De Courcel

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Bernadette Chirac

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Bernadette Chirac
Bernadette Chirac - baptême Abeille Bourbon.jpg
Bernadette Chirac, lors du baptême de l'Abeille Bourbon le 13 avril 2005, un remorqueur de sauvetage de Brest chargé d'assurer la sécurité du rail d'Ouessant.
Conseillère générale de la Corrèze
Actuellement en fonction
Depuis le 25 mars 1979
Biographie
Date de naissance 18 mai 1933 (76 ans)
Lieu de naissance Drapeau de la France Paris
Nationalité Française
Parti politique UMP
Conjoint Jacques Chirac
Diplômé(e) de IEP de Paris

Bernadette Chirac, née Bernadette Chodron de Courcel le 18 mai 1933 à Paris, est une femme politique française et l'épouse du 22e président de la République française, Jacques Chirac. Elle est donc Première dame de France du 17 mai 1995 au 16 mai 2007.

En tant que conseillère générale de la Corrèze depuis 1979 et adjointe au maire de Sarran, elle est à ce jour la seule Première dame titulaire d'un mandat électif, si l'on met à part la brève "carrière politique" d'Anne-Aymone Giscard d'Estaing comme conseillère municipale de Chanonat (Puy-de-Dôme).

Le 3 septembre 2007, elle devient la présidente de la fondation Claude-Pompidou, à la suite du décès de sa fondatrice, l'ancienne Première dame Claude Pompidou.

Sommaire

Biographie

Jeunesse

Origines familiales

Née le 18 mai 1933 dans le XVIe arrondissement de Paris, Bernadette Chodron de Courcel est la fille de Jean-Louis Chodron de Courcel (1907-1985), directeur commercial des manufactures « Jean-Félix Bapterosses et Cie » (à savoir la faïencerie de Gien et les émaux de Briare, deux manufactures qu'il gère avec son frère Xavier et dont ils ont en partie hérité de leur mère, Henriette Bacot, elle-même petite-fille du fondateur Jean-Félix Bapterosses[1]), et de Marguerite de Brondeau d'Urtières (1910-2000), issue de la lignée des comtes de Brondeau d'Urtières (anoblis par charge de 1865). Elle est la sœur aînée de Catherine (1946) et Jérôme (1948)[2].

La famille Chodron est une famille bourgeoise originaire des Trois-Évêchés (Toul, Metz et Verdun). Elle compte dans ses rangs des militaires, des orfèvres, des notaires, des diplomates et des industriels. Ils ont obtenu par héritage la propriété des manufactures de Gien et de Briare, dans le Loiret, fabricant des porcelaines et leurs émaux. En 1852, un décret de Napoléon III permet aux Chodron d'adjoindre à leur nom la particule "de Courcel". Plus tard, toujours sous le Second Empire, un arrière-grand-oncle de Bernadette Chaudron de Courcel, Alphonse Chodron de Courcel (1835-1919), diplomate, est créé par l'empereur baron héréditaire, par lettres patentes du 6 mars 1867, titre ne pouvant donc être porté que par ses seuls descendants directs. Par sa mère, née Brondeau d'Urtières, elle descend d'une famille anoblie par charge (titre de comte en 1865).

Bernadette Chaudron de Courcel est donc apparentée par son père à l'industriel Xavier Chodron de Courcel (son oncle, le président-directeur général des Manufactures Bapterosses), au diplomate et collaborateur du général de Gaulle, Geoffroy Chodron de Courcel (petit-fils du baron Alphonse Chodron de Courcel et ainsi cousin de Bernadette Chaudron de Courcel), au géographe spécialiste du Tibet Jacques Bacot (son grand-oncle)[3] et à Georges Chodron de Courcel (Directeur Général Délégué de BNP Paribas), son cousin. Sa tante Geneviève Chodron de Courcel épousa quant-à-elle Bernard de Lasteyrie, fils de l'ancien ministre des Finances de Raymond Poincaré, Charles de Lasteyrie.

Il s'agit d'une famille catholique très pratiquante : nombre de ses membres portent, en guise de deuxième ou troisième prénom, des noms de papes, Sixte et Pie ; l'une de ses tantes porte le prénom Jeanne d'Arc sur son état-civil. Un de ses oncles, Vincent Chodron de Courcel, est prêtre, et sa tante Anne-Marie Chodron de Courcel, chanoinesse régulière de Saint-Augustin.

