- Eddy Mitchell
-
Eddy Mitchell Surnom Schmoll Nom Claude Moine Naissance 3 juillet 1942
Paris, FranceActivité principale Chanteur
ActeurGenre musical Rock 'n' roll Country country rock Variété française Rhythm'n'Blues Ballade Années d'activité Depuis 1961 Labels Barclay
PolydorEntourage Boris Bergman
Pierre Papadiamandis
Michel Gaucher
Johnny HallydayŒuvres écrites - Les chansons de Mr.Eddy : bande dessinée, 2003
- P'tit Claude : roman, 1994
- Cocktail Story : recettes et anecdotes, 1986
- Galas, galères : autobiographie, 1979
- M'sieur Eddy et moi : récit d'Alain Dugrand, 2005
- Tout Eddy. Eddy Mitchell : récit de Jean-Marc Thévenet
Eddy Mitchell, de son vrai nom Claude Moine né le 3 juillet 1942 à Paris (quartier de Belleville), est un chanteur, parolier et acteur français. C'est par admiration pour le chanteur et acteur Eddie Constantine qu'il choisit comme pseudonyme le prénom Eddy (orthographe préférée à « Eddie » pour ne pas s'appeler comme son producteur de l'époque, Eddie Barclay) et pour nom Mitchell en hommage à l'acteur Robert Mitchum. Il se marie une première fois le 17 juin 1961 avec Françoise Lavit avec qui il a deux enfants, Eddy et Marilyn. Il en divorce le 16 octobre 1979 pour épouser le 24 mai 1980, Muriel Bailleul avec qui, il a une fille, Paméla.
Son groupe Les 5 Rocks fut débaptisé et renommé à leur insu Les Chaussettes Noires par Eddie Barclay, patron de sa première maison de disques, qui avait conclu un accord promotionnel avec la Lainière de Roubaix.
Eddy Mitchell auteur de la plupart des textes de ses chansons, les signe sous son véritable nom, Claude Moine.
Il fut surnommé Schmoll par ses proches (surnom également repris, affectueusement, par le public).
Fort de cinquante années de carrière, Eddy Mitchell, sur la scène de l'Olympia le 5 septembre 2011, donne la dernière représentation de sa tournée Ma dernière séance, faisant ainsi ses adieux à la scène[1],[2],[3].
Sommaire
Biographie
Les années 1960
Les Chaussettes Noires 1961-1963
Le jeune Claude Moine exerce plusieurs petits métiers, notamment coursier dans une agence du Crédit lyonnais située à proximité du Golf-Drouot, où il passe régulièrement ses après-midis. Il se passionne pour le cinéma américain et une musique qui sévit outre Atlantique le Rock and Roll, dont le « fer de lance » se nomme Elvis Presley.
À la tête de son premier groupe de rock en 1956, le jeune Claude Moine sera régulièrement sur scène - il n'a alors que 14 ans - jusqu'en 1961, en particulier dans le « temple du rock », le Golf-Drouot à Paris.
Il connait le succès en 1961, avec le groupe Les Chaussettes Noires (premier groupe de rock en France), dont il est la voix. Le groupe connait un grand succès jusqu'en 1963, année de leur séparation. Très vite les Chaussettes Noires voient surgir la concurrence de plusieurs groupes, notamment celle des Chats Sauvages (dont le leader est Dick Rivers).
Libéré de ses obligations militaires, à Montlhéry dans le Régiment du Train (1962-1963), Eddy Mitchell entame une carrière en solo.
À la suite de sa rupture avec Les Chaussettes Noires, deux membres du groupe, William Bénaïm et Tony d'Arpa, lui intenteront un procès pour rupture de contrat, dont il fera appel en deuxième instance après une longue et douloureuse procédure, qu'il gagnera.
Eddy Mitchell en solo
Le premier 45 tours d'Eddy sans les Chaussettes Noires sort en 1962 ; ilcontient Mais reviens moi, C'est à nous, Quand c'est de l'amour, Angel.
L'année suivante, il publie son premier album Voici Eddy... c'était le soldat Mitchell en 1963. Il sort la même année un 2ème album Eddy in London, pour lequel il est accompagné par le London All Stars.
En 1965, il évolue vers le Rhythm'n'Blues et sort l'album Du rock 'n' roll au rhythm 'n' blues. Découvrant Otis Redding et James Brown, il fera quelques incursions dans la Soul Music. Sa carrière connaît alors des hauts et des bas, (qui perdureront jusqu'au milieu de la décennie suivante), malgré d'incontestables succès que sont J'ai oublié de l'oublier, Alice (une ballade), ou encore S'il n'en reste qu'un ou Société anonyme (des Rocks), parmi d'autres...
En 1968, Eddy Mitchell sort l'album Sept Colts pour Schmoll, la pochette est illustrée par Jean Giraud, elle propose à l'intérieur une BD de deux pages où l'on voit Eddy, héros d'un western comique, se venger de celui qui le premier l'affubla du surnom de Schmoll et où apparait un personnage ressemblant à Johnny Hallyday, as de la gâchette qui se tire une balle dans le pied (on notera qu'une telle mésaventure est arrivée à Eddy Mitchell qui, manipulant une arme chargée de sa collection, se logea une balle dans le pied).
Les années 1970
Ce début de décennie est difficile pour Eddy Mitchell. Le succès est un peu moins probant, le chanteur se cherche et se perd dans différents styles musicaux, livrant alors une succession d'albums qui connaissent un succès confidentiel : Rock 'n' Roll (1971) aux influences très marquées par Creedence Clearwater Revival ; Michel Polnareff participe au titre Pneumonie Rock et Boogie Woogie toux ainsi que la présence aux drums de l'ex-Chaussettes Noires, Gilbert Bastelica). Zig-zag (1972) confirme l'errance musicale du chanteur ; le disque oscille entre Hard Rock (Le vaudou), Bossa nova (Stop), Rhythm'n'Blues (Cash), Pop (La nuit des maudits), Tamla Sound (Le jeu) et la variété (C'est facile) le tout ficeler avec Magma et le groupe Zoo. Cette même année (72), il enregistre un second album "Dieu bénisse le rock'n'roll" (1972), bien mal nommé, car de Rock'n'Roll il est ici peu question, (tout au plus une chanson qui donne son titre à l'album). L'histoire se répète avec l'album Ketchup électrique (1973), (contenant Superstition, une reprise de Stevie Wonder). Pas ou peu de titres marquants en ces années pour Eddy Mitchell. Lucide sur cette période, Mitchell l'évoque avec la chanson Cash, dans l'album Zig-zag
Alors que les rééditions des albums des Chaussettes Noires sont des succès au point que la maison de disques Barclay lui propose de reformer le groupe, Eddy Mitchell anime alors l'émission radio En attendant que ça passe sur France Inter et décline l'offre.
La reconquête du public pour le chanteur passe par un retour au Rock and Roll, sa première influence, et pour se faire, il voyage jusque Nashville, capitale du Rock et de la Country, où à partir de 1974, il enregistre régulièrement. Le succès revient avec les opus Rocking in Nashville (1974), Made in USA (1975) et surtout Sur la route de Memphis (1976) et La Dernière Séance (1977) qui comprennent nombres d'adaptations de pionniers du Rock : Chuck Berry (Bye bye Johnny B. Good), À crédit en stéréo, C'est un rocker, C'est la vie mon chérie (1974), Une terre promise (1975) / Little Richard Hey miss Ann (1976) / Gene Vincent C'est un piège (1974) etc. Avec cette série d'albums, le chanteur trouve un second souffle et revient durablement au premier plan, grâce à de nombreux tubes dont Sur la route de Memphis[4] ou La dernière séance qui lui valent plusieurs disques d'or. Fort de ce succès qui ne se démentira plus, Eddy Mitchell persévère à développer un style Country Rock qui lui vaut de francs succès, comme de celui des chansons Il ne rentre pas ce soir (1978) ou Tu peux préparer le café noir (1979).
Les années 1980 et ensuite
Eddy Michell s'oriente de plus en plus vers le style crooner, livrant ainsi quelques une de ses plus grandes chansons : Couleur menthe à l'eau (1980), Pauvre baby doll (1981), Le cimetière des éléphants (1982), La peau d'un autre (1987). S'il ne délaisse pas totalement le Rock 'n' roll, il y revient plus épisodiquement et le succès est également là : en témoignent les ventes de tubes que seront Nashville ou Belleville (1984), ou encore plus sûrement Lèche-bottes Blues (1989).
Durant les années 1980 et depuis lors, Eddy Mitchell se produira régulièrement sur scène à Paris mais aussi en province, à contrario des seventies durant lesquelles les tournées du chanteur se firent plus rares. Il compte parmi les personnalités les plus importantes du paysage musical français, drainant un public fidèle.
Come Back et la suite
Le 8 novembre 2009, lors de l'émission Sept à huit, Eddy Mitchell annonce : « Ma tournée en 2010-2011 sera la dernière que j'effectuerai »[5].
