tempête de fin 1999 frappe Cognac, comme toute la région et détruit une grande partie du parc François-Ier et du jardin public. Le parc grâce au travail de la municipalité et des associations locales retrouve petit à petit son attrait.
En 2004 inauguration d'un nouveau musée, le Musée des Arts du Cognac[12] ou MACO.
Le 28 juillet 2007, la ville a accueilli la 19e étape du Tour de France, une étape contre-la-montre entre Cognac et Angoulême.
Héraldique
Article connexe : Armorial des communes de la Charente.Administration
Cognac est chef-lieu de canton (depuis 1973 chef-lieu de deux cantons : Cognac-Nord et Cognac-Sud).
Liste des maires de Cognac avant la Révolution[13]Liste des maires connus de Cognac avant la Révolution Période Identité Étiquette Qualité 1216 Guy Baude 1224 Hélie de Gensac 1369 Guillaume Tricot 1384 Jacques Fauchier 1384 Simon Prévost 1389 Guillaume Molinet 1416 Jean Marchandat 1416 Jean Chaillou 1432 Étienne Roux 1437 Jean Douriel 1469 Lyonnet Richard 1491 Héliot Pipon 1493 André de Xandrieux 1501 1501 François Richier 1505 1505 Jean Dupont 1507 1507 Michel Regain 1508 1511 Pierre Dupond 1512 1512 Henri Richard 1513 1521 Nicolas Bourdeau 1522 1523 Jean Robicquet 1524 1524 Hélie Richier 1525 1525 jean Jaulin 1526 1527 Hélie David 1528 1528 Henry Brunet 1529 1530 Aymond Guyon 1531 1531 Guillaume Curateau 1532 1532 Jacques Mesnade 1533 1535 André Foucques 1536 1536 Pierre Jameu 1537 1537 Jacques Le Roy 1538 1538 Nicolas Thabois 1539 1539 Hélie Guinot 1540 1540 Jean Lallemand 1541 1541 Henri Richard 2e élection 1542 1542 Nicolas Cothu 1542 1542 Jean Robicquet 1543 1543 Jean Guignebert 1544 1544 Jean Foucques 1545 1545 Bertrand de La Mothe 1546 1546 Henri Bernard 1547 1548 Pierre Giboul 1549 1549 Jacques Roy 1550 1551 André Allenet 1552 1552 Henri Bertrand 1553 1553 Jean Roux 1557 1557 François Jaulin 1559 1559 Jean Berjonneau 1560 1560 Michel Guérin 1561 1565 Jean Dalembert 5 élections consécutives 1566 1568 Jacques Mesnade 3 élections consécutives 1571 1571 Guyon Martin 1574 1577 Guy Cothu 4 élections consécutives 1578 1580 Nicolas Delafon 3 élections consécutives 1581 1581 Henri Berjonneau 1582 1583 André Allenet 2 élections consécutives 1585 1587 Guillaume Babin 3 élections consécutives 1588 1588 Colas Pelluchon 1601 1601 Jean Philippier 1602 1602 Jean Vitet 1604 1604 Jean Pelluchon 1605 1607 Pierre Gay 3 élections consécutives 1608 1608 Jean Vitet 2e élection 1610 1611 Guillaume Bourguignon 2 élections consécutives 1612 1614 Pierre Gay 3e, 4e et 5e élections 1616 1616 Jean Marie 1617 1619 Jean de La Font 1620 1620 Jean Martineau 1622 1622 Jean Marie 2e élection 1623 1624 Jean de La Font 2e et 3e élections 1625 1625 Jacques Jameu 1626 1626 Nicolas Bernard 1627 1627 Pierre Gay 6e élection 1628 1628 Jacques Audouin 1631 1631 Hélie Babin 1632 1633 François Fouques 2 élections consécutives 1634 1634 Séraphin Marie 1635 1635 Pierre de Rignol 1636 1636 Arnaud Vitet 1637 1638 Pierre de Guip 2 élections consécutives 1641 1641 Séraphin Marie 2e élection 1642 1642 Louis Cyvadier 1643 1643 Guillaume de Romas 1645 1645 Michel Berjonneau 1646 1646 Benjamin Vitet 1647 1649 Michel Berjonneau 2e, 3e et 4e élections 1650 1650 Jean Gay 1651 1652 Louis Cyvadier 2e et 3e élections 1653 1653 Ezéchiel Guignebert 1654 1654 Michel Berjonneau 5e élection 1656 1656 Louis Mesnage 1657 1657 François Bourguignon 1663 1663 Jean Gembert 1665 1665 Jean de Rignol 1667 1668 Jean Saulnier 2 élections consécutives 1669 1669 Philippe Fe 1670 1670 Jacques Garaud 1673 1674 Jean Saulnier 3e et 4e élections 1679 1679 De La Font 1681 1681 Adam Daniaud 1684 1684 Jacques Fouques 1685 1685 Perrin 1694 1723 Jacques Perrin 1723 1723 Jean Chabot 1734 1737 Nicolas Poirier 1738 Georges Busquet 1748 1751 Bertrand de Puyraimond
