- Armée de l'air (France)
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Armée de l'air française
Logo de l'Armée de l'Air (Février 2010)Période 1909 Pays France Allégeance Armée française Type Armée de l'air (France) Effectif 55 200 personnes Équipement 874 aéronefs Commandant Général d’armée aérienne Jean-Paul Paloméros modifier L’armée de l'air française est une des quatre forces armées, les composantes militaires principales de l'armée française, avec l'armée de terre, la marine nationale et la gendarmerie nationale.
Elle emploie 51 500 militaires et 7 400 civils au premier Janvier 2011[1] et réalise 233 000 heures de vols par an. Son budget annuel est de 8,02 milliards d’euros en 2011 soit 21,6% du budget de la défense.
Sommaire
Historique
Article détaillé : Histoire de l'armée de l'air française.L'aviation militaire française est née en 1909 et inscrit, de ce fait, la France comme le premier pays à s'équiper d'avions de combat. Après le vote d'une loi à l'Assemblée nationale française, le 29 mars 1912, l'Aéronautique Militaire fait officiellement partie des forces armées nationales, aux côtés des quatre autres armes traditionnelles de cette époque: l'infanterie, la cavalerie, l'artillerie et le génie.
Lors de l'entrée dans la Première Guerre mondiale, la France disposait d'un total de 148 avions (dont 8 de l'aéronautique navale) et de 15 dirigeables, lors de l'armistice en novembre 1918, 3 608 avions étaient en service[2]. 5 500 pilotes et observateurs furent tués sur les 17 300 engagés dans le conflit, soit 31 % de pertes[3].
Elle est devenue indépendante en 1934, faisant suite à l'Aéronautique militaire dépendant de l'Armée de terre, l'Armée de l'air est née. Pour autant, ses unités sont pour la plupart héritières des traditions (insignes...) des escadrilles de la Première Guerre mondiale où s'illustrèrent nombre d'aviateurs devenus célèbres.
La Bataille de France de 1940 et l'engagement des aviateurs français libres (FAFL) de 1940 à 1943, puis de ceux de l'Armée de la Libération, sont également des épisodes marquants de l'Histoire de l'Armée de l'air.
Depuis 1945, l'Armée de l'air a notamment été engagée en Indochine (1945-1954), à Suez (1956), en Algérie (1952-1962), en Mauritanie et au Tchad, dans le golfe Persique (1990-1991), en ex-Yougoslavie ou encore en Afghanistan depuis 2001.
L'Armée de l'air a longtemps eu la responsabilité unique de l'arme nucléaire française : vecteurs pilotés Dassault Mirage IV ou missiles balistiques de la Base aérienne 200 Apt-Saint-Christol sur plateau d'Albion.
Elle fut également le berceau du parachutisme militaire français, avec la mise sur pied de l'Infanterie de l'air dans les années 1930.
La Patrouille de France reste l'unité la plus connue du grand public, par ses démonstrations de voltige aérienne.
Pour les années 2010, le Livre Blanc sur la Défense et la Sécurité nationale annonce une nette baisse des effectifs et des moyens de combat. 300 avions de combat sont prévus pour l'ensemble de l'armée française (aviation navale incluse). Enfin, pour la première fois depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'Armée de l'air dévoile le 18 septembre 2008 son concept opérationnel[4].
Identité visuelle (logo)
Organisation
Organisation générale
L'Armée de l'Air est organisée conformément au chapitre 4 du titre II du livre II de la troisième partie du code de la défense, qui remplace le décret no 91-672 du 14 juillet 1991.
Sous l'autorité du Chef d'état-major de l'armée de l'air implanté à Paris, elle comprend des formations réparties entre :
- l'état-major de l'armée de l'air ;
- les forces ;
- les bases aériennes ;
- la direction des ressources humaines de l'armée de l'air ;
- les services[5].
