- Orthez
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Orthez
Vue d'ensemble du vieux pont
DétailAdministration Pays France Région Aquitaine Département Pyrénées-Atlantiques Arrondissement Pau Canton Orthez
(chef-lieu)Code commune 64430 Code postal 64300 Maire
Mandat en coursBernard Molères
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du canton d'Orthez Démographie Population 10 338 hab. (2007) Densité 225 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 38 m — maxi. 185 m Superficie 45,86 km2 Orthez est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Aquitaine.
Le gentilé est Orthézien[1]. Les habitants sont également appelés Suzannais sur la rive gauche aval (du nom de l'ancienne commune rattachée).
Sommaire
Géographie
Hydrographie
La commune est traversée[2] par le gave de Pau et ses affluents, les ruisseaux le Laâ (et ses tributaires, les ruisseaux l'Ozenx et des Moulins), de Rontun et de Caséloupoup.
Le Grècq est un petit ruisseau affluent de la rive droite du gave, ses crues soudaines ont été maîtrisées par l'établissement du lac de retenue du Grècq. On trouve parfois l'orthographe fantaisiste l'Y ou le lac de l’Y (« l'i grec »).
Des affluents du Luy de Béarn, les ruisseaux de l'Oursau (11,5 km) et du Pas de Salles, sont également présents sur la commune.Lieux-dits et hameaux
- Sainte-Suzanne, ancienne commune administrativement fusionnée avec Orthez, mais gardant la valeur de village avec son bourg, à l'ouest et en rive gauche du gave.
- Départ, rive gauche du gave, quartier sud de la cité, autrefois fief de l'abbaye de Sauvelade.
- Castetarbe, quartier étendu à l'ouest de la commune.
- Soarns, quartier est de la commune.
- Argagnon, ancien village du Moyen Âge.
- Coubots
- Ville
- le Bois
Communes limitrophes
- Saint-Boes et Bonnut au nord
- Baigts-de-Béarn, Salles-Mongiscard et Lanneplaà à l'ouest
- Ozenx-Montestrucq, Laà-Mondrans et Biron au sud
- Sallespisse, Balansun et Castétis à l'est.
Toponymie
Le toponyme Orthez apparaît[3] sous les formes Ortez et Ortesium (respectivement 1193 et 1194, cartulaire de Sauvelade[4]), Orthesium (1220, cartulaire d'Orthez[5]), Ortes (1375, contrats de Luntz[6]), Ortais (XIVe siècle, Jean Froissart), Sent-Per d'Ortes (1391, notaires de Navarrenx[7]) et Hortes (1578, titres de la chambre des comptes de Pau[8]).
La signification de ce nom n'est pas encore élucidée avec certitude. Toutefois, selon Michel Grosclaude le caractère inhabituel de la prononciation pour la phonétique gasconne indique que le nom pourrait dériver d'un nom de personne d'origine aquitanienne (protobasque), on pourrait y voir une prononciation locale du nom latin Fortis, « fort, forte », comme c'est le cas pour le nom ibérique Ortiz. En tout cas, un dérivé du gascon òrt, « jardin », du latin, hortus, est à exclure.
Son nom béarnais est Ortès.
Histoire
Il ne faut pas confondre la ville d’Orthez avec la vicomté d’Orthe qui recouvrait sous l’ancien régime le territoire de l’actuel canton de Peyrehorade.
Les plus anciens vestiges de la ville d’Orthez ne remontent pas au-delà du XIe siècle. Ce sont deux églises romanes qui se trouvent, l’une dans le bourg Vieux (nommé aussi autrefois Bourg du Pont), et l’autre encastrée dans l’église Saint-Pierre.
Autour de chacune de ces églises, un groupe de maisons en faisaient deux petits bourgs. Le premier, fortifié, commandait le passage du gave de Pau qui s'est fait, selon les époques, à gué, en bac ou par un pont fortifié. Le second, aux mains d'une famille de marchands, avait une vocation commerciale à l'abri de son église.
La ville résulte de la réunion, aux environs de 1260, de ces deux bourgs avec la création d’un conseil municipal. Cette association est symbolisée sur le blason de la ville par la présence d’un pont à tour et des clés de Saint-Pierre.
