La Ville-du-Bois

48° 39′ 40″ N 2° 16′ 07″ E / 48.661096, 2.2687465

La Ville-du-Bois
L'hôtel de ville.
Administration
Pays	France
Région	Île-de-France
Département	Essonne
Arrondissement	Palaiseau
Canton	Montlhéry
Code commune	91665
Code postal	91620
Maire Mandat en cours	Jean-Pierre Meur (DVD) 2008-2014
Intercommunalité	Communauté d'agglomération Europ'Essonne
Démographie
Population	7 194 hab. (2008)
Densité	1 987 hab./km²
Gentilé	Urbisylvain
Géographie
Coordonnées	48° 39′ 40″ Nord        2° 16′ 07″ Est / 48.661096, 2.2687465
Altitudes	mini. 82 m — maxi. 162 m
Superficie	3,62 km2
Localisation carte nationale

La Ville-du-Bois (prononcé [la vil d̪y bwa] ) est une commune française située à vingt-deux kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne et la région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Urbisylvains^[1].

Sommaire 1 Géographie 1.1 Situation 1.2 Hydrographie 1.3 Relief et géologie 1.4 Communes limitrophes 1.5 Climat 1.6 Transports 1.7 Lieux-dits, écarts et quartiers 2 Toponymie 3 Histoire 3.1 Les métiers de jadis 4 Démographie 4.1 Évolution démographique 4.2 Pyramide des âges 5 Administration et politique 5.1 Politique locale 5.2 Maires de La Ville-du-Bois 5.3 Tendances et résultats politiques 5.4 Enseignement 5.5 Santé 5.6 Services publics 5.7 Jumelages et partenariats 6 Vie quotidienne à La Ville-du-Bois 6.1 Culture 6.2 Sport 6.3 Lieux de culte 6.4 Médias 7 Économie 7.1 Emplois, revenus et niveau de vie 8 Culture locale et patrimoine 8.1 Patrimoine environnemental 8.2 Patrimoine architectural 8.3 Personnalités 8.4 Héraldique et logotype 8.5 Mythes, légendes et anecdotes 9 Pour approfondir 9.1 Articles connexes 9.2 Liens externes 9.3 Bibliographie 10 Sources

Géographie

Situation

Occupation des sols en 2008.

Type d'occupation	Pourcentage	Superficie (en hectares)
Espace urbain construit	55,5 %	195,74
Espace urbain non construit	11,4 %	40,07
Espace rural	33,2 %	117,06
Source : Iaurif[2]

Hydrographie

Plusieurs cours d'eau irriguent la commune, Le Mort ru au sud de la commune, le ruisseau Blanc, au nord qui se jette dans le Rouillon, le ru Gaillard. Le ruissellement des eaux était canalisé et aboutissait à de nombreuses mares et petits étangs qui servaient d'abreuvoir et à l'occasion des festivités locales s'y déroulaient des parties de pêche, notamment à l'abreuvoir du Trou à Terre aux Sablons.

Relief et géologie

Communes limitrophes

Climat

La Ville-du-Bois, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé aux hivers frais et aux étés doux, et est régulièrement arrosée sur l'ensemble de l'année. En moyenne annuelle, la température s'établit à 10,8 °C, avec une maximale de 15,2 °C et une minimale à 6,4 °C. Les températures réelles relevées sont de 24,5 °C en juillet au maximum et 0,7 °C en janvier au minimum, mais les records enregistrés sont de 38,2 °C le 1^er juillet 1952 et -19,6 °C le 17 janvier 1985. Du fait de la moindre densité urbaine entre Paris et sa banlieue, une différence négative de un à deux degrés celsius se fait sentir. L'ensoleillement est comparable à la moyenne des régions du nord de la Loire avec 1 798 heures par an. Les précipitations sont également réparties sur l'année, avec un total de 598,3 millimètres de pluie et une moyenne approximative de cinquante millimètres par mois.