État-major de l'armée de l'air (EMAA)
Forces
L'Armée de l'Air au début du XXIe siècle répartit ses forces et moyens au sein de quatre grands commandements, deux grands commandements opérationnels (CDAOA et CFAS) et deux commandements organiques (CFA et CSFA) :
- commandements opérationnels :
- CDAOA, ou Commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (Base aérienne 117 Paris), est responsable de la veille permanente de l'espace aérien national, mais aussi du suivi de toutes les opérations aériennes en cours ; il ne dispose pas d'aéronefs en propre,
- CFAS, ou Commandement des Forces aériennes stratégiques (base aérienne 921 Taverny), est responsable des avions de combat à capacité nucléaire (Mirage 2000N et Rafale armés du missile ASMP-A), ainsi que des ravitailleurs en vol (C-135FR, KC-135R) ; L'ordre d'engagement nucléaire est reçu directement du Président de la République, chef des Armées.
- commandements organiques :
- CFA, ou commandement des forces aériennes (Base aérienne 128 Metz-Frescaty), prépare les unités pour qu'elles soient prêtes à remplir les missions de dissuasion, de protection, de prévention et de projection. Le CFA est organisé en quatre brigades :
- BAAC, ou brigade aérienne de l'aviation de chasse, est responsable de tous les avions de combat conventionnels de défense aérienne, d'assaut et de reconnaissance (Rafale, Mirage 2000-5F, Mirage 2000B/C/D, Mirage F1-CR, Mirage F1-CT, Transall Gabriel…)
- BAAP, ou brigade aérienne d'appui et de projection, est responsable de tous les aéronefs de transport et de liaison (avions et hélicoptères : Transall C160, Hercule C-130, A310/319, Falcon 50/900, Puma, Fennec, Cougar, TBM700…),
- BACE, ou brigade aérienne de contrôle de l'espace, est responsable des moyens aériens (AWACS E-3F) et terrestres (radars implantés au sol, réseaux de communication) de surveillance de l'espace aérien. La maîtrise des réseaux et des systèmes d'information relèvent depuis 2007 de la Direction interarmées des réseaux d'infrastructure et des systèmes d'information (DIRISI).
- BAFSI, ou brigade aérienne des forces de sécurité et d'intervention, est responsable des unités de fusiliers-commandos de l'Air parmi lesquelles on trouve les hommes du commando parachutiste de l'air n°10, unités des forces spéciales. La BAFSI gère également les techniciens incendie.
- CSFA, ou commandement du soutien des forces aériennes (Base aérienne 106 Bordeaux-Mérignac), met à disposition et entretient les équipements, les systèmes d'information et de communication (SIC) ainsi que les infrastructures. Le CSFA fournit également des prestations liées au soutien de l'homme, à la logistique (ravitaillement et transport), là où les forces de l'armée de l'air opèrent ou s'entraînent. Le CSFA est organisé en quatre brigades :
- Brigade technique et logistique
- Brigade infrastructure
- Brigade des systèmes d'information et de communication
- Brigade soutien de l'homme (intégrée au Service du commissariat des armées à compter du 1er janvier 2010)
- CFA, ou commandement des forces aériennes (Base aérienne 128 Metz-Frescaty), prépare les unités pour qu'elles soient prêtes à remplir les missions de dissuasion, de protection, de prévention et de projection. Le CFA est organisé en quatre brigades :
Depuis le 1er janvier 2008, l'armée de l'air est organisée à l'échelon national et n'a plus de commandements territoriaux. Auparavant, ces commandements territoriaux s'articulaient autour de régions aériennes (RA), au nombre de cinq à l'origine. Le nombre avait ensuite été ramené à quatre par décret du 30 juin 1962 avec la suppression de la 5e RA (AFN). Le décret du 14 juillet 1991 ramène le nombre de RA à trois : RA Atlantique, RA Méditerranée et RA Nord-Est. Le 1er juillet 2000 est mise en place une organisation comprenant une RA Nord (RAN) et une RA Sud (RAS). La division territoriale est finalement abolie par le décret no 2007-601 du 26 avril 2007[6].