Au cours de cette année, en marge de la sortie de son nouvel album Come Back, la cinquième chaîne de télévision diffuse, le 26 novembre 2010, un reportage sur Eddy Mitchell : un document d'une heure environ de Xavier Villetard dans lequel le chanteur parle essentiellement de sa jeunesse dans le quartier de Belleville et de ses débuts. une époque qui l'a profondément marqué, où on y retrouve toutes ses passions d'adulte :
- La musique avec la découverte du rock'n roll et son premier disque, offert par sa mère : Bill Haley dans Rock around the clock
- Le cinéma qui le conduira à jouer dans plusieurs films et à animer l'émission La Dernière Séance
- La bande dessinée où il s'est essayé avant de préférer la chanson et dont il possède une belle collection de planches et d'originaux
- Les États-Unis où, de Memphis à Los Angeles, où il enregistrera nombre de ses albums[6].
L’ultime tournée d’Eddy Mitchell est intitulée Ma dernière séance, et compte une centaine de dates à travers la France, la Suisse et la Belgique. Elle s'achève par trois représentations à l'Olympia de Paris en septembre 2011. Le 5 septembre, Eddy fait son dernier tour de piste, au terme duquel il lance au public qui ne quitte pas la salle après le dernier rappel « Faut rentrer maintenant, c'est fini. Repos. Et vous pouvez fumer »[7].
Discographie
Liste non exhaustive (non recensés : 45 tours/singles, compilations, intégrales).
Avec Les 5 Rocks
- 1960 : Les 5 Rocks (resté inédit jusqu'en 1996)
Avec les Chaussettes Noires
- 1961 : 100% Rock (33 tours 25 cm)
- 1961 : Rock'n'Twist (33 tours 25 cm)
- 1962 : Le 2 000 000e disque des Chaussettes Noires (33 tours 30 cm, 1er album)
- 1962 : Comment réussir en amour (bande originale du film éponyme / 33 tours 25 cm)
- 1963 : Chaussettes Noires Party (33 tours 30 cm, 2e et dernier album des Chaussettes Noires)
En solo
Albums Studio
- 1963 : Voici Eddy... c'était le soldat Mitchell
- 1963 : Eddy in London
- 1964 : Panorama
- 1964 : Toute la ville en parle... Eddy est formidable
- 1965 : Du rock 'n' roll au rhythm 'n' blues
- 1966 : Perspective 66
- 1966 : Seul
- 1967 : De Londres à Memphis
- 1968 : Sept Colts pour Schmoll
- 1969 : Mitchellville
- 1971 : Rock n'Roll
- 1972 : Zig-zag
- 1972 : Dieu bénisse le rock'n'roll
- 1974 : Ketchup électrique
- 1974 : Rocking in Nashville
- 1975 : Made in USA
- 1976 : Sur la route de Memphis
- 1977 : La Dernière Séance
- 1978 : Après minuit
- 1979 : C'est bien fait
- 1980 : Happy Birthday
- 1982 : Le Cimetière des éléphants
- 1984 : Fan Album
- 1984 : Racines
- 1986 : Eddy Paris Mitchell
- 1987 : Mitchell
- 1989 : Ici Londres
- 1993 : Rio Grande
- 1996 : Mr. Eddy
- 1999 : Les Nouvelles Aventures d'Eddy Mitchell
- 2003 : Frenchy
- 2006 : Jambalaya
- 2009 : Grand écran
- 2010 : Come Back
Albums En direct
- 1969 : Olympia 69
- 1975 : Rocking in Olympia 1975
- 1978 : Palais des Sports 77
- 1981 : 20 ans : Eddy Mitchell Olympia
- 1984 : Palais des Sports 84
- 1991 : Casino de Paris 90
- 1994 : Retrouvons notre héros Eddy Mitchell à Bercy
- 1995 : Big Band au Casino de Paris
- 1995 : Country-Rock à l'Olympia
- 1995 : Show 94 au Zénith
- 1997 : Mr. Eddy à Bercy 97
- 2001 : Live 2000
- 2004 : Frenchy Tour
- 2007 : Jambalaya Tour
Eddy Français made in USA
Comme de nombreux artistes dans les années soixante, tel son ami Johnny Hallyday, Eddy Mitchell se passionne pour une musique venue des USA, le Rock and Roll, et pionnier en la matière (avec Hallyday et quelques autres), il contribue à la rendre populaire en France et à faire connaître nombre d'artistes américains, rockeurs alors pour la plupart totalement inconnus dans l'« hexagone » en ce début de décennie.
Au cours de sa carrière, il adapte et reprend de nombreux titres américains. Parmi les artistes souvent chantés par Eddy Mitchell on compte principalement (la liste n'est pas exhaustive) : Gene Vincent, Jerry Lee Lewis, Chuck Berry, Elvis Presley, Buddy Holly, Ray Charles, Eddie Cochran, Bill Haley et Everly Brothers...
L'affaire est moins connue, mais Mitchell a également adapté, la même année, (1965), et pour le même album perspective 66), les Beatles You've got hide your love away (Tu ferais mieux de l'oublier) et les Rolling Stones Satisfaction (Rien qu'un seul mot) / Il chante une seconde fois les Beatles en 1968, The fool on the hill (Le fou sur la colline, album Sept Colts pour Schmoll).
En 1975, Eddy Mitchell est fait citoyen d'honneur du Tennessee, ambassadeur du Tennessee en France et - avec Charlie McCoy et Jean Fernandez - shérif de Nashville.
Plus généralement, l'univers américain et la culture américaine sont une source d'inspiration, comme l'attestent plusieurs titres : Sur la Route de Memphis, Rio Grande, C'est Charlie Brown, Les tuniques bleues et les indiens, Un portrait de Norman Rockwell, Je me fais mon Western, La colline de Blueberry Hill, Le père de James Dean, Le fils de Jerry Lee Lewis, Sur la Route 66...
Il consacre également plusieurs chansons aux artistes qu'il apprécie : La voix d'Elvis (Elvis Presley), Otis (Otis Redding), Good bye Gene Vincent, J'avais deux amis (dédié à Buddy Holly et Eddie Cochran), Mister J.B. (James Brown).
En 2006, l'album Jambalaya[8], évoque une fête ou un festin chez les Cadiens et la pochette reproduit une œuvre du peintre américain Thomas Hart Benton.
À l'automne 2009, il sort un album intitulé Grand Ecran, sur lequel il reprend principalement des standards de films hollywoodiens.
Eddy Mitchell Sessions made in USA
Le chanteur a enregistré plusieurs de ses albums aux États-Unis, dans les villes suivantes :
- Memphis (Tennessee) :
- 1967 – De Londres à Memphis (comme son nom l'indique, l'album a également été enregistré à Londres)
- 1996 – Mr. Eddy (également à Nashville)
- 1999 – Les nouvelles aventures d'Eddy Mitchell (également à Los Angeles et Nouvelle Orléans)
- Nashville (Tennessee) :
- 1974 – Rocking in Nashville
- 1975 – Made in USA
- 1976 – Sur la route de Memphis
- 1977 – La Dernière Séance
- 1978 – Après minuit
- 1979 – C'est bien fait (également à Muscle Shoals Alabama)
- 1980 – Happy Birthday (également à Muscle Shoals Alabama)
- 1981 – Le cimetière des éléphants (également Los Angeles et New York)
- 1984 – Fan Album (également à Paris)
- 1984 – Racines
- 1987 – Mitchell
- 1996 – Mr. Eddy (également à Memphis)
- Muscle Shoals (Alabama) :
- 1993 – Rio Grande (également à Londres)
- Los Angeles (Californie) :
- 2003 – Frenchy
- Burbank (Californie) :
- 2007 – Jambalaya
- 2009 – Grand Écran
- 2010 – Comeback (également à Paris)
Adaptations et reprises
Chansons américaines adaptées par Eddy Mitchell- 1961
- Si seulement, Dirty dirty feeling par Elvis Presley / 1er Super 45 tours des Chaussettes Noires
- Tant pis pour toi, Wild cat par Gene Vincent / 1er Super 45 tours des Chaussettes Noires
- 1961 – album 100% Rock des Chaussettes Noires
- Hey Pony, Pony time par Don Covay
- Fou d'elle, Everybody's got date but me par Gene Vincent
- Betty, Baby blue par Gene Vincent
- Tu parles trop, You talk to much par Joe Jones
- Be bop a lula (texte en français), Be bop a lula par Gene Vincent
- La Bamba Rock, The Bamba par Ritchie Valens
- O Mary Lou, Going home to Mary Lou par Neil Sedaka
- Je t'aime trop, I gotta know par Elvis Presley
- Eddie sois bon, Johnny B. Goode par Chuck Berry
- 1961 – album Rock'n'Twist des Chaussettes Noires
- Le Twist, The Twist par Hank Ballard
- Vivre sa vie, Gee whiz it' you par Cliff Richard
- C'est tout comme, A mess of blues par Elvis Presley
- Chérie oh chérie, Sugaree par Hank Ballard
- Quand je te vois, Pretty little angel eyes par Curtis Lee
- Trop jaloux, Boo hoo, i'm gonna cry par Don Covay
- Petite sheila, She, she little sheila par Gene Vincent
- (Madam'Madam, reprise dans une version librement adaptée de Padam, Padam d'Édith Piaf)
