- Tourisme en pays de Savoie
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Le tourisme en pays de Savoie est l'une des principales activités du territoire savoyard, englobant les départements de la Savoie et de la Haute-Savoie. Apparu dès le XVIIIe siècle, il s'est développé autour de l'attrait pour la montagne et des paysages, voire des sources. Aujourd'hui, le tourisme en Savoie se décline principalement en tourisme hivernal, avec 60% du tourisme hexagonal dans la centaine de stations de sport d'hiver, mais aussi le reste de l'année dans les différentes vallées, notamment aux abords aux des lacs (Annecy ; Bourget ; Léman ; Aiguebelette), les stations thermales et les sports de montagne.
Sommaire
Histoire du tourisme en Savoie
Naissance du tourisme
La Savoie, à partir du XVIIIe siècle, devient une destination majeure du Grand Tour des aristocrates Anglais. En 1741, William Windham (1697-1761) et Richard Pococke (1704-1765) découvrent les glaciaires de Chamouni[1]. Leurs récits parcourent les salons londoniens et parisiens. La vallée de l’Arve et surtout le site de Chamonix deviennent la destination phare de ce tourisme naissant. Il faut attendre 1786, pour que le guide Jacques Balmat et sa cordée atteigne le mont Blanc[2], dès lors Chamonix devient la capitale mondiale de l’alpinisme.
Hormis ce passage au cœur même des Alpes, le tourisme reste limité au fond de vallées et principalement aux villes lacustres autour des lacs du Léman (Genève, Thonon-les-Bains, Évian-les-Bains), du Bourget (Aix-les-Bains) et d’Annecy. Avec le temps, les touristes s'approchent des sommets. Cet attrait pour la montagne permet le développement de bourgades comme Chamonix, Brides, Salins ou encore Pralognan. La cité thermale d'Aix-les-Bains accueille, au XVIIIe siècle, quelque dix-huit hôtels ou pensions et Chamonix moins d'une dizaine[3]. Ces différentes stations de plaines ou de fond de vallée accueillent en 1895 environ 100 000 clients[4]. Avec l'installation du chemin de fer du Montenvers en 1908, ou du tramway du Mont-Blanc en 1912, on cherche à attirer d'autres touristes que des sportifs[5].
Il faut attendre la fin des années cinquante pour que le tourisme de masse pénètre les vallées intra-alpines savoyardes, jusqu’à ses sommets.
Le thermalisme
Le thermalisme savoyard est l’héritier de la romanisation. Quelques cités ont su réactiver à partir du XVIIIe siècle leur potentiel thermal comme Aix-les-Bains près du Lac du Bourget (dont le toponyme provient du latin Aquae Gratianae, ce qui signifie « les eaux de l'empereur Gratien »), ou encore quelques sites en Tarentaise (La Léchère, Brides-les-Bains).
Le phénomène de cure bénéficie de la médicalisation de la fin du XXe siècle. Les villes d’eaux offrent un panel d’activités alliant repos et découverte du milieu montagnard à l’élite européenne. La fréquentation des thermes d'Aix-les-Bains s'accroît à partir de 1876, avec la connexion ferroviaire avec la France (1858) et surtout l'ouverture du Tunnel ferroviaire du Fréjus en 1871 qui la relie avec l'Italie[6]. On estime à 100 000 touristes en 1895 profitant des eaux[7]. Dans un premier temps, les villes d’eaux des Préalpes bénéficient des premiers séjours.
La promotion des différents sites tient surtout à la présence de l’aristocratie européenne. Aix-les-Bains reçoit la reine Victoria (en 1886-8e et 1890), l’empereur Pedro II d’Alcantara du Brésil (1888), Georges Ier de Grèce (de 1889 à 1912), Wihelmine des Pays-Bas (1896) ou Léopold de Belgique[8]. Évian-les-Bains reçoit l’autorisation de prendre l’appellation « les Bains » en 1865[9], officialisant une pratique apparue quelques décennies plus tôt en lien avec le développement des transports (. Thonon-les-Bains profite, elle aussi, de ce mouvement, de même que la petite station de Challes-les-Eaux en périphérie de Chambéry[7]. Puis les curistes deviennent moins réticents en s’aventurant dans les villes plus à l’intérieur des Alpes, se rapprochant de la montagne. La première à bénéficier de ces touristes est Saint-Gervais-les-Bains sur la route menant à Chamonix et du mont Blanc. Cette dernière se développe depuis 1806 avec la découverte de sources par le notaire Joseph-Marie Gontard[10]. La Vallée de la Tarentaise possède, elle aussi, plusieurs sites à La Léchère (premier établissement ouvert en 1897), Salins-les-Thermes, Brides-les-Bains (à partir de 1819).
