- Jean-Jacques Goldman
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Pour les articles homonymes, voir Goldman.
Jean-Jacques Goldman Jean-Jacques Goldman en concert au Zénith de Paris, mai 2002.Surnom Comme auteur-compositeur : O. Menor, Sam Brewski, Sweet Memories, First Prayer Naissance 11 octobre 1951
Paris, FranceActivité principale Auteur-compositeur-interprète-Producteur de musique Genre musical Variété Pop Rock (musique) Instruments Chant Guitare Basse Piano Harmonica Oud Flûte Violon Années d'activité 1966 - présent Labels WEA (1975-1979) Epic - Sony Music (depuis 1981) Entourage Taï Phong Michael Jones Fredericks Goldman Jones Les Enfoirés Céline Dion Carole Fredericks Patrick Bruel Jean-Jacques Goldman (né le 11 octobre 1951 à Paris) est un auteur-compositeur-interprète français, et également producteur, de variété et de pop rock principalement.
Il a d'abord joué dans le groupe des Red Mountain Gospellers, puis avec The Phalanster et enfin avec Taï Phong. Toutefois, c'est principalement sa carrière solo qui lui a permis de s'imposer comme l'un des chanteurs les plus populaires de sa génération, avec des titres comme Quand la musique est bonne (1982) ou Je te donne (1985). Il a ensuite mis entre parenthèses sa carrière solo pendant la première moitié des années 1990 pour fonder le trio Fredericks Goldman Jones, avec le Franco-Gallois Michael Jones et l'Américaine Carole Fredericks.
Outre les chansons qu'il interprète, Goldman a écrit et composé pour de très nombreux autres artistes, parmi lesquels Céline Dion ou Johnny Hallyday. Il a également composé des bandes originales de films et génériques d'émissions télévisées. C'est enfin un artiste qui s'est considérablement engagé auprès d'œuvres humanitaires ou caritatives, notamment les Restos du cœur, via les Enfoirés dont il est l'un des fondateurs, qu'il a parrainés pendant six ans, et dont il reste le membre le plus assidu.
Sommaire
- 1 Vie privée
- 2 Carrière
- 3 Soutien aux œuvres humanitaires
- 4 Influences
- 5 Discographie
- 6 Vidéographie
- 7 Récompenses
- 8 Notes et références
- 9 Voir aussi
Vie privée
Jean-Jacques Goldman est né le 11 octobre 1951 à Paris 19e, troisième d'une famille juive de quatre enfants. Sa mère, Ruth Ambrunn, est née en 1922 à Munich (Allemagne) ; son père, Alter Mojze Goldman (1909-1988) communiste, né à Lublin (Pologne), a participé à la Résistance française[1]. Son frère cadet Robert est auteur-compositeur, et sa sœur Évelyne est médecin. Il avait également un demi-frère, Pierre Goldman, militant d'extrême gauche très soutenu par de grandes figures telles Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir ou encore Simone Signoret, auteur présumé de plusieurs braquages, mystérieusement assassiné en 1979. L'acte est alors revendiqué par un groupe clandestin d'extrême droite, Honneur de la Police, mais reste à ce jour un mystère non élucidé.
Bachelier en 1969, Jean-Jacques Goldman a poursuivi ses études et intégré l'Edhec à Lille, dont il est sorti en 1973[2]. Avec son frère Robert, qui est d'ailleurs devenu son manager, il a fondé la maison de production JRG.
Jean-Jacques Goldman s'est marié en 1975 avec Catherine (surnommée Catou), psychologue, avec qui il a trois enfants : Caroline (en 1975), Michael (en 1979) et Nina (en 1985). Michael Goldman devient en 2007 le co-fondateur du label My Major Company.
Divorcé en 1997, il s'est remarié en octobre 2001 avec Nathalie (surnommée Natou), agrégée et docteur en mathématiques, spécialiste de théorie des groupes, avec qui il a trois filles : Maya (en 2004), Kimi (en 2005) et Rose (en 2007).
Carrière
Les Red Mountain Gospellers
Les premiers pas de Jean-Jacques Goldman dans un studio d'enregistrement, se font en 1969 au sein de ce groupe paroissial (traduction littérale de "chanteurs de gospel de Montrouge") constitué de 7 membres. Le disque fut produit par un prêtre de Montrouge. Les Red Mountain Gospellers enregistrent ce 45 tours de gospels complété d’une reprise de Donovan : Colours. Jean-Jacques qui a alors 18 ans, y joue de la guitare, de l'harmonica et de l'orgue. Il en existe 1.000 exemplaires.