(prénom inconnu)1752 1756 Dexmier de la Groix (idem) 1757 1758 Louis Allenet 1758 1759 Dexmier de la Groix 1759 1763 Perrin de la Coinche 1764 1766 Allenet 1769 1772 Dexmier de la Groix 1773 1782 Jacques Hardy 1783 1791 Pierre Bouteleau Liste des maires de Cognac de la Révolution française à 1945Liste des maires de Cognac de la Révolution à 1945 Période Identité Étiquette Qualité 1791 1794 Pierre-Etinne Albert 1795 1800 Pierre Godard 1800 1802 Frédéric Martell 1802 1804 Louis Turner 1804 1815 Jean-Baptiste-Antoine Otard 1815 1815 N. Fournier 1815 1824 Jean-Baptiste-Antoine Otard 1824 1830 Henry Pinet 1830 1838 Gabriel Martell 1838 1848 Abel Planat 1848 1849 Sicaire Nebout 1849 1869 Henry Bouraud 1870 1871 Alexandre Robin 1871 1874 Paul Imbaud 1874 1878 Séverin Fleuranceau 1878 1889 Oscar Planat 1889 1900 Jules Brisson 1900 1902 Eugène Duras 1902 1912 Ceorges Briand 1912 1917 Pascal Combeau 1917 1922 Henri Fichon 1922 1923 Joseph Pataa 1923 1929 Georges Menier 1929 1932 Paul Firino Martell 1932 1935 Jules Dannepond 1935 1945 Paul Firino Martell Liste des maires depuis 1945 Période Identité Étiquette Qualité 1945 1953 Henri Mesnard 1953 1971 Alexandre Dumas Radical-socialiste 1971 1979 Alain Filiol de Raimond UDR, puis RPR 1979 2001 Francis Hardy RPR Député, Conseiller général, Conseiller régional mars 2001 mars 2008 Jérôme Mouhot RPR-UMP Premier Vice-Président du Conseil général mars 2008 en cours (2010) Michel Gourinchas[14] PS Conseiller régional, suppléant de la député de Charente Intercommunalité
Cognac est le siège de la Communauté de communes de Cognac, qui regroupe quatorze communes.
Réseau Charente-Océan
Le réseau de villes Charente-Océan lie les municipalités de Cognac en Charente et celle de Saintes en Charente-Maritime [15]. Cette collaboration des deux villes distantes de seulement 25 kilomètres et reliées par le fleuve Charente, confrontées à des problématiques communes (centres anciens en voie d’abandon, petite taille entravant le développement), est destinée à utiliser les synergies entre ces villes de taille comparable[16]. Le réseau agit dans le domaine de la culture. Après quelques années de sommeil (1999-2010), le réseau a été relancé[17],[18].
Fiscalité
La fiscalité est d'un taux de 19,10 % sur le bâti, 58,75 % sur le non bâti, et 8,14 % pour la taxe d'habitation (2007).
La Communauté de communes de Cognac prélève 12,14 % de taxe professionnelle.
Démographie
Article détaillé : Démographie de la Charente.Classement démographique
Population de l’agglomération cognaçaise
(Recensements Insee de 1999 et 2008)Zones Population Surface
(km²)Densité
(/km²)croissance
1999-2008Agglomération cognaçaise Cognac 19 066 16 1 230 - 2,39 % unité urbaine 27 077 59 456 + 0,13 % Aire urbaine 48 131 419 115 + 1,55 % Démographie de la Charente Charente 351 581 5 956 59 + 3,52 % Par sa population, Cognac est la deuxième ville de la Charente avec 19 066 habitants au 1er janvier 2008, après Angoulême.