L’agglomération initiale a été agrandie du bourg Neuf et du faubourg Saint-Gilles dans les années suivantes. Cette rapide expansion de la ville s’explique par le choix du vicomte Gaston VII de Béarn, dans les années 1250, d’y construire un nouveau château où il établit sa résidence principale. C’est au même moment qu’il fit remplacer la palissade en bois défendant le bourg Vieux par un véritable rempart, et que fut construit le Pont-Vieux, véritable porte fortifiée par dessus la rivière.
En 1385, on comptait à Orthez 436 feux[3].
Du XIIIe au XVe siècle, Orthez fut la résidence des vicomtes de Béarn.
Bien qu’en 1460 cette résidence ait été transférée à Pau, plus centrale, Orthez reste durant tout l’ancien régime la ville la plus grande et la plus dynamique du Béarn. Elle reste le lieu du marché où sont acheminés tous les produits de la région destinés à être exportés vers le port de Bayonne. La ville subira peu de destructions en dehors de deux batailles en 1569 lors des guerres de religion.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, l’économie prospère grâce à la relance du commerce atlantique. Les commerçants font fortune et de nombreuses maisons auparavant en bois et torchis sont reconstruites en pierre. Les toits sont refaits avec des tuiles en terre cuite. Ce sont ces bâtiments que l’on voit encore aujourd’hui dans la partie ancienne de la ville.
La ville s’est peu étendue sous l’Ancien Régime. Le bourg Moncade, relevant du château, est resté longtemps institutionnellement à l’écart de la ville en raison de ses fonctions militaires. Le bourg de Départ, situé au-delà de la rivière, n’a été officiellement réuni à la ville que sous la Révolution.
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795 et d'arrondissement de 1800 à 1926.
Le 27 février 1814 vit la bataille d'Orthez avec la victoire des troupes anglo-hispaniques du duc de Wellington sur l'armée napoléonienne du maréchal Soult. Mais cet événement n'eut que peu d'influence sur la ville.
Ce n’est qu’à partir de 1957 et la découverte du gisement du gaz de Lacq que le nombre d'Orthéziens a explosé. Il est passé en quinze ans de 7 200 à 11 000 habitants entraînant la construction de plusieurs banlieues pavillonnaires et d’équipements publics.
Orthez s'est associé en 1973 avec l'ancienne commune de Sainte-Suzanne pour former Orthez-Sainte-Suzanne, puis cette commune a pris le nom d'Orthez.
Héraldique
Blasonnement De gueules, au pont du lieu, de quatre arches inégales surmonté en son milieu d'une tour crénelée et couverte, le tout d'argent maçonné de sable, la tour accostée de deux clefs d'or adossées.Commentaires : Ce blason est relativement récent car le pont d'Orthez comportait à l'origine une seconde tour à droite (le sud). Les clés représentent saint Pierre, patron de l'église d'Orthez. Des surélévations du parapet, près de la tour, qui ont été arasées après la bataille d'Orthez (1814), sont parfois visibles sur certaines représentations du blason.
C'est Gaston VII de Moncade, retranché derrière les murailles de son château, qui aurait lancé au roi d’Angleterre (sic) ces fières paroles devenues la devise d’Orthez : « Tòca-i si gausas » soit « Touches-y si tu l'oses » (prononciation figurée : ['tòkœ-i si 'gawzœs]). Toutefois on doit rester prudent, il serait établi que cette relation, fort truculente, ne serait qu’une invention du XVIIIe siècle.Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1872 1881 Hyppolite Blanc 1881 1882 Henri Vidal 1882 1896 Adrien Planté 1896 1900 Emmanuel Estaniol 1900 1910 Adrien Planté 1910 1912 Edouard Chassignet 1912 1919 Prosper Lacrouts 1919 1923 Joseph Casteignau 1923 1925 Jean Maillebiau 1925 1941 Georges Moutet PRRRS 1941 1945 André Daverat 1945 1947 Adolphe Detchebarne 1947 1965 Henri Cazenave 1965 1977 Jacques Moutet 1977 1989 Jacques Destandau 1989 2001 René Ricarrère PS 2001 2008 Thierry Issartel MoDem 2008 2014 Bernard Molères PS Toutes les données ne sont pas encore connues. Intercommunalité
La commune fait partie de six structures intercommunales :
- communauté de communes du canton d'Orthez ;
- agence publique de gestion locale ;
- syndicat intercommunal de défense contre les inondations du gave de Pau ;
- syndicat de Gréchez ;
- syndicat mixte d'eau potable de la Région d'Orthez ;
- syndicat départemental d'électrification.