- 1962
- Petite sœur d'amour, Little sister par Elvis Presley / Super 45 tours 11e EP des Chaussettes Noires
- Roly poly, Roly poly par Joey Dee / Super 45 tours 12e EP des Chaussettes Noires
- Hey, let's Twist, Hey, let's Twist par Joey Dee / Super 45 tours 12e EP des Chaussettes Noires
- Je reviendrai bientôt, Willie and the hand jive par Cliff Richard / Super 45 tours 12e EP des Chaussettes Noires
- Shout shout, Shout shout par Ernie Maresca / Super 45 tours 12e EP des Chaussettes Noires
- 1962 – album Le 2 000 000e disque des Chaussettes Noires des Chaussettes Noires
- Perppermint twist, Perppermint twist par Joey Dee and the Starliters
- C'est la nuit, The night is so lonely par Gene Vincent
- Line, All i have to do la dream par Everly Brothers
- La leçon de Twist, Twistin the Twist par Jerry Mengo
- Volage (infidèle), Runaround Sue par Dion
- Non ne lui dit pas, The mountain's high par Dick and Dee Dee
- Les enchainés, Unchained Melody par Gene Vincent
- Le temps est lent, Right now par Gene Vincent
- Shake rattle and roll, Shake rattle and roll par Bill Haley
- (De t'aimer, de t'aimer, Good good lovin par James Brown / 45 tours de Vic Laurens et Les Vautours, l'adaptation est signée Claude Moine)
- 1962 – Eddy Mitchell en solo
- Mais reviens-moi, The night i cried par Brian Hyland / 1er Super 45 tours d'Eddy Mitchell
- C'est à nous, Something blue par Elvis Presley / 1er Super 45 tours d'Eddy Mitchell
- Quand c'est de l'amour, Someboy to love par Charles Melvyn Thomas / 1er Super 45 tours d'Eddy Mitchell
- Angel, Angel par Elvis Presley / 1er Super 45 tours d'Eddy Mitchell
- 1963 – album Chaussettes Noires Party
- Il revient, Say mama par Gene Vincent
- Ne délaisse pas, Gonna get back home somehow par Elvis Presley
- Jezebel, Jezebel par Gene Vincent
- Ceci est mon histoire, Big fat saturday night par Gene Vincent
- 1963 – Eddy Mitchell en solo
- Je ne pense qu'à l'amour, Lovesick blues par Franck Ifield / 2e Super 45 tours d'Eddy Mitchell
- Ce diable noir, That old black magic par Frank Sinatra / 2e Super 45 tours d'Eddy Mitchell
- 1963 – album Voici Eddy... c'était le soldat Mitchell
- Si tu penses, Little town flirt par Del Shannon
- Tout s'est réalisé, If you wrant my lovin' par Gene Vincent
- C'est grâce à toi, I listen to my heart par Frank Ifield
- En revenant, I'm movin'on par Hank Snow
- Chain-gang, Chain-gang par Sam Cooke
- Je reviendrai, I'm going home par Gene Vincent
- Quel est votre nom ?, Held for questioning par Gene Vincent
- Pour vous, Weeping willow par Gene Vincent
- 1963 – album Eddy in London
- Te voici, Mean woman blues par Elvis Presley, (la version d'Eddy s'inspire de celle de Roy Orbison)
- Blue jean bop, Blue jean bop par Gene Vincent
- Kansas city, Kansas city par Wilbert Harrison (il existe une version de Little Richard)
- Comment vas-tu mentir ?, C'mon everybody par Eddie Cochran
- Belle Honey, Money honey par Elvis Presley (il existe également une version par les Drifters)
- Ready Teddy, Ready Teddy par Little Richard
- Jolie miss Molly, Good golly miss Molly par Little Richard
- Sentimentale, Baby i don't care par Buddy Holly ou Elvis Presley
- C'est le soir, Rip it up par Little Richard (la version d'Eddy s'inspire de celle de Gene Vincent)
- L'oncle John, Long tall Sally par Little Richard
- Peggy Sue, Peggy Sue par Buddy Holly
- Jolie mélodie, Cherished memories par Eddie Cochran
- 1963
- Tu n'as rien de tout ça, You're the devil in disguise par Elvis Presley / Super 45 tours
- 1964 – album Panorama
- Pas de chance, Money par Jerry Lee Lewis
- J'irai au paradis, Three steps to heaven par Eddie Cochran
- Memphis Tennessee, Memphis Tennessee par Chuck Berry
- Doucement mais sûrement, Slowly but surely par Elvis Presley
- Repose Beethoven, Roll'over Beethoven par Chuck Berry
- Détective privé, Browneyed handsome man par Chuck Berry
- Maybellene, Maybellene par Chuck Berry
- L'école des cœurs brisés, School of heartbreakers par Ral Donner
- Donne-moi une idée, Scholl days par Chuck Berry
- 1964 – album Toute la ville en parle... Eddy est formidable
- Fauché, Buster par Ray Charles
- Il faut croire, Sticks and stones par Ray Charles
- J'ai tout perdu, Not for me par Bobby Darin
- Juste un regard, Juste one look par les Hollies
- Qui l'a rendu fou ?, Lonely avenue par Ray Charles
- Everything all right, Everything all right par les Mojos
- Je défendrai mon amour, You'il only start me cryn'again par les Hollies
- Toujours un coin qui me rappelle, There's always something there to remind me par B. Bacharach
- 1965 – album Du rock 'n' roll au rhythm 'n' blues
- J'ai perdu mon amour, You've lost that lovin'feeling par Righteous Brothers
- Caldonia, Caldonia par Louis Jordan
- Barbe bleue, Lovin'up a storm par Jerry Lee Lewis
- Rendez-vous, Go, go, go (Down the line) par Roy Orbison
- J'avais deux amis, St James infirmary par Louis Armstrong
- Tu ne peux pas, I'm crying par The Animals
- Personne au monde, Talkin' bout you par Ray Charles
- J'ai tout mon temps, Great balls of fire par Jerry Lee Lewis
- 1965
- J'avoue, Untrue par Tom Jones / Super 45 tours
- 1965 – album Perspective 66
- (Tu ferais mieux de l'oublier, You've got to hide your love away par les Beatles)
- Au yeux de ton amour, Lookin'thru the eyes of love par Gene Pitney
- Je n'ai qu'un cœur, I've got a heart par Tom Jones
- (Rien qu'un seul mot, Sastifaction par les Rolling Stones
- 1965
- What' dI Say, What' dI say de Ray Charles / reprise restée inédite à l'époque qui sera diffusée plus tard sur des compilations / Jimmy Page est à la guitare
- 1966 – album Seul
- Frauleïn, Frauleïn par Bobby Helms
- (Et maintenant de Gilbert Bécaud)
- 1968 – album Sept Colts pour Schmoll
- Sunny, Sunny par Bobby Hebb
- Quelqu'un a dû changer la serrure de ma porte..., But it's all right par Otis Redding
- Elle me voit beau, She's looking good par Wilson Pickett
- Bye bye love, Bye bye love par Everly Brothers
- Ordonne mais pardonne, Hold on i'm coming par Sam and Dave
- Treize filles, Thirteen women par Bill Haley
- (Le fous sur la colline, The fool on the hill par les Beatles)
- Quitte à tout perdre, Get it together par James Brown
- Only you, Only you par les Platters
- 1969
- Otis, Hard to handie par Otis Redding / Super 45 tours
- Vieille fille, Spinning wheel par Blood sweet and tears / Super 45 tours
- Dans une autre vie, un autre temps, par The New Waudeville Band / Super 45 tours
- 1969 – album Mitchellville
- Envoie la lettre Maria, Take a letter Maria par R.B. Greaves
- Miss Caroline, Sweet Caroline par Neil Diamond
- Le marchand de bible, Son of a preacher man par Dusty Springfield
- Le jardin de l'Eden, Green river par Creedence Clearwater Revival
- 1970
- Arizona, Arizona par Kenny Young / Super 45 tours
- J'aurai sa fille, Down on the corner par Creedence Clearwater Revival / Super 45 tours
- L'accident, Vehicle par Ides on the March / 45 tours
- 1971 – album Rock 'n' Roll
- Big boss man, Big boss man par Jimmy Reed
- Jaime le Rock and roll, Rock'n'roll music par Chuck Berry
- Pneumonie rock et boogie woogie toux, Rockin' pneumonia and the boogie woogie flu par Jerry Lee Lewis (il existe une version par Huey Smith)
- 1971 – album Zig-zag
- Cash, Patches par B.B. King (il existe une version par George Jones)
- Le jeu, Questions par les Moody Blues
- 1972 – album Dieu bénisse le rock'n'roll
- Bobby Mc Gee, Me and Bobby McGee par Kris Kristofferson (la version d'Eddy est très proche de celle de Jerry Lee Lewis)
- 1973 – album Ketchup électrique
- Chaque matin, il se lève, Early morning rain par Elvis Presley (version également par Jerry Lee Lewis)
- Superstition, Superstition par Stevie Wonder
- 1974 – album Rocking in Nashville
