- Hank Williams
-
Hank Williams Nom Hiram King Williams Naissance 17 septembre 1923 Pays d’origine Alabama, États-Unis Genre musical Blues, Country, Honky tonk, Folk, Americana Instruments Chant, Guitare Années d'activité 1937-1953 Labels Sterling, MGM, Mercury, Curb Site officiel http://www.hankwilliams.com/ Hiram « Hank » King Williams (17 septembre 1923 - 1er janvier 1953) était un chanteur, un guitariste et un compositeur américain qui devint une icône de la musique country et du rock, et l'un des plus influents musiciens du XXe siècle. Adepte influent du style Honky tonk, il enregistra de nombreux disques à succès, et son charisme sur scène ainsi que ses compositions concises alimentèrent sa célébrité. Son catalogue musical est l'une des colonnes vertébrales de la musique country, et on y trouve par ailleurs plusieurs standards pop. Ses chansons ont été reprises par des artistes pop, gospel et rock. Sa légende n'a fait que croître depuis sa mort prématurée à l'âge de 29 ans.
Son fils Hank Williams, Jr., sa fille Jett Williams, et ses petits-fils Hank Williams III et Holly Williams sont aussi des musiciens professionnels.
Sommaire
Enfance
Naissance
Williams est né en 1923, dans la petite ville (n'ayant même pas le statut officiel de ville) de Mount Olive, à environ 8 miles de Georgiana, Alabama. Son nom vient de Hiram I de Tyre, mais il fut mal orthographié Hiriam sur son certificat de naissance[1]. Il lui fut diagnostiqué un cas de spina bifida occulta, un problème de colonne vertébrale, qui l'accompagna toute sa vie durant avec un mal de dos chronique. Ses parents étaient Alonzo Huble Williams, connu sous le nom de Lon, un conducteur de locomotive pour une compagnie forestière régionale et vétéran de la Première Guerre mondiale, et Jessie Lillybelle Williams, connue sous le nom de Lillie. Il avait une grande sœur nommée Irène.
Enfance
Durant sa petite enfance, la famille Williams déménageait fréquemment, dans l'Alabama du sud, suivant les nécessités du travail de son père. À l'âge de six ans Hank a fait ses débuts dans la musique en intégrant une chorale d'église, puis en 1930, alors que Williams n'avait que 7 ans sa mère lui acheta sa toute première guitare[2]. Cette même année son père commença à souffrir d'une paralysie faciale. Dans une clinique pour vétérans du ministère américain des anciens combattants à Pensacola, Floride, les docteurs diagnostiquèrent un anévrisme cérébral, ils envoyèrent donc Lon Williams au centre médical du ministère américain des anciens combattants à Alexandria, Louisiane. Lon resta hospitalisé durant 8 ans et fut donc absent durant la plupart de l'enfance de son fils.
En 1931, Lillie Williams ancra sa famille à Georgiana, Alabama, où elle travaillait comme tenancière d'une pension de famille. Elle parvint à trouver plusieurs emplois d'appoint pour élever ses enfants, malgré le climat économique morose de la Grande Dépression. Elle travailla dans une conserverie et en tant qu'infirmière de nuit à l'hôpital local. Hiram et Irene aidaient en vendant des cacahuètes, en cirant des chaussures, livrant des journaux, et autres humbles tâches. Avec l'aide de l'homme politique J. Lister Hill, la famille commença à recevoir la pension militaire de Lon. Malgré l'état de santé du père, la famille Williams se débrouilla plutôt bien sur le plan économique tout au long de la dépression.
Adolescence
En 1933, Hank Williams déménagea à Fountain, Alabama, pour vivre avec son oncle et sa tante, Walter et Alice McNeil. Entre temps, son cousin Opal McNeil emménageait avec la famille Williams à Georgiana pour y aller au lycée. À Fountain, Williams, âgé de 10 ans, devint ami avec son cousin J.C. McNeil, qui était de six ans son aîné. Il prit là certaines des habitudes qui domineraient le reste de sa vie. Sa tante Alice lui apprit à jouer de la guitare, et son cousin J.C. lui apprit à boire du whisky.
Après un an de vie commune avec sa famille de Fountain, Williams revint à Georgiana, où il fit la rencontre de Rufus Payne, un musicien afro-américain de blues résidant dans la ville voisine de Greenville. Payne passait souvent à Georgiana et dans d'autres villes du coin pour se produire dans les rues et autres lieux publics. Rufus Payne, plus généralement connu sous le surnom de Tee-Tot, devint le mentor de Williams et influença énormément son style musical.