Données climatiques à La Ville-du-Bois.

mois	jan.	fév.	mar.	avr.	mai	jui.	jui.	aoû.	sep.	oct.	nov.	déc.	année
Température minimale moyenne (°C)	0,7	1,0	2,8	4,8	8,3	11,1	13,0	12,8	10,4	7,2	3,5	1,7	6,4
Température moyenne (°C)	3,4	4,3	7,1	9,7	13,4	16,4	18,8	18,5	15,6	11,5	6,7	4,3	10,8
Température maximale moyenne (°C)	6,1	7,6	11,4	14,6	18,6	21,8	24,5	24,2	20,8	15,8	9,9	6,8	15,2
Ensoleillement (h)	59	89	134	176	203	221	240	228	183	133	79	53	1 798
Précipitations (mm)	47,6	42,5	44,4	45,6	53,7	51,0	52,2	48,5	55,6	51,6	54,1	51,5	598,3

Transports

Cars Daniel Meyer, pour rejoindre la Porte d'Orléans

Lieux-dits, écarts et quartiers

La croix St Jacques où se trouvent un centre de loisirs et un centre commercial Carrefour, La Sablière, La Fosse aux Moines, Le Trou à Terre, Les Joncs Marins, La Grange aux Cercles, Maison Rouge, Gros Chêne et La Garenne.

Toponymie

L'origine du nom de la commune est peu connue. Elle fut créée en 1793 sous le nom de Ville du Bois, l'article fut ajouté en 1801 dans le bulletin des lois^[5].

Histoire

À l'origine, simple hameau de Nozay, il dépendait de la châtellenie de Marcoussis jusqu'à la Révolution. Ce minuscule hameau s'étant constitué au carrefour de la forêt d'Aqualina (forêt d'Yveline) et de la forêt de Séquigny (forêt de Sainte Geneviève-des-Bois), se nommait Villa Bosci. Il y a quelques années des outils en silex taillés, furent trouvés dans les champs, par les maraîchers. Puis dans les cartulaires du Prieuré de Longpont, nous relevons le nom de Boscis Guildonis Adegavensus; c'est-à-dire le Bois de Monsieur Guy d'Anjou. Il va croître à la croisée des grands chemins gaulois, allant de Villejust à Montlhéry et de Marcoussis à Ballainvilliers en passant par Nozay. Au bord de la grande voie reliant Lutèce à Orléans.

Ce n'est qu'au XIV^e siècle siècle dans un aveu de dénombrement destiné au Roi Charles VI de France dit le Fou daté du 30 septembre 1386, qu'apparaît le nom de La Ville-du-Bois, sous la forme suivante: " Fief tenu par Jean de La Neuville de Nozay et de La Ville du Bois". Le village s'appelle donc Nozay-La Ville du Bois, jusqu’à la Révolution.

Parmi les fiefs : celui de Beaulieu connu depuis le XVII^e siècle siècle appartenant à Léon II Balsac d'Illiers d'Entragues, qui le légua à son fils Alexandre d'Illiers de Balsac d'Entragues et que ce dernier cédera le 3 mai 1730, à Claude Erard, Notaire Royal, Avocat au Parlement. Consistant en Maison et bâtiments, jardin et potager, planté d'arbres fruitiers, contenant 15 arpents et clos de murs. Dont l'avant-cour et la cour d'honneur étaient accessibles depuis la Grande Rue du village. Ce domaine était encore ceint de murs à la fin du XIX^e siècle siècle. Il fut acheté par François Valentin, (1763-1822) général et baron d'Empire, directeur du Haras de Langonnet (Morbihan). C'est lui qui transforma la propriété en 1816, faisant construire la grande maison bourgeoise. La propriété aura pour propriétaires successifs : M. Gille Bert; Poyet, avocat; Mme Brassac et M. Lalain en 1896, qui fait démolir la maison, transformant les lieux en exploitation maraîchère. À sa mort en 1920, le domaine qui revint à sa fille Madame de Luget fut vendu aux enchères sur licitation en 1923 et la ville en fit l'acquisition. Une partie fut lotie sur le pourtour de l'étang et le reste de de cet endroit aménagé en place verte.