- Bye, bye Johnny B. Goode, Bye, bye Johnny par Chuck Berry (1960) / (reprise également par les Rolling Stones en 1964)
- À crédit et en stéréo, No particular place to go par Chuck Berry
- Fume cette cigarette, Smoke, smoke that cigarette par Merle Travis
- C'est un piège, Git it par Gene Vincent
- Emmène-moi où tu veux, Take me home to somewhere par Joe Stampley
- C'est un rocker, I'm a rocker par Chuck Berry
- C'est la vie, mon chéri, Almost grown par Chuck Berry
- Là dans mon cœur, How i love them old songs par Gene Vincent
- Ruby, tu reviens au pays, Ruby don't take your love to town par Kenny Rogers
- 1975 – album Made in USA
- Une terre promise, Promised land par Chuck Berry (version également par Elvis Presley)
- Les traîne-tard et les rôdeurs, Around and around par Chuck Berry
- La maison hantée, Haunted house par Jerry Lee Lewis
- J'attendrai le prochain train, Pick me up on your way down par Patsy Cline
- Je ne sais faire que l'amour, Rollin'in my sweet baby arms par Flatt and scruggs
- Un sourire ou un au-revoir, She even woke me up to say goodbye par Jerry Lee Lewis
- Le mauvais côté, Delta dirt par Larry Gatlin
- Écoute coco, 101 in cashbox par Chip Taylor
- Seul est l'indompté, Wichita lineman par Glenn Campbell
- Merci la vie, Lucky par Billy Swan
- Choo choo boogie espion bidon, Choo choo boogie par Louis Jordan
- 1976 – album Sur la route de Memphis
- Sirop rock'n'roll, Sweet little rock and roller par Chuck Berry
- Le maître du monde, The harder they come par Jimmy Cliff
- Hey miss Ann !, Miss Ann par Little Richard
- Sur la route de Memphis, That's how i got to Memphis par Tom T. Hall (autre version par Bobby Bare
- Le temps qui passe, Come early morning par Don Williams
- La Marie-Jeanne, Ode to Billie Joe par Bobbie Gentry / (Eddy Mitchell reprend la version de Jo Dassin - album Les deux mondes de Joe Dassin, 1967 - dont l'adaptation française est signée Jean-Marie Rivat)
- 1976
- Pas de Boogie Woogie, Don't Boogie Woogie par Jerry Lee Lewis / 45 tours
- 1977 – album La Dernière séance
- Et la voix d'Elvis, Good rockin' tonight par Roy Brown (la version d'Eddy s'inspire de celle d'Elvis Presley)
- C'est Charlie Brown, Charlie Brown par les Coasters
- La colline de Blueberry Hill, Blueberry Hill par Fats Domino
- Pire qu'une journée d'été, To make love sweeter for you par Jerry Lee Lewis
- Mon flash back, Jukebox cannonball par Bill Haley
- Laisse tomber le ciel, Midnight special, (la version d'Eddy s'inspire de celle de Creedence Clearwater Revival)
- 1978
- Au camp du bonheur, Chantilly lace par Big Bopper (la version d'Eddy s'inspire de celle de Jerry Lee Lewis) / 45 tours
- 1978 – album Après minuit
- Le parking maudit, Treat her right par Jerry Lee Lewis (version également par Roy Head
- Je fais le singe, Turn on your love light par Bobby Bland (la version d'Eddy s'inspire de celle de Jerry Lee Lewis
- Après minuit, After midnight par J.J.Cale
- (Du Blues, du Blues, du Blues, reprise de la chanson de Michel Jonas)
- 1979
- Français made in USA, Back in the USA par Chuck Berry / 45 tours
- 1979 – album C'est bien fait
- Trop c'est trop, Don't let go par Jerry Lee Lewis
- Comment ça fait, Not fade away par Buddy Holly
- Tu peux préparer le café noir, Everyday I have to cry par Jerry Lee Lewis
- 1980 – album Happy Birthday
- Rock and road, Reelin' and rockin' par Chuck Berry
- Faut pas avoir le Blues, Singing the Blues par Guy Mitchell
- Miss Duval, The shelter of your eyes par Don Williams
- 1982
- (album Le cimetière des éléphants, Eddy Mitchell chante la chanson de Michel Jonas Lucille)
- (Eddy Mitchell adapte pour Johnny Hallyday Sweet Home Alabama de Lynyrd Skynyrd, Cartes postales d'Alabama (album La Peur)
- 1984 – album Fan Album
- La fille du Nord, Girl from the north country par Bob Dylan / (reprise de chanson de Hugues Aufray)
- Noël blanc, White christmas par Bing Crosby (version également par Elvis Presley)
- Love me tender, Love me tender par Elvis Presley
- Le public aime ça, San Antonio Rose par Bob Wills
- Les grands moments, Cry par Johnny Ray
- Qui se souvient de Boney Moronie ?, Boney Moronie par Larry Williams
- 1984 – album Racines
- Ciné, Rock & bandes dessinées, Hot damm par Jerry Lee Lewis
- Pourquoi m'laisses-tu pas tranquille Lucille ?, Lucille par Kenny Rogers
- Un chèque en bois... c'est drôle, Shake, rattle and roll par Bill Haley
- 1985 – album Eddy Paris Mitchell
- Comment t'es devenu riche ?, If you're so smart, how come you ain't rich par Louis Jordan
- Le temps qui passe, As time goes by par Dooley Wilson (du film Casablanca)
- Vieille canaille (en duo avec Serge Gainsbourg, You rascal you par Sam Theard (la version d'Eddy s'inspire de celles de Louis Jordan et/ou de Louis Armstrong)
- 1987 – album Mitchell
- J'ai le bonjour du Blues, Happy birthday blues par Will Jennings, (inspiré par la version de B.B. King
- 1990 – album Anniversaire des Jordanaires, (disque réalisé à l'occasion des 40 ans du groupe The Jordanaires, participation d'Eddy Mitchell avec...)
- Sois pas cruelle, Don't be cruel par Elvis Presley
- 1991
- Dis-toi que ça existe / Tell it like it is (duo franco-anglais avec Neville Brothers), Tell it like it is par Neville Brothers / 45 tours
- 2001 – album Ma chanson d'enfance (album collectif réunissant plusieurs artistes dont E. Mitchell)
- Le déserteur, (reprise de la chanson de Boris Vian)
- 2004 – album La mémoire vive des Socquettes Blanches
- Un jour viendra, Lotta lovin' par Gene Vincent / inédit déposé par Eddy Mitchell - qui signe l'adaptation - au début des années 1960
- 2006 – album Jambalaya
- Elle est terrible - Somesthing else (trio avec Johnny Hallyday et Little Richard), Somesthing else par Eddie Cochran, (version inspiré par celles de Little Richard et/ou Tanya Tucker / le texte français est identique à la version de Johnny Hallyday, adaptée en 1962 par Jil & Jan
- Jambalaya, Jambalaya par Hank Williams
- 2009 – album Grand Écran
- Frappe aux portes du paradis, Knockin'on heaven's door par Bob Dylan
- Toute la pluie tombe sur moi, Raindropd keep fallin'on my head par B.J. Thomas, (reprise de la version de Sacha Distel)
- Je t'appartiens, par Gilbert Bécaud (reprise)
- Comme un étranger dans la ville, Everybody's talking par Fred Neil et/ou Harry Nilsson, (reprise de la version de Gilles Marchal)
- J'aime avril à Paris, April in Paris par Count Basie et/ou Frank Sinatra
- Les feuilles mortes, par Yves Montand (reprise)
- Seize tonnes', Sixteen tons par Merle Travis et/ou Tennessee Ernie Ford (reprise de la version d'Armand Mestral
- Pleurer des rivières, Cry me a river par Julie London (reprise de la version de Viktor Lazlo)
- Ma plus belle année, It was a very good year par The Kingston Trio et/ou Frank Sinatra
- Si toi aussi tu m'abandonnes, High noon par Tex Ritter (reprise de l version de John William
- Hier encore, par Charles Aznavour (reprise)
- Je file droit, I walk the line par Johnny Cash
- Celui qui est seul, Only the lonely par Roy Orbison
- Garde moi la dernière danse, Save the last dance for me par The Drifters (reprise de la version de Petula Clark)
- Derrière l'arc-en-ciel, Over the rainbow par Judy Garland
Eddy, Elvis, Jerry Lee, Eddie, Gene, Johnny (et quelques autres...)
Chansons communes
1er titre (1re date) = E. Mitchell / 2e titre (2e date) l'interprète originalCertains titres ont fait l'objet de reprises par de multiples interprètes, on ne s'étonnera donc pas de les trouver dans plusieurs catégories, (Presley, Berry, Richard... par exemple)
- Eddy Mitchell et Bill Haley
-
- Shake rattle and roll (1962) / Shake rattle and roll (?)
- Treize filles (1968) / Thirteen women (?)
- Mon flash back (1977) / Jukebox connonball (?)
- Un chèque en bois c'est drôle (1984) / Shake rattle and roll (?)