The Phalansters
Puis dans les années lycée, Jean-Jacques Goldman découvre le rock et les protest songs de Bob Dylan. Il fonde alors le groupe The Phalansters dont le nom lui fut inspiré par les travaux du philosophe Charles Fourier. Mais ce groupe ne survivra pas à son départ pour Lille pour y intégrer une école supérieure de commerce. A cette époque, il se produit dans des foyers d'étudiants et des MJC et interprète des chansons d'Elton John, du folk et du blues.
Taï Phong
Jean-Jacques Goldman commence sa carrière au sein du groupe Taï Phong en 1975. Au départ, il ne devait pas chanter avec le groupe, mais il a remplacé le chanteur, qui était malade. Le succès est bientôt au rendez-vous avec la chanson « Sister Jane », mixée par Andy Scott, tirée du premier album du groupe.
En 1976, c’est le réel commencement. Goldman est persuadé que l’on peut chanter en français sans faire de la chanson à texte (ce à quoi personne ne se risque trop à l’époque) et il sort un premier 45 tours en solo qui contient deux titres : « C’est pas grave papa » et « Tu m'as dit ».
Il sort un deuxième 45 tours en 1977 : Les nuits de solitude et Jour bizarre.
En 1978, Goldman ne souhaite pas participer à une tournée de Taï Phong, c’est un nouveau qui débarque pour le remplacer : Michael Jones. Il sort en revanche un troisième 45 tours en solo avec Laëtitia et Back To The City Again.
En 1979, Taï Phong se sépare ; « Le groupe s’est arrêté parce que les groupes, ça meurt » déclarera Goldman.
Il suffira d'un signe
Un nouvel album, sorti en 1981, devait s'appeler Démodé, mais la maison de disques ayant jugé ce titre trop peu commercial, il restera sans nom. C’est avec ce titre que Jean-Jacques Goldman commence à connaître le succès. Le 2e extrait « Quelque chose de bizarre » sera toutefois un échec commercial. Il décide de tenir le magasin de sport familial en cas d'échec par la suite (ce qui n'arrivera pas).
Après cette réussite, sa maison de disques, Epic, le presse de sortir un autre album, toujours sans nom avec des titres comme « Quand la musique est bonne », « Comme toi », « Au Bout de mes rêves » ou encore « Je ne vous parlerai pas d’elle ».
Quand la musique est bonne
Après les tubes de l’album, rebaptisé officieusement par certains Quand la musique est bonne, avec ses 200 000 exemplaires vendus (son titre officieux est Minoritaire, mais lui aussi fut refusé par la maison de disques car pas assez positif), Jean-Jacques continue et donne enfin un titre officiel à son troisième disque, qu'il intitule Positif, par réaction au refus des noms des deux premiers albums par la maison de disques.
Pour sa tournée, l’auteur-compositeur-interprète fait appel à un musicien qu’il connaît : Michael Jones. C’est à partir de ce moment que la complicité entre les deux artistes commence réellement alors que les deux se connaissaient depuis les années Taï Phong. En effet, Goldman ne voulait pas quitter son travail pour partir en tournée avec le groupe et c'est Jones qui l'a remplacé après les auditions.
Je te donne
En 1985, « Je marche seul » est la chanson qui annonce un nouvel album : Non homologué. Cet album contient un duo français/anglais avec Michael Jones : « Je te donne », qui reste huit semaines au sommet du top 50. L'album Non homologué contient également le tube « Pas toi » que Goldman a hésité à sortir en single, compte tenu du succès phénoménal de l'album. Le titre figurera dans les cinq premières places du top 50. Cet album sera joué en tournée et entrainera la sortie du 1er album live de l'artiste dont le single « La vie par procuration » s'imposera comme le premier titre live à atteindre le sommet du top 50. C'est au cours de cette tournée que l'on découvrira Carole Fredericks, alors choriste de studio (elle continuera notamment pour François Feldman). Elle donna notamment de la voix sur « Long Is The Road (Américain) ».