Rapidement ces villes s’équipent de théâtres, de casinos afin d’attirer à eux l’élite européenne. Ainsi celui d’Évian-les-Bains, construit par l’architecte Ernest Hébrard, fait dire à J.-M. Marquis qu’il ressemble à une « ahurissante réplique de Sainte-Sophie de Constantinople… le somptueux volume dilaté de sa coupole avec ses nervures soulignées de guirlandes de feuillages évoque les fastes d’une Byzance acclimatée aux fraîcheurs lémaniques »[7].
Les sports d'hiver
Le tourisme alpin dérive de l’élan pour l’alpinisme débuté à Chamonix à la fin du XVIIIe siècle. Quelques hôtels-chalets sont construits (col de la Vanoise, inauguré par Félix Faure en 1897[11]), de même que quelques refuges (l'observatoire Vallot associé à un refuge, 1892[12],[13], refuge des Grands Mulets, 1897). Le véritable essor de ce tourisme d’hiver prend naissance avec le ski. Il faut rappeler que la présence de pentes et de neiges ne garantissent pas le ski, comme tout phénomène social, le ski est né de la volonté de quelques acteurs extérieurs ou locaux.
La venue des tourismes est désormais garantie par le développement du chemin de fer et l’activité des stations thermales. Le développement du ski à la fin des années 1880 et la création des premières pistes de ski dans les Alpes (Saint-Moritz en Suisse) permettent le développement des premières stations de ski à partir de villages notamment Chamonix, Megève (station lancée par une journaliste sportive et la Baronne Noémie de Rothschild en 1921) ou encore Pralognan-la-Vanoise.
Les premiers Jeux olympiques d'hiver ont lieu à Chamonix en 1924, toutefois pas encore de ski alpin. Mais les premières stations hivernales émergent déjà.
Les stations savoyardes se développent en quatre temps qui permettent de distinguer différents types de stations[14], selon les acteurs engagés : entrepreneurs locaux, Etat ou promoteurs privés :
- Les stations dites de « premières générations », c’est-à-dire des stations touristiques développées autour d’un village préexistant, à une attitude de 900-1200m, apparaissent en Savoie : Le Revard (proximité de Chambéry et Aix-les-Bains), Morzine (Chablais), Megève (Val d'Arly), en Tarentaise, Val-d'Isère, Pralognan-la-Vanoise, Saint-Bon, Peisey-Nancroix, Les Avanchers ou encore Bozel, un peu plus tard Méribel (1938). Il s'agit donc de villages de villégiature hivernale généralement accueillant des touristes l'été. Il faut tout de fois attendre le deuxième temps de développement pour voir ces villages proposer des pratiques de sport d’hiver. Le souci de ces premières stations est un enneigement aléatoire dû à l’altitude peu élevée, ainsi que des pistes traversant des bois. Par ailleurs, les principaux clients de ces stations, l'aristocratie européenne, sont fortement touchés par la Première Guerre mondiale. La création des congés payés en 1936 permet un nouvel essor.
- Les collectivités locales s’intéressent à ce nouvel essor d’un tourisme hivernal. Les autorités régionales lancent des programmes de stations de ski créées ex-nihilo, à une hauteur plus élevée, au niveau des alpages (1600-1800m). On les appelle stations de deuxième génération. En 1945, le Conseil général de Savoie lance le projet de Courchevel 1800 sur la commune de Saint-Bon-Tarentaise. Il reprend un rapport lancé par le Gouvernement de Vichy en 1943[15]. La route départementale amène au chalet départemental auquel s’agrègent des hôtels et des chalets, sans véritable plan d’urbanisme. Courchevel est le seul exemple en Savoie. Chamrousse et L'Alpe d'Huez, dans le département de l'Isère, en sont d'autres exemples.
- Dans les années soixante, l’afflux de touristes pousse les promoteurs à proposer aux communes alpines des projets de stations dites « intégrées » ou stations de troisième génération. Ces projets trouvent leur origine dans une volonté gouvernementale, parallèlement au développement des stations balnéaires de la côte languedocienne, dans un cadre de déclaration d’utilité publique offrant des facilités aux promoteurs privés et la possibilité d’expropriation (Plan neige). Le promoteur décide de l’ensemble des aménagements urbanistiques, commerciaux, techniques (remontées mécaniques…). Ces stations sont conçues à partir d’un point de chute (le parking), supérieur à 1800 m, à proximité desquels se trouvent les immeubles en front de neige avec tout le confort et des services à proximité, généralement dans un site en forme d’amphithéâtre. Parmi les principaux exemples en Savoie : La Plagne (1961) sur la commune de Mâcot confiée à l’architecte-urbaniste Michel Bezançon (10 stations, 50 000 lits, 105 remontées mécaniques, 225 km de piste sur 10 000ha, entre 1350 et 3000 m) ; Tignes (créée en 1956, 1 station, 17 000 lits, 100 remontées mécaniques) ; Les Arcs (créées en 1968) ; Les Ménuires (créées en 1966) ; Flaine (créée en 1968) ou encore Avoriaz (créée en 1966), sous l’impulsion du Docteur Jean Vuarnet… Ces stations sont souvent accusées d’être des « usines à ski », non-respectueuses de l’environnement naturel.
