Sérignan-du-Comtat

Sérignan-du-Comtat

44° 11′ 24″ N 4° 50′ 39″ E / 44.19, 4.84416666667

Sérignan-du-Comtat
La mairie de Sérignan du Comtat.
La mairie de Sérignan du Comtat.
Armoiries
Détail
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Avignon
Canton Orange-Est
Code commune 84127
Code postal 84830
Maire
Mandat en cours
Jacques Buschiazzo
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence
Démographie
Population 2 404 hab. (2008)
Densité 121 hab./km²
Gentilé Sérignanais, Sérignanaises
Géographie
Coordonnées 44° 11′ 24″ Nord
       4° 50′ 39″ Est
/ 44.19, 4.84416666667
Altitudes mini. 53 m — maxi. 240 m
Superficie 19,82 km2

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Voir la carte administrative

Sérignan-du-Comtat est une commune française, située dans le département de Vaucluse et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Sommaire

Géographie

Le village de Sérignan-du-Comtat est situé au nord du département de Vaucluse dans le canton Est d'Orange.

Accès et transports

La commune est desservie depuis le nord par la route départementale 65 et 976. Cette dernière, entrée au nord-est traverse la commune par le bourg pour repartir vers le sud-ouest. La route départementale 172 arrive de l'ouest, tout comme la 43 qui après avoir traversé le bourg repart en direction du sud.

GR de pays du massif d'Uchaux au nord-ouest de la commune.

L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7.

Sismicité

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[1].

Relief et géologie

Vue aérienne du terroir de Camaret et Sérignan-du-Comtat

La partie sud-est de la commune, ainsi que la partie centrale, sont composées de plaines alluvionnaires (quaternaire). La partie ouest de la commune quant à elle correspond aux flancs est du massif d'Uchaux où se trouve le Bois de la Montagne. Enfin, la partie est est composée de diverses élévations de faibles hauteurs (91 mètres d'altitude au plus haut, au niveau du cros de la Meunière).

Le point le plus bas, soit 53 mètres d'altitude, se trouve dans le lit de l'Aigue, à l'extrême sud-ouest, et le point le plus haut, 240 mètres d'altitude, à l'extrême nord-ouest et en bordure de commune.


Hydrographie

Le Béal coupe la commune en deux sur un axe nord-sud pour se jeter dans l'Aygue en bordure de commune avec la commune de Camaret.

Climat

La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en altitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare. Le climat de ce terroir est soumis à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches (une brève en hiver, une très longue et accentuée en été), deux saisons pluvieuses, en automne (pluies abondantes et brutales) et au printemps. Sa spécificité est son climat méditerranéen qui constitue un atout exceptionnel :

  • Le mistral assainit le vignoble
  • La saisonnalité des pluies est très marquée
  • Les températures sont très chaudes pendant l'été.

Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare[2].

Relevé météorologique de Vaison-la-Romaine
mois jan. fév. mar. avr. mai jui. jui. aoû. sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 6 7,5 11 13 17,5 21 23 23 19,5 15,5 9 6,5 14,3
Température moyenne (°C) 2 3 6 8 12 15 18 18 14 11 6 3 9,7
Température maximale moyenne (°C) 10 12 16 18 23 27 30 30 25 20 13 10 19,5
Précipitations (mm) 36,5 23,3 24,9 42,7 45,6 25,4 20,9 29,1 65,8 59,8 52,8 34 460,6
Record de froid (°C)
(année du record)
-13,4
(1985)
-14,5
(1956)
-9,7
(2005)
-2,9
(1970)
1,3
(1979)
5,7
(1984)
9,0
(1953)
8,3
(1974)
3,1
(1974)
-1,1
(1973)
-5,4
(1952)
-14,4
(1962)
Record de chaleur (°C)
(année du record)
20,3
(2002)
23,0
(1960)
27,2
(1990)
30,7
(2005)
34,5
(2001)
38,1
(2003)
40,7
(1983)
42,6
(2003)
35,1
(1966)
29,6
(1985)
24,6
(1970)
20,2
(1983)
Diagramme climatique
J F M A M J J A S O N D
 
 
36.5
 
10
6
 
 
23.3
 
12
7.5
 
 
24.9
 
16
11
 
 
42.7
 
18
13
 
 
45.6
 
23
17.5
 
 
25.4
 
27
21
 
 
20.9
 
30
23
 
 
29.1
 
30
23
 
 
65.8
 
25
19.5
 
 
59.8
 
20
15.5
 
 
52.8
 
13
9
 
 
34
 
10
6.5
Temp. moyennes maxi et mini (°C) • Précipitations (mm)

Selon Météo-France, le nombre par an de jours de pluies supérieures à 2,5 litres par mètre carré est de 45 et la quantité d'eau, pluie et neige confondues, est de 660 litres par mètre carré. Les températures moyennes oscillent entre 0 et 30° selon la saison. Le record de température depuis l'existence de la station de l'INRA est de 40,5 °C lors de la canicule européenne de 2003 le 5 août (et 39,8 °C le 18 août 2009) et -12,8 °C le 5 janvier 1985. Les relevés météorologiques ont lieu à l'Agroparc d'Avignon.

