- Planétarium
-
Le terme planétarium désigne le dôme présentant une reproduction du ciel avec ses constellations et ses étoiles[1], et, par métonymie le projecteur spécifique permettant de simuler le ciel sur un écran hémisphérique, de même que la salle où fonctionne ce projecteur, ou encore la structure organisée tout autour.
La tendance qui tend à se généraliser actuellement en France, notamment sous l'influence de l'APLF (voir infra), est de désigner par planétarium un lieu de culture scientifique consacré à l'astronomie et pouvant comporter différents systèmes de projection du ciel étoilé.
Généralement un planétarium comporte une salle circulaire surmontée d'un dôme hémisphérique de quelques mètres de diamètre qui en est l'écran. Le projecteur spécifique, encore appelé simulateur, ou parfois aussi planétaire, se trouve au centre de la salle. Il a été inventé au début du XXe siècle par un ingénieur allemand travaillant pour la firme Carl Zeiss. Ces appareils sont conçus pour représenter la voûte étoilée, les constellations, le mouvement des planètes dans le ciel, etc. Des équipements annexes présentent également des images, fixes ou animées, à des fins pédagogiques et culturelles, ou encore des spectacles spécifiques.
La première génération de ces projecteurs (toujours en service) est constituée d'appareils optiques comportant des mécanismes complexes (modèles opto-mécaniques). Les appareils récents sont d'une autre conception : le projecteur optique est remplacé par un calculateur informatique de forte puissance produisant des images numériques que des projecteurs vidéo affichent sur la voûte (modèles numériques).
Sommaire
- 1 Historique
- 2 Notes et références
- 3 Voir aussi
Historique
L'idée de représenter artificiellement le ciel est très ancienne. Il semble que, dès l'Antiquité, on ait forgé ce mot pour désigner une sorte de maquette représentant le Soleil, la Lune et les planètes.
Les premières maquettes, que l'on pourrait désigner par « planétaires » (orrery, en anglais), permettaient de modéliser les mouvements des planètes autour d'un Soleil fixe : les étoiles n'étaient pas présentes, mais pouvaient être suggérées par des dessins placés à la périphérie. Ce type de planétariums, encore désignés par planétariums coperniciens (ou héliocentriques) n'a pas permis de déboucher vers la salle de spectacle que nous connaissons aujourd'hui.
Par ailleurs, on a aussi cherché à représenter les étoiles par l'intermédiaire de globes célestes plus ou moins grands (voir par exemple l'un des globes de Coronelli).
Dans un cas comme dans l'autre le spectateur était extérieur : il voyait les planètes tourner autour du Soleil, ou les étoiles sur une sphère devant lui (les figures des constellations étaient donc inversées).
Le premier planétarium
À l'initiative de l'astronome allemand Max Wolf, alors directeur de l'observatoire de Heidelberg, et du fondateur du Musée technique de Munich (le Deutsches Museum) Oskar von Miller, l'idée d'un planétarium galiléen (ou ptolémaïque) fut proposée dès 1913 à la société Zeiss. Son directeur, Walter Bauersfeld, construisit un premier planétarium, prototype de tous ceux que nous connaissons aujourd'hui. La première version de cet appareil a été installée en août 1923 sur les toits de l'usine Zeiss à Iéna, en Allemagne. Cette première version a été montée sous un dôme de 16 m de diamètre.
Le 21 octobre 1923 cet appareil fut présenté au public de Munich. Il n'y resta que quelques semaines, et retourna à Jena pour être terminé.
C'est finalement le 7 mai 1925 que le premier planétarium fut installé définitivement sur le toit du Deutsches Museum.
Cet appareil, ainsi que ceux qui vont suivre, sont de type opto-mécanique. Les dernières générations de la famille Zeiss ont utilisé un nouveau système de projection : les images des étoiles étaient générées par des fibres optiques (c'est notamment le cas du Starmaster).
Depuis, de nombreux autres constructeurs (japonais, américains et français) ont proposé des modèles qui équipent les salles actuelles. De petits modèles, moins perfectionnés, pour des salles de 4 ou 5 m de diamètre (souvent des structures mobiles) ont vu le jour au Japon, aux États-Unis et en France.