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Plagne Bellecôte, La Plagne.
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Immeuble Brelin, Les Ménuires.
- À partir des années 1975 et plus tard, des stations dites de 4e génération ou stations-villages ont émergé. Elles correspondent à des villages de style néo-traditionnel créées ex-nihilo ou autour d’un village, plus soucieuses des usages traditionnels et intégrées à l’espace environnant et surtout à dimension humaine. Parmi les exemples savoyards, citons Montchavin (1972) Valmorel (1975) ; Les Karellis ou encore Bonneval-sur-Arc.
Les stations de ski savoyardes ont bénéficié des effets des derniers Jeux olympiques d'hiver ayant eu lieu à Albertville en 1992, faisant des Alpes savoyardes, depuis cette date, le lieu où l’on trouve les plus grands domaines skiables au monde.
Promotion
La révolution du tourisme en Pays de Savoie, apportée par le développement du tourisme d’hiver passe par l’ouverture de la Maison de Savoie à Paris, mise en place par le Comité Régional Savoie-Mont-Blanc, siégeant à Aix-les-Bains. Les locaux sont inaugurés, avenue des Champs-Élysées, le 12 mai 1934[16].
Aujourd’hui, cette promotion est organisée au sein de l’Assemblée des Pays de Savoie, à laquelle participe l’ensemble des structures touristiques départementales.
La promotion du patrimoine local est organisée aussi autour de l’Association des Guides du Patrimoine des Pays de Savoie qui découpe le territoire en 6 ensembles touristiques reprenant le découpage provincial : au Nord, en Haute-Savoie, le Chablais français avec le Léman et le massif ; le Faucigny avec les vallées de l’Arve (Mont-Blanc) et du Giffre ; le Genevois ; et au Sud, en Savoie, la Savoie Propre avec l’Avant-Pays savoyard, le lac du Bourget ou la Combe de Savoie ; et les pays d’Art et d’Histoire de la Maurienne et de la Tarentaise.
Économie
La capacité d'accueil de la Savoie en fait l'une des régions les plus touristiques de France. Cette partie des Alpes offre en effet une capacité brute d'accueil équivalente à 1,2 million de lits (comprenant les résidences secondaires). Ceux-ci se répartissent ainsi : plus de 300 000 en Tarentaise ; 200 000 pour le pays du Mont-Blanc ; plus de 100 000 en Haut-Chablais et en Maurienne, 70 000 pour le Giffre et les rives du Léman[17].
Ci-dessous, deux tableaux permettant de comparer l'évolution du nombre de nuitées en Savoie au cours des deux saisons touristiques. Par comparaison, Paris réalise environ 34,5 millions de nuitées par an et la Région Île-de-France 62,6 millions (Source : CCIP).
Évolution des nuitées en hiver en Savoie,
depuis 1994 (exprimées en milliers)Hiver 94-95 Hiver 95-96 Hiver 96-97 Hiver 97-98 Hiver 98-99 Hiver 99-00 Hiver 00-01 Hiver 01-02 Hiver 02-03 Hiver 03-04 38,8 36 36,5 39 37,6 38 39,5 38,2 39,5 39,3 Hiver 04-05 Hiver 05-06 Hiver 06-07 Hiver 07-08 Hiver 08-09 Hiver 09-10 Hiver 10-11 Hiver 11-12 Hiver 12-13 Hiver 13-14 38,5 38,3 37,5 - - - - - - - Source : Observatoire du Tourisme Savoie-Mont-Blanc[18]. Évolution des nuitées en été en Savoie,
depuis 1998 (exprimées en milliers)Été 98 Été 99 Été 00 Été 01 Été 02 Été 03 Été 04 Été 05 Été 06 Été 07 24,7 24,3 24,9 25 24,7 25,5 24,6 23,5 23,4 - Source : Observatoire du Tourisme Savoie-Mont-Blanc [18].
Les chiffres présentés proviennent de l'Observatoire du Tourisme Savoie-Mont-Blanc (organe de l'Assemblée des pays de Savoie). Si les fréquentations touristiques estivales comme hivernales sont relativement équivalentes à chaque saison, les ralentissements ou les reculs sont à mettre en relation avec la météo. Par ailleurs, ces tableaux ne l'indiquent pas, mais pour la période estivale la fréquentation est plus importante en Haute-Savoie (région du Lac d'Annecy et le Massif du Mont-Blanc) qu'en Savoie, de l'ordre de 70% contre 30%. Pour la saison hivernale, le rapport s'inverse notamment avec la vallée de la Tarentaise et ses grands domaines skiables des Trois Vallées, de La Plagne, des Arcs ou encore de l'Espace Killy (Tignes : 1,5M de nuitées).Selon le site du Conseil général de la Savoie, les revenus du tourisme généreraient environ 4,5 milliard d’euros, soit 50% de la richesse du département (2001)[19]. Reposant principalement sur le développement du tourisme hivernal, cette activité emploie 28% des salariés du département. En Haute-Savoie, ce secteur emploie 12% des salariés du fait d'une diversité économique plus importante par rapport à sa voisine.