Le mistral

Le vent principal est le mistral, dont la vitesse peut aller au-delà des 110 km/h. Il souffle entre 120 et 160 jours par an, avec une vitesse de 90 km/h par rafale en moyenne[3]. Le tableau suivant indique les différentes vitesse du mistral enregistrées par les stations d'Orange et Carpentras-Serres dans le sud de la vallée du Rhône et à sa fréquence au cours de l'année 2006. La normale correspond à la moyenne des 53 dernières années pour les relevés météorologiques d'Orange et à celle des 42 dernières pour Carpentras[4].

Légende : « = » : idem à la normale ; « + » : supérieur à la normale ; « - » : inférieur à la normale.

Vitesse des vents du Mistral
Jan. Fev. Mars. Avril. Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Dec.
Vitesse maximale relevée sur le mois 96 km/h 97 km/h 112 km/h 97 km/h 94 km/h 100 km/h 90 km/h 90 km/h 90 km/h 87 km/h 91 km/h 118 km/h
Tendance : jours avec une
vitesse > 16 m/s (58 km/h)
-- +++ --- ++++ ++++ = = ++++ + --- = ++

Histoire

Préhistoire et Antiquité

La présence de l'Homme sur la commune de Sérignan-du-Comtat est ancienne puisque, grâce aux découvertes qui y ont été faites (racloirs, silex, couteaux, objet divers…), une occupation préhistorique a été avérée. Celle-ci s'est faite sur un rocher émergeant de l'eau, qui devient ainsi le point de départ de l'histoire de Sérignan[5].

C'est vers le VIe siècle avant notre ère que les Phocéens et les Grecs s'installent dans la région. Vient ensuite l'occupation romaine qui a duré près de cinq siècles et a été marquée par toute une série de grands travaux importants pour l'avenir du village : terres défrichées, marais asséchés, canaux creusés (Béal), carrières de pierres créées au Nord-Est. C'est ainsi que de nombreuses caves voûtées datant de cette époque ont été retrouvées dans le vieux village et en particulier « au château ».

Moyen Âge

En 1215, la maison d'Orange donnent à l'Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem des biens sur ce territoire. Ce legs est confirmé, un an après, par Frédéric II, roi des Romains et de Sicile. En 1237, Raymond VII de Toulouse donne en fief un château à Raymond 1er des Baux, qui en rendit ensuite hommage à son successeur Alphonse de Poitiers en 1253[5].

Diane de Poitiers, baronne de Sérignan, en Comtat Venaissin
Salle à manger de l'Harmas de Jean-Henri Fabre

Ce fut en 1323 que Raymond V des Baux céda son droit d'albergue à la Commune de Sérignan qui, en contrepartie, s'engagea à lui faire construire une maison contre le rempart[5].

Renaissance

En 1512, le baron de Sérignan est le seigneur de Saint-Vallier, Jean de Poitiers, père de Diane, favorite du roi Henri II. Diane de Poitiers séjourna au château du 26 juin au 6 juillet 1565, elle avait alors 65 ans. Cette baronnie, passa ensuite aux Lamarck, puis aux comtes d'Egmont qui en étaient encore seigneurs à la Révolution[6].

Période moderne

Au cours du XVIIe et XVIIIe siècles, le village continue son évolution hors des murs. Ces extensions sont entourées de muraillons, sortes de murailles pas très hautes, dont certains d'entre eux, à l'état de vestiges, sont encore visibles aujourd'hui. C'est au XVIIIe siècle que les grands équipements sont construits sur la commune :

  • en 1747, l'hôpital rue du Moulin
  • la nouvelle église entre 1757 et 1765.
  • la mairie entre 1725 et 1726.

La première maison de ville, devenue après la révolution la mairie, se trouvait autrefois « au château ».

Le village a ensuite fait partie du district d'Avignon lors de la réunion du Comtat à la France en 1791, puis au département des Bouches-du-Rhône en 1792, et enfin celui de Vaucluse en 1793.

