Le Temple-de-Bretagne

Le Temple-de-Bretagne
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47° 19′ 44″ N 1° 47′ 20″ W / 47.3288888889, -1.78888888889

Le Temple-de-Bretagne
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Arrondissement de Nantes
Canton Canton de Saint-Étienne-de-Montluc
Code commune 44203
Code postal 44360
Maire
Mandat en cours
Dominique Uberti
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Estuaire
Site web Site officiel
Démographie
Population 1 828 hab. (2008)
Densité 1 063 hab./km²
Gentilé Templiers
Géographie
Coordonnées 47° 19′ 44″ Nord
       1° 47′ 20″ Ouest
/ 47.3288888889, -1.78888888889
Altitudes mini. 77 m — maxi. 90 m
Superficie 1,72 km2

Voir la carte physique

Voir la carte administrative

Le Temple-de-Bretagne est une commune française, située dans le département de la Loire-Atlantique et la région Pays de la Loire.

C'est la plus petite commune de Loire-Atlantique pour la superficie.

Sommaire

Géographie

Situation de la commune du Temple-de-Bretagne dans le département de Loire-Atlantique

Le Temple-de-Bretagne est situé sur le sillon de Bretagne, à 20 km au nord-ouest de Nantes.

Les communes limitrophes sont Fay-de-Bretagne, Vigneux-de-Bretagne, Cordemais et Malville.

Selon le classement établi par l’INSEE en 1999, Le Temple-de-Bretagne est une commune rurale monopolarisée qui fait partie de l’aire urbaine de Nantes et de l’espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Communes de Loire-Atlantique).

Histoire

En 1917 l’abbé P. Grégoire publia une brochure intitulée :

« Une bourgade de la Loire Inférieure, Le Temple de Bretagne ».

La voici en quasi totalité :

I - LES ORIGINES

À cinq lieues de Nantes, sur le grand chemin de Vannes après avoir traversé à mi-distance environ la bourgade de Sautron, le voyageur en rencontrait une autre, ou la poste faisait son premier relais à l’hôtel du Lion d’Or. De toute nécessité il fallait y faire halte.

Cette petite localité était une ancienne commanderie, où les chevaliers de Terre Sainte s’étaient établis pour protéger les passants contre les malfaiteurs embusqués dans les broussailles des landes et des bois. Aussi nos pères avaient-ils appelés cet endroit Le Temple Maupertuis (mauvais passage), tant à cause de son origine que de sa situation. Au siècle dernier et même de longtemps il n’en était plus ainsi : la route rectifiée, la forêt abattue, les landes défrichées tout était changé.

L’ordre religieux-militaire des Templiers fut créé à Jérusalem en 1118 par Hugues de Payns. Baudouin II roi de France à Jérusalem leur donna comme demeure l’ancien temple de Salomon, d’où leur nom de templiers.

Les chevaliers de noble extraction, s’engagent, entre autres, à veiller à la sûreté des grands chemins pour favoriser les pèlerinages en Terre Sainte.

Ils reçoivent de l’argent et des terres du roi de France et du duc de Bretagne. Les riches Seigneurs leur ajoutant des offrandes : Les Templiers fondent des établissements pour former des recrues, comme Sainte-Catherine à Nantes. Ils installent des garnisons aux points stratégiques comme le Temple Maupertuis. En 1312, ce fut la dissolution de l’ordre.

Les hospitaliers recueillirent alors leur héritage. Les religieux de Saint-Jean dont l’institution remontait au XIe prirent naissance à Jérusalem ou ils soignaient gratuitement les pèlerins et les voyageurs malades dans les hôpitaux de Saint-Jean. Dès le XIIe, le grand maître de l’ordre Raymond Du Puy décide de séparer les hospitalier en deux branches : les soignants et les combattants. Ces derniers étant chargés de protéger les routes. C’est à Malte que fut établi le siège de l’ordre en 1530. À Nantes, ils avaient la commanderie Sainte-Catherine et l’hôpital Saint-Jean.