Les temps modernes
Les projecteurs de nouvelle génération ne fonctionnent plus comme les modèles créés par la firme Zeiss. À l'heure de l'électronique, ils sont maintenant numériques. Les images des étoiles et des planètes sont générées par un ordinateur et projetées grâce à un fish-eye . Ces appareils permettent de se déplacer dans un volume d'univers correspondant généralement au positionnement des étoiles du catalogue Hipparcos. Ils autorisent des effets spéciaux, comme le changement de perspective, le passage d'un repère géocentrique (comme nous, chaque fois que nous levons les yeux vers les étoiles) à un repère extérieur (en regardant la Terre de loin). Les phénomènes comme les saisons, les phases de la Lune, les marées, deviennent plus faciles à modéliser. Les nouvelles techniques permettent une meilleure immersion et l'intégration de spectacles pleine voûte, ayant un lien avec l'astronomie. Les petits planétariums (moins de 8m) sont en train à leur tour de connaitre la "révolution numérique", notamment grâce au procédé LSS[2]
Les planétariums dans le monde
Liste de planétariums
Au niveau international, l'IPS (International Planetarium Society) regroupe les associations nationales qui couvrent l'essentiel des planétariums de chaque pays.
Pour une liste mondiale complète : site de l'Association des Planétariums de langue française (APLF), sous l'onglet : Les planétariums.
En Afrique
Afrique du Sud
Algérie
-
- Argel: Planetarium - Theatre de Verdure, ouvert en 2002
- Sidi Bel Abbès: Planetarium, ouvert en 1988
Égypte
-
- Alexandrie: Egyptian Naval College, ouvert en 2009
- Alexandrie: Planetarium Science Center, ouvert en 2001
- Le Caire: Egyptian Military Academy, Ouvert en 2002
- Le Caire: New Science Park, ouvert en 2011
- Le Caire: Suzanne Mubarak Children's Museum, ouvert en 2011
Éthiopie
-
- Addis Abeba : National Museum of Ethopia, ouvert en 2007
Ghana
Libye
Maroc
Nigeria
Tunisie
- Tunis: Cité des sciences, ouvert en 1995
En Amérique du Nord
Canada
- Planétarium de Montréal, Montréal, Québec
- H.R. MacMillan Space Centre, Vancouver, Colombie-Britannique
États-Unis
- Baltimore, Maryland : Davis Planetarium [31] au Maryland Science Center [32].
- Boston, Massachusetts : Charles Hayden Planetarium, au Museum of Science.
- Champaign (Illinois) : Staerkel Planetarium
- Chicago, Illinois : Adler Planetarium, site web.
- French Camp, Mississippi, Rainwater Observatory and Planetarium
- Grand Rapids (Michigan), Roger B. Chaffee Planetarium
- Houston, Texas : Burke Baker Planetarium
- Los Angeles, Californie :Observatoire Griffith
- New York City, New York, Hayden Planetarium, dans le Rose Center for Earth, American Museum of Natural History : 27 mètres.
- Philadelphie, Pennsylvanie : Fels Planetarium dans le Franklin Institute.
- River Grove, Illinois : Cernan Earth and Space Center, Triton College, 13,40 mètres.
- Saint-Louis, Missouri : Planétarium James S. McDonnell
- San Francisco : planétarium Morrison de l'académie des sciences de Californie dans le Golden Gate Park.