Structures d'accueil
Hébergement marchand homologué,
en 2008 en SavoieSavoie Haute-Savoie Hôtels 30 644 31 496 Campings 21 021 34 848 Hébergements Collectifs 37 435 32 858 Meublés classés 70 461 97 600 Chambres d'Hôtes Gîte de France 684 935 Chambres d'Hôtes Clévacances 44 156 Résidences de Tourisme 44 595 15 719 Source : Observatoire du Tourisme Rhône Alpes[20]. Lieux touristiques
Les Pays de Savoie possèdent de nombreux lieux touristiques dont quelques-uns (il s'agit d'une liste non-exhaustive) vous sont proposés ci-dessous :
Sites remarquables
Le patrimoine naturel repose principalement sur l’attrait des Alpes, les paysages montagnards, dont le mont Blanc, la faune et la flore, les lacs (lac d'Annecy, lac Léman, lac du Bourget).
Dès les années 1960, la Savoie et l'État français ont sauvegardé son patrimoine en créant le Parc national de la Vanoise. La mise en place des régions a permis aussi de créer des parcs naturels régionaux (Parc naturel régional du Massif des Bauges, Parc naturel régional de la Chartreuse).
Villes et stations touristiques
Villes et Pays d'Art et d'Histoire
Trois villes et deux provinces savoyardes ont reçu le label Villes et Pays d'Art et d'Histoire. La Savoie reste la mieux lotie avec les villes d'Albertville-Conflans (2003)[21] et de Chambéry (1985)[22], ainsi que le Pays des Hautes vallées de Savoie (1991)[23], regroupant les hautes vallées de Maurienne et de Tarentaise. En Haute-Savoie, seule Annecy[24] et le Val d'Abondance[25] avec l'appellation Pays de la Vallée d'Abondance, dans la province du Chablais ont reçu ce label.
Plus beaux villages de France
La région compte trois villages classés parmi les Plus Beaux Villages de France : avec Bonneval-sur-Arc en Savoie et Sixt-Fer-à-Cheval et Yvoire en Haute-Savoie.
Stations thermales
La région possède huit villes thermales avec Aix-les-Bains/Aix Marlioz ; Challes-les-Eaux ; Brides-les-Bains ; La Léchère ; Salins-les-Thermes en Savoie et Évian-les-Bains ; Thonon-les-Bains ; Saint-Gervais-les-Bains en Haute-Savoie
Stations de sports d'hiver
La Savoie est le berceau du ski en France. Elle possède sur son territoire les plus grands domaines d'Europe et du monde. Ci-dessous, une liste des 105 stations de sports d'hiver savoyardes classées par massifs :
- Massif des Bauges : Savoie Grand Revard (Le Revard, La Féclaz, Saint-François-de-Sales) ; Les Aillons-Margériaz (Aillon-le-Jeune) ; La Sambuy-Seythenex et Le Semnoz
- Beaufortain – Val d'Arly : Arêches-Beaufort ; Espace Diamant (Les Saisies-Hauteluce, Crest Voland-Cohennoz, Flumet-Saint-Nicolas-la-Chapelle, Notre-Dame-de-Bellecombe) ; Héry-sur-Ugine et La Giettaz-en-Aravis
- Massif des Bornes : Brizon-Solaison (Brizon, Plateau de Solaison) ; Montmin-Col de la Forclaz ; Plateau des Glières-Thorens-Glières ; Romme-sur-Cluses et le Mont-Saxonnex
- Chablais français : Portes du Soleil (Avoriaz, Châtel, Montriond, La Chapelle-d'Abondance, Saint-Jean-d'Aulps, Les Gets, Abondance, Morzine + 6 stations suisses) ; Les Habères-Vallée Verte (Habère-Poche) et Thollon-les-Mémises-Lullin ; Grand Massif (Sixt, Morillon, Les Carroz d'Arâches, Flaine) ; Passy Plaine-Joux
- Chartreuse : La Vallée des Entremonts (Saint-Pierre-d'Entremont)
- Maurienne : Val Gelon-La Rochette ; Saint-François-Longchamp ; Les Sybelles (Le Corbier, Fontcouverte-la-Toussuire, Saint-Sorlin-d'Arves et les cols du Glandon et de la Croix de fer) ; Les Karellis ; Valloire, Valmeinier ; Aussois ; La Norma (Villarodin-Bourget, Avrieux) ; Bonneval-sur-Arc, Bessans ; Val Cenis (Lanslebourg-Mont-Cenis, Lanslevillard) ; Beaune-le-Thyl (Saint-Jean-de-Maurienne) et Valfréjus (Modane)
- Massif du Mont-Blanc : Argentière ; Chamonix ; Les Houches ; Séez ; Cordon ; Praz-sur-Arly ; Vallorcine et Évasion Mont-Blanc (Combloux, Megève, Saint-Gervais, Saint-Nicolas-de-Véroce, Les Contamines-Montjoie)
- Tarentaise - Vanoise : Les Trois Vallées (Courchevel, Méribel, Val Thorens, Les Menuires, Saint-Martin-de-Belleville, Brides-les-Bains) ; Paradiski (La Plagne, Les Arcs, Peisey-Vallandry, Montchavin, Les Coches, Montalbert, Champagny-en-Vanoise) ; Espace Killy (Tignes, Val d'Isère) ; Pralognan-la-Vanoise ; Peisey-Nancroix ; Sainte-Foy-Tarentaise ; La Rosière (Montvalezan)
Villes et villages fleuris
La Haute-Savoie détient depuis 1992 « Le Trophée National des Départements Fleuris » qui ne concerne que 15 départements en France.