En 2008, l’unité urbaine qui comprend six communes[N 1] regroupe 27 077 habitants, et son aire urbaine, qui inclut 35 communes périurbaines situées dans la zone d’influence forte de la ville, rassemble 48 131 habitants.
Ces différentes données font de Cognac la deuxième agglomération urbaine de la Charente ainsi que la deuxième aire urbaine du département, après Angoulême.
Au niveau régional, elle occupe la huitième place en Poitou-Charentes concernant la ville intra-muros, la neuvième place au plan de son agglomération urbaine et le huitième rang des aires urbaines picto-charentaises[19].
Évolution démographique
En 2008, Cognac compte 19 066 habitants; elle occupe donc le 2e au niveau départemental sur 404 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Cognac depuis 1793.
Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[20], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.
Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1e janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006[N 2].
Le maximum de la population a été atteint en 1975 avec 22 237 habitants.
Pyramide des âges
Remarques
En 1791, Cognac comptait 3259 habitants, Crouin 250 et Saint-Martin 537 soit un total de 4046 pour ce qui recouvre la commune actuelle[26].
En effet jusqu'en 1867, Crouin est une commune de 866 habitants, absorbée par Cognac.
Saint-Martin (qui avait absorbé Châteaubernard) est une autre commune, de 2556 habitants, dont 872 habitants recréent Châteaubernard et 1684 deviennent Cognaçais.
Économie
Le cognac : la ville a donné son nom à une eau-de-vie de renommée internationale qui doit être exclusivement produite sur certains terroirs autour de Cognac tout en respectant des normes et des règles de production très précises. Le cognac est une appellation d'origine contrôlée.
Article détaillé : cognac (eau-de-vie).Les maisons de négoce
Les cinq plus grandes maisons de cognac présentes dans la ville sont : Hennessy, Martell, Rémy-Martin, Camus et Otard. Il existe cependant de nombreuses autres Maisons plus petites dont certaines sont restées familiales.
Les chais de vieillissement ont aujourd'hui, presque tous, quitté le centre ville pour des raisons évidentes de sécurité (explosions et incendies). Il reste toutefois encore le site industriel Martell (Seveso) sur les rives de la Charente a proximité de la vieille ville.
Dans la région de Cognac, l'activité économique est encore malheureusement trop centrée sur le cognac et ses fournitures connexes.
Industrie
Parmi les industries qui gravitent autour du cognac on peut citer :- Des entreprises de fabrication et de ventes de machines agricoles, d'embouteillage, d'étiquetage, de chaînes de conditionnement.
- Des entreprises de service aux exploitations agricoles, de distribution de produits phytosanitaires et de fournitures pour chais.
- Des entreprises de fabrication d'alambic et de cuves.
- La tonnellerie.
- La verrerie : une usine de fabrication de bouteilles et de flacons du groupe Saint-Gobain est installée à la limite de Cognac, sur Châteaubernard.
- A 7 km, Saint-Gobain fabrique des plaques de plâtre et des matériaux pour la réhabilitation et l'habitat neuf à la Société Placoplatre.
- Le travail du liège pour les bouchons.
- Des entreprises de fabrication des capsules.
- L'imprimerie pour les étiquettes et les documentations publicitaires.
- La cartonnerie et la fabrication d'emballages.
- Des entreprises de transport.
Pour limiter les effets des crises sur le cognac, les viticulteurs développent, outre le pineau des Charentes, une ligne de vin de pays charentais nécessitant des cépages et des méthodes adaptées totalement différentes de celles applicables aux vins destinés à la distillation.
Un autre employeur important de l'agglomération est l'armée de l'air ; à Châteaubernard est située la base aérienne 709 de Cognac qui accueille l'école de pilotage de l'armée de l'air. Les élèves pilotes volent principalement sur des Socata TB-30 Epsilon.
Cognac est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Cognac.
La ville de Cognac reste enclavée malgré l'amélioration des liaisons par chemin de fer ce qui nuit à son développement économique alors qu'elle ne peut aujourd'hui se satisfaire du commerce de l'eau de vie, après que des maisons de Cognac ont été rachetées par des holdings qui ont supprimé une grande partie des postes de cadres locaux.