Bases aériennes
L'armée de l'air dispose de 32 bases aériennes en métropoles, dont 24 plateformes aéronautiques avec pistes, et 8 bases ou détachements permanents en outre mer. Les bases aériennes n'abritent pas forcément des avions de chasse ou de transport : plusieurs bases radars (Lyon Mont-Verdun, Drachenbronn, Cinq-Mars-la-Pile, Nice Mont-Agel …) sont destinées à la surveillance du territoire et au contrôle aérien militaire. D'autres encore accueillent des entrepôts de matériels ou des postes de commandement. En outre-mer et à l'étranger, les bases supportent des aéronefs et des moyens au sol suivant les besoins de l'opération extérieure (OpEx) au profit de laquelle elles ont été créées : des avions de transport à Douchanbé (Tadjikistan, opération Héraclès (en)), des avions de combat à N'Djamena (Tchad, opération Épervier)…
Liste des bases aériennes (BA) et des détachement air (DA) :
Article détaillé : Bases aériennes de l'Armée de l'air (France).Direction des ressources humaines de l'armée de l'air (DRHAA)
La DRHAA recrute, forme, gère, administre et convertit le personnel de l'armée de l'air. Depuis le 1er janvier 2008, la DRHAA regroupe en son sein les attributions de l'ancienne direction du personnel militaire de l'armée de l'air (DPMAA) et certaines attributions de l'ancien commandement des écoles de l'armée de l'air (CEAA).
Services
Les services de l'armée de l'air sont[7] :
- la structure intégrée du maintien en condition opérationnelle des matériels aéronautiques du ministère de la défense (SIMMAD) ;
- le service industriel de l'aéronautique (SIAé).
Unités de l'Armée de l'Air
Articles détaillés : Escadrons actifs de l'Armée de l'Air et Escadrons dissous de l'Armée de l'Air.Équipements principaux
Équipements de l'armée de l'air Équipements principaux fin 2000 fin 2006 avions de combat 380 330 avions de transport 100 107 avions ravitailleurs 14 14 avions spécialisés : remorquage, guerre électronique 17 8 avions d'entraînement 298 290 hélicoptères 84 84 Batterie de missile sol-air Crotale 24 24 postes de tir missiles Mistral 60 60 La disponibilité des avions est de 95% en opérations extérieures et de 60% sur le territoire national.
Aviation de combat au début du XXIe siècle
La flotte de d'avions de combat de l’Armée de l'air est forte baisse depuis les années 2000. Alors qu'elle alignait 575 avions de combat en 1982, elle indique qu'au 1er septembre 2011 disposait de 234 avions dans des unités de combat et 13 dans la flotte d'expérimentations - ceux ci pouvant être utilisé pour des missions de combat -.
En 2011, elle alignait le parc suivant:
- 59 [8] Dassault Rafale (EC 1/7 et EC 1/91, escadrons sur la base de Saint-Dizier)
- 34[9] Mirage 2000-5 (radar RDY) (EC 1/2, escadron sur la base de Luxeuil)
- 80 Mirage 2000 C et B (radar RDI) (EC 2/5 et EC 1/12,EC 2/12 sur les Base aérienne 115 Orange-Caritat et Base aérienne 103 Cambrai-Épinoy)
- 66[10] Mirage 2000 D (radar Antilope V) (EC 1/3, EC 2/3, EC 3/3 sur la Base aérienne 133 Nancy-Ochey)
- 50[11] Mirage 2000 N (radar Antilope V) (EC 1/4, escadron sur la base de Luxeuil)
- 24[12] Mirage F1-CR (ER 2/33, escadron sur la base de Mont-de-Marsan)
Au 1er septembre 2011, elle indique ceci[13] :
- Avions de combat : 234 donc
- Rafale (Polyvalents) : 59
- M 2000 N (Nucléaire et assaut conventionnel) : 26
- M 2000 D et M F1 CT (Assaut conventionnel) : 67
- M 2000-5 et M 2000 C (Défense aérienne) : 56
- M F1 CR (Reconnaissance tactique) : 17
- M 2000B et M F1 B (Transformation) : 9
- Flotte d'expérimentations : 13 donc
- Rafale : 5
- Mirage 2000 : 9
Les 26 M 2000 N devraient quitter le service en 2017/18, les 30 F1 CT/CR/B d'ici 2014, les 64 M 2000 B/C/-5 entre 2015 et 2020 ainsi que la moitié que M 2000 D alors que, si les commandes n'augmentent pas, elle devrait percevoir entre 70 et 80 Rafale dans les années 2000.