À l'automne 1934, La famille Williams emménagea à Greenville, Alabama, une ville plus grande à environ quinze miles au nord de Georgiana. Lillie ouvrit une pension de famille à côté du tribunal de Butler County, et Williams put passer plus de temps avec Rufus Payne. Quelquefois, Williams passait la nuit entière chez Payne. En 1937, Williams fut impliqué dans une bagarre très violente avec son professeur d'éducation physique. Furieuse, sa mère demanda l'expulsion du professeur par le conseil d'administration de l'école. Quand ce dernier refusa de prendre cette décision, elle décida de déménager à Montgomery.
Carrière
Débuts
En juillet 1937, les familles Williams et McNeil ouvrirent une pension de famille sur le rue South Perry au centre de Montgomery, une ville plus grande que toutes celles dans lesquelles ils avaient vécu jusqu'à présent. C'est à cette époque que Hiram décida de changer de façon informelle son nom pour Hank, un nom qui d'après lui correspondait mieux à son désir de carrière dans la musique country.
Après l'école, et les week-ends, Hank chantait et jouait de sa guitare Silvertone sur le trottoir devant les studios de radio WSFA. Il obtint rapidement l'attention des producteurs de la station, qui l'invitèrent quelques fois à venir jouer en direct. Tant d'auditeurs appelèrent la station de radio, demandant plus du Singing Kid, que les producteurs l'engagèrent afin qu'il dirige sa propre émission de quinze minutes, deux fois par semaine, pour un salaire hebdomadaire de quinze dollars.
En août 1938, Lon Williams fut temporairement autorisé à quitter l'hôpital, et arriva sans prévenir à la maison familiale de Montgomery. Lillie était réticente à le laisser reprendre sa position dominante, à la tête de la gestion du ménage; il resta seulement suffisamment longtemps pour célébrer l'anniversaire de Hank en septembre avant de retourner au centre médical en Louisiane. C'était la première fois que Hank voyait son père en l'espace de huit ans, et même après cette entrevue, il avait l'impression d'avoir grandi sans père.
Drifting Cowboys
L'émission de radio à succès de Hank détermina son choix d'une carrière musicale. Son salaire généreux était suffisant pour lui permettre de démarrer son propre groupe, qu'il nomma les Drifting Cowboys. Les premiers membres du groupe étaient le guitariste Braxton Schuffert, le violoniste Freddie Beach, et le comique Smith Hezzy Adair. Les Drifting Cowboys voyagèrent à travers le centre et le sud de l'Alabama, se produisant dans les clubs et lors de soirées privées. Hank abandonna l'école en octobre 1939, afin de travailler à plein temps avec les Drifting Cowboys.
Lillie Williams se proposa comme manager des Drifting Cowboys. Elle commença à réserver les dates de concert, négocier les prix; elle les conduisait à certains de leurs concerts. Désormais libres de voyager sans que l'emploi du temps scolaire de Hank prenne le dessus, le groupe fut capable de se rendre aussi loin que l'ouest de la Géorgie, et l'ouest de la Floride. Entre temps, Hank retournait à Montgomery chaque semaine pour son émission de radio.
L'entrée du pays dans la Seconde Guerre mondiale, en 1941, marqua le début des problèmes pour Hank Williams. Tous ses musiciens furent appelés à l'armée et beaucoup de leurs remplaçants refusèrent de continuer à jouer dans le groupe, en raison de l'aggravation des problèmes d'alcoolisme de Hank. Son idole, Roy Acuff, la star du Grand Ole Opry, le prévint des dangers de l'alcool, disant « Tu as une voix qui vaut un million de dollars, fils, mais un cerveau qui vaut dix centimes. »[3] Malgré l'avertissement d'Acuff, Williams continua à se rendre à son émission de radio en état d'ébriété. La WSFA finit par le licencier pour ivresse à répétition en août 1942. Hank travailla alors quelque temps comme soudeur dans le grand chantier naval ADDSCO de Mobile.
Célébrité
Williams a eu douze titres numéro un des ventes durant sa courte carrière — Lovesick Blues, I'm So Lonesome I Could Cry, Long Gone Lonesome Blues, Why Don't You Love Me?, Moanin' the Blues, Cold, Cold Heart, Hey Good Lookin', Jambalaya (On the Bayou), I'll Never Get Out of This World Alive, Kaw-Liga, Your Cheatin' Heart, Take These Chains From My Heart — et il eut aussi de nombreuses autres chansons dans le top 10.