Baudoinia compniacensis
La ville de Cognac, ainsi que toute la région cognaçaise, est caractérisée par la couleur noire de certains murs, quartiers ainsi que certains arbres. Cette couleur noire est due à un champignon microscopique, Baudoinia compniacensis qui se développe à proximité des vapeurs d'eau-de-vie. On appelle ce champignon, le champignon de la part des anges. L'épithète « compniacensis » signifie « de Compniac », « Compniac », étant un ancien nom de Cognac.
Tourisme
- traditionnellement tourisme de passage avec visite sur la journée.
- Tourisme de séjour en hôtel de grand standing
- Depuis quelques années, un autre tourisme se développe avec le camping municipal, les chambres d'hôtes, le tourisme fluvial sur les pénichettes
Culture et patrimoine
Culture
- Le Musée d'art et d'histoire, dans le jardin public de Cognac
- Le Musée des arts du cognac (MACO).
- La bibliothèque municipale qui jouxte l'église Saint-Léger. La bibliothèque fondée à la Révolution avec les livres confisqués aux religieux a été transportée à Angoulême et ce n'est qu'à la fin du XIXe siècle grâce à Émile Albert ses travaux et sa donation que Cognac a retrouvé une bibliothèque et un fonds remarquables.
- Le conservatoire de musique et d’art dramatique.
- Les festivals et soirées culturelles proposés par l'Avant-scène, West Rock, Blues Passion...
Manifestations
- Festival Blues Passions de Cognac, dernière semaine de juillet
- Coup de chauffe, festival des arts de la rue, premier week-end de septembre
- Fête du cognac, du 13 au 16 juillet
- Salon Polar & Co, salon littéraire du roman policier
- Floralies de Cognac, marché aux fleurs
- Littératures européennes Cognac, manifestation littéraire annuelle
Patrimoine civil et religieux
Le vieux Cognac : la partie médiévale de la ville appelée vieux Cognac s'étend des tours Saint-Jacques, en bordure de la Charente, jusqu'à l'église Saint-Léger. Dans ce quartier, proche du château des Valois, le long de ruelles pavées, s'alignent des maisons et hôtels particuliers du XVe au XVIIIe siècle avec des sculptures de salamandre (symbole de François Ier), des gargouilles, des façades richement décorées et des maisons à colombage.
Parmi les monuments historiques de Cognac, le dolmen de Séchebec, le château des Valois, siège d'une maison de négoce de cognac, l'église Saint-Léger, le Couvent des Récollets, le Prieuré Saint-Léger de Cognac.
L'église Saint-Martin, le lavoir et les restes du cimetière mérovingien
Les logis et les châteaux sont nombreux à Cognac : Chatenay sur un site antique qui après avoir été métairie du château de cognac est devenu château au XVIIIe siècle très modifié depuis.
Le marché couvert a été construit vers 1858.
Patrimoine industriel
- Les maisons de cognac organisent des visites de leurs installations ; principalement : Hennessy sur les quais, Martell, Otard (ancien Château) et, Camus et Rémy-Martin.
- La verrerie Saint-Gobain et des tonnelleries se visitent également.
- Les distilleries font des journées "portes ouvertes"
Patrimoine environnemental
- Le parc François Ier, entre les bords de Charente et la ville, une forêt classée et une base plein air de loisirs.
- Le jardin public de Cognac, jardin anglais dessiné par le paysagiste Édouard André
- Le bois du Portail, situé en face du Parc François Ier sur l'autre rive de la Charente, c'est un bois moins connus mais qui était historiquement plus important que le Parc. Il est de nouveau remis en valeur depuis quelques années.
- Le fleuve Charente, ses berges et ses iles, qu'il est aussi possible de découvrir en canoé, pédalo ou en croisière sur la gabarre la "Dame-Jeanne".
- Les chemins de randonnée, en particulier le GR 4 qui va de Royan à Grasse.
Précédé par
Cherves-RichemontSentier GR4
Suivi par[27]
Saint-BriceActivités
- croisières sur la gabare la « Dame Jeanne »
- croisières en louant une pénichette
- Nombreux parcours de canoë à partir de la base plein air, & à partir de la place du solençon, quartier Saint Jacques.
- randonnées pédestres sentiers de randonnées (15 circuits de 2 à 18 km)
- randonnées automobiles circuits les étapes du cognac
Équipements et services
Transports urbains
Réseau Transcom Salamandre géré par Transdev, service de bus de la communauté de communes.