Période contemporaine

Concernant les équipements, c'est dans le courant du XIXe siècle que l'école des filles fut créée (entre 1853 et 1854), puis celle des garçons (entre 1854 et 1856). C'est également au cours de ce siècle que le lavoir, route de Camaret-sur-Aigues, fut édifié (1848), et que celui du Grand Béal qui existait déjà, fut reconstruit (1865). Enfin, l'usine de soie sur la route de Sainte-Cécile-les-Vignes est créée en 1857 et l'Harmas de Jean-Henri Fabre est acheté en 1880 par l'entomologiste[6].

Par la suite le village n'a cessé de s'étendre et de nouvelles extensions sont visibles en particulier à l'est du village, sur la route de Sainte-Cécile-Les-Vignes, et au sud de manière plus récente, les nouvelles habitations prenant la forme de lotissement.

Toponymie

Les formes les plus anciennes sont Serinano, attestée en 1138, puis Serinna 1150. Elles dérivent ensuite en Serignani (1216), Serihanum (1319) et Serignan (1491). Ces toponymes suggèrent le nom d'un homme latin Serenius avec le suffixe -acum[7].

Héraldique

Article détaillé : Armorial des communes de Vaucluse.
Blason de Sérignan-du-Comtat

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

De gueules à la lettre S capitale d'argent, accompagnée de six besants du même ordonnés en orle, au chef échiqueté de gueules et d'argent de trois tires [8].

Administration

Après guerre, le maire nommé est M. Deloye, le fondateur de l'usine du même nom dont le siège est à Orange. Le secrétaire de mairie est M. Leydier et, avec le Garde-Champêtre et son clairon, ce sont les deux seuls employés de la mairie… Le maire suivant est M. Ferrand. Ancien militaire, il fait la lecture des "morts pour la France" devant tous les enfants des écoles les 11 novembre. Le suivant est M. Henry, charcutier qui œuvre route de Camaret. Mathilde Duffrène, receveuse des PTT, fait au moins deux mandats. M. Morel lui succède, puis M. Collado, jusqu'en 2008, où il ne se représente pas.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Deloye    
    Ferrand   Ancien militaire
    Henry   charcutier
    Mathilde Duffrène   receveuse des P et T
1988 2001 Guy Morel   Agent EDF
mars 2001 mars 2008 Jean Collado divers gauche Professeur des écoles
mars 2008 en cours Jacques Buschiazzo    
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Fiscalité

L'imposition des ménages et des entreprises à Sérignan-du-Comtat en 2009[9]
Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 11,88 % 0,00 % 7,55 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 22,74 % 0,00 % 10,20 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 59,50 % 0,00 % 28,96 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 23,16 % 13,00 % 3,84 %

La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[10]).

Intercommunalité

La commune fait partie de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence. Celle-ci a été créée le 31 décembre 1992.

Démographie

Évolution démographique
Années 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
Population 1 039 1 068 1 084 1 160 1 213 1 259 1 342 1 410 1 571
Années 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
Population 1 715 1 785 1 753 1 665 1 551 1 371 1 296 1 181 1 168
Années 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
Population 1 160 1 202 1 034 884 972 995 989 978 963
Années 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 -
Population 1 033 1 194 1 488 1 975 2 069 2 254 2 425 2 404[11] -
Notes, sources, ... De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; à partir de 2006 : population municipale légale.
Sources : INSEE [12] et Ldh/EHESS/Cassini [13]

Économie

Terroir de Sérignan-du-Comtat

Industrie

Cave Coopérative "Les Coteaux du Rhöne"

La cave coopérative Les Coteaux du Rhône a été fondée en 1926[14]. En 1950, ce furent le moulin à huile Gras et Peyre (olives et tournesol) ; la minoterie rue des écoles de filles au pied du Grand-Béal. Toujours dans cette décennie, dans le village, on trouvait de nombreux muriers, l'élevage des vers à soie se pratiquait dans de nombreuses maisons. Marcel Faure du "Casino" les commercialisait.

Une entreprise vit le jour avant guerre, il s'agissait de détartrer les foudres et plus tard les cuves à vin. C'est Alfred Faure, décédé en 1950 qui commença cette activité dans les caves du département. Son fils Jean continua l'affaire, et la Maison Faure est devenue aujourd'hui une de plus grosse entreprise de détartrage d'Europe[15].

Tourisme

Trois types de tourisme peuvent clairement être identifiés : Le tourisme vert (sentier botanique, etc.), l'œnotourisme et le tourisme culturel. Présence de gîtes / chambres d'hôtes sur la commune.