Entre gris clair et gris foncé
En 1987, Jean-Jacques Goldman sort un double album, Entre gris clair et gris foncé, avec des titres comme « Elle a fait un bébé toute seule », « Puisque tu pars », ou encore un duo avec Sirima, « Là-bas » (Goldman et Sirima enregistreront deux ans plus tard un duo en anglais, « I Need To Know », paru sur l'unique album de Sirima[3]). Entre gris clair et gris foncé contient notamment des chansons écrites depuis le milieu des années 1970.
C'est aussi le premier album pour lequel Goldman collabore avec Carole Fredericks : elle prête sa voix, alors uniquement en tant que choriste, sur le premier titre du double vinyle, (intro) À quoi tu sers, ainsi que sur Quelque part, quelqu'un.
Fredericks Goldman Jones
Article détaillé : Fredericks Goldman Jones.Suite à la tournée Entre gris clair et gris foncé au cours de laquelle Jean-Jacques Goldman met en avant ses musiciens, lors de la création de l'album suivant, ce sont des chansons à plusieurs voix qui s'imposent naturellement. En 1990, débute une nouvelle phase dans la carrière de l'artiste. Il s'entoure en effet de ses amis Carole Fredericks et Michael Jones. Ils signent un premier album à leurs noms : Fredericks Goldman Jones, qui devient par extension le nom du trio. Le titre initial envisagé était Récréation, à entendre sous la sonorité « Re-création ».
En 1993, paraît l'album Rouge. Le trio profite de la chute du rideau de fer pour aller enregistrer une partie de son album à Moscou.
Les tournées du trio Fredericks Goldman Jones alternent des concerts avec plusieurs milliers de personnes au Zénith et seulement une petite centaine dans des salles de province. Le live qui suivra cette deuxième tournée du groupe donnera naissance à l'album Du New Morning au Zénith qui retrace les ambiances bien différentes des spectacles.
En passant
En 1997, Goldman revient à des mélodies brutes, acoustiques et blues. Son nouvel album en solo, En passant, connaît un succès retentissant avec des chansons comme « On ira », « Nos mains », « Bonne idée ».
Cet album est résolument intimiste. Il traite en partie de l'existence (« On ira », « En passant », « Bonne idée ») et de l'amour (« Sache que je », « Quand tu danses », « Les murailles »). On y retrouve quelques allusions personnelles (rares chez Goldman) comme dans « Les Murailles » ou « Quand tu danses ».
La tournée qui suit est, elle aussi, beaucoup plus intimiste et plus acoustique que la tournée précédente Rouge. On peut noter comme principaux titres du live : « Ne lui dis pas », « Le Rapt » (chanson du 1er album), « Là-bas », « À nos actes manqués », « Au bout de mes rêves », « Sache que je », « Pour que tu m'aimes encore » (ultime chanson du spectacle).
Chansons pour les pieds
En 2001, Jean-Jacques se veut musicien pour les pieds (en d'autres termes, un auteur de chansons faites pour danser) avec des succès comme « Ensemble » et « Tournent les violons ». L'album acoustique aux percussions plus recherchées qu'était En passant fait place à un CD très simple musicalement, mais avec des arrangements différents à chaque chanson, chaque nouvelle danse. Zouk, gigue, disco côtoient les traditionnelles ballades « goldmaniennes ».
En 2002, il rappelle sa troupe de musiciens pour ce qui est sa dernière tournée en date. On retrouve sur scène les musiciens de toujours, Michael Jones (guitares) et Claude Le Péron (basse) mais également Christophe Nègre (Saxophone-Clavier-Flûtes), Jacky Mascarel (claviers), Christophe Deschamps (batteur). Au son on retrouve Andy Scott et aux lumières Frédéric Pévéri. Il s'agit de la même formation que lors de la tournée En passant en 1998-1999.
La fin des années 2000
En 2004, il compose une chanson en l'honneur de Michael Jones sur l'album de ce dernier, Le frère que j'ai choisi. En fin d'année sort le single « La chanteuse de bal », chanson écrite et composée par Jean-Jacques pour Liane Foly. On note en 2004 sa participation aux Francofolies de la Rochelle et au concert « Les vendanges du coeur » à Ouveillan. En 2005, il compose trois titres (textes et musique) et deux textes pour l'album de Patrick Fiori Si on chantait plus fort.
