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Aytré
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Administration Pays France Région Poitou-Charentes Département Charente-Maritime Arrondissement La Rochelle Canton Aytré Code Insee abr. 17028 Code postal 17440 Maire
Mandat en coursSuzanne Tallard
2008-2014Intercommunalité Communauté d'agglomération de La Rochelle Démographie Population 8 687 hab. (2006) Densité 711 hab./km² Gentilé Aytrésiens Géographie Coordonnées Altitudes mini. 1 m — maxi. 21 m Superficie 12,22 km² Aytré est une commune française, située dans le département de la Charente-Maritime et la région Poitou-Charentes. Ses habitants sont appelés les Aytrésiens et les Aytrésiennes.
Sommaire
Géographie
Localisation
Aytré est une commune de l'agglomération de La Rochelle, mitoyenne et au sud de celle-ci. Elle se situe en bordure de l'océan Atlantique, à environ 150 kilomètres au sud de Nantes et à 185 kilomètres au nord de Bordeaux. La commune s'étend entre la pointe de Coureilles (limite de la baie de La Rochelle) et la pointe du Chay, au sud.
Aytré se trouve à l'intersection de la N 137 (qui relie Saint-Malo à Bordeaux en passant par La Rochelle) et de la D 939 qui relie La Rochelle à Surgères, Saint-Jean-d'Angély et Angoulême. Le centre-ville est traversé par l'ancienne nationale qui constitue l'entrée sud de La Rochelle quand on vient de Bordeaux, Rochefort ou Royan. Une rocade 2 fois deux voies qui contourne l'agglomération traverse également la commune.
La commune d'Aytré a été beaucoup plus étendue par le passé, allant jusqu'au canal Maubec et à la pointe de Coureilles (actuellement les Minimes à La Rochelle). Le territoire a comporté jusqu'à dix-neuf hameaux. L'extension de la grande voisine La Rochelle a englobé au fil des siècles nombre de ces hameaux, (dont Les Minimes, Tasdon et Bongraine) notamment en 1216, 1372 et 1590. Le territoire d'Aytré ne sera définitivement fixé dans ses formes actuelles qu'en 1858 suite à l'arrivée du chemin de fer et à l'édification de la première gare sur la commune.
Lieux-dits, hameaux et écarts
La Courbe, la petite Couture, les Cottes-Mailles, Belle-Aire...
Communes limitrophes
Relief
La commune possède un relief de plaine marécageuse et le point culminant n'est qu'à 21 mètres d'altitude.
Géologie
Tout le territoire communal d'Aytré est situé en terrain jurassique, lequel recouvre entièrement la plaine de l’Aunis. Les affleurements calcaires et marneux du Jurassique apparaissent en surface sur la commune dont le relief est peu vallonné.
La bordure littorale d'Aytré, qui correspond aux dernières extrémités de la plaine de l'Aunis, est remarquablement variée, elle fait alterner des côtes basses (côtes sablonneuses et côtes marécageuses) et des côtes assez élevées (falaises calcaires).
Les côtes basses, où se trouvent d'anciens marais aujourd'hui desséchés, sont issues des épanchements du Quaternaire ; ceux-ci correspondent à des apports sédimentaires d'origine marine, issus de la dernière transgression flandrienne. Les côtes sablonneuses sont situées dans les anses formées naturellement par les phénomènes de l'érosion marine et des courants marins (plage de Roux, plage d'Aytré).
Quant au littoral à falaises, ces dernières sont situées au nord-ouest de la ville (pointe de Roux qui prolonge la pointe des Minimes). Des couches, caractérisées par des alternances de lits de marnes et de calcaires oolithiques, peuvent être observées sur les falaises qui bordent le littoral de La Rochelle à Angoulins-sur-Mer, entre lesquelles se trouve Aytré. Elles mettent en évidence d’épaisses couches de roches blanches alternant avec des couches de sable et de vase très friables, s’étant formées durant les périodes glaciaires, et avec des couches contenant divers coraux, issues des périodes tropicales. Certaines, comme la pointe du Chay, à environ deux kilomètres au sud d'Aytré, contiennent de nombreux fossiles d’animaux marins et sont des zones d’études paléontologiques très réputées.