Agriculture

Le vignoble d'une partie de la commune produit de vins classés en Massif-d'uchaux, l'autre en Côtes-du-rhône. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément le label Vin de pays de la Principauté d'Orange.

Fiscalité

L'imposition des ménages et des entreprises De Sérignan-du-Comtat en 2009[16]
Taxe part communale Part Intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 10,91 % 1,04 % 7,34 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 20,88 % 1,85 % 9,91 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 54,64 % 3,42 % 28,14 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 23,16 % 0,70 % 12,63 % 3,84 %

La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

Culture et patrimoine

Culture

Le Naturoptère

L'Harmas de Fabre propose de faire découvrir aux visiteurs d'importantes collections botaniques, dont des dessins originaux de Fabre. En complément de l'Harmas, un nouvel équipement est ouvert depuis mars 2010, le Naturoptère. Il s'agit d'un lieu dédié à l'observation et la connaissance des insectes et des plantes et de leur environnement sur 1 000 m².

Article détaillé : Harmas de Jean-Henri Fabre.

Patrimoine civil

  • Fontaine
  • Plusieurs lavoirs

Celui du nord, route du Grand-Béal, était alimenté par la "conduite" une source venant d'un peu plus haut que Ratoneau. Cette conduite donnait l'eau potable; elle fut désaffectée et remplacée par l'"eau du Rhône"…

  • Façades Renaissances

Patrimoine religieux

L'église Saint-Étienne, au centre historique du village, est un ancien prieuré qui a pris son état actuel en 1765. La chapelle Saint-Marcel, qui dépendait de l'abbaye de Montmajour est actuellement en ruines. Elle comportait trois travées et une abside semi-circulaire. Située un peu à l'extérieur du village, la construction de Notre-Dame-de-la-Tour commença en juin 1887 et fut achevée en mai 1888[17].

Patrimoine environnemental

Un sentier botanique au nord du bourg empruntant pour quelque temps le GR de pays du massif d'Uchaux.

Équipements ou Services

Éducation

La commune possède une école primaire publique, Anthony Réal et de nos jour l'école primaire publique Jean-Henry Fabre. Ensuite les élèves vont au collège Victor Schoelcher[18] à Sainte-Cécile-les-Vignes [19] puis au Lycée régional polyvalent de l'Arc[20] à Orange [21].

Sports

On trouve sur la commune divers équipements pour la pratique du sport : Skate Park, Tennis, Football, Basket.

Santé

À la sortie du village, après la poste et sur la gauche se trouvait l'Hospice. Il fut plus tard transformé en bains publics.

Vie locale

Culte

  • Catholique (église)

Écologie et recyclage

La collecte et le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés, la gestion de l'assainissement collectif, la lutte contre les nuisances sonores, le contrôle de la qualité de l'air et la protection et mise en valeur de l'environnement font partie des compétences de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence.

Personnalités

Notes et références

  1. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  2. La climatologie du Vaucluse.
  3. Jean Vialar, Les vents régionaux et locaux, 1948 ; réédité par Météo-France en 2003.
  4. Source : Services techniques d'Inter Rhône à Avignon Données météorologiques concernant l'année 2006 [PDF]
  5. a, b et c Robert Bailly, op. cit., p. 406.
  6. a et b Robert Bailly, op. cit., p. 407.
  7. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1930.
  8. Armorial des Communes de Vaucluse (Conseil Général du Vaucluse).
  9. (fr) Impots locaux à Sérignan-du-Comtat, taxes.com
  10. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  11. (fr) Populations légales 2008 de la commune de Sérignan-du-Comtat, INSEE
  12. Sérignan-du-Comtat sur le site de l'Insee
  13. Notice communale de Sérignan-du-Comtat sur le site "Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui".
  14. Les Coteaux du Rhône à Sérignan-du-Comtat
  15. Faure S. A. Bitartatre de potassium
  16. (fr)Impots locaux Sérignan du Comtat, Taxes.com
  17. Robert Bailly, op. cit., pp. 407-408.
  18. (fr) Site du collège Victor Schoelcher, Académie Aix-Marseille, 2010
  19. (fr) carte scolaire 2009
  20. (fr) Site du lycée régional polyvalen de l'Arc, Académie Aix-Marseille, 2010
  21. Éducation en Vaucluse
  22. La Messe aux truffes sur le Site La Provence.com

Pour approfondir

Bibliographie

  • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876.
  • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986. (ISBN 2903044279)

Articles connexes

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Liens externes


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