Éducation

Bernadette Chaudron de Courcel reçoit une éducation stricte et sévère de sa mère. Son père, mobilisé en 1939, est prisonnier en Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale, jusqu'en 1945. Après la débâcle de juin 1940, elle et sa mère fuient Paris pour se réfugier auprès de sa grand-mère, la comtesse Odette de Brondeau d'Urtières, au château de Coudène, en Lot-et-Garonne. Elle est alors inscrite à l'école privée Sainte-Marthe d'Agen. De 1942 à 1945, après l'occupation de la zone libre, elles se réfugient auprès d'une tante, sœur aînée et marraine de sa mère, dans une propriété à Poilly-lez-Gien, à trois kilomètres de Gien, dans le Loiret. Bernadette est inscrite en demi-pensionnat dans l'établissement catholique de Sainte-Marie-des-Fleurs-et-des-Fruits de Gien.

Son père revenu en 1945, la famille retourne s'installer à Paris, dans le VIe arrondissement, rue de l'Abbé-Grégoire. Elle finit sa scolarité jusqu'au baccalauréat à l'École normale catholique, dans le XVe arrondissement de Paris, où elle a notamment pour condisciple la future comédienne Sylvie Joly.

Elle entre à l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po) en 1950, où elle rencontre son futur époux. Elle y interrompt néanmoins ses études sans en être diplômée. Plus tard, une fois la carrière ministérielle de son mari lancée, elle entame, à partir de 1972, une licence puis une maîtrise en archéologie à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et travaille sur certains chantiers de fouilles à Vaison-la-Romaine[4].

Mariage et famille

Bernadette Chaudron de Courcel rencontre Jacques Chirac lorsque tous deux sont étudiants à l'IEP de Paris. Les noces ont lieu le 16 mars 1956, malgré les réticences de la famille de la mariée face à un jeune homme issu d'un milieu différent. Les Chodron de Courcel refusent un mariage solennel dans la basilique Sainte-Clotilde, habituée des familles de la haute société du faubourg Saint-Germain. La cérémonie a donc lieu dans la chapelle de Jésus-Enfant, 29 rue Las-Cases, annexe de l'église, réservée alors au catéchisme et aux cérémonies plus intimes.

Ensemble, ils ont deux filles, Laurence (le 4 mars 1958) et Claude (le 6 décembre 1962) qui deviendra la conseillère en communication de son père. Bernadette et Jacques Chirac n'auront qu'un seul petit-fils, Martin Chirac, ainsi nommé à l'état-civil mais parfois désigné comme Martin Rey-Chirac, fils unique de Claude Chirac et du judoka Thierry Rey, né le 22 mars 1996.

À partir de 1973, leur fille aînée Laurence est frappée d'anorexie mentale, des suites d'une méningite. Ce n'est qu'à l'occasion de l'inauguration en décembre 2004 de la maison des adolescents de l'hôpital Cochin, baptisée Maison de Solenn en souvenir de Solenn Poivre d'Arvor (fille de l'animateur de télévision Patrick Poivre d'Arvor), que Bernadette s'exprime sur ce sujet douloureux. Elle évoque notamment le fait que Laurence, désormais âgée de plus de cinquante ans, n'est toujours pas guérie et a fait une tentative de suicide en 1990 en se jetant du quatrième étage d'un immeuble parisien. C'est cette expérience qui l'a poussée à se battre plus spécialement plus l'amélioration des conditions d'hospitalisation et d'accompagnement des enfants et adolescents malades dans les hôpitaux[5].

Elle et son époux ont « adopté de cœur », en 1979 une jeune "boat-people" vietnamienne aperçue en larmes à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, Anh Đào Traxel. Sans l'adopter, le couple Chirac l'héberge pendant deux ans, lui apprend le français et lui finance ses études. Anh Đào Traxel est revenue sur cette période dans son autobiographie parue en 2006 sous le titre de La Fille de Cœur, aux éditions Flammarion. Elle y fait l'éloge de ceux qu'elle appelle « Maman » et « Papa » et en l'honneur desquels elle a prénommé son fils aîné « Bernard-Jacques ».

Carrière politique

Bernadette Chirac est, à ce jour, la seule épouse d'un président de la République française à avoir exercé des mandats électifs. Très active, comme d'autres Premières dames, dans le domaine associatif, elle a également eu un rôle politique. Il faut alors mettre à part la brève "carrière politique" d'Anne-Aymone Giscard d'Estaing comme conseillère municipale de Chanonat (Puy-de-Dôme).