Le quotidien belge La Dernière Heure/Les Sports a prétendu, en septembre 2005, que Jean-Jacques Goldman s'apprêtait à arrêter sa carrière et que l'annonce serait faite dans un livre signé de Fred Hidalgo (directeur du magazine Chorus). L'auteur a démenti la sortie d'un livre et Jean-Jacques Goldman, à travers un démenti publié auprès de l'AFP, a déclaré « Je commence à lire des articles dans la presse prétendant que j'arrêterais la chanson, c'est faux. »
En 2006, il signe les paroles de Viens me chercher dans l'album de Garou intitulé Garou.
En 2007, sort un trio composé par Goldman 4 Mots sur un piano chanté par Christine Ricol, Patrick Fiori et Jean-Jacques lui-même.
Dans une interview accordée au quotidien Le Figaro datée du 6 mars 2008, Jean-Jacques Goldman dément toute préparation d'album. Dans le même entretien, il déclare ne pas savoir quand il reviendra sur scène et que ce ne sera « en tout cas pas dans les années à venir ».
En 2009, il adapte deux chansons de Michael Jones, « Comme un père » et « D'hôtel en hôtel ».
Le 26 juin 2009, Jean-Jacques Goldman a rendu hommage à Michael Jackson sur RTL, au micro de Laurent Boyer.
En décembre 2009, il participe au concert de Patrick Fiori à Aix en Provence.
Les années 2010
Jean-Jacques Goldman compose quatre titres et un texte sur le nouvel album de Patrick Fiori L'Instinct masculin, dont « Peut-être que peut-être » disponible en radio dès la fin août 2010.
Jean-Jacques Goldman interprète « La promesse », en duo avec Grégoire, sur le nouvel album de Grégoire sorti en novembre 2010, « Le même soleil ». En trente ans de carrière, c'est la seconde fois que Jean-Jacques Goldman interprète un duo sur une chanson originale, qu'il n'a ni écrite, ni composée.
Initialement prévu à la composition de la bande originale du long métrage Titeuf le Film, (sortie en avril 2011), Jean-Jacques Goldman n'a finalement ni écrit ni composé. Il a malgré tout eu un rôle clé puisqu'il a réussi à inciter Zep à composer lui-même la musique, avec l'aide de Robert Goldman, Nicolas Neidhardt et Thierry Blanchard. On retrouve tout de même Jean-Jacques sur le titre « Les filles à quoi ça sert ? », accompagné par Bénabar, Francis Cabrel, Alain Souchon.
"C'est d'ici que je vous écris" est le premier extrait du best of de Calogero, "V.O/ V.S", qui sortira le 22 novembre prochain. Ce titre inédit a été écrit par Jean-Jacques Goldman et composé par Calogero. Il s'agit de la deuxième collaboration entre les deux chanteurs, après "C'est dit", sortie en 2009. (26 octobre 2010)
En janvier 2011, Jean-Jacques Goldman annonce qu'un retour n'est pas à l'ordre du jour, et qu'aucun album n'est prévu dans les années à venir[4].
A l'occasion du concert donné par Rockaway à l'Olympia le 15 mai 2011 pour l'association ELA, Jean-Jacques Goldman a interprété Border Song d'Elton John
Le 21 juillet 2011, il donne un concert à Ourveillan pour les Vendanges du Coeur en compagnie de Patrick Fiori le parrain et de Mickaël Miro.
En 2011, il co-écrit la chanson inédite "un peu de blues" sur l'album live de Christophe Mae. Lors d'une interview à propos de la sortie de ce titre en single, Christophe Maé affirme être "quasi" certain que JJ Goldman est en train d'écrire son nouvel album et qu'il n'est, de toute manière, absolument pas à la retraite et qu'il n'arrête pas de travailler.
Soutien aux œuvres humanitaires
Goldman a depuis longtemps mis son talent au profit d'œuvres humanitaires. On note notamment la participation au collectif pour les enfants d'Éthiopie (sous la direction de Daniel Balavoine et Renaud) et imposera à Renaud une modification du texte, les Restos du Cœur (pour lequel il compose la célèbre chanson des Restos), « Dernier matin d'Asie » (collectif Sampan) en faveur des boat people, Sidaction, Solidarité Asie, Solidarité inondation, etc.