En 1943, Williams rencontra Audrey Sheppard, et le couple se maria un an plus tard. Audrey devint aussi son manager puisque la carrière de Williams allait grandissant et qu'il devenait une célébrité. En 1946, Williams enregistra deux albums pour Sterling Records, Never Again (1946) et Honky Tonkin' (1947), qui furent tous deux des succès commerciaux. Williams signa bientôt avec MGM Records, et publia Move It On Over, une réussite commerciale massive qui sera reprise par la suite par Bill Haley avec son fameux « Rock Around the Clock ». En août 1948, Williams rejoint la Louisiana Hayride, émettant depuis Shreveport, Louisiane, le propulsant dans les foyers de tout le sud-est. Après quelques autres succès plus modérés, Williams publia sa version de Lovesick Blues (originellement écrit par Rex Griffin) en 1949, qui devint un grand succès et atteignit un public plus vaste. Cette année-là, Williams interpréta la chanson au Grand Ole Opry, où il devint le premier invité à recevoir 6 rappels. En plus, Hank rassembla Bob McNett (guitare), Hillous Butrum (guitare basse), Jerry Rivers (violon) and Don Helms (steel guitar) qui formèrent la plus célèbre version des Drifting Cowboys; cette même année, Audrey Williams donna naissance à Randall Hank Williams (Hank Williams, Jr.). 1949 vit aussi Williams publier sept chansons à succès après Lovesick Blues, dont Wedding Bells, Mind Your Own Business, You're Gonna Change (Or I'm Gonna Leave) et My Bucket's Got a Hole in It.
Fichier audio "My Bucket's Got a Hole in It" (info)
La chanson populaire "My Bucket's Got a Hole in It," qui deviendra plutard un tube pour Hank Williams en 1949.
Des problèmes pour écouter le fichier ?En 1950, Williams commença à enregistrer en tant que Luke the Drifter, un surnom qui lui a été donné pour identifier ses enregistrements les plus moralistes et religieux, dont la plupart sont des récitations au lieu de son chant habituellement typé crooner. Craignant que les disk jockeys et les propriétaires de jukebox hésitent à accepter ces enregistrements inhabituels pour Williams, menaçant ainsi le potentiel marketing du nom Williams, le nom Luke the Drifter fut employé pour masquer l'identité de l'artiste -- même si l'origine des enregistrements ne laissait pas de place au doute. À cette époque, Williams produit plus de chansons à succès, comme My Son Calls Another Man Daddy, They'll Never Take Her Love from Me, Why Should We Try Anymore?, Nobody's Lonesome for Me, Long Gone Lonesome Blues, Why Don't You Love Me?, Moanin' the Blues et I Just Don't Like This Kind of Livin'. En 1951, Dear John devint un succès mais la face B, Cold, Cold Heart, est restée comme l'une de ses plus célèbres chansons, aidée par la version pop numéro 1 par Tony Bennett. Cette année vit le premier de nombreux enregistrements des chansons de Williams dans des versions autres que country. (Cold, Cold Heart a par la suite été repris par Guy Mitchell, Teresa Brewer, Dinah Washington, Lucinda Williams, Cowboy Junkies, Frankie Laine, Jo Stafford, et Norah Jones, entre autres). Cette même année, Williams publia d'autres succès, dont le classique Crazy Heart.
Malgré les nombreux succès country de Williams, la légende semble résider dans la dualité de ses textes. D'un côté, il chantait sur la violence (Honky Tonkin') ou l'oisiveté (Lost Highway), mais de l'autre il chantait des chansons religieuses sur le remords, particulièrement la chanson éponyme de l'album I Saw The Light.
Cependant, la vie de Williams devenait ingérable du fait du succès. Son mariage, toujours troublé, se désintégrait rapidement, et il développa uns sérieux problème avec l'alcool, la morphine et d'autres produits. La plupart de ses abus venaient de ses tentatives pour calmer son sévère mal de dos. En 1952, Hank et Audrey se séparèrent et il revint chez sa mère, publiant toujours de nombreuses chansons à succès, comme Half as Much, Jambalaya (On the Bayou), Settin' the Woods on Fire, You Win Again et I'll Never Get Out of This World Alive. La dépendance de Williams envers la drogue continua à empirer alors qu'il emménageait à Nashville et se séparait officiellement de sa femme. Une relation avec Bobby Jett durant cette période se conclut par la naissance d'une fille, Jett, juste après sa mort.