Orthez constitue un espace urbain, ou espace urbain multipolaire, qui est, en France et selon la définition de l'INSEE, un ensemble continu d'aires urbaines et de communes dites multipolarisées, c'est-à-dire dont au moins 40% de la population résidente active travaille dans l'une ou l'autre de ces aires urbaines.
Jumelages
Orthez est jumelée avec les villes suivantes[9] :
Tarazona (Espagne) depuis 1993
Miranda do Douro (Portugal) depuis 1999
Mirandela (Portugal) depuis 1985
Sans y être jumelée, la Ville d'Orthez est la "marraine" du village de Marcq dans le département des Ardennes. Ce marrainage date de la Première Guerre Mondiale et c'est poursuivi lors de la Seconde. Orthez a aidé Marcq durant ces conflits par divers dons en nature et en espèces (cf correspondances en les deux cités et comptes-rendus du Conseil Municipal)
Démographie
Économie
Bien que l'activité soit fortement tournée vers l'agriculture (élevage, viticulture), des ateliers de tissage et de fabrication de meubles participent à l'économie de la commune.
Orthez fait partie de la zone d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du Béarn. Depuis 1991, l'AOC Béarn-Bellocq est attribuée aux vins récoltés sur les communes de Bellocq, Lahontan, Orthez et Salies-de-Béarn.
La région d'Orthez compte une bonne partie des producteurs du jambon de Bayonne.
La commune fait partiellement partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture et patrimoine
Orthez a été une ville-pont à la charnière du monde des Tarbelles et celui des Béarnais. De ce fait, un pôle de culture s'y est installé qui a rayonné bien au-delà des frontières de l'hexagone actuel.
Culture
Orthez est de langue occitane. Le premier témoignage de l'existence d'une culture forte est la publication en 1270 de la Charte des Boucheries d'Orthez, non en latin, mais dans un gascon dont les caractéristiques ont peu varié par rapport à aujourd'hui.
La cour d'Orthez, sous Gaston Fébus était réputée en Europe. Le chroniqueur Jean Froissart vint y séjourner. On considère Gaston Fébus comme un des derniers troubadours occitans.
Jeanne d'Albret fonda à Orthez une université qui se voulait l'égale de celle de Genève. Elle fit venir un des premiers imprimeurs à Orthez pour éditer ses livres, en particulier Les Psaumes traduits « en langue béarnaise » par Arnaut de Salette.
Par la suite, Orthez compta de nombreux penseurs, écrivains, poètes et artistes importants, dont la lignée des Reclus. L'inventeur de l'accumulateur au plomb est l'Orthézien Gaston Planté. On citera aussi le poète Francis Jammes et le pianiste Francis Planté.
Patrimoine civil
- La maison Batcave présente un bel exemple d’architecture médiévale privée.
- L’hôtel de la Lune[10], halte pour les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, remonte au XVe siècle.
- La maison de Jeanne d'Albret[11], aujourd'hui siège de l'office du tourisme et musée du protestantisme béarnais, est en fait à l'origine une riche demeure bourgeoise du XVIe siècle, objet d'un don d’Adrien-Arnaud de Gachassin (ou Gachissan), capitaine des milices d'Albret époux de Jeanne d'Asprémont, au roi Antoine de Bourbon et Jeanne d'Albret en vue d'obtenir des lettres d'anoblissement.
- Hôtel de la Belle Hôtesse[12]
- Château de Baure[13]
- Le château de Préville, réalisé par Jean-Baptiste Ernest Lacombe.
- Pigeonnier du Cassou[14]
- Un tableau du XIXe siècle conservé à la mairie représente Gaston de Béarn, fils de Gaston Fébus qui va être assassiné par son père[15].
Patrimoine religieux
- L'église Saint-Pierre[16],[17]date du XIIIe siècle avec l'édification du chœur. Les travaux ne s'achèveront qu'un siècle plus tard avec, entre temps, un changement de style. Parmi ses particularités, on peut citer l'absence de collatéraux et la voûte la plus haute du Béarn. Au XVIe siècle, les protestants la confisquent. En 1865, l'église est restaurée puis agrandie, et un clocher est construit au-dessus du portail d'entrée. Elle abrite une esquisse de Léon Bonnat pour son panneau du Panthéon de Rome - le Martyre de saint Denis - esquisse qui fut offerte par les Beaux-arts en 1924. Deux statues en bois - l'une représentant sainte Anne, mère de Marie et l'autre saint Jacques - décorent également l'église.