Enseignement
Cognac compte huit écoles maternelles, six écoles primaires[28], trois collèges publics (Claude Boucher, Félix Gaillard et Elysée Mousnier)[29], deux lycées publics (Jean Monnet et lycée professionnel Louis Delage)[30], deux écoles privées, un lycée privé (Beaulieu) et un collège privé (Saint-Joseph), ainsi que plusieurs établissements de formation professionnelle et de formation continue, et un réseau d’aide spécialisé pour les enfants en difficulté.
Le collège Élysée Mousnier a ouvert ses portes le 3 janvier 1871. Créé à l'origine comme « collège spécial », il est transformé en lycée de garçons ultérieurement. Il s'ouvre timidement à la mixité par la suite, accueillant quelques filles en terminale scientifique. Il devient CES peu après la construction du lycée Monnet, et est rénové en HQE en 2007.
Sports
Les équipements sont nombreux, image des très nombreux sports pratiqués ce qui a valu à Cognac un titre de ville la plus sportive de France. Ces équipements sont de deux types, les uns communaux et les autres intercommunaux.
- Communauté de Communes
- La base Plein-air en bordure de Charente propose en plus des jeux et aires de beach-volley, foot, fronton, des locations de canoés et de pédalos.
- Le Cognac Yacht Rowing Club club d'aviron sur les bords de la Charente
- Le complexe sportif des Vauzelles qui abrite la gymnastique, le handball (ALJO) et le Cognac Basket Ball
- La piscine couverte et d'été, dont la rénovation est prévue
- Commune de Cognac
- Les stades qui abritent le Rugby et le Football
- La salle Lucquiaud dédiée à l'escrime et au judo
- L'athlétisme
- Le tennis de table
- Aïkido, karaté, boxe, catch
- La patinoire municipale d'hiver, d'octobre à mars, et l'Association cognaçaise des sports de glisse (ACSG) club de patinage et hockey
- Le cyclisme
- Les randonneurs du cognaçais
- Le Canoë-kayak ; propose une école de pagaie, entraînements et location sur les bords de Charente (quartier Saint Jacques).
- Pétanque, musculation, haltérophilie.. et beaucoup d'autres puisque Cognac abrite plus de 60 clubs sportifs dont certains sont sur d'autres communes de la communauté de communes comme le club hippique qui est sur Cherves-Richemont [31]
Santé
La clinique s'est délocalisée du centre du vieux Cognac vers Châteaubernard et la construction d'un nouvel hôpital près de la clinique dans le cadre d'un pôle hospitalier est en cours depuis 2007 et a été stoppée fin 2008 (découverte de cavités sur le chantier). Le 14 février 2009, une mobilisation citoyenne s'est déroulée à Cognac pour exiger la reprise des travaux (env. 3 000 personnes). Le chantier a repris et les travaux du nouvel Hôpital public devrait s'achever en 2012.
En 2001, le Conseil d'Administration de l'hôpital, présidé par le Maire de Cognac, a voté la délégation à la clinique du service public hospitalier de chirurgie.
Il existe plusieurs maisons de retraites.
Sont présents médecins généralistes et spécialistes, dentistes, kinésithérapeutes, infirmières et pharmacies.
Medias
- Radio Mixx fm
- Presse écrite La Charente libre et Sud Ouest
Annexes
Un timbre postal, d'une valeur de 0,50 franc, représentant la ville a été émis le 9 octobre 1961[32].
Personnalités liées à la commune
- François Ier, né François d'Angoulême est né en 1494 dans le château de la ville. Il fut roi de France de 1515 à 1547. La place principale du centre ville porte son nom. Une statue représentant le roi à cheval dominant ses ennemis se trouve au centre de cette place.
- Louis Prévôt de Sansac, né en 1496, grand fauconnier de France
- Marguerite d'Angoulême, femme de lettres, sœur de François Ier
- Paul-Émile Lecoq de Boisbaudran, né à Cognac en 1838, il découvrit le gallium en 1875, il isola le samarium en 1878.
- Jean Monnet, né à Cognac en 1888, un des pères de l’Europe.
- Louis Delage, constructeur automobile né à Cognac en 1874.