À quelle époque commença l’établissement du Temple Maupertuis ?

Il faut arriver en 1182 (mais on pense que le temple existait bien avant cette date) pour trouver un texte qui fasse mention de cette établissement. La chartre dont il s’agit, attribué au duc Conan IV qui mourut en 1166 doit être regardé comme apocryphe ; cependant elle garde toute sa valeur pour la date qu’elle porte. On y relate toutes les possessions des Templiers. Entre autres est celle-ci : Molendina de Maupertuis. Il y avait donc là appartenant aux Templiers dès cette époque reculée, des moulins.

Mais une autre pièce d’archive est plus explicite. Le 28 août 1219, un chevalier croisé du pays Nantais, Philippe de Vigneux, se trouvant en Palestine, au camp de l’armée assiégeant Damiette, « fait don à Dieu, à la bienheureuse Vierge Marie et aux frères de la milice du Temple de Salomon pour le salut de son âme, de tous les droits de pacage et coutumes lui appartenant au village des dits frères de Maupertuis. » Il fit cette donation en présence de plusieurs compagnon d’armes, en particulier Chautard de Rougé et Rosselin de Sion. Ce document est si authentique que les habitants du Temple jouirent de ces droits jusqu’à la révolution.

Dans le chartier du Temple et de Malte, plus de mention de Maupertuis jusqu’à la date de 1580. De cette époque est un aveu du commandeur de Nantes affirmant « avoir une haute justice qu’il exerce au bourg du Temple Maupertuis et y jouir des droits de moulins et de coutumes et lui appartenir aussi de pouvoir de preste la cure et la paroisse de St Léonard du Temple Maupertuis, ladite église et son presbytère se trouvant en son fief et fondé par luy ».

La possession était de minime importance car le rôle entier de la paroisse était de 20 Fr par denier, plus cinq chapons et deux poules, payables à la Toussaint et à Pâques. Mais le fief du commandeur s’étendait dans les paroisses voisines : Malville, Quilly, Guenrouët, Campbon et Prinquiau. Il y avait aussi le droit de lever des dîmes dans toute la paroisse du Temple.

Le domaine de la commanderie se composait ainsi : « au bourg un bois de haute futaie de quatre journaux, ailleurs neuf journaux de terres labourable, 400 journaux de landes et communs, où les gens du commandeurs font pasturer leur bestail ».

L’église paroissiale de Saint-Léonard aurait-elle été le premier centre religieux de Maupertuis ? Nous serions portés à croire que ce fut la petite chapelle dite de Notre-Dame-de-Toutes-Vertus. Le culte de la Sainte Vierge étant dans la tradition de l’ordre de Malte, Il se peut que les chevaliers eussent d’abord élevé ce modeste sanctuaire en l’honneur de leur patronne, avant de construire une église dédiée à saint Léonard, patron des prisonniers.

Une vieille chronique rapporte qu’à la suite d’une expédition sur les côtes barbaresques, on ramena au pays beaucoup de prisonniers maures et bédouins qu’on employa au défrichement des landes et qui se mêlèrent plus tard à la population indigène par mariage.

Cette chapelle de Toutes Vertus qu’entourait autrefois un cimetière et auprès de laquelle il y avait une fontaine vénérée, (celle-ci se voit encore mais semble négligée) porte le cachet du XVIe, avec des remaniements qui la défigurent en partie. À côté d’elle on remarquera de vielles masures et en particulier une très ancienne construction, sur le chemin du cimetière, qui porte le nom d’Ermitage. Cette maison n’aurait-elle pas été primitivement la maison du desservant ou du gardien de la chapelle ?

L’église Saint-Léonard, pauvre et petite telle que vous l’avez vu en 1830 formait une simple nef entourée d’un petit cimetière. On voit au pied du mur de l’abside un puits (une pompe actuellement) qui sert encore à la population du bourg : il doit dater de la construction primitive, selon l’usage d’autrefois.