- Église paroissiale Saint-Barthélémy[18]
- Église paroissiale Saint-Martin[19]
- Église paroissiale Sainte-Suzanne[20]
- Le temple protestant[21]
- Monastère Sainte-Claire d'Orthez, monastère de Clarisses - Colettines, fondé en 1874. Il s'agit d'un monastère de moniales contemplatives de spiritualité franciscaine.
Patrimoine militaire défensif
- Le château Moncade[22] et sa tour donjon est édifié vers 1250 par Gaston VII Moncade à un endroit stratégique qui était à l'évidence fortifié depuis des temps très anciens. Gaston Fébus en complète les fortifications et lui donne sa forme définitive. Il est alors le siège d'une cour fastueuse. La tour est sauvée de la destruction totale vers 1840 par décision de la municipalité car elle sert tout simplement de carrière pour la construction des maisons alentours.
- Le Pont Vieux[23], datant des XIIIe et XIVe siècles, enjambe le Gave. Il est commencé par Gaston VII Moncade au moment où celui-ci fait d'Orthez la capitale du Béarn et y transporte sa cour. À l'origine il possède deux tours ; il est aujourd'hui remarquable par ses arches inégales et sa tour centrale fortifiée. Il a résisté aux deux assauts importants qu'a subis Orthez, en 1569 par les troupes protestantes de Montgomery et en 1814 par celles du Duc de Wellington lancées derrière les troupes napoléoniennes.
Patrimoine environnemental
- lac d'Orthez-Biron (36 ha), au sud-est, rive gauche, base de loisirs.
- lac du Grècq (8 ha), au nord, en liaison avec le circuit pédestre, arboretum de la Coudane, départ du château Moncade.
Équipements
- Éducation
La commune dispose de trois écoles élémentaires, trois écoles maternelles, de trois écoles primaires, un groupe scolaire catholique "Notre-Dame Saint-Joseph", d'un collège (Daniel Argote[24]) et d'une cité scolaire (collège et lycée général) Gaston Fébus[25]. Elle dispose également de trois lycées professionnels (Francis Jammes[26], Molière et le lycée professionnel agricole).
La commune possède une école Calandreta (calandreta d'Ortès).
- Clubs et équipements sportifs
L'Élan Béarnais Pau-Orthez est un club professionnel français de basket-ball appartenant à l'élite du championnat de France et basé à Pau. Il a été fondé en 1931 et évoluait dans la ville d'Orthez. Le club de basket-ball n'était alors qu'une section du club omnisports créé 23 ans auparavant. En fait il ne s'agissait pas d'un club au sens où on l'entend aujourd'hui, mais d'un patronage, créé par des ecclésiastiques pour permettre aux jeunes de la ville d'Orthez de faire du sport. Les « laïcs » de leur côté allant à l'U.S. Orthez.
L'Union sportive Orthez est un club de rugby à XV français évoluant en 2006-2007 en Fédérale 1.
Orthez nautique Canoë Kayak, club de canoë-kayak dont certains membres évoluent en 2006-2007 en Nationale I.
Orthez a été le point de départ le 25 juillet de la 16e étape du Tour de France 2007. Le parcours de 218 kilomètres a relié Orthez à Gourette - Col d'Aubisque.
Personnalités liées à la commune
- nées au XIVe siècle
- Gaston III Febus (30 avril 1331 - 1391), comte de Foix-Béarn.
- nées au XVe siècle
- Adrien-Arnaud de Gachassin, né en 1497 et décédé en 1569, premier seigneur de l'Abbaye noble d'Orthez de cette famille, avec le titre de vicomte, par lettres patentes de Jeanne d'Albret.
- nées au XVIe siècle
- Pierre Viret (Orbe, 1511-Orthez, 1571) est un réformateur vaudois et une figure importante de la Réforme.
- nées au XVIIIe siècle
- Jacques Faget de Baure (1755-1817), homme politique et historien ;
- Bernard Dessein, né le 19 mars 1762 à Orthez, est un militaire français ;
- Pierre-Henry d'Arnaudat ou Darnaudat (1763-1807), général des armées de la République ;
- Le poète espagnol Nicasio Álvarez Cienfuegos (Madrid, 1764-Orthez, 1809), auteur néoclassique et préromantique, mourut exilé à Orthez, où il a sa tombe ;
- Pierre-Chaumont Liadières (1792-1858), homme politique.