- Salt Lake City, Utah : Clark Planetarium
- Tampa, Floride : Museum of Science and Industry
- Caroline du Nord : Morehead Planetarium
En Amérique centrale et Caraïbes
Bahamas
Costa Rica
Cuba
-
- La Havane: Centro Cultural de Ciencia y Tenologia Rosa Elena Simeon, ouvert en 2009
- La Havane: Museo de Historia Natural Nationale, ouvert en 1964
- Nueva Gerona: Planetario y Museo de Historia Natural Dr Antonio Nunez Jiminez
- Santiago de Cuba: Museo de Historia Natural Tomas Romay, ouvert en 1964
- Sancti Spíritus: Museo de Ciencias Naturales, ouvert en 1984
Honduras
-
- San Pedro Sula: Museo para la Infacia, ouvert en 2004
Trinidad et Tobago
D'Abadie : National Science Centre - Niherst, ouvert en 1997
En Amérique du Sud
Argentine
-
- Buenos Aires: Galileo Galilei planetarium, ouvert en 1967
- Buenos Aires: Museo Argentino de Ciencias Naturales Bernardino Rivadavia, ouvert en 2008
- Ciudad de la Punta: Planetario de la Punta, ouvert en 2007
- Malargüe: Planetario Esquivel Aldao y Comandante Rodriguez CP, ouvert en 2008
- Río Grande: Planetario de Rio Grande, ouvert en 1996
- Rosario: Observatorio Astronomico - Planetario Luis C. Carballo, ouvert en 1984
- Trelew: Planetario de Trelew, ouvert en 2008
- Urquiza: Observatorio Astronomico - Planetario Luis C. Carballo, ouvert en 1984
Bolivie
Brésil
-
- Americana: Planetario Cosmos, ouvert en 2005
- Aracaju: Planetario - Casa de Ciencia e Tecnologia da Ciudade de Aracaju, ouvert en 2008
- Belém: Planetario Sebastiao Sodre da Gama, ouvert en 1999
- Belo Horizonte: Planetário de Belo Horizonte, ouvert en 2010
- Brasilia: Planetario de Brasilia, ouvert en 1974
- Brotas: Planetario de Brotas, ouvert en 2000
- Campinas: Planetario de Campinas, ouvert en 1987
- Curitiba: Planetario Prof. Dr. Francisco Jose Gomes Ribeiro, ouvert en 1978
- Feira de Santana: Museu Parque do Saber, ouvert en 2008
- Feira de Santana: Observatorio Astronomico Antares, ouvert en 1997
- Florianópolis: Planetario da UFSC, ouvert en 1971
- Fortaleza: Planetario Rubens de Azevedo - Centro Dragao do Mar de Arte e Cultura, ouvert en 1999
- Foz do Iguaçu: Planetario, ouvert en 2009
- Goiânia: Planetário da Universidade Federal de Goiás, ouvert en 1970
- Itatiba: Planetario Prof. Benedito Rela, ouvert en 2003
- Londrina: Planetario de Londrina, ouvert en 2007
- Nova Friburgo: Planetario, ouvert en 2004
- Paracambi: Planetario e Observatorio de Paracambi, ouvert en 2003
- Pelotas: Planetario, ouvert en 2010
- Portao Araucária: Planetario e Observatorio Astronomico - Colegio Pe. Joao Bagozzi, ouvert en 2000
- Porto Alegre: Planetário Professor José Batista Pereira, ouvert en 1972
- Presidente Prudente: Planetario Dr. Odorico Nilo Menin Filho, ouvert en 2002
- Rio de Janeiro: Fundacao Planetario da Cidade do Rio de Janeiro - Carl Sagan, ouvert en 1998
- Rio de Janeiro: Fundacao Planetario da Cidade do Rio de Janeiro - Galileu Galilei, ouvert en 1970
- Rio de Janeiro: Planetario da Escola Naval, ouvert en 1961
- Santa Cruz: Fundacao Planetario da Cidade do Rio de Janeiro - D. Pedro II, ouvert en 2008
- Santa Maria: Centro de Ciencias Naturais e Exatas, ouvert en 1971
- São Cristóvão: Planetario do MAST - Museu de Astronomia e Ciencias Afins, ouvert en 1986
- Santo André: Planetario, ouvert en 2010
- Sao Jose do Rio Preto: Centro Integrado de Ciencias e Cultura, ouvert en 1997
- São Paulo: Planetarium do Carmo, ouvert en 2005
- São Paulo: Planetario do Ibirapuera - Planetario Prof. Aristoteles Orsini, ouvert en 1957
- São Paulo: Planetario Mundo Estelar, ouvert en 1998
- São Paulo: Planetario Parque de Ciencia e Tecnologia da USP, ouvert en 2010
- Sobral: Planetario, ouvert en 2010
- Tatuí: Planetario de Tatui, ouvert en 2000
- Tres Rios: Planetario, ouvert en 2003
- Vitória: Planetario de Vitoria, ouvert en 1995
- Tambauzinho: Planetario da Funesc - Fundacao Espaco Cultural da Paraiba, ouvert en 1982
Chili
-