Aviation de surveillance au début du XXIe siècle
En 2011, l'armée de l'air dispose de :
- 4 Boeing E-3F (basés à Avord)
- 2 C-160 Transall Gabriel (basés à Metz)
- 4 drones Harfang (basés à Cognac)
Aviation de transport au début du XXIe siècle
En 2011[8], l'armée de l'air dispose de :
- 14 C-135FR Stratotanker (basés à Istres)
- 3 Airbus A310-300 (stationnés à Roissy Charles de Gaulle)
- 2 Airbus A340-200 (stationnés à Roissy Charles de Gaulle)
- 1 Airbus A330-200 (avion du président de la République stationné à Evreux)
- 51 C-160 Transall (basés à Evreux, Orléans, Metz, Toulouse, Djibouti, Réunion, Dakar et N'Djamena)
- 14 Lockheed C-130 Hercules (basés à Orléans et N'Djamena) [14]
- 19 CASA CN-235 (basés à Creil, Mont-de-Marsan, Martinique, Tahiti et Nouméa)
- 2 Falcon 7X (basés à Villacoublay)
- 2 Falcon 900 (basés à Villacoublay)
- 1 Falcon 2000 (basés à Villacoublay)
- 2 Falcon 50 (basés à Villacoublay)
- 4 DHC-6 Twin Otter (basés à Evreux, Orléans[15], Cayenne[16])
- 14[17] Socata TBM-700 (basés à Dijon[18], Châteaudun, Villacoublay et Mérignac)
Le premier A400M devrait être livré à l'armée de l'air en 2013. 8 avions sont attendus fin 2014, 35 fin 2020, le dernier des 50 commandées en 2024[19].
8 CASA CN-235, commandés le 25 mars 2010 pour pallier le retard de livraison des A400M, seront livrés entre fin 2011 et mars 2013[20].
Hélicoptères au début du XXIe siècle
En 2010, l'armée de l'air dispose de :
- 26 SA 330 Puma (basés à Cazaux, Nouméa, Martinique, Cayenne, Djibouti).
- 6 AS 332 Super Puma (basés à Tahiti, Solenzara, Villacoublay)
- 3 AS 532 Cougar (basés à Evreux)
- 41 AS 555 Fennec (basés à Orange, Villacoublay, Cayenne)[21]
- 6 EC 725 Caracal (basés à Cazaux et à Pau[22] au 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales)
5 EC 725 Caracal commandés en 2009 seront livrés entre le 10 juin 2011 et le second trimestre 2012[23].
Aviation d'entraînement au début du XXIe siècle
- Alphajet (basé à Tours, Mont-de-Marsan, Cazaux, Salon-de-Provence, Dijon)
- Jodel D-140 Mousquetaire (basé à Romorantin, Solenzara, Salon-de-Provence)
- Embraer EMB-121 Xingu (basé à Avord)
- Grob G 120A
- Socata TB-30 (basé à Cognac)
Quelques Alpha Jet sont utilisés par la Patrouille de France.
Personnel
Les personnels de l'Armée de l'air qui forment ces effectifs sont 55 200 hommes et femmes (20 %)[24] ;
- dont 47 700 militaires, avec :
- 13 % d'officiers,
- 55 % de sous-officiers,
- 29 % de militaires techniciens de l'air (MTA),
- 3 % de volontaires du service national et volontaires aspirant,
- et dont 7500 civils (14 %) ;
- œuvrent au sein de multiples spécialités :
- personnel non navigant :
- mécanicien système aéronautique,
- contrôleur aérien,
- personnel administratif,
- fusilier-commando,
- dans l'informatique,
- dans l'infrastructure,
- dans le renseignement,
- commissaire (administrateur),
- personnel navigant :
- pilote de chasse,
- pilote de transport,
- pilote d'hélicoptère,
- mécanicien navigant,
- navigateur officier système d'armes,
- convoyeur de l'air.