Le calcaire ainsi formé est largement utilisé comme matériau de construction dans les maisons traditionnelles de la région.
Hydrographie
Un canal sépare les communes d'Aytré et d'Angoulins, au sud. Il permet le drainage des marais alentours. La commune possède également un lac et des marais doux.
Climat
Données générales
Ville Ensoleillement (h/an) Pluie (mm/an) Neige (j/an) Orage (j/an) Brouillard (j/an) Paris 1 797 642 15 19 13 Nice 2 694 767 1 31 1 Strasbourg 1 637 610 30 29 65 Brest 1 749 1 114 9 11 74 Aytré[1] 2250 755 4 13 26 Moyenne nationale 1 973 770 14 22 40 Climat de l'agglomération rochelaise
Le climat de la Charente-Maritime est essentiellement de type tempéré, mais en raison de l’influence du Gulf Stream, de l’anticyclone des Açores, et de l’effet modérateur de la mer, le département bénéficie d’un climat océanique[2], plus doux et plus chaud, appelé climat tempéré océanique.
Ce climat permet à l'agglomération rochelaise, pourtant située à un degré de latitude plus au nord que Montréal, au Québec, ou que les îles Kouriles en Russie, de bénéficier d’un taux d’ensoleillement moyen exceptionnel, proche de celui de la Côte d'Azur, sur la mer Méditerranée. L’ensoleillement y est le meilleur du littoral atlantique (2250 heures de soleil par an), et la région est la deuxième région la plus ensoleillée de France. Les hivers y sont doux (quatre jours de neige par an), et la pluviométrie, modérée (755 mm de pluie par an), est surtout concentrée sur les mois d’automne et d’hiver. À la belle saison, les températures sont adoucies par la brise de mer, due à l’inertie thermique de l’océan, et qui se traduit par un vent parfois soutenu qui souffle en provenance de la mer l’après-midi.
Données météorologiques de La Rochelle de 1961 à 1990[3] Mois Jan Fév Mar Avr Mai Jui Jui Aoû Sep Oct Nov Déc Année Températures minimales (°C) 3,4 4,0 5,4 7,4 10,7 13,7 15,8 15,7 13,7 10,5 6,3 3,9 9,2 Températures maximales (°C) 8,5 9,9 12,1 14,7 17,9 21,3 23,8 23,5 21,8 18,0 12,6 9,2 16,1 Températures moyennes (°C) 5,9 6,9 8,7 11,1 14,3 17,5 19,8 19,6 17,8 14,2 9,4 6,6 12,7 Ensoleillement (h) 84 111 174 212 239 272 305 277 218 167 107 85 2250 Pluviométrie (mm) 82,5 66,1 57,0 52,7 61,1 42,9 35,1 46,4 56,5 81,6 91,8 81,8 755,3 Ces spécificités climatiques -été sec et ensoleillé, hiver doux et humide- ont conduit à l’implantation d’une végétation de type méditerranéenne cohabitant avec une végétation plus continentale ou océanique. Elles sont aussi propices aux vacances et au tourisme, et plus particulièrement aux activités nautiques, d’autant que le pertuis d'Antioche constitue un plan d’eau remarquablement bien protégé et de réputation internationale.
Cyclone de décembre 1999
La Charente-Maritime est le département français qui a été le plus durement touché par le cyclone Martin du 27 décembre 1999. Les records nationaux de vents enregistrés ont été atteints avec 198 km/h sur l'île d'Oléron (à 25 km d'Aytré) et 194 km/h à Royan (à 55 km). La mer déchaînée a provoqué des dégâts considérables sur le littoral aytrésien.
Toponymie
On retrouve des mentions d'Aytré au IXe siècle sous le nom romain Aitriacus, puis Aitriaco[4]. Plus tard le nom évoluera en Naytré et Estrée. Le nom actuel n'apparaitra qu'au XVIIe siècle.