- nées au XIXe siècle
- Pierre-Charles Chesnelong (14 avril 1820 Orthez - 22 juillet 1899 Orthez), maire d’Orthez en 1855, député de 1865 à 1870, sénateur à vie en 1876.
- Élie Reclus, journaliste, ethnologue et militant anarchiste (Orthez, 1827 - Bruxelles, 1904).
- Félix Pécaut (1828-1898 à Orthez), Salisien, fondateur de la première École normale supérieure d'institutrices en 1880.
- Élisée Reclus, géographe et militant anarchiste (Sainte-Foy-la-Grande, 1830 - Thourout, 1905).
- Gaston Planté, physicien français (Orthez 1834 - Bellevue 1889) est l'inventeur de l'accumulateur électrique en 1859.
- Onésime Reclus, géographe (Orthez 1837 - 1916), inventeur du mot francophonie.
- Armand Reclus, né à Orthez en 1843, mort à Sainte-Foy-la-Grande en 1927, officier de marine, réalisa le tracé du canal de Panama.
- Paul Reclus, né à Orthez en 1847 – décédé en 1914, chirurgien, auteur d'un procédé d'anesthésie, recherches sur la maladie de Reclus.
- Francis Jammes, (Tournay, 2 décembre 1868 - Hasparren, 1er novembre 1938), poète.
- nées au XXe siècle
- Jean-Louis Curtis (22 mai 1917 à Orthez - 11 novembre 1995, Albert Laffitte à l'état civil) est un romancier et essayiste français, lauréat du prix Goncourt en 1947 pour son roman Les Forêts de la nuit et élu à l'Académie française en 1986.
- François Saint Macary, né le 7 janvier 1936 à Orthez, fut l'archevêque de Rennes de septembre 1998 à mars 2007, Dol-de-Bretagne et Saint-Malo, et archevêque métropolitain de la Province ecclésiastique de Rennes.
- Jean-Claude Lasserre, né le 29 janvier 1939 et mort le 19 décembre 2002, à Orthez, est un historien de l'art.
- René Bénésis est un joueur de rugby à XV, né le 29 août 1944 à Orthez.
- Alain Larrouquis, né le 15 juin 1950 à Orthez, est un joueur de basket-ball.
- Corinne Touzet est une actrice, réalisatrice et productrice née le 21 décembre 1959 à Orthez.
- Pierre Seillant est un dirigeant sportif français de basket-ball (Président et dirigeant de l'Élan Béarnais Pau-Orthez)
- Joël Suhubiette, né à Orthez en 1962, musicien et chef de chœur.
- Jean-Marc Lalanne (né en 1967 à Orthez) est un critique de cinéma.
Notes et références
- Gentilé sur habitants.fr
- Fiche du Sandre sur Orthez
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Sauvelade, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca Cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de
- XIVe au XVIIe siècle - Archives de la mairie d'Orthez Cartulaire d'Orthez, dit Martinet, manuscrit du
- Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques Contrats retenus par Luntz, notaire de
- Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques Notaires de
- Pau - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques titres de la chambre des comptes de
- Annuaire des villes jumelées
- Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'hôtel de la Lune
- Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur la maison de Jeanne d'Albret
- Ministère de la culture, base mérimée - Notice sur l'hôtel de la Belle Hôtesse
- Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le château de Baure
- Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le pigeonnier du Cassou
- Base Mérimée - Notice sur le tableau représentant Gaston de Béarn
- Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre
- ISBN 2-7084-0421-0 Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - pp. 217-223 - Picard - Paris - 1992 -
- Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Barthélémy
- Ministère de la culture, base-Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin
- Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Sainte-Suzanne
- Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le temple
- Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur les vestiges du château Moncade
- Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le Vieux Pont
- Site du collège Daniel Argote
- Site du collège Gaston Fébus
- Site du Lycée Professionnel Francis Jammes
Pour approfondir
Articles connexes
- Liste des communes des Pyrénées-Atlantiques
- Vicomté d'Oloron
- Route nationale 117
- Route nationale 647
- Autoroute française A64
- Ligne Toulouse-Bayonne
- La ville est membre du l'Union des villes taurines françaises
Liens externes
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