La seigneurie du Temple Maupertuis, annexe de Sainte-Catherine et de Saint-Jean n’existait plus au XVIIe.

Les chevaliers de l’ordre de Malte y avaient droit de haute justice, de moulins et autres privilèges féodaux. On nomme encore dans le pays un pré de la justice situé à gauche en entrant dans le bourg par la route de Nantes, entre la route actuelle et le vieux chemin ; la potence devait s’y élever et les condamnés qu’on exécutait après jugement avait là leur sépulture.

Une très vieille croix, qu’on appelle la « Croix du Commandeur », bordant le chemin et le pré que nous venons de mentionner, se dresse toujours aux yeux des passants. À son pied on aurait trouvé des ossements humains ; elle a perdu un bras qu’un véhicule aurait, dit-on, brisé.

Le cadastre indique la place du four banal et de la fuye qui devait se trouver entre le presbytère actuel et l’église.

On remarque au bout du bourg et du même côté de la route une vieille habitation qui semblerait remonter au temps de l’établissement des Templiers ou du moins des Chevaliers de Malte : on l’appelle la Cour. Il est vraisemblable qu’elle fut manoir de l’ordre. Dans la suite elle devint une maison noble. Aujourd’hui elle est un peu défigurée mais elle existe dans sa totalité, hormis une tour qui se trouvait derrière le manoir et qui existait encore en 1917.

L’hôtel du Pigeon Blanc, qui n’est plus qu’une ruine à présent, était primitivement, sans doute, le seul relais pour les chevaux de poste. Il borde l’ancien chemin. Ce chemin dépavé, mal entretenu, qui formait en grande partie la limite de la paroisse partait de la croix du commandeur, contournait les maisons du bourg, passait à la Pionnerie, rasant le bois et longeant la fontaine Moret. De la route de Cordemais, il allait rejoindre la route actuelle au-dessus du village de la Mariaudais. C’était cela le Maupertuis ou mauvais passage du XVIIe, on l’abandonna et l’on traça en ligne droite une large voie dans la traverse du bourg. L’hôtel du Pigeon Blanc se trouvait par là-même délaissé. Aussi construisit-on à gauche dès l’entrée du village, en venant de Nantes, l’hôtel du Lion qui s’appela plus tard du Lion d’Or ; cette maison, désaffectée depuis longtemps, porte la date de 1602. Elle a grand air et se trouve en retrait de la route, laissant devant elle un vaste espace pour les voyageurs et les diligences. L’hôtel du « Sillon de Bretagne », construit au XIXe, masque cette vielle maison hélas récemment détruite. À côté et dans le même alignement il en est une autre qui paraît plus ancienne et où pendait, dit-on, l’enseigne du Pélican.

Pour faire revivre la bourgade telle qu’elle pouvait l’être en ces siècles passés, il faudrait raconter une relation écrite par un voyageur de ce temps-là, Dubuisson-Aubenay, ce touriste du XVIIe qui visita la province en malle-poste et à cheval passa certainement au Temple. D’après son Itinéraire de Bretagne (1636) en venant de Vannes il fit halte à Pontchâteau et à Coislin en Campbon et nous dit qu’en traversant la chaussée de l’étang de Malville, il reprit au Temple le grand chemin de Nantes, mais il n’ajoute rien, bien qu’il se plaise à décrire les endroits où il passe. Jouvain, un autre voyageur de la même époque, dans son Voyage en Bretagne (1672), parle du chemin de Nantes à Brest par Vannes ; il admire les maisons de campagne qui entourent la ville et il poursuit : « Il faut passer une grande plaine qui ne produit rien jusqu'à Sotteron (Sautron), paroisse à deux lieues et quelque, peu de bois avec des Landes où est le Temple ; ensuite nous traversâmes une campagne de 5 lieues de long qui finissent à Pontchâteau ». Voilà tout ce que les voyageurs d’autrefois nous font connaître.