- Eddy Mitchell et Elvis Presley
-
- Si seulement (1961) / Dirty dirty feeling (1960)
- Je t'aime trop (1961) / I gotta know (1960)
- Eddy soit bon (1961) / Johnny b. goode (live 1969)
- C'est tout comme (1961) / A mess of blues (1960)
- Petite sœur d'amour (1962) / Little sister (1960)
- Les enchaînés (1962) / Unchained melody (live 1977)
- C'est à nous (1962) / Something blue (1962)
- Angel (1962) / Angel (1962)
- plaisir d'amour (1963) / Can't help falling in love (1961)
- Ne délaisse pas (1963) / Gonna get back home somehow (1962)
- Sentimentale (1963) / Baby i don't care (1957)
- Tu n'as rien de tout ça (1963) / You're the devil in disguise (1963)
- En revenant (1963) / I'm movin'on (1969)
- Te voici (1963) / Mean woman blues (1957)
- Belle honey (1963 / Money honey (1956)
- Ready Teddy (1963) / Ready teddy (1956)
- L'oncle John (1963) / Long tall Sally (1956)
- C'est le soir (1963) / Rit it up (1956)
- Doucement mais surement (1964) / Slowly but surely (1963)
- Memphis Tennessee (1964) / Memphis Tennessee (1964)
- Maybellene (1964) / Maybellene (live 1955)
- J'ai perdu mon amour (1965) / You've lost that lovin feeling (live 1970)
- What'd i say (1965) / What'd i say (1964)
- Miss Caroline (1969) / Sweet Caroline (live 1970)
- Big boss man (1971) / Big boss man (1967)
- Chaque matin il se lève (1973) / Early morning rain (1972)
- Une terre promise (1975) / Promised land (1974)
- Et la voix d'Elvis (1977) / Good rockin tonight (1955)
- La colline de Blueberry Hill (1977) / Blueberry Hill (1957)
- Noël blanc (1981) / White christmas (1957)
- Love me tender (1981) / Love me tender (1956)
- Un chèque en bois c'est drôle (1984) / Shake rattle and roll (1956)
- Sois pas cruelle (1990) / Don't be cruel (1956)
- Eddy Mitchell et Jerry Lee Lewis
-
- Pas de chance (1964) / Money (1961)
- Barbe bleue (1965) / Lovin up a storm (1959)
- J'ai tout mon temps (1965) / Great ball of fire (1957)
- Rendez-vous (1965) / Down the line (1958)
- Pneumonie rock and boogie woogie toux (1972) / Rockin'pneumonia and the boggie woogie flu (1965)
- Bobby Mc Gee (1972) / Me and Bobby Mc Gee (1971)
- Chaque matin il se lève (1973) / Early morning rain (1973)
- La maison hantée (1975) / Hanted house (1974)
- Un sourire et un au revoir (1975) / She even woke me up to say good bye (1969)
- Pas de Boogie woogie (1976) / Don't boogie woogie (1976)
- Pire qu'une chanson d'été (1977) / To make love sweter for you (1968)
- Au camp du bonheur (1978) / Chantilly lace (1972)
- Le parking maudit (1978) / Treat her right (1967)
- Je fais le singe (1978) / Turn on your love light (1967)
- Trop c'est trop (1979) / Don't let go (1965)
- Tu peux préparer le café noir (1979) / Everyday i have to cry (1979)
- Ciné, Rock et bandes dessinées (1984) / Hot damn (1980)
- Garde-moi la dernière danse (2009) / Save the last danse for me (1960)
- Eddy Mitchell et Chuck Berry
-
- Eddie sois bon (1961) / Johnny B. Goode (1958)
- Donne moi une idée (1964) / Scholl days (1957)
- Détective privé (1964) / Brown eyed handsome man (1956)
- Memphis Tennessee (1964) / Memphis Tennessee (1959)
- Maybellene (1964) / Maybellene (1964)
- Repose Beethoven (1964) / Roll over Beethoven (1956)
- J'aime le Rock'n'Roll (1971) / Rock'n'Roll music (1957)
- C'est un rocker (1974) / I'm a rocker (1970)
- C'est la vie mon chérie (1974) / Almost grown (1959)
- Bye bye Johnny B. Goode (1974) / Bye bye Johnny (1960)
- À crédit et en stéréo (1974) / No particular place to go (1964)
- Une terre promise (1975) / Promise land (1964)
- Les traines-tard et les rôdeurs (1975) / Around and around (1958)
- Sirop Rock'n'Roll (1976) / Sweet little rock'n'roller (1958)
- Français made in USA (1979) / Back in the USA (1959)
- Rock and road (1980) / Reelin' and rockin' (1958)
- Eddy Mitchell et Gene Vincent
-
- Be bop a lula (1961) / Be bop a lula (1956)
- Tant pis pour toi (1961) / Wild cat (1959)
- Betty (1961) / Baby blue (1958)
- Fou d'elle (1961) / Everybody's got a date but me (1960)
- Petite Sheila (1962) / She she little Sheila (1960)
- Les enchaînés (1962) / Unchained melody (1957)
- C'est la nuit (1962) / The night is so lonely (1959)
- Le temps est lent (1962) / Right now (1959)
- Il revient (1963) / Say mama (1958)
- Jezebel (1963) / Jezebel (1956)
- En revenant (1963) / I'm movin'on (1971)
- Ceci est est mon histoire (1963) / Big fat saturday night (1960)
- Tout s'est réalisé (1963) / If you want my lovin' (1961)
- Quel est votre nom ? (1963) / Held for questioning (1963)
- Pour vous (1963) / Weeping willow (1960)
- Blue jean cop (1963) / Blue jean cop (1956)
- Je reviendrai (1963) / I'm going home (1961)
- Readdy teddy (1963) / Ready teddy (1959)
- Jolie miss Molly (1963) / Good golly miss Molly (1954)
- C'est le soir (1963) / Rit it up (1959)
- L'oncle John (1963) / Long tall Sally (1964)
- Repose Beethoven (1964) / Roll over Beethoven (1971)
- Maybellene (1964) / Maybellene (1959)
- C'est un piège (1974) / Get it (1958)
- Là dans mon cœur (1974) / How i love them old songs (1970)
- Derrière l'arc-en-ciel (2009) / Over the rainbow (1959)
- Eddy Mitchell et Eddie Cochran
-
- Comment vas-tu mentir ? (1963) / C' mon everybody (?)
- Jolie mélodie (1963) / Cherished memories (?)
- J'irai au paradis (1964) / Three steps to heaven (?)
- Elle est terrible (2006, en trio avec Johnny Hallyday et Little Richard) / Somesting else
- Eddy Mitchell et Little Richard
-
- Kansas City (1963) / Kansa City (?)
- Ready Teddy (1963) / Ready Teddy (?)
- Jolie miss Molly (1963) / Good golly Miss Molly (?)
- C'est le soir (1963) / Rip it up (?)
- L'oncle John (1963) / Long tall Sally (?)
- Hey miss Ann ! (1976) / Miss Ann (?)
- Elle est terrible (2006 en trio avec Johnny Hallyday et Little Richard) / Somesthing else (?)
- Eddy Mitchell et Buddy Holly
-
- Sentimentale (1963 / Baby i don't car (?)
- Peggy Sue (1963) / Peggy Sue (?)
- Comment ça fait (1979) / Not fade away (?)
- Eddy Mitchell et Ritchie Valens
-
- La Bamba Rock (1961) / La Bamba
- Eddy Mitchell et Cliff Richard
-
- Vivre sa vie (1962) / Gee whiz it'you (?)
- Je reviendrai bientôt (1962) / Willie and the hand jive (?)
- Eddy Mitchell et Fats Domino
-
- La colline de Blueberry Hill (1977) / Blueberry Hill (?)
- Eddy Mitchell et Kenny Rogers
-
- Ruby, tu reviens au pays (1974) / Ruby don't take you love to town (?)
- Pourquoi m'laisses-tu pas tranquille Lucille ? (1984) / Lucille (?)
- Eddy Mitchell et Everly Brothers
-
- Line (1962) / All i have to do la dream (?)
- Bye bye love (1968) / Bye bye love (?)
- Eddy Mitchell et Louis Jordan
-
- Caldonia (1965) / Caldonia (?)
- Choo choo boogie espion bidon (1975) / Choo choo boogie (?)
- Comment t'es devenu riche ? (1985) / If you're so smart, how come you ain't rich (?)
- Vieille canaille (1985 - en duo avec Serge Gainsbourg) / You rascal you (?)
- Eddy Mitchell et Louis Armstrong
-
- J'avais deux amis (1965) / St James infirmary (?)
- Vieille canaille (1985 - en duo avec Serge Gainsbourg) / You rascal you (?)
- Eddy Mitchell et Count Basie
-
- J'aime avril à Paris (2009) / April in Paris (?)
- Eddy Mitchell et Bing Crosby
-
- Noël blanc (1984) / White christmas (?)
- Eddy Mitchell et Ray Charles
-
- Fauché (1964) / Buster (?)
- Il faut croire (1964) / Sticks and stones (?)
- Qui l'a rendu fou ? (1964) / Lonely avenue (?)
- Personne au monde (1965) / Talkin' bout you (?)