En octobre 1952, Williams fut licencié du Grand Ole Opry. Ayant reçu l'ordre de ne revenir qu'après son retour à la sobriété, il rejoint la Louisiana Hayride. Le 18 octobre 1952, il se maria avec Billie Jean Jones Eshliman. Une cérémonie se tint à l'auditorium municipal de La Nouvelle Orléans, et environ 14000 personnes achetèrent un ticket pour y assister. Peu après, les Drifting Cowboys décidèrent de se séparer de Williams. Leur séparation était due au fait que Hank buvait plus que ce que les concerts leur rapportaient.
Décès
Le 1er janvier 1953, Williams était censé jouer à Canton, Ohio, mais il fut incapable de s'y rendre en avion à cause d'une mauvaise météo. Il engagea comme chauffeur un jeune homme de 17 ans, et, avant de quitter le vieil hôtel Andrew Johnson à Knoxville, Tennessee, un docteur lui injecta un mélange de vitamine B12 et de morphine pour calmer ses douleurs de dos. Il s'en alla ensuite en Cadillac, et contrairement aux croyances, il n'avait pas de bouteille de whisky avec lui. Il essayait de remettre sa carrière sur les rails en prouvant aux promoteurs qu'il pouvait être sobre et digne de confiance. Les seuls objets trouvés sur la banquette arrière de sa voiture furent quelques canettes de bière et des paroles écrites à la main pour une chanson non enregistrée : Then Came That Fateful Day (en français : « Et vint ce jour fatidique »).
Quand le chauffeur de dix-sept ans s'arrêta à une station service à Oak Hill, Virginie, il découvrit que Williams ne répondait plus et devenait rigide[4]. Après examen attentif, la mort de Hank Williams fut déclarée. La controverse a depuis lors entouré sa mort, certains déclarant que Williams était mort avant de quitter Knoxville[5]. Une estimation approximative de la mort de Williams la place aux alentours de trois heures du matin.
Le dernier single de Willams était prémonitoirement intitulé I'll Never Get Out of This World Alive. Cinq jours plus tard naissait sa fille illégitime de sa liaison avec Bobbie Jett (Jett Williams). Sa veuve, Billie Jean, épousa le chanteur country Johnny Horton en septembre de cette même année (1953)
Hank Williams fut inhumé à Montgomery le 4 janvier en présence d'une immense foule endimanchée. Le 15 janvier sortait le premier disque en son hommage : The Death Of Hank Williams de Jack Cardell, suivi de dizaines d'autres. Le disque Your Cheatin' Heart sera un hit posthume dans les hits-parades.
Héritage et influence
Ses fils Hank Williams, Jr., fille Jett Williams, petit-fils Hank Williams III, et petite-fille Hillary Williams et Holly Williams sont aussi musiciens country.
Les restes de Hank Williams sont enterrés à l'Oakwood Annex à Montgomery, Alabama. Ses funérailles furent qualifiées de plus importantes jamais tenues pour un citoyen de l'Alabama et restent, pour l'instant, le plus important événement s'étant tenu à Montgomery, Alabama. Actuellement, plus de cinquante ans après la mort de Williams, des membres de ses Drifting Cowboys continuent à tourner et à partager sa musique avec des générations de fans.
En 2004, le magazine Rolling Stone le classa en 74e position sur leur liste des « 100 plus grands artistes de tous les temps »[6].
En février 2005, la cour d'appel du Tennessee cassa un jugement d'un tribunal inférieur, arbitrant en faveur des héritiers de Hank Williams -- son fils Hank Williams, Jr. et sa fille Jett Williams -- qui obtiennent les droits exclusifs pour la vente de ses albums faits avec une station de radio de Nashville, Tennessee au début des années 1950. La cour rejeta les prétentions de Polygram Records et Legacy Entertainment sur la publication des enregistrements de Williams faits pour Mother's Best Flour Show, un programme qui fut originellement diffusé par WSM-AM. Les enregistrements, acquis par Legacy Entertainment en 1997, comprennent des versions en public des succès de Williams et ses reprises d'autres chansons. Polygram plaida que le contrat de Williams avec MGM Records, maintenant propriété de Polygram, leur donnait le droit de publier les enregistrements radio.