Un point d’histoire qu’il aurait été agréable d’éclaircir, c’est de savoir à quelle date les chevaliers de Malte ont abandonné leur poste de Maupertuis. Sans doute les Templiers y ont pris leur établissement et certainement leur héritiers durent-ils continuer la sauvegarde de ce passage dangereux. Si au début du XVIIe le manoir de la cour ne servait plus que de résidence à des particuliers, c’est que le poste de police n’existait plus et que les chevaliers avaient fait abandon d’une partie de leurs droits seigneuriaux, ne gardant que les revenus et les redevances. En 1656, Daniel de Mailly, chevalier de Malte, signe au bas d’un acte de baptême sur le registre de Vigneux. Il ne faut pas en conclure qu’il habitait au Temple, mais plutôt qu’il était en tournée de visite, selon les prescriptions de la règle de Malte.

Rappelons en terminant cette monographie Comment le Temple Maupertuis devint le Temple de Bretagne. Pendant la Révolution, dans les actes publics, on supprime la dénomination de Maupertuis. Demanda-t-on à la Convention d’être légalement autorisée à le faire ? Nous n’avons point trouvé de décret, et pourtant on sait quels noms furent imposés à toutes les localités dont le nom rappelait l’Ancien Régime ou la religion. Ce que nous savons c’est que la municipalité dans sa séance du 10 messidor an VIII (28 juin 1800), décida que l’on appellerait la commune par ce simple mot : LE TEMPLE.

Cependant on s’aperçut plus tard qu’il pouvait y avoir confusion avec bien d’autres localités en France, d’anciennes commanderies qui portaient le même nom. On eut l’idée d’ajouter « DE BRETAGNE » comme cela se fit pour la commune voisine de Fay. Toutefois, cette dénomination n’avait rien d’officiel. À l’époque de l’établissement du réseau télégraphique, la municipalité déclara à la commission chargée d’établir les services de correspondance que depuis longtemps la commune s’appelait « Le-Temple-de-Bretagne ». D’après cette déclaration du 24 août 1887, le sous-préfet de Saint-Nazaire enquêta sur l’affaire, et au mois suivant, le 11 septembre, le conseil se prononça nettement pour garder cette nomination qui fût approuvée par le décret présidentiel du 27 juillet de l’année suivante.

Maupertuis n’est donc plus aujourd’hui qu’un mauvais souvenir, et rien ne saurait le rappeler. Les habitants du Temple, affables et hospitaliers ont fait de leur localité un lieu ou l’on n’a plus besoin pour sa sécurité de chevaliers de Malte ni de braves gendarmes.

Héraldique

Blason Blasonnement
D'hermine à la croix templière haussée, alésée, mouvant de la pointe, au bras senestre brisé, peinte au naturel.
Commentaires : La croix représentée est la Croix du Commandeur de la ville. Cette croix a perdu un bras, qu'un véhicule aurait brisé. L'hermine évoque le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par Olivier Cruau et Y. Soudy (délibération municipale en 1995).

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1812 1821 Jean Rebondin
1821 1829 Rémi Nicaise
1829 1831 Jean Rebondin
1831 1834 Pitre Sengstack
1834 1841 Pierre Marand
1841 1860 Germain Raymond
1860 1865 Pierre Lebreton
1865 1871 Pierre Cabas
1871 1874 Pierre Marand
1874 1876 Pierre Ripoche
1876 1878 Pitre Sengstack
1878 1884 Pierre Marand
1884 1887 Pierre Ripoche
1887 1892 Jean Pouplard
1892 1895 François Bernard
1895 1901 Jean Pouplard
1902 1903 François Bernard
1903 1904 François Bousseau
1904 1908 Pierre Poujade
1908 1912 Joseph Bonnet
1912 1919 François Bousseau
1919 1934 Arthur Bernard de Lajartre
1934 1965 Joseph Bonnet
1965 1989 Joseph Legoux
1989 2001 Alexandre Pellerin
2001 2008 Michel Anizan Divers droite Agent EDF retraité
2008 Dominique Uberti SE Mère au foyer

Démographie

Évolution démographique

En 2008, Le Temple-de-Bretagne comptait 1 828 habitants (soit une augmentation de 17 % par rapport à 1999). La commune occupait le 5 460e rang au niveau national, alors qu'elle était au 5 786e en 1999, et le 151e au niveau départemental sur 221 communes.