En 2006, 53 communes étaient labellisées (3 Quatre fleurs/Grand prix, 13 Trois fleurs, 17 Deux fleurs) . En Savoie, on en compte 33 (1 grand prix, 2 Quatre fleurs, 5 Trois fleurs, 9 Deux fleurs). Ainsi, 5 communes savoyardes sur 197 communes françaises ont pu obtenir Quatre fleurs et un grand prix (Annecy, Évian-les-Bains, Yvoire, Aix-les-Bains), tandis que le village de Nances (330 habitants) vient d'obtenir sa quatrième fleurs[26].
Casinos
La Savoie possède onze casinos repartis principalement en Haute-Savoie.
Produit brut des Casinos de Savoie (en milliers €) Casinos Communes Groupe 2004-2005 (rang) 2005-2006 (rang) Casino Grand Cercle Aix-les-Bains Casino d'Aix-les-Bains 25,8 (24e) 26,2 (27e) Nouveau Casino Aix-les-Bains - 4,2 (155e) 4 (157e) Impérial Palace Annecy - 16,6 (52e) 17,2 (51e) Casino d'Annemasse Annemasse Groupe Partouche 33,7 (15e) 34,2 (14e) Casino de Brides-les-Bains Brides-les-Bains - 3,2 (166e) 3,2 (170e) Casino de Challes-les-Eaux Challes-les-Eaux - 7,1 (110e) 7,1 (115e) Casino de Chamonix Chamonix-Mont-Blanc Groupe Lucien Barrière 8,9 (90e) 9,4 (90e) Casino d'Évian - Domaine du Royal Club Evian Évian-les-Bains - 29,6 (18e) 28 (20e) Casino de Megève Mont-Blanc Megève Groupe Tahoe 5,8 (130e) 6,7 (121e) Casino de Saint-Gervais-les-Bains Saint-Gervais-les-Bains Groupe Tranchant 4,8 (143e) 5,5 (137 e) Casino de Saint-Julien-en-Genevois Saint-Julien-en-Genevois Groupe Partouche 10,5 (81e) 12,3 (73e) Hotellerie & Restauration
Restaurants 3 étoiles
Deux restaurants savoyards ont obtenu 3 étoiles et un 2 étoiles au Guide Michelin.
- La Ferme de mon père, Marc Veyrat, à Megève (Haute-Savoie) (2001)
- La Maison de Marc Veyrat, à Veyrier-du-Lac (Haute-Savoie) (1995)
Palace
Il existe 15 palaces en Savoie
- Park Hôtel du Casino, à Aix-les-Bains
- Hôtel Impérial Palace, inauguré en 1913 avec son casino, à Annecy
- La Maison de Marc Veyrat, à Veyrier-du-Lac
- Hameau Albert 1er, à Chamonix-Mont-Blanc
- Hôtel Mont-Blanc, à Chamonix-Mont-Blanc
- Les Airelles, à Courchevel
- Hôtel Annapurna, à Courchevel
- Hôtel Bellecôtes, à Courchevel
- Le Byblos, à Courchevel
- Hôtel Carlina, à Courchevel
- Hôtel Kilimandjaro, à Courchevel
- Hôtel Lana, à Courchevel
- Hôtel des Neiges, à Courchevel
- Evian Royal Resort, avec le Evian Royal Palace et l'Evian Royal Ermitage, construit en 1907, à Évian-les-Bains
Résidences secondaires
Communes de Savoie ayant plus de 10% de résidences secondairesAnnée Ville Population SDC Nombre de logements Résidences secondaires % résidences secondaires 2004 Villarembert (Le Corbier) 265 2 260 2 143 94,82% 2005 Macot-la-Plagne 1 731 7 283 6 481 88,99% 2004 Fontcouverte-la-Toussuire 532 1 922 1 695 88,19% 2006 Les Allues (Méribel) 1 893 7 744 6 829 88,18% 2005 Saint-Sorlin-d'Arves 333 1 225 1 078 88,00% 2005 Hauteluce (Col des Saisies) 875 3 326 2 914 87,61% 2004 Saint-Martin-de-Belleville 3 040 12 693 11 110 87,53% 1999 Saint-François-Longchamp 935 2 588 2 140 87,03% 2005 Val-d'Isère 1 732 6 495 5 616 86,47% 2004 Valmeinier 509 1 605 1 385 86,29% 2007 Les Avanchers-Valmorel 767 2 929 2 520 86,04% 2006 Cohennoz 156 575 491 