Singles
Année Morceau Chart positions Album US Country US 1947 "Never Again (Will I Knock on Your Door)" — — singles only "Wealth Won't Save Your Soul" — — "My Love for You (Has Turned to Hate)" — — "Pan American" — — "Move It On Over" 4 — "On the Banks of the Old Ponchartrain" — — 1948 "My Sweet Love Ain't Around" — — Moanin' the Blues "Honky Tonkin'" 14 — Honky Tonkin' "I'm a Long Gone Daddy" 6 — Moanin' the Blues "I Saw the Light" — — I Saw the Light "A Mansion on the Hill" 12 — Hank Williams Sings 1949 "Lovesick Blues" 1 24 Moanin' the Blues "Wedding Bells" 2 — Hank Williams Sings "Mind Your Own Business" 5 — singles only "You're Gonna Change (Or I'm Gonna Leave)" 4 — "My Bucket's Got a Hole in it" 2 — Honky Tonkin' 1950 "I Just Don't Like This Kind of Living" 5 — single only "Long Gone Lonesome Blues" 1 — Moanin' the Blues "Why Don't You Love Me" 1 — single only "Why Should We Try Anymore" 9 — Sing Me a Blue Song "Moanin' the Blues" 1 — Moanin' the Blues 1951 "Cold, Cold Heart" 1 — The Memorial Album "Howlin' at the Moon" 3 — Honky Tonkin' "Hey Good Lookin'" 1 — The Memorial Album "(I Heard That) Lonesome Whistle" 9 — Ramblin' Man "Baby, We're Really in Love" 4 — Honky Tonkin' 1952 "Honky Tonk Blues" 2 — Moanin' the Blues "Half as Much" 2 — The Memorial Album "Jambalaya (On the Bayou)" 1 20 Honky Tonkin' "Settin' the Woods on Fire" 2 — The Memorial Album "I'll Never Get Out of This World Alive" 1 — Honky Tonkin' faces B
Année Morceau US Country Original face-A single 1949 "Never Again (Will I Knock on Your Door)" 6 "Lovesick Blues" "Lost Highway" 12 "You're Gonna Change (Or I'm Gonna Leave)" 1950 "My Son Calls Another Man Daddy" 9 "Long Gone Lonesome Blues" "They'll Never Take Her Love from Me" 5 "Why Should We Try Anymore" "Nobody's Lonesome for Me" 9 "Moanin' the Blues" 1951 "Dear John" 8 "Cold, Cold Heart" "I Can't Help it (If I'm Still in Love with You)" 2 "Howlin' at the Moon" "Crazy Heart" 4 "(I Heard That) Lonesome Whistle" 1952 "You Win Again" 10 "Settin' the Woods on Fire" 1953 "Your Cheatin' Heart" (-posthumous-) 1 "Kaw-Liga" Singles posthumes
Année Morceau Chart positions Album US Country US 1953 "Kaw-Liga" 1 — The Memorial Album "Take These Chains from My Heart" 1 — Ramblin' Man "I Won't Be Home No More" 4 — Honky Tonkin' "Weary Blues from Waitin'" 7 — Moanin' the Blues (1956 album) "Calling You" — — I Saw the Light 1954 "Low Down Blues" — — Moanin' the Blues (1956 album) "How Can You Refuse Him Now" — — I Saw the Light "I Ain't Go Nothin' But Time" — — single only "Angel of Death" — — I Saw the Light 1955 "Please Don't Let Me Love You" 9 — The Immortal Hank Williams "Message to My Mother" — — I Saw the Light (1956 album) "Teardrop on a Rose" — — single only "At the First Fall of Snow" — — The Immortal Hank Williams "Battle of Armagedeon" — — single only 1956 "California Zephyr" — — The Immortal Hank Williams "I Wish I Had a Nickel" — — "Singing Waterfall" — — Sing Me a Blue Song "The Pale Horse and His Rider" — — singles only 1957 "Ready to Go Home" — — "Leave Me Alone with the Blues" — — "Waltz of the Wind" — — The Immortal Hank Williams 1958 "My Bucket's Got a Hole in it" — — Honky Tonkin' "Just Waitin'" — — single only 1965 "Lovesick Blues" — — Father and Son "The Pale Horse and His Rider" (w/ Audrey Williams) — — Mr. and Mrs. Hank Williams 1966 "I'm So Lonesome I Could Cry" 43 109 Legend Lives Anew with Strings "Kaw-Liga" — — "They'll Never Take Her Love from Me" — — 1967 "Dear John" — — Hank Williams More with Strings 1976 "Why Don't You Love Me" 61 — Insight into Hank Williams Citations
- « Une bonne chanson est une bonne chanson, et si je suis suffisamment chanceux pour l'avoir écrite, alors..! Je prends plus de plaisir à écrire qu'à chanter. Je suppose que j'ai écrit plus de mille chansons et n'en ai enregistré qu'environ 300. »[7] — Hank Williams
- « Quand j'écris à propos de Hank Williams qu'il est 'cent étages plus haut que moi dans la tour de la chanson', ce n'est pas par modestie. Je sais où Hank Williams se situe dans l'histoire de la chanson populaire. Des chansons comme Your Cheatin' Heart sont sublimes, et en comparaison je me considère comme un bien piètre écrivain. »[8] — Leonard Cohen
Anecdotes
- Hey Good Lookin' apparaît en 2004 sur le jeu vidéo Grand Theft Auto: San Andreas, jouée sur la station radio virtuelle K-ROSE, spécialisée dans la musique country.