- La Serena: Planetario Observatorio Cerro Mamalluca
- Santiago du Chili, Planetario de Universidad de Santiago de Chile, ouvert en 1970
- Valparaíso, Servicio Hidrografico y Oceanografico
Colombie
-
- Cali: Escuela Militar de Aviacion Marco Fidel Suarez
- Carthagène des Indes: Escuela Naval de Cadetes Almirante Padilla, ouvert en 1968
- Bogotá: Maloka, La Fascinante Aventura del Conocimiento ouvert en 2006
- Bogotá: Planetario de Bogotá, ouvert en 1969
- Bogotá: Universidad Sergio Arboleda, ouvert en 2001
- Medellín: Planetario Jesús Emilio Ramírez González, ouvert en 1984
- Risaralda: Universidad Tecnológica de Pereira, ouvert en 1988
Équateur
Paraguay
Pérou
-
- Arequipa: Planetarium UAP Arequipa - Universidad Alas Peruanas, ouvert en 2010
- Chiclayo: Planetarium Universidad Alas Peruanas Chiclayo, ouvert en 2011
- Colca: Planetarium Maria Reiche, ouvert en 2002
- Cusco: Planetario Maria Reiche - Sacred Valley of the Incas, Cusco, ouvert en 2007
- Ica: Planetarium Maria Reiche, ouvert en 2002
- Lima: Planetario Digital Jose Castro Mendivil - Observatorio Morro Solar, ouvert en 1960
- Lima: Planetario nacional Mutsumi Ishitsuka - Instituto Geofisico del Peru, ouvert en 2008
- Nazca: New Planetarium (Hotel), ouvert en 2008
- Nazca: Planetarium Maria Reiche, ouvert en 2000
Uruguay
-
- Montevideo: Planetario Municipal Agrimensor German Barbato, ouvert en 1955
Venezuela
En Océanie
Australie
-
- Adélaïde: Adelaide Planetarium, ouvert en 1972
- Bendigo: Discovery Centre, ouvert en 2007
- Brisbane: Sir Thomas Brisbane Planetarium, ouvert en 1978
- Camberra: Canberra Space Dome & Observatory, ouvert en 1998
- Clayton: Monash University, ouvert en 1976
- Gingin: Gravity Discovery Centre''En ''
- Launceston: Queen Victoria Museum & Art Gallery, ouvert en 1968
- Melbourne: Melbourne Planetarium - Scienceworks Museum, ouvert en 1965
- Sydney: Sydney Observatory - Powerhouse Museum, ouvert en 1994
- Wentworthville: Toongabbie East Public School, ouvert en 2005
- West Perth: Horizon Planetarium, ouvert en 1987
- Wollongong: Wollongong Science Centre and Planetarium: ouvert en 1994
Guam
-
- Mangilao: Planetarium UOG Station, ouvert en 1969
Nouvelle-Zélande
-
- Aoraki/Mont Cook Ville: Sir Edmund Hillary Alpine Center, ouvert en 2008
- Auckland: Stardome Observatory, ouvert en 1997
- Napier (Nouvelle-Zélande): Hawke's Bay Holt Planetarium - Napier Boys' High School, ouvert en 1962
- Wellington: Pelorus Trust Planetarium - Carter Observatory, ouvert en 1993
En Europe
En Allemagne
Il existe beaucoup de planétariums en Allemagne, ici ne sont listées que les villes où se trouvent les plus grands.
- Berlin : Grand planétarium Zeiss
- Bochum
- Hambourg : Planétarium du Satdtpark
- Iéna
- Kassel
- Kiel
- Mannheim
- Münster
- Nuremberg
- Wolfsburg
En Belgique
En France
Le premier planétarium français était celui du Palais de la Découverte. Il a été installé à l'occasion de l'Exposition Internationale de Paris, le 5 mai 1937, sur le cours Albert 1er. Puis, à la clôture de l'exposition (11 novembre 1937), il fut démonté et entreposé dans les sous-sols du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM). Il trouva son installation définitive à partir du 27 juin 1952, à l'intérieur du Palais, sous une coupole de 23,5 m de diamètre située dans l'actuel hall d'entrée du Palais ; il pouvait accueillir 355 personnes. Cette installation fonctionna jusqu'au 19 avril 1979 ; les nouvelles normes de sécurité imposèrent de libérer cet espace. En novembre 1979, une nouvelle salle ouvrit au public, avec un nouveau projecteur. Cette salle, de dimensions plus petites que la précédente (15 m de diamètre et permettant d'accueillir 201 personnes) est située au premier étage. Depuis toujours équipé de projecteurs Zeiss, le Planétarium du Palais de la Découverte a successivement été doté des simulateurs suivants : le modèle universel de 1935, le RFP Spacemaster, enfin le Starmaster.