- What is say (1965 - resté longtemps inédit) / What is say (?)
- Eddy Mitchell et Don Covay
-
- Hey Pony (1961) / Pony time
- Trop jaloux (1961) / Boo hoo, i'm gonna cry
- Eddy Mitchell et Sam Cooke
-
- Chain-gang (1963) / Chain-gang
- Eddy Mitchell et James Brown
-
- Quitte à tout perdre (1968) / Get it together (?)
- Eddy Mitchell et Wilson Pickett
-
- Elle me voit beau (1968) / She's looking good
- Eddy Mitchell et Otis Redding
-
- Quelqu'un a dû changer la serrure de ma porte (1968) / But it's all right
- Otis (1969) / Hard to Handie (?)
- Eddy Mitchell et Frank Sinatra
-
- Ce diable noir (1963) / That old black magic
- J'aime avril à Paris (2009) / April in Paris
- Ma plus belle année (2009) / It was a very good year
- Eddy Mitchell et B.B. King
-
- Cash (1971) / Patches
- J'ai le bonjour du Blues (1987) / Happy birthay Blues
- Eddy Mitchell et Tom Jones
-
- Je n'ai qu'un cœur (1965) / I've got a heart
- Eddy Mitchell et Stevie Wonder
-
- Superstition (1973) / Superstition (?)
- Eddy Mitchell et Jimmy Cliff
-
- Le maitre du monde (1976) / The harder they come
- Eddy Mitchell et Hank Williams
-
- Jambalaya (2006) / Jambalaya
- Eddy Mitchell et Don Williams
-
- Le temps qui passe (1976) / Come early morning
- Eddy Mitchell et Kris Kristofferson
-
- Bobby Mc Gee (1972) / Me and Bobby Mc Gee (?)
- Eddy Mitchell et Bobbie Gentry
-
- La Marie-Jeanne (1976 - reprise de la chanson de Joe Dassin) / Ode to Billie Joe
- Eddy Mitchell et Neil Diamond
-
- Miss Caroline (1969) / Sweet Caroline
- Eddy Mitchell et Johnny Cash
-
- Je file droit (2009) / I walk the line (?)
- Eddy Mitchell et Bob Dylan
-
- La fille du Nord (1984) / Girl from the north country (?) / (reprise de la version française d'Hugues Aufray / il l'enregistre - une seconde fois - en duo avec Aufray en 2009 sur l'album New Yorker)
- Frappe aux portes du paradis (2009) / Knockin'on heaven's door (?)
- Eddy Mitchell et The Platters
-
- Only you (1968) / only you (?)
- Eddy Mitchell - The Beatles
-
- Tu ferais mieux de l'oublier (1965) / You've got to hide you love away (?)
- Le fou sur la colline (1968) / The fool on the hill (?)
- Eddy Mitchell et The Rolling Stones
-
- Rien qu'un seul mol (1965) / (I Can't Get No) Satisfaction (1965, album Out of Our Heads édition USA)
- Eddy Mitchell et The Animals
-
- Tu ne peux pas (1965) / I'm crying (?)
- Eddy Mitchell et Creedence Clearwater Revival
-
- Le jardin de l'Eden (1969) / Creen river (?)
- J'aurai sa fille (1970) / Down on the corner (?)
- Laisse tomber le ciel (1977) / Midnight special (?)
- Eddy Mitchell et Moody Blues
-
- Le jeu (1971) / Questions (?)
Eddy Mitchell chante Mort Shuman (titre par E. Mitchell - (date) - adaptation / titre anglais - Compositeur - auteur / interprète de la chanson originale)
- C'est tout comme (1962) Claude Moine / A mess of blues - Mort Shuman - Doc Pomus / Elvis Presley
- Petite sœur d'amour (1962) Claude Moine / Little sister - Mort Shuman - Doc Pomus / Elvis Presley
- Ne délaisse pas (1963) Claude Moine / Gonna get back home somehow - Mort Shuman - Doc Pomus / Elvis Presley
- Ma maitresse d'école (1963) Claude Moine / Don't school a fool - Mort Shuman - Doc Pomus / cette chanson initialement promise à Presley n'a pas trouvé d'interprète aux États-Unis
- Rien non rien (1963) Claude Moine / Run fool run - Mort Shuman - Doc Pomus / cette chanson initialement promise à Presley n'a pas trouvé d'interprète aux États-Unis
- L'école des cœurs brisés (1964) Claude Moine / School of hearbreakers - Mort Shuman - Doc Pomus / Ral Donner
- Je défendrai mon amour (1964) André Salvet / Here i go again - Mort Shuman - Clive Wesstake / The Hollies
- Le générique (1964) Claude Moine / Mort Shuman
- Johnny merci (1964) Claude Moine / Mort Shuman
- Et tu pleureras (1966) Claude Moine / Mort Shuman
- Revoir encore (1966) Ralph Bernet / Mort Shuman
- Je suis parti de rien (1976) Claude Moine / Mort Shuman
- Tu ne veux plus de moi (1980) Claude Moine / Mort Shuman
- Vraiment bien (1991) Claude Moine / Mort Shuman / duo Eddy Mitchell Mort Shuman
- Garde moi la dernière danse (2009) André Calvet / Salve the last dance for me - Mort Shuman - Doc Pomus / The Drifters
- Reprises & chansons communes Eddy Mitchell - Johnny Hallyday
- Notes : titre original - (date) - par / titre d'Eddy - (date) - album / titre de Johnny - (date) - album
- Be bop a lula (1956) Gene Vincent / Be bop a lula (en français) (1961) 100% Rock album des Chaussettes Noires, Be bop a lula (en français) (1963) Super 45 tours / Be bop a lula (en anglais) (1962) Sings America's Rockin' Hits
- You talk too much (1960) Joe Jones / Tu parles trop (1961) 100% Rock album des Chaussettes Noires / Tu parles trop (1961) Nous les gars, nous les filles
- Johnny B. goode (1958) Chuck Berry / Eddy soit bon (1961) 100% Rock album des Chaussettes Noires / Johnny reviens (1964) Johnny, reviens ! Les Rocks les plus terribles
- Pony time (1960) Don Conway / Hey pony (1961) 100% Rock album des Chaussettes Noires / Hey pony (1961) 33 tours 25 cm Tête à tête avec Johnny Hallyday
- C'mon everybody (1958) Eddie Cochran / Comment vas-tu mentir ? (1963) Eddy in London / Venez tous avec moi (1974) Rock'n'Slow
- Baby i don't care (1957) Elvis Presley / Sentimentale (1963) Eddy in London / Sentimentale (1961) 33 tours 25 cm Tête à tête avec Johnny Hallyday
- Money honey (1956) Elvis Presley / Belle honey (1963) Eddy in London / Money honey (en anglais, inédit 1960 live au Vieux Colombier), Monnaie, monnaie (1996) Destination Vegas
- Long tall Sally (1956) Little Richard / L'oncle John (1963) Eddy in London / Sally (1964) Johnny, reviens ! Les Rocks les plus terribles, Oh ! Sally (1975) Rock à Memphis
- Ready teddy (1956) Little Richard / Ready teddy (1963) Eddy in London / Ready teddy (1959, maquette restée inédite jusqu'en 1993), Belle (1964) Johnny, reviens ! Les Rocks les plus terribles
- Good golly miss Molly (1956) Little Richard / Jolie miss Molly (1963) Eddy in London / C'est finie miss Molly (1964 version studio restée inédite jusqu'en 1993 / version live restée inédite jusqu'en 1992) Johnny Hallyday Olympia 64, Adieu miss Molly (1975) Rock à Memphis
- You're devil in disguise (1963) Elvis Presley / Tu n'as rien de tout ça (1963) Super 45 tours / Tu n'as rien de tout ça (1964) 33 tours 25 cm Les guitares jouent
- Roll over Beethoven (1956) Chuck Berry / Repose Beethoven (1964) Panorama / Au rythme et au Blues (1964) Johnny, reviens ! Les Rocks les plus terribles
- Maybellene (1955) Chuck Berry / Maybellene (en français) (1964) Panorama / Maybellene (en anglais) (1962) Sings America's Rockin' Hits
- Memphis Tennessee (1959) Chuck Berry / Memphis Tennessee (en français) (1964) Panorama / Memphis USA (1975) Rock à Memphis, Memphis est loin d'ici (1996) Destination Vegas
- Et maintenant (19??) Gilbert Bécaud / Et maintenant (1966) Seul / Et maintenant (2009) Tour 66 : stade de France 2009
- Rock'n'Roll music (1957) Chuck Berry / J'aime le Rock'n'Roll (1971) Rock 'n' Roll / Rock'n'Roll musique (1965) Hallelujah
- Me and Bobby Mc Gee (1971) Kris Kristofferson / Bobby Mc Gee (1972) Dieu bénisse le rock'n'roll / L'histoire de Bobby Mc Gee (1975) La terre promise
- Tutti frutti (1955) Little Richard / Tutti frutti (1975 - live) Rocking in Olympia 1975 / Tutti frutti (1959 maquette restée inédite jusqu'en 1993), (1961) 33 tours 25 cm Johnny et ses fans au festival de Rock'n'Roll, (1975) Rock à Memphis
- Promised land (1964) Chuck Berry (version d'Elvis Presley en 19??) / Une terre promise (1975) Made in USA / La terre promise (1975) La terre promise
- Sweet little rock'n'roller (1958) Chuck Berry / Sirop Rock'n'Roll (1976) Sur la route de Memphis / Jolie petite Rock'n'rolleuse (1996) Destination Vegas
- That's how i got to Memphis (1968) Tom T. Hall / Sur la route de Memphis (1976) Sur la route de Memphis / Sur la route de Memphis (Johnny reprend la chanson d'Eddy en 1996) Destination Vegas
- Blueberry Hill (?) Glenn Miller (version de Fats Domino en 1956) / La colline de Blueberry Hill (1977) La Dernière Séance / Blueberry Hill (1962) Sings America's Rockin' Hits, version live en duo avec Chris Isaak (2006) La Cigale : 12-17 décembre 2006