Les métiers de jadis

Au XVIII^e siècle siècle, les artisans et commerçants étaient nombreux, on comptait près d'une quarantaine de corps de métiers ; menuisiers, rue des Cailleboudes, charrons, rue Gaillard; maréchaux-ferrants, dans la Grande Rue, forgerons, maçons, charpentiers, bourreliers, matelassiers, vanniers, assez nombreux, qui fabriquaient les paniers d'osier, servant au transport des fraises et autres légumes fragiles, un d'eux se trouvait à la Grange-aux-Cercles ; marchands de bois, rue des Cailleboudes ; charbons, merciers, journaliers, bûcherons, scieurs de longs, dans l'alimentation et en commençant par les débits de boissons, plus d'une quinzaine de bistrots, sur la commune et aux alentours, grainetier : Chavignier, dans la Grande Rue; boucherie-charcuterie : E. Damiot, également Grande Rue.

Les petits métiers à domicile; gens de maison, commis, charretiers, bûcherons, gardes-forestiers, gardes champêtres, coursiers, facteurs, couturières, lingères, coiffeurs, barbiers, saisonniers. Puis l'exploitation des carrières pour la fabrications des pavés.

Une carrière était située au Gros Chêne, une autre, la carrière Trimoulet était située à La Garenne. les pierres extraites servaient à la fabrication de pavés, taillés sur place. Cette activités occupaient une vingtaine d'ouvriers. Les pavés étaient conduits par tombereaux à chevaux jusqu'à la gare de marchandises de La Petite Ville du Bois. Le second choix de cette marchandise a servi à paver les rues de la commune et celles alentour.

Démographie

Évolution démographique

Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)

Pyramide des âges

Administration et politique

Politique locale

L'Insee attribue à la commune le code 91 3 20 665^[11]. La commune de La Ville-du-Bois est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 106 655. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z^[12].

Conseil municipal de La Ville-du-Bois (mandature 2008-2014)^[13].

	Liste	sTendance	Président	Effectif	Statut
	« Union communale de La Ville-du-Bois - UCVB »	DVD	Jean-Pierre Meur	23	Majorité
	« Vivre autrement »	DVG	Véronique Pujol	3	Opposition
	« Avenir et progrès VDB »	DVD	Patrick Rapp	3	Opposition

Maires de La Ville-du-Bois

Liste des maires successifs^[14].

Période		Identité	Étiquette	Qualité
Liste des maires avant 1995. Période Identité Étiquette Qualité 1790 1792 Claude Cossonet   Vigneron 1792 1794 Pierre Broussin     1794 1795 Julien Bourgeron     1795 1796 Pierre Coussin     1796 1798 François-Marcel Cossonet     1798 1801 Pierre Cansien Clozeau     1801 1813 Joseph Macé de Bagneux     1813 1813 François Martin     1813 1827 François-Marcel Cossonet     1827 1833 Joseph Macé de Bagneux     1833 1840 Jean-Claude Bourgeron     1840 1849 Gabriel Gilbert     1849 1849 Eutrope Bourgeron     1849 1865 Auguste Joseph Macé de Bagneux     1865 1876 Théodore Bourgeron     1876 1890 Luc Dauphin     1890 1892 Jean-Baptiste Clozeau     1892 1894 François Benoit Boissicat     1894 1896 Henry Dubois     1896 1908 Emmanuel de Lalain Chomel     1908 1938 Albert Montgobert     1938 1944 Alfred Cossonet     1944 1945 Raymond Auroux     1945 1953 Albert Desnoyers     1953 1965 Marcel Spiral     1965 1971 Emile Orriols     1971 1995 Marcel Prioul PCF
1995	en cours	Jean-Pierre Meur	DVD	Ingénieur électricien[15]
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Tendances et résultats politiques

Après avoir été dirigée pendant vingt-quatre ans dirigée par un maire communiste, La Ville-du-Bois a basculé à droite en 1995. En 2008 les urbisylvains ont renouvelé leur confiance au maire sortant dès le premier tour, malgré la présence d'une liste Divers droite dissidente.