Il existe une quinzaine de planétariums dont le dôme a un diamètre supérieur à 10 mètres, et une dizaine entre 6 et 10 mètres. Ouverts pour la plupart presque tous les jours, ils accueillent environ 60% de scolaires et 40% de grand public.
Une association, l'APLF, regroupe tous les planétariums de langue française.Planétariums français Ville Nom Diamètre Type Paris Cité des sciences et de l'industrie [3] 21,5 mètres Numérique Pleumeur-Bodou Planétarium de Bretagne [4] 20 mètres Numérique et optique Toulouse Cité de l'Espace - Astralia [5] 20 mètres Numérique Toulouse Cité de l'Espace - Stellarium [6] 15 mètres Numérique Paris Palais de la Découverte [7] 15 mètres Optique Vaulx-en-Velin Planétarium de Vaulx en Velin [8] 15 mètres Numérique Montpellier Planétarium Galilée [9] 15 mètres Numérique Rennes Espace des sciences [10] 14 mètres Numérique Villeneuve-d'Ascq Forum départemental des Sciences de Villeneuve d'Ascq [11] 14 mètres Optique Saint-Étienne Planétarium de Saint-Étienne [12] 12 mètres Numérique Poitiers Espace Mendès-France [13] 12 mètres Optique Tonneville Ludiver [14] 10 mètres Optique Épinal MJC La belle étoile [15] 10 mètres Optique Dijon Muséum d'Histoire Naturelle [16] 10 mètres Optique Cappelle-la-Grande Le PLUS, Palais de l'Univers et des Sciences [17] 15 mètres Numérique Le Bourget Musée de l'Air et de l'Espace [18] 8,2 mètres Optique Strasbourg Planétarium de Strasbourg [19] 8 mètres Optique Nantes Planétarium de Nantes [20] 8 mètres Numérique Nîmes Planétarium de Nîmes [21] 8 mètres Optique Nançay Pôle des étoiles [22] 7 mètres Optique Reims Planétarium de la Ville de Reims [23] 6 mètres Optique Marseille Andromède [24] 6 mètres Numérique LSS Châtellerault Collège George Sand [25] 6 mètres Optique La Couyère Centre d'Astronomie de La Couyère [26] 5 mètres Numérique LSS Aix-en-Provence Planétarium Peiresc [27] 5 mètres Optique Belfort Planétarium Marc Bertin [28] 5 mètres Numerique LSS Laval OPL Astronomie [29] 5 mètres Numérique LSS Les Angles (Avignon) Planétarium J.P. Barnaud [30] 4 mètres numérique LSS Nice Astrorama [31] 3 mètres Optique Autres projections astronomiques Ville Nom Diamètre Type Note Chasseneuil-du-Poitou Chocs Cosmiques (Futuroscope) 21 mètres Vidéos Le Futuroscope présente un spectacle d'astronomie mais n'est pas un planétarium puisqu'il ne peut pas représenter la voûte étoilée en temps réel. Pougues-les-Eaux Casino 15 mètres Numérique Le casino de Pougues-les-Eaux près de Nevers, dispose d'un simulateur astronomique en 3D temps réel mais installé comme élément d'animation décoratif dans le hall d'accueil qui fait également bar. Celui-ci est actuellement[Quand ?] hors-service. En Italie
Aux Royaume-Uni
- London Planetarium, Marylebone Road, Londres
- Planétarium de l'Observatoire royal de Greenwich, Londres (en travaux, mais un planétarium provisoire a été mis en place).
Aux Pays-Bas
Notes et références
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
- (fr) Association des Planétariums de Langue Française (APLF)
- (fr/en) Base mondiale des planétariums sur site de l'APLF
- (en) International Planetarium Society
- (en) Planetariums in Europe
- (fr) Carte du ciel - Planétarium logiciels gratuits
- (fr) applet
- (ru) Kharkov Planétarium (Ukraine)
- (uk) British Association of Planetaria (BPA)
- (nl) Vereniging van Nederlandstalige PLanetaria (PLANed)
- (de) Rat Deutscher Planetarien (RDP)
Wikimedia Foundation. 2010.