- Not fade away (1957) Buddy Holly / Comment ça fait (1979) C'est bien fait / Je vais te secouer (1996) Destination Vegas
- Love me tender (1956) Elvis Presley / Love me tender (1981 enregistrement, album sortie en 1984) Fan Album / Amour d'été (1967) Johnny 67, Love me tender (1996) Destination Vegas
- Mes souvenirs, mes seize ans (1984) Racines / Mes seize ans (1983) Entre violence et violon / chanson écrite par Eddy pour Johnny. Il l'enregistre l'année suivante avec des paroles légèrement différentes
- Mon dernier rêve (1997) Michel Sardou Salut, Eddy et Johnny font les chœurs sur ce titre de Sardou
- On veut des légendes duo Eddy-Johnny (2006) Jambalaya
- Something else (1959) Eddie Cochran / Elle est terrible-Something else (trio Mitchell-Hallyday-Little Richard (2006) Jambalaya /Elle terrible (1962 version live) Johnny à l'Olympia (1963 version studio) 33 tours 25 cm L’Idole des jeunes et album Les Bras en croix
- Pour compléter
- Eddy Mitchell évoque Johnny Hallyday dans les chansons :
- Johnny merci (1964) Toute la ville en parle... Eddy est formidable
- Chronique pour l'an 2000 (1966) Super 45 tours
- Aie (1969, version live - texte différent de la version studio) / Olympia 69
- Mes souvenirs, mes seize ans (1984) Racines / (Johnny évoque Eddy dans sa version du titre en 1983 Entre violence et violon)
- Promesses, promesses (1993) Rio Grande
- L'arche de Noë revisitée (2006) / Jambalaya
- Les duos Eddy - Johnny (+ participations) :
- 1975 Be bop a lula (télé)
- 1976 Une terre promise - La terre promise (Télé)
- 1977 Sur la route de Memphis (télé)
- 1978 La musique que j'aime (avec également Sheila et Michel Sardou)
- 1979 Blue suede shoes (dernière de Johnny Hallyday au Pavillon de Paris le 25 novembre)
- 1979 Tutti frutti (dernière de Johnny Hallyday au Pavillon de Paris le 25 novembre)
- 1979 Be bop a lula (dernière de Johnny Hallyday au Pavillon de Paris le 25 novembre)
- 1981 Et la voix d'Elvis (télé, avec également Gérard Depardieu)
- 1982 Medley Rock'n'Roll (télé)
- 1982 J'ai oublié de vivre (télé)
- 1982Cartes postales d'Alabama (dernière de Johnny Hallyday au Palais des Sports le 11 novembre)
- 1982 Be bop a lula, (dernière de Johnny Hallyday au Palais des Sports le 11 novembre)
- 1982 Whole lotta shakin'goin'on ((dernière de Johnny Hallyday au Palais des Sports le 11 novembre)
- 1982 Cartes postales d'Alabama + vœux (Tv. le 31 décembre)
- 1983 Mes seize ans (télé, à deux reprises dans des versions différentes)
- 1985 Be bop a lula (la dernière de Johnny Hallyday au Zénith le 3 février)
- 1985 Sur la route de Memphis (Printemps de Bourges le 2 avril)
- 1985 Je me sens si seul - Heartbreak hotel) (Printemps de Bourges le 2 avril)
- 1985 That's all right mama (Printemps de Bourges le 2 avril)
- 1985 Be bop a lula (Printemps de Bourges le 2 avril)
- 1989 Pour toi Arménie (Mitchell et Hallyday participent avec de nombreux artistes à ce titre à vocation humanitaire)
- 1989 Le bon temps du Rock'n'Roll (télé avec également Alain Bashung)
- 1989 Le bon temps du Rock'n'Roll / (Tournée d'Enfoirés)
- 1989 Je t'attends (Tournée d'Enfoirés, (avec également Véronique Sanson, Michel Sardou et Jean-Jacques Goldman)
- 1989 La chanson des Restos (Tournée d'Enfoirés, (avec également Véronique Sanson, Michel Sardou et Jean-Jacques Goldman)
- 1993 Excuse-moi partenaire (avec Paul Personne à la guitare // Johnny Hallyday au Parc des Princes le 18 et 19 juin) / Parc des Princes 1993
- 1993 Happy birhday Rock'n'Roll (avec Paul Personne à la guitare // Johnny Hallyday au Parc des Princes le 18 et 19 juin) / Parc des Princes 1993
- 1994 Be bop a lula (télé avec Paul Personne à la guitare)
- 1998 Sa raison d'être (Mitchell et Hallyday participent avec de nombreux artistes à ce titre à vocation humanitaire)
- 1999 Couleur menthe à l'eau (télé)
- 2000 Be bop a lula (22 juin, Olympia Johnny Hallyday)
- 2004 Lèche botte blues (Télé, trio avec Isabelle Boulay)
- 2004 La musique que j'aime (télé, trio avec Isabelle Boulay)
- 2007 J'ai oublié de vivre (télé, Taratata spécial Johnny Hallyday)
- 2007 On veut des légendes / Jambalaya Tour
- 2007 Be bop a lula (français-anglais) / Jambalaya Tour
Le cinéphile
Son père, employé de la RATP, lui transmet dès son plus jeune âge un goût certain pour le cinéma, en particulier pour les westerns américains des années cinquante. Cette passion de jeunesse subsistera et trouvera son aboutissement, lorsque à partir de 1982, Eddy Mitchell animera pendant 16 ans sur FR3, la Dernière Séance, sorte de ciné-club mensuel essentiellement consacré au cinéma américain des années cinquante, tous genres confondus. Chaque soirée comprenait un film doublé en français, des actualités cinématographiques d'époque, des dessins animés puis un film en version originale sous-titrée.
La plupart des émissions ont été tournées au cinéma Le Palace à Beaumont-sur-Oise (95)[9] qui est un exemple de décor des années 1950–1960.
Filmographie (acteur)
Cinéma
- 1961 : Une grosse tête de Claude de Givray (chanson : Rock des Karts)
- 1962 : Les Parisiennes, dans le sketch Ella, réalisé par Jacques Poitrenaud, autres réalisateurs : Marc Allégret, Claude Barma et Michel Boisrond
- 1963 : Comment réussir en amour, de Michel Boisrond
- 1963 : Just for Fun, de Gordon Flemyng, dans un rôle d'arrière-plan
- 1970 : Nanou, feuilleton télévisé de Georges Régnier
- 1980 : Je vais craquer de François Leterrier
- 1981 : Gaston Lapouge, téléfilm de Franck Apprederis
- 1981 : Coup de torchon, de Bertrand Tavernier
- 1983 : Attention ! Une femme peut en cacher une autre, de Georges Lautner
- 1984 : Ronde de nuit, de Jean-Claude Missiaen
- 1983 : À mort l'arbitre, de Jean-Pierre Mocky
- 1984 : Frankenstein 90, d'Alain Jessua
- 1986 : La Galette du roi, de Jean-Michel Ribes
- 1986 : I Love You, de Marco Ferreri
- 1986 : Autour de minuit, de Bertrand Tavernier
- 1989 : Un père et passe, de Sébastien Grall
- 1990 : Promotion canapé, de Didier Kaminka
- 1991 : Jusqu'au bout du monde (Bis ans Ende der Welt), de Wim Wenders
- 1991 : Rock'O'Rico (Rock-A-Doodle), dessin animé de Don Bluth et Dan Kuenster (voix de Chantecler, dans la version française)
- 1991 : La Totale !, de Claude Zidi
- 1992 : Ville à vendre, de Jean-Pierre Mocky
- 1994 : La Cité de la peur, alias Le Film de Les Nuls, d'Alain Berberian
- 1995 : Le bonheur est dans le pré, d'Étienne Chatiliez
- 1998 : Cuisine américaine, de Jean-Yves Pitoun
- 2001 : Tanguy, d'Étienne Chatiliez (simple apparition)
- 2003 : Lovely Rita, sainte patronne des cas désespérés, de Stéphane Clavier
- 2003 : Les Clefs de bagnole, de Laurent Baffie
- 2006 : Un printemps à Paris, de Jacques Bral
- 2007 : Big City, de Djamel Bensalah
- 2009 : Bambou, de Didier Bourdon
- 2011 : Au bistro du coin, de Charles Nemes
- 2012 : L'Oncle Charles d'Etienne Chatiliez
- 2012 : Populaire de Regis Roinsard
Télévision
- 1980 : Émilie Jolie, comédie musicale télévisée de Jean-Christophe Averty, sur un scénario de Philippe Chatel d'après ses personnages
- 1980 : Ça va plaire, téléfilm musical de Jean-Pierre Cassel et Bernard Lion
- 1967 : Anna, de Pierre Koralnik, dans son propre rôle, interprétant la chanson "Baseball"
- 2000 : Kitchendales, téléfilm de Chantal Lauby
- 2005 : La Tête haute, téléfilm de Gérard Jourd'hui, d'après un roman de Georges Simenon
- 2007 : L'héritage de Laurent Heynemann, série Chez Maupassant
- 2009 : La cagnotte de Philippe Monnier, série Au siècle de Maupassant
- 2011 : Le Grand Restaurant II de Gérard Pullicino
Théâtre
- 2008 : Le Temps des cerises de Niels Arestrup, mise en scène Stéphane Hillel, Théâtre de la Madeleine, tournée
Œuvres écrites
- 1979 : Galas, galères, autobiographie, Éditions Jacques Grancher (coll. « Souvenirs »)
- 1986 : Cocktail Story, R.M.C. Éditions (recettes de cocktails et recueil d'anecdotes sur le monde du « showbiz »
- 1994 : P'tit Claude, roman, L'Arbre à cames (+ réédition Presses-Pocket)
Bibliographie
- Les Chaussettes noires, 100% rock, livre-album collectif, Éditions P.A.C., 1970
- Pierre Bénichou, Eddy Mitchell, Éditions P.A.C., 1977
- Henri Leproux, Le Temple du rock: Golf-Drouot, Robert Laffont, Paris, 1982, 253 p.