Le couple Chirac a souvent été comparé à un duo[6], chacun aidant l'autre pour progresser en politique, à l'instar de Bill et Hillary Clinton. En effet, elle va jusqu'à prendre des cours de dactylographie pour taper à son mari des fiches de révision avant le concours de l'ENA. C'est une réussite : en 1962, Jacques Chirac débute sa carrière politique, le Premier ministre Georges Pompidou le nommant chargé de mission dans son cabinet. Mais attiré par la politique sur le terrain, ce dernier l'envoie se présenter à la députation de Corrèze. Si dans un premier temps, son épouse refuse de s'impliquer, elle cède en 1971, en faisant son entrée en politique.

Les mandats locaux

Bernadette Chirac faisant campagne sur le terrain, aux côtés du sénateur Josselin de Rohan, à Saint-Pierre-de-Plesguen en Bretagne avant le référendum pour la constitution européenne, le 27 mars 2005.

Bernadette Chirac est élue pour la première fois en 1971, au conseil municipal de la petite commune corrézienne de Sarran, où se trouve le château de Bity que le couple Chirac a acheté en 1969. Sans cesse réélue depuis lors, elle devient à partir de 1977 seconde adjointe au maire.

Le 25 mars 1979, elle est élue conseillère générale de la Corrèze pour le canton de Corrèze, qui comprend notamment Sarran. Elle est alors la première femme à siéger au sein de cette assemblée départementale, et est réélue sans discontinuer depuis à chaque scrutin cantonal, au second tour le 17 mars 1985 puis au premier tour le 22 mars 1992, le 15 mars 1998 et le 21 mars 2004.

Elle s'est servie de son assise nationale, en tant qu'épouse de président, pour faire avancer ou défendre certains projets de développement et de désenclavement de la Corrèze, comme le projet de LGV Poitiers-Limoges[7], ou encore en intervenant directement auprès de la ministre de la Justice Rachida Dati, pour lui demander de « reconsidérer sa position » sur la suppression du tribunal de grande instance (TGI) de Tulle, prévue par la réforme de la carte judiciaire[8]. D'un autre côté, ses mandats locaux lui ont permis de jouer le rôle d'interface entre son époux et le terrain, et lui ont donné une stature de personnalité de première importance dans le département, l'ancien sénateur-maire chiraquien de Brive-la-Gaillarde, Bernard Murat, parlant d'elle comme du « meilleur homme politique de la Corrèze »[9]. Elle a ainsi toujours mené personnellement, sans intervention de son mari, les campagnes cantonales corréziennes.

Responsabilités associatives et caritatives

Bernadette Chirac commence à s'occuper d'œuvres de bienfaisance, lorsque son mari est maire de Paris : elle prend alors la présidence de l'Association pour la promotion des Arts de la ville. Mais ce n'est véritablement qu'à partir des années 1990 que son action associative se développe, surtout dans le domaine des aides aux enfants et aux jeunes malades ou menacés.

Elle fonde ainsi en 1990, au lendemain de la chute du rideau de fer, et préside encore jusqu'à ce jour, l'association le Pont Neuf, destinée à favoriser les échanges entre les jeunes des pays de l'Est et les jeunes Français. L'année suivante, elle prend la présidence du nouveau festival international de la danse.

Mais c'est surtout à partir de 1994, lorsqu'elle devient présidente de la fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, qu'elle gagne une réelle notoriété. Elle reprend le flambeau de l'opération Pièces Jaunes, destinée a financer des aménagements hospitaliers au profit des enfants hospitalisés, lancée en 1990, et assure la médiatisation de cet évènement pour en faire une manifestation annuelle incontournable, par le biais du "TGV pièces jaunes" faisant le tour de France et de parrains célèbres et populaires comme le judoka champion olympique David Douillet ou la chanteuse Lorie.

Bernadette Chirac est également membre du comité honoraire du Centre international pour enfants disparus et sexuellement exploités (ICMEC). À la demande de la reine Paola des Belges, elle organise le 17 janvier 2007 une réunion de travail au palais de l'Élysée, qui se situe dans le prolongement de la réunion organisée en novembre 2004 au Palais royal de Bruxelles. Les reines Silvia de Suède et Paola des Belges ainsi que les Premières dames des États-Unis Laura Bush, de Russie Lioudmila Poutina et d'Égypte Suzanne Moubarak, l'épouse du président de la Commission européenne Maria Margarita Souza Uva Barroso, le prix Nobel de la paix 1986 Elie Wiesel et la commissaire européenne Viviane Reding sont présents à cette réunion. Après les discours dénonçant la pédophilie et la pédopornographie sur internet, Bernadette Chirac annonce la création d'un numéro de téléphone unique pour les enfants disparus dans toute l'Union européenne, le 116000[10].