En 1995, en compagnie des vignerons d’Ouveillan, petit village audois, ils créent « les Vendanges du Cœur[5] » ; associant deux divinités mythiques, Apollon et Bacchus, ce geste de solidarité organisé chaque été au profit des « Restos du Cœur » débuta par un concert béni de Zeus.
Il est encore aujourd'hui l'une des personnes importantes des actions annuelles des Restos du Cœur. Jean-Jacques Goldman est l'initiateur et l'un des organisateurs de la soirée des Restos du Cœur qui rencontre chaque année un succès colossal et qui constitue 20 % (vente CD/DVD incluse) des recettes annuelles de l'association[6]. De 1986 à 1992, il sera d'ailleurs le parrain de l'association avant de passer le flambeau à Muriel Robin.
Influences
Pendant ses études à Lille, il craque pour Léo Ferré en allant voir le groupe Zoo qui fait sa première partie. "J'ai compris que c'était possible en français… La force des mots, le choc des notes. Ferré m'a eu !" dira-t-il [7]
Il a été également influencé par Aretha Franklin et notamment la chanson Think à laquelle il fait référence dans la chanson 1,2,3 qu'il interprète avec Carole Fredericks et Michael Jones.
Discographie
Au sein du groupe Taï Phong
- Taï Phong (1975)
- Windows (1976)
- Last Flight (1979)
- Fed Up (disponible uniquement en 45 tours, 1979)
- Les Années Warner (1984)
Au sein du trio Fredericks Goldman Jones
- Fredericks Goldman Jones (1990)
- Sur Scène (en public) (1992)
- Rouge (1993)
- Du New Morning au Zénith (en public) (1995)
- Pluriel 90/96 (compilation) (2000)
Carrière solo
Albums studio
- 1981 : Démodé
- 1982 : Minoritaire
- 1984 : Positif
- 1985 : Non homologué
- 1987 : Entre gris clair et gris foncé
- 1997 : En Passant
- 2001 : Chansons pour les pieds
Albums live
DVD
- Tournée 1998 En Passant
- Un Tour Ensemble
Compilations
Chansons hors albums
- Chansons issues des trois 45 tours enregistrés entre 1975 et 1979, sur le CD Les années Warner :
- C'est pas grave papa
- Jour bizarre
- Tu m'as dit
- Laetitia
- Back to the City again
- Les nuits de solitude
En plus de ces 6 chansons, ce CD contient également trois morceaux de l'époque Taï Phong : Sister Jane, When it's the season, End of an End)
- Ptit Blues Peinard (disponible en face B du 45 tours Américain (Long is the Road) et sur le CD Quelques choses bizarres de l'intégrale 81-91)
- La Chanson des Restos, pour l'association Les Restos du cœur créée par Coluche (disponible sur le CD Quelques choses bizarres de l'intégrale 81-91)
- Slow me again (sorti en 1978 est disponible en 45 tours, maxi 45 tours et 2 versions maxi 45 tours promo)
- Just a dream (version anglaise de Les nuits de solitude est disponible uniquement sur la face B du maxi 45 tours Slow me again sorti en 1978)
En 2004 il a participé au CD Agir Réagir en faveur des sinistrés du tremblement de terre qui a secoué la région d'Al-Hoceima, au Maroc le 24 février.
- L'Absence, enregistrée sur l'album Urgences en faveur de la lutte contre le sida en 1992, chanson d'abord écrite pour Rose Laurens.
- Medley (Quand la musique est bonne, Au bout de mes rêves, Comme toi, Long is the road, la vie par procuration, pas toi) (Disponible en face B du 45 tours il suffira d'un signe (sur scène) et en titre 2 sur le single du même nom
- Ici les Enfoirés pour le spectacle de 2009, intitulé Les Enfoirés font leur cinéma, sur la musique de In the Army Now (chanson écrite en 1981 par Rob et Ferdi Bolland et popularisée en 1986 par le groupe Status Quo).
- Si l'on s'aimait, si pour le spectacle de 2010, intitulé Les Enfoirés... la Crise de Nerfs, sur la musique de I Was Made For Loving You du groupe KISS, avec des paroles réécrites (en collaboration avec Bénabar).
Chansons sorties en simples, 45 tours, ou diffusées en extrait promo
Entre parenthèses, le nom de l'album où se trouve le titre (sauf indication, album de Jean-Jacques Goldman).