- Claude Boucher maître verrier à Cognac ouvre la voie à l'industrialisation de la fabrication des bouteilles en verre en inventant la machine à souffler le verre à l'air comprimé à la place du soufflage à la bouche vers 1880. Une de ses premières machines est visible dans un musée de la ville. Le collège situé dans la quartier de Crouin porte son nom.
- Gérald Dahan, humoriste né à Cognac.
- François Besse, né le 25 juillet 1944, truand français, dit le roi de l’évasion
- Eric Laugérias, né le 5 mai 1963, acteur et scénariste
- Gérald Merceron, né le 25 février 1975, joueur international de rugby
- François Sagat, né en 1979, acteur pornographique
Jumelages
La ville de Cognac est jumelée avec quatre villes.
Notes et références
Notes
- Boutiers-Saint-Trojan, Châteaubernard, Javrezac, Merpins et Saint-Brice Selon la délimitation définie par l'INSEE en 2010 - qui demeure inchangée par rapport à celle de 1999 -, outre la ville-centre, les cinq autre communes urbaines sont par ordre alphabétique
- Par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements que les populations correspondant aux années 2006, 2011, 2016, etc ainsi que la dernière population légale publiée par l’INSEE. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales connues.
Références
- Populations légales 2008 de la commune : Cognac (Charente) sur le site de l'Insee
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, 2010, 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3) [présentation en ligne], p. 187
- (fr) Climatologie mensuelle à Cognac sur infoclimat.fr. Consulté le 22 octobre 2009
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », 1993, 253 p. (ISBN 2-87754-025-1)
- la Haute-Sarrasine sur wikisource
- ISBN 2-85139-100-3, ISBN 2-7082-2875-7, p. 229 Suzanne Citron, Le mythe national : l’histoire de France en question, Paris : coédition Les Éditions ouvrières/Édition et documentation internationale, 1991.
- Pierre Miquel, Les Guerres de religion, Club France Loisirs, 1980 (ISBN 978-2-7242-0785-9), p 258
- ISBN 978-2-07-035971-4, p. 219-220 Jean Nicolas, La Rébellion française : mouvements populaires et conscience sociale, 1661-1789, Paris : Gallimard, 2008. Collection Folio,
- ISBN 2.84618.496.8) Histoire de Cognac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (
- Histoire de Cognac, Jarnac et Segonzac, Abbé Cousin,1882, réédition 2007, ISBN2.84618.496.8
- Musée des arts du cognac
- Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, 5e série, tome VIII (2002), à Poitiers. ISBN 2-9519441-0-1, p 374-376 Pascal Pierre, « Liste des maires de Cognac des origines à 1791 », in Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (XIIe-XVIIIe siècles) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la
- Site de la préfecture de Charente, consulté le 8 mai 2008
- David Briand, « La lune de miel », dans Sud Ouest, 23 mars 2009 [texte intégral (page consultée le 25 mars 2009)]
- Yves Jean, « Poitou-Charentes », Encyclopedia Universalis en ligne, consultée le 3 juillet 2010
- Hélène FM, publié le 25 février 2010, consulté le 3 juillet 2010
- [1], publié le 24/01, modifié le 27/03, consulté le 3 juillet 2010 Noemi concept,
- Démographie de la région Poitou-Charentes à la section Liste des Unités urbaines et Liste des principales aires urbaines. Se reporter à l'article détaillé
- Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur site de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 15 février 2011
- Évolution et structure de la population (de 1968 à 2007) sur Insee. Consulté le 15 février 2011
- Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur Insee. Consulté le 15 février 2011
- Evolution et structure de la population à Cognac en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 28 juillet 2010
- Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 sur le site de l'Insee. Consulté le 28 juillet 2010
- ISBN 2-84618-496-8) Histoire de Cognac, abbé Cousin,1882, réédition 2007, (
- Géoportail le 8 janvier 2011. Tracé du GR 4 et limites de communes consultés sur
- Annuaire des écoles ». Consulté le 2 avril 2011 Site de l'inspection académique de la Charente, «
- Collèges ». Consulté le 2 avril 2011 Site de l'inspection académique de la Charente, «
- [=16&public=1&prive=2&feuilleCSS=firefox Annuaire des lycées de la Charente] », 2011. Consulté le 2 avril 2011 Ministère de l'éducation nationale, «
- Cognac - SPORTS
- Le timbre
Voir aussi
Articles connexes
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- Culture et loisirs
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Liens externes
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