Aytré signifierait chemin, route, voie romaine. Il viendrait de la strata, voie impériale romaine qui traversait le territoire de la commune[5].
Histoire
Les origines
Le site d'Aytré était occupé dès l'antiquité comme en témoignent les céramiques et les vestiges gallo-romains découverts au lieu-dit La Moulinette ainsi qu'à la pointe de Coureilles.
Moyen Âge
Aytré appartenait à la baronnie de Châtelaillon sous le nom de La Salle d'Aytré.
Pendant la guerre de Cent Ans, les rois de France tentèrent de nombreuses fois de reconquérir la place forte de La Rochelle détenue par les Anglais. Les troupes du rois de France stationnèrent sur le territoire d'Aytré lors des sièges succesifs de 1224, 1226, 1295 et 1345.
En 1572, le bourg catholique d'Aytré fut détruit par les rochelais protestants[6].
XVIIe siècle
En 1604 une épidémie de peste sévit dans le bourg.
La Rochelle, devenue place forte protestante, fut assiégée une dernière fois d'août 1627 à octobre 1628 par les troupes de Louis XIII et de Richelieu. Ce siège terrible vit 15 000 rochelais périr sur les 20 000 habitants. Le Roi fit d'Aytré son quartier général et s'installa au château des Réaux tandis que Richelieu était au Pont de la Pierre. Une armée de près de 20 000 hommes stationna alors sur le territoire de la commune, ce qui bouleversa la vie quotidienne de ses habitants. Durant cette période, l'église du bourg fut transformée en chapelle royale.
Article détaillé : Siège de La Rochelle (1627-1628).En 1660 un grand feu de joie célèbre la paix retrouvée dans le bourg.
En 1680 un bateau fait naufrage sur les rives d'Aytré.[6]
XVIIe siècle
En 1703 une trombe fait de nombreux dégâts dans le village[7].
En 1773 une émeute de la faim éclate dans le village. (comme à Bordeaux la même année.)[6]
Seconde Guerre mondiale
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Aytré s'est retrouvée dans la poche de La Rochelle, bastion de résistance de l'armée allemande. Une grande partie de la population locale fut évacuée en vue des ultimes combats de la libération.
Une ville en constante mutation
La première activité économique d'Aytré fut la récolte du sel et la pêche. La viticulture devint ensuite la principale ressource jusqu'à la crise du phylloxéra qui a ravagé le vignoble de l'Aunis à partir de 1876.
Durant la Première Guerre mondiale, les Américains assemblent à La Pallice du matériel ferroviaire militaire. Une fois l'armistice signé, la Middeltown Company, une société américaine, fonde à Aytré une usine pour la fabrication de wagons et de matériel roulant, sous le nom d'Entreprises Industrielles Charentaises (E.I.C.). La société est achetée en 1934 par la Pullman Car Company. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'usine est réquisitionnée par l'armée allemande, puis rachetée par le groupe Rothschild. Elle est reprise en 1956 par la société Brissonneau et Lotz. Alsthom absorbe cette société en 1972 et deviendra Alstom (sans h) en 1998.
Ce site industriel ferroviaire va profondément marquer et changer la destinée du village agricole en le transformant en une ville industrielle et ouvrière.
L'urbanisation de la commune s'est faite au détriment des surfaces agricoles cultivées : il ne reste aujourd'hui que deux fermes sur les trente initiales.
Aytré est ainsi devenue la seconde commune la plus peuplée de l'agglomération rochelaise et se place aujourd'hui en cinquième position des villes de Charente-Maritime, constituant un des plus importants pôles industriels du département.
Héraldique
De gueules, la roue dentée d'argent, percée du champ, et fascé-ondé d'argent et d'azur chargé d'un soleil rayonnant d'or, hissant de la pointe. Le chef cousu d'azur aux trois demi-vols d'or. L'écu timbré d'une couronne murale d'or.