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

• Élection présidentielle de 2002 : 81,49 % pour Jacques Chirac (RPR), 18,51 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 78,74 % de participation^[16].
• Élection présidentielle de 2007 : 57,33 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 42,67 % pour Ségolène Royal (PS), 86,00 % de participation^[17].

Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

• Élections législatives de 2002 : 54,82 % pour Pierre-André Wiltzer (UMP), 45,18 % pour Marianne Louis (PS), 55,63 % de participation^[18].
• Élections législatives de 2007 : 59,07 % pour Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP), 40,93 % pour Olivier Thomas (PS), 55,04 % de participation^[19].

Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

• Élections européennes de 2004 : 25,45 % pour Harlem Désir (PS), 14,51 % pour Patrick Gaubert (UMP), 39,20 % de participation^[20].
• Élections européennes de 2009 : 30,53 % pour Michel Barnier (UMP), 16,61 % pour Daniel Cohn-Bendit (Les Verts), 38,45 % de participation^[21].

Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

• Élections régionales de 2004 : 48,69 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 39,68 % pour Jean-François Copé (UMP), 62,58 % de participation^[22].
• Élections régionales de 2010 : 53,36 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 46,64 % pour Valérie Pécresse (UMP), 44,55 % de participation^[23].

Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :

• Élections cantonales de 2004 : 53,79 % pour François Pelletant (DVD), 46,12 % pour Delphine Antonetti (PS), 62,47 % de participation^[24].
• Élections cantonales de 2011 : 56,94 % pour François Pelletant (DVD), 43,06 % pour Jérôme Cauët (PS), 34,59 % de participation^[25].

Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

• Élections municipales de 2001 : données manquantes.
• Élections municipales de 2008 : 50,78 % pour Jean-Pierre Meur (DVD) élu au premier tour, 25,20 % pour Véronique Pujol (DVG), 58,24 % de participation^[26].

Élections référendaires :

• Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 75,56 % pour le Oui, 24,44 % pour le Non, 28,48 % de participation^[27].
• Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 50,89 % pour le Non, 49,11 % pour le Oui, 70,36 % de participation^[28].

Enseignement

Les élèves de La Ville-du-Bois sont rattachés à l'académie de Versailles. Elle dispose de l'école maternelle Marie Curie, de l'école élémentaire Ambroise Paré, de l'école primaire Les Renondaines^[29] et de l'école primaire privée Notre-Dame^[30] catholique rattachée au diocèse^[31]. S'y trouve aussi l'Institution privée catholique du Sacré-Cœur, comportant le collège d'Alzon, et le lycée Jean-Paul II.

Santé

Services publics

La commune dispose sur son territoire d'une agence postale^[32].

Jumelages et partenariats

La Ville-du-Bois a développé des associations de jumelage avec :

•  Tirschenreuth (Allemagne) depuis 2001, en allemand Tirschenreuth, située à 744 kilomètres^[33].

Elle a aussi développé un partenariat avec Bollnäs en Suède^[34].

Vie quotidienne à La Ville-du-Bois

Culture

Sport

• Exocet Master Club : club de natation maîtres (vétéran)
• Football Club Saint Élois

Lieux de culte

La paroisse catholique de La Ville-du-Bois est rattachée au secteur pastoral de Montlhéry-Longpont et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Fiacre^[35].

Médias

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie

Le Centre Commercial de La Ville du Bois est situé le long de la Route nationale 20, au lieu-dit La Croix Saint-Jacques.