- personnel non navigant :
Formation du personnel
Les militaires de l'Armée de l'Air sont formés sur les bases aériennes suivantes :
- les officiers, selon le type de recrutement et leur future spécialité, à l'École de l'air de Salon-de-Provence, l'École des commissaires de l'air de Salon-de-Provence, l'École militaire de l'air de Salon-de-Provence, l'École de l'aviation de chasse de Tours, l'École de transition opérationnelle de Cazaux, l'École de l'aviation de transport d'Avord, l'École de pilotage de l'armée de l'air de Cognac ;
- les sous-officiers sont formés à l'École de formation des sous-officiers de l'armée de l'air (EFSOAA) de Rochefort et à l'École interarmées de Cherbourg-Querqueville pour les spécialités administratives ;
- les militaires techniciens de l'air sont formés à l'École d'enseignement technique de l'armée de l'air à Saintes.
Notes et références
- http://www.defense.gouv.fr/air/au_coeur_de_la_defense/personnel/le_personnel
- Général André Martini, L'histoire de l'aviation légère de l'armée de terre 1794-2008, Paris, Lavauzelle, coll. « Histoire, mémoire et patrimoine », 2005, 36,42 p. (ISBN 2-7025-1277-1)
- Les hydravions Georges Lévy », La coupe Schneider et hydravions anciens, 2011. Consulté le 16 mars 2011 [PDF]Gérard Hartmann, «
- lire en ligne] Rapport « Concept de l'Armée de l'air » (18 septembre 2008) [
- Code de la défense, art. R.3224-3.
- Décret du 26 avril 2007.
- Code de la défense, art. R.3224-8.
- Avis présenté au Sénat par MM. Xavier Pintat et Daniel Reiner sur le projet de loi de finances pour 2011.
- Air Actualités n°632, juin 2010.
- Avis présenté à l'Assemblée nationale par M. Jean-Claude Viollet sur le projet de loi de finances pour 2011.
- Air et Cosmos n° 2226, 9 juillet 2010.
- Air Actualités n°642, juin 2011
- Les chiffres-clés de la Défense – édition 2011 sur Ministère français de la Défense, 30 septembre 2011. Consulté le 3 octobre 2011
- Après rénovation de l'avionique notifié en 2008, l'exploitation des Hercules sera poursuivit jusqu'en 2020-2025. Source : DSI n° 35, mars 2008
- http://www.defense.gouv.fr/air/actus-air/le-ventoux-migre-des-landes-vers-l-oise
- http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/05/twin.html
- Communiqué de presse de la société Daher-Socata du 11 février 2011.
- http://lemamouth.blogspot.com/2011/07/fennec-la-migration-commence.html
- Avis présenté à l'Assemblée nationale par M. Jean-Claude Viollet sur le projet de loi de finances pour 2011
- La DGA commande huit avions Casa
- Répartition prévue pour la fin 2012. Cf.Air Actualités n°643, juillet-août 2011.
- Air Actualités n°635, octobre 2010.
- Air Actualités n°643, juillet-août 2011.
- Chiffres 2010.
Liens externes
- (fr) Site officiel de l'Armée de l'air (Ministère de la Défense)
- (fr) Liste des bases aériennes - Projet Loi de finances pour 2006 - Sénat
- (fr) Bureau Air Information (BAI) - Information et Recrutement
- (fr) Site non institutionnel sur les Fusiliers Commandos de l'Air
- (fr) Site non officiel sur les unités, bases, avions (photos), insignes, meetings de l'Armée de l'air
- (fr) Site d'informations sur la Patrouille de France
- (fr) Site non officiel sur les Commandos de l'Air
- (fr) Site non officiel relatif aux traditions des unités de l'Armée de l'Air
- (fr) Escadrons de Chasse de l'Armée de l'Air
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