85,39% 2005 Montvalezan 627 2 010 1 716 85,37% 1999 Lanslevillard 431 1 352 1 151 85,13% 2005 Saint-Bon-Tarentaise (Courchevel) 1 850 6 282 5 343 85,05% 1999 Montgellafrey 77 499 424 84,97% 1999 Notre-Dame-de-Bellecombe 510 1 507 1 262 83,74% 2004 Saint-Jean-d'Arves 217 781 652 83,48% 2004 Albiez-Montrond 357 972 724 83,03% 2007 Bellentre 938 2 592 2 150 82,95% 1999 Tignes 2 220 5 998 4 874 81,26% 1999 La Perrière 353 838 672 80,19% 2007 Crest-Voland 401 957 764 79,83% 2006 Bonneval-sur-Arc 239 523 413 78,97% 2007 Villarodin-Bourget 475 1 422 1 169 82,21% 2007 Saint-Colomban-des-Villards 182 487 387 79,47% 2007 Landry 718 1 351 1 041 77,05% 1999 Aillon-le-Jeune 337 738 568 76,96% 1999 Peisey-Nancroix 614 1 133 869 76,70% 1999 Pralognan-la-Vanoise 756 1 393 1 066 76,53% 1999 Bessans 311 629 479 76,15% 2007 Brides-les-Bains 575 1 264 960 75,95% 1999 Montaimont 136 329 249 75,68% 1999 Champagny-en-Vanoise 585 1 022 755 73,87% 1999 Valloire 1 243 2 521 1 835 72,79% 2006 Aussois 668 1 143 808 70,69% 2007 Bourg-Saint-Maurice (Les Arcs) 7 681 11 123 7 854 70,61% 1999 La Giettaz 668 1 143 808 68,56% 2005 Sainte-Foy-Tarentaise 815 1 194 770 64,49% 1999 Bramans 362 478 305 63,81% 2004 Villard-sur-Doron 683 875 520 59,43% 1999 Termignon 426 459 268 58,39% 2006 Beaufort-sur-Doron 2 196 2 436 1 416 58,13% 1999 Les Déserts (La Féclaz) 683 875 520 57,86% 2004 Lanslebourg-Mont-Cenis 604 655 375 57,25% 2007 Flumet 877 903 516 57,14% 2004 Saint-Nicolas-la-Chapelle 402 504 287 56,94% 2006 Aime 3 369 3 475 1 891 54,42% 2005 Saint-Jean-de-Belleville 475 465 251 53,98% 2007 Saint-Pierre-d'Entremont 422 385 204 52,93% 2007 Granier 369 238 175 51,78% 2007 Jarrier 464 486 250 51,44% 2005 Montricher-Albanne (les Karellis) 706 518 266 51,35% 1999 La Léchère 1 774 1 744 861 49,37% 1999 Saint-André 452 421 191 45,37% 2007 Entremont-le-Vieux 582 501 221 44,11% 2006 Modane 3 739 3 437 1 453 42,28% 2005 La Côte-d'Aime 825 568 240 42,25% 2006 Queige 835 590 208 35,25% 2005 Montagny 579 469 163 34,75% 2007 Bozel 1 992 1 420 475 33,45% 2005 Saint-Martin-de-la-Porte 685 436 133 30,50% 2006 Montcel 830 467 142 30,41% 2006 Pugny-Chatenod 833 461 140 30,37% 2007 Saint-Etienne-de-Cuines 1 194 753 177 23,51% 2007 Chindrieux 1 198 745 156 20,94% 2006 Séez 2 251 1 296 261 20,14% 1999 Saint-Michel-de-Maurienne 2 714 1 601 294 18,36% 2005 Novalaise 1 612 867 159 18,34% 2005/1999 Aix-les-Bains 27 500 16 262 2 692 16,55% 2007 Aigueblanche 2 963 1 670 247 14,79% 2005 La Bâthie 2 075 1 052 152 14,45% 2005 Brison-Saint-Innocent 2 094 1 025 134 13,07% 2007 Tresserve 3 161 1 584 180 11,36% Communes hautes-savoyardes ayant plus de 10% de résidences secondairesAnnée Ville Population SDC Nombre de logements Résidences secondaires % résidences secondaires 2006 Châtel 1 254 4 297 3 739 87,01% 1999 Morillon 498 1 765 1 521 86,18% 2004 Les Contamines-Montjoie 1 125 3 078 2 568 83,43% 1999 Morzine 2 948 8 190 6 793 82,94% 2006 Manigod 924 2 231 1 832 82,12% 2004 Les Gets 1 332 3 336 2 737 82,04% 2005 Arâches-la-Frasse 1 806 5 724 4 674 81,66% 2007 Megève 3 878 9 609 7 683 79,96% 1999 La Clusaz 2 023 4 