- Chantal Pelletier, Eddy Mitchell, Éditions Seghers (coll. « Poésie et Chansons »), 1982
- Christian Page, Eddy Mitchell, BRÉA Éditions, 1983
- Jacques Assolen, le Livre d'or d'Eddy Mitchell, une publication de l'E.M.C. - 1988
- Maurice Achard, Dactylo Rock. Le roman vrai des Chaussettes Noires, Flammarion 1994
- Jean-Marc Thévenet, Tout Eddy. Eddy Mitchell, Albin Michel/Canal+, 1994
- Jacques Assolen, De Schmoll à Monsieur Eddy, éditions de l'E.M.C. - 1996
- Jacques Assolen, Eddy sur Seine : 1961 - 1997, Tous ses concerts en Île-de-France, une publication de l'E.M.C. - 1998
- Jacques Assolen, Encyclop'Eddy, une publication de l'E.M.C. - 2001
- Philippe Corcuff, "Philosophie du Schmoll : Eddy Mitchell et la question du scepticisme dans la société néolibérale", in Mediapart, 10 mars 2010
- Philippe Corcuff, "Les désillusions excluent-elles le rêve? Le blues d'Eddy Mitchell", in La société de verre. Pour une éthique de la fragilité, Paris, Armand Colin, 2002, pp.107-116
- Philippe Corcuff, "Le cimetière des éléphants – La philosophie sauvage d’Eddy Mitchell", Cités – Philosophie Politique Histoire (Presses Universitaires de France), n°19, 2004
- Thierry Liesenfeld, Les Chaussettes Noires. Ceci est leur histoire, Kalohé Productions, 2003
- Alain Dugrand, M'sieur Eddy et moi, Paris, éditions Fayard, 2004, 208 pages, 22 cm (ISBN 2-2136-1889-5)
- Daniel Lesueur, Eddy Mitchell & Les Chaussettes Noires Argus, éditions Camion blanc, 254 pages, octobre 2011, ISBN 2357791454
Récompenses
- 1982 : Nomination au César du meilleur acteur dans un second rôle pour Coup de torchon de Bertrand Tavernier
- Victoires de la musique 1992 : Victoire du concert de l'année pour Eddy Mitchell au Casino de Paris
- Victoires de la musique 1994 : Victoire du meilleur album de l'année pour Rio Grande
- Victoires de la musique 1995 : Victoire du concert de l'année pour Eddy Mitchell à Bercy, au Casino de Paris, à l'Olympia et au Zénith
- 1996 : César du meilleur acteur dans un second rôle pour Le bonheur est dans le pré d'Étienne Chatiliez
- Victoires de la musique 1997 : Victoire du meilleur album de l'année pour Mr. Eddy
- Victoires de la musique 2011 : Victoire du concert de l'année pour "Ma dernière séance" à l'Olympia et en tournée
Infos diverses
- Très myope il n'a pas le permis de conduire ce qui lui a posé un problème pour jouer le rôle d'un concessionnaire automobile dans Le bonheur est dans le pré. Un véhicule spécial a donc été conçu pour l'occasion, Eddy Mitchell faisant semblant de conduire alors qu'un cascadeur pilotait, caché dans le compartiment moteur.
- Appréciant les expressions américaines et de grande taille par rapport à ses amis, il avait coutume de les appeler familièrement « Small ». Il prononçait le mot avec son accent français, cela est à l'origine de son surnom « Schmoll ». A une amie juive qui l'appelait "Schmock" (i.e. couillon, idiot en yiddish), il lui demanda de plutôt l'appeler « Schmoll »[10].
- Eddy écrit ses textes - les adaptations bien évidemment, mais aussi ses créations originales - à partir d'une musique, il n'a jamais pu faire le contraire ; une musique l'inspire, pas une page blanche[11] ! Les adaptations de chansons américaines sont fréquentes dans la discographie du chanteur, elles ne constituent pas pour autant l'intégralité de son répertoire. En 1966, sa rencontre avec le pianiste Pierre Papadiamandis est déterminante. Devenu son ami et son compositeur attitré, Pierre Papadiamandis livre dès lors régulièrement des musiques pour Eddy Mitchell. À partir des années 80, les adaptations se font plus rares tandis que Papadiamandis est davantage mis à contribution. Eddy Mitchell fit parfois appel à d'autres auteurs afin de l'aider à boucler une chanson ; témoin Boris Bergman appelé en renfort sur "Lèche-bottes Blues", qui donnait bien du labeur au chanteur.
- Eddy a parfois figuré dans des publicités, souvent assez drôles. En 1980 il tourne un spot publicitaire pour un fast food dans lequel il chante What a burger. Il succéda à la mère Denis, le temps d'un clip pour une marque de lave linge. En 2009 on le vit vanter une marque d'appareils auditifs à la télévision, sur le principe de la prévention, concernant la perte d'audition auditive. Le spot, auquel il a contribué à l'écriture du scénario en plus d'y figurer, est assez décalé et met en évidence la personnalité pince-sans-rire de l'artiste.
- De nombreux titres d'Eddy Mitchell ont été repris par divers artistes, comme l'incontournable "sur la route de Memphis" repris entre autre par Rock Voisine, Johnny Hallyday ou encore Sam Burton.
Notes et références
- Eddy Mitchell : La classe ultime pour de merveilleux adieux, Vidéo de BFM sur Purepeople.com, 5 septembre 2011
- Eddy Mitchell a fait ses adieux à la scène, Libération, 6 septembre 2011
- La dernière séance d'Eddy Mitchell, 7sur7.be, 6 septembre 2011
- Bobby Bare ; il existe également une version (très rare) de Bill Haley Note :Sur la route de Memphis est l'adaptation d'un titre original de Tom T. Hall - également repris par
- http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hX-ZLXBleiNX_9HBeMnBnA7ulfzQ
- Télérama : Télérama) (voir le reportage de
- http://www.purepeople.com/article/eddy-mitchell-la-classe-ultime-pour-de-merveilleux-adieux_a86813/1
- http://eddymitchell.artistes.universalmusic.fr/main_site.php
- http://www.evene.fr/culture/lieux/le-palace-4075.php
- http://sites.radiofrance.fr/franceinter/em/conversation-busnel/index.php?id=96426
- énième confirmation par le principal intéressé en octobre 2010 lors de son passage dans l'émission Vivement dimanche de Michel Drucker
Liens externes
- Eddy Mitchell sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais
- (en) Eddy Mitchell sur MusicBrainz
- (fr) [vidéo] Portrait d'Eddy Mitchell en vidéos sur ina.fr
- Photos d'Eddy Mitchell sur les plateaux télévisés ou de tournages sur photo.ina.fr
- Portail de la musique
- Portail du rock
- Portail du cinéma
- Portail de la réalisation audiovisuelle
- Portail des yéyés
Catégories :- Chanteur français
- Chanteur des années 1960
- Chanteur des années 1970
- Chanteur des années 1980
- Chanteur des années 1990
- Chanteur des années 2000
- Acteur français
- Animateur de télévision français
- Nom de scène
- César du meilleur acteur dans un second rôle
- Membre des Enfoirés
- Rock français des années 1960
- Naissance en 1942
- Naissance dans le 19e arrondissement de Paris
Wikimedia Foundation. 2010.