- Il suffira (d'un signe) (Démodé) - 1981
- Quelque chose de bizarre (Démodé) - 1982
- Veiller tard (Minoritaire) - 1982
- Quand la musique est bonne (Minoritaire) - 1982
- Comme toi (Minoritaire) - 1983
- Au bout de mes rêves (Minoritaire) - 1983
- Envole-moi (Positif) - 1984
- Encore un matin (Positif) - 1984
- Long is the road (Américain) (Positif) - 1984
- Je marche seul (Non homologué) - 1985
- Je te donne (Non homologué) - 1985
- Pas toi (Non homologué) - 1985
- La vie par procuration (En public) - 1986
- Medley (En public) - 1987
- Elle a fait un bébé toute seule (Entre gris clair et gris foncé) - 1987
- Là bas (Entre gris clair et gris foncé) - 1987
- C'est ta chance (Entre gris clair et gris foncé) - 1987
- Puisque tu pars (Entre gris clair et gris foncé) - 1988
- Il changeait la vie (Traces) live - 1988
- Peur de rien Blues (Traces) live - 1989
- Elle attend (Singulier) - Version studio légèrement différente de la version de l'album Non Homologué - 1996
- Les derniers seront les premiers (Album de Céline Dion Live à Paris) - 1996
- Sache que je (En passant) - 1997
- On ira (En passant) - 1997
- Quand tu danses (En passant) - 1998
- Le coureur (En passant) - 1998
- Bonne idée (En passant) - 1998
- Tout était dit (En passant) 1998
- Pas toi (Tournée en passant) - 1999
- Nos mains (Tournée en passant) - 1999
- Le rapt (Tournée en passant) - 1999
- Elle ne me voit pas (BO de Astérix et Obélix contre César) - 1999
- Bélénos (BO de Astérix et Obélix contre César) - 1999
- Ensemble (Chansons pour les pieds) - 2001
- Tournent les violons (Chansons pour les pieds) - 2002
- Les choses (Chansons pour les pieds) - 2002
- Je voudrais vous revoir (Chansons pour les pieds) - 2002
- Si je t'avais pas (Chansons pour les pieds) - 2003
- Et l'on n'y peut rien (Un tour ensemble) - 2003
- Envole-moi (Un tour ensemble) - 2003
- Petite fille (Un tour ensemble) - 2003
- Quatre Mots sur un piano avec Patrick Fiori - 2007
- La promesse avec Grégoire (La Promesse de Grégoire) - 2011
- A quoi ça sert? (BO du film Titeuf) - 2011
Chansons écrites pour d'autres
Jean-Jacques Goldman a écrit et composé pour de très nombreux artistes ; il a particulièrement collaboré avec Johnny Hallyday pour qui il a entièrement écrit et composé l'album Gang en 1986, puis produit Lorada en 1995, et avec Céline Dion sur D'eux en 1995, S'il suffisait d'aimer en 1998 et 1 fille et 4 types en 2003.
Outre les chansons écrites et composées pour les groupes dont il a fait partie, Jean-Jacques Goldman a ainsi depuis 1980 (co-)écrit et/ou (co-)composé 125 chansons (éventuellement sous des pseudonymes, voir plus bas), pour les interprètes Céline Dion (29 chansons), Johnny Hallyday (12), Patrick Fiori (10), Patricia Kaas (8), Carole Fredericks (5), Florent Pagny (4), Khaled (4), Marc Lavoine (4), Maurane (4), Garou (3), Anne-Marie Batailler (2), Dan Ar Braz (2), France D'Amour (2), J.L.B. (2), Lââm (2), Liane Foly (2), Michael Jones (2), Audrey Sara (1), Calogero (2), Catherine Ferry (1), Christine Ricol (1), Christophe Deschamps (1), Christopher Thompson (1), Danielle Messia (1), Elli Medeiros (1), Émile et Images (1), Émilie Bonnet (1), Gérald de Palmas (1), Gildas Arzel (1), Idir (1), Jane Surrey (1), Janic Prévost (1), Jeane Manson (1), Jean-Marie Bigard (1), Joe Cocker (1), Julie Zenatti (1), Linda Singer (1), Lorie (1), Maxime Le Forestier (1), Philippe Lavil (1), Poetic Lover (1), Ray Charles (1), Richard Cocciante (1), Robert Charlebois (1), Roch Voisine (1), Rose Laurens (1), Sabrina Lory (1), Stephan Eicher (1), Yannick Noah (1)[8].