416 3 524 79,80% 2004 Thollon-les-Mémises 691 1 429 1 131 79,15% 2006 Le Grand-Bornand 2 202 4 834 3 822 79,06% 2007 Praz-sur-Arly 1 349 2 587 1 968 76,07% 2006 Samoëns 2 332 4 382 3 238 73,89% 2005 Le Biot 424 723 532 73,58% 2006 La Chapelle-d'Abondance 781 1 361 992 72,89% 2004 La Côte-d'Arbroz 223 313 223 71,25% 2005 Demi-Quartier 1 034 1 551 1 094 70,54% 2007/1999 Combloux 2 047 2 742 1 919 69,99% 1999 Saint-Jean-d'Aulps 1 022 1 582 1 107 69,97% 1999 Onnion 786 880 583 66,25% 2007 Chamonix-Mont-Blanc 9 086 13 390 8 846 66,06% 1999 Saint-Gervais-les-Bains 5 276 6 873 4 498 65,44% 2006 Les Houches 3 037 3 574 2 287 63,99% 2006 Montriond 819 968 604 62,40% 2007 Bernex 1 351 1 331 813 61,08% 2006 Verchaix 636 697 422 60,55% 2007 Abondance 1 351 1 527 909 59,53% 1999 Vallorcine 390 439 258 58,77% 2004 Cordon 983 1 070 624 58,32% 2006 Taninges 3 394 2 985 1 569 52,56% 2005 Saint-Jean-de-Sixt 1 212 1 129 586 51,90% 1999 Bogève 830 729 378 51,85% 2005 Vailly 633 633 327 51,66% 2004 Sixt-Fer-à-Cheval 793 752 379 50,40% 2007 Bellevaux 1 344 1 266 630 49,76% 2007 Habère-Poche 1 193 1 092 540 49,45% 1999 Brizon 449 404 197 48,76% 1999 Le Petit-Bornand-les-Glières 870 710 340 47,89% 2007 Brizon 449 450 205 45,56% 2004 Essert-Romand 383 303 135 44,55% 2004 Entremont 533 402 179 44,53% 1999 Le Reposoir 375 251 110 43,82% 2006 Nernier 420 352 152 43,18% 1999 Vacheresse 729 456 196 42,98% 1999 Servoz 818 619 264 42,65% 2005 Mont-Saxonnex 1 477 1 228 519 42,26% 2005 Mieussy 1 983 1 441 596 41,36% 2005 Talloires 1 469 1 164 470 40,38% 1999 Habère-Lullin 634 421 158 37,53% 2004 Seythenex 536 332 121 36,45% 2006 Les Villards-sur-Thônes 978 692 246 35,55% 2005 Lullin 733 483 167 34,58% 2004 Saint-Gingolph 626 482 153 31,74% 2007 Archamps 1 693 1 062 313 29,47% 1999 Lucinges 1 211 685 198 28,91% 2006 Excenevex 914 547 156 28,52% 1999 Maxilly-sur-Léman 1 020 595 169 28,40% 2006 Duingt 870 480 134 27,92% 2006 Bossey 664 442 123 27,83% 1999 Menthon-Saint-Bernard 1 659 1 030 273 26,50% 2006 Saint-Jean-de-Tholome 857 487 124 25,46% 2005 Évian-les-Bains 7 787 5 279 1 311 24,83% 2004 Sciez 4 782 2 632 630 23,94% 2006 Saint-Paul-en-Chablais 2 027 1 084 252 23,25% 2004 Lugrin 2 132 1 275 292 22,90% 2004 Anthy-sur-Léman 1 857 1 021 220 21,55% 2004 Magland 2 929 1 515 319 21,06% 2007 Chens-sur-Léman 1 708 869 180 20,71% 2007 Veyrier-du-Lac 2 138 1 243 253 20,35% 1999 Thônes 5 795 3 186 623 19,55% 1999 Neuvecelle 2 211 1 189 230 19,34% 2007 Messery 2 025 989 174 17,59% 2004 Sevrier 3 905 2 019 346 17,14% 2006 Publier 5 889 3 103 530 17,08% 1999 Doussard 2 781 1 407 239 16,99% 2004 Saint-Jeoire-en-Faucigny 2 958 1 396 228 16,33% 2006 Viuz-en-Sallaz 3 737 1 952 318 16,29% 2005 Saint-Jorioz 5 638 2 851 442 15,50% 1999 Seyssel 1 793 940 145 15,43% 2005/1999 Sallanches 15 200 7 450 1 111 14,91% 2004 Veigy-Foncenex 2 910 1 462 216 14,77% 2007 Collonges-sous-Salève 3 569 2 143 315 14,70% 2005 Thorens-Glières 2 903 1 271 180 14,16% 1999 Saint-Cergues 2 513 1 189 167 14,05% 2005 Monnetier-Mornex 1 953 942 125 13,27% Sources :
- Site du recensement de l’INSEE, chiffres au 08/03/1999.