L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Le Temple-de-Bretagne depuis cette date. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Le Temple-de-Bretagne, cela correspond à 2008, 2013, etc. Les autres dates de « recensements » (2006, etc. ) sont des estimations[1],[N 1].

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 331 302 337 508 610 510[2] 558 615 616
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 557 579 578 556 524 517 547 569 578
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 494 504 497 429 412 402 372 377 435
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 -
Population 539 519 612 1 009 1 420 1 557 1 768[3] 1 828[4] -
Notes, sources, ... Sources : pour le recensement de 1836, archives départementales de la Loire-Atlantique[2], base Cassini de l'EHESS pour les nombres retenus jusque 1962[5], et à partir de 1968 : Insee (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)[6],[3],[4].
Histogramme

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (11,9 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,9 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,1 % contre 48,4 % au niveau national et 48,5 % au niveau départemental).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 51,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 27,1 %, 15 à 29 ans = 18,1 %, 30 à 44 ans = 26,1 %, 45 à 59 ans = 18,4 %, plus de 60 ans = 10,3 %) ;
  • 48,9 % de femmes (0 à 14 ans = 23,6 %, 15 à 29 ans = 15,7 %, 30 à 44 ans = 26,2 %, 45 à 59 ans = 21 %, plus de 60 ans = 13,5 %).
Pyramide des âges à Le Temple-de-Bretagne en 2007 en pourcentage[6]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,0 
90 ans ou +
0,2 
1,8 
75 à 89 ans
4,0 
8,5 
60 à 74 ans
9,3 
18,4 
45 à 59 ans
21,0 
26,1 
30 à 44 ans
26,2 
18,1 
15 à 29 ans
15,7 
27,1 
0 à 14 ans
23,6 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2007 en pourcentage[7]
Hommes Classe d'âge Femmes
0,3 
90  ans ou +
1,0 
5,3 
75 à 89 ans
8,7 
11,4 
60 à 74 ans
12,8 
20,3 
45 à 59 ans
19,8 
21,6 
30 à 44 ans
20,4 
20,6 
15 à 29 ans
18,8 
20,5 
0 à 14 ans
18,3 

Lieux et monuments

  • Site du bourg au point culminant du Sillon de Bretagne (91 m)
  • La chapelle Notre Dame de toutes Vertus[8]
  • La Croix du Commandeur

Personnalités liées à la commune

Fête

Notes et références

Notes

  1. Par convention, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de présenter :
    * pour 2004 et 2005 la population réelle publiée dans la base Cassini (attribuée par convention à l'année 2006 par l'EHESS) si elle existe ;
    * la population 2006, première population légale connue post-1999 publiée par l’Insee ;
    * les populations suivantes correspondant aux années réelles de recensement publiées par l’Insee ;
    * la dernière population légale publiée par l’Insee.

Références

  1. Calendrier de recensement sur insee.fr. Consulté le 2 mai 2011
  2. a et b Le Temple 1836 sur Archinoë portail d'indexation collaborative. Consulté le 2 mai 2011
  3. a et b Recensement de la population au 1er janvier 2006 sur insee.fr. Consulté le 27 j0uillet 2010
  4. a et b Recensement de la population au 1er janvier 2008 sur insee.fr. Consulté le 2 mai 2011
  5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur Base Cassini de l'École des hautes études en sciences sociales. Consulté le 20 juillet 2010
  6. a et b Évolution et structure de la population sur insee.fr. Consulté le 20 juillet 2010
  7. Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique en 2007 sur insee.fr. Consulté le 2 mai 2011
  8. L'histoire du Temple de Bretagne sur www.letempledebretagne.fr

Voir aussi

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Articles connexes


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