Certaines des chansons qu'il a écrites pour les autres ont été faites en collaboration avec J. Kapler, pseudonyme de son frère Robert Goldman, notamment pour les chansons de Florent Pagny.
On peut y ajouter la Chanson des Restos, écrite et composée en 1986 pour Coluche et les Restos du Cœur[9], l'adaptation de Ici les Enfoirés en 2009[10], ainsi que plusieurs chansons écrites et composées pour le scoutisme ou une chorale.
Jean-Jacques Goldman a écrit la plupart de ces chansons en utilisant son propre nom, mais il a parfois, jusqu'en 1995, fait usage de pseudonymes. Il a ainsi écrit sous les noms de[11] :
- « Sweet Memories » : deux chansons également interprétées par lui sous ce même pseudonyme en 1979, puis six autres chansons pour cinq interprètes de 1982 à 1984 ;
- « First prayer » : deux chansons également interprétées par lui sous ce même pseudonyme en 1980 ;
- « Sam Brewski » : sept chansons pour cinq interprètes de 1991 à 1995 ;
- « O. Menor » : trois chansons pour Marc Lavoine en 1993 (ce pseudonyme est une transcription phonétique de « homme en or », jeu de mots avec la traduction de l'anglais gold man ; Marc Lavoine utilisa d'ailleurs pour l'occasion le pseudonyme « M. Oats », oats signifiant « avoine » en anglais).
Compositions
Jean-Jacques Goldman a composé plusieurs bandes originales de films :
- L'Union sacrée, co-composé avec Roland Romanelli avec notamment le Thème de Lisa, en 1989 ;
- Pacific Palissades, avec entre autres une chanson avec Ray Charles. Générique chanté par Sabrina Lory, en 1990 ;
- Astérix et Obélix contre César, co-composé avec Roland Romanelli, avec notamment la chanson Elle ne me voit pas, en 1999.
Il a également composé les génériques de plusieurs émissions :
- Taratata (une version ré-arrangée du solo de guitare figurant au milieu de la chanson Rouge) ; on notera à ce propos que, lors du 2e numéro de l'émission, Goldman est venu au secours de son ami Nagui en remplaçant l'invité principal (William Sheller) qui s'était décommandé à la dernière minute ;
- Les Enfants de la télé ;
- Les Aventures du bien.
La musique utilisée lors des meetings de la campagne présidentielle de Lionel Jospin en 1995 était une version ré-arrangée de la partie instrumentale de « Il changeait la vie » et « Ensemble » sur la campagne 2002.
Vidéographie
Article détaillé : Vidéographie de Jean-Jacques Goldman.- Carnet de route 1981 à 1986 (1987)
- Vidéoclips 1981/1989 (1989)
- Traces (1989)
- Au New Morning (1995)
- Tours et détours (1995)
- En passant tournée 98 (1999)
- Souvenirs de tournées (2000)
- Du New Morning au Zénith (2000)
- Intégrale des clips 1981/2000 (2000)
- Chronique d'un album (2001) (DVD promotionnel interdit à la vente, inclus dans le programme de la tournée 2002)
- Un tour ensemble (2003)
- Comment tournent les violons (2004) réalisé par Gilbert Namiand (DVD promotionnel interdit à la vente)
Récompenses
Précédé par Jean-Jacques Goldman Suivi par Michel Jonasz Victoire de la musique de l'artiste interprète masculin 1986 Johnny Hallyday Il y a peu de chance de le voir venir chercher un prix car Jean-Jacques Goldman a déclaré au sujet des Victoires de la musique que « soit on vient et on l'a pas ce qui est vachement décevant, ou on l'a et là c'est pire ». Il est toutefois venu aux Victoires de 1996 pour un duo surprise avec son ami Khaled. Il est également venu aux Victoires de 1998, pour un trio avec Johnny Hallyday et Pascal Obispo.
Notes et références
- Hervé Hamon et Patrick Rotman, Génération 1. Les années de rêve, Éditions du Seuil, collection « Points – essais », 2008, p. 148-150.