- Une partie d'une autoroute en Alabama (de Georgiana à Millbrook) est nommée The Hank Williams Memorial Lost Highway[9].
- Neil Young acheta à Tuck Tailor l'ancienne guitare de Hank et s'est produit avec elle durant environ 30 ans. Une histoire sur cette guitare, et une chanson inspirée par elle, peuvent être vues à la 50ème minute du film Neil Young: Heart of Gold.
- Hank Williams et ses chansons sont cités dans le film Les Évadés réalisé par Frank Darabont en 1994, d'après une nouvelle de Stephen King.
- Your Cheatin' Heart fut utilisée dans une publicité de Pepsi.
- En 2006, dans le fim d'animation Cars, My Heart Would Know fait une apparition.
- Un film du nom de Hank est en ville !, inspiré de l'évènement entourant la fameux spectacle auquel Hank Williams n'a pas pu se produire le 1er Janvier 1953 en Ohio, est sur le point d'être tourné au Québec avec Maxime Le Flaguais et Roy Dupuis[10].
Notes et références
- Paul Hemphill, Lovesick Blues: The Life of Hank Williams, Penguin Group, 2005 (ISBN 0-6700-3414-2)
- François Jouffa, Jacques Barsamian, Histoire du Rock, France, Tallendier, coll. « Approches », 9 octobre 2008, 991 p. (ISBN 978-2-8473-4488-2)
- Colin Escott, Hank Williams: The Biography, Little, Brown and Company, 1994 (ISBN 0-3162-4986-6)
- This Isn’t Hank’s Story », 2003 Mike Edwards, «
- Death of a legend: Hank Williams' Knoxville demise surrounded by mystery half a century later », Metro Pulse, 2002 Jack Neely, «
- (en) Rolling Stone numéro 946, « Les immortels: Les cinquante premiers », Rolling Stone
- (en) Gleason, Ralph, Interview de Hank Williams en 1952, Rolling Stone, 28 juin 1969
- (en) Leonard Cohen, « Qui pointait une arme sur la tempe de Leonard Cohen? », The Guardian, 2004. Consulté le 2006-06-20
- Naming to the Point of Meaninglessness
- Site du film Hank est en ville !
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Hank Williams » (voir la liste des auteurs)
Bibliographie
- David Brackett, The Time-Life Country and Western Classics: Hank Williams, Interpreting Popular Music (ISBN 0-5202-2541-4)
Annexes
Liens externes
- Site officiel
- Fan club officiel
- Musée sur l'enfance de Hank Williams
- au Country Music Hall of Fame – Introduit en 1961
- au Rock & Roll Hall of Fame – Introduit en 1987
- à l'Alabama Music Hall of Fame – Introduit en 1985
- PBS – American Masters
- Hank Williams: Lost Highway
- Hank Williams sur Stereokiller
- Image du certificat de décès de Hank Williams
- Page officielle artiste Lost Highway de Hank Williams
- Sites traitant de sa dernière journée.
Catégories :- Auteur-compositeur-interprète
- Naissance en 1923
- Naissance en Alabama
- Décès en 1953
- Chanteur de country américain
- Membre du Temple de la renommée de la musique country
- Guitariste américain
- Guitariste de musique country
- Membre du Grand Ole Opry
- Lauréat du Grammy Award
- Lauréat du Songwriters Hall of Fame
Wikimedia Foundation. 2010.