Après le décès de l'ancienne Première dame Claude Pompidou, dont elle était une amie, Bernadette Chirac devient en septembre 2007 la nouvelle présidente de la fondation Claude-Pompidou, qui a pour but de venir en aide aux personnes âgées, aux malades hospitalisés ainsi qu'aux enfants handicapés.

Première dame de France

De gauche à droite : Bernadette Chirac, le président russe Vladimir Poutine et Jacques Chirac, en 2001, à Saint-Pétersbourg.

Une fois installée au palais de l'Élysée, Bernadette Chirac tient à se conduire en "maîtresse de maison", et semble la première épouse d'un président à s'y plaire, ou tout du moins à ne pas être trop affectée, du rythme mondain et protocolaire du palais : elle insiste notamment pour accompagner le plus possible son époux dans ses déplacements officiels. Elle souffre néanmoins du fait que l'intendance de l'Élysée lui prenne des attributions qu'elle n'aurait pas renié. En outre, elle se plaint du manque de considération de certains hauts-fonctionnaires à son égard[11]. Alors, au delà de son image « vieille France », dont se délecte l'émission satirique Les Guignols de l'info, c'est par son travail qu'elle obtient la considération des Français[non neutre]. Restant une femme politique (elle fait campagne en 1998 et 2004, conservant son mandat de conseillère générale), elle s'engage dans les oeuvres carritative. Proche des Français, elle effectue chaque année une petite tournée en province, ce qui lui permet de prendre le poul de l'opinion : la veille de l'élection présidentielle de 2002, c'est la seule à avertir son mari de la possibilité de voir arriver Jean-Marie Le Pen au second tour[12].

Elle tient également à donner son avis, et entre parfois en lutte d'influence avec les conseillers de son mari : elle s'oppose ainsi à l'appel de Cochin rédigé par Pierre Juillet et Marie-France Garaud, alors éminences grises de Jacques Chirac, en 1978, puis à la dissolution de l'Assemblée nationale de 1997 conseillée par le secrétaire général de l'Élysée, Dominique de Villepin[13]. Mais ce n'est qu'à partir de la cohabitation avec le gouvernement socialiste de Lionel Jospin qu'elle commence à acquérir un réel poids politique au sein de la droite et une réelle influence auprès de son mari : présente sur le terrain, appréciée dans l'opinion publique (notamment grâce à l'opération Pièces Jaunes) mais surtout auprès des élus locaux ou nationaux de droite, elle devient un des atouts de son mari lors de sa campagne de réélection en 2002. Preuve de sa popularité, son livre de Conversations avec Patrick de Carolis, sorti à la veille de la campagne en 2001, se vend à plus de 300 000 exemplaires.

Elle est l'un des artisans de l'union de la droite, future UMP, aux côtés de Jean-Pierre Raffarin dont elle soutient la nomination comme Premier ministre, mais aussi milite pour la réconciliation entre les chiraquiens et Nicolas Sarkozy[14]. Elle soutient ensuite activement ce dernier en tentant de faire le lien entre la politique menée par son époux et celle mise en œuvre par son successeur. Dès la campagne des régionales de 2004, elle lui confie, lors d'un meeting, « Heureusement qu'on vous a ». Plus tard, lors de la campagne des élections municipales et cantonales de 2008, elle confirme son soutien à sa politique : « Nicolas Sarkozy est fantastique. Il a été formé à l'école de Jacques Chirac. C'est un excellent orateur. Il a un grand charisme »[15].

Bernadette Chirac, deuxième en partant de la gauche au second rang, entre son époux et la Première dame américaine Laura Bush, lors de la messe de funérailles du pape Jean Paul II, en 2005.

Catholique pratiquante, élue locale dans un canton rural, elle constitue la caution conservatrice de l'entourage de Jacques Chirac, celle censée rassurer la base de son électorat qui reste de droite.