Administration
Municipalité
Liste des derniers maires Période Identité Parti Qualité Mars 2001 Mars 2008 Pierre Garnier PS Mars 2008 Suzanne Tallard PS Retraitée de l'enseignement Canton
Aytré est chef lieu de canton. Le canton d'Aytré se situe dans l'arrondissement de La Rochelle et regroupe, outre Aytré, deux autres communes : Angoulins et Châtelaillon-Plage.
Intercommunalité
Aytré fait partie, avec 17 autres communes de l'Aunis de la communauté d'agglomération de La Rochelle, créée en 1999.
Budget et fiscalité
La taxe d'habitation prélevée par la commune était en 2006 de 13,05%[8], la taxe foncière sur les propriétés bâties était de 29,50% et la taxe professionnelle de 17,94 %.
Jumelage et coopération
Idée apparue au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le jumelage de communes est apparu comme étant un moyen de tisser des liens et d’établir des relations socioculturelles étroites avec ses voisins après le conflit qui venait de déchirer le monde et l’Europe. Les jumelages concernent aujourd’hui plus de 15 000 collectivités locales européennes, dont 3 800 réparties sur tout la France, et aux traditionnels échanges culturels et d’amitié ajoutent des aspects d’échanges de savoir-faire, de partenariat économique, et de solidarité.
- La ville d'Aytré est jumelée avec
Mihai Bravu (Roumanie)
Démographie
Article détaillé : Démographie de la Charente-Maritime.Évolution démographique
Pyramide des âges
Économie
La commune compte 72 entreprises dans l’industrie et 66 dans la construction. On y trouve également 121 commerces et 90 services. Le secteur agricole est présent avec trois exploitations agricoles et 22 conchylicoles.
Industrie
Aytré comptait, en 1999, 4744 emplois dans plus de 400 entreprises industrielles, soit une augmentation de 31% en 9 ans[10]. Les entreprises sont implantées pour la plupart dans les deux zones industrielles et artisanales : celle des Cottes-Mailles et celle de Belle-Aire.
Alstom à Aytré réalise les TGV, métros et tramway (dont le Citadis) pour le monde entier. (Mexico, Athènes, Le Caire, mais aussi Nantes, Grenoble, Lyon, Bordeaux...) L'usine emploie 1200 salariés : c'est le plus important établissement industriel de Charente-Maritime. L'entreprise induit de nombreux autres emplois chez ses sous-traitants locaux, dans les domaines de la plasturgie, de l'usinage, de la mécano-soudure et du câblage[11].
Article détaillé : Citadis.Le secteur agro-alimentaire est également présent avec l'usine Senoble qui abrite le pôle recherche des desserts et entremets du groupe. L'entreprise emploie 300 personnes sur ce site.
Agriculture
Quelques ostréiculteurs sont présents sur le littoral.
Tourisme
Activité longtemps délaissée par la ville au profit de l'industrie, le tourisme est en passe de se développer grâce aux 3,5 kilomètres de plages de sable que propose le littoral aytrésien. La plage, encore relativement peu fréquentée et formant une anse peu profonde, est très prisée des surfeurs. La plage avait été délaissée de par son relatif éloignement du centre-bourg historique et de par son enclavement (la voie ferrée La Rochelle-Bordeaux la longeant et la coupant de la ville).
Taux de chômage
Le chômage représentait 11,6% des actifs en 2006[12] (la moyenne régionale étant de 10,7 % pour le Poitou-Charentes).
Culture et patrimoine
Culture
La commune possède une salle de spectacle (Maison Georges Brassens) et une médiathèque.
Patrimoine civil
Le Cheval d'Aytré, sculpture de Christian Renonciat. [13] Cette sculpture a été réalisée en 1989
Patrimoine religieux
L'église Saint-Étienne d'Aytré date du XIXe siècle.