- Patrick Amine, Jean-Jacques Goldman: un monde à part, Bartillat, 2006, page 154
- Site consacré à l'album de Sirima, avec les crédits des différentes chansons
- « Jean-Jacques Goldman dément tout projet d'album », 20minutes.fr, mis en ligne le 5 janvier 2011
- http://www.lesvendangesducoeur.com/
- Les chiffres, sur le site restosducoeur.org
- http://www.parler-de-sa-vie.net/ecrits/interviews/1994xx04.html
- Paroles données, sur le site parler-de-sa-vie.net
- La Chanson des Restos sur le site officiel des Enfoirés
- Ici les Enfoirés sur le site officiel des Enfoirés
- Pseudonymes, sur le site parler-de-sa-vie.net
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- 1986 : Tout sur Goldman, Philippe Deboissy, Éditions Hyperstar
- 1987 : Goldman - Portrait non conforme, Christian Page et Didier Varrod, Éditions Pierre-Marcel Favre
- 1988 : Goldman, Claude Gassian, Éditions Paul Putti – Éditeur
- 1991 : Jean-Jacques Goldman, Claude Gassian (avec des légendes de Didier Varrod), Éditions Jean-Pierre Tailandier
- 1991 : Jean-Jacques Goldman : le parcours d'une star, Catherine et Michel Rouchon, Éditions Rouchon
- 1992 : Jean-Jacques Goldman : il change la vie, Frank Andriat, Albine Asselman, Cathy Avai, Nicolas Franckx, Véronique Gilson, Yasmine Grebeude, Laurent Mammerickx, Agnès Mathieu, Richard Piret, Lina Prassas, Valérie Raye, Manuel Sanchez, Éditions Pré aux Sources
- 1993 : ROUGE, Sorj Chalandon / Jean-Jacques Goldman / Lorenzo Mattotti, Éditions Jean-Pierre Tailandier
- 1995 : Jean-Jacques Goldman, Patrick Amine, Éditions Albin Michel
- 1998 : Jean-Jacques Goldman - En Passant, Éditions Hit Diffusion
- 1999 : Les pères ont des enfants, Alain Etchegoyen / Jean-Jacques Goldman, Éditions Seuil
- 2002 : Jean-Jacques Goldman de A à Z, Mathias Goudeau, Éditions L'Express, Collection MusicBook
- 2002 : Chansons pour les pieds, Éditions Hit Diffusion
- 2003 : Voyage en guitare - Jean-Jacques Goldman, Éditions Hit Diffusion
- 2003 : Jean-Jacques Goldman - Tout simplement, Annie et Bernard Reval, Éditions France Empire
- 2004 : Jean-Jacques Goldman – Chansons pour les yeux (BD), Collectif, Éditions Delcourt G. Productions
- 2004 : Jean-Jacques Goldman - Des bouts de lui, François Rauzier, Éditions Favre Eds
- 2004 : Les chansonniers de la table ronde - Cabrel, Goldman, Simon, Souchon, Fred Hidalgo, Éditions Fayard
- 2004 : Créateur de l'ombre, dans le secret des chansons, Mathias Goudeau, préface de Jean-Jacques Goldman, Éditions Autrement, Collection Passions complices
- 2005 : Jean-Jacques Goldman de A à Z, Mathias Goudeau, Éditions Delcourt G. Productions
- 2005 : Jean-Jacques Goldman : Une vie en musiques, Mathias Goudeau, Éditions City
- 2006 : Jean-Jacques Goldman - Chansons pour les autres, Éditions Hit Diffusion
- 2006 : Le Roman de Daniel Balavoine, Didier Varrod, préface de Jean-Jacques Goldman, Éditions Fayard-Chorus
- 2007 : Jean-Jacques Goldman - Un monde à part, Patrick Amine, Éditions Bartillat
- 2009 : Les tubes de Jean-Jacques Goldman, l'histoire des singles de 1981 à 2007, Ludovic Lorenzi, Ludovic Lorenzi 2009
- 2010 : Jean-Jacques Goldman - Un homme bien comme il faut, Bernard Violet
Catégories :- Jean-Jacques Goldman
- Auteur-compositeur-interprète francophone
- Pianiste français
- Guitariste français
- Violoniste français
- Chanteur français
- Chanteur des années 1980
- Chanteur des années 1990
- Chanteur des années 2000
- Membre des Enfoirés
- Naissance en 1951
- Naissance dans le 19e arrondissement de Paris
- Élève de l'École des hautes études commerciales du Nord
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