Projets

Bernadette Chirac a entamé, depuis l'automne 2007, l'écriture d'une autobiographie, en collaboration avec une journaliste du magazine féminin Elle. Un projet, pour le moment intitulé Un demi-siècle à vos côtés.

Polémiques

Affaire judiciaire

À la suite d'une plainte avec constitution de partie civile de l'actuel maire de Paris, Bertrand Delanoë (PS), Bernadette Chirac a été sous le coup d'une enquête judiciaire pour l'affaire dite des « frais de bouche ». Cette enquête a été conduite par le juge Philippe Courroye. Elle s'est soldée par un non lieu en 2003.

Controverse

En 1969, le château de Bity, acheté par Jacques et Bernadette Chirac à Sarran en Corrèze est classé Monument historique un mois jour pour jour après cette acquisition.

Distinctions

Généalogie

Bibliographie

Livres d'entretiens
  • Patrick de Carolis et Bernadette Chirac, Conversation, Paris, Plon, 2001, 228 pages, ISBN 2-259-19512-1 ;
  • John Paul Lepers et Thomas Bauder, Madâme : impossible conversation, Paris, Privé, 2006, 297 pages, ISBN 2-35076-014-6.
Biographies
  • Bertrand Meyer-Stabley, Bernadette Chirac, Paris, Perrin, 1999, 215 pages, ISBN 2-262-01372-1 ;
  • Caroline Pigozzi, Jacques et Bernadette en privé. Paris : R. Laffont, 2002, 267 p. ISBN 2-221-09522-7 ;
  • Liliane Delwasse et Frédéric Delpech, Sylviane et Bernadette sont en campagne. Paris : Ramsay, 2001, 283 p. ISBN 2-84114-568-9 ;
  • Anh Đào Traxel, Une fille de cœur : souvenirs, Paris, J'ai lu, 2006, 380 pages (J'ai lu, récit, 8085), ISBN 2-290-35561-5.
Ouvrages satiriques
  • Lefred Thouron. Bernadette, priez pour nous, Paris, A. Michel, 2004, [58] p. Contient des dessins précédemment publiés dans Le Canard enchainé, ISBN 2-226-15262-8 ;
  • Chichi impératrice / Le Canard enchaîné, Paris, Le Canard enchaîné, 2004, 82 pages (Les dossiers du Canard enchaîné, ISSN 0292-5354 ; 91).

Annexe

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. [pdf] Michel Marchesnay, « L'entrepreneur français au dix-neuvième siècle : entre le "(dis)cours magistral" et le"(dis)cours historique" », CIFEPME, L’internationalisation des PME et ses conséquences sur les stratégies entrepreneuriales, 25, 26, 27 octobre 2006, Haute école de gestion (HEG) Fribourg, Suisse
  2. Bottin mondin, notice consacrée à Mme Jean de Courcel.
  3. a  et b Base Roglo, Descendants de Raymond Bacot
  4. « Interview de Bernadette Chirac : 'J'ai aimé la vie à l'Elysée' », Point de vue, in femmesplus.com, 12/12/2007
  5. « Le combat des Chirac », La Dernière Heure, 07/12/2004
  6. http://www.linternaute.com/savoir/magazine/dossier/premieres-dames-de-france/5-bernadette-chirac.shtml
  7. D. Pérovic, « LGV Limoges-Poitiers: la ténacité finit par payer... », Le Populaire, 27/10/2008
  8. « Bernadette Chirac au secours du TGI de Tulle », La Montagne, 17/12/2008
  9. Blog officiel de Bernard Murat
  10. « Les "premières dames" du monde appellent à la mobilisation contre la pédophilie sur Internet », site de l'Association internationale des droits de l'Homme, 01/2007
  11. http://www.linternaute.com/savoir/magazine/dossier/premieres-dames-de-france/5-bernadette-chirac.shtml
  12. http://www.linternaute.com/savoir/magazine/dossier/premieres-dames-de-france/5-bernadette-chirac.shtml
  13. « Enquête sur Bernadette », L'Express, 01/01/1998
  14. « Bernadette Chirac, une tortue à l'Élysée », Le Figaro Magazine, 14/10/2007
  15. P. Goulliaud, « Pour Bernadette Chirac, "Sarkozy est fantastique" », Le Figaro, 29/02/2008
  16. AFP: Mme Chirac chevalier de la Légion d'Honneur, [1]
  17. http://gw5.geneanet.org/index.php3?b=roby54&lang=fr;alwsurn=yes;p=francois;n=gouvion
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