Patrimoine environnemental
La baie de La Rochelle
La baie de La Rochelle, qui est classée en zone conchylicole et appartient au Réseau Natura 2000, est un site remarquable par la qualité de son milieu marin et sa forte productivité biologique. De grands mammifères marins y sont présents, comme par exemple le grand dauphin, le marsouin, le globicéphale noir, le dauphin de Risso, le dauphin commun, le phoque gris, diverses tortues marines dont la caouanne, la tortue luth, la tortue verte, la tortue de Kemp, ainsi que des poissons d’estuaires protégés (Alose et Lamproie). C’est également une zone de reproduction pour la seiche et la méduse Rhizostoma pulmo. La faune benthique, constituée principalement de vers marins et de coquillages, est quant à elle relativement pauvre.
Plage d'Aytré
La plage, longue de 3,5 kilomètres, est constituée de sable fin et forme une large anse peu profonde entre deux promontoires calcaires.
Aux alentours
- Pointe du Chay, sur la commune d'Angoulins, promontoire calcaire situé entre les plages d'Aytré et d'Angoulins.
Article détaillé : Pointe du Chay.Équipements ou services
Transports urbains
- La gare SNCF de La Rochelle est toute proche du centre d'Aytré et permet de rejoindre Paris via Niort et Poitiers en TGV. La ligne de chemin de fer qui permet à La Rochelle de joindre Nantes et Bordeaux traverse quant à elle la commune d'Aytré du nord au sud.
- Les transports en commun de la RTCR proposent quatre lignes de bus régulières sur la commune, permettant de rejoindre facilement le centre-ville rochelais, Angoulins ou Châtelaillon-Plage[14].
- Une station Liselec est présente à côté de la mairie. Liselec est un service de location de voitures électriques en libre-service (24h sur 24 et 7 jours sur 7) par abonnement, permettant de circuler dans toute l’agglomération rochelaise à l’aide de 50 voitures réparties sur 7 stations.
- 6 bornes taxis sont réparties sur l'ensemble de la commune.
- La ville d'Aytré est reliée à un réseau dense de 150 km de pistes cyclables de l'agglomération rochelaise. Une piste permet aussi de rejoindre Rochefort.
- Depuis le 31 août 2008, la gare d'Aytré-plage est le nouvel arrêt de la ligne TER La Rochelle-Rochefort.
Éducation
La commune compte trois écoles maternelles, trois élémentaires, et deux collèges.
Aytré possède une école municipale de musique et de danse.
La commune propose également un centre de loisirs.
Sports
Chaque année a lieu le semi-marathon d'Alstom.
Le quart de finale du championnat de France de force athlétique s'est déroulé à Aytré en février 2003.
Vie locale
Marché
Une foire écologique a lieu tous les troisièmes week-end de juin. Ce marché bio regroupe 120 exposants en plein air, des conférences, des artistes de rue, des jeux pour enfants et une restauration bio.
Environnement
La ville d'Aytré possède une déchèterie et procède à une collecte des déchets par tri sélectif.
Personnalités liées à la commune
- Eugène Martin, pilote automobile français (formule 1) est décédé à Aytré le 12 octobre 2006.
Notes et références
- ↑ Données de la station de La Rochelle, sources l'Internaute, INSEE et Lameteo.org
- ↑ Le climat de la Charente-Maritime (Météo-France)
- ↑ Relevés météorologiques de La Rochelle, Charente-Maritime (17), de 1961 à 1990 (infoclimat.fr)
- ↑ Ville d'Aytré : Histoire
- ↑ Racines rochelaises
- ↑ a , b et c Gallica : Aytré
- ↑ Éphéméride
- ↑ Taxe.com - Aytré
- ↑ Pyramide des âges, Recensement 1999 sur le site de l'INSEE
- ↑ Données INSEE
- ↑ Données INSEE
- ↑ INSEE : recensement d'Aytré 2006
- ↑ Mairie d'Aytré : le cheval
- ↑ Réseau RTCR
Pour approfondir
Bibliographie
Liens internes
Liens externes
- Aytré sur le site de l'Institut géographique national
- Aytré sur le site de l'Insee
- Site officiel de la ville d'Aytré
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