Ce centre commercial, articulé autour d'un hypermarché, Carrefour, a vu se développer au fil du temps une zone commerciale, avec notamment une jardinerie Truffaut, un magasin Boulanger (multimédia/électroménager), des restaurants et une zone de construction-vente de maisons individuelles.

C'est également à cet endroit que l'on trouve le premier radar automatique inauguré le 27 octobre 2003 par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, Gilles de Robien, ministre des Transports et Rémy Heitz, délégué interministériel à la Sécurité routière.

La commune a encore une activité maraîchère importante. Un important centre commercial, qui est bien desservi par la Nationale 20, y est situé.

Emplois, revenus et niveau de vie

En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 22 490 €, ce qui plaçait la commune au 1 167^e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au cent neuvième rang départemental^[36].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
	Agriculteurs	Artisans, commerçants, chefs d'entreprise	Cadres et professions intellectuelles supérieures	Professions intermédiaires	Employés	Ouvriers
La Ville-du-Bois	0,0 %	4,9 %	18,4 %	25,0 %	39,4 %	12,2 %
Zone d'emploi d'Orly	0,1 %	4,6 %	15,2 %	27,8 %	30,3 %	22,1 %
Moyenne nationale	2,2 %	6,0 %	15,4 %	24,6 %	28,7 %	23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d'activités en 2006.
	Agriculture	Industrie	Construction	Commerce	Services aux entreprises	Services aux particuliers
La Ville-du-Bois	1,1 %	11,6 %	6,0 %	38,4 %	8,1 %	13,7 %
Zone d'emploi d'Orly	0,5 %	8,1 %	7,2 %	15,0 %	14,3 %	6,3 %
Moyenne nationale	3,5 %	15,2 %	6,4 %	13,3 %	13,3 %	7,6 %
Sources : Insee[37],[38],[39]

Culture locale et patrimoine

Patrimoine environnemental

Patrimoine architectural

• L'église Saint-Fiacre. (XVI^e au XVIII^e siècles). Une partie du mobilier provient de l'ancien monastère des Célestins de Marcoussis.
• Premier radar automatique « sur la N20 en direction d'Orléans » d'une série de quatre cents installés en octobre 2003. Le site sert également de « beta testeur » puisque chaque nouvelle génération d'armoire y est installée en primeur. Ainsi, après la seconde génération mise en 2005, le 20 septembre 2006 a vu la pose de la troisième génération d'armoire automatisée.

Personnalités

Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à La Ville-du-Bois :

• Michel de Sèvre (?-?), chevalier de Malte et homme politique en était le seigneur.
• Ambroise Paré (1510-1590), chirurgien y vécut.
• Constantin Andréou (1917-2007), artiste-peintre et sculpteur y vécut.

Héraldique et logotype

Les armes de La Ville-du-Bois se blasonnent : D'or au chevron de gueules accompagné, en chef, de deux flanchis du même et, en pointe, d'un arbre de sinople, au chef aussi de gueules chargé de trois fermaux du champ.[40] La commune s'est en outre dotée d'un logotype.

Mythes, légendes et anecdotes

Pour approfondir

Articles connexes

• Liste des communes de l'Essonne
• Église Saint-Fiacre de La Ville-du-Bois

Liens externes

• (fr)Site officiel

Bibliographie

• Édouard Hesling, La Ville du Bois, 1902 
• La Ville du Bois en ce temps là…, Maury, 2002 (ISBN 978295778503) 

Sources

v · Linas • Longpont-sur-Orge • Marcoussis • Montlhéry • Nozay • Saint-Jean-de-Beauregard

v · communauté d’agglomération Europ’Essonne
Ballainvilliers • Champlan • Chilly-Mazarin • Épinay-sur-Orge • La Ville-du-Bois • Longjumeau • Massy • Morangis • Saulx-les-Chartreux • Villebon-sur-Yvette

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