- Estimations du recensement intermédiaire de l’INSEE, chiffres au 01/07/2005.
Annexes
Notes et références
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- Marc Boyer, Histoire générale du tourisme du XVIe siècle au XXIe siècle, L'Harmattan, 2005 (ISBN 2-7475-8432-1, 9782747584326), p. 149.
- Louis Comby, Histoire des Savoyards, éd. Nathan, Coll. Dossiers de l’Histoire, 1977 (ISBN 0154-9499), p. 146.
- Roland Edighoffer, Histoire de la Savoie, PUF, coll. Que sais-je ?, 1992, p. 94.
- Louis Comby, Histoire des Savoyards, éd. Nathan, Coll. Dossiers de l’Histoire, 1977 (ISBN 0154-9499), p. 146-147.
- Christian Jamot, Thermalisme et villes thermales en France (Volume 32), Clermont-Ferrand, Presses Université Blaise Pascal, 1988 (ISBN 2-87741-044-7, 9782877410441), p. 381.
- Jean-Pierre Leguay (sous la dir.), t4 – La Savoie de Révolution française à nos jours, XIXe-XXe siècle, Evreux, éd. Ouest France, 4 tomes, 1986 (ISBN 2-85882-536-X), p. 260.
- Thérèse Leguay, Jean-Pierre Leguay, Emmanuel Cerisier, Histoire de la Savoie, Editions Jean-paul Gisserot, 2005 (ISBN 2-87747-804-1, 9-78287747-804-5), p. 107.
- Décret impérial n°13 007 du 18 janvier 1865.
- Dominique Jarrassé, Les Thermes romantiques. Bains et villégiatures en France de 1800 à 1850, Clermont-Ferrand, Presses Université Blaise Pascal, 1992 (ISBN 2-87741-060-9, 9782877410601), p. 154.
- Marc Boyer, Histoire générale du tourisme du XVIe siècle au XXIe siècle, L'Harmattan, 2005 (ISBN 2-7475-8432-1, 9782747584326), p. 240.
- Le refuge Vallot sur le site www.montblanc.to.
- Jean-Paul Richalet, Christian Rathat, Ph Larmignat, Pathologie et altitude, Elsevier Masson, 1991 (ISBN 2-225-82225-5, 9782225822254), p. 4.
- Rémy Knaffou, Les Stations intégrées de sport d'hiver des Alpes françaises : l'aménagement de la montagne à la « française », Masson, 1978 (ISBN 2-225-49412-6, 9782225494123).
- Catherine Dreyfus-Signoles, L'espace touristique, Editions Bréal, 2006 (ISBN 2-84291-907-6, 9782842919078), p. 42.
- Justinien Raymond, La Haute-Savoie sous la IIIe République : histoire économique, sociale et politique, 1875-1940, Atelier national de reproduction des thèses, 1983 (ISBN 2-903528-25-X), p. 422.
- Tourisme en Savoie, …….à propos de la Maison des Jeux Olympiques d’Albertville, proposé en octobre 2007 par l'Association des professeurs d'histoire et de géographie de l'enseignement public de l'Académie de Grenoble.. Compte rendu de la conférence de Pierre Préau,
- Chiffres clés et études sur www.savoie-mont-blanc.com, Savoie Mont Blanc. Consulté le 6 avril 2009.
- « 60 millions d'euros pour un plan tourisme ambitieux » et celui de [www.observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr l'Observatoire des Territoires]. Site du Conseil général de la Savoie,
- Le Bilan de l'Année 2008, Observatoire Régional du Tourisme Rhône-Alpes, MITRA (Mission d'Ingénierie Touristique Rhône-Alpes.
- Albertville sur le site de www.rhone-alpes.culture.gouv.fr.
- Chambéry sur le site de www.rhone-alpes.culture.gouv.fr.
- Hautes vallées de Savoie sur le site de www.rhone-alpes.culture.gouv.fr.
- Communauté d’agglomération d’Annecy sur le site de www.rhone-alpes.culture.gouv.fr.
- Vallée d’Abondance sur le site de www.rhone-alpes.culture.gouv.fr.
- Le site de Villes et Villages Fleuris (section Palmarès).
Articles connexes
- Savoie
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- Tourisme en Haute-Savoie et Tourisme en Savoie
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